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La crise financiere mondiale


Invité barbaros pacha

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Cette crise me bouffe ma future retraite, même si j'ai encore le temps. =D

Mes gains à la bourse ont fondu comme neige au soleil. Si ça continue, je serais perdant. :'(

CVS,

Soit tu vends ASAP en restant gagnant et tu achètes des lingots à mettre dans ton matelat ou ton oreiller,

Soit tu vends rien et tu attends que ça passe et que ça redevienne rentable (peut-être dans 20 ans ?)

Il sera intéressant d'acheter de l'immobillier dans quelques mois à deux ans.

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CVS,

Soit tu vends ASAP en restant gagnant et tu achètes des lingots à mettre dans ton matelat ou ton oreiller,

Soit tu vends rien et tu attends que ça passe et que ça redevienne rentable (peut-être dans 20 ans ?)

Il sera intéressant d'acheter de l'immobillier dans quelques mois à deux ans.

Je ne demanderais pas conseil à ma banque.  :lol:

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Les 700 milliards ne pourront jamais être une perte sèche.

...

Mais une fois que ça se calmera, ces titres devraient reprendre un peu de valeur.Dire que ce sera une opération bénéficiaire est sans doute trop optimiste mais c'est pas non plus 700 milliards par la fenêtre.

http://www.project-syndicate.org/commentary/feldstein4/French

Ca t'en sait rien ZeusIrae. Le risque existe et il me semble énorme quoi qu'il en soit. Alors que si on laisse la bulle exploser avec des systèmes d'urgence "en mode dégradé" assurés par l'état et les banque de dépot, grace à des produit eux même garantis par l'état notament (livret A, bon du trésor qui sont très demandés), il y a au moins une chose dont on est sur: c'est qu'on ne payera pas l'addition et qu'on préservera nos capacité d'investissement pour le futur même si le reste se casse la gueule.

Alors que dans l'autre cas, le risque de se retrouver avec 700 Mds de $ qui valent zero existe.

En plus, va falloir arrêter de se faire des illusions sur "l'économie réelle".Si il y a plus de crédits, y plus d'économie.Point barre.

http://www.project-syndicate.org/commentary/feldstein4/French

Bien sur qu'on ne peut pas se passer de crédit.

Pas les entreprise ni les particuliers. Mais ça ça peut être assuré par des systèmes régulés temporairement -

les spéculateur ne peuvent pas s'en passer non plus: et bien qu'ils s'en passent par la force des chose. Une fois morts, des liquidés ils n'en auront plus besoin de toute manière.

http://www.lefigaro.fr/marches/2008/10/02/04003-20081002ARTFIG00612-un-prix-nobel-d-economie-doute-du-plan-paulson-.php

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«Nous, Américains, sommes très reconnaissants aux banques européennes qui ont acheté nos produits financiers toxiques, car sans cela, la situation serait encore plus grave»

quels bandes de cretins aussi bien les uns que les autres  >:( >:(

la maison brule et y'en a qui font des stocks d'ether dans les hangars d'a coté

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je pensais un truc: et si le plan Américain était voté mais qu'il foire ? les ricains verraient 700 milliards de leur dollar partir en fumée: il vont devenir comme des dingues! ceux qui on votés le plan auraient alors intéret de se sauver vite et loin, très vite et très loin.

il y a des risques financiers dans ce plan, mais il y a aussi des risques physiques pour les représentants.

Meme chose en France si l'état nous oblige a convertir trop de notre bon argent en papier pourri gagé sur du vent  :-[

Je serait député je ne prendrait pas ce risque perso..

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je pensais un truc: et si le plan Américain était voté mais qu'il foire ? les ricains verraient 700 milliards de leur dollar partir en fumée: il vont devenir comme des dingues! ceux qui on votés le plan auraient alors intéret de se sauver vite et loin, très vite et très loin.

il y a des risques financiers dans ce plan, mais il y a aussi des risques physiques pour les représentants.

Meme chose en France si l'état nous oblige a convertir trop de notre bon argent en papier pourri gagé sur du vent  :-[

Je serait député je ne prendrait pas ce risque perso.

C'est ca ou la nationalisation sans contrepartie de toute facon ... les etats peuvent pas trop se permettre des défaillance banquaire sur des banque de depot et des banque de credit au entreprise ou particulier ... deja qu'on est en crise economique pour d'autre raison si on arrive a un vrai credit crunch le capitalisme liberale recent risque de prendre une grosse claque.

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C'est ca ou la nationalisation sans contrepartie de toute facon ... les etats peuvent pas trop se permettre des défaillance banquaire sur des banque de depot et des banque de credit au entreprise ou particulier ... deja qu'on est en crise economique pour d'autre raison si on arrive a un vrai credit crunch le capitalisme liberale recent risque de prendre une grosse claque.

Il y a très peut de risque sur les banques de depot en France, quand aux US, vu que le pelo moyen est déjà dans le rouge, il risque quoi ? de voir ses dettes envolées a la liquidation ? ben tant mieux pour lui.

ça sera pas la fin du monde, faudra payer cash, ça sera pas plus mal et les bon dossiers trouverons toujours un financement surtout si les taux d'interets sont haut.

Wait and see, laisse les canards boiteux se casser la gueule, il va bien y avoir un domino qui restera debout. Il y aura toujours la banière Cetelem en haut de la page de air-defense t'en fait pas  ;)

je préfère prendre le risque d'un purge et quelques mois difficiles plutot que de prendre le risque de voir notre argent partir en fumée pour essayer de sauver un systeme déjà en voie de décomposition avancé.

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Il y a très peut de risque sur les banques de depot en France, quand aux US, vu que le pelo moyen est déjà dans le rouge, il risque quoi ? de voir ses dettes envolées a la liquidation ? ben tant mieux pour lui.

ça sera pas la fin du monde, faudra payer cash, ça sera pas plus mal et les bon dossiers trouverons toujours un financement surtout si les taux d'interets sont haut.

Wait and see, laisse les canards boiteux se casser la gueule, il va bien y avoir un domino qui restera debout. Il y aura toujours la banière Cetelem en haut de la page de air-defense t'en fait pas  ;)

je préfère prendre le risque d'un purge et quelques mois difficiles plutot que de prendre le risque de voir notre argent partir en fumée pour essayer de sauver un systeme déjà en voie de décomposition avancé.

Vive l'hyperinflation... Préparez vos brouettes, vous les remplirez de billets de 500€ pour aller chercher un pain...

Quelques mois difficiles, quelques années difficiles...

Aujourd'hui une société non endettée n'existe pas (ou très rare et très petite), on pourrait imaginer une nationalisation des sociétés par l'état...

Tu vois des plans via des nationalisations pourraient fonctionner, mais pour cela il faudrait que nous ayons une conscience nationale, tu l'as vois où aujourd'hui la conscience nationale, une foi en quelque sorte... Or nos nations ont des populations hétérogènes, elles ont remplacé la foi par la satisfaction immédiate...

Une info qui va rien arranger à la crise... parce que souvenons-nous quand même que la crise est financière, immobilière et pétrolière...

Le baril au-dessus des 110 dollars en 2009

vendredi 03.10.2008, 16:24

Le vice-président de l’Opep (Organisation des pays exportateurs de pétrole), l’Équatorien Galo Chiriboga, estime que le prix du baril de pétrole se maintiendra au-dessus des 110 dollars en 2009. Cette estimation se base que les « prévisions de réduction de l’offre et d’augmentation de la demande » projetées par l’Opep, a-t-il souligné. Selon le vice-président de l’Opep, « tout laisse prévoir que le prix (du brut) va augmenter », suite à la décision du cartel pétrolier de réduire la production et à l’approche de la période hivernale. En septembre dernier, l’Opep avait décidé de réduire son « énorme » excès de production pour éviter « une baisse brutale des prix », lors de sa réunion à Vienne en Autriche.

Vivement qu'on vire le pétrole de nos vies, qu'importe ce que cela coûtera...

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Hein, sérieux ?

Source BFM ...

Visiblement il n'arrive pas a assurer leur besoin en fond de roulement. C'est pas nouveau la Californie est endetté a mort et a des probleme de financement, elle a servie de vache a lait pour enron et autre pendant des années... reste les dettes.

http://www.latimes.com/business/la-fi-calif3-2008oct03,0,5726760.story

Schwarzenegger to U.S.: State may need $7-billion loan

In a letter obtained by The Times, the governor warns that tight credit has dried up funds California routinely relies on and it may have to seek emergency aid within weeks.

SACRAMENTO -- California Gov. Arnold Schwarzenegger, alarmed by the ongoing national financial crisis, warned Treasury Secretary Henry M. Paulson on Thursday that the state might need an emergency loan of as much as $7 billion from the federal government within weeks...

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@ G4lly effectivement je viens de le lire... 7 milliards de $ pas mal

Autre info, sur guysen

Etats-Unis : le plan de sauvetage du secteur financier ne permettra pas d'éviter la récession, selon l'ancien gouverneur de la Banque d'Israël David Klein. Selon lui, certains points majeurs au redressement du système bancaire n'ont pas été évoqués dans le plan Paulson, et la crise ne pourra être évitée.  (Guysen.International.News)

''Je ne pense pas que quelqu'un puisse savoir quelle sera l'ampleur et la durée de la crise qui touchera l'économie américaine, mais nous traverserons une crise'', a-t-il ajouté.

Propos assez pessimistes...

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Analyse parue dans le soir

Serge Wibaut Professeur de finance à l'UCL et aux Facultés universitaires Saint-Louis (Bruxelles)

La crise sera longue, mais nos sociétés y survivront

vendredi 03 octobre 2008, 09:15

Après Fortis et Dexia à qui le tour ? Chaque semaine ou presque, une institution financière américaine ou européenne de renom tombe ou doit se faire aider par un gouvernement. Le scénario-cauchemar d’une crise bancaire en cascade est en train de se dérouler sous nos yeux.

Les premiers qui cèdent sont naturellement les maillons faibles – ou ceux considérés comme tels – de la chaîne financière mais il faut s’attendre à beaucoup d’autres accidents dans les semaines et mois qui viennent et à cela plusieurs raisons.

Premièrement, et évidemment, les faillites (ou quasi-faillites) successives que nous connaissons ne vont aider en rien la crise de confiance affectant le système bancaire. Les banques ne se prêtant plus entre elles, certaines tomberont encore et ce, malgré l’intervention massive des banques centrales et des gouvernements. On a coutume de dire que les banques meurent soit de cancer (des actifs de mauvaise qualité) ou de crise cardiaque (manque de liquidité) : aujourd’hui beaucoup de banques souffrent des deux maux à la fois.

Deuxièmement, les déperditions de valeur des titres bancaires vont peser sur les résultats des institutions qui détiennent ces titres. On peut donc s’attendre à ce que dans un avenir proche certains fonds de pension, assureurs ou fonds de placement connaîtront des difficultés et peut-être que là aussi des faillites surviendront.

Troisièmement, et de manière plus technique, la fin de l’année est typiquement une période de dénouement et de renouvellement d’opérations de crédits et c’est à ce moment-là que l’on verra quelles sont les banques à même ou non de renouveler leurs emprunts.

De plus, on doit s’attendre à ce que, à cette même période, les auditeurs externes des entreprises soient moins tolérants et forcent les entreprises à exprimer en fin d’année comptable des pertes jusqu’ici cachées.

Enfin, et de manière globale, ces faillites qui touchent le secteur financier ne sont que la première vague d’une série de difficultés qui toucheront tous les secteurs de l’économie. Les banques, fragilisées et rendues frileuses, ne prêteront plus aux entreprises commerciales ou industrielles aussi facilement qu’auparavant. Les firmes les moins rentables ou les plus endettées tomberont à leur tour (comme c’est déjà le cas aux Etats-Unis).

On ne peut qu’approuver les interventions des différents gouvernements visant à renflouer les institutions financières. Sans ces interventions la situation serait bien pire que celle que l’on connaît. Mais il faut s’attendre à ce que les États devront encore délier, d’une manière ou d’une autre, les cordons de la bourse.

Il est certes trop tôt pour tirer toutes les leçons de cette crise mais on peut déjà retenir les enseignements suivants.

Comme la plupart des crises financières majeures que nos sociétés connaissent depuis 400 ans (la première date de 1619 au début de la guerre des 30 ans) celle-ci se nourrit de deux ingrédients : l’appât effréné du gain et la facilité déconcertante avec laquelle certains acteurs ont pu emprunter afin d’augmenter le rendement attendu de leur investissement (ce qu’on nomme pudiquement « effet de levier »). Alors que suite à une première débâcle bancaire ayant eu lieu dans les années 80, les autorités de contrôle avaient instauré des ratios prudentiels pour le taux d’endettement pour les banques, ces mesures ont en fait été détournées par l’introduction d’instruments financiers dérivés ou structurés. Le prix et le risque de ceux-ci ont souvent été mal évalués. Et telle l’eau qui s’infiltre par la moindre fissure dans un barrage, un effet de levier « exagéré » est réapparu sur le bilan des banques les rendant ainsi plus fragiles à un choc, tel que celui des subprimes. Pour éviter de futures crises comparables à celle-ci, il faudra à l’avenir être beaucoup plus strict sur le taux d’endettement réel des banques.

Dans la foulée se pose la question du contrôle des fonds non réglementés, à savoir essentiellement des hedge funds. Ces fonds de placement usent et abusent de l’endettement (sous une forme ou une autre) sans contrôle prudentiel. Les hedge funds ont leur utilité économique (du moins certains d’entre eux) et en soi, il n’y a pas de raison de les bannir. Cependant vu la taille des actifs qu’ils gèrent et l’impact que la faillite de l’un d’entre eux peut avoir sur les marchés financiers (rappelons-nous de la crise de LTCM en 1998 qui mit à mal l’ensemble du système financier planétaire), il devient criminel de ne pas les réglementer et il faut donc les soumettre eux aussi à un contrôle prudentiel.

Enfin, le contrôle des institutions financières doit être revu. Entre autres, il apparaît très clairement que si les Etats-Unis souffrent de l’éclatement de ce contrôle entre divers organismes chargés de la surveillance par métier, l’Europe quant à elle pâtit de l’absence d’un contrôle centralisé géographiquement. Il ne peut plus être question à notre époque de mondialisation de laisser aux mains d’un organe national le soin de superviser une banque qui déploie ses activités dans des dizaines de pays et ce dans plusieurs métiers. Sans entrer dans le débat de savoir si le contrôle fut correctement effectué dans nos pays, force est de reconnaître que la décentralisation géographique de ce contrôle est surannée et ne répond plus qu’à des soucis de chasse gardée.

Cette crise sera longue et douloureuse mais nos sociétés y survivront comme elles ont survécu à toutes les crises qui l’ont précédée. Mais pour ce faire, nos gouvernements doivent continuer à intervenir comme ils le font maintenant afin de nous éviter une répétition de la crise des années 30 ou de celle qui a frappé le Japon au début des années 90. Nous devons à tout prix éviter la misère et la détresse que ces crises charrient.

C’est aussi pourquoi il ne faudra pas avoir peur, par la suite, d’adopter des mesures drastiques visant à expurger de nos systèmes financiers les excès connus au cours des dernières années.

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Argumentaires anti-plan Paulson.

J'ai mis ceux-là parce qu'ils sont simples et clairs (peut-être trop) mais il y a des personnalités de très haut niveau qui sont opposés à ce plan. Il est très loin de faire l'unanimité, sauf dans les millieux financiers évidemment (bah oui: ils veulent sauver leur Jaguar  :'()

http://www.fool.com/investing/general/2007/11/30/paulsons-plan-to-punish-the-public.aspx

Paulson's Plan to Punish the Public

By Seth Jayson

November 30, 2007

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If you don't learn from the past ...

If the mortgage crisis and housing bubble have taught us one thing, it should be to watch out for the unintended consequences of greed. Unfortunately, our nation's legislators and political appointees haven't learned that lesson. Recent plans for housing and mortgage bailouts generally run from dumb to dumber. Today, The Wall Street Journal reported on yet another scheme, reportedly being spearheaded by Treasury Secretary Hank Paulson. It's an idea so naively populist and antimarket that you would think it came from Hugo Chavez, Evo Morales, or Mahmoud Ahmadinejad, if not for its cringe-inducing, Beltway-wonk moniker: the Hope Now Alliance.

In short, bankers and loan-servicing outfits are going to lower interest rates on strapped borrowers so they don't lose their houses. How much, how long, and who qualifies are all still up in the air. No doubt, this will sound good to those folks who signed on for mortgages they can't actually afford. It will also look good to politicians angling to score points before the next election, and to bleeding hearts everywhere. It will also look good to select mortgage-industry players -- like Countrywide Financial (NYSE: CFC) and Citigroup (NYSE: C), which could really use a government-led bailout.

Unfortunately, this ill-conceived salve will ultimately punish the silent majority of Americans, people who didn't go out and make boneheaded financial decisions over the past half-decade. Let's take a look at why.

A history of the housing Ponzi scheme

Since 2001, too-cheap financing pumped up housing prices to ridiculous levels. This was enabled by speculative lending from Wall Street to Main Street: Big banks like Goldman Sachs (NYSE: GS), Bear Stearns (NYSE: BSC) and others were providing the lending capital to outfits like death-watch candidate Countrywide, mostly dead NovaStar Financial and Impac Mortgage Holdings, along with dozens of completely dead lenders. They did this by purchasing mortgage loans from these lenders so that they could chop them into mortgage-backed securities of dizzying complexity and dubious credit quality, which were, in turn, sold to suckers ... er, "investors" all over the world.

This provided a musical-chairs-like situation in which lenders produced as much volume as they could, no matter how bad the loans or credit risk, because they got paid to pass that risk along, through Wall Street's Wise bankers, to whatever "investor" ended up with the loans, in the form of stuff called MBS, CDOs, CDO-squared, R2D2, and so on. There was a flood of money to the lenders, which stimulated excessive demand, in turn stimulating excessive price appreciation. (You will note that there was no Paulson-led "Hope Now Alliance" coming together at that point to try and rein in this dangerous orgy of greed, though the consequences were plain to anyone who bothered to examine it.)

Greedy flippers and naive homebuyers resorted to gimmicky loans, like interest-only and "option" adjustable-rate mortgages, because it was the only way they could pay inflated prices for the properties they wanted. They got a few years of artificially low payments, thanks to artificially low teaser rates. The catch was that when the loans reset after a few years, they'd jump up several points, to 9%, 10%, 11%.

This may not sound like a big deal, until you run the math on the payments to see that many people would be facing twice the mortgage bill they were used to. Now that those mortgages are resetting and home prices are dropping like rocks, they can't make their payments, and they can't flip the houses for a profit, so loans are defaulting. The fancy securities -- what I call Wall Street dog food -- have become nearly worthless, and the music has stopped, without any chairs for anyone. Ironically, stupid, leveraged bets on these lousy securities have crippled the banks themselves, and CEOs and other execs have been getting the boot at places like Citigroup, Merrill Lynch (NYSE: MER), and Morgan Stanley (NYSE: MS).

Hank to the rescue!

Hank Paulson's latest plan to protect homebuyers from their own mistakes is simple: Lenders extend those teaser rates for a few years. It's a win-win, right? What's the harm, especially when there's no bill to pay? You just reset those interest rates to low levels, and everything will be fine, right? Who could be against a policy that would keep Americans in their homes? One negotiated with the private sector itself?

This Fool, for one.

Making the credit crunch crunchier

Remember, the only reason those teaser-rate loans were made in the first place was because lenders (and thus the investors buying the mortgages from the lenders) could count on a much larger, contractually guaranteed payoff in the future, when those interest rates were due to reset. Take away that payoff, and you take away any incentive to loan to borrowers of marginal credit quality. Usher in an era when government and banks reset loan rates at their whim, and you can be sure that investors will never again buy securities based on adjustable-rate mortgages.

If you think credit is tight now, just wait until you yank away potential returns from the people putting up the capital for all those loans.

And let's not forget that Paulson's plan introduces an incredible moral hazard. By rescuing greedy and naive borrowers from their mistakes, our government encourages others to take big, stupid, bankruptcy-inducing risks, secure in the knowledge that the government will bail them out when times get rough. That means trillions of dollars in capital will be ill-invested yet again, something that's much less likely to happen when speculators are made to suffer the consequences of their behavior.

No free lunches

Here's another problem. Someone is going to have to foot the bill for this. Banks and associated entities that will, over the short term, finance this homeowner bailout are not going to do it out of the goodness of their hearts. Reported Hope Now Alliance honchos such as Countrywide and Citigroup (NYSE: C) are, I'm certain, only doing this because they hope it will be cheaper than having to pay up for their lending sins all at once. Moreover, it gives them a chance to look like good guys who care about the commoners -- never mind that they were quite happy to fleece borrowers with gawd-awful mortgage "affordability products" for years.

Still, this will sting some of these banks and mortgage servicers, so you can bet they're going to pass along the costs. They're going to do it by firing employees. (Countrywide and Citigroup are already doing that.) They're going to do it by moving offices to offshore tax havens, outsourcing, closing branches, lowering deposit rates, hiking fees, and whatever else it takes. (Golden parachutes for Wall Street failures are pricey.)

Worst of all, they're going to do it by soaking future borrowers -- people like the majority of us, who didn't do something stupid -- with higher rates than we would have otherwise paid for mortgage loans, credit cards, and commercial loans. They'll have to. They've got their own lenders to pay, and those lenders aren't going to simply hand over-stretched Americans a pile of money.

Foolish final thought

There's another reason that Paulson's latest plan will punish the public. It will have the effect of artificially supporting a home-price bubble that desperately needs a correction. Historical rent-to-purchase data show just how far home prices need to come down in order to return to mean. That requires a painful drop, and it will happen sooner or later.

Paulson's plan means fewer homes dumped back on the market at lower prices, where they belong. Now that he's a politician and not the CEO of Goldman Sachs, Paulson apparently believes that the market shouldn't be allowed to correct on its own. He's wrong about that, and he's wrong to support any plan that will only delay the inevitable. Better the quick, painful correction than the decades-long, slow bleed that he's nurturing now. For evidence of how ugly things get when policymakers try to coddle the financial industry rather than let the market apply its harsher, faster, medicines, just take a look at how long the banking mess continued in Japan.

Of course, a decade from now, if the economy is still suffering because of an ill-conceived housing bailout plan designed to win favor with the public and cover the economic hind-end of his boss, George Bush, Paulson won't have to issue any gomen nasai. He'll already be long gone, retired to his millions.

You and I will pay the bills.

another one:

Newt Gingrich: Kill the Paulson Plan. Hard.

September 23, 2008 01:56 PM ET | James Pethokoukis | Permanent Link | Print

I just got back from a Newt Gingrich press conference where I had a nice back-and-forth dialogue with the former Speaker of the House about the Paulson Plan, which he totally hates. A few quotes and Gingrichian observations:

1) He called it a "stupid plan" that looks like it had been designed by autocrat Vladimir Putin. He also said it will be a "nightmare" to implement and full of corruption.

2) He said the Paulson Plan would be a "dead loser" on Election Day that will "break against anyone who votes for it." It will hurt even worse with the 2010 election once Americans see what a drag it is on the economy when implemented.

3) He recently chatted with economic historian Alan Meltzer who advocated doing nothing rather than implanting the Paulson Plan. Meltzer apparently joked to Gingrich that this was about the third time he had seen Wall Street scream "the apocalypse was nigh" only to have the economy keep right on chugging along.

4) Gingrich thinks that if the Paulson Plan isn't passed by this weekend, it is dead and the White House better have a Plan B, economic-growth package ready. Right now, he still thinks it has an 80 percent chance of passage, partly because of Paulson's apocalyptic tone that if a bill isn't passed, "the whole world will end on Tuesday."

5) He advises McCain to play the maverick and come out against the Paulson Plan. Then it will be the Obama-Bush plan.

http://www.usnews.com/blogs/capital-commerce/2008/9/23/newt-gingrich-kill-the-paulson-plan-hard.html

Wowww  =)

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Plan Paulson adopté à la chambre des représentants...

Hooooo quelle surprise :lol:

On va voir la reaction européenne a ce "fort" engagement US dans la résolution de la crise... Pour le moment les US mene toujours la barque.

Moi je trouve les investisseur asiatiques et arabes bien calme sur le coup... ils pourraient profiter de la situation pour faire de belles razzia pourtant.

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Hooooo quelle surprise :lol:

On va voir la reaction européenne a ce "fort" engagement US dans la résolution de la crise... Pour le moment les US mene toujours la barque.

Moi je trouve les investisseur asiatiques et arabes bien calme sur le coup... ils pourraient profiter de la situation pour faire de belles razzia pourtant.

Tout n'est pas gagné ...

Même s'il va y avoir une reprise technique, si la confiance de fond est altérée, les crédits resteront bloqués et les volumes d'échange limités et on aura soit une récession soit une croissance limitée.

Pour ce qui est des asiatiques et des arabes, deux éléments :

- primo, ils s'occupent de leurs marchés intérieurs. La baisse des investissements US se fera ressentir.

- secundo, ne pas se vanter pas de prendre en main l'économie mondial protège d'un emballement supplémentaire des marchés lié à ce genre d'annonce. On a besoin d'un peu de sérénité, histoire que les choses se tassent et repartent tranquillou, de ce point de vue là, ils sont impeccables.

Exemple que le vociférent et "j'essaie-par-tous-les-moyens-de-passer-au-JT-quitte-à-annoncer-l'apocalypse" gouvernement devrait suivre  :P

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Cela fera plaisir à Zamorana

Image IPB

En fait, l'une des critiques du plan Paulson, c'est qu'il vise à racheter les produits financiers déficients pour éviter la ruine des contractants vu qu'ils auront à faire à l'état, mais par contre, il ne prévoit pas la prise de participation dans les banques qui ont mis en place ces produits.

Or cette dernière permettrait de :

- faire le ménage dans ces banques,

- leur rendre de la crédibilité vis-à-vis du crédit justement, ce qui empêcherait des blocages dans l'économie réelle.

Ce n'est donc pas un plan de nationalisation des banques, juste des produits financiers merdiques à l'instant T. (sachant qu'à l'instant T+N, ces mêmes produits peuvent être très rentables ...  :P)

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Source BFM ...

Visiblement il n'arrive pas a assurer leur besoin en fond de roulement. C'est pas nouveau la Californie est endetté a mort et a des probleme de financement, elle a servie de vache a lait pour enron et autre pendant des années... reste les dettes.

hum,  un peu de recherche ne fait de mal à personne.http://www.lao.ca.gov/2004/cal_facts/2004_calfacts_budget.htm

"Together, education, health, and social services account for over 85 percent of total General Fund spending in 2004-05. "

"Education's share of General Fund spending is nearly $42 billionaround 53 percent. "

"State spending declined in the early 1990s due to the recession. During the rest of the decade, however, spending grew relatively rapidly averaging 8.1 percent per year for all spending and 9.3 percent for General Fund spending. "

"Following several years of major increases, General Fund revenues plunged following the stock market crash and recession in 2001. "

Tout cela est assez familier et n'a pas grand chose avoir avec Enron.

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L'administration US en profite pour faire sauter le secret bancaire suisse, il y a aura du monde qui va recevoir la visite de l'IRS  >:( :

http://www.france-info.com/spip.php?article193840&theme=22&sous_theme=24

Le secret banquaire suisse n'est plus assuré que pour les suisse depuis un moment ...

Ceux qui voulait plus de discrétion on eu largement le temps d'aller mettre leur sous ailleurs :)

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L'investissement dans Dexia et le plan de 22 milliards d'€ du gouvernements n'ont rien à voir avec le fait d'acheter plus ou moins de matériel.

Quand l'état prend des participations dans Dexia, c'est comme un prêt, ce ne sera pas éternel.

C'est juste avancer des fonds pour que cette banque ne s'écroule pas car si elle s'écroulait, ça entraînnerait différents acteurs de notre économie.

On consolide donc par des capitaux stables (ceux de l'état) et ses derniers reviendront dans les caisses ultérieurement.

Au passage, prendre des parts dans Dexia alors que cela ne vaut plus grand chose et les revendre par la suite quand la situation s'améliore, fait réaliser une belle pus-value.

Pour ce qui est des achats de matériel, c'est un achat simple et pas un prêt.

Donc faudrait arrêter de comparer les sommes pouvant être sorties par le gouvernement pour l'économie et qui reviendront, et les budgets de défense et leurs difficultés qui sont des dépenses sans retours directs ; cela évitera à certains de nous bassiner avec leur 1 500 Leclercs ...

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