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Kerloas

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Tout ce qui a été posté par Kerloas

  1. Dixit le CEMAT : Source : Mercredi 28 octobre 2020, compte rendu Commission Défense du Sénat Pas de retard en perspective.
  2. Quelques clichés issus du régiment de Picardie : Dans la cambrousse : https://militaryphotoreport.blogspot.com/2020/10/les-griffon-du-premier-regiment.html#more https://www.flickr.com/photos/75387893@N03/albums/72157716520548922 https://www.facebook.com/ri1er/posts/3370650119649306 En vase-clos : https://www.facebook.com/ri1er/posts/3381803868533931
  3. Le second degré à l'égard de la doctrine française de « la bite et le couteau »... Il n'y a rien de méchant là-dedans. Et ça n'existe pas que dans le domaine mili. Pas plus qu'avant. C'est désormais devenu « un jeu d'enfant » de bricoler sur VPS2 dans le fin fond d'un oued et les VBL & VLRA sont déjà des habitués du terrain (stock de pièces forcément important sur zone). Quant à la monture rosbeef, c'est l'affaire des Estoniens.
  4. En effet. Mais le "pouvoir" à l'oeuvre depuis mi août ne semble pas vouloir bousculer les relations jusqu'alors entretenues avec nos autorités. Sur le terrain, rien n'a changé. Les GCP/GCM sont les nouveaux Sabres...(depuis quelques années maintenant) ------ RFI : « Ba ag Moussa avait entre ses mains la formation de plusieurs cadres »
  5. Alors je me permets (parce qu'il est nettement plus riche que la dépêche AFP) :
  6. Doublon avec le topic Services de renseignement. En guise d'anniversaire surprise, un des derniers gros poissons d'Al-Qaeda aurait été dégommé dans sa Dacia à Téhéran le 7 août dernier : NYTimes : Al Qaeda’s No. 2, Accused in U.S. Embassy Attacks, Was Killed in Iran
  7. Faute de topic Al-Qaeda (vedette volée et sujet tombé en désuétude depuis 10ans), je mets ici. Les US auraient fait liquider Abdullah Ahmed Abdullah par deux agents du Mossad à Téhéran, le 7 août dernier (anniversaire de l'attaque de l'ambassade US à Nairobi en 98). Le déroulé est intéressant : NYTimes : Al Qaeda’s No. 2, Accused in U.S. Embassy Attacks, Was Killed in Iran
  8. Takuba se met en branle dans le Liptako, d'ailleurs : Ah bon ? Je ne crois pas qu'il y ait eu de véritables ruptures qui nous feraient glisser dans un mode "entente cordiale".
  9. Des rumeurs du terrain (reprises sur Twitter, donc......).
  10. Suite : https://lemamouth.blogspot.com/2020/11/une-nouvelle-frappe-de-barkhane-peut.html Il semblerait que la cible ait été Ibah ag Mossa.
  11. Retour à la normale : Trump annonce le renvoi de Mark Esper, remplacé par Christopher C. Miller (Director of the National Counterterrorism Center).
  12. Je suis d'accord, mais plus le temps passe et moins je ne me fais de soucis pour lui... Sa retraite sera plus "tranquille" qu'annoncée. Mais les paris sont ouverts. Art. II, section 2, clause 1 de la Constitution de 1787 : « Le Président (…) aura le pouvoir d’accorder des sursis, des commutations de peine et des grâces pour délits contre les États-Unis, sauf en cas d’impeachment ». Complément : https://www.liberation.fr/planete/2018/06/05/soupcons-d-ingerence-russe-trump-peut-il-s-auto-gracier_1656640
  13. Et pendant ce temps : https://www.france24.com/fr/émissions/focus/20201106-madagascar-au-sud-du-pays-on-meurt-de-faim
  14. Après la période de crise nationale1 qu'est l'élection d'un Président aux Etats-Unis, ça va être intéressant de voir comment le GOP va retomber sur ses pattes. Le parti a été phagocyté par le "clan Trump", en un temps record, et certains diront que le poisson pourrit par la tête. De mon côté, je pense en réalité que le "trumpisme" a dépassé le conservatisme classique et son instigateur est devenu un tuteur (au sens du jardinage, une armature) idéal pour le parti : les derniers résultats le montrent clairement, tout citoyen US républicain vote Trump même s'il exècre le personnage. Seule peut-être une élite politique de Washington a pu se retenir (voire voter Biden). L'amnésie des deux partis à l'égard de leurs bases électorales les a transformé en coquilles vides depuis 20ans, doctrinalement et philosophiquement parlant. La disparition progressive des grandes figures et des « grands caractères » (McCain & co) a achevé cela. L'élu de terrain d'aujourd'hui soutiendra donc un Trump, désormais enraciné dans l'esprit du partisan comme dans la dynamique du parti. Alors certes, un Chris Christies peut faire une grimace lorsque Trump annonce une victoire tombée du ciel, mais tous continueront à oeuvrer pour le collectif républicain, quoi qu'il en coûte. S'ils survivront à 4ans d'opposition, prions pour qu'ils ne s'arrêtent pas à ça. Chacune des grandes formations politiques doit mener son introspection, se purger de certaines passions (éviter la tyrannie de la majorité (ou des minorités)) et revenir aux problématiques de terrain. Le GOP a peut-être une longueur d'avance là-dessus. 1. Dans le paragraphe Crise de l'élection in De la Démocratie en Amérique (1835-40) : « J’ai dit dans quelles circonstances favorables se trouvaient les États-Unis pour l’adoption du système électif, et j’ai fait connaître les précautions qu’avaient prises les législateurs, afin d’en diminuer les dangers. Les Américains sont habitués à procéder à toutes sortes d’élections. L’expérience leur a appris à quel degré d’agitation ils peuvent parvenir et doivent s’arrêter. La vaste étendue de leur territoire et la dissémination des habitants y rend une collision entre les différents partis moins probable et moins périlleuse que partout ailleurs. Les circonstances politiques au milieu desquelles la nation s’est trouvée lors des élections n’ont jusqu’ici présenté aucun danger réel. Cependant on peut encore considérer le moment de l’élection du président des États-Unis comme une époque de crise nationale. L’influence qu’exerce le Président sur la marche des affaires est sans doute faible et indirecte, mais elle s’étend sur la nation entière; le choix du Président n’importe que modérément à chaque citoyen, mais il importe à tous les citoyens. Or, un intérêt, quel­que petit qu’il soit, prend un grand caractère d’importance, du moment qu’il devient un intérêt général. (...) De plus, les partis, aux États-Unis comme ailleurs, sentent le besoin de se grouper autour d’un homme, afin d’arriver ainsi plus aisément jusqu’à l’intelligence de la foule. Ils se servent donc, en général, du nom du candidat à la présidence comme d’un sym­bole; ils personnifient en lui leurs théories. Ainsi, les partis ont un grand intérêt à déterminer l’élection en leur faveur, non pas tant pour faire triompher leurs doctrines à l’aide du Président élu, que pour montrer, par son élection, que ces doctrines ont acquis la majorité. Longtemps avant que le moment fixé n’arrive, l’élection devient la plus grande, et pour ainsi dire l’unique affaire qui préoccupe les esprits. Les factions redoublent alors d’ardeur; toutes les passions factices que l’imagination peut créer, dans un pays heureux et tranquille, s’agitent en ce moment au grand jour. De son côté, le Président est absorbé par le soin de se défendre. Il ne gouverne plus dans l’intérêt de l’État, mais dans celui de sa réélection; il se prosterne devant la majorité, et souvent, au lieu de résister à ses passions, comme son devoir l’y oblige, il court au-devant de ses caprices. À mesure que l’élection approche, les intrigues deviennent plus actives, l’agitation plus vive et plus répandue. Les citoyens se divisent en plusieurs camps, dont chacun prend le nom de son candidat. La nation entière tombe dans un état fébrile, l’élection est alors le texte journalier des papiers publics, le sujet des conversations particu­lières, le but de toutes les démarches, l’objet de toutes les pensées, le seul intérêt du présent. Aussitôt, il est vrai, que la fortune a prononcé, cette ardeur se dissipe, tout se cal­me, et le fleuve, un moment débordé, rentre paisiblement dans son lit. Mais ne doit-on pas s’étonner que l’orage ait pu naître ? »
  15. Non, ils se laissent juste un peu plus de temps que les autres pour le dépouillement des mail-in ballots reçus depuis le jour du scrutin. Ça a été indiqué plus tôt. Les résultats pourraient tomber d'ici quelques heures. Tu peux même être spectateur (et surveillant) d'un dépouillement local, si l'envie t'en prend :
  16. Le dernier mot on le connaît déjà : les électeurs de l'Etat n'ont pas voté pour un Âne depuis Lyndon B.Johnson. Ce n'est pas un Etat clé dans le jeu actuel.
  17. Oui, mais comme ça a été dit, le lancement du décompte des mail-in ballots varie selon les Etats... Par exemple, la Pennsylvanie a commencé à traiter la chose il y a 15h (plus de 2,5 millions de bulletins en jeu), alors que d'autres Etats se sont lancé plus tôt. Donc rien n'est acté et il faut attendre le point d'orgue des prochains jours. Pour voir la machinerie que ça représente (et le bordel que ça génère d'après nous) :
  18. Le Wisconsin semble désormais bel et bien aux mains des Démocrates, avec environ 20 000 voix d'écart. Le résumé général à cette heure (chez The Guardian) :
  19. Je suis comme @Patrick et attendrais la conclusion des décomptes (qui n'aura pas lieu avant la fin de la journée pour le Nevada par exemple, et un recomptage peut être demandé)... rien n'est acté.
  20. Attaque désormais officiellement revendiquée par l'EI (contrairement aux derniers attentats de France).
  21. Kerloas

    [British Army]

    (Je suis d'accord)
  22. Kerloas

    [British Army]

    C'est un éternel sujet, dont le flou juridique est patent, l'art.47 du Protocole I de la Convention de Genève pouvant en effet paraitre lacunaire du fait de l'ignorance des personnels militaires étrangers intégrés aux forces armées d'un autre Etat. J'ajouterais à la définition que tu proposes une dimension de conflit armé spécifique et ponctuel, ne relevant ainsi pas d'un engagement de long terme. Avancer, comme le font certains US fascinés par notre Légion, que leurs Blackwater/Academi & consorts sont un équivalent, revient à comparer l'incomparable. Tercinet Josiane. Les mercenaires et le Droit international. In: Annuaire français de droit international, volume 23, 1977. pp. 269-293 : Comme le soulignait le rapport du député Marc Joulaud portant sur la répression de l'activité de mercenaire (en 2003) : Enfin, une forme de synthèse du problème : Source : IRSEM - Des gardes suisses à Blackwater
  23. Le soldat et la mort Année de réalisation : 2016 Synopsis : Avec l’engagement de la France dans le conflit syrien et l’intervention armée en Centrafrique, la question du rapport du soldat à la mort se pose toujours. Qu’est ce que la mort pour un soldat ? Pourquoi accepte-t-il de faire le sacrifice de sa vie ? Est-il possible de se préparer à mourir ou à donner la mort ? Comment les jeunes engagés vivent-ils leurs premiers combats ? Quand il s’engage, le soldat a devant lui la perspective d’en finir brutalement avec la vie dans un affrontement avec ses semblables. Et d’offrir le même funeste sort aux adversaires qu’on lui désigne. Ce film documentaire, loin de toute prise de position sur le bien-fondé du métier des armes, de toute propagande militaire ou anti-militariste, va tenter de pénétrer la psyché de soldats confrontés à l’idée de la mort. La leur, celle de leurs camarades, et celle de l’adversaire.
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