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La campagne de 1814, 1ere partie : ( Les dispositions faite au Printemps après la tentative raté des Russes pour incendier le dépot de Vilna, n'aura que peu changer, Napoleon et ses 113 000H, ( moins 1000H ) est revenu à Minsk, Augereau, et ses 60 000H à Vilna, Davout, au camp retranché, et les garnisons ont repris leur place sur la Dwina. ) Les espions ont fait savoir que le gros des forces Russes ce trouvent au nord, vers Luga, probablement 140 a 150 000H et qu'environ 100 000H pourrait manoeuvrer ou etre en renfort. D'autres unités ce trouvent plus au nord, mais ils ignorent leurs emplacements et leurs forces. Quand a l'est, vers la route de Moscou, aucune informations n'est disponible. Au sud, Tormazov ne bouge pas et n'a pas semble t-il l'intention de bouger, mais méfiance, car on ignore ou est passé sa réserve de 20 000H, elle peut nous frapper soit au sud-est, soi des environs de la route de Moscou. Stratégie : 10 juillet. Napoleon, ayant réunit ses maréchaux vers 10 juillet, exposa son plan après leur avoir fait part des informations reçu par ses espions. Il leur dit : Nous connaissons a peu près l'essentiel de leur forces au nord et de leur emplacement ; cependant, il faudra s'attendre a ce que Wittgenstein pratique la terre brulée et nous menace par les flancs, quand nous nous enfoncerons vers Luga ou Novgorod. Nous ignorons s'ils possèdent d'autres forces, il y a tout lieu de croire que c'est possible, car Alexandre joue son va-tout. Nous devons donc avoir des flancs forts, mais pas trop proche des ennemis afin d'y parer a temps et convenablement a la situation. Et notre ligne d'opération, double au départ, a cause d'importantes forces mise en mouvement, partira de Drissa pour remonter par Ostrov, pour atteindre Pskov. La seconde partira de Dwinaburg, Liutzin, et directement Petchori, mais en dessous, puis Pskov. Ce dont l'ennemi aura compris lui aussi qu'elle devenait une position stratégique, d'importance. Nos lignes de ravitaillements seront entre ces deux lignes d'opérations. Voici donc mes ordres : Davout, vous laisserez 8 000H dans le camp retranché, et avec 180 000H, vous remonterez la route d'Ostrov, puis Pskov, en restant a la meme hauteur que la seconde armée de 160 000H qui passera par Drissa, Liutzin et vers Ostrov, ou il y laissera 100 000H. 20 000H continueront la route à Pskov, et 40 000H, au lieu d'aller à Ostrov iront à Petchori, couvrant nos flancs autour de Pskov et pouvant ce réunir sur cette ville en moins d'un jour. 20 000H sont prélevées de l'armée d'observation de l'Autriche et de la Prusse, lui laissant encore 160 000H, et sous peu de jour avant le 15 juillet, prendront la place des 20 000 Prussiens de Yorck, qui ce positionneront à Valk. Et cela leurs évitera la tentation de nous jouer de mauvais tour en quittant une position stratégique, ou trop peu de forces les surveilleraient. Les garnisons de Dwinaburg et Drissa, d'un total de 20 000H occuperont Sebej. 20 000 Polonais pris sur le corps de Reynier au sud, remonte déja vers Polotsk déja occupé par 9 000H, et les 14 000 Polonais initialement parti de Minsk, iront au nord ouest de Liutzin, totalisant dans la région d'une force de 49 000H, plus la réserve de 14 000H, et pourront rapidement intervenir selon que l'ennemi pourrait nous réserver comme surprise. Elle sera sous le commandement de Soult. La garnison de Vitebsk et du camp retranché, 18 000H, pourront ce rabattre sur eux, au besoin, montant alors leur force régionale a 81 000H, et fermant notre flanc jusqu'a la Dwina. Les 1000H de la garnison de Smolensk resteront sur place et enverront tous les jours de profonde reconnaissances, comme pour toute les unités occupant les fronts. 1000 Cavaliers seront prélevés des troupes qui occuperont Ostrov, et s'avanceront sur Novorjev, pour y envoyer de profondes reconnaissances, car il importe de connaitre le dispositif ennemi dans la région avant de s'engager. Voila pour les dispositions de mise en place au nord. Au centre, Bobruisk, Orcha, Mogilev et Rogatchev, soit 2 700H dont 700 cavaliers, nous préviendrons a temps si l'ennemi veut passer en force par là par surprise. L'armée de Soult pourra s'y opposer en tout, ou partie, et le télégraphe nous avertira assez tot. Voila messieurs les dispositions que vous devez connaitre, et si le Tzar ne veut toujours pas céder une fois la réunion de nos forces principales à Pskov, nous déclencherons la seconde partie de notre plan. Puis, il congédia ses maréchaux pour qu'ils prennent leurs dispositions. ( Dans la réalité, Napoleon ne disait que le minimum de ce que chacun devait savoir, et ils ignoraient toujours tout de l'ensemble des opérations.)
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Voici la carte des opérations du printemps 1814, du 30 mars a la mi avril environ, ou les Russes retraite sur leur base de Pskov : Wittgenstein a eu raison de ne pas dépasser la Dwina avec le gros de ses forces, sauf pour en garder le passage, car l'adversaire pouvait s'opposer fermement a lui vers Vilna, et dans le meme temps, lui menacer sa route de retraite qu'il lui fallait garder avant de retraverser le fleuve, et avec combien d'unités serait-il menacé...? d'autant que Davout pouvait l'attaquer par la droite du fleuve, ce qui n'a pas manqué d'etre tenté, ou il lui fallait là aussi de nombreuse forces pour parer a ce risque. Attaquer aussi les Prussiens de Yorck eut été malvenue politiquement, et il fallait songer a la politique de demain, mais en campagne eut été plus intéressant. Mais au final, il aurait fallu lacher les conquètes rapidement, car Napoleon eut tenter de rejeter les Russes a la mer, en les empéchant de retraiter par ses manoeuvres. D'ou une action si limitée malgré de si grande forces. Et la troupe n'a pas l'expèrience de la guerre, ni l'endurance nécessaire. Et pourquoi Napoleon ne les a pas poursuivit ? ...parce qu'il voulait ce réserver pour la bonne saison afin de limiter ses pertes en hommes et en cavalerie qui n'aurait pu profiter de la récolte des moissons et subir beaucoup de pertes dont la campagne prochaine s'en serait ressentit.
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L'attaque Russe du printemps 1814 : Wittgenstein dut attendre le printemps pour voir ce compléter ses armées, totalisant 270 000H, plus qu'il en attendait. Hélas, tous inexpérimentés. Sachant qu'il ne ferait pas le poids malgré tout en attaque frontale, il résolue une attaque sur la Dwina et sur Vilna, dépot principal des Français, qui, s'il était brulé, nuirait grandement a la campagne de Napoleon qu'il préparerait. Ses généraux réunit en conseil approuvèrent, et certains, voulurent meme porter une offensive importante dans le meme temps, sur les arrières de la première base d'opération de Napoleon, dérrière le Niemen, en portant le chaos en Pologne du nord est, couper le ravitaillement passant par là pour les affaiblir davantage, puis ce retourner contre les Français pour leur porter des coups sévères, en exploitant aux maximum la situation. Wittgenstein refusa, c'était faire prendre trop de risque a l'armée Russe. Certe, l'on pouvait y porter le désordre et la destruction, mais sans pouvoir y rester longtemps, c'était surtout un raid pour faire gagner du temps aux Russes et ce renforcer davantage pendant l'été en ralentissant les opérations de Napoleon par ce moyen. Si l'on tentait une telle manoeuvre, c'est nous qui nous nous retrouverions coupé de nos bases et rejeter vers la mer par une attaque venant de l'est, et condamnerait la Russie du meme coup. ( Il faut savoir que peu de généraux Russe était instruit sur le plan militaire, ( Authentique ) et toutes les pertes subie n'avait pas arranger la situation.) Stratégie : Wittgenstein, avait réunit le 30 mars, ses troupes autour de Liutzin, 240 000h sur les 270 000H, laissé 10 000H à Pskov, sa base d'opération, et 20 000H a bonne distance du corps Prussien de Yorck, montrant qu'il n'avait pas l'intention de les attaquer, afin de les ménager politiquement quand leurs reconnaissances les découvriront. Trois jour après, Dvinaburg et Drissa étaient attaqué par 30 000H chacun, détecté seulement 12 H avant. Devant le nombre, ils repassèrent derrière la Dwina et interdirent aux Russes la traversée des ponts. 10 000 Russes occupèrent chacune de ces deux villes, et le reste constitua une réserve de 40 000H a Sebej, et 105 000H à Opochka, afin d'assurer les arrières. Et 35 000 Russes passèrent la Dwina...suivit de forces importante. Devant cette situation, la Garnison de Drissa ce replia sur MacDonald, et celle de Dvinaburg, vers Kovno, pour en défendre le passage quand ils apprirent qu'une puissante force avait franchie la Dwina, mettant en péril la ligne défensive du nord. Napoleon, de retour a la mi mars, avait fait installer en 1812 le télégraphe Chappe, de sorte qu'il apprit la nouvelle en moins de trois heures de temps, et relié le télégraphe a ses généraux, Davout, MacDonald, et au corps d'armée en Pologne, maintenant a 60 000H, dont Augereau avait pris le commandement. ( Napoleon avait apprit par ce moyen, l'attaque Autrichienne en 1809, ou mille kilomètres plus loin, en 8 heure, il apprit la nouvelle à Paris. )( Authentique ) Bien lui en pris à Wittgenstein d'avoir choisie la prudence. A ce moment, 35 000 Russes foncèrent sur Vilna, cavalerie en tete, et 40 000H assurèrent leurs retour en tenant la route de Vidzi, jusqu'a la rivière Dwina. Mais ils arrivèrent trop tard, Napoleon occupait Vilna avec son armée venu de Minsk, la perte de quatre heures pour la traversée de la Dwina et plusieurs heures de perdu a traverser d'autres Rivières sur leur route, firent que Napoleon avait gagné six heures sur ses ennemies grace au télégraphe, qui constatant leur echec, et l'arrivée de nouvelles forces, ( Les 60 000H de Marianpol, ) tournèrent bride, et poursuivit par Napoleon, puis menacé de flanc par MacDonald devant de si faible forces et sachant Napoleon poursuivant l'ennemie, menaçait Sventziani, et ne put prendre que son arrière garde de 3 000H. Dans le meme temps, Davout avait reçu l'ordre de remonter avec 180 000H la route de Polotzk, pour fermer le passage a toutes les troupes ennemie ayant passer la Dwina, mais il arriva trop tard. Mais le corps d'armée Russes de 35 000H subit des pertes au moment du passage du fleuve, et 5000H suplémentaires furent perdues pour l'adversaire. Quand a Davout, avec les reconnaissances, apprenant l'Aflux des forces Russes convergent vers lui dans le but de l'encercler, il retraita sagement vers Polotzk. Puis, l'ennemi prit le partie d'évacuer la région et les postes prit, n'attendant pas la réunion des forces Française sur la droite de la Dwina, il retraita vers Pskov qu'il atteignit vers la mi avril. Quand a Napoleon, il n'avait pas l'intention de les poursuivre au delà de la Dwina, sauf si l'occasion ce présentait, faute d'etre a la bonne saison pour le ravitaillement. Tout repris son calme et l'Empereur refit des modifications a son dispositif. Quand a Wittgenstein, il ce félicita de sa prudence qui sauva l'armée, et de n'avoir perdu que 8 000H. Napoleon n'avait perdu que 1 000H, car l'ennemi, pressé et en retraite, attaqué de flanc et au passage de la Dwina, était pris en flagrant délit.
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Hiver 1813-1814 : Retour de Napoleon à Paris en novembre : La nécessité de conduire les affaires de la France, de tenir les rènes du pays en y étant présent et pour empecher de possible complot ce préparant en son absence, pour rassurer le peuple, obligea Napoleon à revenir à Paris pour quelques mois, jusqu'en mars, en laissant comme par le passé le commandement de l'armée à Murat Roi de Naples, et pour la question militaire, Davout, ou arrivé a la capitale, il s'occupa immédiatement des finances qui avait rechuté, et du problème agricole qui faisait de meme, sans parvenir a le résoudre, et ou l'effet du Blocus Continental y avait aussi sa part. ( Authentique ) Juste avant l'arrivée de l'Empereur, Savary, ministre de la police, déjoua une tentative de coup d'état du général Malet, qui échoua de justesse. Napoleon, quand il l'apprit, en fut mécontent, car aucun n'avait pensé a son fils, l'Aiglon, et il mesura la fragilité de l'Empire. Il fallait au plus tot conclure cette campagne de Russie. Il prépara la remonte de sa cavalerie, prévoya l'augmentation de ses chariots et chevaux pour le ravitaillement, ou l'armée devra suivre leurs rythme, afin de ne pas y perdre trop d'homme. Il ce renseigna sur la Prusse et sur l'Autriche et ce que lui rapportaient ces espions, notamment par un certain schulmeister, qui lui révéla que la Prusse était au bord de l'explosion avec la Tugenbund derrière malgré que la ligue fut interdite par Napoleon, puis par le roi de Prusse en décembre 1809, mais que le roi y veillait par intéret a quelle n'éclate pas. ( La ligue entre alors en clandestinité, et vise les milieux étudiants et militaires. Nombre de ses membres parviennent aux plus hautes fonctions du royaume, et ses idées inspirent les réformes administratives, économiques et militaires que connait alors la Prusse.) ( Authentique.) Quand a l'Autriche, elle n'est pas une véritable allié, et Napoleon s'en défiait avec raison. Il donna des ordres pour faire rapprocher un corps d'armée de 20 000H devant Berlin, à Gardeleden, au nord ouest de la ville de Magdebourg, pour faire comprendre au roi de Prusse que la France ne tolèrerait pas un soulèvement possible du pays sans conséquence immédiate, car disposant encore d'une armée de 180 000H environ, qui surveillait ses "alliés.. Signal qui devrait etre aussi comprit par l'Autriche et Metternich, sans avoir besoin de les menacer, ce dont ils prirent note, et qui apaisa par force leur attitude politique en pliant devant la nécessité, et en laissant au placard la tentation de la trahison envers Napoleon. L'Autriche fit des voeux pour la perpétuation de l'alliance avec l'Empire, avec un fort regret de devoir s'y soumettre. ( Jamais l'Autriche n'a été un allié sincère avec la France. ) Quand a l'Angleterre, ses espions lui apprirent qu'elle disposait d'une armée de 100 000H, après une nouvelle levée de troupes, afin d'inquiéter les cotes Françaises. Aussi, il prévoya la levée de 60 000 Conscrits, de 10 000 Hollandais et 20 000 Italiens comme armée de réserve, dont 20 000 Conscrits s'installeront à Paris, et les 70 000H autres, en Allemagne de l'ouest, proche du Rhin. En Russie : Wittgenstein, fit son possible pour soulever la population Russe contre les Français, en les enrolant dans son armée, ou tout allait ce jouer l'année qui vient. Il fit renforcer Novgorod, porte d'entrée de St Pétersbourg en cas de combats futur. En stratégie, il fit la remarque a ses généraux que Napoleon avait toujours pris l'offensive en été, et qu'il serait bien de les devancer dès qu'il auraient une force dépassant largement les 200 000H et qu'il réfléchissait au moyens d'infliger le plus de perte possible, a défaut de vaincre, avant d'avoir a reprendre la route du Nord, si l'offensive n'était pas concluante. Il tira partie des expériences du passé, ou l'artillerie ennemie fit une telle différence a la bataille de Viazma et surtout Borodino, qu'il commanda au moins 300 canons de plus, car sur les 1 600 canons que la Russie disposait au départ en 1812, il n'en restait que 700 Canons. Manquant encore de moyens suffisant, la logistique insuffisante, Wittgenstein dut ronger son frein pour tenter de prendre l'initiative au printemps 1814.
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Comme vous le remarquez, je ne prend pas en compte les pertes du aux maladies, a la désertion, qui ne sont pas quantifiable, pour simplifier le scénario. Résultat des nouvelles dispositions au 20 Nov 1813 :
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Heureusement, et c'est plutot normal. quand a ceux qui ont massacrés ainsi, je doute pour beaucoup que leurs conscience un jour les laisse tranquille.
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Plus il y en aurait, plus cela impacterait l'esprit des gens qui le verraient, et serait plus ferme contre la guerre.
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Merci a vous deux, effectivement ils ne font pas dans la dentelle, meme si il y avait de quoi normalement arréter un homme normal dans la situation ou je comptais les placer avec des dizaines de milliers de personnes en jeu, (peut etre, et selon les possibilités, et un dispositif en profondeur ), et médiatisés... Là, plus de place a l'humanité, c'est le massacre pur et simple. Ce serait bien de montrer de pareilles images aux télespectateurs pour qu'ils ce fassent une idée de la guerre, et des dirigeants qui nous "libèrent et des "soldats" sans conscience qui leurs obéissent comme des machines."
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Dispositions prévue par Napoleon pour l'hiver : Un jour après son arrivé au camp retranché, le 2 Nov 1813, Napoleon jugea de la situation stratégique, étant donné que Moscou n'a plus de valeur stratégique, ni politique, ni religieux, l'ennemi ce concentrera sur ce qu'il a encore à défendre, St Pétersbourg, ou il faut s'attendre a ce qu'il y réunira toute ses nouvelles forces venue de l'Empire, et fera le maximum pour éviter la défaite. Le centre de gravité a changé, le danger principal vient maintenant du nord. On dispose d'une ligne de défense trop faible sur la Dwina au cas ou elle serait attaquée, ou, pour s'opposer a ces nouvelles forces Russes qui ce ressembleront, dont on peut les estimer a l'avance a plus de 200 000H, nécessite une re-disposition des forces. Aussi, 100 000H sur les 288 000H, plus les 14 000 Polonais, sur les 15 000H, quitteront les camps retranchés pour ce mettre en route pour Minsk immédiatement. Smolensk sera garder par 1000 Polonais, elle n'a plus l'importance stratégique d'alors depuis que Moscou a brulé. MacDonald, et ses 18 000H, vont reprendre leur ancienne position à Glubokoé, dans six a sept jours. Toute ces troupes formeront une réserve de 305 000H dans cette région, pouvant ce réunir rapidement en cas d'attaque surprise. En Pologne, à Marianpol, 30 000H protège déja l'arrière du front, qui avait été prélevés sur les 60 000H encore disponible. Donc, les 30 000 autres restant les rejoindront en mars. Les depeches reçu de Paris annonce une nouvelle crise agricole, ( Authentique ) aussi, il n'y aura aucun prélèvement de nouvelles troupes en France afin de ne pas diminuer le rendement agricole pour l'année suivante, et lui permettre de remonter. J'estime les forces encore suffisante contre la Russie. Il faudra remplacer les pertes qu'a subit la cavalerie et l'artillerie. La bourse après sa chute en 1812, ( Authentique ) , remonte, devant les résultats de la campagne de cet année qui continue d'etre favorable. C'est une année décisive, et l'Angleterre va certainement jeter son poids financier dans la balance pour aider la Russie, et va probablement tenter de remuer l'opinion afin de fomenter des révoltes en Allemagne, en Prusse et en Autriche. Heureusement, près de 180 000H surveille ces deux dernier pays. L'Allemagne, morcelé, ne peut qu'attendre de l'aide pour etre dangeureuse. Quand à l'Espagne, elle revient vers l'ombre et le passé, alors qu'on tentait de l'en sortir pour la ramener vers le siècle des lumières, elle supprime nos réformes bienfaisantes. (Authentique ) Mais plus de danger avec elle, elle a trop de problème intèrieur a régler du à Ferdinand VII, loin d'etre un homme des lumières, mais seulement du passé, pour etre une menace potentielle pour la France, et avec une Angleterre privé de son armée pour intervenir sur le continent, ne l'incitera pas a vouloir nous attaquer. Voila pour la stratégie et la politique.
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Malgré que je connais assez bien cette periode, quelle remarque et critique auriez vous a porter sur ce scénario ?
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Stratégie : pourquoi des batailles aussi décisives ? L'Empereur a pu obtenir en juillet 1812, avec l'élimination de l'armée Russe sous Vitebsk, une supériorité numérique et dans la valeurs de ses troupes, que l'ennemie ne peut plus lui contester, ni rattraper, ne pouvant plus lui opposer que de la milice inexpérimentées, comme le comptait la stratégie de Napoleon pour commencer la campagne de 1813. ( Authentique.) Le fait qu'il choisisse le cantonnement que la poursuite, lui permet de libérer de la cavalerie pour récupérer toute son artillerie perdu, soit dans les quatre cent canons en début de campagne, fautes de chevaux suffisants pour les tirer, morts pour beaucoup d'avoir mangés du blé encore vert ou des chaumes des toits de chaumières, les faisant périr par milliers. ( Authentique comme histoire ) La puissance feu a pris une proportion telle, quelle fait beaucoup dans les combats, et le matériel Russe, perdu en grande quantité ne permet pas de remonter la pente pour s'opposer a combat égal avec celui de Napoleon. Le cantonnement déja préparer assez tot par la logistique, a permit de protéger hommes et bètes des grands froids historique de 1812, et le ravitaillement a pu suivre, sans devoir parcourir des distances trop importantes et ce déroulant encore dans une bonne saison lors des opérations de 1813, dont Napoleon veilla a quelle ne ce déroule ni trop tot, ni trop tard. Ce qui permit dans ce scénario, numériquement et en qualité et grace a ses manoeuvres, de battre les armées dont il comptait ce charger, en comptant celle de la Dwina battu à Pskov, et dans la campagne suivante. La cavalerie n'ayant pas subit l'hécatombe de la retraite de Russie, plus la cavalerie venu de France et d'Espagne, lui permit des manoeuvres rapide d'encerclement sur une armées prise en flagrant délit, du aux dispositions tactiques en rideaux pour empécher l'ennemi de s'informer correctement sur les forces réelles de l'adversaire, ni de ses véritables intentions, sauf quand il était trop tard, comme ce fut le cas pour Mack en 1805. Et la nouvelle campagne de 1813 démarre au bon moment, profitant des moissons, dont la cavalerie venue de France et d'Allemagne, entre autre, a pu profiter pour sa remonte... des dépots accumuler durant toute la période et des nombreux fours a pains construit à la demande de L'Empereur, ont permis de passer l'hiver sans trop de casse, et le fait que le camp soit a l'abri de surprise a éviter une guerre d'hiver normalement favorable aux Russes, mais dont l'exemple de février 1807 par Bennigsen, n'a pas été concluant à Eylau. Et avec la milice, s'engager contre des troupes ainsi protéger par le camp, et leurs grande expérience, a fait reculer Koutouzov qui choisit sagement la prudence, ne voulant pas risquer son armée. C'est le manque d'endurance de la milice dans les marches et le combat, et le manque d'officiers de valeurs, les commandants, prisonniers lors du premier combat d'encerclement, hormis Wittgenstein, et avec la nombreuse cavalerie de Napoleon supérieure numériquement et en valeur a celle de l'ennemi qui ont permis de triompher si rapidement à Viazma contre une longue colonne en marche, étendu sur des kilomètres, qui a pu etre percés, encerclé, pour en finir le plus rapidement possible et donner un autre coup décisif, comme a Borodino, ou Napoleon appliqua son plan tel qu'il l'avait conçu en 1812 historiquement, sans que la malchance intervienne pour le gacher. ( Authentique.) Le moral ayant une grande part, avec l'accumulation de défaites continuelle, les Russes le payèrent cher à Borodino, résultat de leur stratégie et conséquence inéluctable et logique dès la première bataille perdu de 1812. Si le Tzar Alexandre persiste apparemment contre le bon sens, après avoir perdu une nouvelle armée à Borodino, c'est qu'il craint d'etre assassiné s'il cède, et il suppose encore que le climat pourrait lui venir en aide, a condition que les opérations durent plus longtemps que prévu. De plus, il avait acquis la certitude d'etre missionné par le Divin pour battre Napoleon, et remettre l'ordre ancien en Europe en ré-installant la monarchie en France, ( Authentique ) mais avec les défaites, il n'y croit plus trop. C'est donc par crainte et entètement qu'il continue la lutte...( Et cela fera plaisir aux lecteurs.) Mais Napoleon n'a pas abattu toutes ses cartes. Mais si les lecteurs choisissent la difficulté, et la perte de la campagne, il est possible de le réaliser. A vous de voir. Mais cela reposera sur une base réaliste et logique, pas fantaisiste, et fera partie des potentialités qui peuvent survenir. Ou bien je vous mettrais les deux scénarios. Qu'en pensez vous ?
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La fin de l'Opération et la retraite : Moscou brulée, n'entre plus dans aucune combinaison stratégique ni politique, d'ou l'abandon de cette ville. Certaines garnisons seulement sont représentées. ( 5 000H chacune, totalisant de Moscou et au delà de Dorogubuj : 50 000H protégeant la ligne de ravitaillement et d'Opération. ) ( Je n'ai pas chiffrés les deux réserves a 10 000H chacune, occupant Gjatsk et Viazma sur la carte. ) ( Je ne compte pas le reste de l'armée repassant par la meme route jusqu'à sa base, et récupérant au passage toutes les garnisons assurant la protection du ravitaillement. ) Météo : 1er Nov, pluie, température : 5°. Résultat des pertes, et autres fronts : Blessés : Sur les 30 000 blessés de la bataille de Viazma, il y eut 4 800 morts Sur les 28 000 blessés de Borodino 1813, il y eut 4 200H morts. ( Tout ceci est conforme en pourcentage a l'étude faite sur la periode du 1er Empire pour les morts et les blessés. ) Total restant de l'armée en campagne partie à 330 000H, dont ceux revenu aux camps, ayant la charge de reconduire les prisonniers Russes, il reste : 288 000H, en décomptant aussi les 33 000 morts des combats. ( Je ne compte pas les petites pertes légères du a l'intervention de cosaques sur la ligne d'opération, dont des garnisons furent l'objet d'attaques, ne dépassant pas probablement 1000H durant toute cette opération.) Fronts : Le front Nord et Sud, resta calme. Schwarzenberg avait conclu un accord secret dans lequel il n'attaquerait pas les troupes de Tormasov ( authentique ) Le Tzar Allexandre, déçu de la tournure de la négociation et n'ayant pu retenir Napoleon jusqu'à l'hiver, dut ce contenter de créer de nouvelles divisions qu'il réunit autour de St Pétersbourg. Fédor Rostopchine, ayant répandu le faux bruit de l'incendie de Moscou attribués injustement aux Français, fit crier vengeance a nombre de paysans qui s'enrolèrent pour ce battre. De sorte qu'a la fin de l'hiver 1814, Alexandre disposa de près de 110 000H. Et 100 000H supplémentaire s'ajouta fin mars des régions de l'Empire pour ce réunir vers St Pétersbourg. Voici la carte des opérations a partir du 21 Aout jusqu'au retour des troupes pour l'hiver :
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L'incendie de Moscou : Les 33 000 Russes, toujours commandé par Wittgenstein, retraitèrent vers Kalouga. Napoleon l'ignorait, puisque Wittgenstein feigna de prendre la route de Moscou, pour bifurquer ensuite sur Kalouga, ou Il y espérait recevoir plus tard des renforts, et de cette position, peut etre attaquer et intercepter du ravitaillement Français. C'est tout ce qu'il pouvait faire en attendant, car pas question de disputer l'entrée de Moscou à Napoleon avec le peu de troupe qu'il disposait. En attendant, il dépecha un messager pour annoncer au Tzar le terrible désastre qui était survenu, avec la nécessité de l'abandon de Moscou. Devant tous les blessés, la nécessité de conduire les prisonniers Russes a l'arrière avec une escorte de 8 000H, et devant le résultat si décisif de la bataille, Napoleon resta deux jours sur place, jusqu'au 21 Aout. Il laissa 9 000H en attendant pour soigner les blessés des deux camps. Le 20 aout, il réunit ses généraux et maréchaux, les félicita, et distribua des titres et récompenses. Tot le matin, le 21 aout 1813, il ce prépara pour partir en journée pour Moscou, ou il pensait obtenir la paix devant un si grand désastre subit par les Russes. Mais il lui fallait assurer ses flancs. Il envoya Ney vers Kaluga avec 45 000H, a mi distance entre Gjatsk et Kalouga, le temps que Macdonald le rejoigne avec ses 18 000H, et lui laissera la moitié de son armée sous commandement d'Eugène, entretemps, et selon la situation en cours, rejoindra Napoleon à Moscou s'il y a nécessité immédiate, ou bien, Marmont, en lui abandonnant l'autre moitié de son armée. Mais Ney, reviendra vers l'Empereur. Pourquoi envoyer autant de troupes vers Kalouga ? La raison en est simple, les plus de 30 000 Russes estimés par Napoleon s'échappant du piège de Borodino, n'avait que deux directions possible sérieuse : Moscou, ou bien le sud, avec la possibilité de menacer les communications des Français. Le nord étant exclus, étant trop peu civilisé et habité, et trop boisés. Marmont avec 20 000H s'installera a mi chemin entre Rjev et Gjatsk. 10 000H resteront à Gjatsk, et 10 000H iront à Viazma, renforçant déja les 5 000H assurant la protection du ravitaillement, et pourront constituer une réserve pouvant intervenir là ou la demande s'en fera sentir prioritairement. Ils assureront en attendant la défense de ces villes stratégiques. 5 000H seront laissés entre Gjatsk et Moscou, assurant la protection du ravitaillement. Et avec les 87 000H qui lui resteront, il entrera à Moscou, dont il est certain qu'il n'y aura aucun combat, vu le trop peu de troupes Russe a lui opposer, plutot qu'y perdre ce qui reste de leur l'armée. Il arriva le 24 Aout 1813 à Moscou. Tous les quartiers étaient vides de leurs population, a part quelques rares habitants. Etonné de ne voir personne l'accueillir, pour lui remettre les cléees de la ville en signe de soumission officielle, Napoleon en pris son partie, mais comprit que la guerre pourrait continuer et que la paix serait probablement a chercher à St Petersbourg. Il s'installa au Kremlin. Deux jour après, un vaste incendie fit rage à Moscou. On arréta des incendiaires, et tous dire qu'ils en avaient reçu l'ordre du gouverneur général de Moscou : Fedor Rostopchine, pour ne rien laisser aux Français, et montrer que les Russes ne s'avouaient pas vaincu. L'incendie ce propagea, et presque toute la ville fut brulé. On ne sauva qu'avec peine du ravitaillement pour l'armée qui campait désormais en dehors de la Ville. Quatorze jours après la date du 19 Aout, le 2 septembre, Napoleon reçu la réponse du Tzar Alexandre de la lettre qu'il lui fit envoyer par un officier Russe prisonnier au soir de la bataille de Borodino. Celui ci lui donna son accord pour négocier, et lui envoya un de ces officiers, avec pour instructions secrète, de faire durer la négociation le plus longtemps possible. Alexandre, comptant encore sur l'hiver Russe et sur la levée de nouveau renforts, ayant aussi appris l'incendie de Moscou, l'encouragea à résister. Les négociations commencèrent, sans jamais apporter de solutions convenable, et le temps passa. Napoleon avait voulu espérer, mais il comprit que la seule solution passerait par les armes pour dénouer le noeud Gordien. Douze jours après, le 14 septembre, Napoleon rompit les négociations, et il donna l'ordre du signal du départ. ( Il avait apprit lorsqu'il était de retour à Paris, que le climat pouvait etre combien terrible, malgré ses études faites sur vingt ans en arrière ( Authentique ), et l'hiver 1812 avait été de ceux là, aussi, il ne voulut pas risquer le sort de son armée. ) C'est ainsi qu'il prit le chemin du retour, mais en passant par Maloïaroslavets pour éviter la route déja pillé a l'allée, et le fit sans rencontrer de résistance, étant trop fort pour l'ennemi, ( maintenant a 55 000H,) après avoir ralliée, Marmont ( 40 000H , qui reçu 20 000H de Ney ). MacDonald, ( 45 000H ) et les 10 000H de Gjatsk et de Viazma ce regroupèrent, formant une armée de 65 000H, défendant la route de l'allée, et donner l'ordre aux brigades de 5 000H chargés de veiller a la protection du ravitaillement établit par étapes, de ramener leurs unités en arrière a mesure de recevoir cette armée, et reculant a mesure de la progression de l'armée Principale de Napoleon pas trop éloigné en descendant à Kalouga et restant a cette hauteur, pour y recevoir par étapes prévu a l'avance, du ravitaillement pour eux aussi, tout en profitant aussi des ressources du terrain qu'ils traversaient... ( Les 23 000 blessés de la bataille étant déja évacués a l'arrière, avec les 9 000H chargés de les soigner. ) Ainsi, l'armée principale pu progresser sans avoir a subir la famine, a travers des régions non dévasté par l'armée Russe de Wittgenstein qui les suivaient a une bonne distance. Ils purent regagner leur base sans grands problème, les camps retranchés d'Orcha et de Vitebsk, sans subir de froids intense, au 1er novembre 1813, ou l'armée cantonna sur leurs positions pour l'hiver. Macdonald alla regagner Glubokoé avec ses 18 000H. Voici la carte de l'incendie de Moscou :
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Borodino 19 Aout 1813 : ( J'ai repris les dispositions de la bataille de Borodino qui étaient les plus sensé et qu'ils auraient repris, rajoutés quelques divisions, des corps d'armées renforcés, donne le résultat de la carte ci dessous ) ( Je ne compte pas le combat de Schewardino, ou les Français arrivés trop tot, ( historique en 1812 ) empéchèrent la finition de ses fortifications, faisant que les Russes abandonnèrent cette position sans combat.) Avant le combat, des tableaux des saints ont circulé le jour avant le combat pour tenter d'électriser le soldat Russe, mais le moral n'y était pas, trop de défaites restaient dans leurs esprit, tandis que l'Empereur y allait de sa proclamation aux troupes, faisant valoir la nécessité de vaincre et tous les avantages qui en découlerais comme espérer aussi la paix à Moscou, ce qui eu le don d'électriser les soldats qui croyaient gagner la paix rapidement. Français : 225 000H Napoleon : génie militaire, et sachant exploiter la moindre faute et la faire payer aux maximum. Russes : 173 000H Wittgenstein : Bon général Météo : Ensoleillé. Moral : Excellent moral chez les Français, mauvais chez les Russes après tous les désastres survenu depuis le début de la campagne et au choc moral de la derniére bataille en particulier. Valeur des troupes : les vétérans constitue l'armée de Napoleon, tandis que les pertes Russes ne laisse plus que des milices, soldats inexpérimentés. Terrain : le terrain chez les Russes ce prete bien a la défense, de plus, des redoutes ont été installées pour présenter des obstacles important, à défaut d'avoir de bonnes troupes. Le ravitaillement : il a pu suivre sans etre intercepter malgré l'intervention des cosaques, la ligne d'opération est bien protégée et remplit bien son role grace aux 50 000H qui la protège jusqu'a Smolensk, repris par les Polonais après. La bataille : conforme a la bataille historique de Borodino 1812, a part que les Russes ont 43 000H de plus et des divisions un peu plus épais, et pour les Français ayant environ cent mille hommes de plus que dans l'histoire, pour simplifier, tous grouper sur la carte. L'artillerie : elle donne 720 canons chez les Russes, mais pour l'Empereur, décidé a obtenir la victoire par le feu, a minima, et employant les quatre cents canons récupérés de l'ancienne campagne de 1812, il dispose de 1200 Canons, dont il compte préparer la victoire. La Stratégie : Elle est simple pour les Russes, il s'agit de résister le plus longtemps possible et infliger le plus de perte, de bien tenir et défendre les redoutes, une des positions cléees du champ de bataille. Du coté d'Outitsa, il ont placés 45 000H en réserve dont de la cavalerie. Pour le reste de l'armée, il s'agit de tenir sur des positions défensives naturelles et espérer tenir malgré la différence importante des forces. Ils ignorent encore l'importance si grande de l'artillerie Française. Pour les Français, Napoleon compte percer le front Russe en passant entre les deux redoutes (Authentique en 1812 ) avec la masse principale de ces troupes, ( historique ) mais auparavant, installer une formidable artillerie de 900 canons pour écraser les défenses des redoutes, de meme les éventuelles troupes chargées de la défense de ce front. Davout, avec ces 15 000H, Poniatovsky avec ses 20 000H et le corps de 30 000H dirigé par Marmont, attaqueront la région d'Outitsa et le sud des Trois Flèches dont Davout contournera les défenses. Ils disposeront de 220 Canons. Cela dans un premier temps. Ensuite, le centre Russe enfoncé, l'infanterie suivit de l'artillerie s'enfoncera dans le centre Russe, stoppant les attaques Russes, idem a sa droite avec les corps Davout, Poniatovski et Marmont représentant tous ensemble l'essentiel de l'armée, avec la cavalerie, le tout bien structuré et préparé pour éviter la confusion, afin d'atteindre au plus vite la rivière Moskowa et enfermer les troupes Russes dans cette nasse ou ils ont cru ce mettre à l'abri, et occuper et tenir la route de Moscou. C'est pourquoi, avant meme l'engagement, il avait vu cette faute et comptait en profiter en massant le gros de ses forces tel qu'il la fait. ( Authentique en 1812, seule la malchance a fait échouer ce projet.) Eugene face à Borodino, disposera de 80 Canons et pourra s'imposer face aux feux de la Grande redoute et arrosera le plateau et fera mine de menacer et déboucher de la ville lorsque l'occasion pourrait ce présenter pour retenir une partie des divisions Russes. Le combat ce déroula comme l'avait prévu Napoleon, ses généraux commandant les troupes du centre ne furent pas éliminés, comme ce fut le cas historiquement et purent conduire la bataille sans perdre vingt précieuse minutes qui avait permit dans la réalité d'envoyer a temps la réserve Russe pour stopper leur avance, et donner la bataille frontale que l'on a connu. ( Authentique ) Les Russes envoyèrent bien des réserves, mais trop tard pour empécher la catastrophe, et voir tomber les premières défenses des Trois Flèches, puis perdre le plateau central derrière ces positions, ou la formidable artillerie Française empécha toute contre attaque de réussir et nettoya rapidement la plateau. Ceci prit du temps, mais le résultat fut a la hauteur des espérances. A sa droite, progressaient les corps, Davout, Poniatovski et Marmont, ou grace a leurs supériorité numérique, purent déborder largement leurs adversaires qui n'eurent d'autres choix que de ployer et retraiter devant eux. Eugene, constatant l'affaiblissement progressif du front Russe, attaqua au bon moment les Russes commençant a reculer de Borodino, voyant que la bataille tournaient mal pour eux, tout en laissant une division pour garder ses arrières et Grouchy avec sa cavalerie, qui reçu l'attaque des cosaques de l'Hetman Platov, mais pu les repousser. Avant la fin de la journée, la plupart des Russes étaient enfermés dans cette nasse que constituait la Kolocza et la Moskowa. Le canon tonnait toujours et infligeait des pertes trés importantes aux Russes. La batterie de 102 canons à Wagram avait suffit pour faire céder le centre Autrichien. Là, la faible artillerie Russe rescapées des combats ne pouvait soutenir la comparaison, écrasé par une immense artillerie sur laquelle Napoleon avait beaucoup compté, et ses artilleurs, encouragés, et comprenant l'importance de l'enjeu de la bataille après la proclamation de Napoleon avant le combat, firent merveille. Plus de la moitié de l'armée Russe avait péri, et 45 000 milles prisonniers furent le résultat de cette bataille. Seul, 33 000 Russes avaient pu s'échapper de ce piège préparé par Napoleon. Grace a la formidable artillerie, au fait que tout ce déroula comme prévu, Napoleon n'eut que 8 000 morts et 23 000 blessés. ( Voir wikipédia, il n'y a eu que 6 562 morts et 21 450 blessés. ) Là, la formidable artillerie explique cette grande différence avec le fait qu'elle a suivit la progression des troupes. Malgré une belle défense, les Russes encerclés abandonnèrent le combat, le moral n'y étant pas influença pour beaucoup leurs décisions, ainsi que la suite de défaite continuelle subit depuis le début de la campagne de 1812, qui ne contribua pas a améliorer leur moral. La Garde ne donna pas. La route de Moscou était ouverte.
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Le sort des blessés : Un mot sur les blessés, le pourcentage de perte après étude, donne une moyenne en pourcentage de 5 à 6% aux combats, et à l'hopital, entre 12 à 21% a l'extrème selon les régions de France, mais ce situe en moyenne autour de 15%. ( voir ici : https://www.persee.fr/doc/pop_0032-4663_1972_num_27_1_15097 ) Ce qui fait que les trente mille blessés de première la bataille de Vitebsk le 28 juillet 1812 encerclant les Russes, ceux non pris en compte de la deuxième bataille de Vitebsk de novembre 1812, que j'estimerais grossièrement a moins de 15 000H étant donnée la nature du terrain surplombant de quinze a vingt mètres celui des Russes sur l'essentiel du champ de bataille, ( dont 8 000 blessés légers étaient rentrés rapidement au camp retranchés de Vitebsk. ) ( Plus la bataille de Pskov en septembre 1812, mais dont on pourrait estimer les blessés au nombre de 5 a 8 000H, du a la protection d'une partie du champ de bataille effectué en partie dans cette ville, s'ajoutant au 45 000 blessés, donnant plus de 50 000 blessés, dont des légers. ) Ceci occasionnerait un pourcentage total de perte moyenne d'environ 20% en tenant compte de l'étude des pertes, donnant pour les trois premières batailles : 10 000H de pertes définitive sur les 50 000 blessés, environ. Restant : 32 000H, ( moins les 8 000H déja rentrer. ) Une partie des blessés de la première bataille de Vitebsk en plus des 8000H revenu de l'hopital, ont pu regagner en partie la base de retranchement de Vitebsk au cours de l'hiver 1812-1813, de sorte que je n'ai pas eu à décompter les pertes en blessés de la seconde bataille de Vitebsk, les compensant toutes. Ce qu'il fait qu'il reste encore 9 000H dans les hopitaux qui rejoindront leurs unités au cours de l'été, et seront incorporés dans l'armée de Napoleon. ( Je ne complique pas la tache en comptant les déserteurs, ceux partis en congés, les licenciés, ceux rayés a l'hopital et rayés pour longue date, mais dont on pourrait retirer probablement autour de 10% des 50 000 blessés en tenant compte de l'étude. ) En définitive, pour etre juste, il resterait encore environ 4 000H a cette date du 10 Aout 1813 sur les 50 000 blessés a minima, qui rejoindraient leurs corps d'armée au lieu des 9 000H escomptés.
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Préparation de la campagne, d'avril au 15 juillet 1813 ( Cliquez sur les cartes pour les agrandir ) Du 15 juillet à la bataille de Viazma au 10 Aout 1813 De la bataille de Viazma, arrivée à Borodino le 17 Aout 1813.
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Je ne connaissais pas ce genre de problème, mais je te remercie. Et bonne journée.
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Merci Bechar06 mais sur mon ordinateur, je ne vois pas le message apparaitre.
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Bonjour, ( Ne sachant ou poster ce problème, je le met ici. ) je rencontre un problème, je n'arrive pas a poster un message faisant suite a l'uchronie de la Campagne de 1812. Peut etre est-ce un problème du forum, ou bien de mon ordinateur, je l'ignore. Un modérateur pourrait-il s'en charger a ma place, svp ? Voici le message : Préparation, et départ jusqu'avant la bataille : En début mai, Napoleon arrivé avec les premières troupes, apprend la mort de Mikael Koutouzov survenu le 6 avril 1813 du a une scepticémie. ( Authentique pour son décès. ) Wittgenstein à pris le commandement de toute les troupes, et juge nécessaire la protection de Moscou avant tout, capitale religieuse de la Russie, elle ne doit a aucun prix tomber au main de l'adversaire, c'est aussi la pensée du Tzar. Il réunit toutes ses forces autour de Vélikié Lukie, sonnant la fin du cantonnement, et prend la route de Bieloi et de Viazma qu'il atteind en 10 jours, le 26 avril 1813. Sa stratégie ? retraiter jusqu'a Moscou et pratiquer la terre Brulée, puis livrer bataille aux portes de Moscou ou il espère donner un coup de buttoir en s'appuyant sur de bonnes défenses, et peut etre reprendre l'initiative et imposer sa stratégie et chasser les Français de Russie. ( Reprenant a stratégie de Koutouzov ) ( Authentique pour la stratégie. ) Quand à Napoleon, devant la certitude que les Russes ont quittés leurs anciennes positions de Vélikié Lukie pour défendre la route de Moscou, dont il faudra s'attendre a ce battre inévitablement devant leur capitale, il concentre ces forces et ses dépots de ravitaillements vers Vitebsk, qu'ils accumule en vu de la prochaine campagne. Il a fait venir de France 20 000 conscrits ( milices ) qu'il envoient a Reynier, renforçant son armée, et totalisant avec celui de Schwarzenberg, 90 000H, ou l'on suppose qu'une offensive Russe pourrait démarrer dès le Départ de Napoleon vers Moscou. 30 000 soldats prélevés de l'ancienne armée d'Espagne s'installeront en Pologne en juin, à Marioupol, ( sous Kovno,) et pourront servir de réserves en priorité au front de la Dwina ou défendre Vilna si l'ennemi réservaient des surprises et perçait la ligne de défense, étant donné que l'on ne possède que des informations générale mais pas des plus précises... La campagne démarrera en début juillet 1813, après les moissons, tenant compte de l'expérience passé ou les chevaux sont morts par milliers du fait d'avoir a manger du blé encore vert ou par force, des pailles des chaumières. ( authentique ) Aussi, la cavalerie, l'attelage d'une partie de l'artillerie, compensé entretemps entièrement par la récupération de 400 canons temporairement perdu fautes de chevaux en 1812, placés au camp de Vitebsk, fera que l'on ne perdra plus autant de chevaux, et la nécessité de n'avoir plus a poursuivre les Russes comme en juin 1812, évitera de grandes pertes. Voila pourquoi le choix de Juillet, vers le 15 au plus tard, ou l'on profitera de la moisson. Entretemps, Napoleon fit encore créer de nouveaux dépots important autour de Vilna et au camp de Vitebsk, ainsi qu'a Grodno et encore des fours a pains. Les conscrits furent entrainé a bien viser, ainsi qu'a toutes ses troupes, tenant compte de la tactique Anglaise en Espagne qu'on lui a rapporté, ou le feux a beaucoup influée sur le sort des combats, et s'aidant en s'appuyant sur des plateaux difficile à gravir. Stratégie et Campagne : 9 juillet 1813, toutes les troupes sont réunit, hormis la cavalerie que l'on va bientot recevoir, l'une a Orcha, ( Napoleon ) l'autre à Vitebsk, ( Marmont ), on sait l'ennemi fort de 130 000H environ a Viazma, ( en réalité, 143 000H ) et d'environ 150 000H autres vers Moscou. Il faudra donc marcher avant d'obtenir un résultat. Le 12 Juillet, les 15 000 Polonais à Minsk, occuperont le camp retranché de Vitebsk que l'on évacuera. Le 14 juillet, la cavalerie est arrivée avec les nombreux attelages d'artillerie, ( avec la réunion des 400 canons récupérés de l'année 1812,) profitant pendant son parcours de la moisson qui a été faite, et perdant de fait peu de chevaux. L'heure est arrivée ; Le 15 juillet Napoleon donne ses instructions, puis l'ordre du départ a ses généraux. 1. Prendre Smolensk occupé par 5 000 Russes, a moins qu'ils ne l'abandonnent, avec l'armée principale. 2. Macdonald et ses 18 000H occuperont, a mesure de notre progréssion, Vehj et Bieloi, jusqu'à la source de la Dwina, prolongeant notre protection par le nord devancé par l'armée venue d'Espagne commandé a nouveau par Marmont. ( 200 000H ) 3. L'armée partira sur deux colonnes au départ, chacune divisés en trois colonnes pour chacune de ces armées, en prenant des routes parallèles pour progresser plus vite, l'une au nord, Marmont, ( 200 000H ) l'autre par Orcha, Smolensk, etc... Napoleon, ( 130 000H ) pour ce réunir tous vers Viazma en meme temps, Marmont légèrement en avance, si l'ennemi y est toujours installé et ne reçoit pas de renfort et accepte le combat, en le prenant de flanc par l'armée dirigé par Marmont, et de dos, en force, pour le couper de sa retraite grace à la nombreuse cavalerie en tete qu'il disposera, pendant que l'armée principale s'approchera assez avant de préparer et fermer le piege, ( ou rechercher rapidement la décision si les circonstances l'y oblige avec l'armée sud. ( Napoleon ) et si le piège fonctionne, renforçer son aile sud de notre armée pour entamer un enveloppement qui rejoindrait celle de Marmont avec une forte aile de cavalerie. Donner d'abord a l'ennemi a l'approche de l'armée nord, l'illusion de faible forces venant du nord, en présentant des rideaux de troupes cachant le gros des forces qui lui tomberont dans le dos et le flanc. C'est une affaire d'heure ou chaque étape est comptée, le départ comme l'arrivée, ou la communication et la bonne synchronisation inter-armée entre en jeu, et permettrait de détruire cette armée Russe de Viazma. Le tout est d'arriver en meme temps, d'ou une communication régulière entre les deux armées, et chiffrée. Pour aider a la réussite de l'opération, une nombreuse cavalerie légère devancerait les deux armées pour paralyser l'action des cosaques et de la cavalerie ennemie susceptible aussi de fournir des renseignements important. Tous ce passa comme l'Empereur l'avait décider, sauf que Wittgenstein, prudent, préféra la fuite lorsqu'il apprit l'arrivé de Napoleon, après avoir fait replier bien avant les 5000 Russes de Smolensk sur son armée, et nouvelle plus grave qui le décida, celle d'une armée arrivant par le nord, dont on n'avait pu déterminer sa force quand elle s'approchait déja trop près, qui pouvait le prendre de flanc. Cependant, c'était un peu tard pour ordonner la retraite a cause du manque d'information déterminant du a la nombreuse cavalerie légère Française, mais il prit ce risque plutot que d'affronter deux armées ensemble. Marmont, ( 200 000H,) venant de Bieloi à 100 Km de Viazma, arriva perpendiculairement sur la colonne Russe en fuite avec plus de la moitié de son armée, 120 000H, et l'autre partie, prévoyant d'avance la manoeuvre donc déja séparé avant, a marche forcé coupa le chemin de retraite de Russes avec 80 000H. Et certain que Napoleon arriverait sur ces entrefaites, complèterait la victoire. Marmont forma deux colonnes d'attaque pour commencer la bataille de flanc contre les colonnes Russes en vu de la couper en trois partie pour mieux la réduire, tout en gardant a l'arrière sa ligne d'armée pour fermer le flanc a l'ennemi. Wittgenstein, obligé de livrer bataille pour forcer le passage, ce défendre de Marmont, ses troupes étendu sur de longue colonnes sur des kilomètres, ne purent opposer une résistance digne de ce nom. Et Napoleon arriva, voyant la situation, attaqua immédiatement l'arrière de la colonne avec une partie de sa cavalerie, pour ajouter au désordres, a la confusion et a la panique, lança l'autre partie par le sud, pour compléter l'enveloppement de l'armée Russe, suivie de la troupe, joignant la main a l'armée qui barrait le passage des Russes et en faisait autant autant de son coté. De cette bataille du 10 aout 1813, dés 143 000 Russes, seul 35 000H dont beaucoup en cavalerie purent s'échapper, dont Wittgenstein, s'égaillant dans la nature et poursuivant ensuite parallèlement mais à longue distance et invisible, l'armée Française allant sur Moscou pour rejoindre l'autre armée. L'armée Française avait perdu 15 000H et eut 30 000 blessés dans cette affaire, les Russes, pris en flagrant délit, percée, couper, encerclées, en panique, 40 000H; et fait prisonniers, 68 000H dont des blessés transportables. Napoleon, détacha de l'armée de Marmont, 10 000H des moins bonnes troupes, pour ramener les prisonniers en France. Maintenant Moscou était l'objectif. Mais le fait que trente a quarante milles Russes pussent s'échapper, malgré les reconnaissances Françaises lancées a leurs poursuite, il fallait pour préserver ses arrières laisser une armée de 60 000H, qui selon les renseignements pris sur la marche de ces Russes, suivrait en parallèle la route Orcha-Moscou dans la direction de manière a protéger la communication et le ravitaillement. Le total de son armée était réduite de 25 000H, plus 30 000 blessés, et de 60 000H suplémentaire, totalisant après cette opération : 215 000H. C'est pourquoi, Napoleon fit appeler les 18 000 de Macdonad pour le suivre, et lui faire prendre Position à Kaluga lorsque Napoleon arrivera devant Moscou pour protéger sa ligne de communication et espérait le retour rapide des 60 000H, ce dont il ne doutait pas pour la future bataille qui allait décider probablement du sort de la campagne. Mais il était nécessaire que sa ligne d'opération fut en sureté. A la fin du jour d'après, pour le commandant des 60 000H, il était clair que les fuyards avec Wittgenstein prenaient bien la route vers Moscou, après une demi journée de repos forcé et dut aux blessés qui l'encombraient. Les fuyards, manquant de tout pour le ravitaillement, arrivèrent a 23 000H vers Moscou, en évitant la route principale de peur d'etre rattraper et fait prisonniers. Sur les 8 000 Russes qu'il perdit, une partie c'était rendu aux Français, d'autres avaient expirés de leurs blessures, les premiers purent manger, et furent envoyer en France, ou auparavant pendant plusieurs mois, ils furent employés comme ouvriers pour aider a produire du pains, ce dont ils ce tirèrent honorablement. Les 150 000 Russes de Moscou, ayant appris la terrible nouvelle de la perte de la première armée, eurent le moral bien bas. Ceci augurait mal des jours a venir ou une bataille ce précisait. Son commandant décidant de ce porter malgré tout en avant, à Borodino, car disposant d'un excellent terrain défensif, ou il pensait recevoir l'aide de la première armée comme prévu dans leur stratégie, hésita a rester sur place. Il ignorait tout des pertes Française, mais la supposa bien au dessus de ce qu'elle avait perdu, et quand apprit que l'armée Française s'approchait de Borodino, il ce demanda s'il fallait retraiter, ou bien faire face et sauver l'honneur, à défaut de gagner la bataille, et il ce décida a se battre. Napoleon arriva à Borodino sur trois colonnes par des routes parallèles, après avoir reposer sa troupe deux jours et reçu le retour des 60 000H qu'il espérait voir rapidement revenir, d'ou cette halte inhabituelle. Mais pour protéger son ravitaillement jusqu'a Smolensk, occupé par 3 000H pris sur les 15 000 Polonais du camp retranché, il fut obliger de laisser une a deux brigade, totalisant aux maximum: 5 000 H a chaque étapes de quarante kilomètres, pour faciliter la marche du ravitaillement et la protéger des cosaques. De sorte que sur près de 350 kilomètres, de Smolensk à l'arrivée sur Borodino, près de 50 000H pris sur l''armée étaient employé a la tache de protection de la ligne d'opération comme du ravitaillement, ( et établit en fortin ( authentique )faisant qu'a l'arrivée au futur champ de bataille, Napoleon ne disposait après les pertes que de 225 000H sur les 330 000H au départ de la campagne. Deux heures après, l'armée arriva devant Borodino le 17 aout 1813, et fit ses dispositions pour ce préparer au combat. Une journée passa, sans que rien ne bougea, conscient tous que l'avenir du monde ce jouait ici.
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L'hiver Russe : L'hiver passa, Koutouzov, refroidit par la lourde défaite de Vitebsk, ( et le souvenir de Beningsen à Eylau en février 1807, ) refusa d'attaquer le camp retranché Français devant ce que lui proposaient certains de ses généraux, faisant valoir la supèriorité des hommes du nord contre ceux du sud, en plein hiver Russe. Les renseignements lui avaient fourni quelques précisions sur ce camp, inattaquable de face, ou un vaste lac l'en protégeait, ne laissant qu'un étroit passage, insuffisant pour attaquer, et des retranchements et fossés a la romaine, entourant le camp, malgré un hiver exceptionnellement froid, bénéficiait toujours du ravitaillement, n'empechant pas les français de bien le défendre. Donc, malgré ce froid, ou les troupes Russes souffraient aussi, et obligé de s'étendre pour leur quartier d'hiver dans les localités autour de Vélikié Lukie, Koutouzov choisi d'attendre que de nouvelles forces ce lèvent, espérant barrer le chemin de Moscou si les Français l'attaque, en ajoutant les siennes, ou bien porter ailleurs ses coups, selon que les Français auront amené de forces nouvelles. Ce froid exceptionnel s'arréta en début janvier pour reprendre des températures plus conforme a la saison repassant vers moins 8°, au lieu des moins 30° pendant 2 jours, les deux camps, proches des forets purent réchauffer leurs camps, malgré la présence de cosaques coté Français, étant a l'abri grace a des troupes qui veillaient. Ainsi, l'hécatombe parmi la troupe et les chevaux fut évité pour chaque camps, a l'abri et mangeant à leur faim. Seul les chevaux assurant le ravitaillement eurent a en souffrir, 10 000 chevaux périrent, mais c'était insuffisant pour porter un coup sèrieux a la troupe qui disposait d'un grand dépot de ravitaillement préparer depuis plusieurs mois, pour hommes et chevaux, sachant qu'elle deviendrait une future base d'opération et tenant compte des difficultés rencontrés en début de campagne. L'Autriche assurait son propre ravitaillement, et la Prusse aussi, qui dépendait de leur pays. Le printemps arriva, et avec lui, nombre de contingents Français, ( 200 000H partie d'Espagne ) ou en tout début mai, tous avaient pris leurs postes, près pour les futures opérations. De meme les Russes avaient levés de nouvelles milices, regroupées autour de Moscou, près de 150 000H, a peu près autant que l'année passé.
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Les choix politiques qui ce présente, et la préparation de la poursuite de la campagne : L'abandon de l'Espagne portait un coup supplémentaire au blocus continental instauré par Napoleon, ou ici, on ce trouve a la croisée des chemins ou deux choix politique pouvaient changer la face du monde. Soit, on revenait a l'ancienne politique, en abandonnant la poursuite de la campagne de Russie puisque l'étanchéité du Blocus Continental n'est plus assuré, en ce contentant de dominer l'Europe comme par le passé, mais ne réglant rien du problème Anglais et entrainant des guerres mais ce contentant de ce que l'on avait, sans assurer l'avenir de la France, et en ouvrant une brèche supplémentaire dans le blocus Continental, on renforce l'économie Anglaise et encourage sa volonté politique a poursuivre dans cette voie, ou il faut espérer qu'un changement politique ce fasse en notre faveur pour trouver une solution seulement temporaire, espoir bien mince, comme cela a faillit ce faire en 1806, avec les problèmes économique au niveaux européen du Blocus qui s'aggrave. Soit on continue dans cette gigantesque entreprise ou ce joue le sort de la France et de l'Europe, pour mettre ensuite l'Espagne au pas, en signant un traité économique pour le faire rentrer a nouveau dans le Blocus Continental, jusqu'a que l'Angleterre abandonne si l'on ne trouve pas d'autres solutions pour régler le problème économique. L'Angleterre ayant perdu son armée principale, aucun secours ne parviendrais à l'Espagne, de plus, si un traité d'alliance parvenait a lier le Tzar Alexandre remit au pas et revenu a de meilleurs sentiments, ou un Tzar Francophile, avec l'Espagne et la France dans une expédition militaire aux Indes, de 50 000H chacune et ce partageant de manière égale cette colonie et ses ressources, certainement Ferdinand VII n'y serait pas insensible et trouverait des compensations plus qu'intéressante, et lui ouvrirait la voie a d'autres marchés. L'expédition ce ferait par terre afin d'assurer la réussite de l'opération. ( Déja prévu secrètement au traité d'alliance de Tilsit en 1807 avec les Russes.) (Authentique ) Il serait difficile pour l'Espagne de refuser une telle proposition avec tous les avantages économique qui en découleraient. Autrement la solution militaire s'imposerait, mais il est douteux que devant cet appat on en vienne a une telle extrémité, sachant que cette fois, avec Napoleon en personne, l'Espagne malgré la guérilla et sans aide militaire, succomberait. Aussi, la réussite de la campagne de Russie, la perte de l'armée Anglaise en Espagne, la prise des Indes permettant de ce passer en partie du commerce Anglais, rendrait inutile la continuation du Blocus Continental et permettrait un nouveau souffle économique Européen qui en souffre. La Russie redevenue allié, désormais libre de commercer avec l'Angleterre, devenue impuissante militairement sur terre, la domination sur l'Europe par Napoleon, sa victoire sur la Russie faisant plier les volontés bellicistes, le commerce redevenue normal grace a la prise de l'Inde changeant la donne économique ; la paix sur le continent pourrait s'installer pour longtemps. Voila les choix qui ce présente, et l'Empereur a choisi la poursuite des opérations dans le but d'assurer l'avenir de la France, que des paix temporaires qui n'étaient que des armistices pour repartir aux combats après avoir refait ses forces. Ceci fait, les problèmes économiques avec les deux crises agricole de 1810 et 1811 du au climat extrème de froid et de chaleur, suivit d'une remontée agricole en 1812 limitait les possibilités de ravitaillement, ce révélant insuffisant pour une nouvelle grande levée de troupes, et ce n'est pas les pays "alliés" déja chargés de contributions de guerres, et d'impots qui pouvaient venir en aide. ( Authentique pour les crises agricoles et les problèmes économiques. ) La solution intermédiaire consistait à prélever seulement 200 000H sur les 260 000H des troupes a évacuer encore d'Espagne, les envoyer en Allemagne séjourner jusqu'en mars, en laisser 60 000H en réserve, et nourrit par la multitude des états plutot que de le faire supporter par la France, faire partir le gros des forces en fin mars, ou en un mois ils pourraient atteindre jusqu'a Vistesk, pour démarrer une nouvelle campagne. Ainsi, les bras des paysans ne manqueront pas et pourraient relever le niveau des récoltes si le climat reste stable, tant nécéssaire a la poursuite de cette campagne, ou le sol pauvre de la Russie ne permet pas aux armées de vivre sur le pays. Ainsi fut décider la nouvelle préparation de la campagne.
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La fin de la guerre d'Espagne : Dès avant l'attaque de Burgos par Wellington, les maréchaux avaient pris connaissance des intentions de Napoleon, de réunir leurs forces contre Wellington, et en finir avec l'Espagne en faisant la paix, et en réintégrant Ferdinand VII sur le trone ou il n'avait régné que deux mois. Les Anglais battu, et rejetés d'Espagne, la paix devrait suivre, d'ou la hate de l'Empereur d'en finir une bonne fois avec ce pays qui engloutissait ses ressources sans obtenir de résultats. Wellington, ignorant ce changement de politique envers l'Espagne, partit vers Burgos après avoir prit Madrid, attaqua sa forteresse ou il fit le siège du 18 septembre au 22 octobre 1812, sans parvenir a la prendre, et prit la décision de retraiter quand il apprit l'arrivée de renforts Français. ( Wikipédia pour L'affaire de Burgos et sa retraite ) Ce fut sa dernière offensive. Soult, désormais dégagé de la nécéssité de controler l'Andalousie, saisit l'occasion d'attaquer la base de Wellington avec 37 000H, à Lisbonne, ou la ligne de Torres Vedras qui en défend le passage, trop faiblement tenu, ne pourra résister sans l'armée principale ennemie allant à Burgos, et coupera du meme coup le ravitaillement principal des Anglais, forcés de retraiter, mais trop tard pour sauver leur base d'opération et arriver a temps. Soult réussi son opération, mais la difficulté du ravitaillement sur tout son parcours jusqu'à Lisbonne, n'avait pas rendu la tache facile. Entretemps, Wellington, retraitant et poursuivit depuis Burgos par Joseph, nommé généralissime des armées ( historique ) avec la réunion de Marmont, Suchet ( d'Aragon,) et des troupes de Madrid, formant une armée de 72 000H, le poursuivirent jusqu'a Salamanque, ou les anglais apprirent la prise de la ligne de Torres Vedras et de Lisbonne, condamnant la campagne de Wellington, et ou le manque de ravitaillement, déja difficile n'arrivait plus. Sa seule ressource, retraiter sur le port d' Aveiro ou il arrivera le 7 novembre pour échapper aux Français qui le suivent, mais perdant presque toute l'armée Anglaise faute de navires suffisant pour embarquer, et revient en Angleterre avec seulement quelques centaines d'hommes. Les français arrivant sur leurs talons, virent le drapeau blanc dressé dans le camp Anglais restés de force sur le continent, et n'ayant pu appareiller. Les Portugais c'étaient enfuie, laissant environ 25 000 Anglais a la merci de leurs vainqueur, affamés et épuisé. ( Pourquoi le port d'Aveiro qu'Opporto ? parce que Wellington, serré de près par les Français n'apprit qu'au retour à Salamanque la nouvelle de la prise de Lisbonne par Soult, et que traverser la rivière Douro lui aurait fait perdre plus de cinq heures, avec ses troupes épuisé et affamées, il aurait du inévitablement engager le combat faute de temps pour réaliser toute son opération, avec des pertes considérables du a l'épuisement de l'armée et du manque de nouriture que cela n'en valait pas la peine, et les troupes en avaient assez.) ( Il faut savoir que l'Angleterre comptait beaucoup sur les alliés pour renforcer sa faible armée, de sorte que l'armée en 1812, incorporait deux brigades Anglaises pour une brigade Portugaise dans une division. ) ( Historique ) Malgré l'alliance avec l'Espagne et la promesse d'etre soutenu en ravitaillement, les Espagnols les aidaient a peine. ( Historique ) Durant cette poursuite, Joseph donna des ordres par ses messagers a d'autres unités éloignés de lui, combattant la guérilla, pour ce charger de protéger la route du ravitaillement ou toute l'opération en dépendait. Ainsi fini la campagne d'Espagne, ou l'Angleterre ne s'aventura plus en Espagne. La politique prit le relais avec l'arrivée de Napoleon à Paris le 18 novembre. Il fit le nécessaire pour que Ferdinand VII revint sur le trone, lui abandonna la province de Catalogne devenu département Français, et retira toutes ses troupes sous la promesse de ne pas n'intervenir contre la France. Ferdinand, sans soutient Anglais, signa l'accord et respecta son traité. L'Espagne sera libéré de la présence étrangère, cela lui suffit. Ainsi, 250 000 Français prirent le chemin de la France, et du Rhin, pour l'Allemagne... Seul, le Portugal dut subir la présence Française pour quelque temps avec 40 000H, tenant Lisbonne jusqu'a la ligne de Torres Vedras, infranchissable devant leurs faibles moyens, afin de ne pas encourager les Anglais a y débarquer un jour des troupes étrangères, et voir le risque de retourner le Portugal et l'Espagne contre la France. ( Des milliers de Français continuèrent d'occuper le Portugal jusqu'en 1821, ou ils furent définitivement chassés malgré la chute de Napoleon en 1815. Historique ) Edit : Pourquoi cette stratégie n'a t'elle pas été employée avant quand Wellington s'avançait ? Pour deux raisons : La premiere, fut la nécéssité de la conquète de l'Espagne, lacher un morceau, c'etait devoir le payer cher pour le reprendre. La seconde, c'est qu'il n'y avait pas d'unité d'action pour déterminer les priorités. Chacun jouait pour soi. La nouvelle politique de Napoleon libérait les maréchaux de cette contrainte de la conquète et permettait la liberté de manoeuvre. C'est ainsi que Soult a pu quitter l'Andalousie pour attaquer Lisbonne.
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Espagne : ( Historique ) Wellington reprend l'offensive au début 1812, il se juge en effet capable de battre l'armée du Portugal si celle ci ne reçoit pas de renfort et compte que cette victoire lui ouvrira la route de la capitale, voire qu'elle entrainera l'évacuation d'une bonne partie de la péninsule par les Français. Il considère aussi que si ces derniers, conscient du danger, choisissent au contraire de renforcer Marmont, il ne pourront le faire qu'en affaiblissant l'armée du sud, commandé par Soult. Celui ci aura alors du mal a empècher que la Junte de Cadix ne reprenne le controle du sud de l'Espagne jusqu'au Tage. La bataille des Arapiles ou Salamanque ce déroulant le 22 juillet 1812 est une défaite de Marmont a la suite de graves fautes personnelle, mais dont les manoeuvres brillantes au départ poussait Wellington a la retraite, ce terminant par la victoire pour lui. Marmont ( bléssé ), retraitant vers Burgos, Wellington ce dirige sur Madrid occupé par seulement 10 000H, qui retraite vers le nord sans attendre le combat, aussi, il poursuit sa route vers Burgos, ou il subit un échec sanglant face a la forteresse de la ville et retraite lorsque les renforts Français arrive... 1812 - Armée d’Espagne : armée du sud : 37 000H Soult. Armée du centre : 10 000H dont 2 500 Garde Armée du Portugal : 35 000H Marmont + 15 000H en renfort. Armée d'Aragon : 25 000H Suchet Armée du nord : 16 000H Caffarelli Armée de Catalogne : 28 000H Décaen Gouvernement de Navarre et Pampelune : 1 644H Gouvernement de Castille : 1342H Gouvernement de Biscaye : 9 431H Toute les troupes n'y sont pas représenté, car beaucoup sur les 300 000H lutte contre la guérilla. Uchronie : Voici la carte des opérations et l'emplacement a peu près des armées avant la bataille des Arapiles ( ou Salamanque ), ou Marmont ( Généralissime, pour peu de jours ) a réunit des forces qui monteront de 37 a 50 000H avant d'affronter Wellington.
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Le front sud, jusqu'en fin 1812 : Passons au front sud en revenant en arrière dans le temps, peu de chose a dire, sauf qu'une seule bataille sans conséquence a été engagé entre Schwarzenberg, Reynier contre Tormazov, qui c'est déroulé à Gorodechno le 12 aout 1812, engageant 40 000 Autrichiens et Saxons contre 18 000 Russes qui ont peu perdu, 3 000H contre 1 300 Autrichiens et 930 Saxons. Chacun revendiquant la victoire puisque chaque camp dormit pour la nuit sur le champ de bataille. ( Authentique ) Pour en savoir davantage vous avez le lien en Anglais : https://en.wikipedia.org/wiki/Battle_of_Gorodechno Sinon vous avez Google Translate pour traduire. ( tapez google translate pour l'avoir. ) Puis, jusqu'a la fin de 1812, il n'y eut plus de combat entre eux, on soupçonne un accord secret passé entre les Autrichiens et les Russes. ( Authentique ) Fin de la disgréssion. Après la bataille de Vitebsk du 10 novembre, Napoleon parti le 26 octobre, 14 jours avant et en moyenne faisant ses 70 a 80 Km par jours, voire bien plus, pour régler au plus vite les problèmes a venir et la création d'une armée, n'est plus loin de Berlin, ou il ne restera que deux jours pour raison politique, et continuera sa route vers la France et Paris, qu'il atteindra le 18 novembre, et s'attèlera immédiatement a sa tache après avoir rassuré ses ministres de la situation en Russie, et surtout, régler le problème Espagnol qui n'en finit pas, ou il pourra rapatrier 300 000 soldats de la péninsule Ibérique. ( Historiquement, il partit de Smorgoni le 5 décembre 1812 ( a 75 Km a droite de Vilnius ) et mit 13 jours pour atteindre Paris le 18 décembre a 23H 45.) ( Distance Smorgoni-Paris : 2 095 Km.) En attendant, la campagne de Russie est rentrer dans la pèriode d'hibernation, ou le problème de ravitaillement est le plus important qui ce pose.
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Les pertes et les raisons qui explique cette défaite Russe : Voici les explications et les résultats des pertes de la bataille ou celle des russes est particulièrement importante du fait des deux grandes batteries qui ont rapidement réduit au silence l'artillerie Russe, largement surclassé par le nombre, et dont les troupes ont fait les frais durant le reste de la journée, mais obligé de rester sur le plateau. ( Souvenons nous de la grande batterie de Wagram de 102 canons, étendu sur 1400 M, qui a rapidement détruit le centre Autrichien et permis de l'enfoncer avec la colonne de MacDonald. ) Donc, de gauche a droite, voici les pertes Russes et Françaises avec leurs explications : Les Russes ( milices ) affrontant les 8 500H du corps Français, plus expérimentés aux combat et rechargeant plus vite, explique la raison des 2000 morts Russes, contre 1000 des Français chargé de la garde du pont avec leurs artillerie elle aussi plus expérimenté, ont nettement fait la différence. La troupe Russe en arrière de 2000H, est en recueil, au cas ou les Français s'aviserait de traverser le pont et réussiraient, pour empécher une probable panique de s'installer et causer un désastre. De meme, une protection nécéssaire de 1000H au pont de Vitebsk prélever sur les 10 000H. Face a la Garde Russe et aux troupes installées sur le plateau, face à la grande batterie dont ne s'attendait pas Koutouzov, qui avait décider de prendre Vitebsk et comptait arriver bien avant les Français, en concentrant ses forces et ses meilleures troupes avec Wittgenstein, alors initialement destinés a sa gauche pour tourner la petite garnison de 10 000H et la faire entièrement prisonnière, ignorant avec précision l'état du terrain comme vous le voyez sur la carte, amena ses meilleures troupes vers Vitebsk, sur le plateau dégagé, pour protéger sa ligne de retraite, et n'espérait qu'un combat a peu près égal au niveau de l'artillerie pour la journée, et comptait ensuite sur sa superiorité numérique pour tourner les Français, a défaut d'avoir la qualité, pour vaincre. Koutouzov ne pouvait voir le terrain des français qu'a partir de la hauteur de sa Garde, soit a pret de 1500 mètres, et ils étaient assez aisés pour les français de dissimuler d'abord les deux grandes batteries derrière des arbres et la troupe, de sorte, que lorsque les Russes prirent définitivement position, ils eurent la désagréable surprise de voir arriver ces grandes batteries, s'installer et faire feux a une grande cadence, deux fois plus rapidement qu'un artilleur ordinaire, comme ce fut le cas à Wagram, ce révélant rapidement dévastateur, ici aussi. Et comme Koutouzov ne voulait pas céder sans avoir tenter son attaque sur l'aile droite des Français, ( qui s'y attendaient et étant prévisible ) que ne voyant pas le corps de Ney qu'une avancée de la foret dissimulait, de meme pour la Vieille Garde, dont il estimait les Français a environ 110 000H, et voulant apporter au Tzar de bonnes nouvelles, il résolu de continuer la bataille jusqu'à la victoire qu'il croyait certaine, et infliger un sérieux coup au Français, ou leur campagne meme pouvait etre compromise, et la poursuite qui ce serait inévitablement engagé leurs auraient fait perdre peut etre jusqu'à vingt a vingt mille hommes, ou la moitié de leur armée pouvait etre menacé d'etre pris a revers, entrainant une retraite précipité. C'est pour cela, que les deux grandes batteries purent infliger a l'aile et au centre Russe, autant de morts et de blessés, ou le tir direct des pièces de huit, ( sans compter celles des divisions,) portait a 800 M, et en portée maximale, 1 500 M, ou les rebonds sur le terrain portait loin et traversait les deux lignes des Russes exposés a ces tirs, ainsi que les troupes situées en arrière, dont la Garde Russe. C'est ce qui expliquera une telle différence entre les 3 500 morts des Français et les 18 000 Morts des Russes sur cette partie du front, d'autant que le terrain surplombe celui des Russes de quinze à vingt mètres, les mettant a l'abri des tir d'artillerie Russes obligé de tirer au hasard. A l'extrème droite, ou les deux corps Russes, ( milices ) attaquèrent la bonne position surplombant nettement les ennemis et assez pentu, les Français recevant le renfort de 6 000H, ou là encore jouèrent la longue expèrience des soldats, sur la cadence et la précision de leurs tir entre autres, les Russes eurent plus de pertes. Il faut en général pour emporter une position élevé, une proportion de troupe de trois contre un, elle n'y sont pas, c'est seulement pour fixer les Français afin que la diversion puisse etre accomplit sans etre génée, qu'ils ont attaqués. Mais ceci a un prix, et l'inexperience ce paye face a des troupes aguerries occupant de surcroit une bonne position surélevé et pentu. Voila pourquoi, j'estime les pertes Russes a 4 000H et celles des Français, pourtant en faible inferiorité numérique, a 3 000H. Pour la diversion, les reconnaissances permettant de connaitre l'attaque a temps, les Français ce sont déployés et attendent fermement leurs adversaires, a l'abri derrière la protection des arbres. L'ennemi arrive vers 2 heures, ayant au maximum cinq kms a parcourir pour les troupes les plus éloignées qu'ils faut rassembler, dont la traversée de trois Kms de foret, heureusement pas trop dense pour le permettre, et devant cette mauvaise surprise, poussé par leurs chefs sous estimant encore leurs nombres, lancent des attaquent pour percer, occasionnant des pertes, mais finalement doivent ce rendre a l'évidence vers la fin de la journée qu'ils ne pourront réussir, et commandent la retraite sans que les Français ne les poursuivent longtemps. Voila pourquoi, j'estime devant le nombre engagé, la poursuite des combats et les attaquent, les découvrant, et en tant que milices, a 7 000 morts les Russes, et 2 500 morts les Francais. Ce qui monte les pertes Russes à 33 000H et celles des Français a 10 300H. Pour ce qui est des prisonniers, les Français en perdront 500, du fait surtout de leurs blessures, mais celles des Russes coutera nettement plus cher, a cause des grandes batteries qui obligeront les Russes a abandonner leurs nombreux blessés grave, qui constitueront la trés grande majorité des prisonniers, que j'estime a 12 000H. Je me base sur les effets de la grande batterie a Wagram qui a rendu le centre Autrichien intenable et causer beaucoup de pertes, obligeant l'Archiduc Charles a ordonner la retraite. Ce dont Koutouzov, espérant un resultat trés important ne pouvait qu'attendre avant d'avoir des nouvelles de la réussite ou non de sa diversion. ( S'il l'avait retraité trop tot, il condamnait son aile droite déja engagé.) Apprenant son échec, il pris la retraite sur la meme route qu'a l'arrivé, Suraz. Arrivé à Suraz, un jour après, campant pour la nuit du 9 au 10, il eut le toupet d'écrire une lettre au Tzar, ou il lui annonçait sa "victoire" sur les Français, en diminuant largement ses propres pertes et augmentant largement celles des Français, mais expliquant que le terrain ne permettait pas d'engager la poursuite. ( Comme il l'a fait à la Moskowa, de meme Bennigsen à Eylau en février 1807. ) Le Tzar le récompensera en apprenant la nouvelle, mais connaissant plus tard la vérité, n'osa la lui retirer. ( Authentique après sa "victoire" de la Moskowa. ) Les Français voyait leur armée réduite a 139 000H, mais pour les Russes, de 177 000H a 132 000H dans la bataille. Le manque d'information précise du terrain que ne pouvait fournir les cartes de l'époque pour les hauteurs, s'avérant primordial ici, et de l'arrivée à temps de Davout qu'il comptait voir arriver en fin de la journée du 9 novembre, fut un désastre. Puis, arrivé à Suraz, Koutouzov ce résolut a prendre la route de St Pétersbourg comme prévu, en s'installant à Vélikié-Luki rejoindre les 5 000H, le 18 novembre pour l'hiver, d'ou il pouvait prendre de là de flanc les Français, s'ils tentaient une avance vers le nord ou vers Moscou. Simple précaution stratégique, étant donné que la saison était assez avancé, et que la neige commençait a tomber. Total des Russes au nord a cette date du 18 novembre : 143 000H, dont 5 000H à Smolensk. Total des Français : 77 000H sur la Dwina. 130 000H au camp retranché de Vitebsk, plus les 8 000H de la garnison de Smolensk, occupant déja le camps. 70 000H au sud : Schwarzenberg et Reynier, face à Tormasov avec 60 000H plus 25 000H de la milices qui arrivent. ( Il neige en moyenne 13 jours en novembre. ) Les 10 000H venus de Polotsk, regagnèrent leur base, réduit a 9 000H. MacDonald repris sa place avec ses 18 000H à Glubokoé, et Davout avec 138 000H le camp retranché de Vitebsk, avec toujours des reconnaissances profonde pour ce prévenir à nouveau d'une attaque possible sur cette ville, et du coté de Smolensk, les Russes aimant profiter du froid comme à Eylau, face a des latins vivant dans des climats plus chaud.