g4lly Posté(e) le 7 mars 2012 Share Posté(e) le 7 mars 2012 Tout à fait cela, la comparaison avec une serre de jardin est nulle et non avenue, cela n'a rien à voir, mais c'est resté dans les esprits comme bien d'autres choses... Pourquoi donc? y a pas de store dans ton jardin d'hiver? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bruno Posté(e) le 8 mars 2012 Share Posté(e) le 8 mars 2012 Ben voyons proxima, "tu n'est pas le seul à persister et signer" - Le coups des énergies fossiles qui ont sauvé nos forêts ce serait presque une belle histoire comme on les aime, à part qu'un élément n'est pas pris en compte : sans les énergies fossiles l'Humanité n'aurait pas accédé à l'ère industrielle et au "confort" associé. Il s'ensuit que la population mondiale n'aurait pas explosée comme elle l'a fait, on serait encore à moins de 4 milliards d'habitants et même en utilisant le bois pour se chauffer ou cuisiner les forêts n'étaient pas forcément menacées. Pour les préserver à long terme il "suffirait" de planter à peu près autant d'arbres qu'on en abat. Les énergies fossiles ont été une étape dans notre développement mais maintenant il faut passer à des énergies plus "propres" - J'ai du mal à croire que le rendement global de l'éolien soit à ce point inférieur comme tu le prétends à celui des centrales nucléaires ou thermique : Qu'il faille plus d'acier pour un champ de 250 éoliennes géantes (c'est ce qu'il faut pour remplacer une seule centrale nucléaire) que pour une centrale c'est probable, à part que ce n'est pas "20 fois plus" à quantité égale d'énergies produite mais environ 2 à 3 fois plus. Et puis l'acier se recycle plus facilement que le béton ... "80 plus de béton" consommé selon toi par l'énergie éolienne par rapport à l'énergie nucléaire ? Grotesque surenchère pas crédible pour un sou ; globalement la quantité de béton nécessaire pour un champ d'éoliennes géantes, et celle qu'il faut pour une centrale nucléaire, se valent à peu prés puisque l'épaisseur des enceintes de confinement des réacteurs nucléaires est de plusieurs mètres, tandis que les énormes cheminées des centrales nucléaires pour évacuer la vapeur d'eau produite par la fission font plus de 50 mètres de hauteur et l aussi une épaisseur importante (environ 80cm). Je viens de démontrer le contraire: Les énergies vertes n'existent que grâce à des subventions délirantes (de l'ordre de 500% par rapport au prix des autres énergies). Tu n'as rien démontré du tout si ce n'est un fort parti pris contre les ENR ; je te rappellerai que toutes les formes d'énergies ont bénéficié de subventions au stade de leur développement, surtout le nucléaire (qui était à juste titre considéré comme un vecteur d'indépendance énergétique pour le pays) qui continue à en bénéficier d'ailleurs. Déjà aujourd'hui l'électricité d'origine éolienne ou solaire ne bénéficient plus de tarif de rachat 500% supérieurs à ceux des moyens de production fossiles, l'écart est devenu bien moins important et il va disparaître d'ici 25 ans au fur et à mesure que le rendement de ces moyens de production augmente. Les densités énergétiques du pétrole et de l'uranium sont imbattables c'est vrai ; mais ça ne doit pas faire oublier à quel point ces énergies sont polluantes (pétrole) ou hyper dangereuses en cas d'accident (nucléaire). Que les rejets de CO2 dus à l'usage d'énergies fossiles aient ou non une influence sur le climat je persiste et signe à dire qu'il faudra y renoncer d'ici 40 ans pour toutes les raisons que j'ai déjà exposées depuis quelques pages (moins démissions polluantes, meilleur "recyclabilité" des déchets engendrés, plus grande indépendance vis à vis de l'extérieur ...) ;) En ce qui concerne les prix de l'énergie as tu noté à quel point ceux du pétrole augmentent depuis 5 ans ? C'est l'augmentation de la demande, consécutive au développement de la Chine et de l'Inde, mais aussi à la hausse rapide et démentielle des populations, qui va continuer à causer la hausse du pris de l'énergie, les ENR que tu décries tant n'y sont pour rien ! (Et en sens inverse d'ailleurs elle n'empêcheront pas l'inévitable emballement des prix si l'espèce humaine continue dans son délire collectif actuel) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 8 mars 2012 Share Posté(e) le 8 mars 2012 C'est un sujet sur le la véracité du changement climatique CO2 ... par de la propagande anti éolienne! ... propagande a deux sous par ailleurs. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tancrède Posté(e) le 8 mars 2012 Share Posté(e) le 8 mars 2012 Mais aussi... sans pétrole et charbon, je doute que l'écologie ait jamais existé. C'est à dire qu'on n'aurait jamais pensé à replanter un seul arbre. Juste un détail historique: c'est faux. A quasiment toutes les époques, dès qu'un Etat a atteint un certain seuil de développement en termes d'administration, le souci de renouvellement des ressources (à divers degrés il est vrai) a existé. Le replantage de forêts en France date de Colbert et s'attache aux risques de déboisement et au souci d'amélioration de qualité des bois, tous deux facteurs liés à la construction navale. On peut trouver des exemples similaires à Rome, par exemple, ou même dans la féodalité, les diverses formes qu'a pu prendre la gestion dite "patrimoniale" (donc comportant une dimension de projection dans l'avenir), étant intrinsèquement liées à la propriété privée. L'échelle en a grandement varié, et évidemment les soucis de profitabilité immédiate ont souvent, comme aujourd'hui, gagné, mais dire que ce souci et des politiques/pratiques visant un plus long terme sont nés avec l'industrialisation, est un non sens. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
proxima Posté(e) le 8 mars 2012 Share Posté(e) le 8 mars 2012 C'est un sujet sur le la véracité du changement climatique CO2 ... par de la propagande anti éolienne! ... propagande a deux sous par ailleurs. Tu parles en tant que modérateur ou en tant qu'intervenant dans le débat? -Si modérateur: je prends note du conseil et m'y tiendrai à l'avenir. Juste une question: le titre étant "Economie et climat. CO2 or not CO2?", de quoi peut-on bien parler en matière d'économie qui soit en relation avec le climat? Si la politique énergétique est hors-sujet il faudrait modifier le titre de l'article je pense. -Si intervenant: J'ai cité des chiffres et des faits précis. Loisir à toi de démontrer qu'ils sont faux. En attendant, je considère que les propagandistes sont dans l'autre camp. Tancrède: Juste un détail historique: c'est faux. A quasiment toutes les époques, dès qu'un Etat a atteint un certain seuil de développement en termes d'administration, le souci de renouvellement des ressources (à divers degrés il est vrai) a existé. Le replantage de forêts en France date de Colbert et s'attache aux risques de déboisement et au souci d'amélioration de qualité des bois, tous deux facteurs liés à la construction navale. J'avais en tète une étude qui décrivait la lente déliquescence des forêts "en général" tout au long de l'histoire humaine (une histoire de ratios d'isotopes dans le sol). Merci de faire remarquer qu'il y avait quelques exceptions et que peut être l'écologie, si on peut lui donner ce nom, est plus ancienne que ça. Je me souviens aussi de je ne sais quel roi de France avait fait démolir les fonderies de je ne sais quelle région pour éviter que les forêts alentours soient transformées en charbon de bois pour la production du métal. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 10 mars 2012 Share Posté(e) le 10 mars 2012 Tu parles en tant que modérateur ou en tant qu'intervenant dans le débat? Les deux ;) -Si modérateur: je prends note du conseil et m'y tiendrai à l'avenir. Juste une question: le titre étant "Economie et climat. CO2 or not CO2?", de quoi peut-on bien parler en matière d'économie qui soit en relation avec le climat? Si la politique énergétique est hors-sujet il faudrait modifier le titre de l'article je pense. Il y a un sujet déjà ouvert pour discuter des énergie renouvelable http://www.air-defense.net/forum/index.php?topic=16476.85 Et oui la politique énergétique est hors sujet dans se fil, vu qu'on y parle essentiellement de la pertinence du modele de réchauffement climatique, communément admise - ou pas - -Si intervenant: J'ai cité des chiffres et des faits précis. Loisir à toi de démontrer qu'ils sont faux. En attendant, je considère que les propagandistes sont dans l'autre camp. La démonstration a été fait en long large et travers par les deux camp ... et chaque argument de l'un a son contre argument de l'autre, tous les arguments en question doivent se retrouver dans le forum, probablement sur l'autre fil cité juste au dessus. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
proxima Posté(e) le 10 mars 2012 Share Posté(e) le 10 mars 2012 Les deux ;) Juge et partie donc. ===> Fin de la discussion. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 30 mars 2012 Share Posté(e) le 30 mars 2012 http://www.lemonde.fr/planete/article/2012/03/29/des-chercheurs-touchent-beaucoup-d-argent-pour-attaquer-la-science_1677518_3244.html Historienne des sciences de la Terre, professeure à l'université de Californie à San Diego (Etats-Unis), Naomi Oreskes est coauteur, avec Erik Conway, d'un ouvrage de référence sur les racines du climatoscepticisme, qui paraît en français - Les Marchands de doute (Le Pommier, 524 pp., 29 euros). De passage à Paris, où elle donne une série de conférences, elle a accordé un entretien au Monde. Existe-t-il un vrai débat scientifique sur la réalité du changement climatique ? Non. Il n'y a pas de débat scientifique sur le fait que le réchauffement a bien lieu et qu'il est principalement le fait des gaz à effet de serre anthropiques et de la déforestation. D'ailleurs, les bouleversements actuels sont en accord avec ce qui a été prévu de longue date par les spécialistes. Avoir un débat scientifique sur telle ou telle question obéit à des règles précises : il se tient entre experts du domaine qui publient leurs résultats dans des publications soumises à la revue par les pairs, c'est-à-dire à l'expertise du reste de leur communauté. Rien de cela ne caractérise ceux qui s'opposent à la science climatique. Aux Etats-Unis, qui sont les "experts" qui contestent la science climatique ? La plupart de ceux qui mettent en cause la science climatique, ou qui assurent qu'il y a un débat sur ses principaux constats, ont auparavant contesté la réalité des pluies acides, du trou dans la couche d'ozone, ou encore de la nocivité du tabac... C'est le premier indice qu'il ne s'agit pas réellement de science, car vous ne trouverez jamais un vrai chercheur naviguant entre des sujets aussi variés et exigeant des compétences aussi différentes. Le fait que ces scientifiques aient défendu l'industrie du tabac jusque dans les années 1990 - alors que les dégâts de la cigarette étaient déjà massifs - est le plus frappant. Nous avons découvert que plusieurs d'entre eux avaient été rémunérés par l'industrie du tabac via des organisations écranscomme le TASSC - The Advancement of Sound Science Coalition ("Coalition pour la promotion d'une science solide"). En réalité, cette organisation, qui pourtant se revendique de la science, a été créée par le groupe Philip Morris pour attaquer l'Environmental Protection Agency (EPA), et ce afin d'éviter qu'une législation contre le tabagisme passif ne soit adoptée. Quelles sont leurs motivations ? C'est une grande interrogation : pourquoi des scientifiques parfois connus ont-ils engagé leur réputation pour défendre l'industrie du tabac qui tue les gens ? On aurait pu imaginer que leur seul moteur était l'argent. Mais c'est largement insuffisant. Nous montrons qu'au moins pour les scientifiques au cœur de ce feuilleton, les motivations étaient plus politiques et idéologiques que financières. Ils étaient des tenants de ce qu'on peut appeler le "fondamentalisme du libre marché", fondé sur le refus de toute réglementation. Beaucoup étaient animés par la peur que les réglementations environnementales contre les pluies acides, le trou d'ozone ou le tabac n'ouvrent la voie à un Etat de plus en plus intrusif et oppressif. Il n'en reste pas moins que certains chercheurs, en activité aujourd'hui, touchent beaucoup d'argent pour attaquer la science. Lorsque vous avez publié votre livre, imaginiez-vous que le déni de la science climatique serait une thèse défendue aujourd'hui, aux Etats-Unis, par les républicains ? Non, pas dans nos pires cauchemars ! Après l'ouragan Katrina en 2005, nous pensions vraiment que les gens réaliseraient que le changement climatique est une réalité. Nous pensions que notre livre serait surtout intéressant d'un point de vue historique... Les années qui ont suivi ont montré qu'il était ancré pour longtemps dans l'actualité. En Europe, on voit apparaître dans le débat public les arguments contre les sciences de l'environnement forgés des années auparavant aux Etats-Unis. Comment expliquer ce succès ? Notre travail a consisté à analyser l'offre, pas la demande ! Mais il y a plusieurs pistes pour répondre. Cette campagne a été à la fois systématique et très bien financée, elle a eu recours à des cabinets de relations publiques qui ont travaillé à bien "enrober" les messages à faire passer, afin de les rendre les plus efficaces possibles, etc. D'un côté, les scientifiques décryptent un dossier compliqué - le climat - et anticipent la survenue d'événements extrêmes (cyclones, sécheresses...) ; de l'autre, certains disent qu'il ne faut pas s'inquiéter, car le capitalisme et les lois du marché s'occuperont de tout... Quel est le message que vous préférez entendre ? En France, les climatosceptiques se recrutent à droite comme à gauche... L'histoire du climato-scepticisme est avant tout une histoire américaine qui prend sa source dans l'angoisse face au communisme... C'est le produit, à l'origine, d'un petit groupe de scientifiques qui ont fait leur carrière pendant la guerre froide et qui, après l'effondrement de l'URSS, ont vu dans les préoccupations environnementales un avatar du socialisme. Cette histoire résonne avec la culture américaine, qui repose sur l'individualisme et la tendance à considérer que le meilleur gouvernement est celui qui gouverne le moins. En Europe, socialisme et environnementalisme ont une connotation différente. Mais je vois cette campagne contre la science climatique comme une sorte de maladie qui s'est propagée. Et il y a toujours des raisons différentes de tomber malade ! Propos recueillis par Stéphane Foucart Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jojo67 Posté(e) le 30 mars 2012 Auteur Share Posté(e) le 30 mars 2012 Stéphane Foucart est un journaliste scientifique clairement engagé du côté du changement climatique d'origine anthropique (c'est son droit...), mais qui aime bien, faute d'arguments scientifiques, s'en prendre à la probité des climatologues sceptiques. Et c'est vrai que ces derniers temps sont durs pour les réchauffistes, car les observations ne corroborent pas les prévisions des modèles... ;) Son livre "Claude Allègre et Cie, enquête sur les ennemis de la science", Éditions Denoël, est un véritable pamphlet. Le seul fait de mettre le nom de Claude Allègre dans le titre de son ouvrage relève de la manipulation des esprits, car Claude Allègre est un vulgarisateur en climatologie, pas un climatologue, et ça donne l'impression qu'il est la tête de proue des scientifiques sceptiques du climat au niveau mondial, ce qui est archi-faux. La liste des climatologues sérieux qui contestent la thèse officielle du Giec est bien longue et j'en ai déjà cité quelques-uns, mondialement connus, et peu suspects d'être des achetés. J'ajoute que pour toucher beaucoup d'argent en crédits de recherche, il vaut mieux aller dans le sens du Giec que contre... ;) Reste les faits: pas de hausse des températures depuis 15 ans, alors que le taux de CO2 est en constante progression, pas de hausse de la fréquence des ouragans depuis 30 ans, l'Antarctique qui persiste à se refroidir, des modèles qui prédisent bien le passé mais pas l'avenir, un rôle de la vapeur d'eau pour renforcer l'effet du CO2 (la fameuse rétroaction positive) qui repose sur des bases plus que branlantes, le rôle du soleil sous-estimé, etc. La dernière info en date: le Giec niait jusqu'ici que le réchauffement climatique du Moyen Age, appelé Optimum climatique du Moyen Age, ainsi que le Petit âge glaciaire qui a suivi, fussent des phénomènes planétaires. Pour lui ils ne concernaient que l'Atlantique Nord, en dépit des nombreuses études prouvant le contraire un peu partout dans le monde, et ce jusqu'en Chine. Hé bien une étude récente et novatrice utilisant l'ikaïte, un minéral un peu spécial, a montré que ces deux phénomènes climatiques ont en fait concerné aussi le continent antarctique... C'est très gênant pour le Giec, car qui dit réchauffement du Moyen Age entraîne qu'on ne peut plus parler de réchauffement "sans précédent" dans l'histoire humaine en parlant du XX° siècle, car au Moyen Age il faisait en fait aussi chaud voire plus selon certains qu'aujourd'hui. http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/climatologie-1/d/likaate-nouvel-outil-pour-actudier-le-changement-climatique_37659/ Si on lit l'étude elle-même (qu'un ami physicien m'a procuré), et pas le résumé qu'en fait Futura-sciences, on lit ceci : Calcium carbonate can crystallize in a hydrated form as ikaite at low temperatures. The hydration water in ikaite grown in laboratory experiments records the δ 18O of ambient water, a feature potentially useful for reconstructing δ 18 O of local seawater. We report the first downcore δ 18 O record of natural ikaite hydration waters and crystals collected from the Antarctic Peninsula (AP), a region sensitive to climate fluctuations. We are able to establish the zone of ikaite formation within shallow sediments, based on porewater chemical and isotopic data. Having constrained the depth of ikaite formation and δ 18 O of ikaite crystals and hydration waters, we are able to infer local changes in fjord δ 18 O versus time during the late Holocene. This ikaite record qualitatively supports that both the Medieval Warm Period and Little Ice Age extended to the Antarctic Peninsula. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Drakene Posté(e) le 31 mars 2012 Share Posté(e) le 31 mars 2012 Cette article à le mérite de remettre à leurs place les climato-sceptiques, avec toutes les luttes d'influences et divers lobbying, sans compter les "experts", à la fois expert en climatologie, en calotte glaciaire, en gaz à effet de serre, en sucre d'orge et en tabac froid.Tout ça pour dire qu'effectivement je n'ai jamais rencontré de gars qui bossent sur le réchauffement et qui accorde le moindre intérêt aux théories complotistes du non réchauffement, comme dit dans l'article.Ils font leurs jobs et connaissent les résultats, pas besoin de venir leur expliquer.En fait y a vraiment un truc qui m'énerve avec les tenants de la théorie du non réchauffement, c'est qu'ils font exprès de rien comprendre au fonctionnement du GIEC.Pourtant le rôle du GIEC est simple (trop ?), il consiste juste à compiler toutes les études en rapport avec le climat qui sortent pour en faire une synthèse (toutes les études y passent, qu'elles apportent de l'eau au moulin ou non).Du coup j'ai vraiment du mal à comprendre pourquoi, si les rapports disaient le contraire, le GIEC irait dans ce sens, alors qu'il est commandité par tous les états de la planète pour mettre en commun toutes les connaissances du monde sur le sujet et ainsi avoir une vue d'ensemble la plus juste possible pour adopter les politiques qui conviennent le mieux.Si 4000 scientifiques de 1er ordre, avec un des rôles les plus important au monde à l'heure actuelle, abandonne toute déontologie, autant arrêter de croire en la science de-suite, car les fondements même sont brisés. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jojo67 Posté(e) le 31 mars 2012 Auteur Share Posté(e) le 31 mars 2012 En fait y a vraiment un truc qui m'énerve avec les tenants de la théorie du non réchauffement, c'est qu'ils font exprès de rien comprendre au fonctionnement du GIEC. Pourtant le rôle du GIEC est simple (trop ?), il consiste juste à compiler toutes les études en rapport avec le climat qui sortent pour en faire une synthèse (toutes les études y passent, qu'elles apportent de l'eau au moulin ou non). C'est toi qui ne connaît pas le fonctionnement du Giec... Le GIEC se compose d’un Bureau et d’une Assemblée générale. Le Bureau compte une trentaine de membres qui ne sont pas tous des scientifiques, et qui sont élus pour cinq à six ans par l’Assemblée générale. C’est le Bureau qui organise le travail préparatoire aux publications du GIEC, en s’appuyant sur les travaux de scientifiques qu’il sélectionne lui-même (avec les représentants des gouvernements) et à partir des résultats desquels il rédige son rapport. Les scientifiques qui travaillent sur les causes du changement climatique font partie du « Groupe de travail n°1 », ceux qui travaillent sur ses conséquences, du « Groupe de travail n°2 ». Le Giec ne prend jamais les études qui n'apporte pas de l'eau à son moulin. Voir ce qu'en disent les démissionnaires du Giec comme par exemple le célèbre Richard Lindzen ici: http://www.pensee-unique.fr/lindzen.html Du coup j'ai vraiment du mal à comprendre pourquoi, si les rapports disaient le contraire, le GIEC irait dans ce sens, alors qu'il est commandité par tous les états de la planète pour mettre en commun toutes les connaissances du monde sur le sujet et ainsi avoir une vue d'ensemble la plus juste possible pour adopter les politiques qui conviennent le mieux. Lis donc la mission du Giec et tu comprendras pourquoi le ver est dans le fruit dès le départ et l'objectivité impossible pour lui. Je la cite: « Le GIEC a pour mission d’évaluer, sans parti pris et de façon méthodique, claire et objective, les informations d’ordre scientifique, technique et socio-économique qui nous sont nécessaires pour mieux comprendre les fondements scientifiques des risques liés au changement climatique d’origine humaine, cerner plus précisément les conséquences possibles de ce changement et envisager d’éventuelles stratégies d’adaptation et d’atténuation. » Etc. Bref, c'est le changement climatique d'origine humaine que le Giec a pour mission d'élucider, pas le changement climatique tout court. Tu comprends? ;) Va trouver un seul organisme administratif à la surface de cette terre qui ponde un rapport qui lui fasse mettre la clé sous la porte... :lol: Mais ce n'est pas tout, le processus de décision du Giec est tout sauf scientifique, comment cela se passe-t-il? L’esquisse de rapport final du Giec est rédigée par le GIEC lui-même, ensuite seulement les experts sont choisis par les organisations et les gouvernements pour étayer son plan, et avant la rédaction finale (réalisée par le GIEC) les représentants des gouvernements sont consultés encore deux fois pour valider les travaux. Dans quelle autre discipline les scientifiques travaillant sur un projet sont-ils tenus de faire valider leurs conclusions par les représentants des pouvoirs politiques nationaux ? Ce qui ferait scandale ailleurs serait-il normal en matière de climat ? Si 4000 scientifiques de 1er ordre, avec un des rôles les plus important au monde à l'heure actuelle, abandonne toute déontologie, autant arrêter de croire en la science de-suite, car les fondements même sont brisés. Ce n'est pas 4000 scientifiques, mais 2400 "experts" consultés lors du dernier rapport de 2007 que tu peux consulter ici (annexe V): http://www.ipcc.ch/pdf/assessment-report/ar4/syr/ar4_syr_fr.pdf Qui sont ces "experts"? Ben tu lis en annexe V qu'il y a des climatologues certes, (dont on ne nous donne pas le nombre), mais aussi des juristes, des membres d'ONG, des universitaires sans précision, des techniciens de l'électricité, de l'agroalimentaire, des écologistes, des représentants des gouvernements sans compétence climatique, etc. Bref... Nota: Les chercheurs les plus connus qui ont refusé de se soumettre à un « consensus » du Giec qu’ils jugent infondé sont : R. Lindzen, R.A. Pielke Sr., J. Christy, R. Spencer, Chris Landsea, T.F. Ball, R.A. Bryson, M. Leroux, A.D. Clark, R.S. Courtney, C. Essex, W.M. Gray, C.D. et S.B Idso, H. Svensmark, N. Shaviv, W. Kininmonth, A.J. Tom van Loon, R. McKitrick, V. Courtillot, H. Tennekes, Judith Curry, etc. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Drakene Posté(e) le 31 mars 2012 Share Posté(e) le 31 mars 2012 C'est toi qui ne connaît pas le fonctionnement du Giec... Le GIEC se compose d’un Bureau et d’une Assemblée générale. Le Bureau compte une trentaine de membres qui ne sont pas tous des scientifiques, et qui sont élus pour cinq à six ans par l’Assemblée générale. C’est le Bureau qui organise le travail préparatoire aux publications du GIEC, en s’appuyant sur les travaux de scientifiques qu’il sélectionne lui-même (avec les représentants des gouvernements) et à partir des résultats desquels il rédige son rapport. Les scientifiques qui travaillent sur les causes du changement climatique font partie du « Groupe de travail n°1 », ceux qui travaillent sur ses conséquences, du « Groupe de travail n°2 ». Le Giec ne prend jamais les études qui n'apporte pas de l'eau à son moulin. Voir ce qu'en disent les démissionnaires du Giec comme par exemple le célèbre Richard Lindzen ici: http://www.pensee-unique.fr/lindzen.html Moui... Avec une lecture comme la tienne c'est sûr il y a une couille dans le pâté :-X Faut pas prendre les choses à l'envers et leur faire dire ce qui nous arrange. Le rôle du GIEC est de connaitre l'influence des hommes sur le climat alors forcément si une étude parle du recule d'un glacier dans une région précise à une altitude donnée, le tout en sachant que cette région n'a pas subit dévolution probante au cours de ces 50 dernières années, est trop éloigné des grands centres urbains, ne fait pas parties des zones touchées à plus de 0.5% par les effets du réchauffement, on ne vas pas s'encombrer avec ça alors qu'il y a des dizaines ou des centaines de milliers d'autres études à décortiquer. Sinon c'est pas 4, 5 ou 6000 personnes qu'il faudrait mais 50.000 ou 100.000 pour distiller 7 ans de recherches sur le climat :O Lis donc la mission du Giec et tu comprendras pourquoi le ver est dans le fruit dès le départ et l'objectivité impossible pour lui. Je la cite: « Le GIEC a pour mission d’évaluer, sans parti pris et de façon méthodique, claire et objective, les informations d’ordre scientifique, technique et socio-économique qui nous sont nécessaires pour mieux comprendre les fondements scientifiques des risques liés au changement climatique d’origine humaine, cerner plus précisément les conséquences possibles de ce changement et envisager d’éventuelles stratégies d’adaptation et d’atténuation. » Etc. Bref, c'est le changement climatique d'origine humaine que le Giec a pour mission d'élucider, pas le changement climatique tout court. Tu comprends? ;) Va trouver un seul organisme administratif à la surface de cette terre qui ponde un rapport qui lui fasse mettre la clé sous la porte... :lol: Mais ce n'est pas tout, le processus de décision du Giec est tout sauf scientifique, comment cela se passe-t-il? L’esquisse de rapport final du Giec est rédigée par le GIEC lui-même, ensuite seulement les experts sont choisis par les organisations et les gouvernements pour étayer son plan, et avant la rédaction finale (réalisée par le GIEC) les représentants des gouvernements sont consultés encore deux fois pour valider les travaux. Dans quelle autre discipline les scientifiques travaillant sur un projet sont-ils tenus de faire valider leurs conclusions par les représentants des pouvoirs politiques nationaux ? Ce qui ferait scandale ailleurs serait-il normal en matière de climat ? Comme déjà dit effectivement le rôle du GIEC est de comprendre l'influence qu'a l'homme sur le climat et de la mesurer. Pour cela il s'appuie sur toute les études qui sortent et oui il y a une sélection comme dit plus haut. Si j'fais un mémoire sur les journaux communistes sur la période 1954 - 1956, je vais pas aller chercher des sources sur mai 68 et en parler... (ou en ouverture à la rigueur). C'est juste logique en fin de compte. Les processus de validation peuvent toujours être contestés, mais là il ne s'agit pas de développer une thèse, il s'agit d'un rapport qui condense tout ce qui peut sortir en étude sur le réchauffement climatique en rapport avec l'homme sur plusieurs années, pour que les politiques sachent quelles politiques et mesures adopter. Et tu sais pourquoi ces textes passent devant des instances "juridiques" ? C'est un programme mondial ou tous les pays du monde participent et il faut que ces foutus rapports soit politiquement correct et ne déclenchant pas de crise. Il faut qu'ils ne lèsent personne tout en arrivant à dire la vérité même si cela dérange (même pas fait exprès :oops:). Ces rapports doivent dire à la fois, lui il pollue et ça fait fondre les glaciers chez sont voisin, mais de la manière la plus correcte possible sinon les rapports se transformerait vite en, "Faut annihiler la Chine et les USA car ils polluent autant que le reste du monde à eux seuls et donc 6 milliards de personnes pourraient vivre tranquillement s'ils n'étaient pas là". C'est surtout pour cela que les rapports passent par tous les étages. C'est une instance de l'ONU, tous les pays ont droit au même traitement car ce n'est pas le CS ;) Ce n'est pas 4000 scientifiques, mais 2400 "experts" consultés lors du dernier rapport de 2007 que tu peux consulter ici (annexe V): http://www.ipcc.ch/pdf/assessment-report/ar4/syr/ar4_syr_fr.pdf Qui sont ces "experts"? Ben tu lis en annexe V qu'il y a des climatologues certes, (dont on ne nous donne pas le nombre), mais aussi des juristes, des membres d'ONG, des universitaires sans précision, des techniciens de l'électricité, de l'agroalimentaire, des écologistes, des représentants des gouvernements sans compétence climatique, etc. Bref... Nota: Les chercheurs les plus connus qui ont refusé de se soumettre à un « consensus » du Giec qu’ils jugent infondé sont : R. Lindzen, R.A. Pielke Sr., J. Christy, R. Spencer, Chris Landsea, T.F. Ball, R.A. Bryson, M. Leroux, A.D. Clark, R.S. Courtney, C. Essex, W.M. Gray, C.D. et S.B Idso, H. Svensmark, N. Shaviv, W. Kininmonth, A.J. Tom van Loon, R. McKitrick, V. Courtillot, H. Tennekes, Judith Curry, etc. Crois moi, y a bien plus de monde dans la machinerie du GIEC que les 2400 "abonnés", rien que les stagiaires qui doivent lire les études et les condenser y a de quoi faire pâlir d'envie la fonction publique :oops: Pour les experts, oui il n'y a pas que des scientifiques, il y a même des femmes de ménages au GIEC, forcément sinon les bureaux seraient sales. Plus sérieusement il faut un groupe de 5 ou 10 experts dans une revue pour valider/publier une étude et ainsi être reconnu par ses pairs, là il y en a des milliers, donc bon ça fait un sacré comité de lecture quand même =) Je veux bien croire que peut-être dans 10 ans on nous dise finalement on avait tort car nos connaissances actuelles n'étaient pas suffisante (c'est ça la science), mais je ne veux pas croire qu'il y a un complot mondial regroupant tout les pays du monde, pour faire avaler aux gens qu'il y a une partie du réchauffement climatique qui est d'origine humaine alors que cela serait totalement faux Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Akhilleus Posté(e) le 1 avril 2012 Share Posté(e) le 1 avril 2012 Je veux bien croire que peut-être dans 10 ans on nous dise finalement on avait tort car nos connaissances actuelles n'étaient pas suffisante (c'est ça la science), mais je ne veux pas croire qu'il y a un complot mondial regroupant tout les pays du monde, pour faire avaler aux gens qu'il y a une partie du réchauffement climatique qui est d'origine humaine alors que cela serait totalement faux +1 Tu mets le doigt sur le problème de l'interpretation des rapports L'aspect scientifique (ces données veulent dire cela dans le contexte de connaissance actuel) et l'aspect politisation du problème (qui lui n'a rien de scientifique) M'enfin quand on sait que les plus gros detracteurs du GIEC sont des lobbies US y'a pas à chercher midi à 14h on est plus dans de la science mais dans de l'influence politico economique Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jojo67 Posté(e) le 2 avril 2012 Auteur Share Posté(e) le 2 avril 2012 Ce n'est pas un complot mondial évidemment, c'est juste une conjonction d'intérêts convergents qui se sont agglutinés au cours du temps. On a un organisme, le GIEC, créé par le G8 en 1988, qui a un intérêt puissant à dire "c'est l'homme qui provoque le réchauffement" car c'est tout bêtement écrit en toutes lettres dans sa mission et qu'il n'est pas suicidaire. Cet organisme a obtenu des renforts divers en cours route, qui sont venus l'épauler et le crédibiliser: les mouvements écologistes d'abord, qui ont un intérêt évident dans cette affaire hautement culpabilisante, puis devant la mode consommatrice verte naissante, le monde économique, qui a embrayé et a proposé des produits verts ou neutres en terme de CO2 (cf. l'industrie nucléaire, les bagnoles propres etc.), la publicité qui surfe sur la vague "sauvons la planète". On a eu également le monde de la Recherche, qui a constaté avec gourmandise que les crédits affluaient en masse pour tout ce qui tournait autour du réchauffement anthropique (ce qui a boosté ce domaine*), enfin les gouvernements des puissances occidentales ont constaté avec joie que la taxe carbone emmerdait les pays émergents et permettait une sorte de protectionnisme sournois et "moral" très intéressant. Rajoutons une pincée de catastrophisme dans des médias qui vivent plus de la peur que de ce qui tourne bien, et la boucle est bouclée, le mouvement s'auto-entretient. Voilà un essai d'explication... =) * Il est d'ailleurs très marrant de voir des études qui contredisent dans leur démarche certains résultats du Giec, faire allégeance en quelques phrases dans leur conclusion finale à la vision officielle pour ne pas se démarquer du troupeau et perdre les brouzoufs... :lol: Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Drakene Posté(e) le 3 avril 2012 Share Posté(e) le 3 avril 2012 Ce n'est pas un complot mondial évidemment, c'est juste une conjonction d'intérêts convergents qui se sont agglutinés au cours du temps. On a un organisme, le GIEC, créé par le G8 en 1988, qui a un intérêt puissant à dire "c'est l'homme qui provoque le réchauffement" car c'est tout bêtement écrit en toutes lettres dans sa mission et qu'il n'est pas suicidaire. Cet organisme a obtenu des renforts divers en cours route, qui sont venus l'épauler et le crédibiliser: les mouvements écologistes d'abord, qui ont un intérêt évident dans cette affaire hautement culpabilisante, puis devant la mode consommatrice verte naissante, le monde économique, qui a embrayé et a proposé des produits verts ou neutres en terme de CO2 (cf. l'industrie nucléaire, les bagnoles propres etc.), la publicité qui surfe sur la vague "sauvons la planète". On a eu également le monde de la Recherche, qui a constaté avec gourmandise que les crédits affluaient en masse pour tout ce qui tournait autour du réchauffement anthropique (ce qui a boosté ce domaine*), enfin les gouvernements des puissances occidentales ont constaté avec joie que la taxe carbone emmerdait les pays émergents et permettait une sorte de protectionnisme sournois et "moral" très intéressant. Rajoutons une pincée de catastrophisme dans des médias qui vivent plus de la peur que de ce qui tourne bien, et la boucle est bouclée, le mouvement s'auto-entretient. Voilà un essai d'explication... =) * Il est d'ailleurs très marrant de voir des études qui contredisent dans leur démarche certains résultats du Giec, faire allégeance en quelques phrases dans leur conclusion finale à la vision officielle pour ne pas se démarquer du troupeau et perdre les brouzoufs... :lol: Pas trop le temps là mais je vais essayer de répondre. Il est important de comprendre ou se place le GIEC. Ce dernier est créer pour répondre à une question "Quel est l'impact de l'homme dans le réchauffement climatique ?". Tous les pays du monde se sont réunis lors de plusieurs "Sommet de la Terre" pour parler de notre planète et de son état. Le GIEC est créé en 88 mais cela n'a pas bien d'importance si ce n'est qu'il s'inscrit dans le sillage de ces sommets. Car, c'est en 92 au "Sommet de la Terre" à Rio de Janeiro que tout débute vraiment. Ainsi cette conférence donne naissance à la "Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques" ou (CCNUCC) et surtout à "l'Agenda 21", se sont là les lignes directrices pour les années à venir. Après la prise de conscience des années 80 ces "textes" permettent enfin de se mettre à l’œuvre, ainsi le Protocole de Kyoto vient comme une suite logique qui découle de tout cela. En effet au cours des divers "Sommet de la Terre" tous les participants se sont bien rendus compte que le temps n'était plus aux supputations mais à l'action. Alors que le monde comptait moins d'1/4 de pays développés, tous ressentaient les effets des changements environnementaux (qu'ils soient climatiques ou non), or les pays en voie de développement qui deviendront à cours ou moyens terme des pays développés ne peuvent suivre les chemins de leurs ainés et ces derniers pour leurs parts doivent faire des efforts, car si tous le monde continue sur la même lancé cela risque de rapidement d'être la fin pour tous, notre planète ne pouvant pas supporter 3/4 ou 100% de pays développé sur le modéle de l'époque (en gros). Donc on a des instances, des textes (législatifs ou non), des outils et des instruments pour mettre en branle toute cette machinerie, le GIEC étant un outils indispensable car il mesure et permet d'adopter les politiques qui conviennent, il s'inscrit donc dans cette logique. Pour les "taxes carbones" et autres réduction d'émissions de GES, j'imagine que tu fais référence au protocole de Kyoto ? Argument facile et souvent reprit par les climato-sceptiques mais totalement infondé, dû à la méconnaissance des mécanismes de ce dernier. Pour faire simple, moins de 40 pays ont une obligation de réduction avec le protocole et cela regroupe tous les pays "développés" (pays figurants à l'annexe B), les autres, eux au contraire c'est très valable pour leur part car il bénéficient du principe de subsidiarité et notamment les "Mécanisme de Développement Propre" ou MDP. Après que les capitaux aillent plus vers la Chine ou l'Inde (plutôt que dans les pays en voie de développement qui souffrent vraiment des changements) et favorise les délocalisations... C'est là tout le problème de suivre les USA sur une voie qu'ils finissent par ne pas emprunter eux même :P Pour ce qui est du marketing on ne peut pas y couper, suffit d'attendre que la mode soit au cynisme pour faire vendre avec des marées noires, des pluies acides, ou des massacre de bébés phoques et puis le tour est joué :oops: Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jojo67 Posté(e) le 3 avril 2012 Auteur Share Posté(e) le 3 avril 2012 C'est bien ce que je disais, le Giec c'est de la science politique. La première victime étant la vérité. Mais patience, tout ça finira par éclater au grand jour, juste par l'épreuve des faits... ;) Au lieu de dire "on ne sait pas encore comment fonctionne le climat", on préfère raconter des histoires reposant sur des bases fragiles, tirées de modélisations informatiques hasardeuses, que les mesures commencent à contredire d'ailleurs. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 4 avril 2012 Share Posté(e) le 4 avril 2012 Le CO2, vrai coupable de la fin du dernier Age de glace PARIS - N'en déplaise aux climato-sceptiques, le CO2 est le vrai coupable du réchauffement que notre planète a connu voici 10.000 à 20.000 ans et c'est lui qui a mis fin au dernier Age de glace, assure une étude publiée mercredi. Jusqu'à présent, le rôle exact joué par le dioxyde de carbone (CO2) dans la fin de cet épisode de glaciation était toujours resté obscur, voire contradictoire. En effet, la hausse des températures qu'on peut lire dans les carottes de glace prélevées en Antarctique survient chronologiquement avant la hausse de la concentration en CO2, explique Jeremy Shakun, du département des Sciences de la Terre de l'Université américaine de Harvard, qui a dirigé cette étude. De nombreux climato-sceptiques s'étaient engouffrés dans la brèche, utilisant cet argument pour défendre l'idée que les gaz à effet de serre (GES), tels le CO2, ne contribuent pas au réchauffement actuel. Selon eux, le réchauffement enregistré à la fin de la dernière période glaciaire était tout simplement lié à une légère variation dans l'orbite de la Terre qui a augmenté l'impact des rayons solaires à la surface de notre planète. Pour répondre à cette critique, les climatologues expliquent que le décalage entre hausses du CO2 et des températures signifie que les GES n'ont pas déclenché le réchauffement mais qu'ils l'ont tout de même considérablement amplifié. Ils étaient toutefois bien embêtés pour le prouver. Jeremy Shakun et son équipe sont partis du principe que les bulles d'air piégées dans les échantillons de glace révèlent bien le taux de CO2 pour l'atmosphère terrestre au niveau global mais que les températures qu'on peut y lire dans cette glace ne reflètent, elles, que les variations au niveau local. Ces températures concerneraient donc uniquement l'Antarctique mais ne seraient pas représentatives de la planète tout entière. Pour valider leur hypothèse, ils ont utilisé 80 échantillons géologiques (sédiments marins, terrestres et carottes de glace) provenant de différentes zones du globe pour reconstruire un modèle du climat qui prévalait à la fin du dernier Age de glace. Et leurs résultats démontrent que le CO2 est le vrai coupable du réchauffement de l'époque, insistent-ils. Le changement d'orbite est le déclencheur, mais ça ne va pas chercher bien loin (...) Notre étude montre que le CO2 était un facteur bien plus important, déclare M. Shakun. On obtient une magnifique corrélation entre ces températures globales et l'augmentation du CO2 à la fin de la dernière période glaciaire. Encore plus intéressant, si le CO2 est à la traîne par rapport au réchauffement de l'Antarctique, il précède bel et bien le réchauffement au niveau global, assure M. Shakun. C'est précisément ce que vous vous attendez à trouver si le CO2 est le responsable du réchauffement, souligne-t-il. Selon l'étude, la modification de l'orbite terrestre a amorcé la fonte d'une partie de la calotte glaciaire recouvrant l'Amérique du Nord et l'Europe. Des millions de litres d'eau douce ont alors afflué dans l'Atlantique nord, perturbant les courants océaniques qui redistribuent la chaleur au niveau de la planète. Ce climatiseur naturel ne fonctionnant plus correctement, la chaleur s'est accumulée dans l'Hémisphère sud, provoquant d'abord le réchauffement de l'Antarctique. Ce réchauffement localisé a fait fondre la banquise, relâchant dans l'atmosphère le CO2 qui était piégé dans l'océan. Et c'est ce CO2 qui a, dans un second temps, provoqué un réchauffement au niveau global. Avec un tel cercle vicieux, on a vite fait de sortir de l'Age de glace, résume Jeremy Shakun. Mais sortir de la dernière période glaciaire a tout de même pris environ 10.000 ans. Les niveaux de CO2 remontent de nouveau mais cette fois-ci, il n'aura fallu que 200 ans pour enregistrer une hausse équivalente, relève-t-il, insistant sur l'impact de ces émissions d'origine humaine sur le changement climatique actuel. (©AFP / 04 avril 2012 19h00) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jojo67 Posté(e) le 5 avril 2012 Auteur Share Posté(e) le 5 avril 2012 Ben voyons... ;) Elle est bonne celle-là. On sait pourtant que ce sont les évènements astronomiques qui font et défont les glaciations. Car leur impact est énorme sur le bilan radiatif de la terre. Ce sont: A- La précession des équinoxes. B- La variation de l’inclinaison de l’axe de la Terre. C- L’excentricité de l’orbite terrestre autour du Soleil. http://planet-terre.ens-lyon.fr/planetterre/XML/db/planetterre/metadata/LOMmilankovitch.xml La sommation de ces trois cycles de 23000 ans, 41000 ans, et 100000 ans, produit une courbe d’oscillation de l’intensité du rayonnement solaire qui contrôle le climat à l’échelle des temps géologiques en provoquant une variation d’intensité du rayonnement solaire d’environ +/-15% ce qui est énorme, et n'a rien à voir avec un doublement ou même un quadruplement du taux de CO2. Petit rappel: Le Soleil c’est 99% de la masse de tout le système solaire, 333 000 fois la masse de la Terre. La chaleur qu’il envoie par rayonnement est très stable : c’est la constante solaire dont la valeur moyenne au sol est de 350 Watts/m² et qui varie en fonction du cycle de Schwabe, qui a des durées moyennes de 11,2 ans. Entre le haut et le bas du cycle, l’amplitude des variations est faible: 0,1%. Bref pour revenir à nos cycles astronomiques, 15% de 350 Watts/m² ça fait 52 Watts/m². Ok? Pour le CO2, le Giec lui-même dit que le doublement de son taux dans l'atmosphère provoque un surcroît de forçage radiatif de 3,7 Watts/m² (cf. le dernier rapport de 2007 du Giec). Vous allez me dire si c'est pas le double mais le quadruple ça fait... Nan, car y a un effet de saturation lié à la fameuse formule : F = A ln (C/C0) où F est le forçage radiatif en Watts/m², A une constante qui vaut 5,35, ln étant le logarithme népérien, C le taux de CO2 final, et enfin C0 le taux de CO2 initial. Je n'invente pas cette formule elle est dans le rapport du Giec et on la trouve aussi ici sur le site de la NOAA (très lié au Giec) : http://www.esrl.noaa.gov/gmd/aggi/ Bref si on multiplie le taux de CO2 par 4 on obtient à peine +7,41W/m². Loin des 52 Watts/m² provoqués par les facteurs astronomiques. Et encore je n'ai pas lu l'étude et je doute fort que le taux de CO2 ait quadruplé lors de la dernière déglaciation, ce qui serait absolument gigantesque... "Les GES n'ont pas déclenché le réchauffement reconnaissent les auteurs de cette étude, mais ils l'ont tout de même considérablement amplifié". Ben non, car quelques watts contre 52 ça fait pas bézef... :lol: Comment un nain pourrait-il "considérablement amplifier" un mouvement initié par un géant, si ce n'est à la marge, de façon négligeable? Et tout ça bien sûr si l'on croit que cette formule cité plus haut "fonctionne" dans la réalité, car c'est contesté par des climatologues mais aussi des physiciens théoriciens mais développer ce point nous amènerait trop loin et serait hs... Dernière précision: l'on sait que lors des réchauffements le taux de CO2 monte dans l'atmosphère essentiellement en raison du fait que les océans libèrent le CO2 qu'ils ont stocké (en le dissolvant) lors des périodes de refroidissement. Par exemple en ce moment même, le taux de CO2 monte à raison de 97% pour des causes naturelles et à 3% pour des causes d'origine humaine. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bruno Posté(e) le 5 avril 2012 Share Posté(e) le 5 avril 2012 M'enfin quand on sait que les plus gros detracteurs du GIEC sont des lobbies US y'a pas à chercher midi à 14h on est plus dans de la science mais dans de l'influence politico economique Oui c'est bien vrai ça : Jojo67 malgré ton argumentaire très fourni, et très détaillé tu occultes ce point ; je veux dire tu aimes souligner que certains membres du GIEC ne sont pas des scientifiques, mais des gens déjà convaincus de la cause anthropique du réchauffement climatique de par leur activité de militant d'ONG, etc .... mais tu n'insistes pas sur le fait inverse, qui est que bon nombre de climato-sceptiques parmi les plus actifs dans médias sont liés aux puissantes firmes de l'industrie pétro-chimique. Dés lors on peut leur suspecter la même malhonnêteté intellectuelle/scientifique que celle qu tu attribues aux membres du GIEC. Et puis si la "taxe carbone" européenne peut aider un tant soit peu à accélérer l'inévitable évolution d'un modèle social de gros gaspillage (phénomène devenu mondial) vers des sociétés plus sobres, plus économes et plus respectueuses vis à vis de la Nature nourricière, c'est très bien. D'autant plus que et je crois l'avoir déjà rappelé (d'ailleurs le fameux Claude Allègre estime qu'il s'agit cette fois d'un effet réel de l'augmentation du taux de CO2 dans l'atmosphère) les océans sont en train de s'acidifier, ce qui représente une vraie menace pour la survie de nombreuses espèces marines, à commencer par le plancton Et qui dit menace pour la vie aquatique dit à terme menace pour l'alimentation des Humains ... Donc désolé, mais que nos rejets débridés de CO2 aient ou non une influence sur le climat il faut dans les 2 cas les réduire le plus vite possible ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jojo67 Posté(e) le 7 avril 2012 Auteur Share Posté(e) le 7 avril 2012 Bruno je ne m'intéresse pas aux arguments ad hominem. Juste aux faits scientifiques. L'argument de "l'achat" des chercheurs par les compagnies pétrolières est l'arme de celui qui n'a plus aucun argument à opposer aux faits gênants. D'ailleurs si l'on vient sur ce terrain, on pourrait en dire pas mal sur le président du Giec lui-même et ses conflits d'intérêts etc. ;) Mais je me cantonne aux faits, c'est ma ligne, sinon ce n'est plus de la science mais de la politique. J'ajoute que des gens comme Lindzen, Curry, Leroux (décédé), Spencer, Pielke, Singer, Christy, McIntyre, etc sont des climatologues ou des scientifiques sérieux et reconnus qui publient dans des revues scientifiques réputées à comité de lecture, et qui ne peuvent se permettre de bidonner leurs études au risque de voir leur réputation foutue par terre. Surtout dans leur position de climato-sceptiques où ils sont étudiés de près par leurs confrères réchauffistes. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bruno Posté(e) le 22 mai 2012 Share Posté(e) le 22 mai 2012 Un petit article intéressant sur les méfaits du "carbone suie" : des particules polluantes à faible durée de vie (3 à 8 jours) mais fort nocives pour nos poumons et ayant un effet au moins local sur le climat : http://www.enerzine.com/604/13949+carbone-suie-entre-enjeux-sanitaires-et-rechauffement-climatique+.html Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jojo67 Posté(e) le 4 août 2012 Auteur Share Posté(e) le 4 août 2012 Une petite mise au point sur les articles alarmistes récents concernant la fonte de la surface glacée du Groenland, (et pas de la calotte de glace qui elle fait 3 km d'épaisseur et qui se porte bien...) où une bonne partie de la presse ne s'est pas couverte de gloire question rigueur et honnêteté, une fois de plus...: http://www.pensee-unique.fr/bonnetdane.html#media Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Drakene Posté(e) le 4 août 2012 Share Posté(e) le 4 août 2012 En voyant la devise du site on pourrait leur rétorquer "En matiére de sciences, l'honnêteté est un devoir". La glace faisant en moyenne plutôt dans les 2km d'épaisseur et non 3. Ensuite il se plaignent que les médias reprennent l'info sans la comprendre, mais eux aussi en sont incapable ! Car la news ne concerne pas la fonte des glaces, mais le dégel. En effet, 97 % de la glace du Groenland serait entrée en état de dégel en quatre jours Alors qu'en temps normal c'est 50% qui est concerné par le dégel. Donc cette news est bien est bien sans précédent. Et ce "site" est bien d'une mal honnêteté intellectuelle sans précédent et de plus il se permet de donner un bonnet d'âne au journaliste qui comprenne de travers mais l'auteur aussi semble passer volontairement ou non à coté de l’essentiel :lol: >:( Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jojo67 Posté(e) le 4 août 2012 Auteur Share Posté(e) le 4 août 2012 En voyant la devise du site on pourrait leur rétorquer "En matiére de sciences, l'honnêteté est un devoir". La glace faisant en moyenne plutôt dans les 2km d'épaisseur et non 3. Ensuite il se plaignent que les médias reprennent l'info sans la comprendre, mais eux aussi en sont incapable ! Car la news ne concerne pas la fonte des glaces, mais le dégel. Alors qu'en temps normal c'est 50% qui est concerné par le dégel. Donc cette news est bien est bien sans précédent. Et ce "site" est bien d'une mal honnêteté intellectuelle sans précédent et de plus il se permet de donner un bonnet d'âne au journaliste qui comprenne de travers mais l'auteur aussi semble passer volontairement ou non à coté de l’essentiel :lol: >:( Je doute que tu ai lu l'article à fond ou que tu l'ai compris correctement. A titre info, l'auteur est physicien, Directeur de Recherche de première classe du CNRS en retraite depuis 2004, ancien Directeur des Etudes (1996-2003, maintenant Honoraire) de l'Ecole Supérieure de Physique et Chimie de Paris (ESPCI), auprès de Pierre-Gilles de Gennes, et ancien Vice-Président, Chargé de la Recherche, de l'Université Pierre et Marie Curie (1986-1992). J'ajoute, car il le dit lui-même, qu'il est sensibilité plutôt à gauche. Alors pour en revenir à ses titres scientifiques, dire qu'il ne comprend pas vraiment ce qu'il dit là mon vieux tu repasseras... :lol: Tiens pour la route, une nouvelle étude portant sur la qualité des mesures des stations météo terrestres, montre que la moitié du réchauffement climatique aux USA est artificielle. http://wattsupwiththat.com/2012/07/29/press-release-2/ On savait déjà que la plupart des stations météo étaient victimes de l'effet de chaleur urbain, mais là c'est la première fois qu'on quantifie cet effet sur le contient Nord Américain en son entier. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Drakene Posté(e) le 4 août 2012 Share Posté(e) le 4 août 2012 Je doute que tu ai lu l'article à fond ou que tu l'ai compris correctement. A titre info, l'auteur est physicien, Directeur de Recherche de première classe du CNRS en retraite depuis 2004, ancien Directeur des Etudes (1996-2003, maintenant Honoraire) de l'Ecole Supérieure de Physique et Chimie de Paris (ESPCI), auprès de Pierre-Gilles de Gennes, et ancien Vice-Président, Chargé de la Recherche, de l'Université Pierre et Marie Curie (1986-1992). J'ajoute, car il le dit lui-même, qu'il est sensibilité plutôt à gauche. Alors pour en revenir à ses titres scientifiques, dire qu'il ne comprend pas vraiment ce qu'il dit là mon vieux tu repasseras... :lol: Tiens pour la route, une nouvelle étude portant sur la qualité des mesures des stations météo terrestres, montre que la moitié du réchauffement climatique aux USA est artificielle. http://wattsupwiththat.com/2012/07/29/press-release-2/ On savait déjà que la plupart des stations météo étaient victimes de l'effet de chaleur urbain, mais là c'est la première fois qu'on quantifie cet effet sur le contient Nord Américain en son entier. Et alors il est physicien pas climatologue, météorologue, ou que sais-je encore. Pourtant il n'est pas honnête et semble ne pas entièrement maitriser ce dont il parle. Rien que le fait de parler de fonte au lieu de dégel (qui ne sont pas les mêmes actions) est lourd de sens (physicien en plus !). Il utilise plutôt certains termes et certains chiffres (sortis de leur contexte) ce qui en dit long sur l’honnêteté et/ou la maitrise du sujet. Soit il est très malhonnête, soit il ne capte rien à rien, ou les deux... PS : pour l’étude, les espaces urbains ont une influence sur le climat, donc c'est en partie normal que l'on prenne en compte les données qui en découle et non une erreur. Recouper avec d'autres données ça aide à comprendre leur impact ;) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Messages recommandés
Créer un compte ou se connecter pour commenter
Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire
Créer un compte
Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !
Créer un nouveau compteSe connecter
Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.
Connectez-vous maintenant