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Lathan

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Tout ce qui a été posté par Lathan

  1. La bataille de Vitebsk : A l'époque, les cartes ne donnaient pas la hauteur du terrain, ce qui fait que dans mes recherches, j'ai découvert une différence notable du niveau du terrain entre l'un et l'autre camp, de 15 a 20 mètres, désavantageant Koutouzov sur toute la plaine occupés par les Français en façade, pour l'artillerie, ou il ne peuvent tirer directement sur les troupes, seulement au hasard et en tirant vers le haut, sauf le terrain qu'occupe la Garde Russe et les deux unités a ces cotés qui peuvent voir et tirer directement sur les troupes, mais a la limite de leur tir au canons. Ce qui a surpris Koutouzov quand il c'est aperçu trop tard de ce problème. La carte représente a peu près l'exacte position et proportion des troupes, ce qui est le plus important, que les adversaires auraient pu prendre avec le nombre total correspondant a chaque armée. donc, ce n'est pas du hasard. ( Pour simplifier, j'ai rangé sur six rangs tous les corps d'armées et la distance qu'ils occupent est pris en compte. ) Pour le terrain : Une rivière large de plus de quinze mètres par endroit, sépare les deux camps, trés encaissé, d'environ 20 mètres vers le terrain allant vers la ville, ayant des pentes courtes assez abruptes de chaque bord qui provoquerais un échec certain pour qui voudrait le traverser de force sur plus ou moins toute la longueur du front tenu par les Français, ce qui permet d'avoir une ligne moins forte que celles des Russes, et dégager des réserves pour sa droite, ou il y avait la possiblité d'attaquer en tournant leur flanc comme nous le verrons. Les Français ont un net avantage pour trois raisons. 1. La valeur des troupes. Toutes sont expérimentés, sans compter les unités vétérante et la Garde, jugé invincible, quand Koutouzov, il n'a presque que des milices inexpérimentés, à par de rare unités de Wittgenstein, environ 10 000H, et un petit corps d'élite composé de grenadiers qui n'avaient pu prendre part aux combats en début de campagne. 2. L'avantage du terrain surplombant dans l'ensemble et nettement le terrain des russes sur sa partie dégagé, et permettant au Français de tirer directement sur les unités Russes avec a l'artillerie. 3. Une forte supèriorité en artillerie, ou Davout a amener en suplément de l'armée, 150 canons prélevé du camp retranché en prévision du futur combat, et ou le terrain qu'il occupe va lui permettre de tirer le meilleur parti du fait qu'il ne sera pas inquiété par l'artillerie des Russes dont le terrain surplombe tellement celle de l'ennemi qu'il ne peut etre contre-battu par leurs tir, sauf au niveau du terrain de la Garde Russe. C'est pourquoi Davout a installé une très forte batterie ( en marron ) pour détruire rapidement la leur, et tirer sur leur troupes ou le terrain n'offre pas d'abri. Voir la carte. De l'emplacement de cette grande batterie, Davout peut tirer sur l'adversaire s'il voudrait passer le pont, et concentrer les feux dessus, que tenter ce passage couterais trop cher aux Russes, ceci pour limiter le danger que leur manoeuvre qui pourraient occasionner et renforçant nettement les 10 000 Russes sur la gauche du fleuve et tenter d'enfoncer ce passage. Mais la Garde veille. Une deuxième grande batterie moins importante que la première est placé plus à droite et profite lui aussi du terrain dégagé qu'occupent les Russes, pour briser leurs lignes, et les possibilités d'assauts direct si la folie les prennaient de le tenter. L'artillerie aurait alors la possibilité de tirer à mitraille sur tout ce qui pourraient déboucher sur notre terrain aprés avoir passé la rivière, avec beauicoup de difficulté et pour gravir la forte pente, seraient fauchés en un rien de temps sans pouvoir causer de dégat. Malgré tout, par mesure de précaution, Davout a installé des unités de cavalerie, placés derrière la troupe en cas d'avoir a les charger. Mais le terrain est si difficile à traverser avec cette riviere et ses pentes abruptes, que ce serait un suicide que de prendre cette décision, meme en désespoir de cause. C'est pourquoi Koutouzov, ne pouvant plus reculer, décida de la seule possibilité qu''une puissante attaque sur l'aile droite des Français soit lancée, ou devant cette possibilité, en prévision, Davout a fait placé au delà de leur droite, des groupes de reconnaissances, afin de pouvoir etre avertit a temps, et prendre les bonnes dispositions assez rapidement pour tenir le choc, car la riviere à partir de cet endroit en remontant vers la source est guéable. Pour information, à partir de la zone de l'attaque Russe, le terrain est bien moins pentu et abrupt, et plus égalisé en hauteur sur ses rives de part et d'autre de la rivière qui dès cet endroit est moins profond et moins large et rend possible une telle attaque. Du fait d'un terrain avantageux que les Français occupent, ils peuvent envoyer assez d'unités pour s'opposer a l'attaque, ayant meme une légère superiorité numérique leurs adversaires, ou la surprise n'a pas jouer comme le comptait Koutouvoz, pour acculer les Français pris de flanc et qu'ils auraient pu surprendre, et les repousser contre la Dwina aurait pu les amener a une lourde défaite, ou leur seul choix eut été d'abandonner leurs positions prise a revers immédiatement, entrainant devant leur fuite, l'attaque de nombre de corps Russes venus de leurs centre, dans la foulée, ou Davout aurait pu perdre beaucoup de monde Mais dans cette attaque de flanc, l'ennemi, de surcroit inèxpérimenté, mais comptant sur la surprise et le nombre, est largement dominent le combat ou les Francais les attendent une fois bien placé a l'abri derriere les arbres, tandis que les Russes, pour progrésser, pousser par leurs officiers prennent des risque en quittant leur abri, jusqu'au moment ou devant l'inutilité de leurs efforts, restent en défensivent. Tout ceci, sans avoir à faire donner la Garde. La défaite couteras cher aux Russes, subissant les feux des grandes batteries en particulier, et ou l'artillerie Russe n'a pu etre éfficace du fait du terrain qui les surplombent largement presque partout de quinze à vingt mètres, causant peu bien de morts chez les Français, puisque tirant au hasard. Koutouzov, apprenant finalement la défaite de son attaque, commanda le repli en fin de journée ou la pluie commença a tomber, génant la marche des Russes pendant leur Retraite en prenant a nouveau la route Suraz. ( En novembre, il pleut en moyenne 14 jours par mois. ) Davout ne l'inquiéta pas, sauf qu'il envoya des reconnaissances pour suivre le Russe. Car il aurait fallu les poursuivre à travers une foret ou de nombreux pièges peuvent etre posés, donc, c'est assez pour la journée. "La victoire nous à peu couter, mais les russes ont subit des pertes sévère. Maintenant, il faut penser a hiberner, tout en prenant les précautions d'usages, je ne pense pas que les Russes reprennent le combat aussitot." dit Davout a son état major. ( je tacherais d"évaluer les pertes de part et d'autres pour demain.) Voici la carte de la bataille ou 177 000 Russes et 150 000 Français ce combattent en ce 9 Novembre 1812. La carte représente des unités sur six rangs, on appelle cela l'ordre mince, qui privilégie le feux sur l'ordre profond, pour enfoncer la ligne mais ce fait au dépend du feux, ou il y a des discussions pour savoir quel ordre employer au 18e siecle. Dans le cas de cette bataille, avec un tel terrain défensif, ( voir google Earth ) le risque est si mince de voir l'ennemi percer qu'il n'y avait pas de problème à l'employer, d'autant que s'il le fallait, on pouvait donner aux bataillons ou a un niveau plus élevé, d'utiliser l'ordre profond là ou la nécéssité sans faisait sentir, sans remettre en question l'ensemble du front, ni le fragiliser.
  2. L'arrivée des armées amies et ennemies pour le combat à Vitebsk : Voici la carte des évènements ou les Russes partant de Smolensk, de la région de St Pétersbourg et de Bieloi, ce concentrent au nord de Vélig, arrivent à Suraz par le nord pour etre moins repérable jusqu'au dernier moment ou la cavalerie de reconnaissance Française veille au loin, près de la ville ( malgré le manque de pont qui traverse la Dvina à cet endroit, que les Russes devront supléer en le construisant avec des radeaux. ) J'ai fait marcher l'armée de Koutouzov partant de Smolensk, en deux colonnes, celle de droite, plus écarter, afin que l'ennemi ne puisse elle aussi la repérer. Sa peut marcher, c'est réalisable, et admettons que cela réussisse, déja qu'elles sont trés éloignés de l'ennemi. Les russes arrivent exprès vers le soir au 7 Nov afin de ne pas etre détectés trop tot par la cavalerie Française en reconnaissance, et sont dans le couloir d'une foret qui les aident a cacher le gros de leurs forces, c'est calculer, de sorte que les reconnaissances Françaises ne puissent le déterminer avec exactitude, et devront envoyer courrier sur courier a mesure de l'évolution de la situation, jusqu'à obtenir un tableau assez précis de l'armée Russe, et ne partiront, chassées, que lorsque les premieres troupes Russes traverseront la Dwina, large a cet endroit de 110 mètres. Puis, la construction des cinq ponts, jugé nécéssaire pour gagner du temps et ayant déja préparée un certain nombre de radeaux par les troupes du génie, commence, et le 8 Nov, les troupes traversent la Dwina par 5 colonnes de 33 000H, donnant pour chacune 3 H 30 de durée de passage pour chaque "ponts" avec plus ou moins de retard et à la concentration qu'il faut bien organiser des troupes, pour partir de manière ordonnée et précise pour gagner du temps, afin d'arriver à Vitebsk sur plusieurs colonnes et dont la droite ou sera le plus fort du combat sera constitué par le corps de Wittgenstein, troupes en partie expérimentés. ( Je me réfère à la durée du passage du pont, des troupes Françaises à Charleroi. ) 10 000 Russes descendent le long du fleuve pour fermer le passage du pont de Vitebsk, qui, si l'ennemi est victorieux, ne puisse l'emprunter, remonter le fleuve jusqu'à Suraz pour couper aux Russes cette route de retraite menant au nord pour protéger la route de St Pétersbourg, ou bien ils devront re-déscendre vers la route de Moscou en passant vers Smolensk. Les Français seront avertit de l'arrivée de Russes à Suraz à temps, et auront le temps d'amener meme les renforts du camps retranchés à Vitebsk pour le 9 Novembre, avant les Russes. Davout, et la réserve avec Oudinot arrivé le 7 Novembre, avaient déja préparés les ordres de départ grace à Berthier, ( un surdoué de la pensée Napoleonienne ) pour le cas ou les troupes devraient partir, soit vers Orcha, soit vers Vitebsk pour gagner du temps. J'ajoute que cent cinquante canons suplémentaire abandonnés en début de campagne puis récupérés, placés ensuite au camps retranchée, suivent l'armée de réserve. ( Météo : 2° au 9 Novembre 1812. conforme à la saison. ) Les dix milles ames de la population de Vitebsk à cette date, et le gouvernement de Vitebsk crée en 1802, vont avoir un réveil brutal pour la journée du 9 novembre. Voici la carte des opérations, du 28 octobre au 9 novembre 1812 : ( Texte légèrement modifié pour ajout de précision.) ( Si quelqu'un pouvait sauvegarder toutes ces cartes au fur et a mesure, les remettre dans cette uchronie, pour les garder des années au lieu de plusieurs mois seulement avec mon logiciel gratuit, je l'en remercie d'avance. ) Voici Vitebsk en 1885. En rouge, une estimation de la taille de la ville avec 5 fois moins d'étendue correspondant à 1812.
  3. L'offensive Russe en préparation : Un jour après le départ de Napoleon, le 27 Octobre Davout, dans l'après midi convoqua immédiatement l'état major et Murat, pour les mettre au courant de ses intentions, ce montrant d'accord avec Napoleon de ne pas s'engager dans de nouveaux combats pour sauver Smolensk de force, ayant sa vision personnelle de la situation, et du risque de réaction prochaine des Russes, proche, grace aux dernières informations d'espion reçu en fin de matinée qu'il leur délivra, il leur fit part de son intention de s'installer avec le gros des forces, prèt du camp retranché vers Vitebsk, en 2 temps. Entretemps, il s'installera a mi chemin, à 22 Km, suivant l'intention des russes grace aux reconnaissances, soit en regagnant le camp pour le défendre, ou bien Vitebsk s'ils veulent l'attaquer. Pourquoi ? parce que cette ville est une position clée et commande l'extrémité de l'aile pour qui la tient fermement, et des communications importantes, et par son rayonnement, peut intervenir rapidement sur les trois quart de sa circonférence, jusqu'a Orcha, en deux jours maximum. La perdre, c'est perdre le controle de la route qui longe la Dwina et menacerait nos trois positions du centre obligé de ce soutenir et d'utiliser la réserve de Mac Donald de 18 000H, si nous sommes fortement attaqué et perdions Vitebsk. Il fera rappeler immédiatement St Cyr à Orcha ( 13 000H ) au camp retranché et laissera les 500 Cavaliers à Mogilev en surveillance, dont 100 reviendront sur Orcha. Oudinot ( 20 000H ) sera avertit, et de Minsk, viendra rejoindre St Cyr dans dix a douze jours, soit au 6 ou 8 novembre, formera une masse de trente huit mille hommes a ce moment, situé a un jour de marche de Vitebsk et d'Orcha, plus les 8000H de Smolensk, si l'obligation de quitter cette forteresse s'impose. Les 15 000 polonais de milice qui doivent arriver à Minsk vers le 2 Novembre, y resteront en cas de coup dur, en recueil des forces en retraite si nous devions combattre et etre battu, car les informations donne une nette supériorité numérique aux Russes face a notre concentration qui ce prépare. Je doute, que l'intention des Russes soient d'attaquer la Dwina, c'est un fleuve large et bien défendu, surtout par la forteresse de Drissa et de Dunabourg, et les renforts de Moscou réunit certainement à celles de l'armée du nord n'arriverait pas si tot vers ce front. Mac Donald et ses 18 000H montera à Drissa, la garnison de Polotsk et ses 10 000H descendra renforcer Oudinot sous la Dwina et rejoindra notre camp en cinq jours environ, après etre avertit, soit le 2 novembre, totalisera 56 000H, qui pourront nous renforcer rapidement au besoin, et montera l'armée à plus de 150 000H réunit dans un court espace. Une question ce posa de la part de Ney, "pourquoi ne pas défendre Smolensk qui est une bonne base de défense et d'entrée vers Moscou ?" "Nos moyens sont limités, et l'hiver qui arrive vont ralentir nos opérations. Défendre Smolensk, c'est aussi devoir abandonner notre base d'opération en prenant un risque, meme pour peu de jours, et préter notre flanc à d'éventuels ennemis. C'est un risque que je ne veux pas courir. Donc, si nous perdons Smolensk, on le reprendra au printemps, en ayant répondu a toutes les sécurités avec les nouveaux renforts. Quand à l'hiver, les habitants natifs de la région sont formel, il peut neiger en début novembre et la température moyenne descendre à moins dix." ( Authentique ) Et les plus agés, ont connu un hiver particulièrement froid dépassant moins 30°. ( En 1956, il à fait moins 37,7° à Smolensk, et a en moyenne en février, 27 centimètres de neige. ) Donc, à moins de devoir ce battre pour écarter le danger, nous ne bougerons pas et attendrons l'ennemi, sauf pour défendre la ligne Vitebsk-Orcha, ou pour saisir une opportunité sans trop s'éloigner. Ney acquieça, de meme l'état-Major, content de ne pas avoir à prendre de risque superflus, et aux difficultés du ravitaillements du à l'hiver qui approche, malgré les 10 000H volontaires Polonais venus soutenir la logistique et construire nombres de fours à pain, sachant, que de la réussite de la campagne et de son échec, dépend la Pologne, ou tout peu arriver contre les Russes, et l'hiver son allié. ( On a bien vu Charles XII et son armée réduite à 19 000H à Poltava, sur les 30 000H au départ, qu'un terrible hiver a surpris eux aussi, et perdre la campagne. ) Pour terminer, il annonça que les centaines de canons avec leurs fourgons de munitions, abandonnés de force en début de campagne, faute de chevaux morts par milliers, sont récupérés dans l'ensemble grace a une navette continuelle qui a été faite, représentant environ 400 canons sur les 1397 au départ que nous disposions, totalisant maintenant 1250 canons après tous les combats. 150 canons sont à Vilna en réserve au cas ou l'ennemi pourrait percer un jour, et 250 au camp retranché de Vitebsk. L'entretient s'arreta là... Un jour après, Koutouzov ( 100 000H,) arriva le 28 octobre devant Smolensk avec une forte avant-garde, et s'aperçut, surpris, que les reconnaissances à cheval lui rapportèrent que la forteresse avait été abandonné. ( Le commandant de la place avait reçu les instructions de Napoleon depuis quelques temps, stipulant de quitter la place si d'importantes forces ennemies ne permettait pas de ce défendre avec ses propres moyens, et les reconnaissances l'avaient avertit a temps un jour plus tot, que d'importantes forces ce dirigeait sur Smolensk qui rendait la forteresse indéfendable. Il s'attela a quitter la place aussitot, et pu gagner un jour d'avance sur l'ennemi. ) Koutouzov, surpris de l'abandon d'une place aussi importante, en déduisit que les Français n'avaient plus les moyens nécéssaire de la garder et la défendre. Il devait donc s'etre retiré probablement tous, aux environs de Vitebsk, dans le camp retranché. Ce qui rendait son plan initial, caduc. Aussi, il prit une décision audacieuse, basé sur le fait de sa supériorité numérique globale qu'il veut exploiter, malgré la faiblesse de l'armée inexpérimentée et des divisions constater par les cosaques, de l'armée Française étendu jusqu'a Orcha, en prenant partie de ce ce réunir à Wittgenstein, déja probablement vers Vélij, à plus de 70 Km de Vitebsk, ou nous le rejoindront dans 4 jours, soit le 1er novembre, ou il faudra encore attendre les renforts envoyé par Viazma deux à trois jours, au pire le 5 novembre, le renforcer, et de là, attaquer Vitebsk avec 172 000H, en laissant à Smolensk, 5000H. La prise de Vitebsk, permettrait de pouvoir reprendre le controle le long de la Dwina en controlant ses communications, et menacer directement le camp retranché, laissant les Français dans une position fragilisée, et ou l'hiver nous avantage. Ainsi fut fait, les Russes ce rassemblèrent à Végij, et ce préparent au combat. S'ils échouaient, car la guerre n'est pas une science exacte, ils tiendraient Vélikié-Lukie, en protégeant la route vers St Pétersbourg, ou loge le Tzar. Suite...
  4. ( Vous pouvez agrandir les images en cliquant dessus. ) St Cyr, occupa Orcha dont il en fit un camp retranché à partir du 4 octobre, et envoya 500 cavaliers à Mogilev qui y arrivèrent le 8 octobre, pour surveiller la région et de possibles surprises Russes, afin d'avoir le temps de ce préparer a toute éventualité, étant donné que cela aurait pu rapidement menacer la base de Vitebsk. Oudinot partit le 1er octobre, ou il atteindrait Bobruisk au 10 octobre en prenant un peu de temps, pour faire le siège de cette forteresse, afin de controler le centre du dispositif Français comme prévu. Varsovie reçu les messages de Napoleon plus tard, pour que les troupes aillent occuper les positions prévu, laissant 65 000H de la Milice pour les rassurer autour de leur capitale. Entretemps, la question du soulèvement des serfs Russes ce posa. L'espoir de la liberté apporter par la présence des Français avait soulevé une partie de la paysannerie contre la noblesse. Celle ci, déçu de ne pas etre soutenu, retourna son hostilté contre les Français. Napoleon, qui répondit aux interrogations de ses maréchaux sur ce sujet, qui aurait pu soutenir l'armée Française et abattre la monarchie, s'expliqua a peu près en ces termes. "On ce sait jusqu'ou pourrait s'étendre la révolte, incontrolable, ni combien, peut etre un million..., ni combien d'années, et peut etre importer leur révolte en Europe...c'est un risque que je ne veux pas courir." ( Historique ) A Moscou, les troupes étaient enfin prete, vers la mi octobre, et Koutouzov leurs avaient données a toutes, comme destination, Viazma, ou elle ce réunirent le 22 octobre, et arrivèrent le 25 octobre à Dorogubuj et le 28 en face de Smolensk avec 100 000H. Koutouzov modifia légèrement son plan, ce garda 100 000H sous la main, et envoya les 37 000H qu'il lui restaient à Bieloi, dès leur arrivé à Viazma, au nord de cette ville, renforcer Wittgenstein dont les troupes monteraient a 77 000H pour son action directe pour mieux forcer les chances de vaincre. Je n'oublie pas les 5 000H suplémentaire qui devront de Sébej, ( face à Drissa ) faire leurs démonstrations. C'était plus tardif qu'il l'avait prévu, mais l'éssentiel était d'etre là. Et le froid commençait a ce faire légèrement sentir, et Koutouzov espérait l'utiliser a son avantage dans des jours plus froids. Son armée avait le grave inconvénient, en dehors d'une division de cavalerie lourde vétérante, d'etre constitué que nouvelles recrues inexpérimentés, de sorte que Koutouzov préférait éviter la bataille face a des troupes Française, bien expérimenté. Aussi, son refus de la bataille directe s'expliquerait, et le choix ( calculé ) de sa retraite au regard d'un ennemi conscient de ce problème d'infèriorité des Russes, avertit par leurs officiers, et désireux de ce battre, pourrait les attirer dans son piège. C'est pourquoi il avait imaginé tout ce plan en prenant le moins de risque possible. A cette date, au 28 octobre, Schwarzenberg et Reynier avaient déja reçu les 20 000 miliciens Polonais, montant leur armée à 70 000H. Oudinot avait fait son devoir, prit Bobruisk, perdu 1000H, envoyé 200 cavaliers à Rogatchev en surveillance de la région, et avait regagné Minsk, et dans 4 a 5 jour, début novembre, 15 000 miliciens Polonais le rejoindrait. Napoleon c'était préparé à partir le 26 octobre pour la France, et comptait revenir en avril 1813 avec une nouvelle armée. Il comptait de France, régler politiquement les problèmes de l'Espagne, si la solution militaire n'aboutissait pas, a cause de l'appui Anglais et de la ligne de Torrès Védras inexpugnable, pouvait faire obstacle a la paix, et mettre Ferdinand de force aux besoin sur le trone Espagnol, qui avait une bonne opinion de la France grace aux bons soins de Talleyrand pendant son séjours au pays. Il y avait l'espoir d'en finir, de ramener les 300 000H d'Espagne en France, pour remplir les desseins que l'Empereur c'était fixé pour 1813.
  5. Mauvaise manipulation, le texte c'est éffacé. Et éditer n'apparaisait plus. Aussi revoici le message ici : Retour à Vitebsk : Suite aux opérations et à son retour au 30 septembre avec l'armée réduite à 120 000H, au camp de Vitebsk, Napoleon s'accorda encore un délai d'un mois en cas de réaction ennemi, avant de devoir reprendre la route de la France, créer une nouvelle armée, Ce dont il fit connaitre immédiatement ces intentions, et celles qu'il avaient prises, à ses maréchaux. Il nommera Murat, chef des armées jusqu'a son retour, puisqu'il porte le titre de Roi de Naples, et sera secondé par Davout sur le plan militaire ou il aura le dernier mot sur cette question, étant le plus capable d'entre tous de mener la stratégie. Ensuite, il donna l'ordre à Oudinot, avec son 3eme corps de 20 000H, d'aller prendre la forteresse de Bobruisk sur la Bérézina occupé par 2000 Russes, que surveille les 5 000H de Reynier, situé 235 Kms plus au sud, afin de fermer "la porte" vers la route de Kiev, en en prenant le controle. St Cyr, du 6eme corps, avec ses 13 000H s'établira à Orcha en force à 70 Kms au sud de Vitebsk, et enverra un détachement de 500 cavaliers pour la surveillance à Mogilev, situé à 140 Kms plus bas. Orcha sera lui aussi transformé en camp retranché. Bobruisk, pris, Oudinot laissera une garnison de 2000H et enverra un détachement de 200 cavaliers à Rogatchev situé a droite, en face, et s'installera à Minsk avec le reste de ses troupes, afin de constituer une réserve qui surveillera la région centre de toute incursion possible de l'ennemi, avec Macdonald revenu de Riga, qu'occupent maintenant les 20 000 Prussiens de Yorck. Il y recevra un renforts de 15 000 polonais que j'estime, arrivera début novembre. Ainsi le front centre sera tenu, et surveillé. Au nord, Macdonald avec 18 000H arrivé le 22 septembre à Glubokoé est en réserve. Tout ceci avec Macdonald, constituera une réserve de 50 000H avec Oudinot et les Polonais, pret a ce soutenir s'il le faut contre d'éventuels ennemis qui voudraient percer au nord particulierement ou au centre en passant Par Rogatchev, par surprise, avec une partie de l'armée Russe, et pourra intervenir et renforcer le camp retranché de Vitebsk s'il nécéssite de l'aide. Puis, il donne ce conseil a ses maréchaux, que si l'ennemi s'avance toutes forces réunie sur Smolensk, de ramener au besoin les 8 000H qui l'occupe, si l'on voit que ne peut défendre la place avec certitude, et de s'appuyer sur le camp de Vitebsk et à Orcha, pour arréter l'ennemi sur cette ligne qui présente une meilleure défense sur un front étroit, plutot que de courir les chances d'une bataille en dehors de ces positions et en pretant le flanc a de possibles surprises. Voila pour l'heure, les instructions à venir. A St Pétersbourg, après l'annonce de la nouvelle de la défaite de Pskov, et de la crainte de voir Napoleon s'avancer sur la capitale, le Tzar nomma Koutouzov, déja pressenti à la cours, général en chef des armées, et mi fin aux rivalités des généraux pour succéder à Bagration et Barclay de Tolly battus à Vitebsk et faits prisonniers, et le chargea d'accélérer la formation d'unités en cours, et le dépecha à Moscou en priorité, avec pour objectif de reprendre le combat au plus tot, et de protéger cette ville Sainte consideré comme sacré, sans perdre l'armée. Bon vivant, et aimant boire, il s'attarda un peu sur son parcours, et n'arriva à Moscou que le 25 septembre, en passant par Borodino. De là, il convoqua tous les commandants des divisions et leurs donna toutes les instructions nécessaires pour renforcer encore les unités toujours en formation, celles de Kaluga seulement, les autres étant former, et donna les grandes lignes de sa stratégie à un groupe restreint d'officiers qu'il jugeaient digne de confiance. " Messieurs, ma stratégie sera simple en cette année aussi avancé, elle consistera une fois pret, je pense avant mi-octobre pour les dernieres troupes de Kaluga a former complètement, a attaquer Smolensk, et m'y installer. Mais si je rencontre trop de résistances, je ferais mine de retraiter pour entrainer les français le plus loin possible de cette forteresse, et je pense qu'ils ne dépasseront pas s'ils me poursuive, au maximum Viazma a 150 Kms de Smolensk, à cause de la saison avancée, pour que l'armée du nord autour de St Pétersbourg commandé par Wittgenstein montant à 45 000H dont il enverra 5 000 H devant Sebej pour fixer la défense Française sur la Dwina et faire croire a d'importantes formations nouvelles qui suivent derriere en faisant des démonstrations. Wittgenstein doit etre maintenant à droite de Cholm et descendra plutot vers Vehj que Biéloi, à droite de Vitebsk, en restant en retrait de la Dwina ou plusieurs choix sont possible quand le piège sera mis en place : 1. Les Français tombent dans le piège, nous poursuivent et s'arretent devant Viazma, occupés par l'armée Russe, là, Wittgenstein fonce sur Smolensk, ayant un chemin plus court que nos ennemis, dont il laisse qu'une faible unité a peine supèrieure a celle de cette forteresse, pour couper le ravitaillement et la route de retraite et prendre les Français à dos, forcé de retraiter, et poursuivit cette fois par les Russes à Viazma ou l'on peut dans une bataille leurs faire payer cher leurs victoires passées, et peut etre imposer de ce moment notre stratégie, reprendre Smolensk et Vitebsk, et peut etre Minsk d'ou l'on pourrait menacer l'arrière d'une partie des défenses sur la Dwina et le centre de la région, nous ouvrant des perspectives immenses à exploiter. 2. Les Français ne dépasse pas Dorogubuj, Witgenstein attaque Vitebsk et le camp retranché, signalés par les cosaques, y détruisent leurs dépots et munitions en gardant le nécessaire pour eux, s'installent dans le camp en attente du retour de l'armée Française privé de ravitaillement et suivit à distance par l'armée de Koutouzov, ou un combat est possible avec une probable victoire Russe, soient que les Français arrivent a l'éviter d'extrème justesse, car cela dépendra aussi de la bonne coordination de nos armées grace a la cavalerie cosaques apportant les messages. 3. Les Français prennent de l'avance sur nous par des marches forcés et tombent sur Wittgenstein avant que nous les rejoignons à temps. Dans ce cas pour s'en prevenir, il contruira des ponts sur la Dwina. 4. Les Français ne tombent pas dans le piège et ne dépassent pas Smolensk ou restent sur place. Dans ce cas, au pire, nous occuperons Dorogubuj. Dans le cas ou la troisième solution s'impose, malgré cette défaite possible et devoir traverser la Dwina pour Wittgenstein si le courrier pour l'avertir arrive trop tard, j'estime dans l'ensemble que les chances de pouvoir porter un coup possible sérieux aux Français, valent la peine d'etre tenté. Il y eu un long débat, mais la volonté du Tzar de voir reprendre au plus tot les opérations, pesa assez lourd dans les esprits pour qu'au final, tous finirent par accepter. ( Il faut savoir que le Tzar poussa Baclay de Tolly, contre le bon sens, a combattre en début de la campagne, et que seul l'étalement trop important des forces l'empecha de réaliser les volontés du Tzar, dont il l'avertit pour cette raison de son refus et du choix forcé pour la retraite. Me basant sur cet esprit, je pense encore probable, mais je peu me tromper, malgré les échecs et ignorant la question militaire et désireux de chasser les Français malgré tout, que le Tzar reste encore dans les meme dispositions d'esprit dès qu'il possèdera assez de forces, pour donner l'ordre de combattre au plus tot, a moins que d'autres m'apportent de nouveaux éléments pour changer ma vision.) ( Le Tzar ce croyait investi de la mission quasi Divine de battre Napoleon, d'etre son vainqueur, et de sauver l'Europe. ) Koutouzov, avait bien imaginé un autre plan, mais qui demandait beaucoup plus de temps et nécéssitait l'abandon provisoire de Moscou, inacceptable pour le Tzar, en réunissant toutes les forces existantes vers Riga, en laissant 5 000H vers Sebej, faisant quelques démonstrations pour attirer l'attention de l'adversaire sur ce point. Wittgentstein avec 40 000H protégeait la ligne de retraite, Riga-Pskov, en cas d'un retour Français inattendu, et avec 140 000H environ, toute forces réunie de Moscou, en retrait du 1er corps en façade, cachant la réserve et loin de Riga, percer le front de la Dwina avec 60 000H d'abord ( pour ne pas donner l'idée complète des forces en présence, le reste suivra après cette prise ) en franchissant le fleuve sur des ponts de bois, contournerait Riga, faire prisonnier le corps Prussien peu enclins a vouloir ce battre contre nous, l'occuper avec 5000H, tomber sur les dépots autour faiblement protégés avec 10 000H et une forte cavalerie pour installer le plus de désordre possible, et avec 125 000H, foncer sur Dunabourg pour protéger notre ligne de retraite et contre dépots de Vilna, ville stratégique par sa position que l'ennemi voudrait a tous prix reprendre. A partir de là, l'ennemi aurait réagit, nous attaquerait, et tout dépendrait de ce qu'il faudrait faire en priorité. Mais tenir Dunabourg le plus longtemps possible est éssentiel, couper la retraite par Vilna aux gros des forces Française de Vitebsk, n'était pas pour me déplaire. Dommage, ce dit-il, celui ci avait ma préférence, mais le Tzar et la population n'accepteraient jamais l'abandon de Moscou sans combattre. "Mais meme si cette opération sur Smolensk pouvait échouer, la Russie n'est pas vaincu pour autant."
  6. Retour à Vitebsk : Suite aux opérations et à son retour au 30 septembre avec l'armée réduite à 120 000H, au camp de Vitebsk, Napoleon s'accorda encore un délai d'un mois en cas de réaction ennemi, avant de devoir reprendre la route de la France, créer une nouvelle armée, Ce dont il fit connaitre immédiatement ces intentions, et celles qu'il avaient prises, à ses maréchaux. Il nommera Murat, chef des armées jusqu'a son retour, puisqu'il porte le titre de Roi de Naples, et sera secondé par Davout sur le plan militaire ou il aura le dernier mot sur cette question, étant le plus capable d'entre tous de mener la stratégie. Ensuite, il donna l'ordre à Oudinot, avec son 3eme corps de 20 000H, d'aller prendre la forteresse de Bobruisk sur la Bérézina occupé par 2000 Russes, que surveille les 5 000H de Reynier, situé 235 Kms plus au sud, afin de fermer "la porte" vers la route de Kiev, en en prenant le controle. St Cyr, du 6eme corps, avec ses 13 000H s'établira à Orcha, à 70 Kms au sud de Vitebsk, et enverra un détachement de 500 cavaliers pour la surveillance à Mogilev, situé à 145 Kms plus bas que Vitebsk. Orcha sera lui aussi transformé en camp retranché. Bobruisk, pris, Oudinot laissera une garnison de 2000H et enverra un détachement de 200 cavaliers à Rogatchev situé a droite, en face, et s'installera à Minsk avec le reste de ses troupes, afin de constituer une réserve qui surveillera la région centre de toute incursion possible de l'ennemi, avec Macdonald revenu de Riga, qu'occupent maintenant les 20 000 Prussiens de Yorck. Il y recevra un renforts de 15 000 polonais que j'estime, arrivera début novembre. Ainsi le front centre sera tenu, et surveillé. Au nord, Macdonald avec 18 000H arrivé le 22 septembre à Glubokoé est en réserve. Tout ceci avec Macdonald, constituera une réserve de 50 000H avec Oudinot et les Polonais, pret a ce soutenir s'il le faut contre d'éventuels ennemis qui voudraient percer au nord particulierement ou au centre en passant Par Rogatchev, par surprise, avec une partie de l'armée Russe, et pourra intervenir et renforcer le camp retranché de Vitebsk s'il nécéssite de l'aide. Puis, il donne ce conseil a ses maréchaux, que si l'ennemi s'avance toutes forces réunie sur Smolensk, de ramener au besoin les 8 000H qui l'occupe, si l'on voit que ne peut défendre la place avec certitude, et de s'appuyer sur le camp de Vitebsk et à Orcha, pour arréter l'ennemi sur cette ligne qui présente une meilleure défense sur un front étroit, plutot que de courir les chances d'une bataille en dehors de ces positions et en pretant le flanc a de possibles surprises. Voila pour l'heure, les instructions a venir. A St Pétersbourg, après l'annonce de la nouvelle de la défaite de Pskov, et de la crainte de voir Napoleon s'avancer sur la capitale, le Tzar nomma Koutouzov, déja pressenti à la cours, général en chef des armées, et mi fin aux rivalités des généraux pour succéder à Bagration et Barclay de Tolly battus à Vitebsk et faits prisonniers, et le chargea d'accélérer la formation d'unités en cours, et le dépecha à Moscou en priorité, avec pour objectif de reprendre le combat au plus tot, et de protéger cette ville Sainte consideré comme sacré, sans perdre l'armée. Bon vivant, et aimant boire, il s'attarda un peu sur son parcours, et n'arriva à Moscou que le 25 septembre, en passant par Borodino. De là, il convoqua tous les commandants des divisions et leurs donna toutes les instructions nécessaires pour renforcer encore les unités toujours en formation, celles de Kaluga seulement, les autres étant former, et donna les grandes lignes de sa stratégie à un groupe restreint d'officiers qu'il jugeaient digne de confiance. " Messieurs, ma stratégie sera simple en cette année aussi avancé, elle consistera une fois pret, je pense avant mi-octobre pour les dernieres troupes de Kaluga a former complètement, a attaquer Smolensk, et m'y installer. Mais si je rencontre trop de résistances, je ferais mine de retraiter pour entrainer les français le plus loin possible de cette forteresse, et je pense qu'ils ne dépasseront pas s'ils me poursuive, au maximum Viazma a 150 Kms de Smolensk, à cause de la saison avancée, pour que l'armée du nord autour de St Pétersbourg commandé par Wittgenstein montant à 45 000H dont il enverra 5 000 H devant Sebej pour fixer l'attention de la défense Française sur la Dwina et faire croire a d'importantes formations nouvelles qui suivent derriere en faisant des démonstrations. Wittgenstein doit etre maintenant à droite de Cholm et descendra plutot vers Vehj que Biéloi, à droite de Vitebsk, en restant en retrait de la Dwina ou plusieurs choix sont possible quand le piège sera mis en place : 1. Les Français tombent dans le piège, nous poursuivent et s'arretent devant Viazma, occupés par l'armée Russe, là, Wittgenstein fonce sur Smolensk, ayant un chemin plus court que nos ennemis, dont il laisse qu'une faible unité a peine supèrieure a celle de cette forteresse, pour couper le ravitaillement et la route de retraite et prendre les Français à dos, forcé de retraiter, et poursuivit cette fois par les Russes à Viazma ou l'on peut dans une bataille leurs faire payer cher leurs victoires passées, et peut etre imposer de ce moment notre stratégie, reprendre Smolensk et Vitebsk, et peut etre Minsk d'ou l'on pourrait menacer l'arrière d'une partie des défenses sur la Dwina et le centre de la région, nous ouvrant des perspectives immenses à exploiter. 2. Les Français ne dépasse pas Dorogubuj, Witgenstein attaque Vitebsk et le camp retranché, signalés par les cosaques, y détruisent leurs dépots et munitions en gardant le nécessaire pour eux, s'installent dans le camp en attente du retour de l'armée Française privé de ravitaillement et suivit à distance par l'armée de Koutouzov, ou un combat est possible avec une probable victoire Russe, soient que les Français arrivent a l'éviter d'extrème justesse, car cela dépendra aussi de la bonne coordination de nos armées grace a la cavalerie cosaques apportant les messages. 3. Les Français prennent de l'avance sur nous par des marches forcés et tombent sur Wittgenstein avant que nous les rejoignons à temps. 4. Les Français ne tombent pas dans le piège et ne dépassent pas Smolensk ou restent sur place. Dans ce cas, au pire, nous occuperons Dorogubuj. Dans le cas ou la troisième solution s'impose, malgré cette défaite possible et devoir traverser la Dwina pour Wittgenstein si le courrier pour l'avertir arrive trop tard, j'estime dans l'ensemble que les chances de pouvoir porter un coup possible sérieux aux Français, valent la peine d'etre tenté. Tous ceci doit etre réalisé dans un temps assez cours avant que les défenseurs de la Dwina ne s'organise et ne tombe sur Wittgenstein. C'est le défaut du choix 2. Il y eu un long débat, mais la volonté du Tzar de voir reprendre au plus tot les opérations, pesa assez lourd dans les esprits pour qu'au final, tous finirent par accepter. ( Il faut savoir que le Tzar poussa Baclay de Tolly, contre le bon sens, a combattre en début de la campagne, et que seul l'étalement trop important des forces l'empecha de réaliser les volontés du Tzar, dont il l'avertit pour cette raison de son refus et le choix forcé pour la retraite qu'il dut faire. Basé sur cet esprit, je pense probable malgré les échecs et ignorant la question militaire et désireux de chasser les Français malgré tout, que le Tzar reste dans les meme dispositions d'esprit dès qu'il possèdera assez de forces, pour donner l'ordre de combattre au plus tot, a moins que d'autres m'apportent de nouveaux éléments pour changer ma vision. ) Koutouzov, avait bien imaginé un autre plan, mais qui demandait beaucoup plus de temps et nécéssitait l'abandon provisoire de Moscou, inacceptable pour le Tzar, en réunissant toutes les forces existantes vers Riga, en laissant 5 000H vers Sebej, faisant quelques démonstrations pour attirer l'attention de l'adversaire sur ce point, et avec 145 000H, toute forces réunie, en retrait du 1er corps, cachant la réserve, loin de Riga, percer le front de la Dwina en franchissant le fleuve sur des ponts de bois, en contournant Riga, faire prisonnière le corps Prussien peu enclins a vouloir ce battre contre nous, l'occuper avec 5000H, tomber sur les dépots autour faiblement protégés avec 10 000H et une forte cavalerie pour installer le plus de désordre possible, et avec 125 000H, foncer sur Dunabourg pour protéger notre ligne de retraite et attaquer les dépots de Vilna, ville stratégique par sa position que l'ennemi voudra a tous prix reprendre. A partir de là, l'ennemi aurait réagit et tout dépendrait de ce qu'il faudrait faire en priorité. Mais tenir Dunabourg le plus longtemps possible, couper la retraite par Vilna aux gros des forces Française de Vitebsk, n'était pas pour me déplaire. Dommage, ce dit-il, celui ci avait ma préférence, mais le Tzar et la population n'accepteraient jamais l'abandon de Moscou sans combattre. "Mais meme si cette opération sur Smolensk devait échouer, la Russie n'est pas vaincu pour autant."
  7. Il y avait une vieille rivalité entre Bernadotte et Napoleon, entre autre, il c'était éclipsé lors de la prise de pouvoir de Bonaparte, et il avait comploter contre le 1er consul en 1800 lorsque qu'il était parti en campagne en Italie. Ses complices furent arréter, Bernadotte, qui jouait la sécurité, agissait de loin, de sorte qu'il ne fut pas arrété. Sans compter ses agissements troubles comme en 1806 ou il abandonna Davout a son sort à Auèrstadt et prétendit faire mieux que Napoleon à la bataille de Wagram, en gagnant un jour de combat sur les deux, ce qui le fit chasser de l'armée immédiatement dès que Napoleon l'apprit. Trop, c'est trop. Et Napoleon lui rappela qu'il était français avant tout avant qu'il ne parte pour la Suéde. Donc, je ne m'étonne pas de ce que tu m'apprend sur ces discussions secrète. Quand à la position de la Suède, elle avait déclaré la guerre à la France en 1807 à propos de la Poméranie. Le tout ensemble, en comptant la traitrise de Bernadotte et probablement ses mauvais conseils, puis son ralliement à la Russie, lui à la tete des troupes Suédoises après les défaites de Napoleon, ou la suède reste droite dans sa ligne politique, celle d'etre en parfait accord avec elle meme, en choisissant la guerre contre Napoleon. Donc, on ne pouvait donc rien espérer de la suède.
  8. J'ai regardé sur internet, la Suède, c'est 23 000H vers 1810, donc, reprendre la Finlande ne me parait pas réalisable, meme si les Russes seraient forcer de l'abandonner pour mettre tous leurs atouts contre Napoleon, ce ne serait que temporaire...
  9. J'ai placé deux cartes aux textes correspondant, dont la dernière sur l'Opération de Napoleon sur Pskov.
  10. Je ne sais pas, mes lectures s'établissait surtout sur l'aspect militaire de cette époque. Il faudra que j'étudie cela.
  11. Voici la carte représentant première partie de la campagne de 1812 jusqu'a la défaite Russe à Vitebsk, et de la prise de Smolensk, avec au départ en tiré, les étapes des armées, en gros, qui ont amenés les corps d'armée à leurs destinations, avec leurs forces et la création de nouvelles unités Russes vers St Petersbourg et autour de Moscou. Cette carte correspond a la première partie du texte commentant la description de cette campagne. S'il était possible de l'y placer... J'ai utilisé une carte simple employé pour un jeu en ligne, qui j'espère ne posera pas de problème. Comme vous le constatez, nombres de chemins et de routes ne sont pas présentées pour ne pas surcharger la carte. D'autres viendront plus tard.
  12. Oui, tout a fait, j'en ait parlé en partie sauf pour la razzia. C'est un problème important qui va durer et impacter la campagne. Je suis bien d'accord avec toi , c'est nécessaire, une ou des cartes de la Russie avec les villes et la stratégie avec serait un plus, mais je n'ai pas de logiciel gratuit pour poster des images sur d'autres forums que les leurs...mais si tu peut me conseiller, ou d'autres personnes... je serais preneur, a condition que ce soit gratuit, et je m'y attèle aussitôt si c'est possible. J'avais fait des recherches, mais elles n'avait rien donné. Edit: Je me suis renseigné, on m'a donné Noelshack, mais les images ne dureront pas un an, et c'est dommage.
  13. Il y a aussi la question de stratégie qui ce pose, pourquoi Napoleon n'a t-il pas cherché a monter a St Pétersbourg après sa victoire à Pskov ? ( Au sud du lac Peipous )...pour plusieurs raisons : 1. La saison était assez avancé, et il lui fallait protéger sa base d'opération établit sur la Dwina, Smolensk, faiblement tenu, qui pouvait etre attaqué par de nouvelles forces Russes qui ce montait en cours de septembre autour de Moscou, avec de la milice et des cosaques pour défendre la ville au cas ou et qui pouvait s'avancer et attaquer au cours du mois d'octobre la base d'opération. Au tout début septembre, 12 000 H de la milice Russes s'établissait à Dorogubuj, en surveillance, a 80 Kms en face de Smolensk. De meme que 80 000H de la milice ce créait autour de Moscou, et a mit septembre, à Kaluga, 35 000H, dont 26 000H de milices et 9000 de cavalerie lourde. 2. Pour la meme raison, de nouvelles levées de troupes Russes ce montait au nord de la Russie, autour de St Pétersbourg. L'armée de Finlande qui a envoyé 15 000H le 15 septembre près de St Pétersbourg déja occupé par 6 000H de la milice, et ce créait d'autre milices, à Novgorod et plus au nord, avec 20 000H suplémentaires. Ce qui fait environ 40 000H, dont il faudra compter les rescapés des 22 000 russes échappée au combat de Pskov, dont Napoleon ignorera leurs pertes, mais il sait que des forces nouvelles s'établissent autour des deux capitale et ne prendra pas de risque inutile. Car s'il lui prenait l'envie de prendre St Pétersbourg, il lui faudrait attendre l'arrivée d'une partie des troupes étendu jusqu'a Vélikié-Lukie, soit quatre a cinq jours de plus après la bataille, soit le 25 septembre au plus tard, avec un jour de repos nécéssaire avant de repartir pour parcourir 260 Kms a vol d'oiseau sur la capitale, plus des combats, ou il lui faudrait preter le flanc contre d'éventuel ennemis qui pourrait déboucher d'Estonie, par Narva au nord ouest, ( les troupes Russes en plus qui retraitaient )... de l'est de Novgorod aussi, ou d'un retour possible des Russes attaquant Pskov a nouveau, devenu la nouvelle base temporaire d'opération et de dépot de Napoleon, si ce n'est plus bas encore sur sa ligne de ravitaillement partant de Vélikié-Lukie, auxquel il devra utiliser près de la moitié de son armée pour sa protection et dont de nouvelles troupes de cosaques dans la région menacerait le ravitaillement. Mais dans le cas meme ou l'opération réussirait contre St Pétersbourg, sa prise ce ferait vers le début octobre, et l'on sait que Napoleon a quitter Moscou le 19 octobre, ce qu'il serait obliger de faire là aussi, et cela ne ferait que forcer le Tzar a quitter sa capitale pour rejoindre Moscou, sans rien régler du tout. D'autant, que la menace Russe ce préciserait et deviendrais plus forte a partir de la mit octobre sur sa base d'opération de Vitebsk sur la Dwina, et de Smolensk, partant de Moscou. Et la nature du terrain ne l'aide pas particulièrement avec toutes les forets qu'il a du traverser jusqu'a Pskov pour assurer une parfaite sécurité, et ou les cosaques peuvent intervenir...sans compter jusqu'à la capitale. Donc, Napoleon ne possède pas encore de forces suffisante pour réaliser cet autre opération sur cette capitale. Il a fait ce qu'il pouvait le mieux obtenir durant ce laps de temps limité, et le choix de revenir sur ces pas, était sage et prudent et a été accomplit au bon moment, sans trop de retard qui aurait pu alors etre exploité par l'ennemi. Voila qui explique son retour au camp de Vitebsk.
  14. Bien vu, mais je suis le plan prévu de Napoleon allant jusqu'a 1814, et jusqu'a son opération qu'il avait préparé pour Pskov dès Moscou avant sa retraite. Jusque là, je n'ai presque rien établi de moi meme pour la strategie, sauf le "bouclage" qui n'était pas prévu mais que le nombre de troupe, permettait, de meme le combat et la retraite russe forcé après leur défaite, avec le calcul des marches des armées, et des effets du manque de ravitaillement et du moral des Russes dans leur retraite, difficilement quantifiable... Pour que les alliés nous laisse tranquille, une armée de 200 000H surveillait l'Autriche et la Prusse, d'ou leur obéissance passive dés que Napoleon s'enfonçait en Russie malgré toutes ses pertes. Vous ne connaissez pas l'esprit du soldat français de l'époque, tant qu'il y avait de la gloire et de l'honneur a gagner, et avec Napoleon à leur tête, les soldats suivaient. Il n'y avait pas encore d'esprit défaitiste qui a été le fait de la fausse propagande coalisé en 1813 au moment du traité de Pleiswitz ou l'on a fausser les véritables intentions de Napoleon pour que la France et les soldats ce décourage et se désolidarisent de lui, ce qui a assez bien marché. Dans tout blessés, il y a aussi ceux qui n'ont pas de blessures graves et peuvent assez rapidement reprendre le combat au bout d'un mois. C'est pourquoi j'ai estimé a 8000H environ ceux qui pouvaient reprendre le service. Pour les cas plus grave, hélas, il y a des pertes. Mais je pense que plus des deux tiers des blessés pourront reprendre le combat au bout de plusieurs mois. Et je ne prend pas en compte les maladies, et le Typhus qui a fait tant de mal a l'armée pour simplifier le scénario et qui n'est pas calculable. Merci pour ton encouragement, et n'hésitez pas a intervenir pour améliorer ou pour expliquer le pourquoi de certaines actions et décisions...
  15. Les operations sur Pskov : Ainsi, jusqu'au 25 aout 1812, fut accomplit toute cette opération a former le camp fortifié et de dépot principal et date a laquelle, fut donner la préparation de départ a l'armée pour Végij. Les 20 000H partis de Gumbinnen fin juillet rejoignirent Macdonald à Polotsk le 17 aout. Un mois après la bataille de Vitebsk, un tiers des blessés étaient rétablit, soit près de 10 000H, ceux là, occuperons le camp de base, au fur et a mesure de leur rétablissement. Le signal de départ est donné, Napoleon, sur une bute, regarde défiler son armée qui l'acclame au passage, puis, rejoint son état major dans la file des combattants. 3 jours après, Ils arrivent à Végij, a 90 Kms, et franchissent ensuite la Dwina le surlendemain en montant plusieurs ponts avec celui unique en place, ou la largeur du fleuve dépasse facilement 150 M par endroit. Les cosaques qui suivaient l'armée Française de loin, malgré la chasse qu'on leur donnait, ( souvent inutile,) revenait observer a distance, et étaient persuader que Moscou étaient leurs objectifs, ou ils envoyaient de tant en tant des estafettes à Wittgenstein, à Polotsk, qui prenait au moins trois jours a cheval, pour lui parvenir. C'est pourquoi l'Empereur qui en tenait compte, faisait mine d'aller vers Moscou, afin que l'occupation de Vélikié-Lukie à 90 Kms ce face rapidement sans problème et qu'a ce moment seulement, Wittgenstein reçoive l'information. Trop tard pour agir a temps, avertir ses généraux par ses estafettes, puis réunir toutes ses troupes, celle de Drissa à 60 Kms, de Dunabourg à 150 Kms, et trouver la voie libre dégager vers Pskov, qu'il devra forcer. Ce temps gagné sera décisif pour la suite des opérations en révélant ses intentions au dernier moment. Au Huitième jour, le 2 septembre 1812, l'armée atteint Vélikié-Lukie, et ce n'est qu'a ce moment que Wittgenstein est informé du passage de l'armée Française à Végij et de la direction qu'elle prend. Wittgenstein a compris toute la situation en lisant la lettre, il décide d'avertir tous les commandants, de Drissa a Polotsk, décide du lieu de rassemblement ultérieur vers Sebej, au nord, puis Opotchka, à 130 Kms, ou il sera avant eux en partant le jour meme, qui formeront une masse de 30 000H, puis chercheront à forcer le passage de Pskov a 130 Kms de ce dernier point. Riga sera avertit mais qu'au bout de sept jours ( 350 Kms ) Elle montera immédiatement sur Pskov par les chemins le plus court. 270 Kms, soit 6 a 7 jours, en attendant, au bout de quelques jours, Riga avertit et quittant sa place depuis plusieurs jours, avec les 30 000H arrivés à Opotchka, je ferais mine de vouloir passer au centre du dispositif Français, en restant hésitant, puis, d'après mes calculs sur la marche des troupes de Riga, monter sur Pskov, pour arriver ensemble peu de jours avant, sur cette ville, ou il faudra ce battre. Napoleon a rusé et l'a pris de vitesse, tout indiquait d'après les informations que Wittgenstein recevait auparavant de cette marche vers Moscou, et il ce flattait, avec de nouveaux renforts miliciens qu'il comptait recevoir dans un mois ou plus, de forcer la Dwina, battre l'armée Française qui défendait la région, de couper le ravitaillement de l'armée principale Française partit vers l'est en s'emparant au passage de dépots important. Mais ce que ne savais pas Wittgenstein, c'est que les blessés guérit occupait le camp de Vitebsk avec près de 10 000H et constituait une réserve appréciable, et chaque jours, malgré des morts, il y avait de nouveaux arrivants, et cela suffirait a défendre la Dwina et interdire aux Russes de le franchir, d'autant que les Français occupaient de bon postes, dont Polotsk, qui était entre leurs mains. Ainsi, a mesure que les jours s'écoulaient, s'amenuiser les chances de Wittgenstein, et le bouclage ce termina à Pskov, le 7 septembre, ou la Garde et une partie de l'armée Française avec 40 000H dont 3 quart étant de l'élite. Le dépot Russe à Pskov avait sauter, plutot que de tomber entre les mains des Français, leurs gardiens s'étaient enfuit après coup. A cette date, Riga n'était pas encore avertit, il lui faudrait encore 6 a 7 jours de plus pour atteindre avec Wittgenstein, Pskov, sous le Lac Peipous. La bataille ce déroula huit jours après, le 20 septembre, les russes tous réunit, soit environ 50 000H voulant de force passer malgré l'obstacle de la rivière large de plus de 200 M et sous la ville tres bien tenu, firent des tentatives désespérés, mais l'artillerie de la Garde en particulier, canons de douze, firent des ravages dans leurs artillerie, et leurs rangs, et les manoeuvres de Napoleon ne laissait aucune chance aux ennemis de passer. D'autant que 10 000 H de renforts était arrivé de l'armée la plus voisine, et les 15 000H de Ney qui renforçait Napoleon, comme prévu dans le plan, contournèrent leur flancs sud pendant la bataille, ou des radeaux déja préparer a l'avance faisaient office de pont. Napoleon envoya 10 000H supplémentaires de sa Garde et de sa cavalerie en réserve derrière Ney, pour assurer leur défense. A la fin de la journée, Wittgenstein, constatant son impuissance, et refusant de ce rendre, pris le partit d'abandonner le combat, pour ce décider a contourner le Lac Peipous par la gauche, pour atteindre Narva, et regagner St Petersbourg. Le problème, est que le manque de ravitaillement ce faisait déja sentir pour les troupes de Polotsk, Drissa et Dunabourg, et 400 Kms supplémentaires les attendaient avec près de dix jours de marche supplémentaires réduirait leurs armée déja épuisé, de moitié en ce trainant sur les routes, surtout avec la perspective d'avoir Napoleon a leur poursuite. Beaucoup de soldats Russes, conscient de cette situation s'ils ne ce rendaient pas, perdraient la vie s'ils devait repartir pour St Petersbourg, aussi, 20 000 d'entre eux qui n'avaient déja plus de ravitaillement préférèrent se rendre aux Français pour manger a leur faim. La bataille coûta 8 000 morts aux Russes et 5 500 aux Français, du fait de la fatigue des Russes, de leurs manque de ravitaillements qui épuisait l'armée et des bonnes positions abriter des Français à Pskov. A la nuit, Wittgenstein, quitta le champ de bataille et partit avec 22 000H, déterminés a le suivre, mais les sept derniers jours, l'armée ce trouva sans ravitaillement, et beaucoup ce débandèrent, de sortes qu'en arrivant à Narva, Wittgenstein n'avait plus que 15 000H. Il ce refit trés peu de provisions de cette ville, et arrivé à St Petersbourg, il ne commandait plus qu'une armée de 10 000H. Beaucoup préfèrent déserter que de périr de faim. De son coté, Napoleon, ramena son armée comme promis directement au camps sous Vitebsk, qu'il atteignit en 10 jours, sans trop se presser, soit le 30 septembre. Désormais, la Ligne de la Dwina était aux mains des Français, jusqu'a Riga, de meme la forteresse de Drissa, quoi, que incomplète. Il était temps désormais de veiller au bien etre de l'armée pour bien passer l'hiver, et préparer encore de nouvelles ressources tirer de France et des alliés, pour le printemps 1813, avant de repartir en opération. Il fallait remonter la cavalerie qui avait perdu de nombreux chevaux depuis le début de la campagne et de l'artillerie avec ses caisses de munitions qui durent etre abandonnés faute de chevaux. En attendant, hormis les cosaques, nous aurons la paix jusqu'au printemps, le temps aussi pour le Tzar de monter de nouvelles armées, mais désormais sans l'expérience de la guerre, ce qui rendra la conquète plus facile. ( Je n'ai pas présenté les mouvements de MacDonald pour ne pas surcharger la carte.) Le manque de ravitaillement et la démoralisation des Russes a leurs retraite de Pskov explique en grande partie les pertes en hommes par une nombreuse désertion. Il faut savoir que le ravitaillement d'une armée c'est neuf jours, six dans les chariots, trois jours pour le soldat. Et là, les Russes ont totalement épuisés leurs ressources depuis plusieurs jours.
  16. Choix stratégique : L'élimination de l'armée Russe principale et de ces meilleurs éléments les plus expérimentés rend inutile la poursuite vers Moscou. Ainsi, la première partie du plan qui prévoyait trois années dont la première est remplit maintenant, la deuxieme, la campagne contre Moscou en 1813, et si le Tsar ne cédait toujours pas, la troisième année sur St Petersbourg en 1814, avec de nouveau renforts arrivant chaque année de France et des pays alliés. Réunissant son état major au 29 juillet sous sa tente, Napoleon après avoir félicité ses maréchaux et généraux, fait le constat de sa campagne; d'abord sur les problèmes de ravitaillement qui n'a pu suivre que difficilement par nécéssité de la poursuite des Russes. Aussi, prévoit-il de monter un corps de 10 000 H pris sur la population civile Polonaise, volontaire, pour s'occuper du fourrage pour les chevaux, monter des fours pour le pain, en plus de l'effort de l'armée pour la soulager, et des centaines de chariots pour distribuer des vivres fourni avec leurs chevaux. Il s'agit de ce préparer une nouvelle base d'opération d'ou nous sommes. Après, il parla des problèmes de la désertion, dut aux nombreux étrangers engagés de force dans l'armée et dont les faibles résultats en début de campagne ont découragés beaucoup, et qui représente l'ensemble des pertes sur les 170 000H de perdu en un mois et demi jusqu'a Vitebsk en fin juillet, soit près de 5 000 H par jours. Le ravitaillement n'ayant suivit avec bien du retard aussi, l'améliorer, contribuera un peu a diminuer les pertes par désertions. Puis, il passa à la stratégie et parla... "Il serait dit-il aisé apparemment de monter vers Moscou, cependant, le problème du ravitaillement ce poserait encore davantage. Les terres avant Smolensk jusqu'a Moscou sont encore plus pauvre que celles que nous avons déja foulées, et permette encore moins les substances suffisantes pour remplacer les manquantes du ravitaillement et aggraverait ce problème, et rien n'assure que la prise de Moscou fera fléchir le Tzar, aussi, il faut bien ce préparer avant d'aller à Moscou. "De plus, je préfére une prise de Moscou en début juillet, qu'en septembre, ou le froid peut nous obliger a nous y cantonner et nous couper des communications de la France pour un temps, ou l'inquiétude des Français pourraient entrainer de facheux résultats que pourrait profiter des traitres haut placés." "Notre priorité pour le moment, est de battre le reste de l'armée Russe. En battant celles qui s'opposent sur la Dwina, nous ferons tomber une barrière entre nous et St Petersbourg, préparant le terrain pour demain, et en éliminant les armées Russes ayant encore de l'expérience, nous faciliteront la conquète face a des troupes désormais inexpérimentés pour la future campagne qui s'ouvrira en 1813." "Et une victoire rapide soudera mieux l'armée et limitera la désertion." "Le ravitaillement des Russes passe par Pskov qui constitue un dépot important, il nous suffira de près de Vitebsk ou nous sommes, d'aller a 80 Kms a droite à Vegij sur la Dwina, pour ne pas que l'ennemi réagisse trop rapidement a cause de ses éclaireurs, de monter sur Vélikié-Loukie a 90 Kms au nord en trois jours maximum, ou nous arriverons avant les 25 000 Russes qui auront 150 Kms a parcourir en partant de Polotsk, ou nous les intercepterons avant, et les battrons avec 100 000H s'ils veulent forcer ce passage." "20 000H ( plus les 10 000H de la garnison ) attendrons à Vitebsk le temps que l'ennemi à Polotsk quittent leurs positions pour remonter au nord, et en etre certain, avant de remonter elle aussi au nord nous rejoindre pour boucler le passage des Russes à Vélikié-Loukie, dont une partie des troupes occuperons le terrain jusqu'a leur arriver, avant de rejoindre comme prévu leurs futures positions, et que le reste de l'armée sans attendre, continuera vers leur futures destinations." "30 000H resteront à Vélikié-Loukie en surveillance, pour former un barrage au cas ou l'ennemi à Polotsk et Dunabourg formant environ 30 000H voudrait passer entre notre armée et la Dwina, et 90 000H continueront sur la route sur Pskov, a 215 kms plus au nord." "Deux armées de 25 000H prélevées sur l'armée, et distante chacune de 75 kms environs contrôleront cette partie du front, entre Pskov et Vélikié Lukie, et une forte cavalerie détecterons par avance les possibles passages des Russes afin de s'opposer a eux efficacement." "Suivant la direction que les Russes pourraient prendre sur l'une de ces deux armées, et celle de Pskov, l'armée menacé ce verrait rapproché de 10 000H en renfort venu de sa voisine la plus proche, pour intervenir au besoin si la bataille deviendra inévitable." "Et avec 40 000H dont les trois quart de Garde, poursuivront la route jusqu'a Pskov, ou normalement, nous l'atteindrons avant les Russes, obligés de forcer le passage, seront battus. Ainsi, la ligne de la Dwina sera dégagé pour le printemps de 1813, et si le russe persiste toujours à garder Riga une fois les Russes partit et battus au plus tard à Pskov au pire, Macdonald, laissera 10 000H à Dunabourg et Drissa comprise, venu de Gumbinnen, partira avec 20 000H en longeant la Dwina pour assiéger et prendre Riga avec l'aide des 20 000H Prussien de Yorck, avant de revenir sur ses anciennes positions une fois celle ci prise." "Ainsi, en moins d'un mois, nous aurons battus les deux armées Russes, et en septembre ou début octobre, nous serons revenus sur nos anciennes positions, vers Vitebsk, et si le siège de Riga dure plus longtemps que prévu, 20 000H seront détacher de notre armée pour renforcer les positions de Drissa et Dunabourg." "Les difficultés du ravitaillement et les nombreuses forêts du nord Russe nous oblige a reporter pour 1814 la suite de ces opérations, si le Tzar ne cède toujours pas après la prise de Moscou en 1813." "Pourquoi Moscou en priorité avant St Petersbourg tete politique de la Russie ?... car les Russes la considérent comme une capitale religieuse sacré. Voila pourquoi elle sera notre prochain objectif." "L'année prochaine, nous renforceront nos armées par de nouvelles levée de troupes venus de France et des pays alliés, les Russes en feront autant, mais n'auront pas l'expérience des anciens qui auront été éliminés. La campagne sera donc plus facile, le ravitaillement et la cavalerie sera renforcé." "Nous partirons le 25 aout, après l'arrivé des renforts de 20 000H partit de Gumbinnen, arrivant a temps, pour renforcer Mac donald, qui pourra prélever 20 000H dès ce jour, et nous renforcer avec pour remplacer les blessés encore a l'hôpital, pour repartir en opération." "J'estime a 10 000H les troupes de Ney hormis 8 000H de garnison laissé à Smolensk, et 5 000 les cavaliers de Nansouty. Ils constitueront la réserve et interviendront dans les batailles, son combat à Smolensk ne causera certainement pas beaucoup de mort parmi les siens. Je reste optimiste. ( La suite des évènements lui donnera raison.)" "Il remontera derriere les deux armées placés au centre des opérations de bouclage, en restant légèrement en retrait, de sorte qu'il pourra les soutenir, l'une ou l'autre rapidement, et s'il s'avère que les Russes ce dirige sur Pskov, il nous renforcera avec ses 15 000H de sorte qu'avec les autres renforts prévu de 10 000H, nous serons forts de 65 000H dont la Garde, avec en plus une rivière comme obstacle pour les Russes a franchir." "En attendant, Ney nous rejoindra d'abord à Vitebsk en moins de six jours a compter la prise de Smolensk que j'estime a la mi aout, ou il a reçu des ordres pour repartir après sa prise." "Messieurs, de nouveaux lauriers vous attendent." Puis il congédia ses Maréchaux et ses généraux, pour préparer et installer un camp de base qui servira de dépot de ravitaillement et de camp retranché pour l'hiver...Place idéale pour intercepter et arrêter de probable attaques surprises Russes pour l'année 1813 qui commencera, arrivant par la route de Moscou. Ayant reçu peu après des mauvaises nouvelles de l'Espagne, Napoleon écrivit dans sa lettre en réponse à Marmont, commandant en chef, que leurs priorité désormais est de réunir tous leurs efforts contre Wellington, et de le chasser du continent. Et devant l'attitude résolus des espagnols a ne pas céder, il écrivit à Talleyrand, de ramener Ferdinand en Espagne pour devenir roi, pendant que les négociations avec le ministre des relations extérieure, Maret, signera la paix en ramenant toute les troupes en France. ( Légère modification du texte en apportant un peu plus de précision. )
  17. Le récit débute vers le commencement de la campagne de 1812, avant le premier échec de la tentative d'encerclement des armées Russes, comme il ce doit logiquement par les événements qui ce sont naturellement déroulés pour ne pas fausser les actions logiques militaire, pour démarrer fin juillet 1812, le 26 ou le 27, ou les armées Russes, après la poursuite, ce retrouve presque totalement encerclé vers Vitebsk, et ou le refus de Junot d'accomplir la simple action de boucler l'encerclement, parce que devenu réellement fou a cause d'une blessure a la tete qu'il avait depuis longtemps et le rendait parfois anormal, fit manquer la campagne de Russie en permettant la fuite des Russes vers Moscou. (Historique.) Dans ce cas ci, Junot prend la bonne décision, ce qui permet de réaliser l'encerclement total de l'armée Russe avec 175 000H, qui après combat, et voyant que toute tentative de percée est inutile, a part quelques milliers d'hommes qui ont pu passer, finit par ce rendre devant la proposition de l'Empereur d'etre bien traité. La bataille aura couté 22 000 morts aux Français, et 34 000 morts aux Russes. Il reste donc 153 000H a la fin de la bataille, sans compter les blessés parmi eux. Immédiatement après, en cette mi-après midi du 27 juillet, Napoleon donne l'ordre à Ney, ( 3eme corps réduit a 19 000H sur les 30 000H au départ ) et à Nansouty, ( 1er corps de cavalerie réduit a 6 500h au lieu de 12 000H ) d'entamer la poursuite des Russes échappés a l'encerclement, dont on estime leurs nombre a peu près a 8 000H, ce dirigeant vers la forteresse de Smolensk, route de Moscou, qu'il faudra occuper aussi... Napoleon, confiant sur les résultats a ce stade des opérations, dont celui qu'il a confier à Ney sachant qu'il remplira correctement sa mission, le reste de l'armée Française ( 127 000H restant, sans Ney et Nansouty ) restera quelques jours sur leur positions pour ce refaire, et recevoir le ravitaillement qui peinait temps a suivre, et s'occuper des blessés, Français et Russes, comme a son accoutumé, Napoleon n'oubliait personne. Le 22 aout, Napoleon reçoit de Ney la confirmation de la prise de Smolensk au 17 aout, après un furieux combat, qui fit 2 000 morts et 3 000 blessés chez les Russes, et 400 morts chez les Français, sans compter les blessés. Le reste s'enfuyant vers Moscou, mais une partie fait prisonniers, rattrapé par la cavalerie de Nansouty ( qui reviendra avec Ney et ses prisonniers vers l'Empereur, avant, et après Smolensk, soit environ 5 400H, ) de sorte qu'il ne reste effectivement que 7 a 800 Russes environs fuyant toujours vers Moscou. Etat de la situation générale après combat du 27 juillet : Schwarzenberg ( 30 000H environ ) et Reynier, 15 000 H environ ) tiennent le sud, s'appuyent vers le marais du Pripet, avec 50 000H, et contiennent facilement les 40 000H de Tormasov. 60 000H de la milice Polonaise protège Varsovie, et 10 000 Milice, le sud de cette capitale. Au nord, la Dwina est tenu par Macdonald ( 10 000H ) et le corps Prussien de Yorck ( 20 000 ) avec une partie de la Grande Armée, montant le total a 55 000 H, tenant Riga, Dunabourg, Drissa et Polotsk, jusqu'a Vitebsk occupe cette derniere occupé par 10 000 H de la Grande Armée après la bataille décisive, et les 8 000H en garnison à Smolensk, avec 1 500H de la cavalerie de Nansouty pour de fortes reconnaissances au besoin. 5 000H prélevés des troupes de Reynier, surveille les 2 000 Russes de la forteresse de Bobruisk s'appuyant sur la Bérézina. 20 000 nouveau renforts sont arrivés à Gumbinen en Pologne fin juillet, et vont renforcer Mac Donald sur la ligne Dwina dans plus de vingt jours. ( 500 Kms ) 118 000 H ce trouvent immédiatement disponible sous la main de Napoleon, sans compter les bléssés, plus les 10 500H de Ney qui le rejoindront avec les 5 000 H de la cavalerie de Nansouty, qui totaliseront 133 500H . Les Russes sous le commandement de Wittgenstein ayant a peu près le meme nombre de troupes a leurs opposer au flanc nord, sont bien contenu, et en tant que valeurs militaire, ne représente pas une menace vraiment sérieuse, particulièrement celle du sud. ( Légère modification du texte en apportant un peu plus de précision. )
  18. Lathan

    Presentation de Lathan

    Non, pas du tout, je prefere le coté réaliste de l'histoire.
  19. Lathan

    Presentation de Lathan

    C'est vrai que j'aime bien l'uchronie...mais cela pourrait toucher toute les époques... Et je te remercie pour les liens que tu me donne.
  20. L'Europe, l'adversaire irréconciliable de Napoleon Les causes provenaient des réformes profonde de la révolution et de la menace qu'elle faisait peser sur l'Europe, en leur déclarant la guerre et voulait imposer son idéologie qui menaçait les trones des Rois et les monarchies. A partir de ce moment, la France, perturbateur de l'Europe, vit ce liguer contre elles nombre de pays, ou il ne s'agissait plus que de battre comme par le passé ses armées et conquérir du territoire, mais bien de monter jusqu'a Paris pour renverser le regime. Mais la Convention et le Directoire surent trouver les ressources pour les en empécher, en levant des armées dépassant meme ceux de nos ennemis réunis, et montant jusqu'a 900 000 H. Et un homme ce distingua parmi tous les généraux : Bonaparte, qui sut imposer la paix, sa paix en 1797, à l'Autriche, resté seule a combattre après plusieurs années, et qui sut profiter des circonstances pour s'emparer du pouvoir, un pouvoir faible, corrompu et mal aimée. Les réformes que Bonaparte devenu 1er consul, relevèrent la France, trop vite au gout des Anglais, qui devant les négociations de paix engagé entre eux, le firent échouer pour des raisons commerciales. L'occupation de Malte mit en avant, n'étant qu'un prétexte pour ne pas signer. L'Angleterre étant a l'abri dans son ile, pouvait susciter des coalitions grace a ses immenses ressources qu'elles tiraient de ses colonies, et le cabinet de Vienne ce pliait volontiers et meme complice de cette politique agréssive, que Jomini, célebre stratégiste ét ralliant en 1813 la coalition et la cause Russe, dénonçait. Napoleon a fait en sorte d'adoucir les excès de la révolution, il c'est montré clément en 1800 contre l'Autriche qui avait repris les armes, mais l'Angleterre, l'ame des nouvelles coalitions ne pouvant etre abattu par mer obligeait a des guerres continentales, et la nécéssité de garder les idéaux de la révolution, gagnés a juste titre, creusait un fossé rendant probablement irréconciliable la France et l'Europe, que seule ses forces et le génie de Napoleon protégeait. Mais c'était une lutte a mort, il fallait vaincre ou tomber sous les coups de l'ennemi qui ne désarmait pas, Napoleon le reconnaissait, attendant la moindre occasion pour repartir a l'attaque, et a défaut d'avoir le génie, comptait sur les forces plus grandes de l'Europe pour battre la France. A un moment, la lutte sembla ce calmer, a force de défaites, l'ennemi baissa les armes, le Tsar, s'allia à Napoleon, mais la trahison de Talleyrand poussant le Tsar a s'opposer a Napoleon en 1809, dont l'Empereur constata la trahison cette année là, et les difficultés qui surgirent ensuite du Blocus Continental provoquérent une nouvelle guerre en 1812, ou les éfforts immenses des deux protagonistes s'acheva par un désastre sans précédent pour la France et ou le climat et le manque de ravitaillement joua un role majeur dans la retraite. Ce fut le signal de la curée pour abattre la France et ou la trahison Autrichienne, malgré son alliance avec la France et l'épouse prise parmi la famille royale, ne trouva pas grace aux yeux de François d'Autriche. Le lion ce battit magnifiquement, mais il succomba devant la trahison, le nombre et la malchance qui le suivait depuis sa campagne de Russie. Exilé à l'ile d'Elbe, il fit un retour rapide, défait à Waterloo, il fut envoyé a Ste Hélène. Napoleon avait chercher a ce faire accepter parmi les monarques européen, en cherchant a installer une nouvelle dynastie royale, copiant les monarchies pour leur envoyer un signal fort et les rassurer politiquement, puis en prenant une épouse parmi les Rois d'Autriche, ou de Russie, non par orgueil, mais par pure politique politicienne pour apaiser les tensions et obtenir finalement la paix désiré pour la France. Il raffermit le trone d'Autriche après ses défaites quand il menaçait de sombrer, car nécéssaire a l'équilibre européen et au poids lourd, Russe. C'est la révolution qui a été la cause de cette irréconciliation avec son idéologie, que Napoleon a dut adoucir et proteger en parti face a l'Europe qui s'est sentit menacé au niveau des trones, aggravé par la politique de l'Angleterre qui a chercher a tout prix a abattre la France. Une fois le régime ancien revenu, la France était accepté de nouveau dans le concert des nations. Mais sans l'Angleterre et toutes les guerres qu'elle provoqua et entraina, il est probable que le régime Français fut finalement accepté mais après de longue années de paix possible, surtout après avoir gouté au génie militaire de Napoleon qui défendait la France, et sans le soutient financier Anglais, ou de force, l'Europe l'aurait finalement accepté, ne pouvant rien pour abattre la France, et ou la montée aux extremes n'aurait jamais montée si haut. Ici, la stratégie coalisé l'emporte par le nombre et la trahison, le refus de céder, ayant appris de leurs erreurs, réparant leurs forces pour repartir a l'attaque, des trahisons de Talleyrand, puis Bernadotte et Murat en 1813, et Marmont en 1814 qui permit de livrer Paris aux coalisés, acheva l'Empire...
  21. Lathan

    Presentation de Lathan

    Bonjour et merci, Lame. L'histoire et l'uchronie, dans la période Napoleonniene, et la stratégie en général. Je ne suis pas un spécialiste, mais je connais assez bien cette période.
  22. Lathan

    La garde républicaine

    Pour la réaction de Patrick, Je m'explique. Le fait que les unités ce spécialisent avec ces époques plus moderne, ne signifie pas que cela les rendent automatiquement supérieure a certaines unités du passée, elles peuvent etre seulement plus polyvalentes. Et a proportions de capacités combattive, leurs caractere, leur esprit de sacrifice, la VG l'emporte nettement sur la GR. Qu'on le veuille ou non, pour s'en convaincre, il faut bien connaitre l'état d'esprit de la VG et les combats qu'ils ont affronter. Pourquoi l'ennemi avait la terreur de les affronter. Il n'y a qu'a voir l'épisode à Dresde en 1813, ou malgré la grande supériorité des coalisés, l'ennemi recula épouvanté a la vu de ces soldats si redoutable et a leurs réputation qui les précédaient, ou partout ou les portes furent ouvertes pour les chasser, l'effet produit fut le meme. Ce fut disait le futur général Marbot, "comme l'apparition de la tete de Méduse, l'ennemi recula épouvanté." Et pourtant, nombre d'entre eux avaient déja combattu. En Russie, lors de la retraite avant d'arriver a la Bérézina, Napoleon prit le commandement de la VG estimé a 11 000H, contre les forces ( 80 000H ) commandées par Koutouzov, pour ré-ouvrir la route a ses corps d'armée coupés de lui. La réaction de Koutouzov fut immédiate, il refusa absolument le combat. On peut dire que nombre d'historien ne comprennent pas sa réaction. Moi, et bien d'autres peuvent le comprendre, s'il avaient accomplit leur temps d'armée dans une armée sérieuse, et ne pas ce contenter que de deux mois de classe, mais d'un an. Ce qui n'est plus du tout pareil. ( sans aller jusqu'au paras, mais comme le disait notre lieutenant a la fin du service, bien des régiments paras pouvaient s'aligner derrière nous.) Ce n'est pas pour ce vanter, mais pour citer un fait. Donc, je comprend parfaitement la décision de Koutouzov, et au vu des exemples passés de la VG, il aurait perdu. Et leur esprit de sacrifice était plutot rare. A Marengo, ils ont tenu en carré sous le feux pendant des heures, perdant a la fin, 90% des forces de la Garde. Encore en Russie lors de la retraite, le froid et la faim, les cosaques, sous le commandement de Platov, firent soudainement irruptions, et pensait infliger des coups sérieux. Platov raconte en gros, que toute les charges asiatiques contre l'ordre serrés de l'Europe, ne fut d'aucun effet, les hommes, comme taillé en granit, nous chassait a coup de feux nos raids inutile. Tous, officiers et soldats s'encourageait, mais ce fut de nul effet. Pourtant, au cours de la journée, ils avaient fait 700 prisonniers dont un général, mais la Garde de Napoleon passa a travers la foule de nos cosaques comme un navire de cent canons a travers une flotille de pèche. Platov continue en disant, que jamais de sa vie, il n'oublierait la démarche libre, aisé, de ces soldats éprouvé par toutes les morts. Il en a été de meme a la bataille de Hainaut, en 1813, de la réaction des anciens alliés, ou les ennemis, Autrichiens et anciens alliés de la France qui les connaissaient bien, puisqu'ils les avaient vu a l'oeuvre, malgré leur trés grande supériorité numerique, contre 17 000H dont beaucoup de la Garde, débouchant d'un bois, ( cela arriva en deux vagues, a la suivante, la tète avait déja passé le lieu du combat ) ou le vent chassa le brouillard et fit découvrir les bonnet a poil de la VG, a cette vue, les anciens alliés de la France, furent épouvantés. Pourquoi ? Pourquoi aussi, lors de la campagne de 1814, l'ennemi refusa meme le combat, quand il apprenait la présence de la Vieille Garde ? Pourquoi, 20 000 Autrichiens ont-ils pris peur a la vu de seulement 600 braves partit rejoindre Napoleon sur l'ile d'Elbe, et ont attelés leur artillerie et ce préparer comme a la veille d'une bataille, puis ont parlementer pour les éloigner pour que la Garde n'installe pas leur camps pour la nuit ? On est pourtant dans une proportion de Un contre 32. Jamais la GR n'a fournit de tel exemple malgré leurs spécialisation et polyvalence, a part croire qu'a notre époque nous améliorons nos unités et spécialisations au point de n'avoir plus de comparaison défavorable a voir avec le passé, mais ce n'est pas toujours vrai. Il suffit de revoir l'histoire pour remettre les pendules a l'heure.
  23. Voici pour lancer le sujet, un exemple pris sur la période de février a mars 1943, ou Manstein ce sortit d'une situation catastrophique qui ce préparait, avec brio, et prépara avec soin les éléments de la victoire en lançant sa contre-attaque. Mais pour que ceci soit profitable a tous, ont peut le discuter, le critiquer, mais de maniere constructive pour faire avancer la connaissance. Voici les principes que je constate et relevés pour décider de cette victoire. La riposte de Manstein sur le Donetz ( fevrier - Mars 1943 ) Situation générale : Suite au désastre et encerclement de Stalingrad, plusieurs armées russes déferlent vers l'Ukraine, ( Tiens, sa me rappelle quelque chose... ) et menace de rompre le front sud et de prendre dans un super stalingrad une partie des forces allemande, et celle du Caucase, ce qui aurait mit fin plus tot a la guerre. Il s'en fallu de peu que la porte de Rostov soit fermé aux troupes du Caucase remontant au nord destiné a occuper le front d'Ukraine... Proportion des forces : Chars : Russes: environ 5 000 chars, dont 2 000 T-34 et 1 500 KV-1 Allemands: environ 700 chars, dont 400 Panther et 200 Tiger Artillerie : Russes: environ 10 000 pièces d'artillerie Allemands: environ 5 000 pièces d'artillerie Avions : Russes: environ 1 000 avions, dont 500 chasseurs et 300 bombardiers Allemands: environ 700 avions, dont 400 chasseurs et 200 bombardiers Soldat : Russes, environ de 1,5 million a un million de soldats Russes Allemand, environ 4 a 500 000 Soldats. La prise de risque : Devant une telle disproportion des forces, Manstein conçu un plan basé sur le risque calculé. La priorité était d'éliminer le risque le plus pressant et le plus dangeureux, rapidement, menaçant d'encerclement une partie du front sud et qui aurait porté un coup décisif aux forces Allemandes dans la guerre. Mais pour cela, il dut passer par certaines conditions dont beaucoup sont des principes que je relève ici. 1. Obtenir la liberté opérative : Avec un Hitler intervenant pour appliquer des demi mesures avec le refus de libérer le Corps blindée SS de sa mission à Kharkov qui menaçait d'etre complètement défait sans apporter aucun résultat valant un tel sacrifice pourtant éssentiel a la stratégie de Manstein, son commandant Hausser, désobéissant aux ordres d'Hitler ce sauva de justesse, et du meme coup, Manstein. La situation ce présentait désormais de maniere favorable pour Manstein, et la météo intervenant pour empecher les plans d'Hitler d'aboutir, Manstein put imposer le sien. Hitler vaincu par les évènements abandonna la partie, et laissa carte blanche. 2. Constituer des réserves : Auparavant, aucune réserve n'était disponible, il fallait donc raccourcir le front pour cela, reculer et s'appuyer sur le Mious pour une bonne défense avec le corps Hollidt. 3. La prise de risque : Devant une telle disproportion des forces ou les Russes comptaient environ, sept à huit fois plus de chars et deux a trois fois plus de soldat, Manstein retira TOUTES les divisions panzer pour ce constituer une force de frappe suffisante, aidée du Corps blindée SS au nord pour contre-attaquer, seule solution pour détruire cette menace. Mais si le front du Mious cédait, les conséquences aurait été catastrophiques, mais elle du retirer ses chars. 4. Remaniement du dispositif: Il fit une rocade a des unités pour occuper des positions de départ favorable pour sa contre-attaque. 5. Troquer du terrain contre du temps : Afin d'achever son dispositif pour la contre-attaque et etre fin prèt a temps, mieux valait céder du terrain. 6. Le renseignement : Grace a l'aviation et par chance a une écoute sur la ligne Russe, Manstein est au fait de l'état des armées Russes, et celle-ci montre des problèmes de logistique important qui va s'amplifiant, de carburant et de manque de radios, et ainsi, il saura quand il pourra lancer sa contre-offensive. Quand aux Russes, toujours dans l'euphorie de la victoire malgré des signes de regroupement Allemand montrant un commencement de mise en place de défense, tres discontinue, ceux ci sont pris pour une simple protection d'arrière garde voulant protéger leur retraite derrière le Dniepr, et s'enfonçant encore plus dans cette illusion, prennent encore plus de risque, poussé par leurs commandants. C'est le risque de trop attendu par Manstein, mis au courant. 7. La surprise Manstein frappe au moment inattendu, et décisif, ce qui surprend totalement les Russes alors en plein problème logistique et qui paralyse a ce moment nombre de véhicules blindées, faute de carburant. 8. Exploitation de l'espace, de la largeur et de la profondeur : Devant une telle disproportion des forces, Manstein choisi de frapper les flancs et arrières des Russes pour éviter leurs forces de frappe. C'est la stratégie indirecte. Les Russes avancent dans un mouvement excentrique, tandis que les Allemands concentrent leurs forces. 9. Une bonne coordination : Les forces de Manstein et le Corps blindée SS frappe au bon moment, et cisaillent les forces Russes en partie immobilisés. Chaque corps d'armée a son commandant pouvant prendre l'initiative ce qui permet une certaine souplesse sans perte de temps a modifier le dispositif pour l'adapter a de nouvelles situations possible qui retarderait infailliblement son exploitation. 10. Continuation de l'opération dirigé sur Kharkov. Après avoir défait les colonnes les plus dangeureuse, les troupes offensives Allemande remontent sur Kharkov, reprennent la ville et tout le terrain perdu derrière le Donetz, mais le général boue met fin trop tot a leurs avance, laissant un saillant important qu'il faudra réduire plus tard. Conclusion : Cette contre-attaque, menée de main de maitre n'avait pas la possibilité de reconquérir le terrain perdu jusqu'a Stalingrad, mais de donner un coup assez fort pour écarter cette menace Russe mortelle. Et Manstein l'a brillamment réussit. La certitude de la victoire Russe après Stalingrad apparemment justifié par les faibles moyens qu'opposaient les Allemands, aveuglant tous leurs commandants, avec Staline derrière poussant ses généraux a leurs limite, le retrait du Corps Blindée SS abandonnant Kharkov, le manque de réaction ennemi, tous ceci convainquit Staline et les généraux que la retraite Allemande était décidé. Et ils étaient prèt a tout pour l'empécher, pour les prendre dans une immense tenaille, un super-Stalingrad, en prenant des décisions extreme pour obtenir la victoire. Mais un grain de sable vint gripper la machine lancée a fond de train : Manstein, en gagnant du temps pour monter toute son opération, ou le renseignement favorisant les Allemands eut une part capitale pour les mettre aux courant des difficultés Russes, et pour frapper au bon moment. Mais tout ceci n'aurait pu etre mené a bien sans un exploit remarquable de la logistique que l'hiver a rendu plus difficile. Mais depuis Stalingrad, désormais, c'est le Russe qui imposera plus ou moins sa stratégie, les Allemands l'ayant perdu en partie, voudront la retrouver en lançant "l'Opération Zitadelle." Je ne prétend pas que ce soit parfait, n'étant pas un spécialiste, mais je donne une idée générale de l'emploi des principes qui ont été utilisés pour cette opération.
  24. D'accord, je verrais cela, mais je previens, je ne suis pas un spécialiste, je compte m'instruire encore et toujours...mais j'espere en entrainer d'autres sur ce chemin.
  25. Lathan

    La garde républicaine

    Je ne suis pas un spécialiste, mais c'est pourtant bien ce que j'avais lu sur une source, et il y a longtemps, mais le fait que les 17 bataillons Prussiens ont du renoncer a poursuivre leur attaquent indique que les pertes devaient etre assez élevés et la résistance du bat Duuring assez éfficace pour les dissuader de continuer la lutte. Le Bataillon Duuring est le 1er Chasseur de la Vieille Garde, mais comme c'est kif-kif bourricot, je l'ai cité pour montrer une idée de la valeurs de la VG au combat. Edit, à Austerlitz, la cavalerie de la Garde Française, est a un contre quatre et bat la Garde Russe, fait prisonnier leur commandant, ( une honte pour un soldat de la Garde et plus encore pour un supérieur, plutot la mort que d'etre prisonnier. ) et leur infligea tellement de pertes qu'elle n'a jamais cité les chiffres de ses morts. Pourtant cette Garde Russe était considéré comme invincible. Elle devait fixer la victoire si quelques problèmes survenaient, c'est ce qui rendait le Tzar absolument confiant dans l'issue de la bataille.
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