Paschi

https://soldat-und-technik.de/2022/10/bewaffnung/33125/infanteristische-flugabwehr-litauen-beschafft-neue-lenkflugkoerper-fuer-rbs-70/ https://soldat-und-technik.de/2022/10/bewaffnung/33199/litauen-beschafft-120-mm-moerser-von-expal/

https://www.thedrive.com/the-war-zone/ukraine-situation-report-kyiv-moves-more-troops-to-belarus-border Inquiète des mouvements de troupes et d'équipements russes vers la Biélorussie et du lancement continu de "drones kamikazes" depuis cette nation, l'Ukraine renforce ses forces le long de sa frontière nord avec l'État client de Moscou. "Nous avons déjà accru notre groupement dans la direction du nord", a déclaré jeudi le général de brigade Eral Alexey Gromov, chef adjoint du département opérationnel en chef de l'état-major général des forces armées ukrainiennes. Incapable de réussir dans le sud et l'est, la Russie pourrait être à la recherche d'un nouveau front, a-t-il ajouté. Les premières phases de l'invasion totale de la Russie, qui ont débuté le 24 février, comprenaient une poussée infructueuse du Belarus vers la capitale ukrainienne, Kiev. Conformément à la position de l'armée ukrainienne consistant à maintenir une stricte sécurité opérationnelle, M. Gromov n'a fourni aucun détail sur le nombre de troupes, leur localisation exacte ou leur équipement. Il a toutefois exposé les raisons de l'augmentation des troupes le long de la frontière avec le Belarus. Pour l'instant, l'Ukraine ne voit pas "la création directe d'un groupe offensif" des forces russes au Belarus, a déclaré M. Gromov lors d'un briefing en ligne des représentants des forces de sécurité et de défense de l'Ukraine au Military Media Center jeudi, selon la page Facebook de l'état-major général ukrainien. Mais elles y préparent leurs efforts, a-t-il ajouté. "Les mesures sont menées à dessein par" la Russie, a déclaré Gromov, pointant du doigt "le territoire de la zone de Tchernobyl, ainsi que de la région de Tchernihiv". "Les menaces sont [là], les menaces seront [là], nous répondons à tout en conséquence". Des officiers russes participent "à l'évaluation de l'état de préparation des unités militaires des régions biélorusses de Grodnetsk, Brest et Gomel", a indiqué M. Gromov. Outre le transfert de troupes vers l'aéroport de Zyabrivka, les Russes tentent toujours de transférer des troupes vers d'autres aéroports de Biélorussie, a-t-il ajouté. Et la Russie continue d'utiliser le Belarus pour organiser des attaques de drones sur l'Ukraine. "Cette semaine, 10 lancements de drones Shahed ont été effectués depuis le territoire de la République du Belarus", a-t-il déclaré. Et si des rapports font état de troupes iraniennes repérées en Ukraine pour aider les forces russes à faire fonctionner ces drones, il semblerait que certaines d'entre elles soient également apparues récemment au Belarus. Selon des estimations antérieures, environ 10 000 soldats russes se trouvaient au Belarus. Ces troupes ont commencé à arriver après le 10 octobre, lorsque le président bélarussien Alexandre Loukachenko a annoncé que le président russe Vladimir Poutine et lui-même étaient convenus de déployer au Bélarus un groupe régional de forces composé de troupes des deux pays. M. Loukachenko a qualifié ce déploiement de réponse aux provocations de l'OTAN à la frontière, à la formation d'unités de sabotage composées d'émigrés biélorusses et aux plans ukrainiens d'attaque du Bélarus. Mais il convient de noter qu'avant son invasion à grande échelle de l'Ukraine, la Russie avait des troupes au Belarus dans le cadre d'exercices d'entraînement massifs. Gromov a déclaré que, bien que les manœuvres militaires et les déclarations publiques du Bélarus indiquent "l'absence d'intention d'attaquer l'Ukraine", les "réunions en cours de la direction militaro-politique du Bélarus avec les représentants des équipes de travail forment l'image de l'ennemi avec la nécessité d'actions préventives contre l'Ukraine et l'OTAN." "Nous répondons de manière adéquate à toutes les menaces, non seulement depuis le territoire de la République du Bélarus", a-t-il déclaré, "mais aussi depuis l'est de notre pays, et depuis le sud."

Confronté au vieillissement de sa population, le Danemark a choisi d'indexer l'âge de la retraite sur l'espérance de vie. De 68 ans actuellement, celui-ci reculera donc progressivement pour atteindre 74 ans pour les jeunes générations. Alors que la question de la retraite fait débat dans de nombreux pays, dont la Suisse, le Danemark a trouvé une solution qui semble faire l'unanimité, tout en écartant l'option d'une augmentation des impôts. Selon un accord conclu en 2011, le Parlement vote tous les cinq ans sur une augmentation de l'âge de la retraite de six mois à une année. Les dates sont ainsi ajustées à l'espérance de vie. Avec ce système, les personnes nées en 1963 auront le droit à la retraite à taux plein à 68 ans, celles nées en 1979 à 72 ans et celles nées en 1996 à 74 ans. https://amp.rts.ch/info/monde/13497402-comment-le-danemark-semploie-a-garder-les-seniors-au-travail.html

Pareil pour moi. J'aurais compris ce passage s'il avait été relevé que de nombreux Ka-52 avaient été abattus par la chasse ukrainienne, ce qui n'est pas le cas. Pour moi ce passage est plus logique : "La Russie ne parvient toujours pas à maintenir une supériorité aérienne suffisante pour assurer de manière fiable un appui aérien rapproché à voilure fixe près de la ligne de front". J'interprète ceci comme une déficience des VKS en CAS, ce qui oblige les Ka-52 d'effectuer à leur place du CAS ce qui les mets à portée des MANPADs.

https://www.thedrive.com/the-war-zone/ukraine-situation-report-russias-ka-52-attack-helicopter-fleet-has-been-massacred Cet article qui se base sur les déclarations du ministère de la défense britannique et les statistiques d'Oryx revient sur la forte attrition subie par les Ka-52. En dehors du titre sensationnaliste, l'article est plutôt factuel et explique ces pertes par la doctrine d'emploi des Ka-52. Il met également en évidence les défis de maintenance dans un contexte de haute intensité et de sanctions. Donc, pas de "Les Ka-52 c'est de la camelote, ils tombent tout seul comme des mouches. Pfff sont nuls les Russes, même pas fichus de faire des hdc corrects". "Les hélicoptères d'attaque russes ont probablement particulièrement souffert de l'attrition causée par les systèmes portatifs de défense aérienne (MANPADS) ukrainiens, tandis que les hélicoptères opèrent fréquemment avec une couverture supérieure des jets de combat moins constante que celle à laquelle ils pourraient s'attendre selon la doctrine militaire russe", a déclaré le ministère britannique de la Défense. "La Russie ne parvient toujours pas à maintenir une supériorité aérienne suffisante pour assurer de manière fiable un appui aérien rapproché à voilure fixe près de la ligne de front, et ses munitions d'artillerie commencent à manquer. Les commandants russes ont probablement de plus en plus recours à l'exécution de missions d'hélicoptères d'attaque à haut risque comme l'une des rares options disponibles pour fournir un appui rapproché aux troupes au combat." Ces hélicoptères ont également été mis à rude épreuve au cours de huit mois d'opérations de combat perpétuelles. On ne sait pas non plus quelles concessions la Russie a faites en termes de maintenance différée, mais quoi qu'il en soit, il est probable qu'un plus grand nombre d'appareils seront perdus du seul fait de défaillances mécaniques au fur et à mesure que la guerre avance. En outre, les taux d'aptitude à la mission sont susceptibles d'être plus sévèrement affectés au fil du temps en raison des sanctions qui ont limité l'accès de la Russie aux composants de haute technologie.

Cela m'avait égalemen sauté au yeux. Et cela me ramène 30 ans en arrière à mon école de recrue. Comme nos sous-offs et même officiers nous tannaient pour que nos tenues soient correctes, uniformes et lorsque l'on se restaurait sur le terrain, on ne devait rien laisser trainer. La même chose en bivouac. Tout à sa place, bien rangé, nettoyé. Bon, tu diras, rien de plus normal pour des suisses que tout soit "tip-top"

L’Afrique du Sud n’a « aucune raison d’empêcher » l’arrivée d’un mégayacht russe. Le « Nord » est la propriété d’Alexeï Mordachov, un oligarque proche de Vladimir Poutine et visé par les sanctions occidentales prises après l’invasion de l’Ukraine. https://www.lemonde.fr/afrique/article/2022/10/27/l-afrique-du-sud-n-a-aucune-raison-d-empecher-l-arrivee-d-un-megayacht-russe_6147535_3212.html

Nigeria : Washington ordonne le départ de son personnel non essentiel de la capitale. L’évasion de plus de 400 détenus, dont des dizaines de djihadistes, d’une prison d’Abuja en juillet accroît le risque d’« attaques terroristes ». https://www.lemonde.fr/afrique/article/2022/10/28/nigeria-washington-ordonne-le-depart-de-son-personnel-non-essentiel-de-la-capitale-abuja_6147632_3212.html

Y'a ça : https://www.20min.ch/story/liveticker-krieg-in-der-ukraine-453678534597 Attaque de drone contre une centrale électrique à Sébastopol en Crimée Une centrale électrique de Sébastopol, sur la péninsule de Crimée annexée par la Russie, a été attaquée par un drone, selon les autorités. C'est ce qu'a annoncé jeudi le chef de l'administration municipale, Mikhaïl Rasvojaev. Lors de l'attaque de la nuit, un transformateur a été incendié, mais il n'était pas branché sur le réseau. Personne n'a été blessé et l'alimentation électrique de la ville portuaire n'a pas été affectée. Le drone a été intercepté alors qu'il approchait encore de la centrale électrique. Sébastopol est importante en tant que base de la flotte russe de la mer Noire. La péninsule revendiquée par la Russie depuis 2014 a été le théâtre de plusieurs explosions dans des installations militaires et d'attaques de drones au cours des derniers mois. L'Ukraine ne revendique pas officiellement ces événements. Mais ces incidents laissent penser que Kiev dispose de moyens pour attaquer loin derrière le front. Selon les médias, un dépôt de carburant a pris feu mercredi dans la ville de Chakhtarsk, contrôlée par la Russie dans le Donbass. La ville se trouve à une cinquantaine de kilomètres du front, à l'est de Donetsk. L'armée ukrainienne attaque régulièrement les lignes de ravitaillement des Russes avec des lance-missiles Himars de fabrication américaine, qui ont une longue portée.

Tien, cela me fait penser à la tactique du double tap abondamment utilisée en Syrie et reprise en Ukraine. J'ai vu un reportage là dessus, mardi il me semble, sur la chaine allemande ZDF. En gros, ils procèdent à un premier bombardement puis attendent quelques (longues) minutes le temps de laisser arriver les secours et procèdent à un second bombardement. Le but étant de toucher les secours et d'éventuels survivants sortant des décombres. Je ne connais pas la qualité de ce média mais le principe de ces frappes y est bien expliqué : https://korii.slate.fr/et-caetera/ukraine-double-tap-doubles-frappes-quand-second-missile-russe-vise-secouristes-civils-blesses

Ma réflexion portait en fait sur une hypothétique participation directe des USA à un conflit de haute intensité et sa capacité à se fournir de manière autonome en munitions. Soit le rapport entre la consommation annuelle de projectiles de 155 mm sur une année VS la production maximale durant la même année. Après, il se peut bien que je fasse une erreur de réflexion et je me laisse volontier corriger (tant que c'est fait aimablement)

https://www.thedrive.com/the-war-zone/ukraine-has-now-received-over-a-million-artillery-rounds-from-the-u-s Selon les derniers chiffres du ministère de la Défense, les États-Unis ont fourni à l'Ukraine plus d'un million de munitions d'obusiers depuis qu'ils ont commencé à envoyer des armes à ce pays en guerre pour l'aider à lutter contre la Russie. Ce chiffre comprend 903 000 obus standards de 155 mm ainsi que 3 000 obus guidés M982 Excalibur, 7 000 projectiles RAAMS (Remote Anti-Armor Mine System) et 180 000 obus de 105 mm. Au total, cela représente plus de 1,09 million d'obus qui pèsent bien plus de 50 000 tonnes, soit près de deux fois le poids de la Statue de la Liberté. Ces munitions font partie d'une aide à la sécurité de plus de 18,2 milliards de dollars accordée à l'Ukraine depuis le début de l'administration Biden, dont environ 17,6 milliards depuis le début de l'invasion totale de la Russie le 24 février. Le projectile M795 est la munition standard des obusiers tractés M777 de 155 mm utilisés par l'armée et le corps des Marines des États-Unis. Il s'agit d'un "projectile de 155 mm de 103 livres en acier à haute fragmentation (HF1) rempli de 23,8 livres de TNT ou d'IMX-101 avec une bande rotative en métal doré pour la compatibilité avec tous les obusiers de 155 mm tractés et autopropulsés actuels et futurs", selon son fabricant, General Dynamics. Le M982 Excalibur est un projectile de 155 mm qui utilise le GPS et le guidage inertiel pour trouver sa cible tout en augmentant la distance à laquelle il peut frapper. Pour utiliser la munition guidée, les troupes saisissent les données de localisation dans l'unité de guidage du canon qui les charge dans le projectile avant de le tirer. Des salves plus complexes peuvent également être programmées. Le RAAMS est un obus d'artillerie de 155 mm contenant neuf mines antichars individuelles qui sont libérées le long d'une partie de la phase terminale de la trajectoire de vol de l'obus. Ces obus peuvent être utilisés pour placer rapidement des champs de mines afin de compliquer les mouvements des véhicules blindés ennemis. Bien que l'introduction de systèmes de roquettes à lancement multiple tels que les systèmes de roquettes d'artillerie à haute mobilité M142, ou HIMARS, et de roquettes guidées M31 de 227 mm leur permettant de tirer, ait donné à l'Ukraine une plus grande portée sur le champ de bataille, les obusiers ont été et restent absolument essentiels et un pilier de son combat. Si les États-Unis ont fourni 20 HIMARS à l'Ukraine et 18 autres promis - des alliés de l'OTAN ont également fait don de systèmes de roquettes à lancement multiple (MLRS) M270 capables de tirer les mêmes munitions - ils ont fourni 142 obusiers tractés M777A2 et 36 obusiers de 105 mm. D'autres pays ont également fourni des obusiers. Avec un tel nombre d'obusiers standard expédiés en Ukraine, on se demande de plus en plus s'il y a suffisamment de munitions pour les États-Unis s'ils devaient eux-mêmes entrer dans un conflit majeur. En août, le Wall Street Journal a rapporté que l'armée menait actuellement "un examen approfondi de la base industrielle des munitions" afin de déterminer comment soutenir l'Ukraine tout en protégeant "nos propres besoins en approvisionnement". L'armée, selon le Journal, a également demandé au Capitole 500 millions de dollars par an pour moderniser les usines de munitions de l'armée. "Entre-temps, le service s'appuie sur les contrats existants pour augmenter la production de munitions, mais il n'a pas signé de nouveaux contrats pour tenir compte des quantités plus élevées dont il aura besoin pour reconstituer ses stocks, selon les responsables de l'armée." Selon le Center for Strategic & International Studies (CSIS), l'armée n'a prévu d'acheter que 29 000 projectiles explosifs de base (M795) au cours de l'exercice 2023. "La capacité de pointe était de 288 000 projectiles par an, mais avec un délai de 48 mois", écrivait le CSIS le mois dernier. La bonne nouvelle pour l'Ukraine est que les États-Unis ne sont pas la seule nation à lui fournir des obusiers et les munitions associées. Les États-Unis et leurs alliés ont tenu six réunions du Groupe de contact pour la défense, une cinquantaine de pays qui collaborent pour fournir des armes à l'Ukraine tout en veillant à ce que leurs propres approvisionnements soient suffisants, compte tenu de la possibilité d'un élargissement de la guerre en Europe et d'un déclenchement des hostilités avec la Chine. Même le Pakistan a été mis à contribution pour fournir des munitions d'artillerie à l'Ukraine, ce que vous pouvez lire dans notre article précédent. "Comme il s'agit d'une munition standard de l'OTAN, une douzaine de pays peuvent fournir ces projectiles", écrit le CSIS. "Par conséquent, il est peu probable que les transferts vers l'Ukraine soient limités lorsque le marché mondial est pris en compte." Si je comprends bien, en environ 8 mois de guerre, les USA ont livrés 913'000 obus de 155mm mais leur capacité de production de pointe, sous un délai de 48 mois, n'est que de 288'000 projectiles par année.

Rien de nouveau. Cela avait déjà été annoncé, cet été je crois (j'avais posté le lien et une partie de l'article), qu'à cause de l'inflation et l'étalement dans de temps de l'investissement que cela ne sera pas 100 milliards nets mais bien moins. Par ailleurs, il avait clairement été annoncé que ces fonds étaient destinés à la mise à niveau de la Bundeswehr et pas au financements de programmes d'armement.

C'était des F-35 US je suppose ?

A volunteer Belarusian unit of the Armed Forces of Ukraine. BTR-4 crew in action (à partir de 4:00)

En République Démocratique du Congo, plus de 70 % de la population vit avec moins de deux dollars par jour et un chômage qui progresse dans le pays. Les Kulunas sont des groupes très organisés, qui respectent une hiérarchie ordonnée, telle un état-major. Khalifa, 24 ans, est l’un de ces chefs de gang redoutés. Un quotidien de drogue, de vol, de racket et de violents affrontements de rue entre bandes rivales, armées de machettes, leur arme de prédilection. Après deux décennies d’impuissance, les opérations de police se multiplient. Spécialiste de la lutte anti-gang, le Colonel Bienvenu sillonne les ruelles des quartiers les plus pauvres de Kinshasa avec ses hommes pour arrêter les Kulunas, souvent dénoncés par la population à l’appui de vidéos filmés par les résidents. Les délinquants sont transférés dans un camp militaire de rééducation, récemment inauguré par le gouvernement et situé à trois heures de vol de la capitale congolaise. En les éloignant de force, loin des arrestations arbitraires et en les soumettant pendant plusieurs mois à une discipline militaire, les autorités espèrent ainsi réduire la criminalité.

Pour préciser, trois prisonniers de guerre qui auraient été faits par ses jeunes fils

Présentation du Blue Shark de Naval Group. Frégate eco-friendly

« A quoi ça sert de revenir au Nigeria ? » : à Benin City, le difficile retour des migrants rapatriés de Libye. Malgré la mise en place de nombreux programmes de réinsertion, les « returnees » peinent souvent à reconstruire leurs vies. https://www.lemonde.fr/afrique/article/2022/10/20/a-quoi-ca-sert-de-revenir-au-nigeria-a-benin-city-le-difficile-retour-des-migrants-rapatries-de-libye_6146648_3212.html

Je ne veux pas plomber l'ambiance festive du vendredi mais... Vlad, jeune Ukrainien de 16 ans emprisonné par l'armée russe au printemps, est désormais libéré et sain et sauf en Suisse. Dans un témoignage rude et brutal, il a raconté à la RTS les conditions de son enfermement pour aider les autres enfants toujours séquestrés. https://www.swissinfo.ch/fre/-ils-m-ont-donné-pour-mission-de-nettoyer-la-salle-de-torture-/47993494?

https://www.blick.ch/news/wegen-rueckschlaege-im-ukraine-krieg-verliert-putin-jetzt-auch-noch-den-rueckhalt-von-china-id17979045.html Poutine est-il en train de perdre le soutien de la Chine ? La Russie et la Chine sont unies par leur aversion pour les Etats-Unis. Mais cette relation semble désormais s'effriter, car la Chine ne semble pas très enthousiaste à l'égard des récentes attaques contre Kiev. Il semble que Xi Jinping ait fait un mauvais calcul. Au début de l'année, le président chinois Xi Jinping (69) a décrit son amitié avec le chef du Kremlin Vladimir Poutine (70) comme suit : "Une amitié sans frontières". Mais la guerre d'agression de la Russie contre l'Ukraine a compliqué la relation. Poutine espère le soutien de son homologue, mais Xi semble prendre peu à peu ses distances. La raison : les dirigeants de Pékin sont pris dans un dilemme. Plus la guerre dure, plus le soutien de la Chine à Moscou se fait discret. En revanche, les voix critiques se font plus fortes. "Le comportement de la Russie lors du début et de la conduite de la guerre prouve que son aventure militaire est irréfléchie et que ses forces armées conventionnelles sont faibles", déclare par exemple Shi Yinhong (71 ans), professeur de relations internationales à l'Université du peuple de Pékin, à l'Agence de presse allemande. Il semble désormais que la Chine tourne le dos à la Russie. Ainsi, lors d'une conférence de presse au congrès du parti communiste jeudi, les principaux responsables de la politique étrangère n'ont pas mentionné l'"amitié sans frontières" avec la Russie. Il est également habituel qu'un journaliste russe puisse poser la deuxième ou la troisième question sur le partenariat avec Moscou. Ce n'est pas le cas cette fois-ci. La Chine rompt-elle maintenant avec la Russie ? Le président russe Vladimir Poutine avait déjà reconnu en octobre, lors d'une rencontre avec le chef de l'Etat et du Parti Xi Jinping, "des inquiétudes et des questions" du côté chinois - sachant qu'il exigeait beaucoup de Pékin. Avec les revers des forces russes sur le champ de bataille, la position de la Chine "a rapidement évolué vers un nouveau niveau", estime le professeur Shi Yinhong. L'annexion des territoires occupés en Ukraine après les référendums fictifs a apparemment encore affaibli le soutien. Xi a sans doute mal calculé son soutien à Poutine. "Il a dû penser que la guerre serait rapidement terminée", estime l'expert Richard McGregor du Lowy Institute australien. "Il doit maintenant recalibrer. Il est trop tôt pour dire si les Chinois pensent qu'ils ont fait une erreur d'appréciation. Mais je pense qu'ils sont définitivement en train de tourner et de se tortiller". Selon McGregor, Pékin est actuellement "extrêmement inquiet". "Une Russie affaiblie de bout en bout n'est pas bonne pour la Chine", explique l'expert de Lowy à l'agence de presse allemande. "La Chine n'a rien contre le fait que la Russie soit le partenaire junior de leur coalition. Mais ils ne veulent pas non plus qu'elle soit trop faible".

on est vendredi alors... je sais :

https://www.thedrive.com/the-war-zone/ukraine-situation-report-russian-attacks-on-power-plants-spurs-emergency-actions À la suite de ces attaques, l'Ukraine introduira demain des restrictions d'approvisionnement en électricité dans tout le pays, a annoncé Kyrylo Timochenko, chef adjoint du bureau de Zelensky, sur sa chaîne Telegram. "Demain [...], des restrictions d'approvisionnement en électricité seront introduites dans toute l'Ukraine", a déclaré Timochenko. "Aujourd'hui, l'ennemi a de nouveau détruit des installations de production d'énergie. Veuillez prendre cela au sérieux. A partir de 7 heures du matin jusqu'à 11 heures du soir, il est nécessaire de minimiser l'utilisation de l'électricité. Ceci s'applique aux résidents de TOUTES les régions du pays. Si cela n'est pas fait, vous devez vous préparer à des coupures temporaires. De même, à partir de demain, l'utilisation de l'éclairage public sera limitée dans les villes. Ce sont des mesures forcées. Par conséquent, nous devons tous travailler ensemble sur notre front !" Les annonces de Kiev sont intervenues le jour où trois autres centrales électriques ukrainiennes ont été touchées par des frappes russes.La dernière en date est celle de la région d'Ivano-Frankivsk, dans l'ouest de l'Ukraine, où Svitalana Onyshchuk, chef de l'administration militaire régionale, a déclaré que la centrale électrique au charbon de Burshtyn avait été touchée, rapporte CNN. "Malheureusement, notre région a subi aujourd'hui une attaque de missiles. Notre centrale thermique (TPP) de Burshtyn a été touchée aujourd'hui. Un incendie s'est déclaré à la suite de cette frappe", a écrit M. Onyshchuk dans une publication sur Facebook. "Tous les services d'urgence travaillent sur place. Dieu merci, il n'y a pas de victimes", a ajouté M. Onyshchuk. Plus tôt dans la journée de mercredi, des responsables de la région de Vinnytsia, dans le centre de l'Ukraine, et du district de Kryvyi Rih, dans la région de Dnipropetrovsk, dans le centre-est, ont fait état de frappes sur des installations énergétiques, rapporte CNN. Les dernières nouvelles Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)

Mes excuses aux "usual suspects", rien sur le F-35, armé de terre oblige DRA 10, au service de la Confédération C’est l’unité d’élite de l’armée suisse, la crème des Forces spéciales de la Confédération. Ses militaires surentraînés ont été engagés dans la plus grande discrétion en Ukraine et en Afghanistan, pour exfiltrer des Suisses en danger. Leurs missions sont à hauts risques, pour eux-mêmes, et pour la neutralité suisse. Pour la première fois, ces soldats d’élite se révèlent devant une équipe de télévision, un document rare et inédit. https://www.rts.ch/play/tv/temps-present/video/dra-10-au-service-de-la-confederation?urn=urn:rts:video:13481554