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erthermer

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Tout ce qui a été posté par erthermer

  1. Mon honorable interlocuteur aura mal compris l'article qui faisait référence non pas à une interview mais des écoutes téléphonqiues capturés par les longues oreilles des services secrets. Mon humble et insignifiant avis ne vaut que pour ce qu'il est mais je lui accorde plus de pétales de roses parfumés que des sentences autodidacte venu de nul part. Quant au Chat de j'aipété c'est moins qu'un âne dans sa version actuelle, même Trump ne s'est pas risqué à l'employer pour être élu, il avait un autre mulet en la personne d'Elon Musk pour soutenir son imposant postérieur.
  2. Et bien sûr, si je vous demande les liens d'infos que vous jugez plus pertinent je risque de me trouver du mauvais coté de la Bérésina ! sérieusement si vous avez une preuve que cet article est faux alors montrez le par la preuve, sinon ce sont des paroles en l'air écrite d'une plume d'oiseau.
  3. Trump est un narcissique, mais il oublie qu'à force de refaire lui même les règles, un autre pourrait tout autant décider de modifier la règle électoral pour permettre à un étranger de naissance de se présenter à la présidentielle, ce qu'aurait fait Trump sans hésiter s'il n'était pas né aux USA. il a bien pris d'assaut le Capitol, chose impensable avant lui. Comme tous les apprentis dictateur, Trump s'expose à la trahison de ses proches plus surement qu'aux attaques de ses adversaires et Musk a les dents longue et tranchante.
  4. https://fr.news.yahoo.com/allez-au-diable-infirmière-russe-125155395.html --------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Il était couru d'avance d'avance que les Nord Coréens se feraient globalement rejeter par les russes et que l'huile ne se mélange pas à l'eau, d'autant que le rejet de l'étranger a toujours été de la politique à Poutine, assimilé à des agent de l'extérieur, au point que même les opposants russes sont considérés comme des étrangers par le pouvoir en place, et qu'il y a une grande défiance à l'encontre des asiatiques avec lesquels Poutine a une frontière, même s'ils sont considérés comme des alliées, et je dirais à plus forte raison ils sont vu comme une menace. Les Nord coréens se font traiter comme du bétail à l'abattoir et n'en tireront ni avantage ou remerciement, ils sont dans la continuité de Wagner et des taulards envoyé à la boucherie, certes, cela permet des gains territoriaux mais fait bouillir la marmite au point d'en faire sauter le couvercle comme on l'a vu avec la chevauchée sauvage de Prigojine sur Moscou. Les Nord coréens pourraient bien eux aussi trouver leur sort révoltant.
  5. Les bureaux du gouvernement iranien sont fermés ou fonctionnent à des horaires réduits. Les écoles et les universités ne fonctionnent plus qu’en ligne. Les autoroutes et les centres commerciaux sont plongés dans le noir et les usines sont privées d’électricité, ce qui entraîne un arrêt quasi total de la production. Bien que l’Iran dispose de l’une des plus grandes réserves de gaz naturel et de pétrole brut au monde, il est en proie à une crise énergétique généralisée qui peut être attribuée à des années de sanctions, à une mauvaise gestion, à des infrastructures vieillissantes, à une consommation excessive et à des attaques ciblées d’Israël. « Nous sommes confrontés à des déséquilibres très graves dans les domaines du gaz, de l’électricité, de l’énergie, de l’eau, de l’argent et de l’environnement », a déclaré le président Masoud Pezeshkian dans un discours télévisé en direct à la nation ce mois-ci. « Tous ces déséquilibres sont à un niveau qui pourrait se transformer en crise. » Alors que l’Iran est aux prises avec des problèmes d’infrastructure depuis des années, le président a averti que le problème avait atteint un point critique. Les autorités ont déclaré que le déficit de gaz dont le pays a besoin pour fonctionner s'élève à environ 350 millions de mètres cubes par jour. Les températures ayant chuté et la demande ayant grimpé en flèche, les autorités ont dû recourir à des mesures extrêmes pour rationner le gaz. Le gouvernement était confronté à deux choix difficiles. Il devait soit couper le service de gaz aux habitations, soit couper l'alimentation des centrales électriques qui produisaient de l'électricité. Il a choisi la deuxième option, car couper le gaz aux habitations comporterait de graves risques pour la sécurité et couperait la principale source de chauffage pour la plupart des Iraniens. Vendredi, 17 centrales électriques avaient été complètement mises hors service et les autres n'étaient que partiellement opérationnelles. Tavanir, la compagnie d'électricité publique, a averti les producteurs de toutes sortes de produits, de l'acier au verre en passant par les produits alimentaires et les médicaments, qu'ils devaient se préparer à des coupures de courant généralisées qui pourraient durer des jours ou des semaines. Cette nouvelle a fait déraper les industries publiques et privées. Mehdi Bostanchi, le chef du Conseil de coordination des industries du pays, un organisme national qui agit comme un lien entre les industries et le gouvernement, a déclaré dans une interview depuis Téhéran que la situation était catastrophique et sans précédent dans l’industrie. Il a estimé que les pertes de la semaine dernière pourraient réduire l’industrie manufacturière en Iran d’au moins 30 à 50 pour cent et représenter des dizaines de milliards de dollars de pertes. Il a ajouté que si aucune entreprise n’a été épargnée, les petites et moyennes usines ont été les plus durement touchées. Un facteur moins connu a aggravé la crise énergétique cette année : en février, Israël a fait exploser deux gazoducs en Iran dans le cadre de sa guerre secrète avec le pays. En conséquence, le gouvernement a discrètement puisé dans ses réserves de gaz d’urgence pour éviter des interruptions de service pour des millions de personnes, selon un responsable du ministère du pétrole et M. Hosseini, membre du comité de l’énergie de la Chambre de commerce. M. Pezeshkian, élu président en juillet, a déclaré que son gouvernement avait hérité d’une réserve d’énergie épuisée qu’il n’a pas été en mesure de reconstituer. Le gaz naturel représente environ 70 % des sources d’énergie de l’Iran, un taux bien plus élevé que celui des États-Unis et de l’Europe, selon des études internationales sur l’énergie. Le gouvernement a mis en œuvre un projet ambitieux visant à approvisionner en gaz tous les coins de l’Iran, y compris les petits villages, et aujourd’hui, environ 90 % des foyers iraniens dépendent du gaz pour se chauffer et cuisiner. source : https://www.nytimes.com/2024/12/21/world/middleeast/iran-economy-energy-crisis.html
  6. Si vous envisagez ne serait-ce qu'une seconde de réduire ces 55 milliards par des prélèvements supplémentaire en pleine crise économique et inflation vous iriez au devant d'un écroulement brutal politico-fimancier, naufrageant l'industrie par réduction massive de la consommation des ménages, et du coup c'est le serpent qui se mord la queue, plus vous tentez de réduire le déficit plus il se creuse en causant de nouvelles dépenses non financés, du chômage et une réduction sans fin des cotisations sociales qui deviennent toujours plus insupportable faute de revenus. Vous ne pouvez pas réduire la dette et être compétitif sur le plan économique, c'est totalement contradictoire, celui qui fait ce choix doit en assumer les conséquences de manière prévisionnelle sauf à risquer une révolution.
  7. La règle des 3% est une ineptie qui va à l'encontre des fondamentaux de l'économie dont une des règles de base est de ne jamais, mais alors vraiment jamais, dans aucune circonstance, rembourser la dette quand le déficit se creuse, car cela ne fait qu'accélérer le déficit, et ça se vérifie encore une fois par les faits. L'économie de l'Europe tout entière a toujours été stagnante au mieux. Exonérer les riches et les grosses entreprises de prélèvements est une autre ineptie qui endette l'état bien plus que la part du social. Si le déficit s'aggrave, il faut investir des capitaux dans l'économie et si l'investisseur privé est absent, alors c'est à l'état d'y pourvoir pour recréer de la croissance et de l'emploi. Une dette d'état se rembourse uniquement lorsque la croissance et l'emploi est déjà reparti à la hausse,n quand l'état est en mesure de collecter une part équitable de la richesse produite. La Grèce a subit le passage du FMI comme une invasion de sauterelles qui n'a fait qu'aggraver leur déficit qui continu de flamber. Bayrou est un idéologue qui va tenter de commettre l'irréparable en essayant de nous imposer ce que Barnier voulait, une fiscalité monstrueuse et une charge trop lourde sur le monde du travail et des familles au nom soi disant du remboursement de la dette qui ne sera jamais remboursé de cette manière, tout au contraire elle sera encore creusé, comme l'a fait Macron. Comme Barnier, Bayrou est à peine un éclair dans la nuit qui ne durera guère longtemps, à la première réforme ça pète avec des flammes ! et éberlué retournera sur son autre planête de privilégiés loin du peuple...
  8. Pendant des décennies, l’Iran a investi de l’argent et de l’aide militaire en Syrie, soutenant le régime d’Assad dans ses ambitions d’affrontement avec Israël. Aujourd’hui, de nombreux Iraniens se demandent ouvertement pourquoi. Un ancien député, Heshmatollah Falahatpisheh, a déclaré dans un message sur les réseaux sociaux que les Iraniens devraient se réjouir de la chute de l’allié de longue date de l’Iran, le président syrien Bachar al-Assad. « Personne ne pourra plus gaspiller l’argent de l’Iran pour entretenir une toile d’araignée », a-t-il déclaré. Alors que les opposants au gouvernement se sont depuis longtemps irrités de l’argent que l’Iran a envoyé dans tout le Moyen-Orient, ce sentiment semble désormais s’être répandu. Même certains qui ont combattu au nom de leur gouvernement en Syrie ou ont perdu des membres de leur famille dans la guerre civile dans ce pays se demandent si cela en valait la peine. La réaction officielle de l'Iran a été confuse. Le président Masoud Pezeshkian et le ministre des Affaires étrangères Abbas Araghchi ont cherché à éloigner la nation des événements qui se déroulent dans le pays voisin. Le peuple syrien, ont déclaré le président et le ministre des Affaires étrangères, a le droit de déterminer son avenir politique. Le vice-président iranien chargé de la stratégie, Mohammad Javad Zarif, a déclaré que son pays « est prêt à entretenir de bonnes relations avec le futur gouvernement syrien, et nous avons toujours été aux côtés du peuple syrien ». Mais le guide suprême iranien, l’ayatollah Khamenei, dans son premier discours public sur les événements en Syrie, a adopté un ton plus dur mercredi. Il a accusé les États-Unis et Israël d’être responsables de la chute de M. al-Assad, qualifiant les rebelles qui l’ont renversé d’« agresseurs » aux motivations concurrentes et au service de leurs maîtres. Il a également fait allusion au soutien de la Turquie à certains rebelles en Syrie. « Avec la bénédiction de Dieu, les territoires occupés en Syrie seront libérés par les jeunes Syriens courageux », a déclaré M. Khamenei. « Ne doutez pas que cela se produira. » Il a prédit que la « résistance » se répandrait largement dans toute la région et que l’Iran se renforcerait. « Si Dieu le veut », a scandé l’auditoire de plusieurs centaines d’hommes et de femmes assis par terre dans le hall des visiteurs de son complexe. Mais le discours de M. Khamenei a fait fi de la réalité sur le terrain en Syrie, où l’armée s’est rapidement repliée face à l’avancée des rebelles et où les Syriens – jeunes et vieux, hommes et femmes – ont célébré la chute d’un dirigeant tyrannique en dansant dans les rues en scandant « Liberté ». Même le Hamas, les militants de Gaza pour lesquels l’Iran et son allié du Hezbollah au Liban ont pris des risques, a publié une déclaration félicitant les rebelles syriens pour leur victoire et a déclaré qu’il se tenait aux côtés du peuple syrien. Le Hamas a connu une brève brouille avec l’Iran il y a plus de dix ans, lorsque le soulèvement syrien a commencé, parce que chacun soutenait des camps différents. M. Khamenei a semblé outré par ces critiques. Ces commentaires, a-t-il déclaré, étaient « un crime » car ils semaient la peur dans l’opinion publique. Quelques heures plus tard, la justice iranienne a annoncé l’ouverture d’une enquête criminelle sur une liste de personnalités et de médias de premier plan qui ont été à l’origine de ces critiques. Parmi ces personnalités figurait M. Falahatpisheh, l’ancien député qui a révélé que la dette syrienne envers l’Iran s’élevait à environ 30 milliards de dollars. « La Syrie était un élément clé du plan régional de l’Iran, qui consistait à encercler Israël dans un cercle de feu », a déclaré Matthew Levitt, directeur du programme de lutte contre le terrorisme au Washington Institute for Near East Policy, un organisme de recherche. « L’axe de résistance était un tabouret à trois pieds composé de l’Iran, de la Syrie et du Hezbollah, et il ne tient plus. » M. Levitt a déclaré que l’Iran comptait également sur la Syrie sur le plan économique. Ses achats de brut iranien et de pétrole raffiné, malgré les sanctions américaines contre l’Iran, ont aidé Téhéran à financer ses opérations militaires dans la région. Alireza Mokarami, un vétéran iranien qui a combattu pendant la guerre civile en Syrie et qui dirige aujourd’hui un site d’informations locales, a publié un article très largement diffusé sur « l’échec catastrophique » de l’Iran en Syrie. « Pourquoi avez-vous dépensé des milliards de dollars de revenus pétroliers appartenant au peuple iranien pour Assad jusqu’à la fin s’il ne vous écoutait même pas ? » a-t-il demandé. Il a ajouté : « Au moins sur le sujet de la Syrie, arrêtez de mentir et soyez honnête avec le peuple. » Pour le moment, les perspectives de reproduire les liens que l’Iran avait autrefois avec la Syrie semblent faibles. Après le renversement du régime d’Assad, les Syriens ont pris d’assaut l’ambassade iranienne à Damas, arrachant des photos de dirigeants iraniens et en faisant descendre son drapeau. Et Ahmed al-Shara, le chef rebelle islamiste qui a mené l’insurrection, a publiquement fustigé l’Iran. Le régime d’Assad, a-t-il dit, a apporté de nombreux maux à son pays, parmi lesquels celui de transformer la Syrie en « une ferme pour la cupidité iranienne ». source : https://www.nytimes.com/2024/12/13/world/middleeast/iran-syria-assad.html L'Iran subit un terrible affaiblissement et le pouvoir est plus que jamais moribond, à la merci d'une révolution de palais et cette fois ci même le corps des gardes de la révolution islamique semble tanguer et ne plus constituer une protection des élites face au peuple iranien. C'est toujours après des défaites militaire que les tyrans s'écroulent, et je gage qu'après avoir précipité la Syrie dans l'abime, c'est précisément de la Syrie que viendra le changement de régime à Téhéran, je pense également que cela sera pour l'année prochaine quoi qu'il advienne ailleurs.
  9. Le printemps arabe a finalement atteint la Syrie, les massacres et répression d'Al Assad n'auront fait que retarder l'inévitable. La population iranienne peut avoir de gros espoir pour bientôt car c'est l'Iran le prochain sur la liste des vieilles dictature à tomber comme un fruit trop mûre, les Mollahs auront eux même affaibli leur pays en alimentant à l'excès des conflits extérieur qui ont déjà rebondi à l'intérieur comme un boomerang, le reste n'est plus qu'une question de minuterie, quoi qu'ils fassent ça sera le même scénario.
  10. Absolument, et aussi d'une manière moins connu, Tartous a servit à inonder toute l'Afrique et le Moyen Orient des ventes d'armes lourde russe (et aussi à l'époque soviétique) par sa fonction de hub logistique, en alimentant bien des conflits y compris ceux sous embargos, les navires russe transportant ces armes avaient l'habitude de semer leur poursuivant en coupant leur IFF (système d'identification) et en se mettant sous la protection des navires de guerre russe de Tartous pour éviter tout contrôle. Le nouveau pouvoir en Syrie n'a aucun intérêt à poursuivre la présence de cette base russe qui n'a attiré que des inimitiés et même des hostilités avec ses voisins dans la région, Al Assad ayant fini par se fâcher avec tout le monde principalement à cause de cette base et son activité à la limite de la contrebande d'armes qui ne connaissait pas de frontière ni de lois. Je gage qu'en neutralisant cette base il y aura bien moins de guerre sur ce continent et également moins de dictature qui tireront la langue pour trouver des armes. La paix en Syrie est à ce prix.
  11. C'est oublier un peu vite que les Suisses ont fait le choix du F-35, qu'ils ont gelé 7,7 milliards de fonds russe : https://www.reuters.com/world/europe/swiss-have-frozen-88-bilion-russian-assets-2023-12-01/#:~:text=BERN%2C Dec 1 (Reuters) - Switzerland has frozen,to punish Moscow for its invasion of Ukraine. Si les 2 criminels de guerre les plus recherchés au monde se pointent à la frontière suisse ils se feront ramasser par le camion balai et direction le cachot avant le procès devant la Cour Pénal international, la Suisse n'a jamais eu la réputation d'abriter des criminels, leur argent sans doute mais certainement pas eux même en personne, on vous aura mal informé.
  12. Ce qui rejoint au final la conclusion de Picdelamirand-oil sur les grandes ligne.
  13. Moi je crois plutôt que depuis que les rebels se sont emparés des zones ou se trouvaient les moyens anti-aérien syrien le régime d'Al Assad n'avait plus rien pour se défendre contre des frappes aériennes, en dehors des batteries russe qui ne pouvaient pas abattre des avions américain sans se faire annihiler en provocant uen grave crise. De fait faute de radar le F-35 furtif n'avait pas d'utilité là ou les avions classique de 4ème génération bénéficient d'un ciel vide. Même pour attaquer les Houthis au Yemen les américains ont utilisé des avions furtif (B2) https://www.military.com/daily-news/2024/10/17/air-force-uses-b-2-bomber-first-time-combat-2017-sending-message-iran.html Ils n'auraient certainement pas attaqués en Syrie avec des avions de 4ème génération s'il y avait eu la moindre menace contre leurs avions.
  14. Pendant les 13 années de guerre civile en Syrie, les soldats du gouvernement ont combattu les rebelles sur plusieurs lignes de front. Mais des vidéos montrent que lorsque les rebelles ont pris d’assaut Damas, la capitale, dimanche pour mettre un terme à leur offensive éclair à travers le pays, les soldats du gouvernement syrien ont semblé ne pas opposer beaucoup de résistance. Une vidéo prise tôt dimanche montre un poste de contrôle militaire abandonné à Damas. Des chaises vides étaient posées devant et des vêtements jonchaient le sol du petit bâtiment, qui portait toujours une grande affiche du président depuis renversé, Bachar al-Assad. D’autres vidéos non vérifiées ont circulé sur les réseaux sociaux, prétendant montrer des soldats en train d’enlever leur uniforme, certains en pleine nuit. L’Observatoire syrien des droits de l’homme, un observateur de la guerre, a rapporté avoir vu la même chose. Ces scènes ont eu lieu dans le contexte de récits provenant d’autres villes de Syrie, où les soldats n’auraient pas fait grand-chose pour repousser l’avancée des rebelles au cours des 12 derniers jours. L’armée syrienne est composée en grande partie de conscrits réticents, des soldats mal payés qui ont été contraints d’effectuer leur service militaire obligatoire. Même au cours des années passées de guerre civile, quand ils étaient soutenus par les frappes aériennes syriennes et russes – et par l’aide des milices mandatées par l’Iran – beaucoup ont fait défection, refusant de se battre et de mourir pour le gouvernement Assad. Depuis des années, les soldats syriens se plaignent sur Facebook de leurs chefs. Des commandants qui acceptent des pots-de-vin en échange de congés. Des chefs qui ordonnent aux soldats de piller. Des officiers qui volent la nourriture de leurs troupes ou s’enivrent au travail. Après 13 ans d’une guerre civile exténuante qui a dévasté la Syrie, cette corrosion est revenue hanter le régime. Avant l’offensive surprise du 27 novembre, la guerre civile syrienne était en grande partie gelée depuis plus de quatre ans. Selon les analystes, le gouvernement Assad n’avait pas fait grand-chose ces dernières années pour renforcer l’armée, persuadé qu’il avait déjà porté un coup dur à l’opposition. Mercredi dernier, alors que les rebelles envahissaient le nord-ouest du pays, M. el-Assad a ordonné une augmentation de 50 % des salaires de ses forces. Mais il était déjà trop tard. Quelques jours plus tard, M. Assad était parti. Les États-Unis ont commencé à transmettre des messages aux groupes par l’intermédiaire du gouvernement turc, qui a des liens avec eux, après qu’ils ont lancé leur offensive majeure la semaine dernière et avant qu’ils ne prennent la capitale syrienne pendant le week-end, selon des responsables américains et turcs. L’un des responsables a déclaré que les messages initiaux étaient destinés à dire aux groupes « ce qu’il ne faut pas faire ». L’un des messages que les États-Unis ont transmis au gouvernement turc était que les groupes rebelles ne devraient pas permettre aux militants de l’État islamique de participer à leur offensive contre le gouvernement Assad. Les groupes ont répondu par l’intermédiaire des Turcs en assurant qu’ils n’avaient aucune intention de permettre à l’État islamique de faire partie de leur mouvement, selon des responsables américains et turcs informés de ces messages. Les messages ont été transmis aux Turcs par le biais des canaux diplomatiques, des services de renseignement et de l’armée. Les responsables ont parlé sous couvert d’anonymat pour discuter de questions sensibles liées au renseignement et à la diplomatie. Dans ses remarques publiques depuis la Maison Blanche dimanche, M. Biden a déclaré que les États-Unis ne permettraient pas à l’État islamique de profiter d’un éventuel vide de pouvoir après la chute de M. Assad. source (en anglais) : https://www.nytimes.com/live/2024/12/08/world/syria-war-damascus
  15. Je pense qu'il sera plus facile de discuter avec lui qu'avec Al Assad qui était d'une intransigeance de la taupe terré au fond de son bunker et cerné de partout. Bon bien sûr il ne faut pas lui envoyer un ambassadeur qui pense que tout islamiste est un terroriste car on a bien vu le résultat...
  16. C'est confirmé, Al Assad est bien en fuite en Russie et peu de gens étaient prêt à prédire une telle chose il y a seulement quelques semaines, il y avait un calme bien trompeur avant la tempête, comme souvent. C'est un revers militaire majeur pour la Russie tout autant que l'Iran qui ont été incapable de détourner la moindre ressource des conflits auquel ils ont fait face (Israël et Ukraine). Ils sont clairement à flux tendu sans la moindre petite réserve nul part et ça en dit long sur la vulnérabilité actuelle du territoire Russe et Iranien, tout comme Nord Coréen, (et leurs vassales) totalement déplumé. Les gains russe de territoire en Ukraine se font à prix d'or, s'en est devenu une folie au regard des conséquences. Même à supposer (et on en est loin) que la Russie s'empare de toute l'Ukraine,elle aurait à faire face comme en Syrie à une rébellion souterraine qui la mettrait au plus mal comme quand les armées soviétique étaient en Afghanistan. Al Assad est toujours sous mandat d'arrêt international pour crime de guerre avec ses armes chimique : https://www.france24.com/en/france/20240626-french-court-upholds-arrest-warrant-for-syria-s-assad Il ne pouvait que se réfugier en Russie ou se trouve tout une collection de criminel de guerre eux aussi recherché... Personnellement je me réjouit de la chute d'Al Assad, la tentative de normalisation, sous pression russe, avec ses voisins a lamentablement échoué, un criminel reste un criminel même avec un beau costume et des paroles mielleuse, le sang ne s'efface jamais. C'est toute l'influence russe en Afrique et Moyen Orient qui vacille désormais, la France peut espérer sa revanche (mais sans doute pas avec Macron, c'est certain....)
  17. C'est bien possible mais comme l'Ukraine va recevoir des mines anti-personnel à mixer dans un champs de mine anti-char, c'est l'explosion du cycliste qui déterminera au BMP la présence d'un champs de mine. C'est les soldats russe avec une courte formation militaire qui sont envoyés ainsi au rayon charcuterie, c'est pas nouveau, Wagner en avait fait son produit phare avec les taulards sorti de prison.
  18. https://www.kyivpost.com/post/31138 https://www.forbes.com/sites/davidaxe/2024/07/03/dozens-of-russians-attacked-vuhledar-on-dirt-bikes-a-ukrainian-brigade-blew-up-19-of-them/ on trouve quantité de source pour étayer mes dires, vous n'avez que l'embarras du choix, faut s'informer mieux que ça.
  19. Poutine a parlé d'états tampon en 2022 au sujet de l'Europe, et sur son ambition personnel de recréer l'URSS 2.0, il est déjà en train de le faire au gré de ses moyens militaire. Evidemment ça ne se passe pas aussi bien ni aussi vite qu'il le souhaitait. https://worldcrunch.com/world-affairs/union-state-ussr-putin allez donc tapoter "Putin buffer state" dans un moteur de recherche en éliminant les liens de 2024 Dans la bouche de Poutine Les états tampon européens en 2022 sont devenu zone tampon en 2024, il a certes rabattu son ambition devant la difficulté de la tache mais nullement renoncé à son ambition première. Et croyez bien que si on lui en laissait l'occasion il sauterait dessus. La meilleur preuve c'est l'obstacle qui lui barre la route : l'OTAN qui est la cible de toutes ses attaques de propagande et s'évertue à faire reculer l'OTAN en Europe, pour la remplacer par son "Etat de l'Union" sous la tutelle russe qui n'est rien d'autre que l'URSS.
  20. On savait déjà que les russes partaient à l'assaut des lignes retranchés ukrainienne avec des motos et scooter, quads et autres engins léger et rapide, parfois ça réussit en prenant les ukrainiens par surprise, souvent cela échoue et quantité des carcasses fumante de ces engins s'entassent devant les premières ligne ukrainienne. Mais l'emploi d'un vélo (qu'il soit électrique ou non) dans cette vidéo est certainement une première, c'est assez pathétique et ça montre une pénurie d'engins à moteur, même dans ce domaine spécifique les pertes se font sentir. Je doute cependant qu'ils en arrivent à faire des assaut plus important à vélo car ce serait un massacre inutile. Le gros pigeon qu'ils ont envoyés devant en vélo est destiné à faire sauter des mines anti-personnel et attirer le feu adverse pour voir d'ou viennent les coups; Les ukrainiens qui ne sont pas stupide viseront d'abord le BMP avant le cycliste.
  21. Au tout début de l'offensive russe en Ukraine, Poutine avait donné l'ordre de foncer sur Kiev et renverser Zelensky, et c'est bien la totalité de l'Ukraine qui est visé encore aujourd'hui. c'était aussi le cas en 2014 quand les russes se sont emparés de la Crimée avec des soldats sans insignes de nationalité sur leurs uniformes, il s'agit d'un grignotage progressif qui n'a pas l'ambition de s'arrêter. Ils s'emparent des morceaux qu'ils peuvent selon le contexte et toute trève ne serait qu'une pause pour réarmer. Poutine dit rarement la vérité, sauf quand il est trop en confiance avec lui même, et quand au début il avait la certitude de s'emparer de toute l'Ukraine, il parlait déjà de récupérer tous les anciens pays de l'ex URSS et du pacte de Varsovie jusqu'à l'ancien mur de Berlin, soi disant pour faire une zone militaire tampon avec l'Otan Cette même zone tampon a été énormément réduite faute de moyens militaire et se résume actuellement à quelques territoires en avant du Dombass dans la région de Karkiv. Mais néanmoins cela montre que le concept n'a pas été abandonné. Si Trump s'imagine qu'il va ramener la paix en arrêtant les combats, quel que soit le temps que cela lui prenne, il ne ferait que préparer la prochaine offensive russe à l'Est car l'industrie militaire russe est poussé jusqu'à la surchauffe et ne s'arrêtera plus tant que Poutine est au pouvoir. Seul un effondrement de l'armée russe en Ukraine apporterait une paix durable car Poutine n'aurait plus d'autre choix en étant lui même affaiblit au pouvoir. La fausse victoire que Trump prétend lui préparer ne sera qu'un coup de propagande pour trouver des soutient dans la population russe pour sa prochaine offensive qui pourrait bien être contre l'Otan directement. Toute la propagande actuelle de Poutine en Russie est de blamer l'OTAN pour la guerre en Ukraine, il prépare déjà son coup suivant, n'en doutez pas.
  22. Sans parler de la faible quantité de munitions qui leur reste, ils ne sont nullement en condition de bombarder aujourd'hui les rebelles comme ils l'avaient fait massivement à l'époque pour soutenir Al Assad contre l'Etat islamique, guerre en Ukraine oblige. On notera qu'en Syrie les russes contre ISIS ont utilisé en très grande quantité des bombes à guidage par laser, celles là même qui leur ont fait défaut pour l'Ukraine pour cause de stock non recomplété et d'utiliser des bombes lisse planante à la place, celle là même que les russes en Syrie ne possèdent pas non plus... Les troupes au sol contre l'Etat Islamique c'était le Hezbollah qui vient de se faire laminer par Israel, le potentiel russe qui reste en Afrique est bien faible, les mercenaires russe sont trop peu nombreux et pas du tout soutenu par des armes lourde. La situation de l'axe Iran-Russie ne sent pas la victoire en Afrique, il ne fait pas de doute que les rebels vont garder leurs possession pour longtemps, car même si la guerre en Ukraine s'arrêtait, il est douteux que Poutine puisse transférer beaucoup de ses armes en Afrique, guerre froide oblige. N'oublions pas que l'Ukraine réussit à conserver ses conquêtes de territoire russe à Koursk en dépit des assauts ratés russe.
  23. Je ne sais pas si c'est encore le cas aujourd'hui mais les chinois envoyaient massivement des travailleurs chinois en Afrique quand ils obtenaient des contrats gouvernementaux d'infrastructure. Mais qu'ils utilisent des travailleurs précaire de quelque nationalité que ce soit il est clair que ce n'est pas du tout populaire et que bien longtemps ils ont bénéficié du bouclier militaire occidentale pour être à l'abris du mécontentement des gens locaux et autres radicaux. Là ou les mercenaires russe remplacent nos soldats, la Chine se frotte les mains car elle n'a pas à envoyer ses propre soldats et aura les mains plus libre qu'avec les français, et sans avoir de réfugiés sur les bras, mais ça ne durera pas tellement longtemps car le totalitarisme c'est une machine à fabriquer de la rebellion et des guerres civils, coups d'Etats, etc. L'exemple du Darfour et son génocide montre l'influence de la Chine dans les conflits entre ethnies pour le contrôle du pétrole, la Chine a beaucoup armé des factions dans l'Etat avant d'envoyer au final et à force d'échecs une petite poignée de soldats de la paix : https://www.lemonde.fr/afrique/article/2008/07/18/renforts-chinois-pour-la-force-d-interposition-au-darfour_1074867_3212.html Mais personnellement je ne crois pas du tout que la Chine sera prête à envoyer des troupes au combat en Afrique, elle va se contenter d'armer des factions pour servir ses intérêts propre, si ces intérêts économique coïncident avec les intérêts russe elle acceptera le sort des armes russe qu'elle soutiendra même certainement, mais en cas de déroute ce serait les valises, alors elle ne s'impliquera pas directement, cela pour tenter de survivre à un revirement et déroute de l'armée et mercenaires russe. La Chine a profité de l'installation française pour assoir la sienne en Afrique, ce qui lui a fait faire de grosse économies à nos dépends mais ce temps là se termine, faudra désormais qu'ils payent eux aussi des mercenaires... Quand on en aura fini avec l'ultralibéralisme sauvage de la mondialisation qui se meurt, on pourra revenir vers des relations plus pragmatique et constructive avec l'Afrique et Moyen Orient pour des échanges enfin bénéfique, hors des dogmes économique actuel qui nous sont néfaste.
  24. Comme les russes n'ont rien reconstruit en Syrie ils ne pourront que bombarder à nouveau les même ruines de l'ex-état islamique de manière compulsive sans plus de résultat que de devoir recommencer sans fin, comme les tchétchènes ont été combattus 2 fois en Tchétchénie par l'armée russe et qui constituaient aussi le plus gros des forces de l'état islamique en Irak et Syrie, nul doute qu'ils sont aussi en force dans ces mouvements qui passent à nouveau à l'attaque; «On ira les buter jusque dans les chiottes.» citation de Poutine au sujet des tchétchènes à l'époque,, visiblement les toilettes public sont trop vaste pour l'armée russe qui peine à tirer la chasse... et je ne parle même pas de l'Ukraine
  25. Les dominos continuent de tomber les uns après les autres jusqu'au dernier, depuis 2007 et l'arrivé au pouvoir de Sarkozy en France les migrants, particulièrement ceux africains ont été expulsés de France de manière radicale et massive, stigmatisé en prenant sur le dos tous les malheurs de la France y compris sa dette... Sans parler de tous ceux qui coulent dans la méditerranée par centaines sous les applaudissements d'une frange pour le moins extrémiste de leaders politique européens élus légitimement... S'en était trop pour tous ces pays africains qui reçoivent ces chaines d'infos de la TNT qui cassent du migrant du matin au soir avec une prose assumé orienté ultradroite, désormais c'est la France qui se fait expulser de l'Afrique et si ces pays africains nous avaient avaient fait ce que la France des Sarkhollande Macroniste leur a fait il y aurait la même réaction de rejet des français. La Russie n'a eu qu'à enfoncer des porte ouverte pour renforcer son influence en Afrique au détriment de la France, car jamais ils n'auraient pu s'imposer si la France avait eu le soutient des populations local. La faute aussi à la lutte contre le terrorisme qui résumait l'intégralité des rapports de l'Afrique avec la France, comment voulez vous échanger avec un domaine aussi pauvre en enrichissement mutuel partagé. C'était une pollution des échanges. Cela dit Poutine est loin d'avoir gagné en Afrique et Moyen Orient, ses mercenaires se ramassent des raclés militaire, pour exemple celui d'Alep le plus récent, il s'est ramassé la même attaque surprise des jihadistes que les américains avaient subit en Irak, et c'est encore une guerre sans fin de plus qui va absorber des ressources en hommes et matériel pendant des années sans garantie de victoire. Désormais Poutine doit choisir entre l'Ukraine et l'Afrique, il n'a pas les ressources pour garnir deux fronts de cette importance.
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