Aller au contenu
Fini la pub... bienvenue à la cagnotte ! ×
AIR-DEFENSE.NET

AFRIQUE : politiques internes et relations internationales


Messages recommandés

le trafique de drogue et les prise d'otages sont devenue les principales sources de financement du terrorisme dans le sahel et le Maghreb .

a vérifier quand meme. Faut dire j'ai du mal a croire que l'état soit assez con pour cèder à des terroristes surtout quand il n'y a pas de pression médiatique qui essaye de faire croire aux politiques que les Français sont des abrutis incapables de comprendre que cèder les met en danger. Mystère mystère, n'y a il plus que des bizounours dans cet état ? c'est pas possible, on a quand meme une longue tradition de "raison d'état", alors je comprend pas..

bah n'importe quelle gouvernement serait prêt a faire n'importe quoi pour faire augmenté ça cote de popularité .

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 2 weeks later...

Au Zimbabwe, une loi d'"indigénisation" fragilise la reprise économique

http://www.lemonde.fr/afrique/article/2010/03/10/au-zimbabwe-une-loi-d-indigenisation-fragilise-la-reprise-economique_1317094_3212.html#xtor=AL-32280184

"'En dix ans, la réforme agraire a fait fuir 4 000 fermiers blancs et anéanti la production agricole, maintenant ce sont les entreprises qui vont péricliter.' Assis dans son canapé chez lui à Harare, l'économiste indépendant John Robertson vient de recevoir la dizaine de pages du décret d'application de la nouvelle loi économique d''indigénisation'....... D'ici cinq ans, toutes les entreprises étrangères installées au Zimbabwe dont le capital est supérieur à un demi-million de dollars (370 000 euros) devront avoir transféré 51 % de leurs parts à des Zimbabwéens. Cette loi adoptée en 2007 sous le régime de l'actuel président Robert Mugabe est entrée en application le 1er mars alors que l'économie du pays peine toujours à décoller."

C'est dingue comment ce pays qui pouvait devenir la suisse de l'afrique est devenu l'un des pays les plus pauvres du monde par la pourriture et l'incompétence de son dictateur marxiste et raciste !

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Cameroun: sept Chinois enlevés vendredi au large de Bakassi

Sept ressortissants Chinois ont été enlevés vendredi matin au large de la péninsule de Bakassi, dans le sud-ouest du Cameroun, a appris l'AFP samedi de sources concordantes.

13 mars 2010 à 12h45

Bizarre, il s'agit d'un acte de piraterie ? :

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

quel pays de cons ,ils sont déjà pas assez dans la merde ,no futur ...

remember rhodésia ...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Cameroun: sept Chinois enlevés vendredi au large de Bakassi

Sept ressortissants Chinois ont été enlevés vendredi matin au large de la péninsule de Bakassi, dans le sud-ouest du Cameroun, a appris l'AFP samedi de sources concordantes.

13 mars 2010 à 12h45

Bizarre, il s'agit d'un acte de piraterie ? :

Une étude de 2009 réalisée par un organisme d'assurance international avait démontré que les ressortissants les plus enlevés étaient les français et les chinois, les premiers étant mondialement présent dans des associations caritatives et autres ONG, les seconds étant réputés bons payeurs (et l'actuelle campagne au large de la Somalie ne le dément pas).
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

L'Inde à la conquête de l'Afrique, derrière la Chine   

Image IPB

Le Figaro

New Delhi veut créer un fonds souverain pour financer ses acquisitions pétrolières.

L'éléphant ne court pas encore aussi vite que le dragon, mais l'Inde avance sans complexe sur les traces de la Chine en Afrique. Le ministre de l'Énergie indien, qui souhaite que la société nationale Oil and Natural Gas Corp (ONGC) accélère ses acquisitions à l'étranger cette année, a officiellement demandé à son collègue des Finances de mettre en place un fonds souverain, le premier pour l'Inde, qui permette au pays de concurrencer la Chine sur les marchés des matières premières.

Rien n'a filtré sur la date à laquelle il pourrait être lancé, ni sur son ampleur, mais il devrait être financé en grande partie par les 254 milliards de dollars de réserves de change indiennes.

En ligne de mire, l'Afrique, où ONGC a passé en janvier un accord d'investissement de 359 millions de dollars au Nigeria et où New Delhi convoite les sous-sols de l'Angola, du Soudan et de l'Ouganda. Les ambitions de l'Inde n'ont, certes, rien de comparable avec celles de la Chine - qui avait investi, fin 2008, 7,8 milliards de dollars en Afrique et importé pour 32 milliards de dollars de pétrole, de charbon et de minerais -, mais elle propose aujourd'hui, elle aussi, de rénover des raffineries, de reconstruire des voies de chemin de fer, d'ouvrir des routes.

Les Bric reprennent du poil de la bête 

Depuis la crise, les Bric, acronyme qui désigne le Brésil, la Russie, l'Inde et la Chine, ont repris du poil de la bête. Ces pays, qui ont mieux résisté que les autres à l'effondrement des subprime, deviennent d'énormes pompes aspirantes des ressources naturelles dont ils ont impérativement besoin pour assurer leur développement industriel. L'Inde, qui a réussi à maintenir une croissance de plus de 7 % en 2009-2010, prévoit que son PIB (produit intérieur brut) progressera de 8,5 % cette année et de 9 % en 2011-2012. Elle envisage même une croissance à deux chiffres à partir de 2013 !

Cette croissance, il lui faut bien évidemment l'alimenter. Or le pays dépend à 75 % de l'étranger pour ses approvisionnements pétroliers, un chiffre nettement supérieur aux 52 % de la Chine.

La Russie vient de lui promettre 16 réacteurs nucléaires, dont la moitié pourraient être livrés entre 2012 et 2017, mais en attendant, l'Inde doit sécuriser ses sources d'énergie quel qu'en soit le prix.

Pour commencer, le gouvernement, qui n'a pas les moyens des Chinois, forts de leurs 2 400 milliards de dollars de réserves de change, veut avancer prudemment. « Nous demandons à nos sociétés pétrolières de réaliser au moins un gros rachat par an », précise un responsable du ministère de l'Énergie interrogé par l'agence Bloomberg, qui se félicite de l'entrée, le mois dernier, d'Oil and Natural Gas Corp dans un gisement au Venezuela.

Mais l'Inde, comme la Chine, ne va pas s'arrêter au pétrole. Elle s'intéresse à toutes les matières premières, notamment au phosphate du Sénégal, pays où elle a récemment décidé de recapitaliser la société qui était son principal fournisseur.

Elle multiplie également les prêts aux pays africains qui ont besoin d'argent, comme l'Angola à qui elle a avancé 70 millions de dollars.

La somme en soi n'est pas importante, comparée aux 10 milliards prêtés par Pékin. Mais «nous sommes un pays bien plus petit que la Chine, donnez-nous vingt ans et nous allons les rattraper», promet l'ambassadeur indien dans ce pays.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 2 weeks later...

Révélations sur un massacre en République Démocratique du Congo :

http://www.slate.fr/story/19235/un-massacre-en-rd-congo

Le rapport fait froid dans le dos. L'organisation non-gouvernementale Human Rights Watch a publié ce dimanche 28 mars un texte relatant un massacre perpétré dans le nord-est de la République démocratique du Congo en décembre 2009. Les humanitaires ont mené une enquête en février. Il en ressort qu'en décembre, l'Armée de résistance du Seigneur (LRA) a tué au moins 321 civils et enlevé 250 autres personnes, dont au moins 80 enfants dans la région de Makombo. La LRA est un mouvement de rébellion ougandais repoussé au-delà des frontières ougandaises et qui attaquent régulièrement les populations en République démocratique du Congo, au Sud-Soudan et en République centrafricaine.

http://fr.news.yahoo.com/4/20100328/twl-rdc-onu-lra-bd5ae06.html

Les Nations Unies doivent renforcer le nombre de soldats de maintien de la paix dans des zones d'Afrique où agissent les rebelles de l'Armée de résistance au Seigneur (LRA) pour mettre fin aux massacres, estime le groupe Human Right Watch dans un rapport publié dimanche.

Dans son rapport, HRW recommande par ailleurs un appel aux dons pour financer une stratégie globale et appelle de ses voeux une meilleure coordination, un réseau radio, un soutien hélicoptère et un déploiement de troupes militaires d'élite.

"Une attention de tous les instants, des mesures audacieuses et un gouvernement courageux sont nécessaires au développement et à la mise en place d'une stratégie régionale globale qui dissiperait la menace de la LRA", indique HRW dont les espoirs portent sur le gouvernement américain.

Le commandement militaire américain en Afrique (Africom) pourvoit actuellement la zone en communications et logistique et apporte son soutien à l'armée nationale ougandaise dans le cadre de la lutte contre la LRA. Un projet de loi américain prévoit par ailleurs le développement d'une stratégie régionale pour protéger les civils et appréhender les dirigeants de la LRA.

=> L'ONU ne fait rien à part constater les massacres et les américains veulent intervenir à travers l'AFRICOM.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Sénégal : Une statue géante construite à l'initiative du président Abdoulaye Wade sur une colline de Dakar fait scandale.

Trop cher, de mauvais goût, politiquement incorrect, contraire à l'Islam, principale religion au Sénégal: le monument de la "Renaissance africaine" construit dans la capitale sénégalaise défraie la chronique depuis plusieurs mois.

Cette attraction touristique controversée est le grand projet d’Abdoulaye Wade, le président libéral du Sénégal, âgé de 82 ans: "C’est l’Afrique sortant des entrailles de la terre, quittant l’obscurantisme pour aller vers la lumière".

Le monument, représentant un couple portant un enfant et haut de 50 mètres, sera plus grand, selon ses promoteurs, que la statue de la Liberté.

Il est construit par la société nord-coréenne Mansudae Overseas Project Group of Companies dans un style rappelant les statues soviétiques.

C'est donc en majorité des ouvriers nord-coréen qui ont construit cette statue de métal, ce qui a choqué bon nombre de sénégalais. Sans compter le coût de ce monument qui s'élèverait à près de 20 millions d'euros, un budget monstrueux dans un pays qui souffre économiquement à cause du poids de la dette.

Autre sujet de colère, le président Abdoulaye Wade a l'intention de s'octroyer 35% des recettes des visites du monument, à titre selon lui de droits d'auteur comme concepteur de la statue. Le reste des royalties iraient non pas dans les caisses de l'Etat comme c'était initialement prévu, mais reviendraient à "la Case des tout-petits", une fondation gérant des crèches à travers le pays.

Ce "projet somptuaire", selon les termes de Jean-Christophe Ruffin, ambassadeur de France au Sénégal dans Le Canard enchaîné, cristallise donc les mécontentements. Il est d'ailleurs très vivement critiqué par l'opposition et la presse privée.

Des imams de Dakar ont du reste dénoncé vendredi dans leur prêche ce monument contraire à l'Islam.

Toutefois, un certain nombre de dakarois pensent que la "Renaissance africaine" va apporter du travail et des devises dans le pays.

Seul l'avenir le dira: la statue sera inaugurée en avril 2010.

La vidéo :

La statue géante à la gloire de la renaissance africaine est construite... par des nord coréens !  :lol:

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

20 Millions d'euro c'est moins qu'un complexe hôtelier, et des hôtel il y en aura près de cette statut un bonne investissement (enfin meilleur que la plupart des investissement d'autre chef d'état africain) et puis cette polémique est ridicule la statut est presque finit  c'est con d'arrêter maintenant pour économiser 1 ou 2 euro.

Le seule truc qui me gènes dans cette histoire c'est qu'il faces bosser des coréen et pas des gens du pays.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

En Guinée-Bissau, un "coup de force" qui reflète l'instabilité du pays

http://www.lemonde.fr/afrique/article/2010/04/02/en-guinee-bissau-un-coup-de-force-qui-reflete-l-instabilite-du-pays_1328217_3212.html#xtor=RSS-3208

Trafic massif de cocaïne et assassinats politiques sont les deux facteurs qui sous-tendent le nouveau "coup de force" de l’armée en Guinée-Bissau, où le chef d’état-major adjoint, Antonio Ndjai, s’est imposé jeudi 1er avril comme l’homme fort du pays avec l’appui d’un revenant, l’ex-chef de la marine bissau-guinéenne, le contre-amiral Bubo Na Tchuto. En apparence, le flottement à la tête de l’Etat et de l’armée en Guinée-Bissau est le reflet de l’instabilité du petit pays d’Afrique de l’Ouest, l’un des plus pauvres du monde, soumis à de nombreux coups d’Etat et à une guerre civile depuis son indépendance en 1974.

Le premier ministre, Carlos Gomes Junior, dit "Cadogo", a été arrêté jeudi matin par des soldats à son bureau de Bissau, avant d’être assigné à résidence et enfin rendu à la liberté vendredi dans une ambiance de flottement. Dans ces hésitations se dessine la lutte entre factions au sein de l’armée, capables d’arrêter un premier ministre. Le président bissau-guinéen, Malam Bacai Sanha, qui rentre à peine d’un séjour en France pour raisons médicales, semble n’avoir que peu d’emprise sur la situation.

Parallèlement, le chef d’état-major José Zamora Induta, allié du premier ministre, a également été arrêté et remplacé par son propre adjoint, Antonio Njai. Ces arrestations sont à mettre en rapport avec l’irruption d’un autre personnage-clé de l’armée bissau-guinéenne, l’ex-patron de la marine, Bubo Na Tchuto. Celui-ci, ennemi di premier ministre et de son allié, Zamora Induta, campait depuis le mois de janvier dans le Bureau des Nations unies de Bissau pour éviter d’être arrêté. Jeudi, des soldats sont venus le sortir de ce bureau où il avait trouvé refuge lors de son retour clandestin dans le pays.

"PLUS JAMAIS DE COUPS D’ÉTAT"

Vendredi, Carlos Gomes Junior était libre, mais Bissau a compris qui a la haute main sur les affaires de l’Etat. Alors que des partisans du premier ministre avaient commencé à manifester jeudi pour demander sa libération aux cris de "plus jamais de coups d’Etat !", une conférence de presse des nouveaux maîtres du petit pays d’Afrique de l’Ouest a donné le ton. "Nous vous demandons d'éviter tout attroupement dans les rues. Si vous ne le faites pas, cela peut nous amener à tuer Cadogo", a affirmé Antonio Njai.

Le contre-amiral Bubo Na Tchuto, à ses côtés, a lui aussi proféré des menaces équivalentes. La présence de l’ex-patron de la marine est l’élément-clé de ce coup de théâtre. Il est accusé par des sources concordantes, diplomates, policiers et enquêteurs du Bureau des Nations unies qui travaillent sur l’étendue du trafic de stupéfiants en Guinée-Bissau, d’avoir été l’un des hommes ayant transformé le pays en tête de pont des narcotrafiquants d’Amérique latine en Afrique de l’Ouest, nouvelle route de la drogue vers l’Europe. Plusieurs factions de l’armée, parfois en concurrence, se sont rapprochées de cartels sud-américains pour organiser la réception de grosses quantités de cocaïne en provenance notamment du Venezuela, plus court chemin à travers l’Atlantique, à bord d’avions spécialement équipés.

Les appareils transportant plusieurs tonnes de cocaïne atterrissent en Guinée-Bissau, notamment dans l’archipel des Bijagos, ou parachutent leur cargaison en mer, avant qu'elle soit récupérée puis acheminée par d’autres réseaux vers l’Espagne et l’Angleterre, leurs principales destinations.

Depuis son développement vers 2005, ce trafic a connu des hauts et des bas liés aux luttes au sein de l’armée et du pouvoir. Le réseau du contre-amiral Bubo Na Tchuto, selon des sources concordantes à Bissau, avait été sérieusement entravé par les actions menées par l’ex-chef d’état-major, Tagmé Na Waié. Impliqué dans un coup d’Etat en août 2008, avant d’être arrêté, de s’échapper et de se réfugier en Gambie. Depuis cet exil, a-t-il pris part à l’organisation de l’attentat contre Tagmé Na Waié ? Acte fondateur d’une série de vengeances encore en cours, ce meurtre avait aussitôt entraîné dans la foulée celui du président Nino Vieira, attaqué par des militaires dans sa résidence, torturé et assassiné. Zamora Indura avait alors pris le contrôle de l’armée en devenant chef d’état-major, nouant une alliance avec Carlos Gomes Junior.

En décembre, le PAIGC (Parti africain pour l'indépendance de la Guinée et du Cap-Vert) avait remporté les élections législatives, et Carlos Gomes Junior était devenu premier ministre de Guinée-Bissau. Après ces assassinats, la Guinée-Bissau s’est stabilisée, des élections ont permis à un nouveau président et à un nouveau premier ministre d’arriver au pouvoir. Puis, fin décembre, Bubi Na Tchuto est rentré en Guinée-Bissau sur une pirogue, déguisé en pêcheur. Le gouvernement de Carlos Gomes Junior avait annoncé être "plus que jamais déterminé à le juger pour tentative d’attentat contre la vie du président Nino Vieira".

Jean-Philippe Rémy

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Surtout que le meurtre a eu lieu après un débat sur un chant de l'ANC traditionnel appelant au meurtre des Boers.

Interdit par la justice mais l'ANC toute puissante veut revenir sur cette décision...

Je sens que cela va mal tourner, très mal tourner.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Quand comprendra on que les états multi ethniques ca marche pas...

Malheureusement ca ne cadre pas avec la dictature molle du politiquement correct qui empêche toute pensée sur le sujet par l'anathème "rasciste".

Quoi qu'il en soit, au vu de l'état de la classe politique de la majorité noire (corruption massive, incompétence crasse à tous niveaux, démgogie, populisme, autoritairsme de l'ANC) il est évident que l'AdS court à la catastrophe.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Pardon j'ai pas lu les pages précédentes - je dois partir à toute jambe d'ici peu - mais j'ai lu dans Marianne (oui oui) que Sarkozy voulait dès sa présidence du G20 , enfin celle de notre belle France , insister sur la possibilité de laisser à un pays d'Amérique Latine d'entrer au CS de l'ONU (le Brésil surement) et surtout .. A un pays d'Afrique ?

Quelle crédibilité ?

Est ce possible (qu'il le veuille)?

Est ce possible un pays à peu près indépendant et libre penseur en Afrique ?

Non parce que moi je vois surtout , peut être une vision du petit blanc colon etc , des Pays Africains couverts de corruptions se prostituant à qui mieux mieux - je parle là des dirigeants - en vendant leurs pays et leurs administrés à toutes les puissances étrangères .

Hormis quelques Pays du Nord et l'AfSud je ne vois pas vraiment qui pourrait atteindre les minimums .. Et hormis l'AfSud qui aurait une petite crédibilité . Mais pourquoi l'AfSud ?

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

même plus l'AfSUd

depuis que elle a eliminé son arsenal atomique, que son armée part en déliquescence, que ses politiciens au pouvoir sont corrompus, racistes (en même temps y'a juste la couleur qui change) et que sa sécurité interne et externe est très mal assurée je ne vois pas ce que pourrait faire l'AfSud au CS

autant y coller le Nigeria (petrole, population, influence sur l'Afrique de l'Ouest et l'Afrique tout court)

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

même plus l'AfSUd

depuis que elle a eliminé son arsenal atomique, que son armée part en déliquescence, que ses politiciens au pouvoir sont corrompus, racistes (en même temps y'a juste la couleur qui change) et que sa sécurité interne et externe est très mal assurée je ne vois pas ce que pourrait faire l'AfSud au CS

autant y coller le Nigeria (petrole, population, influence sur l'Afrique de l'Ouest et l'Afrique tout court)

+1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
  • Statistiques des membres

    6 005
    Total des membres
    1 749
    Maximum en ligne
    cilom
    Membre le plus récent
    cilom
    Inscription
  • Statistiques des forums

    21,6k
    Total des sujets
    1,7m
    Total des messages
  • Statistiques des blogs

    4
    Total des blogs
    3
    Total des billets
×
×
  • Créer...