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Lathan

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Tout ce qui a été posté par Lathan

  1. La retraite d'Alexandre : Alexandre fit explorer la région vers l'est pour en connaitre les inconvénients et les avantages, afin d'exploiter au mieux le terrain s'il devait y manoeuvrer et combattre, avant que les Samnites interviennent, ce que signalèrent ces reconnaissances a leurs arrivées, avant qu'ils atteignent l'Aufidus. Il envoya un message le 2 Juillet à Bari, dont sa cavalerie qui débarquerait devait prendre connaissance, ainsi que son infanterie installé la bas. Ceci fait, il ce prépara aux évènements. Quand aux Samnites, après délibération sur la manoeuvre a prendre le 4 Juillet, les chefs de tribus, d'accord entre eux, firent marcher leur armée en passant par l'est, et arrivèrent le 5 Juillet au soir sur les bord de l'Aufidus, ou ils campèrent pour la nuit. Alexandre, ayant apprit leur arrivée bien avant par ses reconnaissances, envoya sa cavalerie le 5 pour les empécher de passer l'Aufidus, au moins pour gagner une journée pour ce qu'il avait décidé. Pendant que sa cavalerie opérait sa manoeuvre retardatrice contre l'ennemi, Alexandre évacua le camp, et plutot que de retraiter sur Tarente, a la surprise de l'armée, longea l'Aufidus pour en descendre son cours, vers l'Adriatique, et s'arréta avant d'atteindre Canosa ( voir sur la carte ) en ayant fait traverser un petit cours d'eau a son armée, dont il s'installa derrière, rejoint quelques heures plus tard par sa cavalerie ayant assez retarder l'ennemi pour qu'une fois traverser l'Aufidus, il dut par manque de temps camper sur l'autre rive pour la nuit. Seules des reconnaissances Samnites furent envoyer vers le camp abandonner d'Alexandre, dont ils avaient appris sa construction a leurs approche, et revinrent avertir leurs chefs qu'il était vide, l'ennemi avait refusé le combat et retraité vers l'adriatique, contre toute raison apparente. Les traces fraiches le prouvaient. Les chefs Samnites en conclurent que seule la fougue de sa jeunesse l'avait fait prendre de tel risques, et qu'il en mesurait maintenant le danger réel et préférait retraiter que de les affronter. Probablement pour rembarquer au plus vite sur l'Adriatique. Il est vrai que ce qu'ils avaient pu apprendre sur son compte, était que Philippe II commandait l'armée à Chéronée en 338 Av JC, et qu'Alexandre n'avait été finalement qu'un excelent exécutant, et que conduire une armée si jeune, sans toute l'expérience de son père, pouvait ce payer trés cher, et avait du le comprendre trop tard, et devant l'épreuve de force avait choisi de reculer plutot que de prendre de trop gros risque. Et les Samnites étaient considérés comme des guerriers redoutables. ( Authentique ) Les chefs n'en étaient que plus hardis a le poursuivre, et communiquèrent cette information a l'armée pour la galvaniser, en montrant la lacheté de l'ennemi a vouloir les affronter. L'armée répondit par le mépris et le sarcasme. Sa réputation était surfaite, Alexandre n'était qu'un jeunot qui voulait entrer dans la cours des grands, et allait payer cher son imprudence. Voila le bruit général qui circulait dans l'armée. Tout devrait donc ce décider dans les prochains jours.
  2. Alexandre abandonne Potenza: Alexandre a méditer sur la guerre Samnites contre les Romains. Etant un peuple montagnard et fruste, aimant la guérilla, bon tacticien, fort en combat en montagne, ( Authentique pour leurs qualités militaires. ) Alexandre juge préférable de pousser ses ennemis a la faute, et les amener sur le terrain ou il le souhaite, en plaine, en les provoquant en prenant une de leur ville ; Venosa ( Venusia sous les Samnites ) et sa région, en s'appuyant sur l'Aufidus, semble convenir, ou il est certain de les vaincre s'il réussit. Alexandre a donné au 25 Juin, des ordres de ralliement au camp de Matera, ou dès qu'il recevrait les renforts au 28 Juin des 4 300H, qu'ils envoient dès leurs arrivés au 29 Juin, 2000H au port de Bari, en n'en faisant sa nouvelle base maritime temporaire, afin de faciliter le déplacement des ressources et sa rapidité, menant vers le prochain objectif, Vénosa. Les tribus en bordure de la cote ne bougeront pas, étant trop faible pour s'y opposer. Aussi, la flotte arrivera vers le 4 ou 5 Juillet, transportant les 3 000 cavaliers qui lui manque, et sauront ou le rejoindre grace a ses messages. Ainsi, en changeant sa ligne d'opération, il n'avait plus a craindre d'etre attaqué sur la voie Potenza-Tarente, et raccourcissait nettement la voie terrestre pour le ravitaillement. Stratégie Samnites : Les Samnites ont réunit au 25 Juin jusqu'à 40 000H, dont 5 000 Cavaliers, réunit a Maléventum, ( Benevent ) et leurs quatre chefs de tribu confédérés discute de stratégie, les uns, prenant des risques veulent passer vers Nucéria, petit territoire neutre, pour longer la cote afin d'influencer Carthage grace a leurs messages qu'ils avaient déja envoyés pour entrer en guerre a leur coté et battre assurément Alexandre, ou entretemps, en évitant de préférence le combat, ils comptent harceler au loin avec une partie leur cavalerie le ravitaillement Macédonien, toujours installer a Potenza a leur connaissance. Et leur armée occuperait une partie nord de la Lucanie. Le problème de cette proposition est qu'il découvre entièrement le coté est de leur nation qu'Alexandre pourrait attaquer à revers en passant par les défilés, et l'incertitude de la décision de Carthage le fit refuser car trop risqué. Aussi, au final, les chefs de tribu s'accordèrent pour la défense de leur territoire, ou si Alexandre avait l'audace de franchir les montagnes par un ou des défilés, aurait maille a partir pour les passer, et en plaçant leur armée sous Maleventum, la position serait idéale pour le controle des défilés en intervenant a temps grace aux espions et tenir les hauteurs par ou passerait l'ennemi. Ce qui serait un grand avantage. Et Carthage pouvait intervenir, mais moins surement avec cette stratégie. Le piège tendu par Alexandre : Mais les évènements ce chargèrent de modifier cette stratégie. Alexandre partit de Potenza au 29 Juin, et le camp à Matera en fit autant pour ce rejoindre le 30 Juin plus au nord-est, l'un attendant l'autre entretemps le temps de ce rejoindre, et le 31 Juin, réunissaient 39 200 infanterie et 2 800 cavaliers. ( Quand au 2 000H de Tarente chargé de surveiller la Lucanie et les Bruttiens de Calabre, ils avaient ordre d'éviter tout combat avec les Samnites, ou avec Carthage si elle intervenait, ce qui était juste de l'ordre du possible, et de ce retirer à Tarente au besoin. ) Le 1er Juillet, les Macedoniens prirent Venosa sans combat, l'occupant avec une centaine de cavaliers, et poussèrent jusqu'à l'Aufidus sur la gauche pour y placer des guetteurs, et descendirent vers le nord-est vers l'Aufidus avec l'armée principale pour y construire un camp retranché dont une partie enjambera la rivière, ( n'étant pas plus large en moyenne d'une quinzaine de mètres ,) de manière a menacer le nord et l'ouest et en cas d'imprévus de ce préparer une voie de retraite, et rendant difficile la conquete entière du camp en une seule fois. ( 6 jour plus tard, Alexandre recevra ce qui lui manquerait encore de cavalerie, ajoutant 3 000 cavaliers supplémentaire et le complètera définitivement. ) Deux jours après, les chefs et l'armée Samnites apprirent la nouvelle de la prise de Venosa. ( Vénusia ) L'armée considéra cela comme un affront et voulu marcher au combat contre Alexandre et ne voulurent rien entendre des sages conseils que certains des quatre chefs de tribus de la confédération leurs prodiguèrent. Les Samnites allaient marcher contre Alexandre, un jour après avoir reçu cette nouvelle. ( Etant un peuple fruste, n'ayant encore aucun gouvernement unifiant sous une seule autorité les Samnites, presque a l'image des Lucaniens et des Bruttiens et des autres tribus de la région, a part Rome qui faisait figure d'exception, ( Authentique ) Alexandre en jouant sur une corde sensible, l'honneur, et la volonté de venger l'affront, avait gagné la première manche en les amenant sur son terrain, la plaine, plutot que de subir aussi la guerre de montagne et la guérilla, au risque de prolonger la guerre pour longtemps, d'autant que les Samnites ignorait la valeur de l'armée Macédoniene et ce fiait a la jeunesse d'Alexandre pour le vaincre, n'ayant pas encore acquit sa future réputation de grand conquérant. ) Voici la carte des opérations : Cela rallongera la route maritime, montant a huit jours et demi au lieu de six, mais le ravitaillement sera plus rapide de plusieurs jours et cela la mettra a l'abri des attaques Samnites en changeant sa ligne d'opération grace a la marine. Pour vous donnez une idée des distances, de Bari à Venosa a vol d'oiseau, il y a 90 kilomètres. Voici pour le camp Samnites, avec la projection des possibilités des deux camps, obligeant a cette position de l'armée sous Maleventum, pour parer au danger a temps et avec la proposition audacieuse non retenu de passer par la cote et descendre jusqu'a Paestum, libérer la capitale des Lucaniens, et avec de la cavalerie, d'aller harceler la ligne de ravitaillement d'Alexandre, conscient lui aussi de ce danger. Cliquez sur les cartes pour les agrandir.
  3. Suite du texte. Alexandre avait laissé un petit groupe de surveillance civile vers la cote, vers Marconia, rayonnant dans la région, qui devait vérifier si les Bruttiens passeraient par là et oseraient menacer Tarente. Ceci confirmé, un messager d'Alexandre est parti a leur rencontre pour leur signifier a leur retour au 10 Juin, les conditions d'Alexandre, avec remise entière de leur armée si réponse positive des chefs des tribus, ( Cet état approche une forme de confédération, car trop arriérés. ) Authentique. Ainsi, au 24 Juin, Alexandre aura complété son armée en infanterie Macédoniene, 31 700H et 1 800 cavaliers, dont 4 300 a mit chemin de Tarente, et 300 au port ( d'Otrante ). Ne restera que 3 000 cavaliers a recevoir le 29 Juin au Golfe de la future ville d'Otrante. Plus les alliés de Tarente de 3 600 H restant, ( hormis les garnisons de surveillance des anciens ennemis,) dont sa célèbre cavalerie de 600H. ( Authentique ) Et 5 000 Lucaniens et Bruttiens, dont 400 cavaliers, alliés forcés d'Alexandre, montant le total a 39 200 infanterie et 2 800 cavaliers.
  4. La campagne contre les Lucaniens et les Bruttiens : Partant immédiatement avec 16 000H dont 900 cavaliers de choc d'élite, 5000 Tarentins et 800 cavaliers ayant une excelente réputation, cinq jours après, et scindant son armée, il prend Anxia avec les Tarentins, ( situé a 1000 mètres de hauteur) fait envoyer un message a leur roi à Paestum sur la cote ouest, pour déposer les armes sous peine de ravager la Lucanie. Puis le lendemain, avec le gros de l'armée, il ce présente devant Potentia, ( actuellement Potenza ) toujours sans rencontrer d'opposition devant la trop grande disproportion des armées, la Lucanie ne comptant que 3 000 soldats en arme, n'ayant pas la richesse de Tarente pour avoir plus de troupe, ne résista pas sur le terrain. ( Ce qui explique Tarente en butte avec ces deux adversaires certainement alliés parfois, puisse résister sans etre battu ) Devant la tournure si rapide des évènements, la confédération des tribus de Lucanie ( elle n'a pas de roi a leur tete ), avertit, sous la menace ennemi d'etre a ces portes sous deux jours, accepte. Ils devront fournir des otages de chaque famille des chefs de tribus pour garantir leurs fidélité et aider aux ressources de l'armée Macédoniene. 1000 soldats de Tarente occuperons la Luccanie. L'armée Macédoniene et de Tarente se sont réuni autour de Potensia, non loin du territoire Samnites. Alexandre fait incorporer l'armée ennemi dans ses rangs a son arrivée, compris dans les conditions. Son armée n'a encore subit aucune perte, et compte désormais a ce moment là, 24 000H environ. Devant cette situation ou Tarente et Alexandre marchaient contre les Lucaniens, les Bruttiens de Calabre qui c'était avancés vers Tarente stoppèrent, et firent demi tour, devant le risque de pouvoir etre pris en flanc, et l'echec devant Tarente, voyant la ville en arme sous la protection de ses fortifications. Pendant leur retraite, après la soumission des Lucaniens, ils reçurent eux aussi un message d'Alexandre leur demandant de ce rendre au 10 Juin, de laisser leur armée sur place, le temps de la réponse des tribus formant une sorte de confédération , ce qu'ils firent devant la nouvelle situation, et de le servir en ressource, et militairement, sous peine de voir leur patrie saccagé par ses armes, avec un ultimatum trés court de deux jours dès leur réceptions, avec remise d'otages précieux pris sur chaque famille commandant leurs tribus. N'ayant pas d'autres alternatives, privé de son allié direct, la Lucanie, et des Samnites qui auraient pu faire pencher la balance s'ils avaient disposer d'assez de temps, et avec Alexandre entre les deux partit ennemis, ils acceptèrent, et conduisirent les Otages à Tarente, et leur armée de 2 500 H à Alexandre. Ainsi, pratiquement en douze jours, au 16 juin, Alexandre avait soumis ces deux peuples, devant la réponse prévisible de son message aux Bruttiens, et de leurs faiblesses, reçu aussi le renfort de 4 300 nouveaux macédoniens marchant directement sur son camp, et au 24 Juin, celle des Bruttiens le rejoignant vers la route menant à Vénusia, en passant par Matera au 23 Juin, occupés a cette date par 12 900 nouveaux renforts Macédoniens, dont 900 cavaliers, chargé de protéger la ligne de retraite d'Alexandre avec 8 600 H à Matéra, qui, si surclasser par le nombre des Samnites s'il venaient a vouloir l'attaquer directement à Potensia, pouvait refuser le combat et reculer sur cette réserve. Les reconnaissances les prévenant assez tot pour accomplir tout cela. ( Je dois dire que je n'avais pas prévu au début l'intervention des Lucaniens et des Bruttiens et que cela n'avait fais que compliquer la tache du conquérant, mais cela ce comprend, ils comptaient prendre la revanche sur Tarente qu'ils avaient plusieurs fois menacé dans l'histoire, et c'est normal qu'ils saisissent l'opportunité de l'intervention Samnites pour réaliser leurs projets, seulement, Alexandre a été trop rapide pour eux. De meme l'incorporation forcés de leurs armées n'avaient pas été prévu, sauf au moment de la victoire obtenue si nettement sur eux et étant données qu'ils sont Grecs, permet cette solution, sans pour autant ce fier a eux. ) Voici la carte des opérations : ( réalisé grace a Google Earth.) De Potensia ( Potenza ) il y a deux jours de marche pour atteindre la capitale Lucanienne de Paestum. ( Flèche en bleu, ou Alexandre pourrait marcher avec une partie de son armée, les 5 000H partie au delà de Potensia pour obtenir la réddition du roi a ses conditions.) L'armée de Lucanie pouvait s'installer à Potenza, attendre les Samnites pour ce réunir a eux, et ont du reculer vers leur capitale ( flèche bleu ) devant l'arrivée trop rapide d'Alexandre. Quand aux Bruttiens de Calabre, apprenant que le conquérant est partie de Tarente avec toute l'armée coalisé, ils ont cru faire bon marché de cette ville et porter un coup important a l'ennemi en lui prenant ses ressources. Mais le fait d'avoir armée la population a été décisif, a l'abri derrière le rempart de Tarente. ( Cliquez sur la carte pour l'agrandir.) Maintenant, Alexandre dispose de deux autres bases d'opérations temporaire qui peuvent lui etre utile dans sa campagne, et au besoin, retraiter sur elles provisoirement en profitant aussi de leurs ports, tant que Carthage ce tient tranquille. 1000 autres soldats de Tarente occupe la Calabre après leurs réddition. ( J'ai modifié un peu le texte et apporté de nouvelles précisions, et recomplété la carte pour une meilleure compréhension des évènements. )
  5. La décision d'Alexandre : En ce jour du 4 juin 334, Alexandre a laissé 300 soldats pour garder le camp dans ce territoire tenu par Tarente, et cette cité état est maintenant entrée de force en conflit contre les Bruttiens et les Lucaniens. ( Calabre et nord Calabre.) Tarente est assez forte pour les affronter seule, sa richesse lui permet de lever assez de mercenaires pour les combattre. Voila un changement de situation pour Alexandre plutot contrariant. Il lui faut gagner au plus vite les territoires de la confédération Samnites avant qu'ils ne rassemblent toute leurs forces qui peuvent monter jusqu'a 40 000H. S'il attend une semaine l'arrivée a Tarente des 4 300H, ses renforts, plus remonter vers ses ennemis, avec la possibilité que les Tarentins soient battu entretemps et avoir sa ligne de retraite menacé, il va perdre 2 semaines. Ce sera trop, l'ennemi risquera d'etre trop fort. A ce moment, Alexandre apprend la rupture de la diplomatie avec Carthage, qui il le suppose justement, ce rangera du coté de ses ennemis pour le chasser d'Italie. Mais Alexandre n'est pas homme a reculer facilement devant le danger, et prend le parti d'engager le bras de fer avec ses ennemis. Stratégie : Ses ennemis ne sont pas encore réunit, il va prendre un parti audacieux, armée les civils du port de Tarente abrité derrière les fortifications de la ville, et réunir les forces armées Macédo-Tarentaise contre les Lucaniens d'abord pour ce placer en position centrale et séparer les Bruttiens des Samnites, une fois les premier, battu. Et il recevra dans trois jours l'arrivée de nouveaux renforts, de 4 300H chargés de protéger Tarente pendant qu'il sera partit, laissant toujours 300H dans le camp de base de la future ville d'Otrante.
  6. Il faudra attendre les résultats...et etre patient...
  7. Voici la Grèce sous domination Macédoniène et occupant le port d'Ambracie : Voici l'état de la confédération Samnites avec ses frontières a peu près exact et d'ajout de villes que j'ai préparé. En dessous, a gauche et au centre, vous avez les Lucaniens. En Calabre, les Bruttiens avec lesquels Tarente subit parfois des menaces.
  8. Je fais partir Alexandre des ports Grecs soumis a sont autorité, ayant réunit une flotte de plus de trois cent cinquante navires et cent cinquante transports, avec 4 000 soldats et trois cent chevaux, dont le reste, 33 000H devra attendre que la flotte revienne les prendre. Une centaine de soldats plus les marins sont seulement transportable par navire. Il c'est fait un allié, la cité état de Tarente, menacée par ses voisins Italiens, notamment les Lucaniens et les Brutiens, a besoin d'aide. C'est une occasion inespérée, et qui répond a sa volonté de conquete en soumettant les cités Grecques, et grace a la cité de Tarente, il espère mettre le pieds en Italie avec la totalité de son armée, avant qu'un ennemi plus puissant n'intervienne au cas ou, s'alarmant de sa présence en Italie avec son armée, ou il faut les prendre de vitesse afin d'inciter a la prudence et la négociation. La diplomatie avec Carthage, les Samnites et les Romains, méfiant, avance peu, cependant, avec les Romains avec leur problème en cours avec leurs alliés, Rome choisi de rester hors de probables conflit. Ce qui décida malgré tout Alexandre a aider les Tarentins et y établir sa nouvelle conquete. Il y laisse des troupes stationnés en Grèce sous le commandement d’Antipatros : 12 000 fantassins et 1 500 cavaliers… ( Authentique, lors de son expédition en Asie.) Alexandre a fait réunir son armée forte de 37 000H dont 5 100 cavaliers au Golfe Ambracique et autour de la ville d'Ambracie, donnant sur l'Adriatique. Les navires, réunit dans le golfe Ambracique, partent vers l'Italie le 5 mai 334 pour accoster à la future ville d'Otrante vers la base est de la botte Italienne et l'atteigne 3 jours et demi après, dans un golfe assez large pour offrir un abri a toute la flotte, et y débarquer la troupe, avant de repartir vers sa base reprendre de nouvelles troupes, ou celles ci, nullement inquiété par la trop faible population locale, construisit un fort pour s'assurer d'un retour offensif des grecs, avertit par leur débarquement sur leurs terres. A la vitesse de cinq noeuds ( soit environ 9 Km/H ) et des pauses nécessaires aux rameurs, Alexandre atteignit en trois jours par un temps idéal, la future ville d'Otrante qui offre un port viable et suffisant pour accueillir sa marine et térritoire soumis a Tarente. ( Botte sud-est de l'Italie ) Il lui faudra encore 48 jours a ce rythme pour compléter l'effectif de son armée, a raison de six jours allée-retour, par beau temps, de 4 000H et 300 chevaux et cavaliers par expédition, soit 8 voyages. Pour Alexandre, c'est une course contre la montre ou durant ce délais, des adversaires puissants peuvent ce lever, pour tenter de le vaincre ou le rejeter a la mer, sachant le danger qu'il représente après la conquete rapide de la Grèce. Il y fait établir une fortification qui ce développera a mesure de l'augmentation de l'armée, s'appuyant sur le port qu'il faut a tout prix conserver, comme route de retraite au besoin. Au bout de trois semaines et demi, le 30 mai 334, Alexandre dispose de 16 000H, dont 9 000 phalangistes, 3000 Hypaspistes d'élite, 4000 Peltastes, et 900 cavaliers d'élite, les Compagnons. En politique, la diplomatie semblant pourtant s'arranger avec Carthage et les Samnites, ce déteriora rapidement. C'était un piège de leur part, attendant de frapper au bon moment pour battre ce conquérant trop remuant ou sa jeunesse et sa fougue, comme ses talents, faisait peur. Les espions d'Alexandre lui rapportèrent qu'entretemps, la confédération Samnites avaient commencé a levé une armée et montait déja a 18 000H. dont 2000 Cavaliers. Carthage, refusait tout commerce avec Alexandre et les prémices d'une guerre se sentait déja au loin. Elle attendait probablement la confrontation et son dénouement en début de campagne avec les Samnites avant de prendre définitivement parti contre lui. Il fallait, soit renoncer, soit partir immédiatement a leur rencontre avec les Tarentins, au nombre de 5 000H et 800 cavaliers, et les vaincre, sans attendre plus longtemps. ( chiffre que j'estime raisonnable, puisque 80 ans plus tard, elle en avait 1000H de plus et 200 cavaliers supplémentaire avec Pyrrhus.) Il lui faudra au moins une semaine avant d'atteindre Vénusia, une des grandes villes frontière Samnites, en soumettant au passages les méssapii, petit état, situés au nord de la province des Pouilles, a moins qu'elle ne reste neutre.
  9. oui, il y a erreur, a cette époque Venise n'existait pas avant l'an 421 après JC, et Alexandre était déja enterré depuis 700 ans, et l'on n'a jamais retrouvé son tombeau. Qu'aurait-il donc fait à Venise ?...et ce n'était pas un saint.
  10. https://odysseum.eduscol.education.fr/larmee-macedonienne Des troupes sont stationnées en Europe sous le commandement d’Antipatros : 12 000 fantassins et 1 500 cavaliers… Total : 37 000 dont 5 100 Cavaliers doivent débarquer en Italie. Composition : 24 000 fantassins lourds (9 000 phalangites, 3 000 hypaspistes, 7 000 hoplites alliés, 5 000 hoplites mercenaires) 8 000 fantassins légers (7 000 Thraces et Illyriens, 1 000 Agrianes et archers 5 100 cavaliers (1 800 Compagnons, 1 800 Thessaliens, 600 cavaliers grecs, 900 cavaliers légers thraces et péoniens) Méthode de combat et informations : L’armée d’Alexandre, en ordre de bataille, est divisée en deux parties : la gauche qui se tient sur la défensive et la droite qui porte l’attaque. Les différents corps sont organisés de droite à gauche de la manière suivante : les Agrianes, la cavalerie macédonienne, les Hypaspistes, l’infanterie lourde, la cavalerie des Alliés, la cavalerie thessalienne. L’infanterie légère commence le combat. Alexandre s’avance ensuite avec la cavalerie macédonienne. Les Hypaspistes continuent l’attaque. La phalange s’avance en dernier lieu. L’infanterie lourde est donc caractérisée par son armement et son ordre de bataille. Les phalangites ou pezhétaires – les Compagnons à pied par opposition aux Hétaires, les Compagnons à cheval –, sont organisés selon le modèle grec des hoplites, mais armés de la sarisse, une lance de 14 à 16 pieds de long (de 5 à 6 mètres) maniée à deux mains, et d’une courte épée grecque. Quand les sarisses sont abaissées, les pointes des cinq premiers rangs dépassent la ligne d’attaque, formant une muraille hérissée de fer, infranchissable. Les sarisses des phalangites qui suivent sont dressées vers le ciel. On a ainsi des masses de combat, parfaitement entraînées, à la fois lourdes et mobiles, qui apparaissent comme de véritables citadelles mouvantes. La taxis – la plus grande unité de la phalange –, est commandée par un décadarque. L’infanterie légère est forte d’Hypaspistes parmi lesquels on recrute les éléments de l’Escadron Royal, l’ilè basilikè ou agèma. La cavalerie est composée d’éclaireurs répartis en 5 escadrons et de 8 escadrons lourds ou îles, dont l’un constitue l’Île royale, l’ilè basilikè. Chaque escadron est commandé par un ilarque. C’est à la tête de l’agèma, l’Escadron royal, qu’Alexandre charge habituellement. La cavalerie, qui occupe une place de plus en plus importante, joue un rôle capital dans les batailles rangées ou combats individuels. Ses charges fulgurantes sont décisives. Elle compte un groupe d’intervention rapide composé de Péoniens et d’Odrysiens. Quant aux sarissophores, cavaliers armés d’une sarisse de 4 mètres, souvent confondus avec les prodromoi, les Éclaireurs, ils forment un corps de cavalerie légère distinct de la cavalerie lourde équipée, elle, d’une courte pique. À cela, il faut ajouter les archers à cheval, les sagittarii equites dont parle Quinte-Curce (V, 4, 14), une infanterie et une cavalerie grecques et des mercenaires. Philippe s’est inspiré d’Iphicrate. Ce Stratège athénien a été à l’origine de la création d’un détachement de peltastes qui, lors de la Guerre de Corinthe (395-387), fut plus qu’une simple force d’appoint de la phalange, signe de modifications tactiques d’envergure ;(Diodore de Sicile, XV, 44, 2) dont on retrouve les échos chez Salluste, dans l’utilisation des vélites, – troupes légères spécialisées dans le harcèlement et la guérilla –, chez Asclépiodote (VI) et Onasandre (XVIII, XIX, XX). Les troupes légères, les psiloi, si souvent négligées par la stratégie grecque classique, jouent, avec Alexandre, un rôle décisif. Dans la stratégie du prince macédonien, les Hypaspistes, unité d’élite mobile dont l’armement est cependant plus lourd que celui du peltaste de l’époque classique, combattent aux côtés des phalangites. Le corps s’appelle les Hypaspistes des Hétaires. Ils sont indispensables lorsque le terrain interdit l’emploi de la phalange et qu’il faut exécuter des offensives rapides, occuper des hauteurs ou forcer des passages. Les troupes des Thraces et des Agrianes, les akontistes, ou lanceurs de javelots, constituent une infanterie plus légère. Les archers sont recrutés chez les Macédoniens ou les Crétois En 334, Alexandre fait passer son armée d’Europe en Asie. Il accoste en Troade avec 60 navires de combat selon Diodore de Sicile (XVII, 17, 2), 160 selon Arrien (I, 18, 4), 182 selon Justin (XI, 6). Cette armée est relativement de faible importance : une infanterie de 12 000 Macédoniens, 7 000 Alliés, 5 000 mercenaires commandés par Parménion. Des Odryses, des Triballes, des Illyriens au nombre de 7 000 et un millier d’archers et d’Agrianes les accompagnent. À cette infanterie forte de 30 000 hommes, il faut ajouter une cavalerie de 4 500 hommes. 1 800 Thessaliens sont sous le commandement de Callas, le fils d’Harpale. Les autres Grecs, 600 au total, ont Érigyios pour chef. Enfin, il y a 900 cavaliers thraces et péoniens commandés par Cassandros. Mais des troupes sont stationnés en Europe sous le commandement d’Antipatros : 12 000 fantassins et 1 500 cavaliers… L’armée d’Alexandre, en ordre de bataille, est divisée en deux parties : la gauche qui se tient sur la défensive et la droite qui porte l’attaque. Les différents corps sont organisés de droite à gauche de la manière suivante : les Agrianes, la cavalerie macédonienne, les Hypaspistes, l’infanterie lourde, la cavalerie des Alliés, la cavalerie thessalienne. L’infanterie légère commence le combat. Alexandre s’avance ensuite avec la cavalerie macédonienne. Les Hypaspistes continuent l’attaque. La phalange s’avance en dernier lieu. Cavalerie : La cavalerie des Compagnons est une unité exclusive aux Grecs ; plus rapide et plus puissante, elle remplace le cavalier. Il s'agit de l'unité de cavalerie la plus redoutable, tout du moins jusqu'à l'arrivée du chevalier. Elite avec un bouclier Faite pour rechercher la percée. La cavalerie légère est constituée des troupes militaires montées équipées d'armures et armes légères. Elle se distingue ainsi de la cavalerie lourde, dont les hommes (et parfois les chevaux) sont protégés d'armures épaisses. La cavalerie légère est principalement utilisée dans des missions de reconnaissance, pour harceler l'ennemi, ou mener des raids. Elle est aussi, longtemps, l'un des principaux moyens de communication entre différentes formations, ou le front et le commandement. La cavalerie Théssalienne : De tous les Grecs, les Thessaliens étaient considérés comme les meilleurs cavaliers qui soient. Cela n'est pas surprenant puisque la région centrale de Thessalie, avec ses plaines ondoyantes, regorgeait de grands et beaux chevaux, parfaits pour la guerre. C'est pour cela que les habitants se tournèrent naturellement vers l'élevage et l'utilisation des chevaux. Ils étaient férocement belliqueux, et pensaient descendre directement d'Héraclès. Leur société quasi-féodale, dirigée par des rois provenant de nobles familles thessaliennes, dominait ses voisins. Comme la Macédoine au nord mais en plus petit, le paysage de la Thessalie en faisait un terrain d'équitation idéal. C'est ainsi que la cavalerie devint partie intégrante de l'art de la guerre thessalien, ce qui leur donna un net avantage sur la plupart de leurs adversaires. Les cavaliers thessaliens faisaient peur à voir, et leur utilisation innovante (pour l'époque) de la formation en rhomboïde, ou en diamant, leur permettait de percer les flans ou l'arrière des phalanges ennemies, en semant la mort et le chaos dont ce genre de formation très serrée avait du mal à se remettre. 10% de bonus de charge La cavalerie Grecque : Les cavaliers montaient à cru, armés d’une lance et d’une épée et servaient surtout a repérer et a poursuivre les fuyards lors des batailles. En effet la participation de la cavalerie aux combats est très limitée et leur rôle est loin d’avoir un impact considérable sur l’issue des batailles. A Sparte la cavalerie est même méprisée et ne correspond de ce fait pas à une élite. Avec le temps la cavalerie va devenir de plus en plus importante, notamment à l’époque d’Alexandre où elle aura un impact très important. Cavalerie Thrace : bonne et aimant le gain
  11. La proportion des forces est correcte dans leur étendu, ainsi que la cavalerie. Les Phalangistes sont sur seize rangs alors que les Hoplites sont habituellement sur huit rangs de troupes. Comme on le voit, la coalition Samnites et Grecques possèdent une large supériorité numérique propre a menacer les ailes des Macédoniens s'il commettaient la faute de s'avancer... et occupent un plateau a droite nettement renforcé, destiné a enfoncer la droite ennemi, et évite la Phalange occupant la partie protégeant le port, ou si celle ci devait etre tenu par d'autres troupes pourrait etre enfoncé et permettrait la capture de toute cette armée Macédonniene. A ce moment, il reste cinq jours pour l'arrivée de nouveaux renforts Macédoniens. Un rempart ( orange ) et un fossé protège les Macédoniens. Je ne compte pas que les Samnites et les Grecs protège aussi leurs armée derrière des fortifications en bois avec fossés et plusieurs ouvertures pour le passage rapide de leurs armées pour s'établir dans la plaine. Ayant près du double de forces sur leurs adversaires, les Samnites peuvent s'attaquer aux fortifications ennemis, par le feux, au moyens de flèches enflammées par des tirs groupés, protégés par une nuée de fantassins légers et une puissante cavalerie derrière avec l'infanterie, ne donnant aucune chance possible de percer pour les Macédoniens contraints de subir, et préparèrent des fagots pour franchir les fossés. Tous ceci pourrait ce réaliser dans un temps tres cours, au cours d'une journée, mettant les Macédoniens dans une tres mauvaise posture. L'intervention de la marine grecque d'Italie, a ce moment, est destinée a retenir le maximum de forces Macedonnienes possible pour éviter d'etre tournée. Inévitablement le combat est perdu pour les Macédoniens, ou l'effort principal des Samnites sera porter contre les holplites ( la partie du front en bleu ) en évitant de s'attaquer aux phalangistes avec leurs lances de 6 M. ( En rouge sur le front ) et leur cavalerie, 3 fois supérieure a l'ennemi, permettant d'intercepter de flanc la cavalerie d'élite de choc et de l'envelopper, ne permette pas d'entrevoir une issue heureuse pour les Macédoniens. De deux choses l'une, soit le commandant de la place assiégé, demande et obtient de négocier et partir sans combat, sous la surveillance des coalisés jusqu'a évacuation complète de l'Italie. Soit, il y a combat, et les coalisés l'emporte sur les Macédoniens en attaquant par leur droite ( les hoplites, pas la phalange ) après que les remparts furent en grandes partie brulés, et le fossé de protection comblé par des fagots et des planches et ou les pertes seraient sévères, et l'armée finalement prisonnière, le tout, avant l'arrivée de nouveaux renforts Macédoniens, ou il leur faut cinq jours pour revenir a cette base. Voici pour une estimation basse de l'arrivée des renforts macédonniens et ou la cavalerie n'est pas privilégié, qui aurait égalé en nombre celle de l'ennemi, mais ou la cavalerie de choc aurait fait la différence. Dans ce cas précis, il fallait s'assurer d'une alliance avec un état ou cité état offrant un bon port pas trop éloigné, comme Tarente, qui occupait les pouilles, ( droite de la botte Italienne ) et qui avait des problèmes avec ses voisins du nord, et aurait peut etre accepté l'alliance Macédonniene, ou dans ces conditions, par intéret stratégique, je les fais toujours débarquer au futur port d'Otrante, tout en envoyant 5 000H à Tarente les rassurer entretemps, le reste s'établissant sur cette position. Ce cas d'infèriorité numérique surtout en cavalerie, vous montre que les macédoniens étaient dans la nécessité de choisir un port, le plus proche possible en cas de refus d'alliance, d'avoir une forte cavalerie, mais l'infanterie attaquer en force sur des unités hoplitique, en s'appuyant au besoin sur un bon terrain, débordant chaque ailes des Macédoniens, la cavalerie coalisé ciblant en particulier et chargeant toujours sur le flanc des Compagnons, cavalerie d'élite, il est probable, en évitant les phalangistes, que meme si Alexandre pu gagner des combats, qu'une alliance Samnites et Romains en plus des grecs, hormis Tarente, comprenant tout le danger que représente ce conquérant, en utilisant des terrains difficile pour la phalange, favorisant la légion, plus souple et les Samnites préférant la guerre en montagne, qu'Alexandre renonce a sa conquete, ou subisse assez de résistances et d'échecs, et nécessitant la protection de sa ligne d'opération et de ravitaillement, amputant des forces a mesure qu'il s'enfonce en Italie et devant son infèriorité numérique, ses arrières attaqué, parfois battu, en exploitant leur supèriorité, le raviataillement parfois coupé, que devant ces puissances alliés réunit, il abandonne, ce qui ne serait pas le cas contre les Samnites uniquement. Si les Samnites n'obtenaient pas l'aide de Rome, leur alliance avec Carthage, copains comme cochon, disait Tancrède, réunissant leurs forces, avec la cavalerie Numides, l'élite de la cavalerie légère du monde antique, et pouvant lever des centaines de milliers d'hommes sans pouvoir tous les équiper, et Rome protéger par ses remparts et imprenable pour les moyens d'Alexandre, sa flotte menacé, ses arrières aussi par Carthage et dans un combat majeurs, nettement surclassé en nombre et largement débordé et ayant un concurrent sérieux et tres mobiles contre la cavalerie, un terrain choisi par les coalisés, je ne donne pas à Alexandre de possibilité de vaincre au final des adversaires ayant aussi des tactiques plus souple sur le terrain.
  12. C'est une estimation d'après les recherches sur la marine que j'estime raisonnable d'après les combats navals déroulés entre Athène et Sparte suite aux guerres Médiques, ou ici, il s'agit de ne pas ce précipiter afin d'avoir établit assez rapidement une force conséquente en Italie qui demande l'aide maritime de toute la Grèce, et un port ou un abri atteignable le plus rapidement en Italie, et la future ville d'Otrante, a la botte sud est d'Italie est un bon emplacement, malgré le port de Brindisi mais dont la route maritime rallonge de plusieurs jours l'aller retour du trajet de la flotte, et dont le temps gagné est important. Les navires peuvent aller a la vitesse de 4 a 10 noeuds, selon l'état de la mer, et la fatigue des marins, et les navires ne peuvent transporter qu'une centaine de soldats en plus des marins. 1 noeud représente 1,852 Km. Il y a environ 250 Kms de routes maritime a parcourir donnant environ sept jours, aller-retour,et je me suis basé sur une vitesse moyenne de 4 noeuds, avec des pauses nécessaires pour le repos des rameurs en cours de journée. Troupes stationnés en Grèce sous le commandement d’Antipatros : 12 000 fantassins et 1 500 cavaliers… ( Authentique, pour assurer les arrières d'Alexandre partie conquérir la Perse. ) Voici donc ce que cela pourrait donner en restant dans une moyenne basse pour la vitesse des navires ou plusieurs embarcations sont nécessaire pour assurer la base en Italie et ou la météo joue un role avec l'état de la mer plus ou moins calme : Cas I, privilégiant l'infanterie. Alexandre a fait réunir son armée forte de 37 000H dont 5 100 cavaliers au Golfe Ambracique et autour de la ville d'Ambracie. Les navires, réunit dans le golfe Ambracique, partent vers l'Italie le 5 mai 334 pour accoster à la future ville d'Otrante vers la base est de la botte Italienne et l'atteigne 3 jours et demi après, dans un golfe assez large pour ofrir un abri a toute la flotte, et y débarquer la troupe, avant de repartir vers sa base reprendre de nouvelles troupes, ou celles ci, nullement inquiété par la trop faible population locale, construisit un fort pour s'assurer d'un retour offensif des grecs, avertit par leur débarquement sur leurs terres. Conscient que cette excursion n'avait rien de pacifique, les Grecs d'Italie levèrent 5 000H et 800 cavaliers, mais le temps de les réunir, douze jours passèrent, ( rapidité Grecque obtenue grace a l'envoie de la marine et la cavalerie avertissant leur pays.) ou malheureusement pour eux, les macédoniens avaient déja a ce jour, 8 000 H et 600 cavaliers sur la cote Italienne. ( Cavalerie de choc ) ( Je me réfère aux renforts Grecs fournit à Pyrrhus en 280 AV JC, ou 6 000 Grecs et 1000 Cavaliers, soit 86 ans plus tard, me semble dans une estimation assez raisonnable, d'autant que leur patrie est menacé. ) La réputation d'Alexandre avait haté les évènements, comprenant que le conquérant voudrait soumettre les Grecs d'Italie, et probablement davantage, recherchèrent l'alliance de la confédération Samnite, faisant valoir le danger d'avoir a leur porte un conquérant tel qu'Alexandre, qui avec toute son armée réunie qui avait soumis la Grèce en si peu d'années, et ne comptait certainement pas en rester là a soumettre que les Grecs d'Italie. Les Samnites, guerriers redoutables, allié a nouveau de Rome après leur guerre, acceptèrent, et promirent l'envoie de 40 000H commandé par Caius Pontius, ( Samnite ) qui arrivèrent avec les 5 800 Grecs devant Tarente, 40 jours après, ou entretemps, la garnison Macédoniene était montée a 20 000 fantassins et 1 500 cavalerie d'élite de choc, les Compagnons, avec a leur tete Alexandre. 3 jour plus tard, toute l'armée Samnite et Grecque ce présenta devant devant les Macédonniens qui avaient reçu a nouveau 4 000 fantassins et 300 cavaliers, les Compagnons, soit, la totalité de cette cavalerie d'élite. Ainsi, 24 000 fantassins et 1800 cavaliers de choc d'élite, allaient affronter 40 000 Samnites dont 5 000 cavaliers et 5 000 Grecs et 600 cavaliers. Alexandre a privilégié l'envoie de l'infanterie sur la cavalerie pour disposer de plus de troupes sur la cote Italienne, en espérant que la réaction de l'ennemi ne soit pas trop vive ni trop rapide, sinon c'est environ six a sept milles infanterie de moins. Ce qui dans ce cas précis, n'a pas marché a cause de sa réputation de conquérant, trop remuant et brillant. ( A mesure de l'arrivée des renforts Macédoniens, le fort était modifié et s'agrandissait d'autant, offrant sa protection aux troupes s'ils refusait le combat, sauf dans la partie du port occupé et seulement la droite est agrandit, car déja a la bonne hauteur. ) Voici donc la carte avec le terrain et son plateau qu'occupent les deux adversaires avec la taille respective des armées.
  13. Pour répondre a l'uchronie ou Alexandre comptait conquérir les cités grecques d'Italie, et au delà, l'Hispanie ( l'Espagne ) voici un scénario qui montre la difficulté d'avoir a le réaliser. Grèce : https://odysseum.eduscol.education.fr/larmee-macedonienne Des troupes sont stationnés en Europe sous le commandement d’Antipatros : 12 000 fantassins et 1 500 cavaliers… L'armée d'Alexandre : Total : 37 000 dont 5 100 Cavaliers 24 000 fantassins lourds (9 000 phalangites, 3 000 hypaspistes, 7 000 hoplites alliés, 5 000 hoplites mercenaires) 8 000 fantassins légers (7 000 Thraces et Illyriens, 1 000 Agrianes et archers 5 100 cavaliers (1 800 Compagnons, 1 800 Thessaliens, 600 cavaliers grecs, 900 cavaliers légers thraces et péoniens) Methode de combat : L’armée d’Alexandre, en ordre de bataille, est divisée en deux parties : la gauche qui se tient sur la défensive et la droite qui porte l’attaque. Les différents corps sont organisés de droite à gauche de la manière suivante : les Agrianes, la cavalerie macédonienne, les Hypaspistes, l’infanterie lourde, la cavalerie des Alliés, la cavalerie thessalienne. L’infanterie légère commence le combat. Alexandre s’avance ensuite avec la cavalerie macédonienne. Les Hypaspistes continuent l’attaque. La phalange s’avance en dernier lieu. L’infanterie lourde est donc caractérisée par son armement et son ordre de bataille. Les phalangites ou pezhétaires – les Compagnons à pied par opposition aux Hétaires, les Compagnons à cheval –, sont organisés selon le modèle grec des hoplites, mais armés de la sarisse, une lance de 14 à 16 pieds de long (de 5 à 6 mètres) maniée à deux mains, et d’une courte épée grecque. Quand les sarisses sont abaissées, les pointes des cinq premiers rangs dépassent la ligne d’attaque, formant une muraille hérissée de fer, infranchissable. Les sarisses des phalangites qui suivent sont dressées vers le ciel. On a ainsi des masses de combat, parfaitement entraînées, à la fois lourdes et mobiles, qui apparaissent comme de véritables citadelles mouvantes. La taxis – la plus grande unité de la phalange –, est commandée par un décadarque. L’infanterie légère est forte d’Hypaspistes parmi lesquels on recrute les éléments de l’Escadron Royal, l’ilè basilikè ou agèma. La cavalerie est composée d’éclaireurs répartis en 5 escadrons et de 8 escadrons lourds ou îles, dont l’un constitue l’Île royale, l’ilè basilikè. Chaque escadron est commandé par un ilarque. C’est à la tête de l’agèma, l’Escadron royal, qu’Alexandre charge habituellement. La cavalerie, qui occupe une place de plus en plus importante, joue un rôle capital dans les batailles rangées ou combats individuels. Ses charges fulgurantes sont décisives. Elle compte un groupe d’intervention rapide composé de Péoniens et d’Odrysiens. Quant aux sarissophores, cavaliers armés d’une sarisse de 4 mètres, souvent confondus avec les prodromoi, les Éclaireurs, ils forment un corps de cavalerie légère distinct de la cavalerie lourde équipée, elle, d’une courte pique. À cela, il faut ajouter les archers à cheval, les sagittarii equites dont parle Quinte-Curce (V, 4, 14), une infanterie et une cavalerie grecques et des mercenaires. Philippe s’est inspiré d’Iphicrate. Ce Stratège athénien a été à l’origine de la création d’un détachement de peltastes qui, lors de la Guerre de Corinthe (395-387), fut plus qu’une simple force d’appoint de la phalange, signe de modifications tactiques d’envergure ;(Diodore de Sicile, XV, 44, 2) dont on retrouve les échos chez Salluste, dans l’utilisation des vélites, – troupes légères spécialisées dans le harcèlement et la guérilla –, chez Asclépiodote (VI) et Onasandre (XVIII, XIX, XX). Les troupes légères, les psiloi, si souvent négligées par la stratégie grecque classique, jouent, avec Alexandre, un rôle décisif. Dans la stratégie du prince macédonien, les Hypaspistes, unité d’élite mobile dont l’armement est cependant plus lourd que celui du peltaste de l’époque classique, combattent aux côtés des phalangites. Le corps s’appelle les Hypaspistes des Hétaires. Ils sont indispensables lorsque le terrain interdit l’emploi de la phalange et qu’il faut exécuter des offensives rapides, occuper des hauteurs ou forcer des passages. Les troupes des Thraces et des Agrianes, les akontistes, ou lanceurs de javelots, constituent une infanterie plus légère. Les archers sont recrutés chez les Macédoniens ou les Crétois En 334, Alexandre fait passer son armée d’Europe en Asie. Il accoste en Troade avec 60 navires de combat selon Diodore de Sicile (XVII, 17, 2), 160 selon Arrien (I, 18, 4), 182 selon Justin (XI, 6). Cette armée est relativement de faible importance : une infanterie de 12 000 Macédoniens, 7 000 Alliés, 5 000 mercenaires commandés par Parménion. Des Odryses, des Triballes, des Illyriens au nombre de 7 000 et un millier d’archers et d’Agrianes les accompagnent. À cette infanterie forte de 30 000 hommes, il faut ajouter une cavalerie de 4 500 hommes. 1 800 Thessaliens sont sous le commandement de Callas, le fils d’Harpale. Les autres Grecs, 600 au total, ont Érigyios pour chef. Enfin, il y a 900 cavaliers thraces et péoniens commandés par Cassandros. Mais des troupes sont stationnés en Europe sous le commandement d’Antipatros : 12 000 fantassins et 1 500 cavaliers… L’armée d’Alexandre, en ordre de bataille, est divisée en deux parties : la gauche qui se tient sur la défensive et la droite qui porte l’attaque. Les différents corps sont organisés de droite à gauche de la manière suivante : les Agrianes, la cavalerie macédonienne, les Hypaspistes, l’infanterie lourde, la cavalerie des Alliés, la cavalerie thessalienne. L’infanterie légère commence le combat. Alexandre s’avance ensuite avec la cavalerie macédonienne. Les Hypaspistes continuent l’attaque. La phalange s’avance en dernier lieu. Cavalerie : La cavalerie des Compagnons est une unité exclusive aux Grecs ; plus rapide et plus puissante, elle remplace le cavalier. Il s'agit de l'unité de cavalerie la plus redoutable, tout du moins jusqu'à l'arrivée du chevalier. Elite avec un bouclier Faite pour rechercher la percée. La cavalerie légère est constituée des troupes militaires montées équipées d'armures et armes légères. Elle se distingue ainsi de la cavalerie lourde, dont les hommes (et parfois les chevaux) sont protégés d'armures épaisses. La cavalerie légère est principalement utilisée dans des missions de reconnaissance, pour harceler l'ennemi, ou mener des raids. Elle est aussi, longtemps, l'un des principaux moyens de communication entre différentes formations, ou le front et le commandement. La cavalerie Théssalienne : De tous les Grecs, les Thessaliens étaient considérés comme les meilleurs cavaliers qui soient. Cela n'est pas surprenant puisque la région centrale de Thessalie, avec ses plaines ondoyantes, regorgeait de grands et beaux chevaux, parfaits pour la guerre. C'est pour cela que les habitants se tournèrent naturellement vers l'élevage et l'utilisation des chevaux. Ils étaient férocement belliqueux, et pensaient descendre directement d'Héraclès. Leur société quasi-féodale, dirigée par des rois provenant de nobles familles thessaliennes, dominait ses voisins. Comme la Macédoine au nord mais en plus petit, le paysage de la Thessalie en faisait un terrain d'équitation idéal. C'est ainsi que la cavalerie devint partie intégrante de l'art de la guerre thessalien, ce qui leur donna un net avantage sur la plupart de leurs adversaires. Les cavaliers thessaliens faisaient peur à voir, et leur utilisation innovante (pour l'époque) de la formation en rhomboïde, ou en diamant, leur permettait de percer les flans ou l'arrière des phalanges ennemies, en semant la mort et le chaos dont ce genre de formation très serrée avait du mal à se remettre. LA CAVALERIE GRECQUE Les cavaliers montaient à cru, armés d’une lance et d’une épée et servaient surtout a repérer et a poursuivre les fuyards lors des batailles. En effet la participation de la cavalerie aux combats est très limitée et leur rôle est loin d’avoir un impact considérable sur l’issue des batailles. A Sparte la cavalerie est même méprisée et ne correspond de ce fait pas à une élite. Avec le temps la cavalerie va devenir de plus en plus importante, notamment à l’époque d’Alexandre où elle aura un impact très important. Cavalerie Thrace : bonne et aimant le gain Uchronie tres intéréssante, mais démontrant la difficulté de s'établir pour ensuite conquérir les cités états Grecs d'Italie. Je fais partir Alexandre des ports Grecs, soumis a sont autorité, ayant réunit une flotte de plus de trois cent cinquante navires et cent cinquante transports, avec 4 000 soldats et trois cent chevaux, dont le reste, 33 000H devra attendre que la flotte revienne les prendre.
  14. Voici la carte des peuples Ibéres : Cela parait facile a conquérir au premier abord, mais le fait qu'il y a une multitude d'entités, fait que cela ne rend que plus instable les conquêtes dès qu'il s'éloignerait d'une région pour en attaquer d'autres. Mieux vaut n'avoir qu'une seule entité a combattre que différend peuples. La Gaule nous en offre un exemple, César, avec jusqu'a 80 000 H n'a pu soumettre la Gaule malgré la défaite d'Alésia, et après quatre ans d'éffort et avec les allié Eduéens, et en ayant un outil militaire plus adapté que celui d'Alexandre, plus souple tactiquement et construisant des fortifications. La rebellion a toujours continuée après son départ. Et les conditions géographique de l'Hispanie ne facilite pas a sa conquete et le défenseur peut prendre position sur des terrains difficiles pour la phalange, et qui la domine.
  15. Dans le cas ou il reviendrait vers l'Empire, il lui faut d'abord aborder l'Italie avec un nombre de soldats nécessitant un niveau proportionnel a la campagne qui s'ouvrirait contre les cités Grecques, afin de ne pas inquiéter inutilement ses voisins et garder de bonnes relation avec eux. Comme je l'ai dit plus haut, s'il prend le risque de passer par la mer pour prendre les cités Grecques de la Corse, de la Gaule et de l'Hispanie, il lui faudra passer par terre au risque de voir toute sa flotte disparaitre dans une tempète avec ses soldats. Admettons qu'il soit avertit de ce danger, il devra les délaisser, a moins de devoir prendre le risque de passer par terre après négociation pacifique ou bien par le combat, dont je doute devant plusieurs entités que cet empire durerait longtemps et ou l'alliance Rome et Carthage, a minima, serait certainement de mise pour secouer le joug et chasser l'agresseur obliger de laisser des garnisons un peu partout pour tenir ces pays pendant qu'Alexandre irait voir du coté de la Perse. Réaliste, je le verrais plutot devoir ce contenter des cités grecque d'Italie et de Sicile, mais là encore, il lui faudra placer des Garnisons, plutot que de les disséminer jusqu'en Gaule et Hispanie avec le risque d'etre battu, Alexandre Partit. De plus, la conquete vers l'Hispanie ne ce comprendrais pas par les autres nations, là ou la Grèce du subir les offensives de la Perse qui expliquerait cette union forcé contre elle, aussi, elle verrais mal la venue de 40 a 50 000H s'établissant en Italie. Cela aurait d'autres but que la simple conquete des cités Grecques. Ce serait perçu ainsi.
  16. Il faut prendre en compte au départ, que la Macédoine c'est "réveillé" pour devenir un état conquérant et a soumis rapidement la Grèce et qu'Alexandre c'est fait aussi une réputation inévitable qui a dépassé le cadre de cette conquete, alertant ses proches voisins. Le fait qu'il passerait en Italie avec 40 a 50 000H pour soumettre en apparence que les seules cités grecques quand moins de troupes seraient suffisant, est déja un indicateur militaire et politique sur sa volonté probable de conquete de s'épandre probablement bien au delà de cette seule région que sa réputation qui le devancerait desservirait, par la nécessité de ce prévenir d'avance contre lui, par précaution, et mettrait la puce a l'oreille. Une telle ambition avec des moyens bien trop supérieur a la conquete seule des villes Grecques alerterait ses proches voisins ce qui les mettraient en garde inévitablement. Voici comment je verrais un des scénarios possible s'il continuait a vouloir soumettre les autres cités Grecques devant le danger qu'il représenterait. S'il met le pied en Sicile pour continuer sa conquete, il lui faudrait laisser des garnisons et une petite armée pour garder ses conquetes en Italie pour assurer ses arrières, et les Samnites pourraient attaquer avec 40 000H, ( ce qu'ils ont fait en 320 Av JC avec 40 000H ), a ce moment en mettant a profit le départ d'Alexandre, ce qui provoquerait surement un soulèvement des cités Grecques d'Italie, augmentant encore le nombre pour les Samnites. Et combien de Macédoniens seraient tués et prisonniers dans ces combats, plus de 5000H ?...et avant qu'Alexandre intervienne avec le gros de l'armée et soit pret ?... Combien de ports entretemps serait pris et de navire Macedoniens coulés, aussi ?... S'il délaissait pour le moment la Sicile et s'attaque aux Samnites, laissant une garnison derrière lui surveiller les Grecs, il pourrait passer par des zones assez accidentés qui pourrait désorganiser sa phalange dans des combats, ou des défilés comme c'est arrivé aux Romains obligé de passer les Fourches Caudines ou dans des combats que pourront exploiter les troupes légères contre les lourdes phalanges qui pourrait se désorganiser comme à Cynoscéphales, bien entendu contre des Romains et ayant une tactique plus souple. Et puis les Samnites ont un bouclier et une armure comme pièce défensive, pas comme les Perses qui n'avaient rien de tout cela, et ils connaissent leur terrain. Tout ceci pour montrer dans un scénario négatif mais réaliste, les possibilités du a l'exploitation du terrain et a son inconnue pour le conquérant, pour combien de pertes pour lui ? Bien sur, sans fautes du aux terrains pas assez reconnue, les Samnites seraient finalement vaincue, mais dans les deux cas, cela braquerait Rome et Carthage, alliés probablement contre Alexandre, en voyant son désir d'expansion d'un coté ou de l'autre. Ce n'est jamais bon d'avoir quelqu'un de trop remuant pour voisin qui de plus a un passé de conquérant et brillant et qui semble ne pas vouloir y mettre un terme, c'est pourquoi avec une politique avisée dont ils devaient etre capable, j'ai fais intervenir les Samnites prenant l'initiative de l'attaque dans le cas ou Alexandre s'éloignerait, étant probablement les prochains sur la liste du conquérant. Ou bien les Samnites, alliés de Rome, les aidant a combattre d'abord leurs adversaires, pour ce retourner plus tard, unie, contre Alexandre, avec une réserve d'homme impressionnante pas tous équipable. Voila un autre scenario possible devant le danger qu'aurait représenté Alexandre. Il y a aussi le combat sur la mer, ou les Macédoniens interceptés par Carthage en mer et perdant la bataille, pourrait couter fort cher a l'armée. Peut etre trop. Mais admettons qu'Alexandre arrive a triompher de ses adversaires séparément et soient moins habiles en politique pour s'unir contre lui. Il lui faudra avant de partir en guerre contre l'Espagne, ( sans passer par la Gaule ) laisser des garnisons dans les nations conquises et selon le nombre de leurs populations et de leurs humeurs. Combien devrait-il en laisser et combien lui en resteraient-il après les combats pour l'Hispanie ? Il lui faut gagner un port suffisamment important sur la cote pour y réunir toute sa flotte, toute son armée, en plusieurs voyage, et permette une conquète facile pour élargir le périmètre de sa base pour la mettre a l'abri de l'ennemi, rapidement. Ensuite, dépendant pour le ravitaillement de sa base d'opération d'Italie du sud, du centre et de Carthage, conquise, sa flotte est a la merci de tempètes qui peuvent meme la détruire complètement, comme ce fut le cas pour les Romains lors des guerres Puniques. Que ferait l'armée d'Alexandre s'il ne dispose encore que d'une petite base en Hispanie avec des voisins pas trop enchanté de le recevoir, refusant de coopérer commercialement avec lui, le considérant comme un ennemi et ce préparant plutot pour la guerre ? L'armée pourrait etre condamner et sa conquete s'arréter là. C'est pourquoi, pour éviter de tels scénarios possible, s'il ne trouve pas d'allié d'avance pour y accoster en toute sécurité a un port réunissant de bonne conditions, et son armée, ravitaillée, sa réputation de conquérant l'ayant précédé, il est douteux qu'on lui accorde pareil avantage. Aussi, pour éviter une semblable catastrophe possible qui pourrait condamner son armée, il lui faudra passer par terre, y prévoir un, ou des alliés, donc, remonter l'Italie, soumettre les Gaulois cisalpin s'ils refusent son alliance, ( avec risque de trahison ) longer la cote pour arriver en Hispanie en espérant qu'il y trouvera des alliés en route après avance diplomatiques prévue, tout en protégeant ses arrières avec des garnisons a l'abri, et sans pouvoir ce fier aux peuples qu'ils auraient soumis au passage, et ayant une assez forte identité nationale, ayant une volonté assez forte de ce libérer de la tutelle de l'ennemi, il est douteux qu'il parviennent a son but, atteindre les Colonnes d'Hercules. Combien de soldats cela lui couterais a laisser en arrière protéger, et le ravitaillement et sa ligne d'opération malgré le recrutement du mercenariat ? Et le plus dur reste a faire a mesure de sa progression comme le disait Tancrède sur le fait d'avoir a affronter plusieurs entités plutot qu'une, qui meme soumise, ce révolterait avec d'autres, faisant que ses arrières seraient souvent coupés du ravitaillement, attaqués par surprises ou pendant les maraudes de l'armée devenue nécessiteux, passant a la guérilla ou aux batailles et combats incéssants qui épuiserait l'armée, avec une motivation loin d'etre égale a celle de la conquete de la Perse, leur ennemi commun,qu'ils avaient tous majoritairement en tete. Quand aux paiement des troupes soulevé par Tancrède, avec ses conditions extérieure, je doute que la troupe soient assez motivés pour poursuivre le rève d'Alexandre pendant des années, avec le risque a chaque instant de ce voir couper de sa base d'opération d'Italie et attaquer par surprise sur des terrains accidentés, défavorable à la phalange, et le manque de richesse n'aiderait pas a recruter assez de troupes pour réaliser son rève. Alexandre bien enfoncé en Hispanie, Rome et Carthage ce soulèveraient inévitablement, et rien ne pourrait dès lors l'en empécher pour ce libérer de leurs ennemis auxquel ils arriveraient a bout, faisant peut etre meme alliance provisoire avec les Gaulois Cisalpin. Meme avec des otages, car un ou des incidents avec la population et leurs gardiens pourrait tout remettre en question et déclencher la guerre en devenant incontrolable. C'est prendre trop de risque pour un résultat qui s'il aurait hypothétiquement réussit, ne tiendrait que du vivant d'Alexandre, et encore avec toutes les pertes, et ayant une multitude d'entités qu'il faudrait soumettre, et prompt a la rebellion. Alors, non, je ne lui vois pas batir un empire qui contrebalancerais meme en partie celui des Perses, et ou son nom brillerait au firmament, il rencontrerait tellement de problèmes avec les guerres incéssante et son ravitaillement par terre si souvent attaqué ou détruit, grace aussi aux alliances possible de peuples Hispanique avec des Gaulois, que je le verrais plutot meme renoncer devant les résultats si décevant, au mieux, au pire, je le vois battu par une coalition de Romains, Carthaginois et Gaulois ensemble, par ex. (Je crois me rappeler qu'il a fallu vingt ans aux Carthaginois pour soumettre une partie de l'Hispanie jusqu'a l'Elbre, sans compter la première étape sur la cote Andalouse.) Au passage, un conquérant doit toujours calculer les possibilités qu'il aurait de réussir et les moyens a mettre en oeuvre, il doit etre réaliste malgré ses rèves, sinon il ira a l'échec.
  17. Voici la carte des opérations de ce que les Russes auraient du faire pour le placement des troupes : En tireté, les anciennes positions Russes en gros sur la frontière. Barclay de Tolly et Bagration pouvaient choisir de ce réfugier derrière la Dwina, mais c'était la route de Moscou qu'il fallait défendre. Il ne suffisait que de reconnaissances Russes vers la frontière pour connaitre les intentions des Français, et leur directions. Ils évitaient la possibilité d'etre encerclés sur les frontières et d'entrée allongeait le ravitaillement des Français, et commençait a user l'armée. Le gros des forces Française suivant le flanc qu'elle présentait aux Russes pouvait etre attaqué selon que le gros des Russes soient bien placé pour le faire, d'ou les flèches partant du nord et de l'est d'ou ils pouvaient attaquer... Du fait d'une si grande armée, Napoleon devait diviser sont armée, afin de ne pas surcharger inutilement les routes, d'ou la flèche au sud pour prendre Minsk, par ex, si le gros des forces montait vers le nord, et prise nécessaire au controle de la région, puis aller jusqu'a Orcha, pour fermer et controler ce secteur. Macdonald et Oudinot devaient tenir la Dwina. Par contre cela avait un sérieux avantage pour les Français, celle de ne plus avoir a courir pour rattraper les Russes qui a tant fait fondre l'armée et aux ravitaillement qui ne suivait plus. C'est une campagne qui, sur de pareille distance, ne pouvait etre achever qu'en trois ans avec chaque année, l'arrivée de nouveaux renforts, ou les Russes auraient fait de meme de leurs coté. Ainsi, les Russes préservaient leurs armées sans ce mettre en péril, et si Napoleon voulait chercher la solution, il fallait qu'il aille la trouver proche de Moscou ou de St Pétersbourg, face a de grandes forces, ayant aussi a protéger des centaines de kilomètres de ses nouvelles lignes d'opérations, sans etre a l'abri d'attaque puissante qui pouvait le couper pour longtemps de sa base d'opération. Pour contrer cela, il lui aurait fallu avoir plus du double de force des Russes, soit, une armée pour ce battre et vaincre surement l'ennemi, et une autre au moins aussi nombreuse, si ce n'est plus encore pour protéger ses arrières. Ce qui n'était pas réalisable au point de vu armées qui excédait largement les forces Française et alliés, et capacité en ravitaillement. Il aurait fallu pour cela, que l'Autriche et la Prusse s'engage a fond, comme en 1813, pour obtenir le quota probablement nécessaire de troupes, mais pour le ravitaillement le problème était immense.
  18. A propos de l'uchronie de 1812, les Russes ont commit des fautes historique qui auraient du les perdre entièrement sans les retards inutile de certains généraux et maréchaux Français, la malchance, et aussi de la folie de Junot. Comme vous le remarquez, la proportion des forces largement en faveur des Français, rend le dispositif Russe inadéquat. Par son étendu d'abord, qui rend impossible toute défense sérieuse. Cette impossibilité rend inutile la défense au frontière. Quand a réunir toutes les forces pour y attendre Napoleon et sa formidable armée autour de Vilna, c'était s'exposer a un risque d'encerclement en plus d'une défaite certaine. Pourquoi Vilna ? pour bénéficier d'une route principale directe de retraite sans perte de temps, soit aller vers Drissa, soit prendre la route de Moscou. Et meme s'il y avait quelque idée de manoeuvre de la part des Russes en plaçant Bagration au sud, probablement dans l'espoir d'attaquer Napoleon sur les arrières qu'il aurait présenté s'il montait vers Drissa, sur la Dwina, dont Barlay de Tolly comptait aller et entrainer les Français, ils oubliaient que Napoleon pouvait répondre a cette menace sans aucun problème, grace a sa grande supériorité numérique qui y aurait fait échec. C'était irréaliste. Qu'avait donc a défendre les Russes plutot que de s'exposer dangereusement sur la frontière ? ce sont deux voies principales menant aux deux capitales, Moscou, considéré comme sainte, puisque capitale religieuse, c'est donc la priorité des Russes de la défendre, puis, St Pétersbourg, ou la route est déja plus difficile de surcroit. Qui tenait les cartes pour conduire les Français dans telles ou telles direction ? les Russes, puisque pour vaincre son ennemi, il faut battre ses armées, c'est évident. Ainsi, les Russes n'avaient que deux voies a défendre, cela devait etre clair, plutot que d'éparpiller leurs forces a la frontière qui les a rendu incapable de combattre d'entrée de campagne, et malgré l'injonction du Tzar Alexandre poussant Barclay de Tolly a ce battre. Aussi, la position des Russes n'étaient pas d'etre sur la frontière, indéfendable, mais bien en retrait de celle ci, soit sur la Dwina, du coté de Drissa, ( camp retranché inachevé ) avec l'essentiel des forces, soit sur la Bérézina au plus pret, à Borissov, dans le but de menacer potentiellement les flancs des Français, d'un coté ou de l'autre, sans prendre aucun risque, pour reculer sur le Dniepr, vers Orcha, Smolensk, toujours sans risquer leurs armées pour défendre la route de Moscou, puis les entrainer au loin comme cela a été fait. Voila ce que devaient faire les Russes. Car la position des Russes au départ était dangereuse, malgré l'échec manqué de Jérome Bonaparte ( remplacé après par Reynier ), Bagration aurait été immanquablement intercepté si Davout, chargé par Napoleon de lui couper la route et d'empecher le ralliement avec Barclay de Tolly, n'avait pas perdu inutilement pour rien, quatre jours à Minsk, ce dont Napoleon lui fit le reproche, ce qui sauva la 2eme armée de Bagration. Et je ne parle pas de la folie réelle de Junot qui fit tout rater en refusant d'avancer ses troupes pour boucler complètement l'encerclement de l'armée Russe. Une autre faute qui aurait du etre fatale, est celle de Koutouzov quand il prit position à Borodino. C'est de ce placer dans l'angle de deux rivières, la Katatsha et la Moskva, plus large encore que la première, croyant y trouver un abri, dans lequel il aurait du etre infailliblement enfermé si l'attaque prévu par Napoleon n'avait pas subit le retard de vingt minutes, du a l'élimination successif de leurs commandants, qui permis a temps l'envoie de la réserve Russe pour les bloquer, sinon, s'en était fait des redoutes et de l'armée Russe coincé dans l'angle, et la campagne aurait pris une tout autre tournure. On ne doit jamais ce battre avec une rivière ou un fleuve a dos, et Koutouzov a sous estimé Napoleon, comme dans le cas ou il croyait qu'il allait foncer directement sur les redoutes et y épuiser ses forces dessus, au lieu de choisir de passer entre les deux comme il l'a tenté, ce qui sans la malchance, aurait été fatal a l'armée Russe. Et la retraite n'aurait pas tournée en catastrophe. Voila ce qu'il y avait a dire sur ces points là qui ce devaient d'etre éclaircie.
  19. Voici donc un scénario qui aurait trés bien pu ce réaliser, et reposant sur des bases réalistes. ( Sauf que je n'ai pas compter la désertion et les maladies qui frappait les deux camps, et qui au final aurait probablement compté a peu près dans la meme proportion plus ou moins équilibré, d'homme aux combat. ) La campagne de Russie, avec ses opérations mesuré dans le temps et dans l'espace, sans etre trop excéssif, une cavalerie sans cesse remonté chaque année, avec l'artillerie, sans avoir eu a subir la retraite et le climat terrible de 1812, car deja cantonné et ravitailler, les campagnes démarrant a la bonne saison, de bonne lignes d'opérations bien défendu, contre une armée ou ne restait plus que de la milice inexpérimenté, ni endurante, et des généraux Russes médiocre qui ne passaient pas par l'école de guerre ( Authentique ) , qui les commandaient, hormis Wittgenstein, une puissance feu inferieure aux Français, en artillerie comme aux tirs rapprochés, une rapidité supérieure dans les manoeuvres avec une capacité a couvrir des distances plus importantes aux besoin, ont permis des encerclements décisif grace a la superiorité acquise dès le début de la campagne, que les Russes n'ont jamais pu rattraper, en me fondant sur les nouveaux effectifs levée de l'année 1812. Le fait que le Tzar cède, malgré qu'il comptait meme ce réfugier au Kamtchatka et compter sur le climat que Napoleon à déjoué sur ce dernier point, est qu'il voit ce réaliser ses souhaits en Europe, sauf pour le détroit du Bosphore, avec la fin du Blocus Continental ( grace a la prise de l'Inde) , ou lui manquait des matières premières indispensable pour la Russie, et la victoire de Napoleon, indiscutable et les propositions si intéressante qu'il lui a offert, malgré qu'il pouvait le remplacer par un Francophile, ont fait de lui un bon allié, et la perspective d'etre un des acteurs principal dans le monde avec les intérets économique que la Russie en tirerait, et une Pologne non ressucitée, sa grande crainte qui n'a plus lieu d'etre, l'on décidé a accepter, là ou il n'y avait que des avantages, alors qu'il aurait pu perdre le Trone. Et cela, le Tzar ne l'oublia jamais. Edit : Il ne portait aucun ressentiment pour Moscou brulé, car Napoleon avait apporter des preuves irréfutables que cet incendie avait été ordonné par le gouverneur, Fédor Rostopchine, en lui envoyant quelques incendiaires prisonniers au Tzar, qui avaient avouer la vérité, vérité, qui après son alliance fut répandu a travers toute la Russie, afin de favoriser plus aisément la conquete de l'Inde et la coopération avec les armées Françaises. Quand à Rostopchine, il expia ses fautes en sibérie.
  20. Base du traité de négociation et suite... : Lettre a sa Majesté le Tzar Alexandre de toute les Russies de la part de l'Empereur des Français. Sire, votre armée n'existe presque plus, mes légions ont triomphés partout, mais c'est avec peine que je vous ait fait la guerre. En 1813, vous avez refusé mes propositions à Moscou, comptant encore sur votre armée pour apporter votre solution. J'y est été forcée pour vous acculer a la sagesse, afin de tenter de ramener la paix entre nos deux pays. Vous avez voulu sortir du Blocus Continental qui était un mal nécessaire pour tout le monde, je comprend votre position. Vous l'avez apprit au passage, l'Espagne a de nouveau un Roi, et commerce avec l'Angleterre, le Portugal fait de meme, portant un coup sévère au Blocus Continental. Cependant, il y a un moyen d'entrevoir la sortie, qui avantagera nos deux pays et l'Europe au dépend de l'Angleterre, c'est de lui prendre l'Inde, de nous la partager équitablement avec l'Espagne, en passant par la voie terrestre, comme proposé déja au traité de Tilsit. ( Authentique.) L'Angleterre, privé de cette colonnie, son économie fortement impactée, ne pourra plus perturber autant l'Europe en faisant lever des armées contre la France. Dès lors, la nécessité du Blocus Continental ne sera plus nécessaire, et nos deux pays prospèreront ensemble, libre d'échanger, et assureront la paix en Europe qui subira un nouveau soufle économique bienfaisant. La Pologne ne s'en trouvera pas agrandit après ces campagnes, comme vous le craignez. Je vous l'ai promis, et je tiendrais parole. La question des Balkans qui intérèsse tant votre Majesté, sera réglé rapidement. La Roumélie ( Roumanie ) et la Bulgarie, seront en votre possession, de meme le Caucase. Tous ceci devrait satisfaire votre Majesté en accédant a vos demandes. Le détroit du Bosphore est plus délicat, et indisposerait les puissances Européenne, dont l'Angleterre qui verrait fort mal un nouveau concurrent en Méditérrannée. Si vous accepter de négocier sur cette base, je vous enverrais Caulaincourt qui comprend votre Majesté. Mais si vous persistez dans votre refus en écoutant de mauvais conseil, je me verrais au regret de soulever la population Russe qui refuse le servage et qui a apprécier d'avoir a user de plus de liberté depuis la présence des Français, et verrais mal le retour au servage complet. Cette colère s'étendrait rapidement une fois enflammée, et vos armées ne pourront la réduire. Votre trone meme serais menacé, et il s'ensuivrait une révolution qui bouleverserait toute la région civilisé de la Russie. La paix ou la guerre est donc entre vos mains, mais si vous écouter votre coeur, sa Majesté fera le bon choix. Napoleon, Empereur des Français. Napoleon lui donne un délais d'un mois pour conclure, a cause de la saison tardive d'été. ( Là, Napoleon bluffe a moitié à propos de la colère des paysans Russes, en mélangeant le vrai du faux. Car il est vrai qu'au départ la partie civilisé de la Russie jusqu'au Dniepr et Smolensk, comptait sur les armées des Français pour secouer le joug du servage, puis, ne voyant rien venir pour améliorer leurs sorts, ce sont retournés contre eux en 1812. Mais le fait que la France occupe depuis deux ans une partie de la Russie, il est bien probable, que les paysans ce sont assagit par leurs présence a force d'habitude, et auraient pu reprendre les armes s'il avaient été poussé a le faire. ) Si cela ce confirmait, le trone meme de la Russie tomberait. ( Authentique ) Le 25 septembre, Alexandre signe le traité d'alliance sur la base que lui a proposé Napoleon. Désormais, il est certain que Napoleon tiendra parole a propos du Duché de Varsovie, ( Pologne ) qu'il craignait le plus de voir agrandit au dépend un jour de la Russie, ou sur la Prusse, et constituer a l'avenir un glacis important, menaçant la Russie. La question des Balkans et du Caucase qui lui tenait a coeur, sera réglé. L'expédition sur l'Inde, n'est pas pour lui déplaire, il hait les Anglais, il l'a dit à Tilsit en 1807 à Napoleon, et la signature mettra fin au Blocus Continental et fera repartir l'économie dont souffre l'Europe. Pour les récalcitrants au traité, Alexandre a fait valoir la menace paysanne pour les soumettre a la raison. Les cinq prochaine années montrèrent que le Tzar avait eu raison de ce fier a la Parole de Napoleon, et récupéra les pays convoités, dont l'Inde, ce qui n'était pas pour lui déplaire face aux Anglais, " Ces marchands de chairs humaine", comme il l'avait dénoncé devant Napoleon en 1807. La nouvelle de la victoire et de la signature de paix avec le Tzar a son retour en Europe de l'ouest et en France, soumit définitivement l'Autriche et l'Allemagne devant l'aura d'invincibilité de Napoleon de retour de Russie, et l'annonce de la fin du Blocus Continental contenta tous les commerçants. Napoleon, récompensa par force pour le peu qu'elle a fait, l'Autriche, comme promit, en lui restituant l'Illyrie, ou elle pourra commercer par mer et améliorer son économie, et la perspective d'avoir la Russie comme surveillant de l'Europe, calma la politique agressive de l'Autriche. Metternich fut renvoyer, pour mettre en place le frère de l'Empereur François, l'archiduc Jean Baptiste, favorable a l'alliance Française. ( Authentique ) Afin de brouiller pour longtemps la Prusse et l'Autriche, Napoleon restitua la Silésie à l'Autriche, gagné par le Grand Frédéric II, ce qui souleva un tollé en Prusse, mais que la puissance de la France, sortit victorieuse d'une si vaste campagne, ce contenta seulement d'une protestation officielle par le roi de Prusse, mais avec le temps, la haine si longtemps contenu éclata contre la France. 200 000H se soulevérent, grace aux réforme de Scharnhorst et Gneisenau, au lieu de ne disposer que de 42 000H imposé par Napoleon. La Russie, envoya une armée de 150 000H prévu par le traité de Tilsit toujours viable en conservant l'éssentiel de ce traité, hormis le Blocus. Napoleon envoya 280 000H, occupa d'emblée, Berlin, les forteresses de Sttetin, de Kustrin, de Glogau et Breslau, le long de l'Oder. Ses ailes bien protéger, partant de Berlin, il battit les Prussiens dans plusieurs rencontre, dont une décisive, pendant que l'armée Russe s'enfonçait en Prusse orientale, avec l'intention manifeste de combattre. Devant ces défaites, le Roi de Prusse Frédéric III consentit à négocier. Cette fois, Napoleon lui enleva tous les territoires, sauf la Prusse orientale, ou le roi du s'en contenter plutot que de tout perdre, et aussi pour éviter d'avoir pour frontière directe, la Russie, afin de ne pas indisposer le Tzar. L'Espagne, est toujours aux prises avec les problèmes interieur, (authentique ) et l'Autriche, désormais seule face a la Russie et à la France, avec une Angleterre incapable de monter une puissante coalition de ce fait, permis a l'Europe de vivre pour un temps la paix, jusqu'a la mort de Napoleon en 1840.
  21. Voici la carte des opérations du 19 au 22 Aout 1814. ( En regardant la carte, deux posts, plus haut, montré par Google Earth, vous verrez les forets que cette carte ci dessous ne montre pas, et qui explique que Wittgenstein soit bloqué par Davout sans pouvoir ce deployer en artillerie au sortir du chemin face a toute l'artillerie de Davout. ) Voici la ville de Novgorod en 1862 : En 1875, la ville comptait 17 000 habitants, donc on peut l'estimer a plus de 10 a 12 000 habitant en 1814. La forteresse de droite a gauche fait plus de 2 100 mètres, et dans son épaisseur jusqu'au fleuve, 1 100 mètres, environ.. C'est ce qui explique la possibilité d'encerclement opéré par Masséna et ses 50 000H suplémentaire qui déborde largement ses adversaires et qui permet l'encerclement de l'armée Russe pris au piége, avec un seul pont, impraticable due aux incendies provoqués par les tir aux boulet rouge. Voici la forteresse de Riga, en 1800, et la ville compte a cette date, plus de 29 000 habitants.
  22. La manoeuvre sur Novgorod, et bataille du 20 au 21 Aout : Napoleon est conscient du danger de la manoeuvre de Wittgenstein visant probablement a le prendre de flanc lorsqu'il serait engagé contre les Russes à Novgorod, aussi, pour le tromper, et le faire tomber dans son propre piège, il divise sont armée en deux, Davout commandera 60 000H et protègera son flanc, en ce tenant a l'entrée de la foret, de sorte que l'ennemi ne puisse déployer son artillerie, tandis que Napoleon continuera vers Novgorod avec 140 000H, sans s'engager a fond dans la bataille. De plus, Masséna, commandant les 90 000H placé dans l'angle de la Louga interviendra avec 60 000H pour intercepter Wittgenstein, dès qu'il entendra les coups de canons indiquant le nombre de dizaines de milliers Russes voulant traverser, soit vers la droite, soit vers la gauche, ou, un coup de canon vaudrait pour 10 000H dans ce cas précis. Il laissera son commandement a Victor provisoirement pour les 30 000H qui resteront sur place. ( Méthode employé par Bonaparte en Italie pour l'artillerie. ) La carte montrant les manoeuvres n'indique pas les forets, ni les lacs qui gèneront le passage sur la Louga et l'unique chemin permettant de la relier a Luga ( 3000H environ en 1814 ) qui traverse la foret avant d'atteindre la plaine de Novgorod, dont Napoleon a donner l'ordre de saboter l'unique chemin en faisant abattre des arbres en travers pour empecher tout du long la progression des Russes et pour soutenir par leur renfort, les Russes occupant Novgorod. La bataille devrait durer deux jours avant que la victoire ce décide grace a l'arrivée des 50 000H de Masséna le lendemain, tot le matin, qui ira renforcer la gauche de Napoleon, en laissant au passage 10 000H à Davout. D'ici là, l'ennemi aura fait peu de progréssion contre Davout. Grace a ses renforts, Napoleon entreprend une manoeuvre tournante avec Masséna sur la gauche de Novgorod, débordant largement l'ennemi, ( tout en protégeant ses arrières ) qui ce voit rabattu contre la Volkhov, large de près de 300 mètres. L'unique pont qui la traverse par la forteresse de Novgorod est impraticable, car l'Empereur a déja fait tirer a boulet rouge dans cette zone, pour empécher justement cette traversée grace aux incendies provoqués, qui sauverait les Russes enfermée dans cette nasse, et désormais prisonnière. Les milices Russes inexpérimentées, le moral défait par toutes les défaites déja subit depuis 1812, la puissance feux en faveur des Français dans le combat rapproché en particulier, ou là ou la milice Russe tire un coup ou deux par minute, ( Authentique pour la milice ) le Français en tire deux, allié a leur grande expérience et l'art du combat, ont finalement vaincu dans une bataille décisive l'ennemi qui du subir de grandes concentrations de feux aux point névralgiques et pour affaiblir la puissance feux de l'adversaire moins expérimenté, là ou le Français, comme à Wagram, tirait deux fois plus vite que leurs adversaire avec leurs artillerie, ( authentique ) faisant une nette différence et préparant la victoire. Du coté de Wittgenstein, l'artillerie de Davout qui cueillait ses troupes dès la sortit du chemin, n'ayant aucune artillerie pouvant ce déployer en nombre, fut contenue dans le bois, malgré ses tentative pour déborder Davout. Mais celui ci, avait former deux ailes trés forte pour eviter ce problème, de sorte que le Russe ne put atteindre aucun résultat. De plus, la Jeune Garde était prete a etre envoyé par Napoleon pour soutenir son maréchal. Quand on lui apprit la défaite de Novgorod, avec la demande de Négociation de Napoleon a envoyer au Tzar, Wittgenstein retraita et dut retraverser la Louga, suivit tranquillement par 50 000H de Davout, qui envoya les 20 000H restant a Victor, commandant les 30 000H dans l'angle de la Louga au soir du 21 Aout. La campagne est donc déja décidée, ce 21 Aout 1814, malgré qu'elle puisse continuer avant un probable cesser le feux général pendant l'ouverture des négociations. Malgré cela, ignorant encore cette défaite, les 32 000 attaquèrent Luga, le 19 Aout, et les 3 000 Français qui l'occupaient n'attendirent pas le choc et retraitèrent vers les 30 000H occupant encore par sécurité l'angle de la Louga. Voyant cela, les Russes qui les suivaient revinrent à Luga et attendirent les 20 000H de Yambourg devant arriver le 21 Aout. D'ici là, Victor, commandant les 30 000H, plus les 3 000H, rappela a lui les 7 000 Polonais placé a près de 18 Kms sous lui, sauf les reconnaissances, et les 2 000H a sa gauche protégeant le ravitaillement, totalisant 42 000H, et restant sur place, obligeant l'adversaire a perdre du temps pour une journée et demi, ou d'ici là, il renforça ses positions pour en faire un camp retranché. Il fit appel à la garnison de Pskov, de 15 000H pour le renforcer, dont le courrier l'atteignit 3 jours et demi après, le 24 Aout. Le 22 Aout, Victor reçu les 20 000H que lui avait envoyer Davout, sécurisant lui de son coté, la gauche de Napoleon en allant sur la Louga. C'est a cette date que les 20 000H de Yamburg et les 32 000H arrivèrent devant le camp retranché de Victor et ses 62 000H désormais. Mais ayant connaissance de la défaite décisive des Russes à Novgorod, de la retraite de Wittgenstein après cela, et de la volonté de Napoleon de vouloir négocier, il leurs prendre connaissance de ce fait, avant de vouloir engager le combat. Ce dont ils se soumirent et laissèrent la diplomatie prendre la pas sur les armes, et évacuèrent Luga pour ce reformer derrière la Louga. Quand à Wittgenstein, passant par la droite de Luga,il ce porta au devant de St Pétersbourg avec son armée, et la lettre de négociation que le Tzar reçu le 26 Aout par le courier. Au centre du front, bien avant cette victoire décisive, le corps de 20 000H envoyé par Tormasov, commandé par Markov, traversa le Dniepr a Mogilev, dans le but d'attaquer le dépot de Minsk. Le télégraphe Chappe fit encore la différence et put largement alerter Soult, qui fit envoyer la garnison de Vitebsk et du camp retranché, soit 18 000H, par Orcha sur Mogilev, et envoya 10 000H des 20 000 Polonais installé à Polotsk, les soutenir. Ceci suffit a arréter la progression des Russes de Markov, qui préféra renoncer devant l'arrivée de tant de troupes, plutot que d'etre battu. MacDonald envoya sur ordre de Soult, 10 000H à Minsk pour sécuriser le dépot et tenir ce carrefour éssentiel. Une surprise attendait tout le monde, ce fut le débarquement vers Riga de 30 000 Anglais, mener par le contre amiral William Sidney Smith, pensant les 20 000 Prussiens toujours à ce poste, pour pouvoir soit faire cause commune avec eux, ou bien sans qu'ils interviennent, aller attaquer les voies de ravitaillement des Français aux maximum passant dans la région, avant d'embarquer sans attendre la réaction des Français, ou ils pensaient que cela pourrait leurs porter assez de torts, et peut etre influer sur le résultat de la campagne ce déroulant dans le nord. D'ou le choix de cette expédition, et comptant peut etre trop sur la trahison des Prussiens, mais qui sait... Grande fut leur surprise, quand il la virent occupés par les Français, et attaquer la forteresse aurait mener inévitablement a l'échec et ferait perdre trop de temps, assez pour que des renforts Français les renforcent et les rejettent a la mer. Devant cette mauvaise surprise, l'amiral Sidney Smith commanda la retraite. Au Sud, Tormazov, toujours fidèle au traité secret signé avec Schwarzenberg, ( Authentique ) ne bougea pas. Ainsi, tout le front ce calma, les réserves ayant joué leur role, empecherent l'ennemi d'apporter la destruction. La place est maintenant au négociations. Mais comment obtenir un changement d'attitude du Tzar qui comptait meme ce réfugier au Kamtchatka et compter sur l'hiver Russe pour vaincre l'ennemi ? ( Authentique ) Qu'apporte donc Napoleon de nouveau pour le convaincre ?... C'est ce que nous verrons... Je n'ai pas compter les morts et blessés dont le plan et le déroulement du combat, étant donné que le résultat militaire est décisif pour la campagne et poussera inévitablement le Tzar a négocier, meme si ce serait pour gagner du temps.
  23. Voici les manoeuvres éffectuées du 10 aout au 19 Aout. Les Russes au nord restent d'abord sur leurs position par crainte d'une manoeuvre surprise Française qui pourrait les prendre à revers et menacer St Pétersbourg. Au sud, Wittgenstein renforce sa droite vers Luga par crainte d'etre tournée, avec 32 000H, et la rivière est large de plus de 130 mètres sur plusieurs kilomètres. Il laisse 80 000H dans la boucle de la Louga, dans l'espoir d'attaquer le flanc de bataille de Napoleon, et l'arrière, lorsqu'il sera engagé dans le combat à Novgorod, retenu par 138 000H, ou il sait qu'il ne peut faire jeu égal avec l'Empereur du fait que ses troupes sont inexpérimentées, car face a face, il est perdu. Il doit donc manoeuvrer, et pour le moment, pressés par les événements et manquant de temps, et d'informations suffisante, il suppose la force de Napoleon bien plus puissante qu'elle n'est en réalité allant sur Novgorod, et le rideau de troupes des deux groupes principaux Français ne permette pas de connaitre leur forces. Il mise tout sur cette manoeuvre de flanc, il sait qu'il sera intercepter par des troupes située a l'angle droit de la Louga, qu'il estime bien infèrieure a ce qu'elle est en réalité, mais il s'estime capable d'y résister et d'accomplir sa manoeuvre de flanc. Car il lui faut tenir Novgorod. Si celle ci tombe, c'est toute la ligne de la Louga qui sera tournée et deviendra inutile, c'est pourquoi il prend un risque calculé dans une certaine mesure, mais Napoleon ne l'oblige t-il pas a faire une faute en fonçant sur Novgorod ? Il ne sait...mais il est mis dans l'obligation d'agir, et d'un autre coté, il a des chances qui lui restent s'il choisissait une autre manoeuvre... Car de par la position centrale qu'il tient dans la boucle de la Louga avec 80 000H, il a la possibilité d'attaquer avec 110 000H en réunissant celle a droite de Luga, soit pour attaquer cette ville, soit traverser la Louga plus bas, dans le but d'attaquer l'armée Française située a l'angle de cette rivière, et celle ci probablement battu ou contenu, serait rejoint par le corps Russe de Yamburg en passant vers Luga, après plusieurs jours car trés boisés pour cheminer, et pourrait selon les évènements menacer les communications de Napoleon, qui, meme victorieux à Novgorod, aurait du soucis a ce faire. C'est donc un jeu trés serré qui ce joue, et la moindre faute pourrait ce payer trés cher. Voici cette région avec Google Earth, qui explique pourquoi il n'y a pas eu bataille principale a Luga, ou le front est trop étroit pour déployer toutes ses forces et sa puissance feux, et ou la retraite du Russe serait trés difficile.
  24. La campagne de 1814, 2eme partie. Dès l'arrivée de l'armée sur leurs positions, de profondes reconnaissances sont lancées pour savoir ou ce trouve le gros des forces. Une semaine après, la 3 aout, Napoleon a une idée assez précise du dispositif ennemi, et grace aux espions. L'ennemi ce situe entre Luga et Novgorod, partagé en trois groupes pour plus de mobilité, mais d'après la nature de la région, Novgorod est plus indiqué pour recevoir la bataille, car Luga est trop boisé et ne peut recevoir l'ennemi que par le sud. ( Authentique ) Et vingt a trente mille Russes tiennent le nord dans le but de ne pas etre tournée et menacer la capitale. Puisque le flanc droit n'est pas menacé, Napoleon ( 200 000H ) appelle a lui le corps de Davout de 100 000H d'Ostrov, et celui de Petchori ( 40 000H ) qui occupera Pskov dès que Napoleon sera partit, ou entretemps, l'armée en fait un camp retranché, de manière a doubler ses forces... De plus, il appelle le corps Polonais de 14 000H sous les ordres de Soult qui arrivera dans huit jours, pour venir à Pskov, formant une armée de 54 000H, sous le commandement d'Augereau, dès que l'armée de Napoleon sera partit de là avec l'armée de Davout. D'autres instructions seront a suivre pour Augereau selon que la situation évolue. Le 10 Aout 1814, Napoleon part en direction de Novgorod avec 300 000H, partagé en trois groupes marchant a la meme hauteur, sauf un qui suit a trois heures de marche du gros de l'armée. Il a réunit le maximum d'artillerie possible sur les 1450 canons, sans mettre en danger ses autres corps d'armée français, soit 1 200 Canons. Les Polonais et les Prussiens ayant les leurs. Wittgenstein est informé de l'arrivé de Napoleon, il a placé ses troupes de manière a répondre a la menace qui pèsera sur l'un des deux objectifs, Luga ou Novgorod. 20 000 Russes tiennent la rive droite de la Louga, et 2 000 autres, la ville de Luga. Le 14 Aout, Napoleon arrive a quarante kms de Luga, soit a mi distance entre cette ville et la route de Novgorod, et a quinze Kms de la rivière. Bien entendue, des reconnaissances devance largement son armée, et vers Luga et Novgorod. Le lendemain, Napoleon, envoie un de ces généraux foncer vers Luga avec une partie de ces forces pour l'occuper, 30 000H, laissant le plus gros sur place, mais prete a intervenir, et un rideau placé en avant les cachent, de sortent que l'ennemi n'a pas connaissance de la manoeuvre sur Luga, avant de l'apprendre 3 heures plus tard par un parti de cosaques. Le terrain et cette région ne ce prete pas a la bataille, étant trop boisée. 2 000 Russes qui l'occupaient, sans attendre la confrontation, l'évacuent et traversent la Louga, large par endroit de 370 mètres, pour y couper le pont. C'est ce que souhaitait Napoleon a ce moment, juste occuper la ville, ou il laisse 3 000H, afin de ne pas avoir les arrières couper ou devoir la surveiller au cas ou il s'avancerait trop, et cette armée rejoignit les gros des forces, en arrière de l'armée principale, totalisant 127 000H. D'ailleurs, l'ennemi ne comptait la défendre qu'a la condition qu'il y ait un combat général qui menacerait la capitale, mais en retrait de la ville, a droite de la rivière. Mais Wittgenstein donna l'ordre de rapprocher l'armée un peu plus vers Luga en cas de mauvaises surprise, et donna l'ordre au 20 000H de Yamburg de descendre entre Gdov et Luga, afin de menacer les communications de Napoleon, et aux 5000H occupant Eva d'aller sur Derpt et Petchori, faire des démonstrations de forces, sans s'engager pour ce dernier a fond. Augereau, quand à lui, avait reçu l'instruction de quitter Pskov avec 15 000H et de s'installer à Porkov, deux jours après le départ de Napoleon, afin de sécuriser les communications, et avec l'autre moitié, de tenir le carrefour et le pont entre Novgorod et Perkov. ( Déja, 7 000H avaient été prélevée de l'armée principale pour sécuriser les communications, plus les 3 000H laissé à Luga en surveillance, restant, 290 000H. ) Napoleon plaça son armée vers l'angle droit de la Louga, tard le soir, a l'abri d'un rideau de troupes afin que l'ennemi ne puissent déterminer exactement la force envoyer vers ce point, et qui pouvait décider d'attaquer en moins d'un jour, Novgorod ou Luga. Aussi, le Lendemain, Napoleon partit avec 200 000H en trois colonnes marchant a la meme hauteur sur Novgorod, pour menacer St Pétersbourg, avec un rideau de troupes pour faire écran dans sa marche. 100 000H restant sur place, sur l'angle droit de la Louga. Wittgenstein, avertit de ce mouvement, laissa 30 000H a Luga en cas de mauvaises surprises, partit vers Novgorod, sur trois colonne, dont avec la dernière, il comptait prendre de flanc l'armée de Napoleon lorsque la bataille commencerait. Mais Napoleon avait prévu cette possibilité, cette réserve pouvait soit le renforcer une fois l'ennemi réuni à Novgorod, soit tenir largement plus de dix heures lorsque c'est en plaine, avec de surcroit, la Louga large de 25 mètres en moyenne a cet endroit, mais trop boisé pour aller y combattre en vérité, si Wittgenstein comptait l'attaquer, et Napoleon aurait eu le temps de revenir, soit tomber sur cette attaque de flanc qu'il prévoyait, et au besoin, revenir sur ce point, tout en laissant une arrière garde assez forte pour contenir ce qui composerait l'armée Russe à Novgorod, si elle intervenait elle aussi. A suivre, la manoeuvre sur Novgorod.
  25. La campagne ayant commencé le 15 juillet 1814, comme l'année d'avant pour profiter pleinement de la moisson, ce trouve douze jours plus tard, le 27 juillet, chacun sur leurs positions prévu par Napoleon. Les fleches en pointillées noires représente les possibilités des Russes selon le temps qu'il disposerait et la stratégie prévue a l'avance, dont il faut ce prévenir, d'ou, de profondes reconnaissances, des flancs forts et ressemblés autour de Pskov qui commande la région, plus un prolongement des flancs nécéssaire sur ce vaste espace pour ce garantir de danger encore ignorés mais possible, notamment la possibilité de vouloir forcer la région de Vitebsk pour menacer tout l'arriere du dispositif installé a l'avant, à Pskov afin de le faire tomber. C'est pourquoi l'armée de Soult est là pour parer a ce danger, et ajouter des garnisons de Vitebsk et du camp en dessous au besoin pour faire bonne mesure, totaliseraient 81 000H et pourrait ce charger aussi de la protection du centre du front, comprenant Minsk et Vilna. Au besoin, la nouvelle garnison remplaçant les Prussiens, pourront s'ajouter a l'armée de Soult si des éfforts ennemi important viendrait du centre est, vers Minsk et Vilna, ou des dépots importants sont à défendre. La garnison Polonaise de 14 000H représente la seconde ligne de défense du front nord, et incitera aussi les Prussiens intégré dans le dispositif a faire plus consciencieusement leurs devoir, auxquel, l'armée de Soult prévoiera là aussi la défense et l'offensive au besoin. Mais comme ce secteur que Soult tient sera moins menacé par l'ennemi, il est normal qu'il aura plusieurs tache a remplir, mais on estime que la force ennemi ne sera pas suffisante pour l'en empécher. Si par contre le russe entreprennait une manoeuvre des plus audacieuse en prenant les devant, le corps de 100 000H à Ostrov pourrait ce lier a lui et repousser ensemble l'ennemi, et vice versa. Cette année, Napoleon a fait augmenter encore le nombre de charroies pour le ravitaillement pour ne pas subir trop fortement des éffets de la terre brulée avec l'armée qui suit leurs rythme afin d'éviter des pertes inutiles. ( Non quantifiable. ) L'artillerie a été portée a 1450 canons et la cavalerie est entièrement remonté. L'hiver n'a pas été rude, mais de saison, il n'y a donc pas eu d'hécatombre parmi la cavalerie, et chaque année, a mesure que le temps passe, le ravitaillement est renforcé, plus de nouveau fours a pains sont construit. Les soldats ont garder le moral malgré la longue campagne, la victoire réparait tout, la troupe était pleine d'entrain. Chez les Russes malgré leurs pertes du printemps ( 8000H ), ils ont recrutés encore de nouvelles milices au nord, montant leurs armées a 275 000H. Le moral est mauvais, les troupes inexpérimentés et peu endurant. Alexandre a fait savoir qu'il ne capitulerait pas, et attend que chacun d'eux face son devoir. Ils ont reçu de l'Angleterre 100 000 fusils par St Pétersbourg, et assez d'argent pour soutenir cette campagne. Au sud, Tormazov a envoyer une armée de 20 000H depuis le printemps, en face du centre du dispositif Francais, dans l'intention d'attaquer la base d'opération Française, estimant qu'il pourrait sérieusement nuire a la stratégie Française une fois lancée pendant l'été sur St Pétersbourg. Il attend le moment favorable. Et Wittgenstein a fait courrir le bruit que d'importante forces ce levaient et pouvait a nouveau menacer par la route de Moscou le centre du front Français, d'ou la nécessité de ce couvrir grace a l'armée de Soult, et le besoin d'utiliser les garnisons pour cette défense, qui pourra servir en partie comme réserve pour Napoleon, selon le degrés d'évolution du danger plus ou moins éliminée ou reposant sur de la propagande. Tout va ce jouer dans le cours de cette année, mais quel que soit l'issue, le Tzar n'abandonnera pas. ( Cliquez sur la carte pour l'agrandir. )
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