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[Union Européenne] nos projets, son futur


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On signe ou?

;)

Dans ce modèle les allemands perdent leur esclaves de l'est ... et leur pigeons du sud :lol: aucune chance  :happy:

L'élargissement de la CEE puis de l'UE n'était pas que politique, elle agrandissait la zone de chalandise et faisait profiter d'une main œuvre a bas coup.

Pire dans un modele de ce genre l'euro aurait le droit au meme sort que le franc suisse il y a quelques temps ... rendrait s'enchérirait tellement qu'il finirait de plomber toutes les économie très exportatrice - a supposer qu'elle trouvent encore quelqu'un a qui vendre -.

Le problème est bien plus profond qu'une histoire de gros sous ...

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Si la Grèce ne respecte pas ses engagements financiers et sort de la zone euro comme un voleur, comment la punir ?  =(

En regardant, une émission TV sur la crise grecque, je m'aperçois qu'ils ont financé les fonds européens pour leurs églises orthodoxes et autres car celles-ci échappement au contrôle fiscal + détournement. Ils n'ont rien fait pour améliorer leurs infrastructures et leur développement économique.

Par ailleurs, la Grèce est un des pays européens qui a reçu le plus d'aides financières depuis 1980 par rapport à l'Italie, l'Espagne, le Portugal, l'Irlande, ... C'est franchement scandaleux le comportement de ces tricheurs.  :-\ Je comprends mieux l'opinion publique allemande !  :|

Pourquoi ne pas retourner à une Europe comme auparavant avec la France, l'Allemagne, l'Autriche, ... et le Benelux ?

Si la Grèce sort de la zone Euro, ils sont foutus. Leur système bancaire va être liquidé, ils vont faire défaut sur leurs dettes en euros, passer à la drachme et s'enfoncer dans un purgatoire économique, vu qu'ils n'arrivent pas à équilibrer le budget de l'état et qu'ils auront une balance des paiements toujours déficitaire, les besoins d'importation seront toujours plus importants que les exportations avec personne à l'horizon pour leur preter des devises=> pénuries, émeutes, anarchie...

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Si la Grèce sort de la zone Euro, ils sont foutus. Leur système bancaire va être liquidé, ils vont faire défaut sur leurs dettes en euros, passer à la drachme et s'enfoncer dans un purgatoire économique, vu qu'ils n'arrivent pas à équilibrer le budget de l'état et qu'ils auront une balance des paiements toujours déficitaire, les besoins d'importation seront toujours plus importants que les exportations avec personne à l'horizon pour leur preter des devises=> pénuries, émeutes, anarchie...

D'accord avec toi mais la Grèce donne le plus mauvais exemple aux nouveaux arrivés (Pologne, Bulgarie, Roumanie, ...) et à ceux qui souhaitent adhérer à l'E.U.

Depuis des années, j'ai l'impression que nous sommes des vaches à lait et les nouveaux arrivés ont une certaine arrogance à notre égard alors qu'il devrait se taire comme la Pologne par exemple !

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Si la Grèce sort de la zone Euro, ils sont foutus. Leur système bancaire va être liquidé, ils vont faire défaut sur leurs dettes en euros, passer à la drachme et s'enfoncer dans un purgatoire économique, vu qu'ils n'arrivent pas à équilibrer le budget de l'état et qu'ils auront une balance des paiements toujours déficitaire, les besoins d'importation seront toujours plus importants que les exportations avec personne à l'horizon pour leur preter des devises=> pénuries, émeutes, anarchie...

Le purgatoire n'est qu'un lieu de passage. Ce n'est pas un cul de sac.

Quand on est face à des personnes qui ne veulent pas appliquer la règle commune, on les sort. Point.

Ils sont dans la merde? Oui et après! C'est comme nous. On fait exploser nos dépenses? Mais on l'a voulu. Donc si on "morfle", il ne faudra s'en prendre qu'à nous.

En conclusion, les grecs, c'est "au revoir".

Enfin, il faut arrêter de penser comme si l'histoire était finie. Ce n'est pas le cas. Qui peut prevoir ce qu'ils seront dans 50, 70, 100 ans. Et nous.

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Il n'y aurait pas un moyen d'accompagner leur sortie de l'€ ? Subventionner leurs importations de petrole et autres produits impossibles a produire la bas ? Ou pourquoi pas les biens d’équipements ( qui servent a produire).

Quand a tous les produits manufacturés importés on en a rien a cirer...C'est pas plus mal de moins consommer! Ils peuvent bien attendre 2 ou 3 ans avant de changer de portable...C'est vraiment pas ca le probleme.

Quand a ceux qui prendraient un plaisir malsain à les voir galerer le plus possible (jalousie?, solidarité avec les creanciers du monde entier ? xenophobie ? comprends pas....) je les conseille de s'en prendre aux gouvernements qui se sont succedés et nos europeistes bornés incapables de voir l'importance de produire au lieu de chercher des punitions collectives du temps des guerres coloniales...Je rappelles que le responsable de Goldman Sachs pour l'Europe a l'epoque du trucage des comptes Grecs nous on le place a la tête de notre banque centrale au lieu de le mettre en examen...

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Le purgatoire n'est qu'un lieu de passage. Ce n'est pas un cul de sac.

Quand on est face à des personnes qui ne veulent pas appliquer la règle commune, on les sort. Point.

Ils sont dans la merde? Oui et après! C'est comme nous. On fait exploser nos dépenses? Mais on l'a voulu. Donc si on "morfle", il ne faudra s'en prendre qu'à nous.

En conclusion, les grecs, c'est "au revoir".

Enfin, il faut arrêter de penser comme si l'histoire était finie. Ce n'est pas le cas. Qui peut prevoir ce qu'ils seront dans 50, 70, 100 ans. Et nous.

Oui, je m'apercois que j'ai un peu dramatisé  =D Ce n'est pas la fin du monde, ni la fin de la Grèce mais peut-être celle de l'idée d'une union européenne. Imagines ce qu'aurait donné l'histoire des Etats-Unis s'ils avaient viré leurs états en faillite et autres moutons noirs...

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Il n'y aurait pas un moyen d'accompagner leur sortie de l'€ ? Subventionner leurs importations de petrole et autres produits impossibles a produire la bas ? Ou pourquoi pas les biens d’équipements ( qui servent a produire).

Le rétablissement de la grece s'il se produit sera long ... au moins 10 ans, et a condition que les grec changent de mode de vie. Pour le moment il n'y aucun patriotisme économique, personne ne paye ses impots, les riches se cassent, les actifs qualifiés se casse ... a ce rythme la Grece va rapidement devenir un ghetto de pauvre.

Le modele économique grec est embryonaire ...

Franchement on voit pas quel investisseur va aller mettre du blé la bas pour produire je ne sais qu'elle richesse, il y a tant d'opportunité ailleurs!

Quand a tous les produits manufacturés importés on en a rien a cirer...C'est pas plus mal de moins consommer! Ils peuvent bien attendre 2 ou 3 ans avant de changer de portable...C'est vraiment pas ca le probleme.

Actuellement ils ont du mal a importer les médoc pour les hopitaux ... un traitement médical ca coute plus cher qu'un GSM. A priori il vont avoir des probleme alimentaire, des probleme énergétique, assez compliqué.

La Grece c'est un pays qu'est sorti du moyen age avec son entrée dans la CEE/UE et qui brutalement a atteri dans l'économie moderne a grand coup d'aide européenne. Sauf que ca ne produit pas de modele économique viable par l'opération du saint esprit, du moins pas aussi vite que le cout de la vie augmente.

Quand a ceux qui prendraient un plaisir malsain à les voir galerer le plus possible (jalousie?, solidarité avec les creanciers du monde entier ? xenophobie ? comprends pas....) je les conseille de s'en prendre aux gouvernements qui se sont succedés et nos europeistes bornés incapables de voir l'importance de produire au lieu de chercher des punitions collectives du temps des guerres coloniales...Je rappelles que le responsable de Goldman Sachs pour l'Europe a l'epoque du trucage des comptes Grecs nous on le place a la tête de notre banque centrale au lieu de le mettre en examen...

Le trucage des comptes arrangeaient bien tout le monde ... la grece devait de toute facon symboliquement et politiquement etre eurocompatible point. Quand tu sais que les mec on pas de cadastre et qu'il y a plusieurs million de logement construit sans permis ... t'imagine tout de suite la nature de l'état.

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L’agence européenne de défense vient de publier son premier journal.

D’une cinquantaine de pages, il est centré sur le partage et la mission en commun : « Taking pooling and sharing to the next level » pour être plus exact. Rédigé tout en anglais, passe ainsi en revue les sujets du moment : du système Sesar à l’anti-IED (engins explosifs artisanaux), en passant par la formation des pilotes d’hélicoptères, les drones ou le ciel unique. Quelques entretiens parachèvent le tout. « EDA’s key mission is delivering capabilities » explique Claude-France Arnould, la directrice de l’agence. « There is a price to pay for ensuring security” renchérit Michel Barnier, le commissaire européen au Marché intérieur (dont dépend, notamment, l’exécution de la directive Marchés publics de défense).

Le journal (en anglais) : http://www.bruxelles2.eu/wp-content/uploads/2012/05/Journal-EDA-2012-1.pdf

François Hollande, conférence de presse sur l'Europe :

http://www.bruxelles2.eu/europe-pouvoir-traite-de-lisbonne/francois-hollande-un-changement-de-style-plus-europeen.html

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(BRUXELLES2) Des discussions formelles et informelles ont été entamées entre l’Union européenne et l’Organisation de la coopération islamique (OIC) (*). Cette organisation qui regroupe 57 Etats membres – dont l’Iran et la Syrie – va d’ailleurs s’implanter de manière fixe à Bruxelles en s’établissant sa représentation rue du Trône, à deux pas du Parlement européen. Quelques rencontres ont déjà été organisées au plus haut niveau entre la Haute représentante de l’Union européenne et le secrétaire général de l’OIC, Ekmeleddin Ihsanoglu.

« Il y a un certain nombre de sujets communs qui intéressent les deux organisations : la Birmanie, la Syrie et le Liban, le nucléaire et l’Iran, le processus de paix au Moyen-Orient, la Corne de l’Afrique avec l’instabilité au Yémen et en Somalie, la piraterie… et l’Afrique. » L’Afrique, un continent sur lequel l’OIC affirme de plus en plus sa présence, au fur et à mesure que le « continent noir » s’islamise. Trois Africains (guinéen, sénégalais ou ougandais) sont d’ailleurs candidats à prendre la tête de l’organisation après l’actuel secrétaire général. L’OIC est également fort intéressée par l’expérience européenne. Agostino Miozzo, le directeur du département « réponse de crises » au service diplomatique européen (SEAE/EEAS), était ainsi récemment à Djeddah, siège de l’organisation pour expliquer le fonctionnement de la « situation room » à l’européenne.

(*) Organisation dont est membre deux pays candidats ou futurs candidats – Turquie et Albanie – et observateur un troisième – Bosnie-Herzégovine. La Russie est également observateur de l’organisation tout comme Chypre Nord (non reconnu par l’Union européenne et la plupart des pays).

http://www.bruxelles2.eu/politique-etrangere/loic-arrive-a-bruxelles-premieres-discussions.html

DUBLIN (Reuters) - Les Irlandais ont largement approuvé par référendum le pacte budgétaire européen, selon les premiers résultats du scrutin de jeudi, et le gouvernement de Dublin n'a pas caché son soulagement, se gardant cependant de tout triomphalisme dans cette période de crise dans la zone euro.

Parmi les 25 Etats membres de l'Union européenne ayant signé fin janvier le pacte visant à instaurer une plus grande discipline en matière de finances publiques, l'Irlande est le seul à avoir opté pour une ratification par référendum.

Après la fermeture des bureaux de vote jeudi soir, deux sources gouvernementales déclaraient à Reuters que le pacte budgétaire devrait être approuvé par environ 60% des électeurs.

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Est ce qu'il existe un équivalent à ce regroupement politique officiel de pays sur une base religieuse dans d'autre religions?

La base religieuse n'est qu'un prétexte pour permettre de faire un groupe de pays assez important. A mon avis on pourrait utiliser presque n'importe quel critère plus ou moins exotique.

L'OIF (l'organisation Internationale de la Francophonie) me paraît assez comparable dans le principe.

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Source Le Figaro: Un «plan d'ensemble» de l'UE pour sauver l'euro.

Le vaste plan de réforme de l'Europe serait en préparation d'après Die Welt. Il sera proposé au sommet européen fin juin. D'inspiration très fédérale, ce projet devrait permettre à Madrid d'accepter un sauvetage bancaire…

Cela fait déjà un an que l'Allemagne en rêve à voix haute: utiliser la crise pour corriger les fautes originelles de la construction européenne, renforcer l'intégration budgétaire et sociale, œuvrer pour une Europe politique plus forte. Sous l'influence de son ministre des Finances, Wolfgang Schäuble, la chancelière allemande semble décidée à aller de l'avant dans la voie d'une Europe plus fédérale. Selon le quotidien Die Welt, les contours d'une Europe rénovée pourraient se dessiner lors du Conseil européen des 28-29 juin.

Les chefs d'État et de gouvernement européens auraient mandaté les responsables des institutions européennes pour préparer un plan visant à relancer l'Europe politique et monétaire, affirme Die Welt. Enrayer la contagion de la crise. (...)

Il s'agit d'enrayer la contagion de la crise au sein de la zone euro, en trouvant des mécanismes permettant notamment de stabiliser les banques espagnoles. Mais aussi de faire un pas en avant dans la construction d'une Europe plus forte.

Selon Die Welt, le plan serait en 4 points et prévoirait:

• La création d'une union bancaire, voulue par la Commission européenne et la BCE. Celle-ci inclurait un organisme européen de surveillance des banques, un fonds commun de placement et un fonds central de sauvetage pour secourir les banques en difficulté sans déstabiliser les gouvernements européens.

• Des réformes structurelles, inspirées par l'Allemagne, visant notamment à moderniser les systèmes sociaux, à assouplir les règles sur le marché du travail et à faire tomber toutes les frontières douanières pour que le marché intérieur européen devienne réalité.

• Créer une union budgétaire, visant à instaurer une plus grande discipline budgétaire, afin de lutter contre les déficits qui plombent la zone euro. Pour Berlin, il s'agit de renforcer les sanctions vouées à devenir quasiment automatiques et de renforcer les pouvoirs de la Cour européenne de Justice (CEJ).

La France et l'Italie veulent aussi intégrer dans ce volet la création d'obligations européennes, qui mutualiseraient les dettes en Europe, faisant baisser les taux d'intérêts dans les pays du sud du continent alors que l'Allemagne emprunterait à des taux plus élevés. Berlin continue de s'y opposer, arguant que les eurobonds ne peuvent arriver qu'au bout d'un processus d'intégration.

• Un renforcement de l'union politique. Il s'agit de consolider le socle démocratique des institutions européennes et de les rendre ainsi plus attractives pour les citoyens. La vision d'une Europe parlant d'une seule voix et qui serait notamment capable de décider d'une intervention militaire contre un régime despotique, est en ligne de mire.

«Naturellement, nous avons le droit de réfléchir à la façon dont nous devons nous développer dans les cinq à dix années à venir, a plaidé Angela Merkel la semaine passée à propos de la construction européenne. Si nous nous imposons des tabous nous n'iront pas de l'avant».

Schäuble avait aussi récemment évoqué l'élection d'un président européen au suffrage universel. «On ne peut pas continuer ainsi», estime-t-on dans les couloirs des ministères à Berlin où l'on juge que l'Union européenne ne peut plus gérer ses crises au coup par coup. Ainsi, la chancelière défend désormais la création d'un poste de super ministre des Finances européen, qui aurait un pouvoir de supervision sur les budgets nationaux.

Imprégnée de la vision fédérale allemande, Merkel souhaite renforcer les pouvoirs de la Commission européenne à laquelle plus de responsabilités seraient dévolues. Pour Berlin les eurobonds et une union bancaire, largement financés par l'Allemagne, ne peuvent arriver qu'au terme de ce processus. «Les partenaires européens de l'Allemagne doivent décider s'ils veulent réellement plus d'Europe, ou juste plus d'argent allemand», prévient-on à Berlin. A défaut d'accoucher d'un «grand saut», le prochain conseil européen est au moins censé tracer une feuille de route pour renforcer l'intégration dans la zone euro.

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David Cameron doit donner du grain à moudre à ses concitoyens eurosceptiques, partisans d'un desserrement des liens de Londres avec l'Union européenne.

David Cameron est dans une position inconfortable. Très préoccupé par les difficultés de la zone euro et leur impact sur l'économie britannique, il doit en même temps donner du grain à moudre à ses concitoyens partisans d'un desserrement des liens de Londres avec l' Union européenne .

À l'issue d'une rencontre avec Angela Merkel , jeudi à Berlin, le premier ministre britannique a déclaré comprendre «pourquoi les pays de la zone euro veulent examiner une union bancaire», avant d'assurer que la Grande-Bretagne n'y prendrait pas part.

À ses yeux, il n'est pas question que les citoyens du Royaume-Uni garantissent les dépôts bancaires des Grecs ou des Espagnols. «Ce n'est pas notre monnaie», a-t-il rappelé. Tandis que l'intégration de l'Eurozone semble devoir se renforcer, il a également promis que Londres négocierait «des garanties spécifiques» de nature à préserver son indépendance. C'est la ligne du veto opposé en décembre lors de l'adoption du traité budgétaire. Plus l'Europe se rapproche, plus la Grande-Bretagne cherche à s'en détacher.

Un supergouvernement Sur le plan politique, le statu quo défendu par le gouvernement devient de plus en plus difficile à défendre. Au concert des conservateurs eurosceptiques , s'est ajoutée jeudi la voix de l'un des plus ardents défenseurs de l'engagement de la Grande-Bretagne en Europe dans les années 1970, l'ancien ministre travailliste des Affaires étrangères, lord David Owen, qui réclame un référendum sur la sortie de l'UE. Selon lui, l'i ntégration économique croissante des membres de la zone euro va transformer l'Union en une sorte de supergouvernement, dont il est temps pour le Royaume-Uni de se retirer, sous peine de voir sa souveraineté lui échapper.

Il souhaite donc un vote redéfinissant les liens entre l'île et le continent au sein d'une vaste zone de libre-échange cantonnée au commerce, allant de l'Islande à la Turquie. Une partie des pouvoirs dévolus à Bruxelles (agriculture, pêche, politique industrielle) serait alors rapatriée à Londres. «La crise de l'euro a conduit l'Union européenne au point où il faut sortir de l'ambiguïté entre ces deux modèles», presse ce «proeuropéen anti-fédéraliste».

Une union réduite à une simple alliance commerciale est, pour beaucoup, la seule motivation de Londres dans l'Europe depuis le début. Cette position embarrasse toutefois le gouvernement, qui a promis un référendum seulement dans le cas où davantage de pouvoirs devraient être transférés de Grande-Bretagne à Bruxelles - ce dont il n'est pas question, comme l'a rappelé le chancelier George Osborne jeudi matin. «Osborne et Cameron voient dans la crise de l'euro la menace principale, non seulement pour l'économie britannique, mais aussi pour leur réélection en 2015, analyse Mats Persson du think-tank Open Europe. Ils doivent donc embrasser ces problèmes de front, tout en faisant face à une pression croissante pour revoir les liens avec Bruxelles. Un référendum semble impossible avant la fin du mandat législatif actuel, mais ils vont sans doute devoir réfléchir à la possibilité d'introduire cette idée dans leur prochaine plate-forme électorale.»

http://www.lefigaro.fr/international/2012/06/07/01003-20120607ARTFIG00741-cameron-encourage-a-prendre-des-distances-avec-l-union.php

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Une sortie de la Grande-Bretagne poserait «des risques politiques et économiques imprévisibles». Une phrase de la Commission européenne ou d'un député pro-européen? Et bien non, il s'agit des conseils du plus influent think-thank eurosceptique du pays, rapporte The Guardian.

Conduit par l'organisation Open Europe, le rapport explique ainsi:

«D'un point de vue purement commercial, l'adhésion à l'UE de la Grande-Bretagne reste la meilleure option. Toutes les autres alternatives entraîneraient des retours en arrière majeurs et demanderaient en plus des négociations avec les autres Etas (et leur accord), ce qui amènerait des risques politiques et économiques imprévisibles.»

Cette prise de position arrive alors qu'un nombre croissant de députés conservateurs rejoignent la campagne anti-EU «Better Off Out» (mieux dehors). La semaine dernière, c'était le chancelier de l'échiquier, George Osborne, qui expliquait dans The Telegraph que le Royaume-Uni était tellement lié à l'UE que la crise risquait de ralentir l'économie du pays:

«Notre rétablissement, qui faisait déjà face à des vents contraires à cause des prix élevés du pétrole et du fardeau de la dette laissée par des années de boom économique, est en train d'être tué par la crise qui sévit à nos portes.»

Comme le note The Independent dans un éditorial, la crise économique actuelle est un terreau fertile pour les eurosceptiques au Royaume-Uni. Les dernières élections européennes n'avaient vu que 34% des électeurs se déplacer.

Le rapport d’Open Europe donne avant tout des conseils au gouvernement  britannique pour tirer le meilleur parti de l’Europe. Pour l’organisation, la couronne doit mieux (et plus) exporter vers l’Union européenne. En effet le Royaume-Uni réalise 49% de ses exportations dans la zone euro.

Le think thank rejette tout de même le statu-quo actuel et appelle de ses vœux une «réforme majeure de la relation» entre l’Union européenne et la Grande-Bretagne. Si le pays devait rester un membre à part entière du marché unique, Open Europe conseille au gouvernement de sortir de la PAC. Pour les analystes de l'organisation, le modèle à suivre est celui de la Norvège.

http://www.slate.fr/lien/57515/eurosceptiques-grande-bretagne-union-europenne

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Paris et Berlin veulent vite relancer l'Europe de la défense.

La France et l'Allemagne ont pris l'initiative jeudi de relancer la consolidation de l'industrie européenne de la défense en décidant d'explorer très vite leurs possibilités de coopération. Conformément aux intentions déclarées du président François Hollande, la France, déjà liée par des accords bilatéraux avec la Grande-Bretagne, "se place ainsi au coeur d'un effort multinational", a estimé Guy Anderson, analyste du groupe de consultants IHS Jane's. Paris et Berlin ont signé jeudi une déclaration d'intention qui crée des groupes de travail chargés d'étudier les besoins dans les domaines des satellites, des blindés, des avions, des hélicoptères et des drones.

Ces groupes devront présenter leurs premières conclusions avant l'été et leur rapport final en décembre pour une feuille de route jusqu'en 2030. L'objectif est de lancer les premiers projets concrets en janvier 2013 à l'occasion du 50e anniversaire du traité de l'Élysée, qui marqua le début de la réconciliation entre les deux pays après la guerre. L'Allemagne a pris l'initiative de publier cette lettre d'intention avant même la visite à Berlin le 22 juin du ministre français de la Défense, Jean-Yves Le Drian. Berlin voulait apparemment sauter sur l'occasion créée par l'arrivée à l'Élysée d'un homme décidé à relancer la coopération européenne en matière d'armement.

Londres reste à convaincre

Le document affirme que la "coopération franco-allemande est déterminante pour le développement de l'industrie européenne de l'armement". Celle-ci marquait le pas depuis le lancement dans les années 90 de grands programmes européens, comme l'avion de transport militaire A400M, qui a accumulé les retards et les dépassements de coûts. L'ancien président Nicolas Sarkozy, lui, s'était rapproché de la Grande-Bretagne en signant en novembre 2010 les accords de Lancaster qui prévoient un renforcement des coopérations bilatérales franco-britanniques. Pour Guy Anderson, cette déclaration n'est pas une surprise : "La France a toujours dit qu'elle voyait l'accord franco-britannique comme le noyau de quelque chose de plus vaste."

La Grande-Bretagne est par principe hostile aux grands programmes européens, mais il s'attend que "Londres adopte une approche pragmatique : il est peu probable qu'elle néglige les réductions de coûts de développement et les économies d'échelle que permettrait la participation de l'Allemagne". La lettre d'intention mentionne explicitement la coopération sur les drones MALE (moyenne altitude, longue endurance), tout en rappelant que la France et le Royaume-Uni sont déjà liés par des accords dans ce domaine. Ces appareils sans pilote se sont révélés indispensables en Afghanistan et en Libye, mais les industriels américains et israéliens dominent le marché.

M. Sarkozy et le Premier ministre britannique, David Cameron, avaient décidé de confier le développement d'un drone européen au français Dassault aviation et au britannique BAE Systems, laissant sur la touche le groupe européen EADS. M. Le Drian a annoncé qu'il voulait remettre le dossier à plat. Les décisions politiques sont une condition nécessaire à la relance de la coopération industrielle, mais beaucoup d'efforts de coordination ont tourné court. Ainsi, le projet de véhicules blindés de combat (MRAV multi-role armored vehicle), lancé dans les années 90 par la France, l'Allemagne, la Grande-Bretagne et les Pays-Bas, a débouché sur un blindé germano-néerlandais, le Boxer. La France s'est retirée en 1999, parce que le cahier des charges ne correspondait pas à ses besoins. "Il n'y a pas d'Europe des armées", a rappelé à l'AFP Gérard Amiel, président de Renault Trucks Defense, constructeur des véhicules de l'avant blindés (VAB) qui équipent l'armée française.

http://www.lepoint.fr/monde/paris-et-berlin-veulent-vite-relancer-l-europe-de-la-defense-14-06-2012-1473496_24.php

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Relance de la coopération militaire franco-allemande alors que l'entente économique et politique bat de l'aile ? ?

http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/air-defense/actu/0202118966137-defense-vers-une-relance-de-la-cooperation-franco-allemande-334032.php

« L'accord avec Berlin évoque l'exploration de pistes de coopération, ça ne mange pas de pain. Ce que les Britanniques rejettent avant tout, ce sont les coopérations multilatérales institutionnelles, via l'Agence européenne de défense par exemple », minimise une source proche du dossier.

Les huit thèmes de la lettre d'intention franco-allemande  :

1-Espace : poursuite de la coopération autour du renseignement d'origine optique et radar

2-Terrestre : études des lacunes techniques, développement et acquisition à risque réduit des systèmes d'armes futurs

3-Hélicoptères  : approches communes autour des Tigre et NH90 (capacités et évolutions), études d'un hélicoptère lourd (selon moyens financiers)

4-Défense anti-aérienne et anti-missiles  : évaluation de solutions communes pour les basses couches dans une approche européenne

5-certification d'aéronefs  : dialogue commun

6-Drones  : évaluation de solutions « Male » potentielles pour le court terme (2014) et long terme (2020) (« La France restera en liaison avec les Britanniques dans le cadre du traité de Lancaster house »)

7-A400M  : maintenance, évolution et protection

8-Systèmes navals  : études pour une nouvelle torpille lourde

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La Grèce demande l'aide de l'europe... pour lutter contre les incendies.

Les feux en Grèce à Keratea dans le sud de l’Attique (50 km au sud d’Athènes) ont atteint une telle intensité que la Grèce a demandé l’aide de ses voisins. Le mécanisme européen de protection civile a ainsi été « activé » dans la nuit, précise-t-on du coté de la Commission européenne. « Les incendies menacent les zones résidentielles. La Grèce a besoin d’engins de lutte contre l’incendie comme des bombardiers d’eaux Canadair CL/415 pour soutenir ses propres forces engagées dans la campagne. »

La suite : http://www.bruxelles2.eu/protection-civile/le-plan-rouge-europeen-active-pour-les-feux-en-grece.html

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C'est plutôt discret mais l'UE a une dizaine de "représentants spéciaux", des ambassadeurs (dont 2 français) en charge de faciliter le travail des pays de l'UE dans les situations difficiles dans les balkans, en afrique et en asie.

Leur portraits :

http://www.bruxelles2.eu/breves/les-representants-speciaux-de-lue-presque-tous-renouveles.html

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Un politicien grec déclare à un journaliste que l'E.U. doit savoir partager les excédentaires de la croissance de certains pays à ceux qui sont en déficit ! ça s'appelle la solidarité européenne.  :-\

Franchement gonfler et une fuite politique de ne pas assumer ses propres responsabilités notamment ses échecs.

J'estime qu'un pays qui triche, ment, ... doit être pénalisé et savoir assainir son budget déficitaire.

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Un politicien grec déclare à un journaliste que l'E.U. doit savoir partager les excédentaires de la croissance de certains pays à ceux qui sont en déficit ! ça s'appelle la solidarité européenne.  :-\

Franchement gonfler et une fuite politique de ne pas assumer ses propres responsabilités notamment ses échecs.

J'estime qu'un pays qui triche, ment, ... doit être pénalisé et savoir assainir son budget déficitaire.

Facile a dire, quand le niveau de vie de millions de citoyens qui n'ont pas de responsabilités particulières quand aux gestions désastreuses des finances grecques par le passé, va s'écrouler en conséquence ...

Facile a dire, quand c'est pas a soit même qu'une telle chose va arriver !

Surtout quand a termes, les conséquences économiques se répercuteront tant au niveau des échanges économiques européens et mondial

Ca me fait penser au fait par exemple qu'on demandait l'année dernière aux grecs d'assainir leur finance publique, puis a ben non merde : on était sensé leur vendre du militaire ... On fait quoi ?

Facile a dire ces choses la, sauf que tu n'en mesures absolument pas les conséquences a termes que cela pourrait avoir sur l'europe économique de façon globale si on faisait intégralement payer aux grecs les folies et cachoteries financières du gouvernement responsables de la merde cachées sous le tapis

C'est si aisé de dire que le peuple grec doit payer ... Va la bas leur expliquer, va leur dire en face : au gens qui ont déja perdu + du tiers de leur revenu du fait des coupures déja actées dans les dépenses ... J'aimerais t'y voir tiens ... Te faire emputer ton salaire ou ta pension de ce qu'ils viennent déja de subir, et de ce que tu préconises aura comme conséquences supplémentaires a encore leur soustraire ! Pas sur tu chantes encore ce refrain la

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J'estime qu'un pays qui triche, ment, ... doit être pénalisé et savoir assainir son budget déficitaire.

Le probleme c'est que les grec n'ont pas menti tout seuls. Tout ce petit monde aussi bien en Grece que dans tous les gouvernement et autre institution de L'UE savait que le modele économique des pays du sud n'était pas viable. Que leur inclusion dans l'eurozone était purement politique/symbolique et pas du tout économiquement raisonnable etc. Simplemement tout le monde a a voulu faire l'autruche, les grecs en premier certes mais les autres aussi.

Il se trouve que maintenant on est tous comme des cons ... avec un systeme fait de bric et de broc et qui a été imposé par un agenda plus que politique que par une logique économique. Sauf qu'il est bien trop tard pour démonter tout le mécano et le remonter proprement ...

Les grecs, les portugais et les espagnols sont en défaut ... tant qu'on acceptera pas cet état de fait on ne verra pas le début du bout de la sortie. La situation italienne est a peine plus reluisante, et si la situation francaise a l'air moins mauvaise c'est par une conjonction de fait qui pourrait ne pas durer a ad vitam - les francais payent leur impots même élevés la corruption y est maitrisée et l'état est fort, les francais font des gosses et la démographie est assez saine, les marges d'économies budgétaires sont immenses, et globalement le pays reste attractif même en période moins faste -.

Le probleme grec n'est que la partie visible du problème de construction de l'eurozone ... c'est pire qu'ailleurs certes mais ce n'est pas en leur tapant dessus a bras raccouci que ca s'arrangera plus vite, la population grecque ne va pas changer d'état d'esprit ou de mode de vie du jour au lendemain, y a pas de miracle, sauf chez les taxi aveugle.

Pour moi le plus simple serait de construire un statut spécial de la Grèce ni dedans ni dehors de l'eurozone avec une monnaie dévaluée mais rattaché au l'euro - genre franc CFA -, pour une durée d'une dizaine d'année au moins. Le temps qu'il mettent de l'ordre dans leur état et dans leur mode de vie, et qu'il deviennent un tant soit peut attractif pour les investisseur internationaux, a défaut d’être  un bon client de la camelote made in germany.

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Facile a dire, quand le niveau de vie de millions de citoyens qui n'ont pas de responsabilités particulières quand aux gestions désastreuses des finances grecques par le passé, va s'écrouler en conséquence ...

Facile a dire, quand c'est pas a soit même qu'une telle chose va arriver !

Surtout quand a termes, les conséquences économiques se répercuteront tant au niveau des échanges économiques européens et mondial

Ca me fait penser au fait par exemple qu'on demandait l'année dernière aux grecs d'assainir leur finance publique, puis a ben non merde : on était sensé leur vendre du militaire ... On fait quoi ?

Facile a dire ces choses la, sauf que tu n'en mesures absolument pas les conséquences a termes que cela pourrait avoir sur l'europe économique de façon globale si on faisait intégralement payer aux grecs les folies et cachoteries financières du gouvernement responsables de la merde cachées sous le tapis

C'est si aisé de dire que le peuple grec doit payer ... Va la bas leur expliquer, va leur dire en face : au gens qui ont déja perdu + du tiers de leur revenu du fait des coupures déja actées dans les dépenses ... J'aimerais t'y voir tiens ... Te faire emputer ton salaire ou ta pension de ce qu'ils viennent déja de subir, et de ce que tu préconises aura comme conséquences supplémentaires a encore leur soustraire ! Pas sur tu chantes encore ce refrain la

Je comprends le désarroi du peuple grec mais pas ceux des députés grecs qui sont parmi les mieux payés d'Europe !!!

Ce n'est pas normal que le peuple grec se serre la ceinture depuis deux ans et pas leurs représentants (le salaire mensuel brut s'élève désormais à 8.221 euros, soit 4.231 euros net après impôts, celui d'un député français gagne 5.189,17 euros net.). Le Parlement grec a prévu de dépenser 34,2 millions d'euros pour les salaires en 2012 (dédommagements et autres primes comprises). De quoi garantir aux députés une somme de 9.500 euros par mois en moyenne, frais de mandat et de secrétariat inclus.

- Le leader du principal parti de droite et ex-premier ministre, Antonios Samaras, a déclaré 271.769 euros de revenus en 2009. Ce à quoi il faut ajouter 15 propriétés, et 312.125 euros sur des comptes en banque.

- George Papandréou, ex-premier ministre socialiste, a pour sa part gagné 131.085 euros. Il détient quatre propriétés et 81.328 euros à sa banque.

- Le leader d'extrême droite George Karatzaferis fait partie des plus riches de l'Assemblée, avec un revenu annuel de 274.074 euros et 21 propriétés immobilières.

(Source Le Figaro 11 février 2012).

Ce que j'en veux ce n'est pas à la population grecque mais à leurs politiciens qui se dédouanent facilement en réclamant solidarité européenne !  :-\

Le salaire minimum en Grèce est supérieur à celui des pays membres de l'Union européenne ayant le même niveau de vie

Image IPB

A 751,39 euros par mois, selon le quotidien, le salaire minimum grec dépasse ainsi celui de l'Espagne (748 euros, d'après les données 2011 d'Eurostat), du Portugal (566 euros) et des pays de l'Est comme la Pologne (347 euros), la Hongrie (293 euros) ou la République Tchèque (329 euros). Le salaire minimum grec s'élevait encore à 877 euros en 2006, selon les dernières données d'Eurostat sur la Grèce.

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