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Messages posté(e)s par herciv
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Marine Britannique
dans Europe
il y a 3 minutes, ARMEN56 a dit :Bah ! c’est comme un coup du « animal à grandes oreilles » @mudrets explique lui
La malchance !
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il y a 2 minutes, Fusilier a dit :
Qu'il soit vital de couvrir les "trous", tout le monde peut être d'accord. Ca ne dit pas avec quoi ni l'efficacité de ce quoi.
Aucune idée des volumes en formation chez les UKR, mis à part ce que l'on sait sur la formation en GB. Chez les RU on a pas vraiment d'idée des volumes; tout ce que l'on sait c'est que la RH c'est pas leur point fort (hors mobilisation, off course)
J'en suis au même point que toi.
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il y a 10 minutes, Fusilier a dit :
C'est possible. La question c'est avec quoi...? Quelles sont les réserves des RU... Quand on voit que ce flanc, qui couvre un de leurs axes majeurs de rativo, était gardé par des paramilitaires pas vraiment conçus et équipés pour, il y a de quoi se poser des questions... Ils ont transféré des troupes au Sud (les meilleures dissent certains...) Ces unités, dont on ne connait pas l'état, sont censées couvrir la rive gauche, éventuellement renforcer les unités rive droite, et couvrir le front à leur Nord. Alors, les déplacer à nouveau (grande rocade) pour venir couvrir les flancs? Faire donner le 3e CA (il semble qu'il y a des mouvements dans ce sens) mais quelle valeur a cette unité de création récente (si j'ai bien compris) Ou alors, transférer des forces aujourd'hui engagées, mais les sortir d'où;;;
Je suis d'accord sur la question. Mais le constat est là. Dans l'état actuel il y a des trous dans la défense russe. Sans renforcement il y aura encore des trous et d'autres offensives ukrainienne pourraient à nouveau perturber les objectifs du Kremlin.
Les ukrainiens se font former par certains pays de l'OTAN. On peur penser que Poutine a mis en place des formations de son côté dont au moins une a été signalée : la formation pour les drones iraniens.
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@Stark_Contrast on parle d'une misérable pièce, un aimant et toutes les livraisons sont stoppées ? Tu y vois une cohérence toi ?
Second problème les différents articles font ressortir que cette pièce est fournis par HONEYWELL mais c'est bien LM qui ne pourra pas facturer de nouvelles livraisons de F-35, c'est donc bien LM qui est sanctionné en tout premier et ensuite par ruissellement HONEYWELL mais aussi toute les autres sous-traitants de LM sauf .... PW et ses propres sous-traitants qui sont contractualisés de leur côté par le pentagone. HONEYWELL n'est pas contracté par le pentagone pour cette pièce, seulement LM.
Donc la situation est bien telle que je te l'ai décris : à cause d'une banale pièce pour laquelle il pourrait y avoir un alliage chinois toutes les livraisons sont stoppées et toute la chaine de valeur du f-35 avec. Forcément c'est une première. Et cette première a un sens pour les fournisseurs au premier rang desquels se trouve LM.
Le JPO a changé sa façon de traiter les non-conformités et le fait savoir. Ni plus ni moins.
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Sans vouloir fâcher personne, il va falloir la consolider cette percée. Si réellement elle a été faite avec 15 chars c'est que le gros de la troupe n'est pas sur place et en plus rien n'est fortifié pour l'instant. Les ukrainiens sont à la merci d'une contre offensive.
D'autre part les russes vont continuer à renforcer le front. Pour moi la conséquence première de cette percée va être un renforcement conséquent des moyens humains russes pour densifier les ressources le long de la ligne de front.
Je pense aussi que çà va conforter les chinois si ils doivent avoir une action à Taïwan puisque l'allié russe est peut-être plus faible qu'il n'y parait et que le réarmement occidental serait trop rapide sans une guerre pour le consommer en europe.
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il y a 31 minutes, joker88 a dit :
Barracuda avec la marine égyptienne
Je trouve que l'Egypte fait preuve de plein d'a propos. Les mistrals, les rafales elle avait déjà su profiter de contrats que la france n'avait pas pu honorer ou sur lequel elle avait du mal à trouver des clients et là à nouveau.
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il y a 28 minutes, Niafron a dit :
Je le dis en riant, mais en vrai, ça fait un peu peur quand même...
Au début de la guerre, on en avait fait des tonnes, moi le premier, sur l'arsenal nucléaire russe et sur les menaces de Poutine.
Avec le recul, je reconnais que c'était une réaction émotionnelle et que le risque était faible.
Par contre, en essayant cette fois d'être le plus rationnel possible, je me dis que si ça tourne vinaigre pour la Russie et que le régime entre dans une logique de survie... bref... c'est pas rassurant.
Sur la logique de survie on va attendre quelques jours pour savoir si les pertes territoriales de la Russie se confirment ou si il y aura un sursaut. mais le cas échéant clairement la puissance de la Russie en prend un coup et est rabaissée au rang d'ours de papier.
Quelque part trouver une issue rapidement à cette crise va permettre à l'Europe de pouvoir mieux se positionner en cas de crise sino-américaine.
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il y a 1 minute, Métal_Hurlant a dit :
Un ours blessé est encore plus dangereux...
Cette carte est très claire sur les gains de l'offensive ukr à l'Est :
Ca va mettre une vrai pression sur Poutine. Les russes ne se sont pas engagé suffisamment à fond dans cette aventure et si ils vont être poussé à réagir.
il y a 1 minute, Ciders a dit :Offensive locale, résultats locaux. Si Kupiansk tombe, çà obligera les Russes à déterminer s'ils évacuent Izyum ou s'ils y restent isolés. Mais on est loin de la fin de la guerre.
Si tu prend un peu de recul c'est aussi qu'un tel frond ne peut pas être tenu sans une plus grosse troupe et des matériels plus nombreux. Les russes avaient des failles. Elles ont été exploitées. La défense ukrainienne a permi de créer ces espaces comme on dit en rugby.
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Si les russes se font sortir par la peau des fesses de l'Ukraine ils ne seront plus qu'une puissance secondaire.
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il y a 1 minute, Métal_Hurlant a dit :
??????????????
On va laisser passer un peu d'eau sous les ponts et voir si les accident de parapluie se multiplient à saint Petersbourg.
Les chinois doivent se sentir bien seul ce soir.
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Eh bien mes condoléances à la famille royale. Elle a quand même eu un très beau règne.
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il y a 47 minutes, Patrick a dit :
erci pour la transcription, mais c'est du pur "en même temps" qui dit tout et son contraire. Rien de neuf, j'en attendais plus.
Pour moi c'est plus du qui m'aime me suive.
Moi je trouve que ça ressemble à une feuille de route dans laquelle le mot France pèse plus lourd que le mot Europe devenu optionnel.
Les mantra gaulliens de l'indépendance et du non alignement sont repris et décliné. On parle de stock ce qui signifie aussi que les armées vont d'avoir par exemple inverser leur programme foncier et BTP. Le ministre veut plus de simplicité dans les équipements....
Avis perso bien entendu
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il y a 1 minute, metkow a dit :
ha, une bonne attaque inghimassi a la sauce ukrainienne!!
Eh ben cette automne ca va ête compliqué de manoeuvrer dans ces champs.
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il y a 3 minutes, Heorl a dit :
Tweet supprimé, l'annonce est prématurée apparemment.
Il y a un direct sur le figaro en ce moment
il y a 1 minute, Ciders a dit :Beaucoup de trolls et de faux comptes qui annoncent le décès sur Twitter : lisez bien ce que vous postez.
Attention mon post au-dessus est au futur et @Heorl parle de son état de santé dégradé. Pour l'instant sur ad.net personne n'annonce sa mort.
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à l’instant, SLT a dit :
Au moins elle ne verra pas la désunion du RU... (parce que vu comme c'est parti en ce moment, l'Écosse et l'Irlande du nord ont l'air assez motivés... et Truss au pouvoir risque de ne rien arranger)
C'est sûr qu'elle est le symbole de l'Union du Royaume Uni. Je ne suis pas sûr que Charles le portera aussi bien.
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il y a 1 minute, Heorl a dit :
ton lien est cassé
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il y a 3 minutes, Heorl a dit :
Elizabeth II hospitalisée et ça sent pas bon... Ses enfants vont lui rendre visite, plusieurs journalistes télé ont été vus habillés de noir, ça pourrait être pour bientôt.
Oui j'ai vu. Sa disparition sera un vrai symbole de changement d'époque.
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- C’est un message populaire.
- C’est un message populaire.
"FRANCE d'abord" et back to basic : LECORNU notre ministre de la défense commence à décliner le discours de Macron dans le domaine des industries de la défense : la relocalisation est demandée de toute urgence. La position originale de la France est assumée en particulier dans ses systèmes d'armes qui doivent rester de notre compétences en développement et en fabrication.
Pour le ministre des Armées, une économie de guerre passe par une « souveraineté française industrielle »
PAR LAURENT LAGNEAU · 8 SEPTEMBRE 2022
Le 7 septembre, dans la lignée des déclarations faites durant l’été par le président Macron sur « l’économie de guerre » et alors qu’une nouvelle Loi de programmation militaire [LPM] est en train d’être élaborée, le ministre des Armées, Sébastien Lecornu, a réuni les principaux représentants de la Base industrielle et technologique de défense [BITD], le Délégué général pour l’armement [DGA], les chefs d’état-major et le Secrétaire général de la Défense et de la Sécurité nationale [SGDSN] afin de mettre en oeuvre un plan « concret » visant à accélérer les cadences de production et les livraisons d’équipements dont les armées auront besoin en cas de conflit de moyenne ou de haute intensité. Une hypothèse qui n’est plus exclue après l’invasion de l’Ukraine par la Russie.
« À bien des égards, on est dans la même situation que dans les années 1950 ou 1960, quand le général de Gaulle […] a décidé de définir une autonomie stratégique française », a déclaré M. Lecornu, à l’issue de cette table ronde. L’expression qu’il a utilisée a de quoi surprendre étant donné que, durant ces dernières années, il n’était quasiment question que d' »autonomie stratégique européenne ».
« On dit souvent allié mais non aligné » et « ça passe aussi par une capacité à développer nos propres systèmes d’armement. C’est particulièrement vrai pour notre dissuasion nucléaire mais c’est vrai aussi pour notre marine, notre artillerie […] ou notre aviation de chasse, dont le Rafale est devenu un de symboles importants », a continué le ministre. Et d’insister : « Ce qui se joue aussi dans les années qui viennent, c’est notre capacité à être autonomes. Autonomes, nous Français, parfois dans des coopérations évidemment européennes » ce qui signifie que « nous ne soyons pas dépendants d’un certain nombre de pays extérieurs ». @Patrick elle est pour toi celle-là.
« C’est l’un des grands enjeux auquel nous devons faire face : être en situation d’avoir suffisamment de matériels et suffisamment vite si malheureusement il y avait un conflit de moyenne ou de haute intensité dans lequel la France serait engagée » et « en même temps de garantir aussi une autonomie, une souveraineté française en matière industrielle », a résumé M. Lecornu.
Quoi qu’il en soit, plusieurs engagements ont été pris lors de cette table ronde. Ainsi, les armées devront simplifier leur expression des besoins afin de pouvoir disposer d’équipements « plus simples et plus rustiques » en plus grand nombre.
Sur ce point, le ministre a cité le cas de l’hélicoptère NH-90, qui existe en deux versions, dont l’une est destinée à la Marine. « Ces vingt dernières années, nous ont parfois conduit à demander à certaines équipements de tout faire ou d’avoir beaucoup d’options », a-t-il relevé. Or, l’idée était de disposer d’appareils « multi-rôles » et communs aux forces armées afin de mutualiser le soutien… Ce sera d’ailleurs le cas pour le H160 « Guépard ». Faut-il en déduire qu’il y aura un changement de cap?
Cela étant, le ministère des Armées s’est engagé à réduire les procédures administratives relatives aux programmes d’armement, sans pour autant revoir à la baisse les critères de qualité. « Incontestablement, on doit savoir prendre quelques risques, y compris dans les procédures en les réduisant », a fait valoir M. Lecornu. Le DGA, Emmanuel Chiva, et son adjoint, l’ingénieur général de classe exceptionnelle de l’armement Thierry Carlier, auront à faire des propositions en la matière.
Un autre thème abordé est celui des stocks… On pensait que la pandémie de covid-19 allait se traduire par un changement d’approche dans ce domaine… Visiblement, ce n’est pas encore le cas. Pour beaucoup, « avoir du stock est un signal de mauvaise gestion », a rappelé le ministre. Désormais, il s’agit « d’inverser cette logique » en revenant à des principes de « père de famille » en constituant des réserves « solides et suffisantes ». Cela vaut pour les munitions comme pour les matières premières, quitte à rogner les marges des industriels.
« On ne va pas se raconter d’histoire. Il y a un avant et un après covid dans la manière d’aborder les stocks […]. On ferme les frontières et on découvre qu’on a des systèmes d’armes qui pourtant font partie de notre régalien profond qui, du jour au lendemain, sont privés d’une pièce à l’import parce qu’on est dépendant d’un certain nombre d’industries qui malheureusement parfois sont parties très très loin du continent européen », a rappelé M. Lecornu.
Aussi, a-t-il poursuivi, « je n’ai pas d’état d’âme : je veux un agenda de relocalisation. Si on est sur la souveraineté française, on ne peut pas comprendre qu’un certain nombre de pièces soient produites à l’étranger, parfois même par de potentiels concurrents ou compétiteurs. […] Il ne faut pas que la question de la relocalisation industrielle soit un tabou. Je ne dirai pas ‘quoi qu’il en coûte’ mais pas loin ».
Quant à l’augmentation des cadences de production, elle devrait concerner dix types d’équipements. Mais M. Lecornu en a donné trois : le obus de 155mm, les CAESAr [Camions équipés d’un système d’artillerie] et les moyens de défense sol-air. Et les objectifs sont ambitieux : ainsi, il s’agira de diviser par trois les délais de livraison, l’assemblage d’un CAESAr devant prendre 12 mois, contre plus de 30 actuellement.
Notant que d’autres pays occidentaux sont en train de mener des réflexions similaires concernant leurs capacités industrielles dans le domaine de l’armement, M. Lecornu a dit « assumer une autonomie française », voire « gaullienne en quelque sorte », sur laquelle « nous avons quelques devoirs ».
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Progression très rapide donc qui va réduire les deux saillant russes au nord de Izium.
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il y a 9 minutes, Rescator a dit :
entraînement, stock de munitions, sol-air basse couche y compris lutte anti-drones, franchissement, frappe dans la profondeur, drones, munitions téléopérées, flotte camions tactiques, MCO hélicoptères, numérisation/cyber, guerre électronique
c'est dans l'ordre de priorité ?
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Rapport intermédiare sur l'accident du F-35B anglais. Probable erreur humaine ayant conduis à laisser le capotage rouge d'entrée d'air et ne pas le signaler dans la prise de service entre deux équipes de pont.
23 juin 22
RAPPORT INTERIMAIRE DE L'ENQUETE DE SERVICE (SI) ENQUETANT SUR L'ACCIDENT DE
ACCIDENT IMPLIQUANT LE F-35B ZM152 SUR LE HMS QUEEN ELIZABETH LE 17 NOV 21
Heures locales (UTC + 2 heures)
1. Bien que l'enquête sur l'accident du F-35B survenu le 17 novembre 21 se poursuive, le panel de la SI
l'enquête sur l'accident du F-35B du 17 novembre 21 se poursuit, mais le groupe d'experts est maintenant convaincu que la cause n'était pas liée à un problème technique de l'avion, mais qu'elle était très probablement due à des facteurs humains, organisationnels et techniques. mais très probablement à des facteurs humains, organisationnels et procéduraux.
Introduction
2. Le 17 novembre 21, le HMS QUEEN ELIZABETH (QNLZ) opérait en Méditerranée orientale.
Six mois après le début du déploiement de son premier groupe d'attaque de porte-avions, l'opération FORTIS. Des avions F-35B du corps des Marines des États-Unis ont commencé à voler à 6h30. 06:30 et deux F-35B britanniques, de l'escadron 617 (Sqn), étaient programmés pour décoller à 11:45. L'avion de tête, ZM152, a roulé vers la piste pour le lancement à 11 h 37. L'avion s'est converti en mode de décollage court et, sous la direction du capitaine du pont d'envol, le pilote a effectué des vérifications du point fixe des moteurs et a confirmé que toutes les indications du moteur étaient normales, a sélectionné la puissance de décollage, soit 97 % de la demande de poussée des moteurs (ETR), et a relâché les freins.
3. Le pilote a signalé que l'accélération initiale lui semblait normale, mais qu'elle a ensuite diminué.
En vérifiant les affichages du moteur, il a découvert que la puissance était faible, à 74% ETR. Le pilote de Le pilote a alors sélectionné le maximum (100% ETR) mais le moteur a continué à délivrer une puissance inférieure à celle attendue. En raison de la faible vitesse du ZM152, le pilote a tenté d'interrompre le décollage, mais il n'a pas pu arrêter l'appareil avant la fin de la période de décollage et s'est éjecté. L'éjection s'est déroulée avec succès, le parachute s'est déployé et le pilote a atterri sur le pont d'envol. ne souffrant que de blessures légères. L'avion a heurté la mer et on l'a vu flotter en passant par le côté bâbord du navire avant qu'il ne coule.
Contexte
4. Le ZM152 a volé pour la dernière fois le 13 novembre 21 et n'a nécessité aucune activité de maintenance avant la préparation de son vol le 17 novembre 21. La veille de l'accident, QNLZ a traversé le canal de Suez pour se rendre à son port d'attache. Par mesure de sécurité pour ce tous les F-35B du pont d'envol étaient équipés de Red Gear. Le Red Gear, qui comprenait d'admission des moteurs, était conçu pour protéger contre la pénétration de corps étrangers. Cette nuit-là, Le personnel technique de l'escadron 617 a révisé le ZM152 pour le préparer au vol du lendemain.
5. L'entretien du ZM152 a été confié à deux mécaniciens qui ont pris leur service à 19h30. Le premier
Le premier ingénieur a effectué sa partie de l'entretien peu après 21h30 et l'entretien s'est terminé au plus tard à 23h00. terminé au plus tard à 23h00. Après un repas de mi-équipe, le second ingénieur a commencé son travail à 00h30.
Dans l'intervalle, des orages se sont abattus sur le navire. Lorsque le deuxième mécanicien est arrivé à l'avion pour effectuer sa partie de l'entretien, et lors de toutes les inspections ultérieures de l'avion avant le vol. lors de toutes les inspections ultérieures de l'aéronef avant le vol, les pièces d'admission n'ont pas été vues.
Au cours de leurs tâches individuelles, les mécaniciens ont enlevé quelques éléments du Red Gear, mais mais aucune entrée n'était requise dans le journal technique de l'avion lors du montage ou du démontage. Une procédure locale Une procédure de comptabilité locale était en place, mais elle n'a pas été utilisée pour la pose et la dépose en masse de Red Gear pendant le transit de Suez. de l'équipement rouge pendant le transit de Suez. Aucun rassemblement n'a été effectué avant le vol pour s'assurer que tout l'équipement rouge avait été retiré. que tout le matériel rouge avait été enlevé.
6. Avant le naufrage, on a observé que le couvercle de la prise d'eau gauche flottait à l'écart de l'épave du ZM152.
l'épave du ZM152 et a ensuite été saisi. Une opération de sauvetage a été mise en place, et l'avion a été localisé et récupéré avec succès sur l'eau. l'avion a été localisé et récupéré avec succès au Royaume-Uni.
Cause
7. Suite à l'analyse de l'enregistreur de données de vol par le fabricant, et ayant
Après l'analyse de l'enregistreur de données de vol par le fabricant, et après avoir effectué un examen indépendant de la navigabilité, le comité n'a identifié aucun problème technique avec l'avion. Le panel est d'avis qu'il est presque certain qu'un blanc d'admission de moteur unique est resté à l'intérieur de l'admission du moteur au moment du lancement, causant une restriction du flux d'air vers le moteur de sorte qu'il n'a pas pu générer suffisamment de puissance pour le décollage.
Conclusion
8. Sur la base des preuves obtenues, le panel est convaincu que le principal facteur de causalité de l'événement est le fait que le flan d'admission gauche est resté dans l'avion avant le lancement, ce qui a réduit la puissance du moteur. Ceci était très probablement dû à une combinaison de facteurs humains, de facteurs humains, organisationnels et procéduraux. Néanmoins, l'enquête continue à rechercher un standard de preuve qui permettra d'aborder d'autres pistes d'enquête sur un éventail de causes possibles. causes possibles. Le groupe d'experts se concentre sur les mécanismes potentiels de déplacement de l'ébauche d'admission et sur les comparaisons entre les services d'entretien britanniques. d'admission et sur les comparaisons des procédures d'entretien du Royaume-Uni avec celles d'autres pays exploitant des F-35.
d'autres pays exploitant des F-35.
9. Conformément à son mandat, la commission d'enquête sur les services continue d'examiner
d'autres facteurs, notamment la conception de l'équipement, les ressources en personnel, la gestion de la fatigue,
la gestion de la fatigue, l'assurance de la qualité et la gestion de l'événement après sa survenance, afin d'identifier toute l'événement, afin d'identifier toutes les leçons pertinentes qui pourraient empêcher que cela ne se reproduise et améliorer la sécurité aérienne.Directeur général de l'Autorité de sécurité de la défense
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Les critères de Maastricht ne sont plus adapté au nouvel environnement :
L'UE envisage de réviser les règles relatives à la dette alors que les crises s'accumulent
08/09/2022 | 11:27
Byzantines, politisées ou tout simplement stupides, les règles fiscales de l'Union européenne ont reçu de nombreux noms et ont été modifiées à plusieurs reprises. Aujourd'hui, l'UE entame un nouveau débat pour les réformer car elle est confrontée à des crises qui se chevauchent et pour lesquelles les règles n'ont pas été conçues.
Les ministres des finances de l'UE donneront le coup d'envoi du débat samedi, confrontés à un endettement élevé après deux années passées à soutenir les économies pendant la pandémie de COVID-19 et à d'énormes besoins d'investissement pour prévenir la crise ultime du changement climatique.
Pour ne rien arranger, ils sont également confrontés à une crise du coût de la vie avec une inflation record, une flambée des coûts de l'énergie alors que la Russie réduit ses livraisons de gaz à l'Europe, et une récession imminente qui draine déjà des centaines de milliards des coffres des gouvernements en diverses mesures de soutien et d'autres sont à venir.
Les règles de l'UE, conceptuellement ancrées dans les périodes économiquement plus stables connues sous le nom de "Grande Modération" dans les années 1990 et visant principalement à sauvegarder la valeur de l'euro par des restrictions des emprunts publics, ont du mal à faire face à tout cela.
Ils stipulent que la dette publique doit être inférieure à 60 % du produit intérieur brut (PIB) et le déficit public inférieur à 3 % du PIB.
Mais la pandémie a laissé de nombreux pays avec une dette bien supérieure à 100 % du PIB, avec la Grèce à environ 185 % et l'Italie à environ 150 %, et des déficits de 2021 souvent deux fois supérieurs à la limite de l'UE.
Il est donc impossible pour de nombreux gouvernements d'adhérer à la règle de l'UE selon laquelle ils doivent réduire la dette chaque année de 1/20e de la différence entre son niveau actuel et 60 % du PIB.
Les documents de position de la France, de l'Italie, de l'Allemagne, de l'Espagne et des Pays-Bas ainsi que de hauts fonctionnaires de l'UE affirment que la règle du 1/20e devra donc disparaître - soit explicitement, soit parce que les gouvernements et la Commission conviennent de ne pas l'appliquer.
Mais on ne sait pas très bien par quoi elle pourrait être remplacée. Berlin pense que les gouvernements devraient simplement réduire leur déficit structurel chaque année d'au moins 0,5 % du PIB jusqu'à ce qu'ils atteignent l'équilibre. Cela, combiné à la croissance économique, permettrait de s'occuper de la dette.
"Le résultat le plus probable est que nous obtiendrons quelque chose de très similaire à la position allemande au final", a déclaré un haut fonctionnaire de la zone euro impliqué dans les discussions.
LE CALCUL DU DÉFICIT
Un autre point de friction est la manière de traiter les centaines de milliards d'investissements publics, nécessaires pour attirer encore plus d'argent privé, afin de réduire d'abord de moitié les émissions de dioxyde de carbone en Europe d'ici 2030, puis de les arrêter complètement d'ici 2050.
La France, l'Italie et la Pologne soutiennent que les règles devraient également leur permettre de déduire du calcul du déficit l'argent dépensé pour la défense ou pour atteindre la souveraineté technologique, car ces investissements seront rentables à l'avenir.
L'Allemagne ne veut pas que des secteurs spécifiques soient exclus des statistiques de déficit de l'UE, mais semble ouverte à un élargissement de la flexibilité existante pour les gouvernements qui font des réformes structurelles ou des investissements bénéfiques à long terme. La portée et la taille de ces réformes ou investissements doivent être définies.
Le choix des critères de mesure des efforts budgétaires est également en discussion, car les gouvernements recherchent des indicateurs observables sur lesquels ils ont une influence, plutôt que des indicateurs calculés à rebours qui sont souvent fortement révisés. Et puis il y a le problème controversé de l'application.
Bien que des amendes soient prévues pour ceux qui enfreignent les règles, elles n'ont jamais été utilisées, même si des pays comme l'Italie, la France, l'Espagne ou le Portugal, l'ont fait de manière flagrante.
Les discussions sur les changements risquent de prendre des mois, peut-être jusqu'au deuxième trimestre de 2023. Les règles resteront suspendues l'année prochaine afin de donner aux gouvernements une marge de manœuvre pour protéger les économies de la crise énergétique provoquée par l'invasion de l'Ukraine par la Russie.
La Commission européenne présentera ses propositions sur la manière dont le cadre pourrait être modifié au cours de la deuxième quinzaine d'octobre, ont indiqué des responsables, en visant une publication bien après les élections anticipées en Italie le 25 septembre, afin d'éviter de faire du débat un enjeu électoral dans la troisième plus grande économie de la zone euro.
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Zonebourse :
L'Ukraine annonce des "bonnes nouvelles" sur le front de Kharkiv
08/09/2022 | 12:28
par Pavel Polityuk
KYIV, 8 septembre (Reuters) - L'armée ukrainienne a repris ces derniers jours plusieurs localités du nord-est de l'Ukraine, dans la région de Kharkiv, à l'issue d'une percée derrière les lignes russes, selon les autorités de Kyiv et des experts militaires occidentaux.
"Nous avons de bonnes nouvelles en provenance de l'oblast [région administrative, NDLR] de Kharkiv", a déclaré mercredi le président ukrainien Volodimir Zelensky lors de son message à la nation quotidien, diffusé chaque soir, pendant lequel il a évoqué la prise par les forces ukrainiennes de plusieurs villages.
Volodimir Zelensky a cependant ajouté qu'il était encore trop tôt pour désigner nommément ces localités, en raison d'une situation toujours hautement instable sur le terrain, tout en saluant la "bravoure" de deux brigades aéroportées et d'une brigade mécanisée.
"Vous avez probablement tous entendu parler des récentes activités de nos défenseurs ukrainiens. Et je pense que tout citoyen peut se sentir fier de nos combattants", a-t-il dit.
Les experts de l'Institute for the Study of War (ISW), basé à Washington, estiment que les forces ukrainiennes ont réussi mercredi, en attaquant par surprise, à avancer d'au moins 20 km en territoire sous contrôle russe, "reprenant approximativement 400 kilomètres carrés".
La Russie confirme pour sa part des combats dans la région mais nie avoir perdu des territoires. Sur les réseaux sociaux, des experts militaires russes laissent toutefois entendre que les forces russes ont subi des revers et devront d'urgence obtenir des renforts.
PERTES IMPORTANTES
Dans une vidéo postée sur YouTube, le conseiller à la présidence ukrainienne Oleksiy Arestovitch a affirmé que les forces ukrainiennes avaient surpris les lignes de défense russes dans la petite ville de Balakliia, située au sud-est de Kharkiv; la deuxième ville d'Ukraine proche de la frontière russe.
"Les Russes disent que Balakliia est encerclée alors qu'en fait, nos troupes ont progressé bien davantage", a-t-il dit.
Un responsable local pro-russe, Rodion Mirochnik, a indiqué sur Telegram que Balakliia était toujours contrôlée par les Russes, tout en signalant des affrontements au nord de la ville.
Selon Iouri Podolyak, un blogueur ukrainien régulièrement cité par les responsables pro-russes, "l'ennemi a engrangé des succès considérables près de Balakliia avec une force relativement réduite".
"Tout devrait dépendre maintenant de la vitesse à laquelle des renforts seront envoyés sur le terrain", a-t-il dit en parlant de "pertes importantes".
L'Ukraine évoque depuis des semaines une vaste contre-offensive dans la région de Kherson, dans le sud de l'Ukraine, où des combats sont en cours. Les analystes militaires occidentaux pensent que l'état-major russe pourrait avoir dégarni certains fronts en envoyant massivement des renforts vers le sud.
D'intenses affrontements se poursuivaient également jeudi dans la région de la centrale nucléaire de Zaporijjia, que l'Ukraine n'a pas exclu de mettre à l'arrêt afin de prévenir le risque d'une catastrophe. (Bureaux de Reuters, rédigé par Andrew Osborn, version française Jean-Stéphane Brosse, édité par Tangi Salaün)
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il y a 36 minutes, Ronfly a dit :
Le rapport sur les besoins pour pouvoir adapter l'armée française au défi de la haute intensité donne un chiffre de 3 à 6 mds supplémentaires aux 44 mds prévus dans la LPM pour l'année 2023.
L’armée française veut plus d’armes, plus vite et à moins cher
Industriels de défense et militaires français se sont engagés mercredi à s’adapter à l’« économie de guerre » dans laquelle est entrée la France avec le conflit en Ukraine.
Des blindés français au Sahel. Le parc est en train d’être modernisé mais il manque la masse pour tenir dans le cadre d’un conflit de haute intensité. | PHILIPPE CHAPLEAU
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Ouest-FrancePhilippe CHAPLEAU.Publié le 08/09/2022 à 09h18
Emmanuel Macron lors de l’inauguration du salon Eurosatory, à Villepinte, le 13 juin dernier, avait déclaré que la France est « entrée dans une économie de guerre » . Au-delà du recours souvent abusif au mot guerre par le Président, il est clair que la situation nationale actuelle n’a rien à voir avec ce qu’ont connu les Français des années 1940. Ni rationnement ni réquisition. Et on est encore loin d’une économie qui se restructurerait drastiquement pour soutenir l’effort de guerre.
Une armée à remettre en ordre de bataille
Pourtant, il y a bien une vraie urgence à remettre en ordre de bataille une armée française qui a un peu de tout, selon l’aveu du ministre des Armées, Sébastien Lecornu, à l’issue du premier séminaire sur l’économie de guerre qui s’est tenu mercredi à Balard.
Un peu de tout mais suffisamment de rien… D’où les questions auxquelles il faut répondre dès maintenant.
Comment produire plus d’équipements militaires, plus vite, et moins cher, de façon à ce que les armées françaises soient autonomes ?
Pour répondre à ces questions, ou en tout cas faire réfléchir les équipementiers de défense, la DGA, les états-majors, le SGDSN…, le ministre des Armées a réuni, mercredi, les représentants de ces acteurs clé du monde de la Défense afin d’échanger sur cette fameuse économie de guerre et les moyens pour l’optimiser.
Le premier séminaire sera suivi d’un second dès octobre. | MINARM
Sébastien Lecornu a bien rappelé que la France n’est pas en guerre mais qu’il faut se préparer à trois cas de figure auxquels le pays peut être confronté : D’abord un état de compétition et de concurrence ; puis un état de contestation de l’ordre établi, des équilibres, voire des frontières, et c’est là où nous nous situons ; enfin un état de confrontation Mais ce n’est pas le jour où la France sera à ce dernier stade qu’il faudra découvrir l’impréparation des armées, la faiblesse des stocks et le principe de l’attrition élevée qui caractérise le combat de haute intensité.
D’où cette réunion de travail, qui sera suivie par une autre en octobre. Ce premier séminaire avait pour objectif de lancer la mise en œuvre d’un plan d’action concret pour accroître la capacité et vitesse de production ainsi que pour diminuer les délais de livraison d’armements. Exemples : il faudra produire des obus de 155 mm en 3 mois au lieu de 9, construire des canons Caesar en 12 mois au lieu de 30, ces deux produits figurant dans le top 10 des armes prioritaires selon le ministre qui a aussi cité les moyens sol-air, parent pauvre de la défense antiaérienne française…
Moins de délais
Le ministre des Armées a donc exhorté les participants à prendre des engagements.
Aux militaires, il a demandé d’avoir des expressions de besoins plus rustiques et plus simples et simplifier les procédures administratives, une exigence dont Emmanuel Chiva, le nouveau directeur général de l’armement, a bien pris note.
Aux industriels, Sébastien Lecornu a demandé de s’assurer que les matières premières pour produire des armes et des munitions sont disponibles, donc en stock suffisant, de s’assurer que les outils industriels sont prêts à produire rapidement et de façon soutenue, d’où un agenda de relocalisations industrielles. Il leur a aussi demandé de préserver les savoir-faire avec une main-d’œuvre qui fasse vivre le savoir-faire français.
Tout cela aura un coût. Le député (LR) Jean-Louis Thiériot, auteur en février d’un rapport sur la haute intensité, évalue entre 3 et 6 milliards d’euros, en plus des 3 milliards déjà budgétés dans la Loi de programmation militaire, les besoins pour reconstituer les seuls stocks de munitions.
à l’instant, herciv a dit :Aux industriels, Sébastien Lecornu a demandé de s’assurer que les matières premières pour produire des armes et des munitions sont disponibles, donc en stock suffisant, de s’assurer que les outils industriels sont prêts à produire rapidement et de façon soutenue, d’où un agenda de relocalisations industrielles. Il leur a aussi demandé de préserver les savoir-faire avec une main-d’œuvre qui fasse vivre le savoir-faire français.
Ca veut dire autosuffisant ?
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Chine - Taiwan : Rivalité Militaire
dans Politique etrangère / Relations internationales
Posté(e) · Modifié par herciv
1 - ce n'est pas mes propos mais ceux de Joseph Wu
2 - mon pronostique c'est octobre après le congrès
3 - Le mois d'octobre est en général plus calme que septembre ou novembre.
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Hier les chinois se sont contenter d'envoyer 45 avions et 7 navires au-delà de la ligne médiane.
Taïwan suit 45 avions militaires chinois, 7 navires de guerre dans tout le pays
Taïwan a envoyé des avions, des navires de guerre et utilisé des systèmes de missiles terrestres pour surveiller les avions et les navires de l’APL
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Par Eric Chang, Taiwan News, rédacteur en chef
2022/09/09 13:07
Avion de chasse chinois J-10. (Photo MND)
TAIPEI (Taiwan News) - Le ministère de la Défense nationale (MND) a suivi 45 avions militaires chinois et sept navires de guerre autour de Taïwan à 17 heures jeudi (8 septembre).
Sur les 45 avions de l’Armée populaire de libération (APL), 19 ont franchi la ligne médiane dans le détroit de Taiwan, dont 12 avions de combat Sukhoi Su-30 et un véhicule aérien sans pilote Tengden TB-001 dans le secteur nord-est de la zone d’identification de la défense aérienne (ADIZ) de Taïwan, selon le MND. Pendant ce temps, quatre avions de combat Shenyang J-16 et deux chasseurs à réaction Chengdu J-10 ont franchi la ligne médiane dans le coin sud-ouest de l’ADIZ.
En outre, quatre chasseurs-bombardiers Xian JH-7, un avion de chasse Shenyang J-11 et un avion de communication et anti-brouillage Shaanxi Y-9 ont été surveillés dans le coin sud-ouest de la zone d’identification.
En réponse, Taïwan a envoyé des avions de patrouille de combat et des navires de guerre, et a utilisé des systèmes de missiles terrestres pour surveiller les avions et les navires de l’APL, en plus d’émettre des avertissements radio.
Jusqu’à présent ce mois-ci, Taïwan a suivi 166 avions militaires chinois et 42 navires de guerre dans tout le pays. Depuis septembre 2020, la Chine a accru son utilisation des tactiques de zone grise en envoyant régulièrement des avions dans la zone d’identification de Taïwan.
Les tactiques de la zone grise sont définies comme « un effort ou une série d’efforts au-delà de la dissuasion et de l’assurance à l’état d’équilibre qui tente d’atteindre ses objectifs de sécurité sans recourir à un recours direct et important à la force ».