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  1. Oui, entre la misère et l'espoir de vivre un peu plus dignement, le choix est cornélien. Les familles peuvent aussi encourager, étant donné le montant octroyé en cas de décès. Pervers. (article de 2024) : https://www.rfi.fr/fr/europe/20240723-russie-la-ville-de-moscou-augmente-la-prime-d-enrôlement-pour-inciter-à-rejoindre-l-armée De 605 000 roubles, soit quelque 6 300 euros, la prime passe désormais à plus de 20 000 euros, selon le décret signé par Serguei Sobianine. La capitale russe est l’une des régions qui peinent le plus à recruter des volontaires pour le front ukrainien. Le maire de Moscou mise donc sur l’aspect financier pour tenter de remplir sa part du contrat avec l’État russe et afficher sa loyauté. « Sur instruction du président Vladimir Poutine, le gouvernement de la ville de Moscou fournit l'assistance nécessaire au ministère russe de la Défense pour le recrutement des forces armées », indique le site officiel de la mairie. Avec cette prime, le montant des paiements versés à un soldat sous contrat s’élèvera à près de 55 000 euros par an. Une somme non négligeable dans un pays où le salaire moyen mensuel s’élève à environ 700 euros. À cela peuvent encore s’ajouter des bonus, comme en cas de capture ou de destruction d’armement aux mains des Ukrainiens. Le média russophone en exil Meduza souligne qu’un certain nombre de régions ont récemment réévalué leurs primes d’enrôlement. Sur l’année écoulée, l’État russe a dû débourser en primes et soldes pour les soldats et leurs familles en cas de décès, un montant qui correspond à 8% de toutes les dépenses du budget fédéral pour l'année en cours.
  2. Finalement, le "phénomène Trump" n'est pas si difficile à comprendre. A force de voir des victimes partout, ce genre de mouvements crée des nouveaux boucs émissaires. D'où le retour de bâton, c'est à dire Trump. Ca fait plaisir de voir un américain déciller les yeux.
  3. On dirait que tu veux imaginer une démocratie suisse qui vise la perfection. Ben non, ça n'existe pas les démocraties parfaites. Un exemple : quand il a fallu sauver des banques "systémiques" dans les 24h (crise de 2008, Crédit Suisse 2023), on a pas demandé au peuple suisse son avis. Sinon, en France : c'est quand qu'on a voté pour retourner dans l'OTAN ? C'est quoi tes infos "qui commencent à remonter en interne" ? Ca c'est intéressant
  4. Pourquoi choisir ? Je cocherais bien a) b) c) et d) c'est à dire l'image des rois archaïques, https://www.msn.com/fr-fr/actualite/other/tels-ces-rois-archaïques-décrits-par-rené-girard-c-est-en-brisant-les-tabous-que-trump-leur-redonne-de-la-force/ar-AA1txPCh?ocid=tweet "Comment un délinquant multirécidiviste, et toujours en procès, peut-il représenter le parti du « law and order » ? Comment un coureur de jupons multipliant les infidélités conjugales, notamment avec une actrice X, peut-il être soutenu par la frange religieuse la plus conservatrice ? C’est que, comme l’explique Girard dans La Violence et le Sacré, le « sacré » produit par le mécanisme du « bouc émissaire » a un double visage : il est à la fois « saint » parce qu’il met un terme à la violence, et « impie » parce qu’il le fait de manière violente." J'ai mis un extrait, mais l'article en lui-même est pas mal. Nécessite quand-même un peu de travail, aussi.
  5. Article verrouillé : tu pourrais peut-être mettre un copié-collé qu'on puisse au moins avoir une opinion ?
  6. Nope, comme attendu le Conseil Fédéral se refuse à envisager des mesures de rétorsion. https://www.rts.ch/info/suisse/2025/minute-par-minute/28962016.html "La Suisse maintient également ses achats des avions de combat F-35 aux Etats-Unis. Il n'y aura donc pas de mesure de rétorsion sur ce point non plus." "Jusqu’ici, le Conseil fédéral a toujours refusé d’engager un bras de fer avec des mesures de rétorsion. C’est peu probable qu’il change de stratégie tant le rapport de force est inégal avec les Etats-Unis" Et dans le Blick, il y a quelques minutes : "Concernant les avions de combat F-35 dans un potentiel accord avec Washington, Karin Keller-Sutter a refusé de commenter son offre actualisée à Trump. Elle a toutefois souligné que la Suisse achète des avions de chasse et le système Patriot aux Etats-Unis. «Et elle aura également besoin de munitions à l'avenir.»"
  7. C'est ce que je tends à penser aussi (voir plus haut)... C'est vrai que ça fait très complotiste, et en plus au sein même du conseil fédéral ! L'autre possibilité, plus "naturelle", est que les moustachus suisses voulaient absolument le F35 et ont fait le forcing envers V. Amherd, qui passerait alors pour la naïve de l'histoire. Je pense que c'est une histoire qu'on va nous vendre ces prochaines semaines... Ou bien un mix des deux ?
  8. Non, je pense que c'était joué plusieurs semaines avant l'annonce, donc avant l'arrivée de Biden*. Je pense surtout que tout était verrouillé par Amherd** sans mettre au courant ses collègues du conseil fédéral (pour éviter des fuites ?). D'où le pataquès avec la France puisque Maurer***, lui, avait demandé les contreparties à la France pour son offre une semaine avant la décision officielle (avec la réponse de Le Maire). Un Maurer très mécontent, on le saura par la suite. Amherd a mis au courant ses collègues seulement quelques jours avant l'annonce officielle. Elle les a convaincu que l'offre américaine "ne pouvait être refusée". Pourquoi, comment, mystère ! C'est ma théorie, je ne peux rien prouver bien sûr. * L'arrivée de Biden a peut-être permis de convaincre les autres conseillés fédéraux qu'ils n'avaient pas le choix. ** Elle était forcément au courant du classement, avec le F35 en tête. Sélection on le sait très discutable... comme si faite sur mesure pour que le F35 gagne. *** Je ne peux pas croire qu'il ait pris le risque de se mettre gravement à dos la France juste pour rigoler : les négociations des bilatérales étaient trop importantes pour la Suisse. Les contreparties françaises (les offsets) étaient très sérieuses, est-ce que Maurer les aurait demandé juste pour voir ? Encore une fois, j'ai du mal à le croire. On ne sait pas non plus (en tout cas à ma connaissance) si la même chose a été faite avec l'Allemagne pour le Typhoon... https://www.republik.ch/2022/01/12/die-kampfjet-saga-folge-1-der-geplatzte-deal-mit-paris Si l'on part donc du principe qu'il était clair dès le mois d'avril que les Américains étaient les mieux placés dans l'évaluation, le Conseil fédéral aurait dû mettre le pied à l'étrier à la France au plus tard à partir de ce moment-là. Or, c'est le contraire qui s'est produit : la Suisse a poursuivi son offensive diplomatique de charme envers la France. Pourquoi ? La ministre de la Défense Viola Amherd a-t-elle caché les informations de l'évaluation à ses collègues du Conseil fédéral ? Ou bien le résultat de l'évaluation n'était-il pas encore si clair à ce moment-là ? Les explications sont contradictoires. Interrogé à ce sujet, le DDPS écrit que l'évaluation était à l'ordre du jour de la Délégation du Conseil fédéral pour la sécurité depuis début 2021. Les conseillères fédérales Viola Amherd, Karin Keller-Sutter et Ignazio Cassis en font partie. De plus : « Lors de la séance de mi-mai, la cheffe du DDPS a présenté les résultats en détail et informé de manière transparente que le F-35A présentait de loin l'utilité la plus élevée et les coûts les plus bas dans l'analyse coûts-utilité ». Il était donc clair pour les trois conseillers fédéraux qu'il n'y avait pas de marge de manœuvre politique et que les considérations de politique étrangère ne pouvaient pas être prises en compte. Le DDPS confirme ainsi officiellement les recherches du journal romand « Matin Dimanche », selon lesquelles les conseillères fédérales Viola Amherd et Karin Keller-Sutter avaient averti mi-mai leur collègue Ignazio Cassis qu'il était inutile de négocier un accord politique avec la France. Mais le ministre des Affaires étrangères Cassis avait ignoré cet avertissement. Et le conseiller fédéral Ueli Maurer a lui aussi laissé son département poursuivre les négociations à Paris sur l'imposition plus forte des frontalières françaises. Le Département fédéral des affaires étrangères (DFAE) défend une autre vision des choses. Jusqu'à la veille de la décision, il n'était pas clair s'il y avait de la place pour des considérations politiques dans le choix, explique le département de Cassis pour expliquer le manque de retenue vis-à-vis de la France. Une chose est sûre : les négociations avec la France ont provoqué une dispute au sein du Conseil fédéral. La conseillère fédérale Amherd s'est agacée des activités diplomatiques de Cassis. Lui et Maurer voulaient récolter les fruits de leurs négociations avec la France et, selon plusieurs sources proches du Conseil fédéral, ils se sont engagés pour l'achat de l'avion de combat français Rafale. Lors d'une première séance de décision, le gouvernement national n'a donc pas pu se mettre d'accord sur un type d'avion et a dû reporter l'affaire. Viola Amherd avait besoin d'arguments supplémentaires pour convaincre ses collègues. Elle a demandé un avis de droit à l'Office fédéral de la justice. Les juristes fédéraux ont clarifié si le Conseil fédéral pouvait passer outre le vainqueur de la procédure d'évaluation militaire et technique et décider à la place selon des critères de politique extérieure. L'expertise répétait ce que le Conseil fédéral avait déjà constaté deux ans auparavant dans son propre message sur le crédit-cadre : les aspects politiques ne devaient pas être pris en compte lors de l'acquisition, car les offres n'étaient pas équivalentes. Certes, les décisions prises lors d'acquisitions d'armement ne peuvent pas faire l'objet d'une plainte, selon l'expertise. Mais les candidats « partaient à juste titre du principe que le Conseil fédéral déciderait en application des critères d'adjudication définis et ne s'en écarterait pas ». Confiants dans l'équité de la procédure, ils auraient engagé des frais importants pour participer au processus de candidature. « Si cette confiance est déçue, il y a violation du droit fondamental de la bonne foi », écrit l'Office fédéral de la justice. Deux jours seulement avant la décision, la ministre de la Défense Amherd a présenté l'expertise. Elle a ainsi fini par convaincre le président de la Confédération Parmelin, qui hésitait jusque-là. Les deux conseillers fédéraux PS ont soutenu la proposition d'Amherd, car ils dépendent de la politicienne du centre pour nombre de leurs propres affaires. C'est ainsi que le 30 juin 2021, le gouvernement a pris sa décision concernant les avions de combat. La Suisse doit choisir l'offre d'avions de combat technologiquement supérieure et en outre financièrement la plus avantageuse, a argumenté le Conseil fédéral. Après une évaluation minutieuse, il s'agirait du bombardier furtif américain F-35. Parallèlement, le Conseil fédéral suisse a fait croire jusqu'au bout à Paris que la France obtiendrait le contrat définitif. On pourrait qualifier l'échec de l'accord et ses conséquences de maladresse en matière de politique étrangère si la procédure de sélection de l'avion de combat était au-dessus de tout soupçon et si l'avion de combat américain F-35 était clairement le meilleur et le moins cher. Mais est-ce vraiment le cas ? --------- Sur les critères de sélection, petit rappel : https://www.facebook.com/RTSinfo/videos/infrarouge-pa-fridez/1081884870434039/?locale=fr_FR
  9. L'achat n'est pas raté ! La décision a été prise, je répète, en toute connaissance de cause. Armasuisse ou tout ce que tu veux, c'est un paravent à une décision avant tout Politique : je constate que tu as du mal à l'accepter et pourtant les faits sont têtus. La première fois le politique voulait le Grippen, contre l'avis des experts, un rapport a fuité fort opportunément, dois-je le rappeler ? Ce coup-ci, le terrain avait été bien préparé pour éviter le scénario précédent. C'est toujours le Politique qui décide, le reste c'est du vent. Et non, ce ne peut être le discours officiel, aucune chance, zéro, nada ! En Suisse, on aime pas les vagues, d'aucune façon. Maintenant, il va falloir assumer, droit dans ses bottes comme V. Amherd vient de le dire ("si c'était à refaire, je referais la même chose"). Au pire, si ça enfle, on plaidera la naïveté, qu'on avait pas le choix*, et fermez le ban. La discipline, c'est pas une vue de l'esprit en Suisse. Le suisse pas très au fait passera son chemin. Et voilà * "Je vais lui faire une offre qu'il ne pourra pas refuser". Qu'on ne me dise pas que c'est Trump qui a fait le scénario du film.
  10. J'ajouterais : c'était un choix politique, où pour faire gagner la bête "on" a décidé d'afficher un prix clairement sous-évalué en toute connaissance de cause. Le conseil fédéral savait donc depuis le début que la facture finale serait bien plus élevée, mais c'était le prix à payer pour faire passer le F35 sans avoir sur le dos l'opposition.
  11. Suis pas sûr de bien comprendre : tu veux dire que tout ce qui se passe concernant le prix du F35 est uniquement le fait de uncle Don ?
  12. Les conséquences : les offsets... https://www.srf.ch/news/schweiz/milliarden-mehrkosten-fuer-f-35-schweizer-ruestungsindustrie-bangt-um-wichtige-auftraege Les politiciens, les conseillers fédéraux et les contribuables ne sont pas les seuls à être contrariés par les milliards de dollars que les Etats-Unis pourraient exiger pour l'avion de combat F-35. Dans l'industrie de l'armement aussi, l'ambiance est morose. "Pour nous, c'est une petite catastrophe. Car c'est surtout notre part d'offset qui est maintenant sous pression", déclare Matthias Zoller. Il est responsable de l'industrie de l'armement au sein de l'association professionnelle Swissmem. Par ces affaires offset ou compensatoires, Zoller entend les commandes que le fabricant du F-35 Lockheed Martin passe à des entreprises suisses - en contrepartie de l'achat d'avions de combat. L'offset a un coût : Lockheed Martin ajoute au prix du jet les dépenses liées aux affaires compensatoires. Réduire les contre-affaires ? Maintenant que les coûts du F-35 explosent, le DDPS réfléchit également à des économies dans le domaine de l'offset. C'est ce qu'a annoncé mercredi le chef de l'armement Urs Loher : « Une compensation partielle par une adaptation des engagements offset est également à l'étude ». Une commande passée à l'entreprise d'armement Ruag, propriété de la Confédération, est particulièrement « menacée ». Elle souhaite assembler elle-même quatre des 36 F-35 suisses dans ses ateliers d'Emmen. Les économies qu'il permettrait de réaliser plaident donc en faveur de l'abandon de ce projet prestigieux. Mais le projet lui-même se heurte à d'énormes difficultés, comme l'a expliqué le secrétaire général adjoint du DDPS, Robert Scheidegger, lors de la conférence de presse : « Jusqu'à présent, il n'a pas été possible de démontrer comment le projet peut être mis en œuvre de manière économique et durable ». Ainsi, des « investissements considérables » dans l'infrastructure sont nécessaires. De plus, l'assemblage d'un si petit nombre d'avions serait relativement coûteux.
  13. https://www.rts.ch/info/suisse/2025/article/f-35-l-ex-chef-du-controle-des-finances-alerte-sur-les-risques-ignores-28925962.html "Le contrat des F-35 fait polémique, avec un surcoût qui pourrait dépasser le milliard. Pour Michel Huissoud, ex-chef du Contrôle fédéral des finances, ce dépassement était prévisible: aucun prix fixe n'avait été garanti. Il dénonce jeudi dans le 19h30 un risque minimisé, une décision politique précipitée et des responsabilités diluées. Le prix annoncé de 6 milliards de francs pour l'achat des F-35 américains ne pourra pas être respecté, comme le révélait SRF la semaine dernière. Le surcoût pourrait atteindre 1,3 à 1,5 milliard. Deux sources confidentielles au sein de l'administration fédérale confirment qu'aucun prix ferme n'a été convenu avec les États-Unis, contrairement à ce qu'affirme encore le Conseil fédéral. Michel Huissoud, ancien chef du Contrôle fédéral des finances (CDF), revient sur ce dossier qu'il connaît bien. En 2022, il tirait pourtant la sonnette d’alarme. A l'époque, ses collaborateurs du CDF avaient bien examiné les documents. "Deux juristes sont allés regarder tous les contrats, les conditions générales, la correspondance, les avis qui avaient été donnés. Ils n'ont pas pu faire de copies, mais ils ont pris des notes, et ils sont arrivés aux conclusions qui sont dans le rapport." Leur constat? Rien ne garantissait un prix fixe. Alors que d'autres experts juridiques et l'ambassade américaine affirment le contraire, Michel Huissoud reste sceptique: "Les autres avis de droit, je ne les ai pas vus. Ils n'ont pas été publiés. Donc on ne peut rien en faire. Quant à l'ambassadeur, c'est gentil, mais je ne suis pas sûr qu'il puisse contractuellement engager les États-Unis." Bonne foi? Peut-on admettre que la Suisse a été de bonne foi dans cette affaire, comme elle le clame? "On voulait surtout y croire, je crois", répond l'ancien chef du CDF. Et selon lui, les politiciens portent aussi leur part de responsabilité. "Les deux commissions de sécurité publique, la commission de gestion du National et la délégation des finances ont été mises au courant du risque. Mais elles n'ont pas voulu approfondir le problème", déplore-t-il. "Jeu de la patate chaude" Et chacune se renvoyait la balle: "C'était le jeu de la patate chaude", poursuit-il. "La commission de gestion disait que cette question du prix relevait de la commission des finances et de la délégation des finances, alors que dans son rapport, la délégation des finances disait l'inverse." Pour l'ancien haut fonctionnaire, le choix d'acheter ces avions s'inscrivait dans un contexte politique tendu, avec une initiative populaire qui avait plus de 120'000 signatures en toile de fond. Signer rapidement, c'était donc aussi neutraliser cette initiative, poursuit-il. Comment pense-t-il que la question sera réglée? "Je ne suis pas dans la tête des décideurs. Et les décideurs, c'est aussi très amusant, sont tous partis", conclut-il, non sans ironie.
  14. Ce qui apparait plausible, c'est que Amherd a négocié avec Biden directement sans en avertir ses collègues du conseil fédéral. On le devine parce que Maurer était mécontent du choix de l'avion, lui qui une semaine avant la décision officielle du conseil fédéral (officieusement prise quelques semaines avant par Amherd !) envoyait une demande de contreparties à Paris. Pourquoi ne pas en parler à ses collègues ? Peut-être pour éviter des fuites sur le deal américain, justement. Deal sur quoi, saura-t-on jamais ? Mais sur un sujet visiblement suffisamment élevé pour que le nombre de personnes au courant soit restreint au minimum. Y compris au conseil fédéral. Nous n'en savons pas plus, espion lève-toi ! Ou alors c'est un billard à 3 bandes. Ou bien les hommes en noir sont passés par là. Donc non, pas de certitudes, juste un troublant faisceau d'indices qui m'indique que tout ce cirque a au fond peu à voir avec l'avion lui-même.
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