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Brian McNewbie

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Tout ce qui a été posté par Brian McNewbie

  1. Ouch. La première partie est déjà largement discutable : https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2016/10/12/qualite-nutritive-des-aliments-des-inquietudes-et-des-exagerations_5012617_4355770.html Mais quel rapport entre roundup et acrylamide ?
  2. C'est quand même assez incroyable de lire des trucs pareils aujourd'hui, alors que les ressources à ce sujet sont accessibles et mêmes vulgarisées. Exemple : https://www.bloomberg.com/graphics/2015-whats-warming-the-world/ Par ailleurs, lorsque dans votre article @brandily vous dites qu'on ne fait que déporter la pollution vers d'autres pays, c'est ignorer par exemple que sur un cycle de vie complet l'automobile électrique est déjà préférable à son équivalent thermique, dans à peu près n'importe quel pays d'Europe : https://pdfs.semanticscholar.org/1eb5/b7c002404326dca2391b2004daa56dc18028.pdf Quant au classique "le climat a déjà changé naturellement avant", en général je réponds ça : il y a pleins de critiques à faire du volet écologique / gestion du réchauffement climatique de la politique française actuelle, ce n'est pas la peine d'inventer des trucs en plus.
  3. Je refuse de croire qu'il soit assez idiot pour ne pas voir tout ce qu'apporte la situation actuelle, donc Trump doit avoir des éléments qui l'amènent à penser que ces "alliés" paieront et continueront de s'assujettir aux USA. Et j'ai du mal à croire à l'existence de tels éléments également.
  4. Sérieusement ? C'est pas un argument ça, paie ta pente glissante oui... C'est faux de multiples manières : des contestations officielles se sont élevées dès le début de la guerre en Irak, les pertes civiles ont été dénoncées aux USA comme à l'étranger, les frappes par drones et leurs conséquences ont fait réagir l'opinion publique américaine sous Obama, et il s'agit ici d'un rapport sur les pertes civiles hors zone de guerre.
  5. C'est sûr que c'est très comparable, un rapport aux conséquences en terme de politique intérieure importantes, et l'opinion d'un type qui savait pertinemment que la rendre publique pouvait interférer avec ce qu'il critiquait, et pas en bien. Et à priori non, on ne fait pas taire "ceux qui ont le malheur d'aborder le sujet" mais un seul individu qui n'était pas n'importe qui et pas dans n'importe quelles circonstances. D'ailleurs on le fait tellement taire qu'il garde son poste et que tout reprend son cours.
  6. Rappel : le plus contraignant pour le futur du nucléaire en France, comme déjà abordé par le passé, c'est ça : https://fr.wikipedia.org/wiki/Loi_relative_à_la_transition_énergétique_pour_la_croissance_verte Alors oui, les lois ça se change, mais le climat actuel n'est pas très propice à ce genre de changement ; tout ce qui apparaît comme concurrent du renouvelable ou positif pour la filière nuke est automatiquement négatif dans "l'opinion publique" et médiatique. L'avenir du nucléaire en France est à court et moyen terme davantage marketing, communicationnel, que technologique ou technique, au grand dam des acteurs du secteur qui ont besoin de poursuivre le développement technologique.
  7. Brian McNewbie

    L'artillerie de demain

    Pas évident que la France ne l'achètera jamais. Le CAESAR est très bien mais n'apporte pas tout ce qu'un canon automoteur avec casemate offre comme avantages. Aujourd'hui on achète des CAESAR parce qu'ils existent - donc aucun frais ou délai de développement - et sont performants, mais si un AUF2 "du futur" était mis sur le marché, peut-être que la question se poserait différemment.
  8. Pourquoi ils ont mis un gugusse dans un tas de plastique ? J'ai du mal à saisir quel était l'effet escompté... "Et si on faisait une petite partie d'échecs ?"
  9. Suite à ce post : Un extrait du document :
  10. Avoir une petite anecdote locale ou une photo c'est très facile, il suffit de payer. S'ils sont si rapides c'est précisément parce qu'ils ne "perdent" pas une seconde à vérifier ce qu'ils publient. Bien sûr qu'ils ont parfois des infos qui se révèlent exactes par la suite, le contraire serait extraordinaire. De manière plus générale, dans n'importe quelle publication papier ou en ligne, quand le titre est brutalement clicbait et qu'une seule pauvre phrase sans aucune source le justifie dans le corps de texte, la prudence est de mise à mon avis. Surtout quand on a très envie d'y croire parce que ça correspond à nos préjugés sur le monde.
  11. Dailyfail mail donc gros doutes sur la véracité de l'info, a fortiori vu qu'il n'y a aucune source ou élément vérifiable quant à cette histoire en particulier. Le tabloïd est connu pour émettre tout et n'importe quoi sans aucun soucis de rigueur ou d'exactitude, pas sûr que ça vaille la peine de s'appesantir dessus tant que l'histoire n'est pas confirmée par ailleurs.
  12. d'après le texte que tu cites toi-même juste avant. Et "le" groupe désigne communément la totalité dudit groupe, on parle donc de la totalité des îles Kouriles possédées par la Russie à ce moment là.
  13. L'endoctrinement et ses processus sont étudiés depuis un gros demi-siècle, dans un sens comme dans l'autre, en partie par les mêmes gens qui s'intéressent à la maladie mentale. De même, il existe nombre de travaux sur le radicalisme et quand il est théoriquement possible d'en revenir. Mais surtout, il est impossible d'avancer sur la question sans définition de "repenti". Un repenti a quelles caractéristiques ? Il n'a plus envie de combattre ? Il a des regrets ? Il ne représente plus un terrain fertile à l'idéologie à laquelle il adhérait ? Il adopte des bébés chiens ? La radicalisation est davantage un continuum qu'un seuil au delà duquel on devient un méchant, et donc il en va de même pour la repentence. Il s'agit d'une question qu'on a très envie de régler simplement (les gentils d'un côté, les méchants de l'autre), mais qui est beaucoup plus complexe.
  14. Ce serait tellement bien si des gens s'étaient posé la question et avaient étudié ça de près... C'est un peu rêveur, je sais, mais bon, imaginons : on pourrait même appeler ça psychologie, psychiatrie, sociologie, et des combinaisons d'établissements spécialisés, de traitements éventuellement médicamenteux et de pratiques de diverses autres natures permettraient de gérer les individus qui dévient de la norme psychiatrique... Ce serait chouette non ? On peut aussi se laisser tenter par l'éventualité d'une nuance subtile entre "surveillé" et "on a une caméra et un micro dans son anus".
  15. @Akhilleus Si tu ne me cite ni ne me tague nul part, je peux pas être au courant que tu me réponds. Là coup de bol ta réponse était visible depuis la racine. Si je demande d'être clair quand on parle de la France, des USA, des années 70 ou de maintenant, c'est précisément pour éviter de tout mélanger. Bien sûr qu'il n'y a pas que la France dans la vie, et que les pratiques des années 70 ont des conséquences aujourd'hui, mais laisser entendre qu'on fait toujours comme ça ou nier les vastes différentes de pratiques d'un endroit à l'autre ne fait que brouiller le débat. Si on veut parler d'améliorer les pratiques actuelles, ne les caricaturons pas en ce qui a pu se faire il y a 50 ans ; et ne les résumons pas à un ou deux exemples moches non représentatifs. Le dicamba est un cas particulier puisque très volatile, même pour un produit de sa catégorie. C'est d'ailleurs l'axe de développement principal, sinon unique, à son sujet. Le fait qu'il puisse y avoir des soucis, a fortiori quand on épand par avion (inexistant chez nous...) n'est pas un secret, mais encore une fois ça ne change rien à ce que j'ai dit plus haut. Il ne peut pas, et pour autant personne n'est obligé de l'employer lorsque la culture est en place. Le fait que tu t'empêches toi-même de voir toutes les autres possibilités est un signe en soi... Ce qui n'est pas contradictoire avec ce que j'ai dit... Si, d'où l'usage d'un mot tout à fait magique de ma part, et ce n'est pas la première fois que tu le rates : Maintenant je t'invite à comparer les tonnages de betterave sucrière et de bananes Fr face au céréalier, ou les surfaces si tu préfères, et tu auras une idée de pourquoi ce sont les céréales que j'ai mis en avant. Je ramène tout au blanc maintenant ? Cite moi une seule fois où j'ai dit que tout allait bien, circulez il n'y a rien à voir ? Je vois bien que c'est ce que tu comprends de mes propos, et pourtant ça n'a jamais été ce que je dis. Je me permets donc d'insister : "Le sujet est évidememnt complexe, il y a pleins de choses à améliorer c'est certain, mais du coup c'est pas mal d'éviter de partir d'une représentation largement erronée de ce qu'on entend améliorer si on veut pouvoir le faire dans de bonnes conditions." Et j'ajouterai que ce n'est pas en empilant des exemples qu'on se donne une bonne vision de la réalité ; un paquet d'anecdotes, ça ne fait pas des données. Maintenant, si pour toi les données de l'INRA sont par défaut à ne surtout pas exploiter (et vieilles, on ne sait pas pourquoi) forcément ça n'aide pas.
  16. @Akhilleus ce serait bien de répondre à ce que je dis plutôt qu'à ce que tu en lis : Aujourd'hui oui parce que depuis les années 90 la production mondiale permet en théorie de nourrir tout le monde. Ca n'a jamais été le cas avant, et c'est un résultat obtenu grâce à des politiques menées en ce sens, pas par hasard. Oui... Parce qu'il n'était plus indispensable de continuer à augmenter la production globale. Or cotrairement à ce que suppose ton exemple du junkie, d'un pays à l'autre les modes de production et techniques employées sont très divers, l'agriculture française est bien différente de celle US typiquement. S'il avait fallu continuer à produire davantage pour espérer nourrir virtuellement tout le monde, l'effort aurait été soutenu plus longtemps. Les deux notions ne sont pas indépendantes, d'une part, et les prix très bas du fait des grandes quantités produites n'aident pas du tout les agriculteurs d'autre part. En revanche non, PSA ou Moulinex n'ont pas payé de tracteurs aux fermiers "pour qu'ils aillent bosser à l'usine", l'intentionnalité suggérée ici est abusive. D'ailleurs parallèlement à la réduction du besoin de main d'oeuvre basique en agri, l'automatisation a réduit de même le besoin de main d'oeuvre basique dans le secondaire. C'est drôle de citer le "besoin en surfaces agricoles" quand aujourd'hui la mode est de se tourner vers des produits issus de filiaires qui demandent jusqu'à 50% de surface supplémentaire par rapport à ceux disponibles jusqu'à maintenant, filiaires qui sont en moyenne moins agressives pour l'environnement par unité de surface, mais le sont davantage au global puis qu'elles en requièrent beaucoup plus. La distribution de produits périssables et fragiles n'a jamais été une partie de plaisir, et ce n'est pas parce que cet obstacle reste majeur qu'il faut oublier les efforts déployés pour obtenir une prod mondiale raccord avec la pop mondiale. Une part de ces 30% est incompressible, due au simple fait que quand on emmène de la nourriture d'un point A à un point B, qu'on la stocke, qu'on la change de contenant etc. on en abime nécessairement une partie. D'ailleurs depuis les années 90, c'est-à-dire une fois ce raccord obtenu, on observe la multiplication de programmes et efforts pour assurer une prod raccord avec la pop au niveau local. C'est logique : on s'assure de produire assez au global, on constate des problèmes peu surmontables de distribution et de répartition même avec la mondialisation, donc on adresse les problèmes plus localement. Ca tombe bien, ce n'est pas du tout ce que j'ai dit. au labour tout court, même délicat. Ca par contre, toute agriculture le fait. Pas nécessairement dans les mêmes mesures, sans labour on ne massacre plus les vers de terre par exemple, mais il est peu pertinent de signaler ça comme terrible dans l'absolu. A nouveau, personne ne dit le contraire, mais c'est le résultat de pratiques des années 70, ça n'a plus tellement de lien avec ce qui se fait aujourd'hui, en France en tout cas. Chez nous, même le céréalier a fait des efforts, et il ne reste presque que le viticole pour saccager le sol à coups de métaux lourds et autres. C'est strictement faux. Les OMG RR sont interdits en Europe, donc en France aussi, et aucun plant résistant au glyphosate obtenu autrement n'est employé à ma connaissance, et pourtant de nombreux agriculteurs emploient le glyphosate. Je pense qu'on peut s'épargner davantage de clichés. Comme pour tant d'autres moyens techniques, il peut s'employer de diverses manières et il est absurde de le réduire à l'expression d'une monoculture dégueu hors d'âge fantasmée. C'est faux de diverses manières. Déjà la monoculture est un terme qui dispose de définitions admises, et le plus souvent il désigne le fait, à l'échelle d'une surface exploitée - ou d'un ensemble d'exploitations -, de ne cultiver qu'un seul type de plante durant l'année, et année après année, sans pause. Or comme dit précédemment, en France il n'y a à peu près que le céréalier qui pratique cela, justement parce qu'il y a des possibilités de le faire sans trop épuiser les sols. Le problème de la diversité des cultivars d'une exploitation à une autre est réel mais différent, et présente des enjeux différents. Or, en France, les plaintes régulières pour l'élargissement du catalogue du GNIS témoignent d'une volonté de cultiver des variétés diverses ; d'ailleurs on dispose de nombreuses variétés régionales, et les semences paysannes représentent une large part des surfaces exploitées. On est en train de redécouvrir pas grand chose, si ce n'est les haies qui avaient effectivement bien décliné, mécanisation oblige. On retombe dans le cliché délié de la réalité - sauf céréalier mais encore une fois ce n'est pas du tout représentatif de l'agriculture en général - car ces méthodes n'ont jamais cessé d'être employées. Sans vouloir te vexer, tu témoignes ici d'à peu près tout ce que me disent systématiquement les urbains / péri-urbains qui pensent avoir révolutionné l'agriculture dans leur potager et n'ont jamais mis le nez dans le moindre papier de l'INRA. A priori l'étape d'après c'est de me dire que ok, peut-être en France, mais quand même ces salauds d'américains, ce à quoi je réponds qu'ils ont déjà 20% d'agriculture de conservation alors que ça peine à l'installer chez nous, puis on voyage en direction des pays pauvres pour en faire des exemples hors sols qui nient le contexte socioculturel et climatique. Je ne connais pas grand chose de ta situation donc je ne te mets pas dans le lot, mais la ressemblance de discours sur fond de marketing bio me semble intéressante à souligner. Le sujet est évidememnt complexe, il y a pleins de choses à améliorer c'est certain, mais du coup c'est pas mal d'éviter de partir d'une représentation largement erronée de ce qu'on entend améliorer si on veut pouvoir le faire dans de bonnes conditions.
  17. Non. Quand "les choses poussaient toutes seules", donc jusqu'à autour de 1900 (même si on employait déjà un peu de fertilisants) on était incapable de nourrir la population mondiale... et on prévoyait des famines généralisées dès le milieu du siècle. C'est uniquement en réalisant la synthèse de l'ammoniac et donc en fabriquant beaucoup plus de fertilisants qu'on a évité cela. Par la suite, l'usage d'herbicides et de pesticides et de semences de plus en plus facilement adaptables aux besoins ont permis de s'affranchir des aléas naturels (climatiques, météo, maladies et pestes diverses) qui ont continué de causer des drames alimentaires dans les pays moins développés dans le même temps. L'agriculture n'est JAMAIS laisser faire les choses toutes seules. Le principe même de l'agriculture est de modifier les choses à notre avantage, en premier lieu par la domestication et la sélection, puis avec toutes les méthodes apportées par le progrès technique. La quasi-totalité de ce qui est dans nos jardins / espaces de maraîchage / champs est incapable de survivre à l'état sauvage, "tout seul", de même que les vaches et les porcs ne survivent pas à l'état sauvage du fait de la domestication. C'est comme ça que le maïs n'est plus sous forme de minuscules épis peu fournis en grains et peu dotés en nutriments, ou que les cucurbitacées ne nous envoient plus à l'hôpital... en général. Les sols appauvris sont entre autre le résultat du labour, qui expose à l'érosion le contenu de la terre et émet beaucoup de CO2 - celui du sol + celui dégagé par les moyens mécaniques employés ; le glyphosate, puisque vous en parliez, permet justement de s'en affranchir avec par exemple le semis sous couvert végétal. La monoculture en France n'existe qu'en céréalier pour les semences qui le permettent, et n'a aujourd'hui plus grand chose en commun avec le cliché des années 70 qui est fortement évoqué par tes exemples. L'agriculture mérite un poil mieux que des vieux clichés et du "ça irait mieux si on touchait à rien" je pense.
  18. Brian McNewbie

    Ici on cause MBT ....

    L'efficacité je ne sais pas, mais déjà c'est une capacité antichar, donc il est logique qu'il y ait peu eu d'occasions de s'en servir ; et au delà de cet aspect, j'imagine que tant que le missile est prêt à être tiré dans le canon, celui-ci n'est pas utilisable pour engager une cible molle au HE par exemple, donc il y a un aspect contraignant par dessus le marché.
  19. La prolifération n'est pas la politique française en termes d'armements nucléaires. A ma connaissance, il s'agit au contraire d'une volonté de maintien / réduction des arsenaux "simultanément" à travers le monde, ce que les gesticulations Trumpiennes n'aident clairement pas. Au delà de cet aspect, si on considère que nos capacités de destruction actuelles suffisent à dissuader de s'en prendre à la France, je vois mal pourquoi ça ne dissuaderait pas de s'en prendre à l'UE de manière plus générale dès lors qu'il serait officiellement établi que ces capacités y sont dédiées.
  20. Alors ça c'est une lecture... particulière. Quel est la finalité du dumping, à quoi ça mène ? A la chute de la concurrence, et tant que possible une situation de monopole qu'il sera possible d'exploiter pour récupérer les revenus hypothéqués lors de la phase de dumping, donc rien de souhaitable à long terme pour le consommateur, non. En tout cas c'est loin d'être évident.
  21. Le but des allemands n'est pas - et ça en surprendra plus d'un - de faire chier le monde mais de respecter ce qu'ils s'évertuent à répéter en interne, à savoir "ne pas vendre d'armes à n'importe qui". A la limite de leur point de vue, tant mieux si ça ne braque personne parce que leur matériel était facile à remplacer.
  22. Je pense qu'Alexis comprend parfaitement la place de WW2 dans l'histoire contemporaine russe, ce qui n'empêche pas de se demander comment elle est instrumentalisée. Je ne crois pas en revanche, qu'invoquer ici le racisme soit très pertinent ou propice au dialogue. Quant au mesurage de bi... morts,
  23. Brian McNewbie

    MICA IR et Meteor

    Ils paient, ils commandent et ils vendent potentiellement. Trois manières de diminuer le poids financier qui pèse sur chaque participant d'un tel programme, comparé à une situation où chacun ferait son truc dans son coin. Pour reprendre l'analogie de la planche du fakir évoquée sur un autre topic, moins il y a de clous (participants) plus ça fait mal au cul, même si dans l'absolu un clou unique peut supporter tout le fakir.
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