TRIMIX Posté(e) le 25 septembre 2011 Share Posté(e) le 25 septembre 2011 on sait faire des moteurs thermiques qui fonctionent sans problemes sans energie fossile ( ) le probleme est plus d'ordre politique voir économique :quid des cartels petroliers de part le monde et quid des inestimables ressources en IMPÖTS INDIRECTS que fournissent les consommations en carburant ici et là ( en tout cas en FRANCE ;))qd aux schistes bitumeux, c'est qd même une ressource très " polluante " en exploitation...Je sais pas......Mais à suivrepar ailleurs, le continent sud americain ( colombie ou venezuela ) regorgerai de plus de reserves que l'arabie saoudite !!!alors , je vois bien se redessinner une nouvelle "carte " geostratégique.EN ATTENDANT LE BRENT , derouille grave en ce moment ( ralentissement de la conso dans le monde ..pour les années à venir ...) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 25 septembre 2011 Share Posté(e) le 25 septembre 2011 EN ATTENDANT LE BRENT , derouille grave en ce moment ( ralentissement de la conso dans le monde ..pour les années à venir ...) C'est le principal risque d'un ralentissement de la production ... la crise économique. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
arthur.c Posté(e) le 22 octobre 2011 Share Posté(e) le 22 octobre 2011 Voici un exemple intéressant, le train au biogas. Cela permet d'éviter d'électrifier les lignes ferroviaires. Soit 1 million d'euros par kilomètre. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
collectionneur Posté(e) le 27 février 2012 Share Posté(e) le 27 février 2012 Les américains ne sont pas content car ils payent leur carburant à 1,20 le litre >:( : http://vinogradoff.blog.lemonde.fr/2012/02/26/le-spectre-du-gallon-dessence-a-4-dollars/ Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 27 février 2012 Share Posté(e) le 27 février 2012 Les américains ne sont pas content car ils payent leur carburant à 1,20 le litre >:( Le carburant est peu taxé aux USA, donc le prix fluctue avec le prix du pétrole brut ... et donc ils ont vu le prix du carburant tripler en quelques année. Accessoirement le mode de vie américain est basé sur la mobilité automobile, et donc les variation de l'essence influe fortement sur le pouvoir d'achat des ménages. D'ailleurs les américains abandonnent les muscle car et autres "truck" pour passer a des petit voiture économe en carburant, cette transition a couté beaucoup aux marque américaines qui ont tardé a adapter leurs offres. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
DAR Posté(e) le 10 mars 2012 Share Posté(e) le 10 mars 2012 Le "siècle chinois" risque d'être assez court, somme toute... Déficit commercial record en Chine AFP Mis à jour le 10/03/2012 à 11:53 La Chine a enregistré en février son plus important déficit commercial en plus d'une décennie, de 31,48 milliards de dollars, à cause d'un bond des importations, notamment de pétrole, selon les chiffres rapportés samedi par les douanes chinoises. Les importations ont bondi de 39,6% sur un an à 145,96 milliards de dollars, tandis que les exportations ont augmenté de 18,4% à 114,47 milliards de USD, ont détaillé les douanes sur leur site internet. Les importations ont progressé bien au-delà des attentes des économistes interrogés par l'agence Dow Jones, qui tablaient en moyenne sur 26% de hausse, tandis que les exportations sont largement en deçà de leurs prévisions, qui étaient de 28,8% de hausse. Le déficit attendu par ces économistes était de 8,5 milliards de dollars seulement. Il s'agit du plus important déficit commercial jamais enregistré en un seul mois par la Chine depuis au moins l'an 2000, selon l'agence Dow Jones. Pour les deux premiers mois de l'année, la Chine affiche un déficit commercial de 4,25 milliards de dollars. En janvier, elle avait dégagé un excédent, mais le volume du commerce extérieur chinois s'était contracté à cause de l'impact des fêtes du Nouvel an chinois. Le niveau élevé des importations est notamment dû aux importations de pétrole, qui ont atteint le mois dernier le volume record de 23,64 millions de tonnes. La Chine enregistre fréquemment un déficit commercial en début d'année, mais en 2011, il n'avait atteint que 890 millions de dollars pour les deux premiers mois de l'année. Le déficit de février s'ajoute à d'autres indicateurs économiques publiés qui traduisent un ralentissement de la croissance dans la deuxième économie mondiale. La progression de la production industrielle est ainsi tombée à son plus faible niveau depuis juillet 2009. "D'une manière générale, nous assistons à une accélération de la détérioration des conditions économiques", a réagi Zhang Zhiwei, un économiste de Nomura Securities cité par l'agence Dow Jones. "Le ralentissement survient plus rapidement que ce que prévoyait le gouvernement", selon lui. Le déficit commercial record pourrait inciter Pékin à assouplir davantage sa politique monétaire pour soutenir l'activité, alors que les exportateurs chinois souffrent actuellement de l'impact de la crise de la dette en Europe et de la faiblesse de la croissance économique aux Etats-Unis. Dans ce contexte, l'objectif de croissance du commerce extérieur a été ramené pour 2012 à 10% alors qu'en 2011, les exportations ont encore augmenté de 20,3% et les importations de 24,9%. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
glitter Posté(e) le 12 mars 2012 Share Posté(e) le 12 mars 2012 Cela ne fait pas d'annees que la Chine avait annonce la decouverte de petrole, je sais que cela prend du temps a mettre en place, mais qu'en est il ?Est ce qu'ils sont viables au moins ?Je retrouve ce lien datant de 2007http://www.treehugger.com/corporate-responsibility/big-bad-news-chinas-oil-discovery.html Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 27 mars 2012 Share Posté(e) le 27 mars 2012 http://www.romandie.com/news/pdf/PDF_DWS__Peak_Oil_and_the_Arab_Awakening_EN_ROM_270320121103.pdf Peak Oil and the Arab Awakening Peak oil is a little-known concept among the public, even among investors. The expression “peak oil” refers to the maximum level of oil production. Peak oil does not denote the end of the oil age, but rather the end of relatively cheap oil. According to the data available, I have concluded – based on maturing deposits and an insufficient discovery of new reserves – that conventional oil has peaked in 2005 and that between now and the year 2020, total production (including non-conventional oil) will reach a maximum that still falls short of 100 million barrels per day. From that point on, oil will become scarcer, more cost-intensive to produce, and, in part at least, crowded out by renewable energy. At the same time, however, the demand for energy will increase. The largest oil reserves lie in Arab countries. In 2011, some of these countries have seen political protests and even armed rebellion. In Tunisia and Egypt, governments were overthrown. In Libya, international forces intervened as mass protests turned into civil war. Along with the geological reality that oil reserves continue to mature and do not automatically replenish, political unrest in producer countries could temporarily restrict oil output, as was the case in Libya and, to a lesser extent, Egypt. In order to quell unrest and pacify citizens, some governments in the region, including Saudi Arabia, provide the domestic population with very low-cost oil. This results in increased domestic demand, and a corresponding drop in the oil volume available for export. Available data suggests that once peak oil has been reached, the global economy will face a prolonged oil crisis. Investors can benefit from the long-term trend reflecting a need to revamp the global energy system towards more efficiency, self-sufficiency, renewable energy, and clean technology. ... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 17 avril 2012 Share Posté(e) le 17 avril 2012 L'Argentine exproprie une société pétroliere espagnol ... http://www.lemonde.fr/planete/article/2012/04/16/l-argentine-controlera-100-de-la-compagnie-petroliere-ypf_1686356_3244.html C'est désormais officiel, la présidente argentine, Cristina Kirchner, a décidé, lundi 16 avril, d'un projet de loi d'expropriation de la compagnie pétrolière YPF, filiale de l'espagnol Repsol. L'Etat argentin et les provinces détiendront la majorité des parts, soit 51 % du capital de la compagnie. Sur cette part, "51 % appartiendront à l'Etat national" et "les 49 % restants seront distribués entre les provinces productrices", précise l'annonce officielle, lue durant une cérémonie à laquelle assistait Mme Kirchner, entourée de ses ministres et des gouverneurs des provinces, et vivement applaudie. "Nous n'allons pas faire une nationalisation", a ensuite assuré la présidente argentine. "Nous allons faire une récupération", a-t-elle ajouté, soulignant que "la compagnie continuera à fonctionner comme une société anonyme, avec des directeurs professionnels". "Cette présidente ne répondra à aucune menace", a poursuivi Cristina Kirchner. "Je suis un chef d'Etat, pas un tyran", a-t-elle encore souligné, précisant que "toutes les entreprises présentes ici, même lorsque l'actionnariat est étranger, sont des entreprises argentines". Le président du Mexique, Felipe Calderon, dont le pays possède par le biais de la compagnie nationale des pétroles, Pemex, 9,5 % du capital de Repsol, a qualifié, mardi 17 avril, la décision de Mme Kirchner de "très peu responsable et très peu rationnelle", ajoutant que cette expropriation "était une violation claire des accords et des traités (sur l'encouragement et la protection) réciproques d'investissements". RÉPONSE DE L'ESPAGNE L'Espagne a dénoncé, lundi soir, un geste "hostile" de l'Etat argentin, et a ajouté qu'elle prendrait des mesures "appropriées," claires et fortes. La décision de Buenos Aires "rompt le climat d'amitié" entre l'Espagne et l'Argentine, a déclaré à la presse le chef de la diplomatie espagnole, José Manuel Garcia Margallo, à l'issue d'une réunion de crise avec le chef du gouvernement, Mariano Rajoy. Le gouvernement espagnol avait mis en garde vendredi l'Argentine contre une "agression" qui violerait "le principe de sécurité juridique", tout en appelant au "dialogue" pour résoudre le différend qui naîtrait de l'éventuelle nationalisation de la filiale argentine du groupe pétrolier Repsol YPF. La prise de contrôle d'YPF se fera par le vote du projet de loi annoncé et le prix à payer aux actionnaires sera fixé par le Tribunal national d'évaluations. Le président de Repsol YPF, Antoni Brufau, avait réclamé en vain au gouvernement argentin dimanche "un dialogue". PRODUCTION NATIONALE Accusée de ne pas assez investir, YPF s'est vu retirer ces dernières semaines seize concessions pétrolières par une demi-douzaine de provinces. Le gouvernement de Cristina Kirchner fait pression sur les compagnies pétrolières pour qu'elles augmentent leur production nationale, la facture pétrolière du pays ayant bondi l'an dernier de 110 %, pour atteindre 9,4 milliards de dollars. Repsol YPF est le leader sur le marché des combustibles en Argentine. Sa filiale argentine, privatisée dans les années 1990, contrôle 52 % des capacités de raffinage du pays et dispose d'un réseau de 1 600 stations-service. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
alexandreVBCI Posté(e) le 17 avril 2012 Share Posté(e) le 17 avril 2012 quand on parle de l'argentine... un article sur "l'eldorado" pétrolier des malouines :http://tempsreel.nouvelobs.com/l-observateur-du-monde/20120417.OBS6328/londres-buenos-aires-et-les-malouines.html Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 19 avril 2012 Share Posté(e) le 19 avril 2012 http://www.lemonde.fr/planete/article/2012/04/19/l-argentine-elargit-l-expropriation-de-repsol-au-gaz_1688283_3244.html L'Argentine a décidé, jeudi 19 avril, d'élargir l'expropriation à hauteur de 51 % de la filiale de l'espagnol Repsol, YPF, à la compagnie YPF Gas, également contrôlée par Repsol. "La décision du pouvoir exécutif de déclarer d'utilité publique une majorité d'actions d'YPF SA a pour conséquence une mesure identique concernant Repsol YPF Gas SA afin de permettre à ces entreprises d'agir de concert", a précisé le gouvernement sur son site Internet. Le gouvernement argentin a pris conscience, en prenant le contrôle d'YPF, "que Repsol YPF Gas SA n'était pas techniquement une société contrôlée par YPF SA", selon le même texte. Repsol YPF Gas appartient à Repsol Butano SA (84,99 %), à Pluspetrol SA (15 %) et à des actionnaires particuliers (0,003 %). Le nouveau décret d'expropriation a été publié jeudi au bulletin officiel de la République argentine. YPF Gas "est le principal fournisseur du programme bonbonnes pour tous, destiné à répondre aux besoins de base des secteurs les plus défavorisés qui n'ont pas accès au réseau", souligne le communiqué. DE BBB À BBB - L'agence d'évaluation financière Standard & Poor's a par ailleurs abaissé d'un cran jeudi, de "BBB" à "BBB-", la note du groupe pétrolier espagnol Repsol. "La nationalisation d'YPF va détériorer de façon significative" le bilan de Repsol, indique l'agence, soulignant notamment qu'YPF a représenté "40 % de l'excédent brut d'exploitation (Ebitda) consolidé" du groupe en 2011. L'agence menace en outre d'abaisser la note une nouvelle fois, la plaçant en "perspective négative". Après la décision du gouvernement argentin, les deux autres principales agences, Moody's et Fitch, ont menacé cette semaine Repsol d'abaisser sa note. Le titre du groupe pétrolier a souffert à la Bourse de Madrid, jeudi, finissant en forte baisse, de 4,77 %, à 14,665 euros. HAUSSE VERTIGINEUSE DES IMPORTATIONS PÉTROLIÈRE La présidente argentine, Cristina Kirchner, ignorant les avertissements de Madrid, a décidé lundi d'exproprier l'espagnol Repsol de sa filiale YPF, qu'il contrôlait à hauteur de 57,4 %. L'Etat argentin et les provinces en détiendront désormais 51 %. Cette décision a ouvert une crise sans précédent entre l'Espagne et l'Argentine, deux pays traditionnellement amis. Lire la chronique : Repsol : Un mal pour un bien ? L'Argentine fait face à une hausse vertigineuse de ses importations d'hydrocarbures, de 110 %, à 7,1 milliards d'euros en 2011, et n'arrive plus à financer des subventions trop coûteuses, - de gaz notamment, mais aussi eau, électricité, transports -, qui sont à la base de son modèle de relance par la consommation. Elle est contrainte de supprimer ces subventions par étapes. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
MontGros Posté(e) le 19 avril 2012 Share Posté(e) le 19 avril 2012 Pourquoi les dépêches utilisent le terme "d'expropriation" plutôt que de "nationalisation" ?C'est pour faire plus péjoratif ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 19 avril 2012 Share Posté(e) le 19 avril 2012 Pourquoi les dépêches utilisent le terme "d'expropriation" plutôt que de "nationalisation" ? C'est pour faire plus péjoratif ? Exactement ;) C'est aussi un jeu de l'Argentine qui a expliqué que ce n'était pas une nationalisation, mais juste la fin du pret ... en gros Repsol est incapable de gérer correctement ce qu'on leur a prêter, donc on met fin a la concession et on récupère l'outil de production. Nationalisation ca fait trop socialiste au du gouvernement argentin :lol: Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Drakene Posté(e) le 19 avril 2012 Share Posté(e) le 19 avril 2012 C'est parce que c'est une société espagnole qui est exproprié des gisements, en gros vu que c'est une société étrangère ils ne pouvaient pas la nationaliser.Après effectivement ils pourraient parler de nationalisation des gisements eux mêmes plutôt que de l'expropriation, qui fait plus tendancieux, donc effectivement c'est orienté. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
MontGros Posté(e) le 19 avril 2012 Share Posté(e) le 19 avril 2012 Repsol avait acheté la société nationale argentine d'exploitation du petrole à l'occasion des privatisations des années 90 (comme le recommandait le FMI). Selon le gouvernement actuel Repsol se contentait de prendre une rente sur la production existante sans investir dans la prospection. Des réserves importantes existent et pourtant les importations de pétrole augmentent. l'Argentine doit absolument eviter le deficit commercial. C'est une condition pour se passer des marchés financiers internationaux. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Drakene Posté(e) le 19 avril 2012 Share Posté(e) le 19 avril 2012 Z'ont raison de pas vouloir être les dindons de la farce et avoir la main sur ces ressources naturelles propres ça me parait être le B-A BA.Bon après y mettre la forme ça coute rien, plutôt que de ce fâcher sur un coup de tête O0Mais les résultats sont là, la croissance de l'argentine est plutôt bonne =) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
debonneguerre Posté(e) le 19 avril 2012 Share Posté(e) le 19 avril 2012 Ca pourrait revenir à la mode les nationalisations.Du chemin avait été dans les esprits quand on parlait de nationaliser certaines banques. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
arthur.c Posté(e) le 20 mai 2012 Share Posté(e) le 20 mai 2012 Le chômage avait commencé à baisser à la fin de 2009. Le prix du pétrole était d'environ $70-$80 le baril. Fin 2010, avec le Printemps arabe, le prix du pétrole (le Brent) est passé de $80 à $110-$120 le baril. Quelques mois plus tard, le chômage était reparti à la hausse. Il est passé de 2 669 100 en avril 2011 à 2 884 500 en mars 2012. Soit 215 000 chômeurs supplémentaires.... à la veille de la présidentielle. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
collectionneur Posté(e) le 7 novembre 2012 Share Posté(e) le 7 novembre 2012 On annonce un retour à l'indépendance énergétique en 2020/2030 et avec une baisse du cout de la dite énergie une réelle ré-industrialisation, ce qui en matière de politique étrangère devrait lui permettre de continuer d'avoir une grande ''autonomie''. Lire l'article paru aujourd'hui chez Atlantico : L’empire contre-attaque : pourquoi la révolution énergétique américaine aura bien plus d’impact que l’identité de l’occupant de la Maison Blanche http://www.atlantico.fr/decryptage/empire-contre-attaque-pourquoi-revolution-energetique-americaine-aura-bien-plus-impact-que-identite-occupant-maison-blanche-mait-522929.html Un bémol, les conséquences environnementales d'une poursuite de l'exploitation des énergies fossiles ne sont pas tellement réjouissants à mon avis. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
debonneguerre Posté(e) le 7 novembre 2012 Share Posté(e) le 7 novembre 2012 Je plussoie cet article!! On parle bien de chambouler les équilibres existants. Un précision sur la pollution de cette technique, je cite : Avec le développement de la fracturation hydraulique nécessaire pour extraire les gaz de schistes, il y a avait une liberté d'entreprendre. Les premières explorations ont été réalisées par des toutes petites entreprises qui n'ont pas vraiment travaillé proprement, il y a donc eu des dégâts. Puis les grosses sociétés ont racheté des brevets, ont commencé les explorations et les forages, la technologie s'est améliorée. L'Agence de la protection de l'environnement surveille ce qui se passe, et on ne laissera pas se développer aux Etats-Unis des activités en toute impunité. Les Européens peuvent s'inspirer des erreurs faites par les Etats-Unis, mais il ne faut pas présenter ces derniers comme des saccageurs de l'environnement. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
alpacks Posté(e) le 9 novembre 2012 Share Posté(e) le 9 novembre 2012 Un article d'ATLANTICO qui dit que le GDS c'était pas bien au début parce qu'il était au moins de petite PME US irresponsables et sales dans leur façon de bosser serait responsable de la mauvaise pub du GDS en amérique du nord ... Mais que depuis que les grands groupes énergétiques US ont repris la main, que maintenant ça serait le pays de cendrillon, ces mêmes groupes capables d'être lobbys assez fort derrière un président pour déclarer de putain de guerre ... Et qu'il faudrait gober qu'aujourd'hui le GDS aux USA avec la multiplication des puits : tout va très bien, madame la marquise ... Tout va très bien, tout va très bien Tu es sérieux la ? Alors certes après, je veux bien croire qu'au tout début du développement du fracking, des nouveaux riches du forage "local" texan (au texas les petits patrons du forage ça manque pas, et très certainement qu'ils ont développé cette voie entre eux : car ils allaient mourir sinon : du fait qu'il y a n'y plus rien ou presque a forer au texas) d'origine red neck "on s'en fout" on pu être encore + vil salopard courant après les dollars et bénéficiant du fait : toute façon c'est sous terre et la cochonerie qu'on vient de faire : dans l'immédiat elle se voit pas ... Et qui auraient rapidement engrangés de dollars pour attirer les capitaux des grands groupes énergétiques : je veux bien croire qu'il y a eu des porcs + cochons que les autres mais on me fera pas croire, que l'arrivé des grands noms de l'énergie a Houston & wall street les aura rendu + propres et + responsables d'autant que si l'ère Bush a abrogé bien des normes environnementales obligatoires pour les secteurs énergétiques : ce n'est pas pour rien ... Surtout qu'en + a l'époque y avait la question du pétrole en Alaska en rapport a cette volonté de faire sauter les normes obligatoires pour occuper les esprits la bas Le véritable enjeu en vérité était derrière le jardin des citoyens US du mid West ... Et qu'il est presque rigolo de voir que c'est un média très proche de la sphère capitaliste française qui voudrait dédouaner l'aventure du GDS US en le mettant sur le dos des petites PME US qui ont démarré l'aventure la bas, alors qu'en + ils le savent très bien : en l'état les français ne veulent pas en entendre parler ... Et qu'en + le cas français est très différent : car ça se jouerait sur un territoire beaucoup + petit, qui sert a la fois aux mêmes endroits de sources d'eau en aquifère dont on peut pas se passer ... Et que au de la de la question du fracking : même une exploitation "normale" d'hydrocarbures classiques poserait de gros problème avec le maintient en l'état des aquifères Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
debonneguerre Posté(e) le 9 novembre 2012 Share Posté(e) le 9 novembre 2012 Vous vous enflammez camarade =)!Je plussoie l'article en ce qu'il insiste sur le changement de paradigme qui se profile avec cette auto-suffisance américaine en matière de production d'hydrocarbures, encore que l'auteur se mouille pas trop sur l'analyse des chamboulements futurs.Les américains ne font rien au hasard, par exemple libre à eux de foutre le bordel (ou pas) dans le détroit d'ormuz, ca ne leur posera plus de problème d'appro, ils pourraient même nous vendre leur production à vil prix..également on parle de choc de compétitivité US en chimie grace à ces appro de gaz à meilleur cout..etc et on se prendra surement dans les dents un truc dans le genre : "les GDS, notre énergie votre problème"..J'ai cité la part de l'article sur l'évolution de la technique parce que elle mérite quand même d'être relevée, et il est clair que ca annonce le discours à venir pour justifier le recours à cette technique.Je me suis déjà prononcé pour qu'en France nous traitions cela comme une réserve stratégique qu'on utiliserait a minima pour l’industrie par exemple pour limiter les effets du choc de compétitivité que je viens de citer, et en cas de "crise" lourde pour faire tourner les moteurs..des leclercs par exemple =D.Après je ne me réjouis pas du tout de cette montée en puissance des GDS, car cela va malheureusement freiner le développement des énergies renouvelables, et les US vont se maintenir dans leur train de vie à base de pick up de 120 CV, rien de bon. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
glitter Posté(e) le 9 novembre 2012 Share Posté(e) le 9 novembre 2012 L’empire contre-attaque : pourquoi la révolution énergétique américaine aura bien plus d’impact que l’identité de l’occupant de la Maison Blanche http://www.atlantico.fr/decryptage/empire-contre-attaque-pourquoi-revolution-energetique-americaine-aura-bien-plus-impact-que-identite-occupant-maison-blanche-mait-522929.html Traduit en terme de salaire, la banque Natixis estime que la baisse des prix du gaz est l'équivalent d'une baisse de 6% des salaire américain dans l'industrie. J'ai envie de dire "Tout ca pour ca ?". Une baisse de 6% des salaires ? Un article d'ATLANTICO qui dit que le GDS c'était pas bien au début parce qu'il était au moins de petite PME US irresponsables et sales dans leur façon de bosser serait responsable de la mauvaise pub du GDS en amérique du nord ... Mais que depuis que les grands groupes énergétiques US ont repris la main, que maintenant ça serait le pays de cendrillon, ces mêmes groupes capables d'être lobbys assez fort derrière un président pour déclarer de putain de guerre ... J'ai bien un peu tique sur ce passage la aussi, enfin bon, on sait bien que les USA ont moins de soucis d'espace que nous, la densite de population est plus favorable pour l'exploitation des GDS, mais bon, l'argument des avancees techniques n'est pas non plus a negliger pour autant. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
collectionneur Posté(e) le 9 novembre 2012 Share Posté(e) le 9 novembre 2012 J'ai vérifié hier et même si la part du charbon dans la production d'électricité US à baisser, elle est encore à presque 50 %... Et le programme nucléaire civil dans ce pays n'avance pas vite. Leurs centrales ont une moyenne d'âge de plus 30 ans et il n'y pas de réel grand programme pour les remplacer. On verra dans 20 ans ce qu'il en est mais je suis moins optimiste que l'auteur de l'article. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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