Aller au contenu
Fini la pub... bienvenue à la cagnotte ! ×
AIR-DEFENSE.NET

LIVRE BLANC ET RGPP : COMPOSANTE AERIENNE


leclercs

Messages recommandés

  • Réponses 123
  • Created
  • Dernière réponse

Top Posters In This Topic

110 biplaces si la cible totale est de 234.

http://www.performance-publique.gouv.fr/farandole/2008/pap/pdf/PAP2008_BG_Defense.pdf page 451

Hey, Philippe, d'où sors-tu ces images du B01 ??? Avec des AASM... Elles sont vieilles ?

Je croyais que le B01 était arrêté.

Merci Thomas,  =) une troisième à Mérignac, décembre 2006.

Image IPB

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Je vous invite à parcourir le dernier rapport du Sénat consacré au MCO des aéronefs militaire disponible sur le site de Gilles Corlobé

on y apprend

I. LE CONSTAT

A. ENVIRON UN AÉRONEF SUR DEUX EST EN ÉTAT DE REMPLIR SES

MISSIONS

Le MCO de l’aéronautique de la défense coûte 3,5 milliards d’euros

par an, et emploie près de 30.000 personnes.

1. Selon l’indicateur retenu par le gouvernement, le taux de

disponibilité des aéronefs est inférieur à 60 %

Pourtant, le taux de disponibilité technico-opérationnelle (DTO) des

aéronefs de la défense, dont la dégradation a été constatée dès 1996, et qui

était remonté à plus de 60 % en 2005, a recommencé à diminuer, et est

désormais inférieur à 60 %. Concrètement, cela signifie qu’environ un

aéronef sur deux ne peut pas être mis en état, dans un délai de moins de

6 heures, de réaliser une des missions pour lesquelles il a été conçu.

En particulier, les objectifs de disponibilité ne sont pas atteints pour

les avions de transport tactique de l’armée de l’air – essentiellement les C160

Transall –, le groupe aérien embarqué – à cause des Super-Etendard

modernisés –, et les hélicoptères de transport de l’armée de terre. Cela est

d’autant plus préoccupant que certains de ces objectifs de disponibilité avaient

été revus à la baisse, en conséquence des faibles taux de disponibilité

constatés.

2. En réalité, moins de la moitié des aéronefs « en parc » sont

disponibles

Il suffit qu’un avion cesse d’être « en ligne », c’est-à-dire dans les

unités, pour être exclu du calcul du ratio, tel que défini par le gouvernement.

Ceci concerne par exemple les avions stockés ou en « maintenance lourde ».

Ainsi, comme cela est indiqué ci-après, même si l’on ne prend pas en

compte le fait que de nombreux aéronefs considérés comme « disponibles » ne

sont pas disponibles pour la totalité des missions qui leur sont théoriquement

dévolues1, sur la totalité des aéronefs « en parc » à un moment donné, c’est en

réalité moins de la moitié qui sont disponibles.

B. PARADOXALEMENT, CE CONSTAT N’EST PAS EN SOI ANORMAL OU

INQUIÉTANT

Ce constat a priori alarmant du faible taux de disponibilité des

aéronefs doit cependant être tempéré par le fait que le taux de disponibilité

des aéronefs militaires français ne paraît pas significativement différent

de celui constaté dans les principales armées du monde. Par ailleurs,

maintenir disponible la quasi-totalité du parc serait très coûteux, pour un gain

opérationnel hypothétique.

En outre, la dégradation de la disponibilité observée depuis 2006

provient, en grande partie, de la résorption progressive du report de charges

de la structure intégrée du maintien en condition opérationnelle des matériels

aéronautiques du ministère de la défense (SIMMAD). Toutefois, si le besoin opérationnel s’en faisait sentir, il serait possible d’accroître à moyen terme la

disponibilité des aéronefs en augmentant les moyens mis en oeuvre.

II. PRÉCONISATIONS ET PERSPECTIVES

A. PRÉCONISATIONS

Les véritables problèmes sont de deux ordres :

- l’âge excessif des principaux matériels ;

- la rationalisation encore incomplète du MCO aéronautique.

Ces deux problèmes appellent deux types de préconisations.

1. Remédier à une cause structurelle de la faible disponibilité : l’âge

excessif des principaux matériels

Tout d’abord, les principales insuffisances en matière de

disponibilité, indiquées ci-avant, concernent des matériels anciens, à la

fiabilité décroissante et donc délicats à entretenir.

On rappelle que les avions ravitailleurs ont 45 ans, les hélicoptères de

manoeuvre 30 ans, les avions de transport tactique et les Super-Etendard

modernisés 28 ans. La faible disponibilité de ces aéronefs est donc d’autant

plus préoccupante qu’elle ne provient pas seulement d’une insuffisance de

moyens dévolus au MCO ou d’insuffisances en matière d’organisation du

MCO, mais est également la conséquence structurelle de l’âge des

matériels.

Le respect de la prochaine loi de programmation militaire doit

donc être un objectif essentiel.

2. Poursuivre l’amélioration de l’organisation du MCO

aéronautique

Ensuite, l’organisation du MCO aéronautique peut encore être

améliorée.

Votre rapporteur spécial se félicite de la création, en 2000, de la

structure intégrée du maintien en condition opérationnelle des matériels

aéronautiques du ministère de la défense (SIMMAD), chargée de coordonner

le MCO aéronautique, par un rôle de « maître d’ouvrage délégué ». Il faut

cependant aller plus loin.

a) Economiser 6.000 emplois dans le cadre de la RGPP, grâce en

particulier à la rationalisation du MCO « industriel »

En particulier, les opérations de MCO les plus « lourdes » doivent

être réalisées au niveau dit « industriel », et non sur les bases aériennes.

En effet, ces opérations exigent des matériels adaptés, afin d’être réalisées

avec une productivité optimale.

C’est à cette fin qu’a été créé, en janvier 2008, le service industriel

aéronautique (SIAé), auquel doivent être transférées les compétences

industrielles des bases aériennes.

Ce transfert est la principale source d’économies prévues, en ce qui

concerne le MCO, par la révision générale des politiques publiques (RGPP),

qui estime qu’environ 6.000 emplois, soit environ 200 millions d’euros par

an, pourraient être économisés en ce qui concerne le MCO aéronautique.

b) Développer la gestion des pièces de rechange au niveau européen

En outre, votre rapporteur spécial juge nécessaire de développer la

gestion des pièces de rechange au niveau européen.

Il craint néanmoins que l’on observe ces prochaines années un

recul en ce domaine. En effet, si la gestion commune de pièces de rechanges

a pu être la solution retenue par le passé, dans le cas des Jaguar et des Atlantic

(ATL1), et si la France et l’Allemagne se prêtent des pièces de rechange de

C160 Transall, rien de tel n’est décidé dans le cas des hélicoptères Tigre et

NH90, ou de l’avion de transport tactique A400M.

Pour chacun de ces programmes en coopération, des projets de mise

en commun des stocks sont toutefois à l’étude.

3. Améliorer l’indicateur de disponibilité

Il pourrait être utile de faire évoluer l’indicateur de disponibilité.

Selon votre rapporteur spécial, l’indicateur de disponibilité le plus pertinent

présenterait une double caractéristique :

- il serait défini en nombre d’appareils ;

- il serait différencié selon le délai de préavis.

Bref tout ceci est extrèmement intéressant...

Ici c'est un extrait de l'intro la rapport fait 65 pages

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Voir en page 20 et suivantes

L’objectif de disponibilité n’est cependant pas atteint dans le cas des

avions de transport tactique, c’est-à-dire, concrètement, des C160 Transall,

qui en constituent la majeure partie. Ainsi, alors que l’objectif minimal

d’appareils de transport tactique disponibles est de 51, le résultat constaté est

de seulement 41 appareils. Dans le cas du C160 Transall, l’objectif minimal

est de 32, et le résultat de 24.

Le graphique ci-après permet de mettre en évidence la dégradation de

la disponibilité des C160 Transall ces dernières années. Ainsi, le nombre

d’avions disponibles, actuellement de l’ordre de 24, était de l’ordre de 30 en

2005...

Dans certains cas, l’objectif n’est atteint qu’au prix d’une forte

révision à la baisse des objectifs. Ainsi, alors que, dans le cas du

Mirage 2000 D – la version de bombardement du Mirage 2000, utilisée, en

particulier, en Afghanistan –, l’objectif de disponibilité était en 2005 compris

entre 35 et 44 appareils, cet objectif a été à plusieurs reprises revu à la baisse,

et n’est plus aujourd’hui que compris entre 26 et 30 appareils. Les objectifs

ont donc été alignés sur la disponibilité constatée.

Moralité, avant de réclamer 500 chasseurs et 1000 Leclerc il serait bon de mettre en condition opérationnelle une part plus importante du parc actuel

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 1 month later...

Echanges entre parlementaires et HMorin.

Plusieurs sujets sont ainsi en suspens : tout d’abord, comment maintenir une compétence technologique en matière d’avions de combat ?

En matière d’aéromobilité, le retard pris par l’A400M ne doit pas faire oublier que c’est un avion extraordinaire qui répondra aux très nombreuses exigences que l’on a posées. Ne conviendrait-il pas de trouver des solutions d’attente permettant à nos forces de remplir le contrat opérationnel fret ? Quant au choix des ravitailleurs, qui devait intervenir à la mi-2008, il n’a pas été fait. Si l’on ne résout pas ce problème, c’est la projection de nos forces et la dissuasion qui risquent de se trouver remises en cause.

Il faudrait également remettre en perspective les projets en matière de drones. Si les projets de drones de combat comme Neuron visent plutôt à maintenir notre capacité en avions de combat, j’ai cru comprendre que vous aviez signé avec vos collègues européens une déclaration d’intérêt pour le programme de drones de renseignement Advanced UAV. Avoir de l’intérêt pour ce programme est une chose, mais quelles seront les solutions d’attente ?

Qu’en est-il enfin de la flotte de l’escadron de transport, d'entraînement et de calibration – ETEC – et de l’escadron Estérel ? Il semblerait que l’on ait programmé des acquisitions. J’aimerais que cela soit replacé dans le cadre du débat budgétaire et des priorités qui s’imposent.

En ce qui concerne les OPEX, j’ai constaté sur le terrain le déficit en matière d’aéromobilité. Le remplacement des Puma et des Transall demandera du temps. Ne pourrait-on envisager une solution intermédiaire – location, achat sur étagère – pour assurer un service essentiel ?

M. Christophe Guilloteau. Qu’en est-il enfin de l’envoi de drones en Afghanistan ?

M. Jean-Jacques Candelier. Nos troupes sont présentes en Afghanistan depuis 2001. Combien cela nous coûte-t-il et combien cela nous coûtera-t-il ?

M. le ministre. Le maintien des compétences industrielles m’a beaucoup occupé dans la préparation du projet de loi de programmation militaire. Nous maintiendrons les bureaux d’études permettant à la France de réaliser la prochaine génération d’avions de combat. Si nous abandonnons cette compétence, l’Europe n’aura plus d’autre possibilité que d’acheter américain. J’ai demandé à la DGA et aux industriels d’engager des discussions, avec les Britanniques pour Dassault, avec les Italiens pour Thalès, afin d’explorer les possibilités de mutualisation. En tout état de cause, nous tiendrons cette priorité indispensable pour l’indépendance du pays et le maintien de ce joyau industriel qu’est l’industrie d’armement française, même si cela se fait au détriment d’autres équipements.

Le projet de loi de programmation prévoit la commande de ravitailleurs A330 MRTT. Si nous avons pris du retard, c’est que nous hésitons sur la forme de l’achat. Nous analysons notamment la possibilité de réaliser l’opération en partenariat public-privé.

Au sujet des drones, il ne faut pas surestimer la portée de la lettre d’intention signée avec mes collègues européens. Tout cela réclame un examen minutieux, d’autant que se pose également la question du drone armé. La loi de programmation posera le principe du maintien des bureaux d’études. Dans quelle direction s’engager ensuite ? Faut-il réfléchir à un avion de cinquième génération, ou au contraire à un avion sans pilote ?

Pour l’ETEC, nous avons commandé 2 Falcon et un A330 en 2008. Le projet de loi de finances prévoit 95 millions d’euros en 2009. Sur les trois premières années de la loi de programmation, les crédits devraient s’élever à 280 millions d’euros. Il faut savoir que les Falcon actuels – qui ont trente-cinq et quarante ans d’existence – sont à bout de souffle. Notre flotte gouvernementale est largement inférieure à celle des autres pays occidentaux. L’A319 dont nous disposons n’a pas d’allonge. Il sera revendu, si bien que son remplacement ne coûtera pas très cher

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 2 weeks later...

Lu dans la LPM 2009/2014

La modernisation progressive de l’aviation de combat

Constituée aujourd’hui encore d’avions de différents types, pour les plus anciens spécialisés dans des missions particulières, l’aviation de combat évoluera vers un parc unique plus homogène d’avions modernes et polyvalents (Rafale et Mirage 2000). Les capacités de pénétration et de frappe en soutien des forces terrestres seront privilégiées.

De l’ordre de 50 Rafale seront livrés. Les cibles et cadences d’acquisition révisées seront fixées en 2010. Des Mirage 2000D multirôles remplaceront les avions spécialisés à partir de 2014. Enfin, les nouveaux pods d’acquisition et de désignation laser seront livrés en 2014.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 1 year later...

bon alors on relance

"De l’ordre de 50 Rafale seront livrés. Les cibles et cadences d’acquisition révisées seront fixées en 2010. Des Mirage 2000D multirôles remplaceront les avions spécialisés à partir de 2014. Enfin, les nouveaux pods d’acquisition et de désignation laser seront livrés en 2014."

Quel avions spécialisés ? le rafale le F1CT ?

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

.. putain de clavier...

... Argent au CEAM

Ils auront la capacité Mica la L 16 ils seront d'après mes sources câblés roquettes et pourront délivrer différents types d'armements air sol au cours de la même mission.

Ils devront assurer les missions OPEX des F1 CT et M 2000 RDI par exemple ...

Peut-être même qu'on leur demandera de faire de la reco (les F1 CR partent en 2014) avec un pod de désignation genre Damoclès à moins qu'ils soient cablés Reco NG mais pour le moment çà ne semble pas évoqué ...

En tout cas une chose est sûre mes 2000 D modernisés seront au four et au moulin jusqu'à leur retrait

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

les escadrons sont à 20 avions (théoriquement car le 1/2 sur -5F est à presque 28...) ce qui veut dire que pour deux escadrons pour 10/15 ans une cinquantaine suffit.

C'est l'absence de canon qui à mon avis motive l'intégration des roquettes qui selon mes infos ne sont pas pour l'instant prévues sous le rafale

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

et qu'en est il de la reprise des 2000-9 emiratis ?

on pourrait pas degager certaines de nos vieilles cellules (partent soit à la casse soit à l'occase pour rien) pour les remplacer par des plus neuves re trofitées pour un coup minime

en principe ce ne serait pas une mauvaise idée sauf si comme le craignent certains etoilés en bleu azur, ca impacte le niveau de commande de rafy (mais la c'est un choix industriel et politique)

et en ce qui concerne la reduction des bases en France et à l'etranger quelqu'un peut me donner une idée des econmies ou c'est une fausse bonne solution (comme il semble que cela soit avec l'AdT)

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

et qu'en est il de la reprise des 2000-9 emiratis ?

on pourrait pas degager certaines de nos vieilles cellules (partent soit à la casse soit à l'occase pour rien) pour les remplacer par des plus neuves re trofitées pour un coup minime

en principe ce ne serait pas une mauvaise idée sauf si comme le craignent certains etoilés en bleu azur, ca impacte le niveau de commande de rafy (mais la c'est un choix industriel et politique)

Que la reprise des 2000-9 émiratis serve de prétexte à réduire encore le rythme des livraisons déjà "goutte à goutte" des Rafales est un risque réel, on connaît "l'inconscience" de nos politiques en la matière qui consiste à ne pas vouloir comprendre que sans une rénovation soutenue de notre outil militaire notre pays ne pourra plus longtemps prétendre maintenir son rang de "grande puissance", malgré la "dissuasion nucléaire" conférée par la FOST sur laquelle on se repose un peu trop (ce qui est trop facile pour être honnête !!)  

Un bon acte de cette fameuse RGPP que certains considère comme un Graal serait d'adopter le principe d'avoir une "dissuasion classique" si on veut continuer à mériter notre place de MP du Conseil de Sécurité à l'ONU. Et cette "dissuasion classique" que j'appelle de mes voeux, les vecteur aériens de l'ADA et de la Marine (notamment via la nécessaire possession de 2PA), mais également la capacité à lancer des MDCN depuis les eaux internationales, en sont les outils privilégiés ;) 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

entièrement d'accord Bruno

le jour ou nos politiques comprendront que le territoire national ou nos interets nationaux ne sont pas sanctuarisés par le nucléaire (parceque en cas d'action conventionnelle on va quand même pas vaporiser une ville à à la TNO) on aura avancé d'un pas

je crois que d'ailleurs nos politiques ont la mémoire courte et une vue etroite et ils oublient nos difficultés à rassembler hommes et matériels pour des conflits type GW1 et Kosovo

alors on peut se dire que 234 Rafy en ligne c'est bien suffisant : d'ailleurs c'est pas entièrement faux d'un point de vue relatif vu que 20 de + ou de - sur les chiffres ca ne fait que 10% de marge .... par contre ca fait un escadron opérationnel en rab ou pas et tout ce n'est pas tout à fait pareil en terme absolu

maintenant il faut choisir et si on recuperait les 60 appareils emiratis remis en état pour nos forces (ne nécessitant donc qu'une remise à niveau software pour les affichages si je ne me trompe pas) et que l'on y perde disons 20 rafales .. sachant que les appareils emiratis ont des cellules qui peuvent tenir encore 10-15 ans alors que certains de nos 2000D et 2000-5 sont en phase de rentrer en coma depassé et que donc on va par la force des choses fermer des escadrons (ce qui est deja le cas)

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

33 des 63 -9 ont des cellules qui datent des années 89/92

certes

mais il me semble que en terme d'heures de vol ils ne sont qu'a demi vie mais je peux me tromper

Tu y perdras 60 rafales.

la effectivement on est d'accord ce serait une perte séche sur la capacité opérationnelle à long terme et pas une bonne affaire
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

En plus entre des 2000-9 d'occasions et des rafales neuf, il n'y a pas photo. En fait qu'en j'y réfléchis je me dis que même 2 ou 3 fois moins cher que le rafale ça fait trop cher.

En air-sol le -9 est quasiment 2 fois moins performant que le rafale, rien qu'en charge utile mais aussi en rayon d’action. Pour des missions de bombardement une patrouille de 2 rafale pourra probablement traiter autant d’objectifs qu’une patrouille de 4 mirage 2000-9. A moins d’avoir besoin de faire du nombre pour couvrir une zone plus importante je ne vois pas l’intérêt des 2000-9 en air-sol. En air-air, même si un 2000-9 a pu avoir un F22, les rafales me paraissent nettement plus adapté surtout que dans quelques les années les rafales pourront tirer des météor alors que les 2000-9 resteront limités aux mica. Le seul intérêt du 2000-9 par rapport au rafale serrait de pouvoir en avoir plus pour le même prix, sauf qu’on parle d’avions déjà usés. Donc non seulement il s’agit d’avions valant (d’un point de vue opérationnel) un demi rafale mais en plus d’avion qui serviront deux fois moins longtemps qu’un rafale, c’est peut-être pour ça que les militaires sont si peu chaux pour racheter les 2000-9 des EAU.

Bon c’est vrai que ce n’est pas le même raisonnement si on compare les 2000-9 a nos mirages que l’on doit moderniser si on veut les conserver. En plus le 2000-9 est vraiment polyvalent (contrairement à tous nos 2000), ce serrait presque l’avion idéal pour constituer de mini-escadrilles chargé de missions de souveraineté outre-mer.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

l’avion idéal pour constituer de mini-escadrilles chargé de missions de souveraineté outre-mer.

y'a effectivement cette partie que j'ai omis mais que j'avais en tete

le livre blanc rappelant que l'on doit etre capable d'assurer une permanence operationnelle outre mer

certes on ferme des bases en Afrique mais l'on va en conserve un minimum

et la question est qu'est ce qu'on va mettre dessus

nos F1 sont bientot bons a ferailler

nos 2000-5 pas loin et de toute façon ne sont bon qu'en air air (sauf si on parle de de 2000-5 mk2 donc des 2000-9 emiratis  ;))

restent nos 2000N et D

or les N ont est censer les garder pour notre FAS

restent les 2000D et enfin les rafys

vu le volume d'appareils qui resteront d'ici 5-10 ans on fait quoi

on bascule nos 2000D en OM et Af et on garde nos rafy pour la defense metropole ?

est ce que l'on aura assez de 2000D pour couvrir tous nos besoins (y compris relève des appareils) OM sans y engager des rafales qui sont plus efficaces (mais trop efficaces et surtout trop chers pour ces theatre d'operation)

c'est une question j'ai plus en tete la projection du parc dans les 10 à venir

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
  • Statistiques des membres

    6 003
    Total des membres
    1 749
    Maximum en ligne
    pandateau
    Membre le plus récent
    pandateau
    Inscription
  • Statistiques des forums

    21,6k
    Total des sujets
    1,7m
    Total des messages
  • Statistiques des blogs

    4
    Total des blogs
    3
    Total des billets
×
×
  • Créer...