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Pakal

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  1. Pakal

    Chenille Vs Roue

    Question d'un néophyte: Nos engins blindés sur roues (Jaguar, VBCI, Griffon, Serval) sont ils capables de traverser une de nos autoroutes perpendiculairement de part en part (i.e grillage et glissière et/ou séparateurs de voies bétonnés) ? Je suppose que pour le Leclerc la réponse est oui
  2. Pub de Saab dans les aéroports de Berlin et de Bruxelles https://x.com/Helofresh/status/1990481425221538260?s=20
  3. Il n'y a pas que des Allemands à ILA, il y a nombre de pays d'Europe de l'Est et du Nord. Saab sera présent...
  4. Dassault va t'il bouder, une fois de plus, le salon ILA (Berlin, juin 2026). Pour moi ce serait une erreur car une bonne partie de l'Europe du nord et de l'Est y va https://esut.de/2025/11/meldungen/65364/ila-2026-fokus-auf-technologie-und-souveraenitaet/
  5. Sans doute aussi pour pouvoir le positionner au plus près de la zone de contact et donc susceptible de faire demi tour au cas où avec un rayon de braquage plus court qu'avec un Serval, grâce à ses roues arrières directrices
  6. https://www.opex360.com/2025/09/09/mbda-devoile-lakeron-mbt-120-un-missile-pouvant-etre-tire-par-le-canon-dun-char-de-combat/ Suite au plaidoyer de Chassilian pour une famille de chars moyens et à l'émergence de nouvelles munitions hybrides obus /missile (comme ci dessus) qui nécessitent moins d'avoir à pointer face à la menace, je me demande si la solution ne serait pas un char moyen, équipé d'un gros canon de 120/140mm mais sans tourelle (à la manière de l'ancien char S suédois). Ce char pourrait être accompagné d'un char de la même famille bt 40/30mm sous tourelle/ missiles mistral (à la manière du Guépard allemand) pour contrer la menace drones et détruire les cibles moyennement blindées, et du char ravitailleur/porte drones.
  7. Arrivée des 9 premiers JF17: https://x.com/Mohsin_o2/status/1988958423707525568
  8. Pour mieux y croire certains Allemands ressortent de leurs cartons des ébauches de prototypes des années 90, qui n'ont jamais vu le jour. https://x.com/chrisschmitz/status/1988986506749288625 Avion dit furtif avec soute et poussée vectorielle (2 axes) mais monodérive
  9. Autre article, dans la presse spécialisée cette fois ci, qui traduit une certaine inquiétude outre Rhin et met le doigt sur les vrais bénéficiaires de la dispute : les Américains https://esut.de/2025/11/meldungen/64853/streit-um-fcas-zwischen-airbus-und-dassault/ google trad améliorée Le projet ambitieux de défense FCAS (Système de Combat Aérien du Futur), également connu en français sous le nom de SCAF (Système de Combat Aérien du Futur), est confronté à une crise majeure, selon la presse française. Ce programme, soutenu par l'Allemagne, la France et l'Espagne, vise à remplacer l'Eurofighter et le Rafale à partir de 2040. Or, l'alliance industrielle entre Airbus et Dassault Aviation est menacée de rupture. Dans une déclaration cinglante du 29 octobre 2025, le PDG d'Airbus, Guillaume Faury, a affirmé que Dassault pourrait « quitter le programme si elle n'est pas satisfaite ». Cette déclaration faisait suite aux critiques d'Éric Trappier, PDG de Dassault, qui déplorait le « manque de leadership de la France » et la complexité de la gestion du projet. Guillaume Faury s'est efforcé de minimiser la situation, mais le conflit entre les deux géants de l'aéronautique couve depuis des mois. En septembre dernier, Trappier avait déjà déclaré que Dassault était « parfaitement capable de développer seule un avion de chasse de sixième génération », une pique adressée à Airbus, qui représente les intérêts de l'Allemagne et de l'Espagne au sein du consortium SCAF. Dassault et Airbus sont en conflit concernant leur participation au projet FCAS, un programme de plusieurs milliards d'euros. Dassault réclame une part plus importante du volume de production et un rôle renforcé dans le contrôle du système, contrairement aux accords précédents ; Airbus s'en tient aux accords existants. La vision de la défense européenne au bord du gouffre Le programme FCAS est la pierre angulaire d'une défense européenne commune. Ce projet englobe bien plus qu'un simple nouvel avion de chasse : il prévoit un système de plateformes habitées et non habitées, un réseau de « nuage de combat », de nouveaux capteurs et un moteur haute performance. Ce projet de plusieurs milliards d'euros vise à garantir la souveraineté technologique de l'Europe, notamment face aux États-Unis et à leur programme F-35. De nombreux pays de l'OTAN dépendent déjà de cet avion américain. Les tensions entre Airbus et Dassault menacent bien plus que leur seule collaboration. Si l'une d'entre elles se retirait, l'ensemble du projet serait compromis. Les analystes préviennent que sans le FCAS, l'Europe pourrait rester dépendante des technologies américaines pendant des décennies. Selon les déclarations officielles, la phase industrielle 2 devrait débuter début 2026 avec la construction d'un premier démonstrateur en état de vol, dont le vol inaugural est prévu pour 2029. Lors de la phase 1B précédente, environ 2 000 ingénieurs ont travaillé sur les études et les concepts du système. Cependant, des frictions internes et des rivalités nationales ralentissent les progrès. Un symbole de l'équilibre délicat que l'Europe doit trouver entre coopération et compétition. Derrière ce différend se cache une source de tension bien connue : la France revendique le rôle de chef de file du programme, Dassault ayant développé le Rafale et Paris étant considérée comme l'initiatrice politique. Airbus, de son côté, insiste sur une participation égale, représentant deux des trois nations participantes : l'Allemagne et l'Espagne. Résultat : blocage, méfiance et visions divergentes quant à l'évolution future du projet. Tandis que Dassault privilégie une structure allégée et centralisée, Airbus souhaite répartir le travail entre plusieurs équipes afin de maintenir un équilibre entre les entreprises participantes. L'Europe est ainsi confrontée à une question fondamentale : peut-elle mener à bien ses ambitieux projets de défense au-delà des clivages nationaux ? Les prochains mois seront cruciaux, non seulement pour Airbus et Dassault, mais aussi pour une politique de défense européenne commune. Le différend autour du FCAS renforce les États-Unis. Le projet FCAS illustre les difficultés de la coopération européenne en matière de défense lorsque les visions technologiques se heurtent à la rivalité industrielle. En l'absence d'accord, le projet de futur avion de chasse européen pourrait s'effondrer, et les États-Unis resteraient le principal partenaire du continent en matière d'armement.
  10. Le consortium Eurofighter se positionne au Portugal: signature d'un MoU avec l'industrie aéronautique portugaise https://www.flugrevue.de/militaer/eurofighter-kampfjets-fuer-portugal-airbus-macht-erste-schritte/ Le programme Eurofighter continue de prendre de l'ampleur : après des contrats portant sur des appareils supplémentaires pour l'Allemagne et, pour la première fois, pour la Turquie, les pays partenaires ciblent désormais le Portugal. Cette entreprise d'Europe du Sud exploite actuellement une flotte vieillissante de chasseurs F-16. Airbus Defence and Space entend proposer une solution 100 % européenne avec l'Eurofighter comme solution de remplacement. À cette fin, l'entreprise a signé un protocole d'accord avec le cluster AED Portugal (Industries aéronautiques, spatiales et de défense). Ensemble, ils prévoient de lancer une série d'études afin de développer une offre industrielle à forte valeur ajoutée pour le remplacement du Fighting Falcon par l'Eurofighter. « À l'heure où la souveraineté européenne et l'autonomie industrielle sont au cœur de notre stratégie, Airbus est convaincu que l'Eurofighter est la meilleure option pour ce remplacement », a déclaré José Luis de Miguel, directeur de la région Europe chez Airbus Defence and Space.
  11. Pakal

    Eurofighter

    J'ai pensé exactement la même chose
  12. Pakal

    L'Inde

    Le PL15 n'est pas IR mais EM me semble t'il
  13. Pakal

    [Rafale]

    Sur le nombre d'heures de vol de nos pilotes il y a probablement un autre paramètre à prendre en compte : le coût du Kérosène Même si l'AAE se couvre contre les aléas du prix du pétrole, c'est plus difficile de voler avec un baril à 110$ avec 1€ = 1$ qu'avec un prix du baril à 60$ avec 1€ = 1,2$.
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