Sous contrôle des personnes qui auraient vécu la période, on est en 2003 et l'Armée de l'air connaît comme toute entité, un phénomène nouveau. Leur communication peut leur échapper dans la mesure où les "couillons" -que nous sommes tous - font parfois les couillons et peuvent désormais se filmer. Snif.
Une fois la tape sur les doigt passée et de nouvelles règles imposées pondues, c'est quand même de belles images et une sacrée pub. Mais c'est pas bien, surtout pour le mec qui prête les appareils et assume le petit bordel. Bref, c'est la diffusion le souccis.
L'armée a elle aussi, après les poids des mots appris, le poids des images: engagez-vous !
Cette question est récurrente, on rappellera le gars au Mali avec son masque tête de mort foudroyé médiatiquement pour une histoire de symbole, tombé pour contexte médiatique...