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1er RPIMa


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Un article tres sympa sur le site du 1er RPIMa

Lieutenant et pourtant simple chef de groupe RAPAS 

Au 1er Régiment de Parachutistes d’Infanterie de Marine, les lieutenants ne sont pas, au moins dans un premier temps, des chefs de section comme partout ailleurs, mais, et cela peut sembler réducteur, ils occupent la fonction de chef de groupe RAPAS. C’est une des nombreuses spécificités, de l’unique régiment des troupes de marine de la BFST .

Pour un lieutenant à qui, depuis le tout début de sa scolarité on a associé dans son esprit comme seul périmètre possible de ses responsabilités à sa sortie d’école, le volume d’une section, se voir confier un petit groupe peut sembler déconcertant. Pour autant, par-delà un univers singulier en termes de spécialisations, de missions, de matériels et d’armements, la problématique du commandement est toujours la même : donner des ordres en s’assurant que nos subordonnés aient les moyens de les mettre en œuvre, contrôler leur exécution, rendre compte, tout en s’efforçant de créer un climat de confiance réciproque, d’adhésion voire de sérénité.

Pour mieux appréhender les multiples facettes de cette fonction « chef de groupe RAPAS », il faut décrire les contours de l’environnement dans lequel le lieutenant est amené à commander et imaginer les missions qu’il doit assumer en opération à travers les formations et les entraînements suivis tout au long de l’année.

Vous l’aurez compris, à Bayonne l’échelon de combat immédiatement inférieur à la compagnie est le groupe, au nombre de huit par unité élémentaire. Le lieutenant, au terme d’une intense période de formation et d’intégration qui débute dés son arrivée et qui est partagée avec les sous-officiers qui ont la même vocation (4 mois), prend les fonctions de chef de groupe. Chaque groupe possède les savoir-faire communs aux opérations spéciales avec plusieurs spécialités complémentaires (chute opérationnelle à plus ou moins grande hauteur, reconnaissance spéciale, tir de haute précision, contre-terrorisme, patrouille profonde,…) qui garantissent à l’employeur, maîtrise et efficacité dans tous les milieux et quelque que soit le mode de mise en place.

Aussi, commander dix à douze équipiers, multi-qualifiés, très expérimentés et de tout grade, revêt quelques particularismes comparés à une section de quarante soldats.

L’esprit d’équipe, d’abord, est particulièrement marqué, chaque groupe allant même jusqu’à développer une « identité » propre, souvent source d’une saine émulation. Tous les membres du groupe se connaissent parfaitement (et même familialement) et de nombreux automatismes apparaissent ainsi naturellement. Les relations hiérarchiques sont moins empruntes de formalisme au quotidien, même si tous se tournent vers le chef quand vient l’heure des choix. Il existe bien une hiérarchie interne au groupe, mais chacun peut être amené à se trouver « leader » ponctuellement, en fonction de ses compétences spécifiques. Jusqu’à l’échelon le plus bas, chacun doit être capable d’autonomie et oser les initiatives et lorsque après analyse elles s’avèrent mauvaises, elles sont systématiquement réétudiées dans une « 3 alpha » qui se doit d’être pédagogique. L’objectif n’est pas de « paralyser » les initiatives, mais bien de développer l’intelligence de situation qui nous est chère.

Une autre caractéristique de « l’univers RAPAS » est la diversité du personnel (de toutes armes et de toutes origines) dont la spécialisation est poussée à l’extrême. Au sein de mon groupe par exemple, les équipiers ont des qualifications individuelles très variées : moniteur de tir de combat sur différentes armes (HK 416, M4, SIG, ERYX, minimi, FRF2, HK417), spécialiste en explosifs (issu du génie combat), spécialiste en effraction douce et sabotage, garde du corps, transmetteur, auxiliaire sanitaire, chef de détachement haute montagne (issu de la BIM), spécialiste jungle (Manaus), marqueur de zone de saut et largueur avions et hélicos, ainsi que spécialiste photos. Chacun apporte ses connaissances et son expérience dans ses spécialités, le but étant de former une entité autonome, capable de remplir toutes les missions.

Cette spécialisation accrue a un impact évident sur le style de commandement, car le chef de groupe doit être familiarisé avec l’ensemble des capacités de ses hommes, mais il ne peut raisonnablement être spécialiste dans chaque domaine. Ainsi lors de l’élaboration du mode d’action, chacun intervient activement afin d’étudier la solution la plus adaptée, chacun est concerné, chacun est consulté. Ce système peut sembler laxiste ou démagogique, mais il permet en réalité d’exploiter au mieux la richesse de chaque individu à travers sa diversité. Il repose sur l’implication de tous, il valorise chaque membre du groupe, il donne à chacun le sentiment d’exister à travers les autres, il favorise l’adhésion de tous au même objectif, même si, in fine, le chef doit toujours prendre la décision et assumer ses responsabilités. Ce style de commandement impose au jeune chef une réactivité, une humilité et une intelligence de situation qui sont cruciales pour l’exercice de son autorité, il permet à chaque membre du groupe de comprendre, non seulement la lettre de la mission mais aussi et surtout, l’esprit.

L’environnement spécifique du groupe RAPAS étant brossé, intéressons-nous au travail au quotidien, à l’entraînement et à la formation.

Au quartier, la première caractéristique donnant tout son attrait à la fonction de chef de groupe est l’autonomie dont il dispose dans la planification, comme dans la conduite de son entraînement. En effet, chaque groupe fonctionne sur le principe du « rendez-vous sur objectif », et comme pour les échelons inférieurs, le chef de groupe est ainsi responsabilisé au maximum. Hormis les départs en opération qui sont souvent inopinés, les exercices de niveau brigade et régiment ou les séquences d’entrainement à l’étranger (jungle par exemple) qui sont imposés, chaque chef de groupe se doit de créer son emploi du temps annuel après avoir intégré les directives et les contraintes du commandant d’unité.

Pour entretenir toutes ces spécialités, il faut procéder par séquences d’entraînement successives : deux semaines à dominante combat motorisé, trois semaines de combat en milieu clos, une semaine « 3ème dimension » (sauts, aérocordage), deux semaines de combat en montagne, ...etc. Le tir est quasi quotidien, tout comme le sport pratiqué avec la plus grande diversité (sport de combat, escalade, VTT, run and bike, ….). L’exploitation des infrastructures de l’armée de Terre : camps (Souge, Caylus), Centre de Tir Adapté de Pau, Centre National d’Entrainement Commando ou chalets de montagne, est privilégiée, le plus souvent en totale autonomie et à l’échelle du groupe. Par ailleurs, une grande diversité de stages (internes au régiment ou nationaux) permet régulièrement à nos équipiers d’accroître leurs qualifications (pas moins de 70 actions de formation sont aujourd’hui répertoriées au régiment). Enfin nous sommes amenés à participer aux échanges bilatéraux organisés dans nos domaines de spécialités : Suède pour le combat en milieu froid ou le combat en zone urbaine, Suisse pour le tir de précision par exemple.

Ces formations complémentaires sont essentielles pour développer la polyvalence et la richesse du groupe, elles évitent toute monotonie entre deux missions, elles obligent la remise en question, elles valorisent les parcours professionnels.

Ainsi constitué, le groupe RAPAS est prêt, sur très court préavis, à être engagé sur tous les fronts.

Pour conclure, la diversité des missions, la variété et la qualité des moyens, mais surtout le niveau technique, physique et intellectuel de mes hommes, font de ce métier de chef de groupe RAPAS, une tâche exigeante mais exaltante, que je n’échangerai pour rien au monde !

Cependant, le temps est compté, trois petites années seulement, avant de découvrir d’autres horizons en séjour outre-mer ou en école de formation en espérant, peut-être, revenir un jour, pour, comme les autres lieutenants ou jeunes capitaines d’autres formations, commander enfin plusieurs groupes !

En attendant, mon groupe est prêt, prévenu à 19h15, le C130 du COS doit se poser à 23h00 et je l’attends sur l’aéroport. J’ai perçu mes armes et munitions avec 3 jours d’autonomie, je ne connais pas la destination, ni la mission….

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Article tire du site du 1er RPIMa

RAPAS en Afghanistan 

« Lorsque le voyageur venu du sud arrive ici, il se flatte d’être au bout du monde.

Il vient au contraire d’en atteindre le centre. »

Empereur BABOUR « Le Tigre » (XVI° siècle)

Présent depuis 2001 sur l’exigeant théâtre afghan, affrontant et formant tour à tour ses acteurs singuliers dans le cadre de la lutte mondiale contre le terrorisme au sein de la coalition Enduring Freedom, le 1er RPIMa a continué de forger discrètement son identité aux côtés de ses frères d’armes et d’armées des forces spéciales du COS (Commandement des Opérations Spéciales) et des pays alliés et permis de nombreuses évolutions techniques ou tactiques au profit des forces conventionnelles terrestres.

Qu’ils soient constitués en TG (« Task Group »), en ETT (« Embedded training Team), en DPR (détachement de Protection Rapprochée) ou en détachement d’instructeurs à l’ACS (Afghan Commando School), détachés ou au sein d’un GFS (Groupement de Forces Spéciales), les modules successifs armés par la Citadelle général Bergé se sont heurtés, dans un climat souvent très hostile, sur un terrain au relief accidenté, à un ennemi déterminé, difficilement saisissable et ne pardonnant aucune erreur. Ils ont ainsi rayonné pendant plusieurs années dans des zones de responsabilité pouvant atteindre plusieurs centaines de km2, parmi une population difficile à cerner, austère et fière, successivement dans la capitale, puis dans les provinces de KANDAHAR et de JALALABAD, verrous stratégiques des accès vers le Pakistan.

Toujours sollicité pour des opérations spéciales sous le commandement et avec la confiance et les appuis (aériens en particulier) efficaces du PC du CJSOTF (Combined Joint Special Operations Task Force) de la coalition, le 1er RPIMa a agi sur le théâtre afghan pendant six ans dans une large gamme de missions spéciales : actions directes, reconnaissances spéciales ou actions d’environnement. Très fréquemment déployés en petits détachements réversibles et à forte valeur ajoutée, du TU (« Task Unit » regroupant plusieurs composantes) au binôme mentor d’une unité afghane, les équipiers RAPAS (Recherche Aéroportée et Action Spéciale) de Bayonne ont souvent agi de manière autonome, appuyés et soutenus en partie par la composante commandement/soutien régimentaire qui leur est indissociable. Malgré les épreuves tragiques (de nombreux blessés et quatre décès), chacun a beaucoup appris sur lui-même, et toute la collectivité RAPAS en est sortie renforcée et convaincue de l’utilité de son action.

Pour mener à bien ses missions, le régiment a repris les enseignements de contre-guérilla de ses anciens, cherchant à toujours se remettre en cause, à évoluer grâce aux retours d’expérience de tous, français, alliés et afghans, mais aussi à innover en permanence dans les domaines tactiques et techniques. C’est ainsi que le 1er RPIMa a fait bénéficier à l’ensemble des unités de l’armée de terre récemment déployées, de certaines évolutions techniques, notamment dans le domaine de l’équipement individuel et de la protection du combattant, de l’appui aérien, de la sécurité opérationnelle, des procédures, de l’optique et de l’armement ou de la lutte contre les mines et pièges.

Aujourd’hui, même si le 1er RPIMa n’est plus présent sur les terres afghanes, il n’oublie pas ses frères tombés loin de leur patrie et continue d’honorer leur mémoire à travers la journée du souvenir, célébrée chaque année au mois de mai au cœur de la citadelle. Leurs sacrifices à tous ne sera jamais vain, car en restant fidèle à l’héritage SAS, les RAPAS continueront de se préparer aux combats de demain, en Afghanistan comme partout ailleurs, toujours fidèles à leur devise « Qui Ose Gagne » et de faire profiter de leurs acquis techniques ou tactiques, l’ensemble des forces terrestres.

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Egalement sur le site, l'integralite de l'article de Raids sur le selection pour acceder au 1er RPIMa

http://www.rpima1.terre.defense.gouv.fr/presse/index.html

Pour ceux qui se posaient encore des questions sur le serieux des informations presentees par cet article, sa presence sur le site officiel du 1er RPIMa devrait lever tous les doutes...

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  • 2 weeks later...

Tenue de combat

«Un honneur et une fierté, surtout que nous allons défiler en tenue de combat, ce qui est rarissime ».

Chef du corps du 1er RPIMa, le colonel Éric Vidaud ne cache pas son bonheur de défiler à la tête de ses hommes, le 14 juillet sur les Champs-Élysées. « Nous considérons cette cérémonie comme une véritable mission opérationnelle, avec la nécessité de bien figurer devant la population. Ce défilé à Paris est hypermédiatisé, et nous avons eu beaucoup plus de volontaires que de places disponibles. »

Ils seront en effet 98 très exactement à porter haut les couleurs du régiment d'élite bayonnais sur la plus belle avenue du monde à l'occasion de la Fête nationale. 98 armés jusqu'aux dents, et qui, pour la première fois, présenteront un nouveau véhicule de l'armée de terre qui ne sera définitivement opérationnel qu'à l'automne.

Plusieurs entraînements

Il s'agit d'un 4X4 VPS (véhicule de patrouille spéciale) militarisé par Panhard sur la base d'une Mercedes. « Le régiment a contribué à en imaginer le concept » confie le commandant Franck Leroy.

« C'est du sur-mesure. Ce nouveau véhicule, parfaitement adapté à la guerre moderne, est informatisé et par exemple équipé d'un tourelleau mobile qui permet aux soldats embarqués de tirer derrière »

Pour sa prestation parisienne, le régiment défilera avec 20 véhicules, dont 12 VPS, tous en configuration de combat. Pour des raisons de confidentialité, puisque le régiment appartient aux forces spéciales, les militaires seront casqués et équipés de lunettes afin de ne pas être reconnus. Le défilé sera ouvert par deux véhicules de commandement, l'un transportant le colonel Vidaud, et l'autre le drapeau du régiment.

« Les véhicules sont peints en couleur sable, ce qui représente le milieu principal dans lequel nous avons effectué nos missions récentes » poursuit le chef de corps. « Nous considérons d'ailleurs le fait d'avoir été choisis pour le défilé du 14 Juillet comme une reconnaissance et un hommage à nos camarades qui sont tombés au cours des derniers mois. Et notamment en Afghanistan. Un adjudant-chef qui avait été grièvement blessé sera d'ailleurs présent à bord de l'un des véhicules. »

Le détachement du 1er RPIMa, régiment qui a déjà défilé sur les Champs-Élysées en 1994 et 2002, sera à Paris à partir du 8 juillet et doit effectuer plusieurs entraînements pour se préparer à la parfaite organisation du défilé. Un programme de détente et de visites a également été concocté pour les militaires dont plusieurs familles effectueront le déplacement et seront accueillies dans une tribune officielle pour assister à l'événement.

http://www.sudouest.com/pays-basque/actualite/article/641277/mil/4786937.html

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Les casques Gallet et les gilets CIRAS ne sont pas "nouveaux" pour le 1er RPIMa. Ce regiment a essaye et adopte ces materiels avant toutes les autres unites francaises, qu'elles soient du COS ou de l'AdT. Ce qui s'est passe ensuite c'est que des commandes de CIRAS et Gallet destinees au 1er RPIMa ont ete piratees et distribuees aux OMLT au lieu d'arriver a Bayonne...meme topo pour le HK 416 qui a ete choisi les yeux fermes par le 13 et le CPA-10 car le 1er l'avait adopte...

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Service de Semaine, si tu es (trop?) peu objectif au sujet du 1er RPIMA , on ne peux qu'apprécier ta collaboration. Je note cependant quelque chose de général pour nos armées, c'est leur communication . S'en est finit des pubs emmerdantes, des vidéos lourdes et franchement chiante . Non , maintenant c'est un peu plus "film" , mais c'est peut être mieux .

L'Armée semble avoir compris que c'est en se montrant souvent, et en disant ce qu'elle (a) fait qu'elle s'attirera la bienveillance des Français . J'en veux pour preuve la publicité pour le MinDef où l'on voit différentes batailles (victorieuses) , enfin ,les endroits où elles se sont déroulées , qui pour une fois se termine juste par le logo du MinDef . Finit le sempiternel "L'Armée de Terre Recrute" .

C'était juste une remarque, peut être pas à sa place, mais une remarque bienveillante quant à l'attitude des communicants de notre Armée :-) .

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Ce qui s'est passe ensuite c'est que des commandes de CIRAS et Gallet destinees au 1er RPIMa ont ete piratees et distribuees aux OMLT au lieu d'arriver a Bayonne

Ben ils étaient plus utiles a protéger nos soldats en a-stan qu'a faire jolis sur des vidéos "tacticool FS", normal qu'ils soient partis chez les OMLT...même si c'est que des ploucs de la régulière.

Sinon ils doivent vraiment avoir du mal à recruter pour devoir sortir des vidéo hollywoodiennes comme ça, étonnant pour un régiment qui représente quand même le top de l'infanterie française (et donc on pourrait penser qu'il soit le plus demandé).

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Sinon ils doivent vraiment avoir du mal à recruter pour devoir sortir des vidéo hollywoodiennes comme ça, étonnant pour un régiment qui représente quand même le top de l'infanterie française (et donc on pourrait penser qu'il soit le plus demandé).

On en parle sur d'autre topic, mais la professionnalisation et la reduction des effectif a conduit tous les régiment a partir régulierement en OPEX. Alors que c'était un des attrait des régiment spéciaux ... l'action, c'est devenu assez commun mais si c'est pas au meme niveau. Résultat beaucoup preferent l'action "pepere" version réguliere en OPEX ... plutot que le spécial qui a beaucoup plus de conséquence sur leur vie en dehors du boulot. Ajouté a ca l'attrait des société de sécurité privé ... et de leurs cachets mirobolant, on se retrouve a la fois avec moins de postulant et plus de départ.

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Ben ils étaient plus utiles a protéger nos soldats en a-stan qu'a faire jolis sur des vidéos "tacticool FS", normal qu'ils soient partis chez les OMLT...même si c'est que des ploucs de la régulière.

Je laisse la responsabilite de ces propos a son redacteur...je note simplement qu'une fois de plus l'hostilite vient des unites classiques vers les unites speciales et pas le contraire.

Il semble que certains se trouvent mals dans leurs rangers pour se rejouir ainsi de voir un unite traditionnellement tres engagee en operation privee de certains des moyens qui lui sont necessaires a remplir ses missions, particulirement lorque cette unite avait ete la premiere a mettre en avant l'importance et la qualite de ces equipements....j'avais deja eu l'occasion d'entendre des soldats d'une unite classique se rejouir de voir "ces soit-disant FS faire des erreurs topo et perdre un gars au Soudan" l'annee derniere...j'avais pris cela pour un cas isole, ce n'est manifestement pas le cas.

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ben le probléme ,s'est que s'est chacun a sa place ,et on se tire la bourre .

perso ,quand je lit dans une revue le témoignage d'un membre des FS  qui dit que les paras tombé dans l'embuscade était à peine formé ,juste bon à marcher aux pas ,sa en devient insultant pour le colonel Aragones qui avait préparé son régiment pendant 6 mois ...

maintenant ,je ne jette pas la pierre à toute les FS de l'armée Française parceque un blaireau a sorti une connerie ...

pour les gilets pare-balle ,si sa a été fait ,s'est qu'il y avait urgence ,donc rien de grave .

certe nos FS confirment la qualité de matos testé,mais faut pas oublié que se n'est pas le cas de la réguliére .( la réguliére n'est prise en compte par l'état que lorsque drame il y a  ;) pour faire évoluer le matos ...

je ne pense pas que nos FS se retrouvent en slip à l'heure actuelle au niveau matos ,donc un "détournement" de pare-balle pour la bonne cause ,il n'y rien de "vicieux" à voir la dedans ...

la petite guéguerre entre FS et réguliére ,s'est surtout du au manque de respect par les grands chefs et gouvernant qui n'on jamais su employé correctement les uns ou les autres ,donnant un sentiment de frustration chez les uns ou les autres .

pour preuve ,sur le terrain, les militaires US  cotoyant nos soldats ont constaté la valeur de nos FS et depuis un moment celle de nos unités de la réguliére ...

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ben le probléme ,s'est que s'est chacun a sa place ,et on se tire la bourre .

perso ,quand je lit dans une revue le témoignage d'un membre des FS  qui dit que les paras tombé dans l'embuscade était à peine formé ,juste bon à marcher aux pas ,sa en devient insultant pour le colonel Aragones qui avait préparé son régiment pendant 6 mois ...

maintenant ,je ne jette pas la pierre à toute les FS de l'armée Française parceque un blaireau a sorti une connerie ...

pour les gilets pare-balle ,si sa a été fait ,s'est qu'il y avait urgence ,donc rien de grave .

certe nos FS confirment la qualité de matos testé,mais faut pas oublié que se n'est pas le cas de la réguliére .( la réguliére n'est prise en compte par l'état que lorsque drame il y a  ;) pour faire évoluer le matos ...

je ne pense pas que nos FS se retrouvent en slip à l'heure actuelle au niveau matos ,donc un "détournement" de pare-balle pour la bonne cause ,il n'y rien de "vicieux" à voir la dedans ...

la petite guéguerre entre FS et réguliére ,s'est surtout du au manque de respect par les grands chefs et gouvernant qui n'on jamais su employé correctement les uns ou les autres ,donnant un sentiment de frustration chez les uns ou les autres .

pour preuve ,sur le terrain, les militaires US  cotoyant nos soldats ont constaté la valeur de nos FS et depuis un moment celle de nos unités de la réguliére ...

Frustration et hypocrisie ... suffisent a transformer n'importe qui en grincheux jaloux... le probleme est qu'on en use et abuse.

Le manque d'entrainement - pas tant de fromations - ou plutot d'aguerrissement de la réguliere est réel, le probleme est plus ennuyeux chez les officiers d'ailleurs... comme celui de l'équipement.

Pour l'équipement ca commence a venir et a etre pris serieusement suite a la conforntation avec d'autre armée sur le meme terrain.

Pour l'aguerrisssement le changement de mode de nos opex ... l'impose de fait petit a petit.

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Que de GPB Ciras ou paracleete commandés au profit COS soient biffurqués en priorité vers les troupes conventionnelles en partance en Afghanistan n'a rien de choquant, cela l'aurait été si Bayonne, Dieuze ou Orléans ne puissent plus les avoir après.

Quant aux rivalités, ce n'est pas l'apanage franco-français, cela existe partout ailleurs.

Par contre, qu'elles soient spéciales ou classiques, il faut accélérer les UO et équiper nos hommes sur place ou en régiment. Point barre.

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Je laisse la responsabilite de ces propos a son redacteur...je note simplement qu'une fois de plus l'hostilite vient des unites classiques vers les unites speciales et pas le contraire.

Il semble que certains se trouvent mals dans leurs rangers pour se rejouir ainsi de voir un unite traditionnellement tres engagee en operation privee de certains des moyens qui lui sont necessaires a remplir ses missions, particulirement lorque cette unite avait ete la premiere a mettre en avant l'importance et la qualite de ces equipements....j'avais deja eu l'occasion d'entendre des soldats d'une unite classique se rejouir de voir "ces soit-disant FS faire des erreurs topo et perdre un gars au Soudan" l'annee derniere...j'avais pris cela pour un cas isole, ce n'est manifestement pas le cas.

Quel est donc le sens réel de ces propos ? J’avoue patauger un peu …Service de semaine, peux-tu, s’il te plait, développer un peu plus tes idées ?

Merci par avance

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