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Salverius

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  1. Salverius

    Marine indienne

    L'Inde se prémunit sans doute d'une risque de dépendance à la France dans ces approvisionnements militaires. Comment leur en vouloir? A leur place, j'aurais néanmoins choisi la Corée du Sud plutôt que l'Allemagne comme partenaire additionnel.
  2. Kir Royal à la Camomille. A essayer!
  3. Salverius

    L'artillerie de demain

    Idéalement, il faudrait installer un canon de 105 mm sur un engin blindé avec 4/5 places et une plateforme à l'arrière. Dans ce qui est produit en France, je ne vois que le Arquus Sherpa Scout. Avec peut être la possibilité d'emporter une dizaine d'obus (20 kg et 1 mètre de long pour du 105) sous le canon?
  4. Salverius

    L'artillerie de demain

    KNDS précise que le canon de 105 mm LG1 peut être utilisé par trois opérateurs (même si 5 opérateurs semblent être un standard). https://knds.com/fr/produits/systemes/105-lg
  5. Il faudra peut être envisager de rouvrir les inscriptions? Cela fait plus de trois mois maintenant que nous les bloquons (dernier inscrit le 22 juin). Il y a toujours un risque pour la sécurité?
  6. Salverius

    [EBRC/Jaguar]

    Il me semble que le VBCI serait mieux adapté pour porter un canon de 105mm. Tu arriverais à un blindé proche du Centauro italien.
  7. Salverius

    L'artillerie de demain

    Ce n'est pas tout à fait pareil. Le canon de 105 mm de l'AMX-10 RC est basse pression et son élévation maximale n'est que de 24°. Compte tenu ses limitations, il ne peut tirer précisément à plus de 2 km. Un Canon KNDS LG1 a une élévation de 70 °. Il peut tirer des obus en cloche précisément jusqu'à 11 km (17 km avec des obus spéciaux). En outre, l'AMX 10 RC tire des munitions spécifiques. Le LG1 tire des munitions standard OTAN, plus facile à trouver. Je crois que l'idée serait de placer un KNDS LG1 sur une plateforme blindée (une base Serval pour intégrer l'environnement SCORPION?).
  8. Salverius

    L'artillerie de demain

    On va finir par faire un Césarion en 105 mm... Je savais que j'avais des idées de m... Mais je viens de me rendre compte que Meta défense avait pondu un article pour dire la même chose fin 2024.https://meta-defense.fr/2024/12/19/caesar-105-mm-retex-ukrainiens/
  9. C'était une boutade de @Bechar06... Par contre, j'ai une interrogation. Sur un autogire, le rotor tourne librement tout en assurant la portance. Sur le Racer, le rotor est (selon les informations qui sont communiquées au grand public) toujours motorisé, comme sur un hélicoptère. Je me demande si le Racer pourrait voler avec un rotor qui tourne librement, comme sur un autogire. Cela pourrait encore réduire la consommation de carburant de l'appareil sur de longs trajets. Voire, pourrait t'il décoller et atterrir sans la motorisation du rotor, en roulant sur quelques dizaines de mètres?
  10. Je pense qu'il pourrait y avoir une composante nucléaire européenne dans le SCAF (qu'il soit franco-hispano-Allemand ou franco-Français). Cette composante serait portée par la France, qui reste la seule puissance nucléaire de l'Union Européenne. A mon sens, il faudrait qu'elle fonctionne comme l'américaine: double clés (c'est quasi obligatoire pour respecter le traité de non prolifération), acquisition d'avions estampillés SCAF(le Rafale? Le NGF?), utilisation envisagée (mais non automatique) en cas d'invasion du territoire de l'allié concerné. Le changement le plus notable de doctrine serait l'adoption d'armes nucléaires tactiques et non plus d'armes nucléaires stratégiques. En effet, l'emploi de missile stratégique de 300 kilotonnes ne se comprend qu'en cas d'invasion du territoire français par une puissance étrangère. En toute sincérité, les bombes nucléaires Françaises ne raseraient pas Saint Pétersbourg et Moscou si la Russie envahissait le Latgale (la région la plus russophone de Lettonie). A l'inverse, l'usage de bombes tactiques (d'une dizaine de tonnes à 1 kilotonne) envoyées sur le territoire allié envahi (et non le territoire russe) porterait un coup d'arrêt à toute invasion, sans occasionner des dégâts irréparables chez nos alliés. Le risque d'escalade resterait limité car le territoire russe n'aurait pas été touché. Bien entendu, ce type d'armes, comme toutes armes nucléaires, seraient avant tout dissuasives. Hades déployait des têtes de 80 kilotonnes de TNT. 5 fois la puissance d'Hiroshima. Envoyer ce type de bombe sur le territoire allemand revenait à tuer des dizaines de milliers de civils et à ravager des régions entières.
  11. Au prix d'une guerre d'attrition massive et de pertes humaines significatives. La Pologne étant membre du l'OTAN et de l'UE, il faudra défendre le territoire polonais avant toute chose. Pour arrêter les troupes russes, tirer des bombes nucléaires sur la Russie serait suicidaire. A mon avis, c'est un des soucis de notre dissuasion. Des têtes de 300 kilo tonnes sont faites pour raser des régions entières. Pas pour arrêter une invasion. Notre nucléaire tactique n'a de tactique que le nom. Des têtes de 50 tonnes, ou des bombes à neutrons, tirés en territoire allié sur les troupes russe dès la frontière franchie seraient sans doute plus dissuasives. Mais je m'égare. Les américains n'ont pas dit que c'était impossible. Ils ont dit que l'intégration prendrait du temps et coûterait de l'argent... Ils ont clairement joué la montre. Les Tornado étant en bout de course, les Allemands avaient donc le choix soit de renoncer à la bombe (au moins temporairement) soit d'acheter des F35.
  12. Les USA n'ont pas hésité à ouvrir le parapluie à plusieurs états européens (Belgique, Allemagne, Pays-Bas, Italie et Turquie). Pourtant, la menace russe était encore plus lointaine pour eux. En pleine guerre froide, comment ont-ils assumé le risque de voir New York, Chicago et Los Angeles détruites pour sauver... Hambourg, voire Trabzon? Néanmoins, cette politique a eu des effets bénéfiques: hausse du soft power américain (un vrai moyen d'inféodation) et vente de matériels militaires (pour m'être intéressé au sujet, les USA ont vraiment tordu le bras aux allemands pour qu'ils prennent du F35 s'ils voulaient conserver la bombe; conserver la bombe a du peser sur les choix de la Belgique et des Pays-Bas de prendre des F-35). Je rappelle que l'Union Européenne intègre une "Politique de sécurité et de défense commune". En cas d'attaque russe, la France a les pieds dedans, alors autant y aller à fond. Je crois que la France aurait gagné (et gagnerait) à proposer son "parapluie" aux autres nations européennes. Sans compter que refuser de défendre l'Allemagne en cas d'attaque russe est dès plus discutable moralement, et sans doute contreproductif à moyen terme pour la sécurité de notre pays. Je suis a peu près sûr du contraire. Si les USA avait validé l'intégration de la B61 sous l'Eurofighter en 2018, l'Allemagne n'aurait pas acheté de F35. Angela Merkel, en poste jusqu'à fin 2021, jouait le jeu du SCAF; c'est son successeur qui l'a mis à mal...
  13. Salverius

    Le successeur du CdG

    Tiens, j'ai interrogé Copilot (pour changer de chat GPT). La question: Un avion capable d'opérer depuis un porte-avions CATOBAR doit disposer d'une structure renforcée. L'effort structurel est il plus important au catapultage ou à l'appontage? La réponse: Excellente question — et elle touche au cœur de l’ingénierie aéronavale. Les deux phases, catapultage et appontage, imposent des contraintes extrêmes, mais l’appontage est généralement plus exigeant sur le plan structurel. Voici pourquoi : Catapultage : accélération brutale L’avion est propulsé de 0 à environ 250 km/h en moins de 3 secondes. Cela génère une forte traction longitudinale sur la structure, notamment au niveau du train avant (qui est accroché à la catapulte). Les efforts sont concentrés sur le train d’atterrissage avant, le fuselage avant, et les points de fixation internes. Appontage : décélération violente L’avion touche le pont avec une vitesse élevée et un angle d’incidence prononcé, souvent avec une forte descente. Il doit s’arrêter en moins de 100 mètres grâce à un brin d’arrêt accroché par la crosse d’appontage. Cela génère une décélération brutale, souvent supérieure à 4 g, qui se transmet à toute la cellule. Les efforts sont plus diffus : train principal, crosse, fuselage arrière, longerons, et même les ailes sont sollicités. L’impact vertical est aussi très important, car l’appontage est souvent "dur" pour garantir l’accrochage du brin. Comparaison Phase Type d'effort Intensité Zone sollicitée Catapultage Traction longitudinale Élevée Train avant, fuselage avant Appontage Choc vertical + décélération Très élevée Train principal, crosse, fuselage arrière Conclusion : L’appontage impose des contraintes plus sévères et plus complexes, ce qui explique pourquoi les avions embarqués ont une structure renforcée, notamment au niveau du train principal, de la crosse et du fuselage arrière.
  14. Salverius

    Chenille Vs Roue

    La roue et la chenille sont complémentaires. Il ne faut pas les opposer: chacune a ses défauts et ses avantages. Le souci de l'armée française est qu'elle a fait le choix exclusif de la roue. Or cela ne devrait pas changer d'ici une quinzaine d'années, le temps de renouveler une partie de ces équipements et spécialement les VBCI. A mon avis, on pourrait "bricoler" une solution pour améliorer l'adhérence des blindés du programme SCORPION dans les derniers kilomètres. Je pense que l'armée pourrait s'inspirer des systèmes de "conversion à chenilles" que l'on retrouve en agriculture, le tout pour un coût maîtrisé. Le système de chenilles prend la place de la roue, sans qu'il soit besoin d'adapter le véhicule. Le Blindé roulerait jusqu'à la zone de front, puis chausserait ses chenilles à proximité du champ de bataille. Cela demande moins de logistique que d'utiliser des porteurs. Je vous joins une illustration (un peu moche) pour illustrer: On retrouverait une configuration proche des Half-track de la deuxième Guerre Mondiale. A tester en conditions difficiles pour voir s'il y a un gain opérationnel.
  15. A mon sens, il faut mutualiser les équipements du PA léger avec ceux des FDI: Armement: Anti-aérien : missiles ASTER 15 et 30, canon 76 mm Anti-surface : canons de 20mm, canon de 76 mm et missiles antinavire MM40 B3C Anti-sous-marin : torpilles Mu90 Détection Radar antennes actives à panneaux fixes Suite sonar complète (coque et remorqué) Intercepteurs de guerre électronique numériques Hélicoptère embarqué (PANTHER ou NH90 Caïman puis HIL) et drone embarqué Si l'on fait bien les choses, nous reprendrons l'armement des FDI grecques et nous augmenterons les nombres de canons. Je comprends que ma façon "comptable" d'aborder le problème soit agaçante. Derrière les chiffres, il y a des hommes et des femmes qui risquent leur vie pour notre pays. Mais tu ne peux réellement faire abstraction du budget. Sinon, c'est la gabegie. Je reproche à la Marine Nationale de n'avoir intégré la question budgétaire qu'en toute fin de réflexion. Ainsi, elle a exprimé des besoins pour réaliser une mission qu'elle a elle-même défini ou participer à définir. Ceci fait, elle a transmis ses demandes à Naval Group, qui a abouti à un navire qui coûte deux à trois fois plus cher que les chiffres avancés pour le PA2 (qui a été annulé essentiellement pour des raisons budgétaires... Autre époque). Et après, la Marine ne comprend pas que l'Etat français (le Politique) risque de refuser de financer son navire, alors que les crédit budgétaires ont augmenté de 30 % ces dernière années. Est ce que le prix de 10 milliards € pour le PANG est une surprise? Réellement non. La Marine et Naval Group ont imaginé un navire proche d'un "petit Ford" (70 % de la taille du modèle). Il est donc assez logique que son prix approche 70 % dudit modèle... Je trouve assez dommage que la Marine n'ait pas intégré la question budgétaire dès le début de sa réflexion, notamment en procédant à des arbitrages. Je n'ai toujours pas compris qu'elle souhaite concevoir un porte-avions nettement plus gros que le CdG. C'est sans doute d'un grand cynisme, mais même le coût d'une vie humaine peut être budgété lorsque l'on est engagé dans un conflit de haute intensité: https://www.areion24.news/2025/05/09/economie-de-defense-la-valeur-de-la-vie-des-soldats-a-laune-de-lapproche-russe/2/. Il n'est pas possible de faire abstraction des sommes dépensées au nom d'une quelconque "mission".
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