Jojo67 Posté(e) le 11 septembre 2009 Share Posté(e) le 11 septembre 2009 Source AFP : Rafale: Lula aura le "dernier mot" Le président brésilien Luiz Inacio Lula, qui a exprimé sa préférence pour l'avion de combat français Rafale, aura le "dernier mot" dans le choix de l'appareil devant équiper les forces aériennes brésiliennes, a déclaré vendredi le ministre des Affaires étrangères Celso Amorim. "Le dernier mot revient au président Lula, qui prendra l'avis bien sûr du Comité national de défense", a déclaré M. Amorim à Rio, lors d'un entretien avec la presse étrangère. C'est politique, on vous dit... =) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 11 septembre 2009 Share Posté(e) le 11 septembre 2009 "Charles Edelstenne : Vendre un avion de combat est un acte politique"10 septembre 09 - Le Monde - Le Parisien - La Tribune.A la suite de l'annonce du choix du président brésilien Lula Da Silva en faveur du Rafale, le président de Dassault Aviation, Charles Edelstenne, a accordé un entretien au Monde où il considère que "les ventes d'avions de combat sont des actes politiques. L'industriel fait un avion et il se doit de remettre la meilleure offre possible. Mais c'est Nicolas Sarkozy qui a vendu Le Rafale". Il ajoute dans Le Parisien : "Le président Lula a indiqué son choix politique (...) Nous allons maintenant devoir négocier avec les Brésiliens conformément aux procédures". Selon Les Echos, l'appel d'offres devrait être officiellement clos le 23 octobre prochain, lors de la fête de l'armée de l'Air nationale."Le Rafale au Brésil représente 6 000 emplois supplémentaires en France" 10 septembre 09 - Le Monde.Dans l'entretien accordé au Monde, Charles Edeltenne tient à souligner : "nous ne créerons pas de site sur place [au Brésil] Cependant, (...) à terme, des Rafale seront assemblés dans leur usine". Pour autant, la signature du contrat aura un impact en termes d'emplois en France. Le président de Dassault Aviation estime que "pour l'industrie française, cela représente quelque 6 000 emplois supplémentaires sur quatre ans, puis 1 500 à 2 000 pendant ving-cinq à trente ans". Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
phexo Posté(e) le 13 septembre 2009 Share Posté(e) le 13 septembre 2009 Allez plus que quelques jours ! Brazil sets deadline on fighter jet deal By Yana Marull (AFP) – 1 day ago BRASILIA — Brazil has set a deadline for French manufacturer Dassault to finalize its bid for a multi-billion-dollar fighter jet contract, also increasing pressure on competing offers by Swedish and US firms. Dassault has until September 21 to "formalize before the Brazilian Air Force a commercial proposition for the Rafale fighter jet consistent with the parameters set by French President Nicolas Sarkozy," the Defense Ministry said in a statement late Friday. Lula has already indicated that Dassault is positioned to win the contest to supply the air force with modern fighters that will bolster his country's ambitions to become Latin America's preeminent military power. On Monday, Lula and Sarkozy issued a joint statement announcing that Brazil's official negotiations to buy 36 of Dassault's Rafale jets would begin, without however ending the tender process. Despite agreeing that Dassault's technology transfer plans seem ambitious, some analysts have objected to the package's price, which a French presidency source estimated at seven billion euros (10.2 billion dollars). The Brazilian president, who wants his country to become one of the 21st century's big powers, has been adamant that Brazil must acquire the specialized knowledge to build its own independent defence industry. "President Sarkozy is the only president up to now who has told me he not only wants to transfer the technology to Brazil, but also build the plane in Brazil and let our country have the option of selling to all Latin America what will be built here," Lula said. "Now we have to see if Dassault can show the same flexibility as Sarkozy." In 2005, Washington prevented Brasilia from selling 24 of its Super Tucano turboprop patrol planes to Venezuela because they contained US-made components, increasing Brazil's wariness of US controls on the export of sensitive military technology and software. Sarkozy also took on "the commitment to offer Rafale aircraft at competitive prices that are reasonable and comparable to those paid by the French armed forces," the Brazilian Defense Ministry said. Lula stressed that "if someone wants to make a better offer (than France), let them do it. That's the way negotiations work." The September 21 deadline also applies to the two sidelined rival bidders -- Boeing of the United States, offering its F/A-18 Super Hornet, and Sweden's Saab, with its Gripen NG -- which the Defense Ministry said were invited to submit proposals "seeking to match the French." Boeing and Saab have already indicated they want to improve their offers, according to the Brazilian Air Force. Saab and the US embassy said in statements this week that they had agreed to transfer key technology. The air force's technical evaluation prioritizes technology transfer, weapon systems domain, local industry involvement and commercial supply. "One thing is sure: we want a transfer of technology and to build the planes in Brazil," said Lula, stressing he had the final say in the decision. "The air force has the technological knowhow to make the evaluation, and it will do so," he added. "But the decision is political and strategic, and it's up to the president of the republic and no one else." Last December, France sealed a deal to sell Brazil five Scorpene attack submarines and 50 military helicopters -- and the associated technology -- for 12 billion dollars. The equipment will be manufactured in Brazil and involve technology transfers. Paris, meanwhile, has said it plans to purchase 10 KC-390 military transport aircraft, which Brazil's Embraer aims to develop in a joint project with France. Copyright © 2009 AFP. All rights reserved. More » Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
zx Posté(e) le 15 septembre 2009 Share Posté(e) le 15 septembre 2009 Il y'a un article qui est intéressant à lire sur les echos, C'est comment obama a bien failli nous casser la barraque avec le bresil avec un max de désinformation, le jour de l'arrivé de sarko, ca a été une négociation all the nightpour clarifier tout ca après ce coup de "yes i can".genre cout d'une heure rafale 3 fois plus cher qu'un F18.que le Brésil serait obligé de dépenser 70% du contrat avant d'espérer avoir son premier avion.Les gros vilains O0L'article est malheureusement payant, pas trop le temps d'en faire une synthese.http://www.lesechos.fr/info/aero/020134350510.htm Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
debonneguerre Posté(e) le 15 septembre 2009 Share Posté(e) le 15 septembre 2009 Les anglo-saxons ont créé le concept du "fair play" pour les non-anglo-saxons, pas pour eux.Tant que la vente ne sera pas totalement finalisée, je ne sabrerai pas le champagne.. aprés j'avoue... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Oberoth Posté(e) le 15 septembre 2009 Share Posté(e) le 15 septembre 2009 Brésil : comment Obama a tenté de descendre le Rafale Grâce au journal Les Echos d'hier (l'article complet est ici, mais payant), on en sait désormais un peu plus sur le déroulement des négociations entre la France et le Brésil concernant le contrat Rafale, ainsi que sur les efforts de l'administration américaine en faveur du Boeing F-18, concurrent de l'avion français. "Jusqu'au début de l'année 2009, le match à trois se résume à un duel franco-suédois. A partir de la mi-juillet, changement d'ambiance : Boeing et l'administration Obama déroulent le rouleau compresseur. Depuis son lieu de vacances, le président américain appelle Lula pour lui indiquer que les Etats-Unis iront loin en matière de transfert de technologie, et qu'il se porte garant du Congrès, dont l'accord est indispensable". Débute alors une "bataille d'influence" qui fait dire à un négociateur français : "Nous ne pensions pas que cela irait aussi loin dans la désinformation". Le lundi 31 aout, Lula téléphone à Sarkozy pour lui faire connaître son choix en faveur du Rafale. Lorsque le président français arrive à Brasilia, le dimanche 6 septembre, il fait le forcing pour arracher une déclaration publique à son homologue brésilien, qui souhaitait "tirer cela au clair le lendemain matin". C'est qu'entre-temps, Barack Obama a rappelé Lula pour lui confirmer que l'accord du Congrès était acquis. Tard dans la soirée du dimanche, les principaux négociateurs (Du côté brésilien, notamment le ministre de la Défense et le chef d'état-major de l'armée de l'air. Du côté français, le chef d'état-major particulier du Président, son conseiller diplomatique, le patron de Dassault-Aviation) se retrouvent dans les salons de l' hotel Golden Tulip et parviennent à lever les derniers obstacles. A trois heures du matin, une lettre commune est rédigée. Réveillé, Nicolas Sarkozy donne son accord. Sur Secret Defense Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
jolie rouge Posté(e) le 15 septembre 2009 Share Posté(e) le 15 septembre 2009 Ce qui m’inquiète encore plus c’est ce genre de petite magouille procédurière. =( http://www.corlobe.tk/article15866.html Par contre j’aurais voulu savoir ci ceci étais toujours dans les projets du Brésil pour sont futur ??? http://fr.rian.ru/defense/20090407/120954133.html Si c’étais toujours le cas, je doute fort que le congrée U.S se plie en quatre pour le développement de la futur concurrence. Ce qui n’est pas le cas pour nous par ailleurs, car il nous sera financièrement impossible de développer la 5G sans coopération. ;) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
jolie rouge Posté(e) le 16 septembre 2009 Share Posté(e) le 16 septembre 2009 http://www.defense-aerospace.com/article-view/release/108111/boeing-looks-for-local-partners-to-support-super-hornet-bid-in-brazil.html Boeing Meets With Brazilian Industry, Reaffirms Super Hornet as Best-Value Solution (Source: Boeing Co.; issued September 15, 2009) SÃO PAULO, Brazil --- The Boeing Company today kicked off a two-day conference with 140 potential partner and supplier companies in São Paulo, reaffirming its commitment to fulfill all of Brazil's requirements with its Super Hornet solution to the F-X2 fighter competition. "We are confident that our offer represents the best-value solution for Brazil, offering the most advanced technology, a proven superior logistics-support system and a price that is considerably lower than that of the Rafale," said Bob Gower, vice president of the Boeing F/A-18E/F Program. Competitors have been given until Sept. 18 to make further improvements to their offers, and Boeing is looking at all options.(The deadline set by Brazil’s MoD is in fact Sept. 21—Ed.) Boeing delivered an offer to the Brazilian Air Force in August that included full technology transfer. The offer also includes the option of Super Hornet co-production in Brazil and the sharing of technology that would allow Brazil to integrate its own weapons. The U.S. Department of Defense, Department of State, and Congress have fully authorized and approved the Super Hornet sale to Brazil. "The U.S. government has taken unprecedented steps to support this opportunity, both in terms of accelerating the normal approval process and in supporting Brazil’s goals for national autonomy," said Gower. During the conference, Boeing Supplier Management leaders are meeting with representatives from Brazilian firms to discuss the requirements and certifications necessary to do business with Boeing, and to gain a better understanding of the particular standards and complexities of conducting international business in the aerospace industry. "Boeing's goal is to assemble a supply chain that represents the very best of industry, and we see promising opportunities in Brazil," said Ron Shelley, vice president of Supplier Management & Global Sourcing for Boeing Integrated Defense Systems. "Opportunities for companies in Latin America's largest nation extend far beyond the F-X2 competition to all areas of Boeing's business." Boeing has a 100 percent success rate in conducting industrial cooperation programs in nearly 40 countries. It has completed more than $31 billion of industrial obligations on time or ahead of schedule. Boeing currently has more than 45 active industrial programs worth an additional $13 billion in more than 17 countries, representing more than a dozen Boeing products. A unit of The Boeing Company, Boeing Integrated Defense Systems is one of the world's largest space and defense businesses specializing in innovative and capabilities-driven customer solutions, and the world's largest and most versatile manufacturer of military aircraft. Headquartered in St. Louis, Boeing Integrated Defense Systems is a $32 billion business with 70,000 employees worldwide. -ends- Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
pascal Posté(e) le 16 septembre 2009 Share Posté(e) le 16 septembre 2009 Tout ceci tendrait à donner raison à tout ceux et ils sont nombreux qui en interne à Saint-Cloud considèrent le marché des EAU et donc de la Libye (le colon achètera 14 Rafale EAU like) bien mieux emmanchés que le contrat brésilien qui reste encore à confirmer ... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
jolie rouge Posté(e) le 16 septembre 2009 Share Posté(e) le 16 septembre 2009 Plus la dead line se rapproche plus la pression monte…Des pronostics ??? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
FATac Posté(e) le 16 septembre 2009 Share Posté(e) le 16 septembre 2009 Puisque l'ours Boeing a l'air de sacrément remuer, pour un bête manteau de fourrure ... on pourrait pas utiliser un peu les mêmes "armes" que les anglo-saxons, pour emporter le morceau ...Comment organiser une campagne de FUD (Fear/Uncertainty/Doubt) contre le superbuzz ?- On n'a pas des RETEX de la campagne des Rafies sur le Teddy, avec quelques combats simulés, à toute portée, contre des super-hornet bien en peine ?- Il n'y a pas moyen de semer le doute sur la réelle volonté de partage par les US, en mettant dans le même bain les histoire de stockage aux US des missiles des clients, avec livraison expresse en cas de conflit (et les risques d'embargo, de refus de livraison, d'accident du livreur, etc.)- Le bourdon a t'il résolu ses problèmes de turbulences aérodynamiques en bout d'aile ? C'est pas tout d'agrandir la voilure et de la renforcer, mais les sidewinder en bout de plume avaient une facheuse tendance à se disloquer après quelques vols - et ne parlons pas des AIM-120 qui perdaient leur voilure si on les portaient sur ces rails. C'est réglé, tout ça ?- Un super-hornet, ça se pose sur un PA de 40000 t ? Les américains n'osent pas venir sur le CDG avec plus gros qu'un F-18 C/D, et encore ... et eux ils ont des barcasses de 70000 à 100000 t, alors forcément c'est plus facile. Avec un super-hornet, le futur porte-avion brésilien va fatalement devoir prendre de l'embonpoint et du poids ... et subir une hausse des prix.- Le canon est toujours placé à un endroit où il gène le pilote lors des tirs de nuit, et où il perturbe le fonctionnement du radar si l'entretien de ce dernier n'est pas parfait (étanchéïté au gaz des cloisons, montage parfait des cloisons anti-vibration et des silent-blocks, système de refroidissement nominal)- etc.Il y a quand même moyen de décrédibiliser cette bouse ... (désolé, je préférais nettement les premiers F-18. Le nouveau n'a aucun charme) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Fenrir Posté(e) le 16 septembre 2009 Share Posté(e) le 16 septembre 2009 On peut jouer sur le rôle émergent du Brésil qui veut devenir un acteur majeur en Amérique, une France n'a pas les mêmes interêts en Amérique du Sud que le Brésil, il n'y aura pas de confrontation ou de crises.Le FA 18E est une ènieme modernisation d'un avion dont le concept date des années 70, sa marge d'évolution est extrement faible comparé à un Rafale tout "jeune".Le Brésil donnerait un signal fort: ni US ni pro Russe, indépendant.Une adapatibilité au materiel indigène (la série des Mirage III en est l'exemple flagrant) superbe que n'a pas Boeing.Rappeler le fait que les AIM 120 Chilien sont stockés aux USA, je sais que la situation est ici différente mais un peu désinformation ne fait pas de mal de temps en temps... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
TMor Posté(e) le 16 septembre 2009 Share Posté(e) le 16 septembre 2009 Et qui vous dit que ça n'a pas déjà été essayé ? =) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kovy Posté(e) le 16 septembre 2009 Share Posté(e) le 16 septembre 2009 - on peut aussi ajouter que Boeing n'a aucun intérêt à aider réellement Embraer qui est un concurrent direct sur le secteur des liners régionaux et du C-130. Boeing aurait même plutôt intérêt à étouffer ou à essayer de contrôler l'entreprise Brésilienne. :P- On connait le sérieux de Dassault quand il s'agit de respecter les délais. Chez Boeing, le dernier exemple en date c'est le 787...beaucoup de promesses dont aucune n'a été tenue jusqu'à présent :P- Les rafistolages aérodynamiques du super hornet relève de l'amateurisme. résultat, un avion énorme avec un rayon d'action équivalent au rafale. Belle prouesse :P- Les américains mettent souvent en avant la capacité de "noise pointing" du F-18E. Habile tentative pour passer sous silence le manque d'agilité effroyable d'un avion qui gaspille toute son énergie au moindre virage et devient une véritable patate volante après quelques petits breaks :PCa va, j'suis assez méchant là ? :lol: Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 16 septembre 2009 Share Posté(e) le 16 septembre 2009 Si on dit que les pilotes de US Navy avec leur Hornet n'ont pas tenu longtemps contre les Rafale F1, je ne suis pas sûr que par la suite, l'US Navy nous invitera sur les CVN à faire des Touch and Go et des exercices d'appontage. Voire dans des Red Flag avec l'USAF. Par la suite, faudrait voir si il y a eu des dog fight récents entre Super Hornet et Rafale F2/F3.En attendant, l'ours Boeing va ou vient de vendre 72 F15 supplémentaires à Ryiad. Et livre les Super Hornet à Canberra.A Saint-Cloud, ils se disent de pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué. Ou tant que la grosse n'a pas fini de chanter, l'opéra n'est pas fini. :lol: Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
TMor Posté(e) le 16 septembre 2009 Share Posté(e) le 16 septembre 2009 Par la suite, faudrait voir si il y a eu des dog fight récents entre Super Hornet et Rafale F2/F3. Oui, et justement, nos envoyés spéciaux au Bourget cette année en ont parlé abondamment. On verra si les américains projettent de ne plus nous inviter sur leurs homePlates et Red Flag. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Nitro Posté(e) le 16 septembre 2009 Share Posté(e) le 16 septembre 2009 Ils vont faire des déclarations tout les jours faut croire : http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2009/09/16/le-ministre-de-la-defense-bresilien-confirme-sa-preference-pour-le-rafale_1241489_3222.html#xtor=RSS-3208 Le ministre de la défense brésilien, Nelson Jobim, a confirmé, mercredi 16 septembre, la préférence de son pays pour l'avion de combat Rafale de Dassault, en raison du transfert de technologie total proposé par les Français. "Il y a effectivement de la part du gouvernement une option pour la France. Il suffit que la France respecte ses engagements" de transfert sans restriction de technologie et de prix équivalents à ceux payés par les forces armées françaises, a déclaré le ministre lors d'une audience au Sénat. L'avion Rafale est engagé dans une compétition serrée avec le Gripen du suédois Saab et le F/A-18 Super Hornet de l'américain Boeing pour fournir 36 avions de combat multirôle au Brésil. DÉCISION POLITIQUE M. Jobim a dit à plusieurs reprises que les Etats-Unis ne donnaient pas la même assurance de transfert de technologie même si, dans le cas du F-18, ils ont affirmé qu'ils transféreraient la technologie "nécessaire". "Je suis avocat et je travaille avec la jurisprudence. Les précédents que j'ai des Etats-Unis sont mauvais", a souligné le ministre. Il a aussi reconnu que le principal problème du Rafale était son prix. Le président Lula a déjà dit que la décision serait politique et qu'il aurait le dernier mot dans le choix de l'appareil, après une évaluation technique faite par l'armée de l'air. Le ministère de la défense a fixé au mercredi 21 septembre le dernier délai pour que Dassault formalise "une nouvelle offre commerciale" et a invité Boeing et Saab à aligner leurs propositions sur celle de la France. Le fait qu'on les vende (peut-être) au même prix que pour l'armée Française, ça veut dire qu'on exclu la R&D initiale ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kovy Posté(e) le 16 septembre 2009 Share Posté(e) le 16 septembre 2009 Il a aussi reconnu que le principal problème du Rafale était son prix. Comme par hazard :lol: C'est de bonne guerre, mais on a bien compris que si ils laissent courrir le processus de concurence face à Boeing quelques semaines de plus c'est uniquement pour essorer le tarif du rafale le plus possible Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Darkjmfr Posté(e) le 17 septembre 2009 Auteur Share Posté(e) le 17 septembre 2009 Comme ils disent dans le sud, faudrait pas non plus les prendre pour des jambons (excusez, pas déjeuné :p).En fin de compte, tant que Dassault vend les zincs avec de la marge, que les brésiliens financent des intégrations supplémentaires d'armement (toujours bon pour les autres marchés et le BE Dassault) voire participent au développement des blocks suivants et projets de chasseurs à venir, je crois qu'on a pas à se plaindre. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
TMor Posté(e) le 17 septembre 2009 Share Posté(e) le 17 septembre 2009 Vous pensez vraiment que SH et Gripen servent de lièvres pour baisser le prix du Rafale ?Si on a de la chance, c'est pareil en Inde, à ceci près que 2 concurrents en auront eu marre de se faire rouler dans la farine ! (Saab et Boeing out) :lol: Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité ZedroS Posté(e) le 17 septembre 2009 Share Posté(e) le 17 septembre 2009 d'ailleurs, à propos de sous, le pays vendeur se fait il vraiment de l'argent dans de tels deals ? J'ai vraiment l'impression que la France ou les USA sont prêts à énormément de sacrifices financiers (offset, transfert de tech, achats, vente à prix rabaissés).... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jojo67 Posté(e) le 17 septembre 2009 Share Posté(e) le 17 septembre 2009 Le Rafale sera vendu au Brésil, c'est politiquement incontournable. Mais la question qui reste est de savoir à quelles conditions. Et les négociations de marchand de tapis ont commencé. Ne pas prendre ces agitations pour une remise en cause de la décision d'achat. Les déclarations des Américains servent le ministre de la défense brésilien qui les agite sous notre nez pour nous pousser à baisser nos conditions, c'est tout. La peau de l'ours du F18 sèche sur le pont du Charles de Gaulle depuis plusieurs semaines déjà... :lol: Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bighoz Posté(e) le 17 septembre 2009 Share Posté(e) le 17 septembre 2009 Les pays vendeurs gagnent pas directement d'argent, ils font des économies sur les R&D future. Ce genre de contrats c'est aussi une question d'image nationale. Et dans ce cas précis on noue d'excellentes relations avec le Brésil qui pourraient donner un certain avantage à d'autres entreprises françaises comme dans le nucléaire avec Areva, alstom, Bouygue, Lafarge ou encore des LGV et TGV avec encore alstom, Bouygue etc... Et contrairement à ce que l'on a tendance à penser en France une entreprise qui gagnedes contrats et de l'argent ca n'a rien de honteux, ca permet de se pérenniser.Les marchés de l'armement c'est une forte valeur ajoutée diplomatique et commerciale pour les échanges Franco-X. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
glitter Posté(e) le 17 septembre 2009 Share Posté(e) le 17 septembre 2009 http://fr.news.yahoo.com/3/20090916/twl-bresil-rafale-5c16fb8.html Le Brésil penche pour l'avion de combat Rafale de Dassault en raison du transfert de technologie proposé par la France, mais le prix de l'appareil constitue toujours un problème, a déclaré mercredi à Brasilia le ministre brésilien de la Défense Nelson Jobim. Lire la suite l'article L'avion français, a-t-il noté devant des parlementaires, est plus cher que ses concurrents toujours sur les rangs, le Gripen du suédois Saab et F-18 Super Hornet de l'américain Boeing. Le président brésilien Luiz Inácio Lula da Silva a souligné la semaine dernière que les appels d'offre étaient toujours ouverts pour l'attribution d'un contrat de plusieurs milliards de dollars portant sur la fourniture de 36 avions de chasse. Lors d'une visite du président français Nicolas Sarkozy au Brésil les 6 et 7 septembre, "Lula" avait annoncé l'ouverture de négociations avec le constructeur français Dassault pour l'achat de 36 avions de chasse Rafale. Le Brésil conduit actuellement des évaluations techniques sur les trois dossiers. Les appels d'offres sont toujours ouverts et un autre candidat peut encore se manifester, a expliqué "Lula" le 11 septembre. Les sociétés intéressées ont jusqu'au 21 septembre pour formaliser leurs offres, et les évaluations techniques devraient être achevées d'ici novembre. Le Brésil évalue le contrat entre 2,2 et 2,5 milliards de dollars, tandis que le chiffre de 5 milliards d'euros a été avancé dans l'entourage du président français. AP Ah oui, tout de même :-[ Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
zx Posté(e) le 17 septembre 2009 Share Posté(e) le 17 septembre 2009 je pige pas, prix public, le F18 c'est 57M$, un rafale 88M$ ?En coulisse c'est plus bas generalement.Les bresiliens n'ont pas essayés les deux avions ? ils ont du notés des différences de performance, le bourdon n'est pasréputé pour être agile ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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