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La crise financiere mondiale


Invité barbaros pacha

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Au moins 21'000 milliards de dollars d'actifs financiers étaient détenus par des particuliers fortunés dans des paradis fiscaux à la fin 2010, selon une étude l'association Tax Justice Network (TJN). UBS et Credit Suisse forment avec Goldman Sachs le trio de tête des banques ayant géré le plus d'actifs offshore.

"Cela représente le poids cumulé des économies des Etats-Unis et du Japon", souligne l'organisation non-gouvernementale dans cette étude publiée dimanche et menée par un ancien expert du cabinet McKinsey, James Henry.

Selon la fourchette haute de son estimation, le montant des actifs financiers (hors oeuvres d'art, biens immobiliers...) détenus dans des territoires offshore à l'abri des administrations fiscales pourrait atteindre 32'000 milliards de dollars.

Dans l'hypothèse où ces sommes rapporteraient un "modeste" rendement de 3% par an et si un prélèvement de 30% était appliqué sur ce revenu, TJN affirme que cela générerait entre 190 et 280 milliards de recettes fiscales, soit près du double du l'aide au développement versée chaque année par les pays riches de l'OCDE.

Les banques suisses aussi

"Ce nouveau rapport se concentre sur un énorme trou noir de l'économie mondiale (...) à un moment où les gouvernements à travers le monde manquent de ressources", a souligné M. Henry, cité dans un communiqué.

D'après son étude, les cinquante premières banques destinées aux clients fortunés ont collectivement géré en 2010 plus de 12'100 milliards de dollars dans des investissements transfrontaliers (contre 5400 milliards en 2006), via notamment des trusts qui permettent de dissimuler le nom du bénéficiaire réel de ces placements.

Les grandes banques suisses UBS et Credit Suisse forment avec Goldman Sachs le trio de tête des banques ayant géré le plus d'actifs offshore pour le compte de leurs clients fortunés, selon cette étude baptisée "The Price of Offshore revisited" ("Nouveau regard sur le coût de l'offshore").

(ats / 23.07.2012 22h37)

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http://www.latribune.fr/actualites/economie/union-europeenne/20120723trib000710462/apres-valence-et-murcie-d-autres-regions-espagnoles-vont-demander-de-l-aide.html

Après Valence et Murcia, la catalogne et l’Andalousie?

Or, « si des régions comme la Catalogne ou l'Andalousie sollicitent l'aide du fonds, l'Espagne peinera sans doute à financer leur sauvetage avec les seuls 18 milliards d'euros du fonds », estime un analyste qui préfère maintenir son anonymat. Le gouvernement compte assumer l'octroi des fonds sans recourir à de nouvelles émissions de dette, toujours périlleuses actuellement compte tenu des taux en cours.

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Depuis le blog : les-crises.fr ; la traduction de la lettre de démission de Peter Doyle, économiste senior au FMI, qui défraie la chronique depuis quelques jours.

Département Européen

Washington DC

18 juin 2012

À M. Shalaan, doyen du conseil d’administration du FMI

Aujourd’hui, je me suis adressé au conseil d’administration pour la dernière fois – parce que je quitte le FMI.

Par conséquent, je souhaite en premier lieu exprimer formellement ma profonde gratitude pour les autorités Suédoises, Israéliennes et Danoises avec lesquelles j’ai récemment travaillé, ainsi que pour toutes les autres avec qui j’ai travaillé auparavant, pour leur extraordinaire amabilité à mon égard.

Mais je souhaite également saisir cette opportunité pour expliquer les raisons de mon départ.

Après vingt années de service, j’ai honte d’avoir été associé au FMI.

Ce n’est pas seulement à cause de l’incompétence qui a été partiellement décrite dans le rapport du Bureau de la vérification et de l’inspection internes (OIA) au sujet de la crise mondiale et dans la Revue triennale de la surveillance (TSR) sur la crise de la zone Euro. Mais c’est surtout parce que les causes essentielles de ces crises, comme cela a déjà été le cas pour d’autres, ont été identifiées largement en amont mais ont été étouffées par le FMI. En raison des longues périodes de gestation et des processus internationaux de décision prolongés pour faire face à ces deux défis mondiaux, il était essentiel que nous émettions à temps des avertissements soutenus. Par conséquent, l’échec du FMI à les émettre est un échec de premier ordre, quand bien même des telles mises en garde auraient pu être ignorées. Ceci a pour conséquences que beaucoup, y compris la Grèce, souffrent (et risquent bien pire à l’avenir), que la deuxième monnaie mondiale de réserve est au bord du gouffre, et que le FMI a passé les deux dernières années à courir après les évènements durant les ultimes efforts visant à la sauver.

De plus, les raisons qui ont directement causé ces défaillances du système de surveillance du FMI, à savoir la répugnance à prendre des risques, les priorités bilatérales et le parti-pris Européen, deviennent au contraire de plus en plus profondément enracinées, en dépit d’initiatives qui visent à s’en occuper. Ceci est particulièrement clair dans le cas des nominations au poste de Directeur Général, choix qui au cours des dix dernières années, ont été bien évidemment désastreux. Même la directrice en exercice est entachée, car ni son sexe, ni son intégrité, ni son ardeur ne peuvent compenser l’illégitimité fondamentale du processus de sélection. Dans une institution aussi hiérarchique, les implications de tels choix contaminent directement les niveaux supérieurs de la direction et, à travers les recrutements, les contrats de mission, la préparation de la succession du personnel de grades supérieurs, ces implications en arrivent à se diffuser dans l’ensemble de l’organisation, écrasant tout le reste. Le comité exécutif préfère un FMI handicapé, soumis à ces défaillances du système de surveillance. Je regrette de ne pas avoir su il y a vingt ans que tel serait le choix.

Il y a des personnes de qualité ici, parfois caustiques. Mais celle qui rédige ces lignes s’en va. Vous devriez vous préoccuper de ne pas perdre les autres.

Bien cordialement.

Peter Doyle

(Conseiller économiste du Département Europe et ancien chef de la division Suède, Israël et Danemark)

Copie :

Mme. Nemat Shafik

M. Stanley Fischer

M. Stephan Ingves

M. Benny Andersen

M. Alex Gibbs

M. Eric Meyer

M. Amit Friedman

M. Martin Holmberg

M. Reza Moghadam

M. Mark Plant

M. Brad McDonald

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Le billet de Bill Bonner sur Agora.

Le chômage aux Etats-Unis : 8,2 % ou... 23 % ? Parlons chiffres.

▪ Revenons-en aux économistes :

Ben Bernanke pense-t-il vraiment qu’il peut, lui personnellement, améliorer la richesse et le bien-être des gens de ce monde en bidouillant ses taux d’intérêts et politiques bancaires ? Apparemment…

Stiglitz, Truman et al. sont-ils honnêtement convaincus qu’ils peuvent aider une économie saturée de dettes à se développer en lui donnant plus de dettes à un taux inférieur ? Oui… c’est ce qu’ils disent, en tout cas.

Est-ce que Jeffrey Sachs croit réellement que lui et d’autres économistes intelligents peuvent développer une stratégie adaptée à l’économie mondiale tout entière ? C’est bien ce qu’il semble…

La semaine dernière, nous avons parlé du rôle des chiffres. Plus ils sont précis, avons-nous avancé, plus le mensonge est gros. Pourquoi ? Parce que ces économistes ne savent rien de certain, en réalité. Le mieux qu’ils puissent faire, c’est observer… deviner… et se couvrir grâce à un “peut-être” ou un “potentiellement”. Plus ils prétendent savoir précisément quelque chose avec certitude… plus la distance est grande entre ce qu’ils peuvent vraiment savoir et ce qu’ils affirment.

Mais les chiffres sont aux économistes ce que le maquillage est à une starlette vieillissante… Mettez-en assez et peut-être que les gens ne verront pas la vérité.

Derrière chaque chiffre se trouve une ride… Des petits chiffres cachent de petites rides. De gros chiffres cachent de grosses rides. Un grand chiffre, comme le taux de chômage, a toute une armée d’autres nombres derrière lui. Il y a des ajustements statistiques… des ajustements saisonniers… et assez de définitions arbitraires pour donner bonne mine à un cadavre.

▪ Appliquons ce principe à l’emploi :

Le Bureau américain des statistiques du travail affirme que 8,2% de la main-d’oeuvre US est au chômage. C’est assez simple. Mais qu’est-ce que ça veut dire ? Qu’est-ce que “la main-d’oeuvre” ? Que signifie d’être “au chômage” ? Pensez à tous ces gens qui travaillent pour du liquide… comme ces Latinos qui attendent des emplois journaliers chaque matin dans les stations-service américaines. Sont-ils au chômage ?

Quelqu’un qui ne pouvait trouver d’emploi et qui a donc reprise des études ? Est-il au chômage ? Qu’en est-il d’une femme au foyer qui aimerait trouver un travail… plus ou moins… mais qui ne cherche pas activement ? Tous ces gens font-ils partie de la main-d’oeuvre ?

Il est évident qu’on peut changer un peu les principes de base… et beaucoup changer le taux de chômage déclaré. Lorsque le statisticien John Williams regarde les chiffres, par exemple, il trouve aux Etats-Unis un taux de chômage réel de 23% — presque aussi élevé qu’en Espagne.

Pourtant, les autorités américaines affirment que le chômage est de 8,2%. Pas “8% environ”. Pas “moins de un sur 10″. Mais 8,2%… exactement. Il y a tant de suppositions dans ce chiffre qu’il n’est absolument pas fiable et n’a pratiquement aucun sens. Voire pire. Il fait semblant de vous dire quelque chose… mais une fois que vous l’avez digéré, vous en savez moins que ce que vous saviez avant, parce que vous pensez savoir est en grande partie une fraude.

Vous pourriez prendre quasiment toutes les données utilisées par les économistes et faire la même analyse. Chaque chiffre cache une verrue… une ride… un froncement de sourcils.

Et probablement qu’aucune mélasse numérique n’est plus épaisse et moins transparente que le PIB. Là, les chiffres mentent et trompent, comme tous les autres chiffres des économistes. Mais c’est pire encore. Le concept du PIB lui-même est une tromperie ; ce n’est pas uniquement de la vanité… c’est une fraude.

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Au moins 21'000 milliards de dollars d'actifs financiers étaient détenus par des particuliers fortunés dans des paradis fiscaux à la fin 2010, selon une étude l'association Tax Justice Network (TJN). UBS et Credit Suisse forment avec Goldman Sachs le trio de tête des banques ayant géré le plus d'actifs offshore.

"Cela représente le poids cumulé des économies des Etats-Unis et du Japon", souligne l'organisation non-gouvernementale dans cette étude publiée dimanche et menée par un ancien expert du cabinet McKinsey, James Henry.

Selon la fourchette haute de son estimation, le montant des actifs financiers (hors oeuvres d'art, biens immobiliers...) détenus dans des territoires offshore à l'abri des administrations fiscales pourrait atteindre 32'000 milliards de dollars.

Dans l'hypothèse où ces sommes rapporteraient un "modeste" rendement de 3% par an et si un prélèvement de 30% était appliqué sur ce revenu, TJN affirme que cela générerait entre 190 et 280 milliards de recettes fiscales, soit près du double du l'aide au développement versée chaque année par les pays riches de l'OCDE.

Les banques suisses aussi

"Ce nouveau rapport se concentre sur un énorme trou noir de l'économie mondiale (...) à un moment où les gouvernements à travers le monde manquent de ressources", a souligné M. Henry, cité dans un communiqué.

D'après son étude, les cinquante premières banques destinées aux clients fortunés ont collectivement géré en 2010 plus de 12'100 milliards de dollars dans des investissements transfrontaliers (contre 5400 milliards en 2006), via notamment des trusts qui permettent de dissimuler le nom du bénéficiaire réel de ces placements.

Les grandes banques suisses UBS et Credit Suisse forment avec Goldman Sachs le trio de tête des banques ayant géré le plus d'actifs offshore pour le compte de leurs clients fortunés, selon cette étude baptisée "The Price of Offshore revisited" ("Nouveau regard sur le coût de l'offshore").

Ce sont des iles pour la plupart ces paradis fiscaux, non? Ya pas moyens de rentabiliser nos nukes par hasard juste, pour faire qq essais?  >:(

Sal***s de riches!  :P

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UBS et Credit Suisse forment avec Goldman Sachs

Hasard ....

Manque plus que la Barclays dans le lot pour qu'on ai le groupe de banques le plus pourri, opaque, hors des règles qui soit et ce à tout niveau

(bidouillage de comptes, délits d'initiés, effet de leviers illégaux, blanchiment et opacité des comptes, activité prédatrice des plus petits (autres banques) comme des plus gros (états))

Dire qu'al Capone est tombé pour une affaire de fisc, lui  :P

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http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2012/07/24/97002-20120724FILWWW00469-madrid-rome-et-paris-veulent-accelerer.php

C'est pas très sympa de vouloir que l’Allemagne perde son triple A encore plus vite  :lol:

Elle est brouillonne cette news, Paris s'est-il vraiment associée à cette déclaration du ministre espagnol?

Ils paniquent les espagnols, ya le feu! et le feu pourrait vite gagner l’Italie.

Vraiment chaud cet été!

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Source Le Figaro:

L'avertissement de l'agence de notation Moody's à l'Allemagne éclaire les quelques failles de la première économie d'Europe. Son talon d'Achille: son implication dans la zone euro.

1. Le pays qui prête le plus

Première économie de la zone euro, c'est elle qui verse le plus d'argent pour alimenter les prêts internationaux aux pays en difficulté. Actuellement, l'Allemagne est exposée à hauteur de 350 milliards d'euros via les prêts accordés aux 4 pays sous perfusion (Grèce, Irlande, Portugal, Espagne) et via ses participations auprès des pare-feu européens, selon les calculs de Christian Ott, économiste à Natixis. En clair, si tous les États en difficulté faisaient faillite, le pays perdrait l'équivalent de 12% à 14% de son produit intérieur brut (PIB). De quoi alourdir, dans ce cas très hypothétique, une dette qui s'élevait fin 2011 à 81,2% de son PIB (contre 85% pour la France), bien au-delà de la limite de 60% fixée par les traités européens.

2. Une économie très dépendante à la zone euro

L'Allemagne est une puissance exportatrice sans équivalent en zone euro. Problème, 40% de ses ventes industrielles à l'étranger sont à destination de la zone euro. «Les faiblesses de ses plus proches partenaires économiques, comme la France, les Pays-Bas ou l'Italie, ont un impact négatif sur l'économie allemande», souligne Catherine Stephan, économiste à BNP Paribas. Le ralentissement de la croissance observé dernièrement dans les grands pays émergents comme la Chine, gros acheteurs de produits allemands, inquiète également. L'Allemagne pourrait même connaître une petite récession, à en croire l'indicateur économique avancé PMI publié ce lundi par l'institut Markit.

3. Des banques exposées à l'Espagne et à l'Italie

«La vulnérabilité du système bancaire allemand» est une des principales inquiétudes de l'agence de notation Moody's. Elle souligne que les banques allemandes ont une forte présence en Espagne et en Italie, toutes deux fortement chahutées par la crise. Elles y ont investi respectivement 139 et 133 milliards d'euros. Or, s'inquiète Moody's, les établissements allemands n'ont «qu'une capacité limitée d'absorption des pertes et des revenus structurellement faibles, ce qui les rend plus sensibles à une aggravation de la crise».

4. Un secteur des services à la traîne

Si l'Allemagne est la championne des exportations de marchandises, elle reste à la peine dans les services (l'exact contraire de la France). Dans ce secteur, elle accusait un déficit commercial de 29,1 milliards d'euros en 2010, effacé il est vrai par l'excédent de 204,3 milliards enregistré par l'industrie, selon les chiffres de l'Organisation pour la coopération et le développement économique (OCDE). «Les services ne sont pas un élément déterminant pour l'économie allemande», nuance ainsi Catherine Stephan. Toutefois, l'OCDE s'inquiète du manque de productivité dans le secteur des services aux entreprises, bien en dessous des moyennes internationales, ce qui est lié selon elle à une régulation trop stricte.

5. Une démographie en déclin

Il s'agit de la principale faiblesse de fond de l'Allemagne. Sa population totale a reculé pendant huit ans, avant de progresser de 50.000 personnes en 2011 sous l'effet de l'immigration en provenance de l'Union européenne et des pays de l'Est. Malgré cette année d'exception, l'OCDE prévoit une baisse continue de la population active à long terme à partir de 2013. Conséquence, des difficultés de financement du système de retraite pourraient survenir, malgré le relèvement de l'âge légal pour partir à taux plein à 67 ans. «D'autres réformes seront nécessaires, il faut encore résoudre ce problème à long terme», prévient Christian Ott.

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Hasard ....

Manque plus que la Barclays dans le lot pour qu'on ai le groupe de banques le plus pourri, opaque, hors des règles qui soit et ce à tout niveau

(bidouillage de comptes, délits d'initiés, effet de leviers illégaux, blanchiment et opacité des comptes, activité prédatrice des plus petits (autres banques) comme des plus gros (états))

Dire qu'al Capone est tombé pour une affaire de fisc, lui  :P

tu déconnes qd même.... :lol:

Il y a qd même une régulation....QD AUX PREDATEURS, ben c'est ça le monde de la finance pour pas parler de l'eco de marché....

Non a mon avis, on atteint là les limites du systeme " eco de marché:monde capitaliste " ..

on a eu l'effrondrement du systeme communiste....on va avoir l'effondrement du modèle occidental

allez je donne 5 ans pour un veritable chamboulement, et j'ai pas "envie " de voir ce bordel, mais...tu vois une autre solution toi???

en tout cas, moi au boulot, on prevoit une rentrée plutôt "'chaudasse"

a pluche ;)

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http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2012/07/24/97002-20120724FILWWW00469-madrid-rome-et-paris-veulent-accelerer.php

C'est pas très sympa de vouloir que l’Allemagne perde son triple A encore plus vite  :lol:

Elle est brouillonne cette news, Paris s'est-il vraiment associée à cette déclaration du ministre espagnol?

Ils paniquent les espagnols, ya le feu! et le feu pourrait vite gagner l’Italie.

Vraiment chaud cet été!

Héhé démentie par les intéréssés!

Ya tellement le feu qu'il était ce soir à berlin.

Et il passe demain à paris.

http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2012/07/24/20002-20120724ARTFIG00606-espagne-la-crise-s-aggrave-berlin-prie-d-agir.php

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Au moins 21'000 milliards de dollars d'actifs financiers étaient détenus par des particuliers fortunés dans des paradis fiscaux à la fin 2010, selon une étude l'association Tax Justice Network (TJN). UBS et Credit Suisse forment avec Goldman Sachs le trio de tête des banques ayant géré le plus d'actifs offshore.

"Cela représente le poids cumulé des économies des Etats-Unis et du Japon", souligne l'organisation non-gouvernementale dans cette étude publiée dimanche et menée par un ancien expert du cabinet McKinsey, James Henry.

Selon la fourchette haute de son estimation, le montant des actifs financiers (hors oeuvres d'art, biens immobiliers...) détenus dans des territoires offshore à l'abri des administrations fiscales pourrait atteindre 32'000 milliards de dollars.

Dans l'hypothèse où ces sommes rapporteraient un "modeste" rendement de 3% par an et si un prélèvement de 30% était appliqué sur ce revenu, TJN affirme que cela générerait entre 190 et 280 milliards de recettes fiscales, soit près du double du l'aide au développement versée chaque année par les pays riches de l'OCDE.

Les banques suisses aussi

"Ce nouveau rapport se concentre sur un énorme trou noir de l'économie mondiale (...) à un moment où les gouvernements à travers le monde manquent de ressources", a souligné M. Henry, cité dans un communiqué.

D'après son étude, les cinquante premières banques destinées aux clients fortunés ont collectivement géré en 2010 plus de 12'100 milliards de dollars dans des investissements transfrontaliers (contre 5400 milliards en 2006), via notamment des trusts qui permettent de dissimuler le nom du bénéficiaire réel de ces placements.

Les grandes banques suisses UBS et Credit Suisse forment avec Goldman Sachs le trio de tête des banques ayant géré le plus d'actifs offshore pour le compte de leurs clients fortunés, selon cette étude baptisée "The Price of Offshore revisited" ("Nouveau regard sur le coût de l'offshore").

(ats / 23.07.2012 22h37)

OMG y a tellement de fric à se faire pour les états, pourquoi on ne fait rien  :O

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Est-ce que c'est possible ?

evidemment

aujourd'hui ceux sont les edges funds et autres actionnariat de pâcotille qui régissent le monde...

ON VIRE DES GENS , et les entreprises n'ont jamais été aussi profitable....Qd à la délocalisation....encore une autre fumisterie...Au nom de la competitivité...

A pluche, je dois prendre la route et ma moitié crie en bas !!!!

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OMG y a tellement de fric à se faire pour les états, pourquoi on ne fait rien  :O

On parle de la délinquance de la planète, ya pêle mele le trafiquant de drogue, le vendeurs d'armes, le politicien véreux, le banquier véreux...le fraudeur français à l'ISF =)..

Quand on voit les moyens que la PN déploie, en écoutes, planques, paperasses..pour arrêter un dealer de cannabis de coin de quartier, imagine le temps et l'énergie qu'il faut pour ceux-là.

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Faudrait aussi arrêter ceux qui gaspillent l'argent public : construire des statues géantes de Lénine, Mao Zedong, etc...  "grands hommes du XXième siècle" à Montpellier (l'ensemble des statues aurait couté 400 000 euros), faudra m'expliquer !  =( 

http://www.lepoint.fr/societe/a-montpellier-mao-rejoint-les-grands-hommes-du-xxe-siecle-24-07-2012-1488823_23.php

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Est-ce que c'est possible ?

Non. Dans les faits, ce n'est pas possible. Il n'y a pas plus performant que le modèle occidental (sur le plan économique). On ne fait pas mieux que le polycentrisme.

Ceux qui attaquent notre modèle oublient juste que la crise que nous traversons est l'aboutissement du dirigisme étatiste, un derrivé du socialisme. Un cas simple: pourquoi emprunte-t-on pour rembourser une dette? Il ne faut pas être grand clerc pour voir les causes.

Et puis, la fin du modèle occidental!! C'est quoi l'après? C'est gens là évitent de répondre.

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Non. Dans les faits, ce n'est pas possible. Il n'y a pas plus performant que le modèle occidental (sur le plan économique). On ne fait pas mieux que le polycentrisme.

Ceux qui attaquent notre modèle oublient juste que la crise que nous traversons est l'aboutissement du dirigisme étatiste, un derrivé du socialisme. Un cas simple: pourquoi emprunte-t-on pour rembourser une dette? Il ne faut pas être grand clerc pour voir les causes.

Et puis, la fin du modèle occidental!! C'est quoi l'après? C'est gens là évitent de répondre.

+1. Ils sont nombreux, sur cette Terre, ceux aimeraient vivre dans notre modèle... Car c'est le meilleur.  =) C'est celui qui allie libertés politiques, efficacité économique, et filet de protection sociale efficace. Et ça ne s'est pas fait en un jour, c'est le résultat du patient travail de nos aïeux européens, merci à eux!  =)
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aujourd'hui ceux sont les edges funds et autres actionnariat de pâcotille qui régissent le monde...

Petit rappelle: les hedges funds ne sont rien d'autre que les cotisations et versements des retraites. C'est donc chacun d'entre-nous qui avons une complémentaire retraite.

Nous avons tendance à oublier ce genre de chose.

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Hegde : Arbitrage => Edge : bordure/lisière  ;)

Précisons que les Hegde Funds ont quand même la particularité d'avoir des pratiques de gestion beaucoup agressives et risquées qu'un simple fond de pensions.

Mais ils n'en sont qu'un prolongement, car les hedge funds sont eux mêmes des fonds communs de placements dans leur définition générique, et ils gèrent des fonds placés par les fonds de pensions aussi.

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Revenons à l'arbitrage des marchés et ce sera suffisant.

Il faut juste que les états stoppent leur entrisme chronique. Que les banques centrales arrêtent les planches à billet, origine des bulles spéculatives.

Pour la France, que l'on arrête de distribuer l'argent que l'on a pas, que l'on arrête de se substituer aux banques, entrepreneurs et assureurs. Que l'on revienne au régalien que l'on ne fait plus. Et ce sera suffisant.

La France à des marges.

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