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Renaissance de l'empire du Milieu ?


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Parce que vous les connaissez personnellement ces eux lascars par exemple? ;) Ce ne sont pas des traitres... quoique... mais des marionnettes qu'on a jeté aux ordures une fois que l'on en avait plus besoin. Ca me fait bien rire d'ailleurs.

On sait très bien que les states par exemple sont pas les derniers pour payer des groupes de déstabilisation dans un pays dont ils n'aiment pas les dirigeants et/ou la politique, en quoi se demande si ce n'est pas le cas actuellement c'est "dépasser les bornes"?

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Pour moi Soljenitsyne était un vieux réactionnaire, nostalgique du tsarisme, de l'église orthodoxe toute puissante, un antisémite et un raciste patenté, en plus d'être un menteur, vu que les chiffres qu'il donnait sur le nombre de prisonniers étaient faux (les archives soviétiques ouverte il y'a peu ont confirmé qu'il n'y avait pas plus de prisonnier en URSS à l'époque qu'aux USA en ce moment), en plus il est passé 2 fois par le système pénitentiaire soviétique et a survécu jusqu'il y'a peu, plutôt clément le système soviétique... Ces derniers temps avant sa mort il était largement oublié d'ailleurs, essentiellement pars que sa fascination pour l'autoritarisme tsariste, la tradition dans toute sa ringardise, ses relents antisémites en faisait un personnage encombrant une fois l'URSS tombé.

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Le gouvernement chinois emploierait des internautes pour poster des commentaires en sa faveur sur le web chinois. On les appelle le "Parti des cinq mao" [cinq centimes d'euro, ndlr], en référence à leur rétribution. Lire la suite l'article : http://fr.news.yahoo.com/69/20081219/twl-le-parti-communiste-chinois-ose-la-p-b11dcaf.html

on a démasqué Zamorana  =D

bon je plaisante  ;)

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La Marine chinoise a entamé vendredi une mission historique "d'escorte antipiraterie" au large de la Somalie, la première des forces navales chinoises en plusieurs siècles qui pourrait déboucher sur des engagements militaires à l'étranger. Trois bâtiments -- deux destroyers et un navire de ravitaillement -- ont pris la mer vers 13h50 (05H50 GMT) depuis le port de Sanya, sur l'île tropicale de Hainan, province la plus méridionale de Chine, a annoncé l'agence Chine Nouvelle.

Avec quelque 800 hommes embarqués, dont 70 d'une force spéciale de la Marine, selon l'agence officielle, le groupe naval s'apprête à rejoindre les forces multinationales patrouillant au large de la Somalie, notamment dans le Golfe d'Aden, entre Yémen et Somalie, voie maritime vers le canal de Suez et route majeure du commerce euro-asiatique.

Leur mission pourrait durer trois mois.

"La participation militaire de la Chine (aux opérations antipiraterie) envoie un message politique fort à la communauté internationale: la Chine, avec sa force militaire et économique actuelle, veut jouer un plus grand rôle dans le maintien de la paix et de la sécurité internationales", a souligné un chercheur spécialiste de l'antiterrorisme de l'Institut des relations internationales contemporaines, Li Wei, cité par le China Daily.

"Puisque c'est notre première mission à l'étranger, nous pourrions affronter des situations que nous n'avons pas prévues. Mais nous y sommes préparés", a de son côté déclaré le commandant de la force, le contre-amiral Du Jingcheng, au quotidien officiel en anglais, lors d'une visite de médias chinois sur la base.

Cette mission est la première de ce type de l'Armée populaire de libération fondée il y a 81 ans, et même de la marine chinoise depuis le XVe siècle et la dynastie Ming, selon des experts.Il faut remonter aux grandes croisières de l'amiral Zheng He sur les côtes de l'Afrique de l'Est et de l'Arabie méridionale pour retracer une telle opération lointaine de navires de guerre chinois, selon ces experts.

La Marine de l'Armée Populaire de Libération est concentrée sur la défense des côtes chinoises, limitant ses opérations à l'étranger à des exercices conjoints, des escales portuaires ou visites diplomatiques. Même si en 2002 elle a effectué son premier tour du globe.

Le gouvernement a décidé la semaine dernière de se joindre aux efforts contre les pirates qui infestent les eaux au large de la Somalie, afin de veiller à la sécurité des navires marchands, notamment chinois, ainsi que des bateaux transportant de l'aide humanitaire pour les organisations internationales comme le Programme Alimentaire mondial de l'ONU.

Le tout "en stricte conformité avec les résolutions du Conseil de sécurité de l'ONU et les lois internationales", a assuré Pékin.

Avec une grande part de son commerce transitant par ces eaux, la quatrième puissance économique mondiale est excédée des attaques qui, depuis le début de l'année, ont visé sept de ses navires ou transportant des équipages chinois ou encore des cargaisons en provenance de Chine.

Les deux destroyers Haikou et Wuhan qu'elle envoie sur place, font partie, selon Chine Nouvelle, des "plus perfectionnés" de sa flotte.

Cette dernière apparaît encore comme le maillon faible des forces de défense chinoise que Pékin dit vouloir moderniser depuis quelques années.

La Chine a plusieurs fois indiqué vouloir construire une défense nationale "puissante" et renforcer les performances de ses troupes de 2,3 millions d'hommes, avec un accent sur la Marine.

Mardi dernier, le porte-parole du ministère de la Défense, Huang Xueping, a ainsi rappelé que la Chine envisageait de se doter d'un porte-avions pour renforcer sa défense nationale et assurer sa souveraineté maritime.

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  • 1 month later...

Un manifestant britannique lance sa chaussure sur le premier ministre chinois

Tombée à un mètre de Wen ! Moins doué que son prédécesseur, l'anglais. Et mauvais choix de cible, Wen n'est surement pas aussi mondialement détesté que Bush. Raté pour la célébrité. Et je préfère la coutume belge de l'entartage, moindre portée, moins furtif, moins de pénétration mais plus drole.

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  • 6 months later...

La Chine demande à la Birmanie d'éviter de tapez sur les interets chinois dans sa lutte contre les reste d'un mouvement COMMUNISTE de l'ethnie chinoise dans ce pays. Elle se retrouve avec plus de 50 000 réfugiés à la frontière :

http://blog.lefigaro.fr/chine/2009/09/rappel-a-lordre-pour-lallie-bi.html

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la Chine a toujours été assez chatouilleuse vis à vis du traitement des Hans presents dans les autres pays

en ce sens par exemple Singapour est un état qui pourra compter sur le grand frère si y'a un gros problème avec le voisin indonésien

idem pour la Malaisie si jamais y'a un problème inter ethnique ou même un problème externe, la Chine y mettra son nez

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  • 1 month later...

http://www.courrierinternational.com/article/2009/10/15/pekin-tend-la-main-a-la-junte

Pékin tend la main à la junte

Menacé de sanctions par la communauté internationale depuis la répression du 28 septembre, le régime espère que les Chinois lui permettront d’échapper au pire.

La junte militaire et le Fonds international chinois (CIF) négocient actuellement des contrats sur le pétrole et les minerais. Ces accords seraient les plus importants jamais conclus en Afrique, d’un montant potentiel de plusieurs milliards d’euros, affirme Mohamed Thiam, ministre des Mines guinéen. Selon les Guinéens, le CIF endosserait la majeure partie du développement financier, soit environ 7 milliards de dollars [4,7 milliards d’euros], qui seraient consacrés à des projets allant de la fourniture d’énergie à la création d’une compagnie aérienne. Dans le même temps, les Chinois s’associeraient à la Sonangol, la société pétrolière nationale d’Angola, pour explorer les réserves pétrolières au large des côtes de Guinée. Pékin tirerait ainsi parti de ses relations avec l’Angola, où le CIF a engagé 2,9 milliards de dollars sous forme de prêts et où il sert de lien entre la Sinopec, la compagnie pétrolière nationale chinoise, et la Sonangol. Ce projet qui implique la Chine et l’Angola représenterait un ballon d’oxygène pour le régime guinéen, menacé de sanctions par les puissances occidentales et l’Union africaine (UA) depuis le massacre de plus de 150 manifestants le 28 septembre dernier [voir CI n° 988, du 5 octobre 2009]. L’UA doit se réunir le 17 octobre pour débattre des mesures à prendre contre la junte si le capitaine Moussa Dadis Camara, chef de l’Etat autoproclamé, ne démissionne pas avant les élections, prévues en janvier.

La Guinée est le premier exportateur mondial de bauxite et dispose de réserves importantes d’or, de diamants, d’uranium et de minerai de fer, ressources qui avaient permis à Lansana Conté, l’ancien dictateur, de survivre à des périodes d’isolement international. Les perspectives du pays dans le secteur pétrolier ont attiré l’attention à l’issue de découvertes récentes dans des Etats voisins comme le Ghana. Les accords en cours de discussion rappellent les contrats de plusieurs milliards de dollars conclus en Angola et en république démocratique du Congo. Ces pays ont cédé le contrôle de ressources minières et pétrolières en échange d’investissements dans les infrastructures. Mohamed Thiam assure que la Guinée tirera des enseignements des pays où les accords avec la Chine ont mal tourné. Le CIF a pris une part de 75 % dans une entreprise également détenue par le gouvernement guinéen, la Guinea Development Corporation (GDC), qui sera implantée à Singapour et gérera des projets dans les transports, les infrastructures, l’eau, l’énergie et les mines. “Nous pensons que, dans les cinq prochaines années, les investissements sur les différents projets de la GDC représenteront un volume supérieur à 7 milliards de dollars, poursuit Thiam. Au lieu de simplement échanger des ressources naturelles contre des promesses de développement de nos infrastructures, nous avons préféré la solution d’un partenariat, et non seulement être copropriétaires des sociétés et des projets de développement des infrastructures, mais aussi participer conjointement aux sociétés ou projets éventuels dans le secteur des ressources naturelles.”

L’accord pétrolier, distinct, conférerait des droits exclusifs à une coentreprise regroupant la Guinée, le CIF et la Sonangol, qui serait autorisée à prospecter et à développer ou vendre sur 64 % des terrains offshore que Hyperdynamics, une compagnie texane, a accepté de rétrocéder à l’Etat d’ici à la fin de l’année. Le CIF, qui opère depuis Hong Kong, s’est refusé à tout commentaire, tout comme la Sonangol.

Des accords aussi ambitieux risquent de faire monter la température politique sur place, où les tensions s’accroissent entre les différentes factions au sein des forces armées tandis que les syndicats brandissent la menace d’une grève générale. Sidya Touré, ancien Premier ministre et dirigeant de l’opposition qui a pris la tête des récentes manifestations, avait lui-même refusé de négocier des projets chinois d’un montant de plusieurs milliards de dollars. “Je ne comprends pas comment il est possible de croire que l’on va injecter de telles sommes dans l’économie guinéenne, alors que notre PIB total n’est que de 3 milliards de dollars. On parle de milliers de kilomètres de routes et d’autoroutes sans tenir compte du fait que notre économie n’est pas capable d’entretenir de telles infrastructures”, a-t-il déclaré lors d’un forum du secteur minier, en mars dernier. “Où sont les voitures censées rouler sur ces autoroutes ? Où sont les trains ? Soyons sérieux, tout cela n’est qu’une illusion”, avait-il ajouté.

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  • 2 months later...

Les missiles nucléaires chinois à l'abri d'un tunnel secret.

Pékin aurait construit depuis 1995 une «grande muraille souterraine» de 5.000 km pour protéger son arsenal.

Les dirigeants de la Chine communiste tiennent enfin leur Grande Muraille, invisible pour les yeux celle-là. La presse officielle chinoise vient en effet de rendre compte d'une incroyable nouvelle, tant par l'ampleur de l'ouvrage que par sa divulgation elle-même.

Selon le Journal de la Défense nationale, l'Armée populaire de libération (APL) aurait terminé le creusement d'un gigantesque tunnel de 5.000 kilomètres de long destiné à abriter ses missiles nucléaires. En Chine, rien n'est jamais petit, mais la longueur d'un tel ouvrage souterrain laisse pantois. D'autant qu'il est précisé que sa profondeur peut atteindre 1.000 mètres. Il se situerait dans les zones montagneuses du nord du pays.

la suite : http://www.lefigaro.fr/international/2009/12/19/01003-20091219ARTFIG00197-les-missiles-nucleaires-chinois-a-l-abri-d-un-tunnel-secret-.php

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Si quelqu'un peu m'expliquer l'intérêt de 5.000km de galerie pour abriter quelques dizaine ou même centaine de missile ?!

Rendre trèèèès aléatoire leurs positionnement pour éviter des frappes anti bunker, cacher autres choses que des ICBM (ils n'ont pas aussi bâti l'équivalent d'une ville souterraine  sous je sais plus quel grande ville?)

Puis pourquoi pas faire quelques essais nucléaires en toute discrétion..

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  • 2 weeks later...
  • 3 weeks later...

L'affaire Google en Chine révèle les risques de cyberguerre

Par Reuters, publié le 21/01/2010 à 16:30

WASHINGTON - Le bras de fer entre Google et la Chine sur fond de censure et de cyberattaques attise les craintes américaines d'une "cyberguerre", à laquelle Pékin se préparerait en infiltrant les ordinateurs d'entreprises et du gouvernement.

Depuis des années, les agences de renseignement américaines mettent en garde dirigeants politiques et entrepreneurs contre les pirates informatiques chinois, qui auraient créé des brèches dans des réseaux très sensibles et emmagasiné des informations en vue d'un éventuel conflit.

La sous-traitance de certaines technologies en Chine contribue à cette menace, estime Larry Wortzel, membre de la Commission d'études sur l'économie et la sécurité sino-américaines, un groupe d'experts qui conseille le Congrès.

"Les sociétés qui délocalisent leur recherche et développement en Chine et emploient des Chinois pour concevoir leurs logiciels ont sans doute contribué à rendre les services chinois de renseignement et de sécurité meilleurs dans le piratage informatique", explique-t-il.

"Ils apprennent les failles du système et les codes pour accéder aux programmes et faire des mises à jour - des brèches qui rendent les Etats-Unis vulnérables à une attaque."

Google pourrait en avoir fait les frais en décembre: la semaine dernière, le géant californien a annoncé avoir été la cible d'une cyberattaque coordonnée et "très sophistiquée" lancée par des pirates informatiques en Chine et qui visait, selon lui, des militants locaux des droits de l'homme.

Il a précisé que les pirates avaient aussi voulu obtenir des informations sur 20 entreprises dans la finance, les médias, les nouvelles technologies et la chimie, sans préciser le contenu de ces informations ni le nom des entreprises concernées.

En conséquence, le groupe a menacé de cesser ses activités en Chine et a affirmé ne plus vouloir subir la censure de Pékin sur les résultats fournis par son moteur de recherche.

"NOS RÉSEAUX SONT EN TRAIN D'ÊTRE CARTOGRAPHIÉS"

Les réseaux militaires et gouvernementaux américains "continuent d'être la cible d'intrusions qui semblent provenir de l'intérieur (de la Chine)", avait réagi le lendemain l'amiral Robert Willard, chef du commandement américain dans le Pacifique.

Même si la plupart de ces incursions sont l'oeuvre de pirates en vadrouille, l'officier a prévenu la Commission des forces armées de la Chambre des représentants que "les compétences démontrées pourraient très bien être utilisées pour des attaques de réseaux informatiques en temps de guerre".

Pékin a néanmoins rejeté les accusations selon lesquels les services chinois seraient derrière les cyberattaques évoquées par Google.

"A mesure que la Chine s'intègre de plus en plus avec le reste du monde grâce à internet, elle n'a aucune raison de faire quoi que ce soit qui nuise ou rejaillisse sur ses propres intérêts", a déclaré dans un courrier électronique Wang Baodong, porte-parole de l'ambassade de Chine à Washington.

Des traces de pirates chinois ont été retrouvées dans les systèmes de certains réseaux électriques aux Etats-Unis et ils "semblaient se moquer d'être repérés", avait assuré en avril dernier Joel Brenner, ancien directeur du Bureau de l'exécutif du contre-espionnage national, une agence gouvernementale.

"Si je m'inquiète à propos de ces réseaux, ces systèmes de contrôle aérien, d'approvisionnement en eau et autres ? Vous vous doutez bien que oui. Nos réseaux sont en train d'être cartographiés", avait-il déclaré lors d'un forum à Austin, au Texas.

Taiwan pourrait être au centre de l'une de ces futures "cyberguerres".

Selon James Mulvenon, consultant pour les services de renseignement américains, les pirates chinois pourraient s'attaquer aux systèmes américains, notamment logistiques, en cas de conflit au sujet de l'ancienne Formose.

"L'armée chinoise semble penser qu'elle peut utiliser le piratage pour exploiter notre prétendue dépendance aux systèmes informatiques, et par là même enrayer notre déploiement en cas d'urgence régionale."

D'après le site internet Daily Beast, qui a cité la semaine dernière ce qu'il a qualifié de rapport confidentiel du FBI, l'armée chinoise disposerait de plus de 30.000 cyberespions, auxquels s'ajouteraient 150.000 experts disséminés dans le secteur privé pour dérober des secrets militaires et technologiques américains.

Le FBI n'a pas souhaité commenter ces informations.

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