-
Compteur de contenus
3 670 -
Inscription
-
Dernière visite
-
Jours gagnés
1
Tout ce qui a été posté par jeanmi
-
je suis plus trop là, on supprime le pa2,des régiments, des escadrons de chasses, des bases et on reduit les vbci, les leclerc,les fremm,les sna, les rafales, les tigres, .... Mais l'argent récupéré va servir à quoi ? que l'on me dise pas que c'est uniquement pour financer les autres programmes en cours ! tiens je viens de trouver aussi deux ou trois truc pour faire baisser la facture -on arrête les conneries avec la jeanne d'arc (à la casse de suite sans être remplacé) -on supprime la patrouille de france (bah oui à part faire beau ca sert à quoi ?) -et puis tient on supprime aussi le défilé du 14 juillet ! Cela fait quelques millions d'euros de gagner ! c'est toujours çà O0
-
ça devient vraiment ridicule ! sur ttu, ils parlent de 650 vbci 650 VBCI, 11 Fremm, 6 SNA Barracuda, une fonction renseignement mutualisée... Les premiers résultats du Livre blanc semblent sauver l’essentiel, même s’il faut attendre le discours du Président Sarkozy sur le sujet le 17 juin, pendant le Salon Eurosatory. D’autant que le feu vert donné à la construction de deux nouveaux porte-avions impliquant VT Group et BAE System ouvre la fenêtre d’opportunité d’un porte-avions exploité en commun avec la France (TTU n° 672). Mais la grogne continue de se répandre au ministère de la Défense. Selon plusieurs experts, quelles que soient les conclusions stratégiques de juin prochain, la France n’aura de toutes façons pas les moyens de s’offrir l’ensemble des matériels. Ainsi, les glissements dans le temps, prévus par les officiers chargés de la VAR, lors de l’arrivée du général Georgelin, devraient se vérifier. Le cas des Barracuda est le plus emblématique : la correction financière entre les autorisations d'engagement et les crédits de paiement conduira à reporter de trois ans l’admission au service actif des SNA, en 2017 au lieu de 2014. De tels glissements sont également à prévoir avec une réduction de la cible sur les hélicoptères Tigre. Selon un fonctionnaire, ce n’est pas un problème de “bosse”. Car, «la bosse, on en fait ce qu’on veut». A propos du contrat opérationnel et de la projection de forces, l’armée de terre est la première intéressée par le chiffre, véhiculé par les premières fuites, de 30 000 hommes. Encore faut-il savoir ce que signifie ce chiffre. L’Elysée est-il dans une logique d’une multiplication par deux ou par trois ? En clair, cela implique-t-il un volume global des forces terrestres à 60 000 hommes ou bien à 90 000 hommes ? Autre point d’interrogation : l’aménagement du territoire. Contrairement à ce qu’affirme Brienne, nos informations vont dans le sens d’une responsabilité incombant strictement au ministre, quant à l’aménagement du territoire et la gestion, certes délicate, du redéploiement de régiments en vue de créer les futures bases de défense. Des bases que même les armées appellent de leurs voeux ! Sur ce dossier, comme pour Eurosatory, Brienne pourrait vouloir s’entendre avec le secrétaire d’Etat Jean-Marie Bockel pour constituer un “ticket pour la réforme”. Dans ces conditions, il n’est pas à exclure, selon des sources industrielles, que Bockel intervienne au Salon en cas d’empêchement du ministre. Il n’est pas non plus exclu que Bockel retrouve son “étiquette” de gauche avec une répartition des tâches pour l’aménagement du territoire : les villes de droite pour Morin, et celles de gauche pour Bockel. C’est seulement à l’issue de la mise en place de cette politique d’aménagement, d’ici à janvier 2009, qu’un nouveau ministre de la Défense pourrait être nommé par l’Elysée. ■
-
Selon plusieurs sources concordantes, y compris au niveau de l'Etat, ralentir ou élaguer fortement le programme FREMM risque bien de coûter très cher. Le montant de la facture ? Dans le pire des scénarios, le surcoût pourrait dépasser 20 %, la première tranche du contrat (8 frégates) s'élevant pour le moment à 3.5 milliards d'euros. Et ce n'est pas tout car il conviendra ensuite de voir ce que deviendront les 9 frégates des deux tranches optionnelles (3 milliards d'euros au total), prévues pour être affermies en 2011 (4 navires) et 2013 (5 unités). Quelques semaines avant la parution du Livre Blanc sur la Défense, une réduction du programme à 10 ou 12 navires est par exemple évoquée reste de l'article : http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=107617
-
[Afghanistan] Archive
jeanmi a répondu à un(e) sujet de jeanmi dans Politique etrangère / Relations internationales
- Entre 500 et 700 soldats du 8e Régiment parachutiste d'infanterie de marine (RPIMa) sont "amenés à se rendre en Afghanistan", a confirmé mardi à Castres (Tarn) le secrétaire d'Etat à la Défense Jean-Marie Bockel. Les précisions concernant leur date de départ dans l'est du pays "seront données en temps utile" par le ministre de la Défense Hervé Morin, a-t-il ajouté à la presse. Le 15 mai dernier, le ministère avait évoqué une date "entre juillet et août". Lors de sa visite, M. Bockel a indiqué que la mission de sécurisation que doit effectuer le 8e RPIMa ne rencontrait pas de "difficulté particulière" pour sa mise en place. "Cette mission de sécurisation et de contrôle de zones consiste, à partir d'un dispositif fixe, à rayonner sous différentes formes de patrouille, à pied ou en véhicule, dans des zones urbanisées, dans des villages ou en terrain ouvert", a expliqué le colonel Jacques Aragones, commandant le 8e RPIMa. L'officier supérieur a précisé que son régiment avait reçu une alerte SRF (Strategy Reserve Force) début mars. "Depuis cette, alerte nous nous préparons", a-t-il précisé. Le 8e RPIMa fait effectivement partie de la réserve stratégique de l'OTAN, avec des blindés du 1er régiment étranger de cavalerie, une composante génie du 17e régiment du génie parachutiste et une composante appui feu du 35e régiment d'artillerie parachutiste. Nicolas Sarkozy avait confirmé en avril dernier l'envoi 700 soldats supplémentaires, ainsi qu'un détachement de forces spéciales. "J'ai décidé de renforcer la présence militaire française avec un bataillon et un détachement de forces spéciales, déployés dans la région Est", avait déclaré le chef de l'Etat lors du sommet de l'OTAN à Bucarest. La France prendra aussi le commandement de la région Centre pour un an à partir du 6 août. Dans cette zone, le bataillon français sera principalement armé par le Régiment de marche du Tchad -
Les frégates La Fayette sont elles considérées comme fregates de premier rang ?
-
http://www.info-grece.com/modules.php?name=News&file=article&sid=4302
-
[Afghanistan] Archive
jeanmi a répondu à un(e) sujet de jeanmi dans Politique etrangère / Relations internationales
Le bataillon de 700 hommes que le président de la République a décidé d'envoyer en renfort sur le théâtre afghan partira "en juillet ou en août" indique l'état-major des armées. Si le lieu de son installation n'est pas encore connu avec précision, il devrait être très proche de Kaboul, "entre cinquante et cent kilomètres". Le Batfra (Bataillon français) relevera des troupes américains, dans la région située juste à l'Est de Kaboul, en continuité territorriale avec le RCC (Regional Command Centre) dont la France prendra à nouveau le commandement cet été. La mission de ce bataillon sera le "contrôle de zone". Comme nous l'indiquions dès le 10 février dernier, ce bataillon sera essentiellement armé par le 8ème RPIMa de Castres. En revanche, des blindés AMX 10 RC du 1er REC d'Orange formeront sa composante de cavalerie. C'est la première fois que la France engage des blindés aussi lourds (15 tonnes) sur ce théâtre. Ils ont été préferés aux ERC Sagaie (8 tonnes) du 1er RHP, un temps évoqués. La composante artillerie sera fournie par le 35ème RAP de Tarbes, avec des mortiers de 120 mm. http://secretdefense.blogs.liberation.fr/ -
Suite à ses visites régulières sur les théâtres, le ministre de la Défense, Hervé Morin, a constaté que de multiples menaces rendent aujourd’hui vulnérable le combattant en opérations. C’est pourquoi, il a fixé la protection du soldat comme une de ses priorités. C’est dans ce cadre que la délégation générale pour l’armement (DGA) a notifié le 30 avril 2008 à Renault Trucks Defense (RTD) une lettre de commande pour le développement et l'intégration de 60 tourelleaux téléopérés sur des véhicules de l’avant blindés (VAB) de l’armée de terre. La DGA a utilisé une procédure d’acquisition spécifique liée à l’urgence opérationnelle afin de répondre à la demande de l’état-major des armées (EMA) exprimée en décembre 2007, destinée à améliorer la protection des soldats en opérations extérieures. Ces tourelleaux téléopérés permettent au tireur de mettre en œuvre une mitrailleuse de 12,7 mm tout en restant protégé à l’intérieur du véhicule, notamment vis-à-vis de la menace des engins explosifs improvisés. Les 20 premiers VAB équipés sont attendus avant la fin de l’année 2008 et les 40 suivants seront livrés tout début 2009. Cette lettre de commande qui s'élève à 20 M€ TTC s’inscrit dans le cadre d’un marché global qui sera notifié à Renault Trucks d’ici trois mois correspondant à la cible de l'armée de Terre fixée à plus de 500 tourelleaux. La société norvégienne Kongsberg a remporté la compétition pour la fourniture des tourelleaux, suite à un appel d’offres international lancé par RTD, pour lequel la DGA a veillé à ce que les critères de maturité du matériel et de rapidité de livraison soient privilégiés.
-
Une question pour les connaisseurs Le radar de typhoon est il vraiment mailleur ? je croyais que celui était beaucoup moin moderne à cause de son antenne mécanique et qu'il etait aussi incapable de faire du suivi de terrain et surveiller le ciel en même temps ? En gros je croyais que le radar du typhoon etait juste meilleur dans la portée de detection et que à part çà c'etait une grosse merde .
-
je veux le vbr !
-
PARIS (AFP) - Le bouclage du Livre blanc qui doit contenir les grandes lignes de la politique de défense et de sécurité de la France pour les quinze années à venir est désormais imminent alors que les inquiétudes vont croissant sur les réductions d'effectifs et les unités supprimées ou déplacées. Les 35 membres de la commission qui rédigent ce document depuis août dernier se sont réunis mardi au château de Vincennes pour harmoniser leurs contributions déjà réunies dans un recueil diffusé auprès des quatre ministères concernés (Défense, Intérieur, Quai d'Orsay et Budget). "D'ultimes virgules seront encore déplacées samedi lors d'une dernière plénière", a précisé un proche du dossier. Conjugué à la revue générale des politiques publiques (RGPP), le "Livre blanc sur la Défense et la Sécurité nationale" se traduira par la suppression de dizaines de milliers d'emplois militaires et civils et la fermeture de nombreuses implantations. Contrairement à son prédécesseur de 1994, il s'intéressera non seulement à la défense mais aussi à la "sécurité nationale", évoquant les nouvelles menaces (terrorisme international, missiles balistiques, crises sanitaires majeures...) pour en déduire les missions et le format des armées. Après le bouclage cette semaine des travaux de la commission Mallet, du nom de son président, Jean-Claude Mallet, le calendrier va s'accélerer. Le 21 mai, M. Mallet et le ministre de la Défense, Hervé Morin, devraient plancher devant les commissions de la Défense de l'Assemblée et du Sénat. Début juin, un conseil de défense, réuni à l'Elysée autour du président Nicolas Sarkozy, doit adopter une version définitive qui tiendra compte des observations des parlementaires. Le Livre blanc serait formellement adopté par le Conseil des ministres du 11 juin avant une nouvelle présentation, cette fois en séance publique à l'Assemblée, par le Premier ministre François Fillon. Restera à annoncer les réorganisations territoriales, tant attendues des villes de garnison menacées. On parle d'une "adresse" du président Sarkozy aux armées. M. Morin doit également s'exprimer le 19 juin pour détailler la nouvelle "carte militaire", déjà "finalisée à 90%", confie-t-on. Celle-ci suscite l'inquiétude. Le général Jean-Claude Thomann, ancien para familier des terres africaines, a signé une tribune dans les colonnes du Monde daté de mercredi pour souligner "l'inquiétude et le malaise" de ses pairs. Si la réforme va jusqu'au bout, s'alarme-t-il, l'armée de terre "ne pourra même plus remplir les gradins du Stade de France" et "sera vouée à jouer les auxiliaires des Anglo-Saxons". Un pré-rapport de l'état-major de l'armée de terre évoquait en février la suppression d'une trentaine de garnisons et de plus d'une dizaine de régiments d'ici à 2012. M. Morin a confirmé début avril 6.000 suppressions de postes annuelles pendant six à sept ans dans la Défense dont les effectifs s'élèvent à quelque 426.000 militaires et civils. "Le Livre blanc fait peur parce qu'il réclamerait un effort touchant aux unités opérationnelles, on est déjà à l'os sur le soutien", souligne un officier supérieur sous couvert de l'anonymat. L'armée de terre ne sera toutefois pas la seule concernée. Le secrétaire général de l'Elysée, Claude Guéant, a indiqué que Nicolas Sarkozy prendrait sa décision sur la construction d'un second porte-avions "à la mi-juin" lors du même conseil de défense qui doit approuver le Livre blanc.
-
En 2003, un sous-marin nucléaire d’attaque britannique a heurté un énorme iceberg lors d’un exercice dans l’Arctique, a admis dimanche le ministère britannique de la défense. A la suite du choc survenu par 63 m d’immersion en mai 2003, le HMS Tireless a subi des dégâts aux ballasts. Des responsables refusent toujours de donner des détails mais un rapport a été publié dans le cadre de la loi sur la liberté d’information. Personne à bord du sous-marin basé à la base navale de Devonport n’a été blessé. Le rapport indique que personne à bord n’était responsable de la collision. http://www.mirror.co.uk/news/topstories/2008/05/12/sub-did-hit-arctic-ice-89520-20415111/
-
[Union Européenne] nos projets, son futur
jeanmi a répondu à un(e) sujet de Marechal_UE dans Politique etrangère / Relations internationales
Je donne juste mon avis personel Je n'en veux pas de l'europe unie et il est hors de question que je parle l'anglais ou une autre langue parce que celle ci sera officielle . Je veux juste une europe économique comme le marché commun et c'est tout . De quel droit l'europe vient se meler de nos affaires et en plus les peuples unies je n'y crois pas, il y aura toujours des interêts a droite à gauche .Pour moi ce sera une source d'instabilité surtout si la turquie arrive encore dans l'europe . Je suis français avant tout et européen après, je ne veux pas perdre mon identité . C'est une vision simpliste mais moi cela me convient . -
Tu n'es pas arogant toi ? t'es pire que nous ! mais bon je vais pas encore entrer dans des débats stériles si tu crois que ton matériel est meilleur tant mieux pour toi, moi cela me fais juste rire ! Les MRAP pour moi ca serait une erreur d'en acheter, je prefererais voir des vbci et des vab revalorisé plutôt qu'un mrap qui dés que l'on quitterait le theatre d'opération ne servirait à plus rien . Les anglais c'est normal qu'ils en achetent car ils ont rien pour protéger leurs troupes .
-
Pour moi du moment que c'est russe, c'est de la camelote pas fiable :lol: bon je sors avant que cela me retombe dessus :lol:
-
j'aime bien le terme de "reduire drastiquement l'artillerie sol air " comme si on avait une artillerie sol air efficace ! une armée d'opérette je vous dis O0
-
oui je pense aussi qu'il vaut mieux attendre avant de tirer des conclusions hatives et de s'enerver !
-
De passage à Lorient, Guy Teissier, le président de la commission de la Défense, fait le point sur la réforme des armées. Et sur le second porte-avions. Entretien Guy Teissier Député UMP des Bouches-du-Rhône et président de la commission de la Défense nationale. La nouvelle « carte militaire » sera présentée le 19 juin. L'ampleur des réformes annoncées inquiète... Cette réforme, au départ, pouvait paraître anodine mais ce sera une réforme d'importance. Le ministre de la Défense a annoncé au moins 40 000 suppressions de postes, ce n'est pas rien ! Aujourd'hui, on a essentiellement besoin de forces de projection parfaitement équipées et parfaitement entraînées. Or, nous nous trouvons dans un cycle où tous nos matériels doivent être renouvelés. Bref, tous les grands programmes sont devant nous. Donc, il n'y a pas 36 solutions. Ou on continue à faire semblant mais on ira très vite vers des déboires graves. Ou bien on prend des décisions drastiques et on peut se payer les équipements dont on a besoin et on peut revaloriser la condition militaire. Les fonctions de soutien seront particulièrement touchées... Culturellement, nous sommes restés sur une armée « de conscription », en ce sens que le soutien est plus important que l'opérationnel. Il y a dans nos armées beaucoup trop d'unités du matériel et du commissariat, d'établissements du génie (1)... L'idée de la réforme, c'est d'inverser les ratios. On est actuellement à 60 % des moyens pour le soutien et 40 % pour l'opérationnel. Il faut inverser ces chiffres. On va vers des grandes bases de vie où seront regroupés des services et autour, dans un rayon de 30 km, un certain nombre de régiments qui seront servis par cette base de soutien. D'où la prochaine valse des régiments... Comment se traduira la réforme pour l'armée de l'air et l'armée de terre ? L'armée de l'air va devoir consentir des efforts très importants. A terme, elle disposera d'une centaine d'appareils de combat, des Rafales polyvalents, sur une demi-douzaine de bases. Ce qui permettra des ventes considérables de terrains de l'armée de l'air. Elle va devoir aussi tailler dans les effectifs chargés de la maintenance qui sont trop importants si l'on compare à ceux des armées chez nos voisins. En ce qui concerne l'armée de terre, on va préserver l'opérationnel mais sur une maquette plus réduite. On a besoin de fantassins : infanterie de marine, parachutistes, chasseurs alpins... En revanche, on a certainement moins besoin de régiments du matériel, d'artillerie, de transmissions (2)... A-t-on besoin d'autant d'états-majors ? Des quatre états-majors de forces, il n'en restera que deux : Marseille et Nantes. Les régions Terre (3), leurs états-majors et leurs corps de soutien vont aussi disparaître. La marine aura-t-elle son deuxième porte-avions ? La marine sera peu touchée par les fermetures de sites. Mais elle pourra l'être au niveau de ses équipements de surface. La première tranche de huit frégates multimissions est assurée. Je crains que la marine nationale ne doive revoir à la baisse la deuxième partie de la commande. Quant au deuxième porte-avions... On voit le prix augmenter tous les six mois : deux milliards, deux milliards et demi, trois, trois et demi ! Tout ça est assez inquiétant. Ceci dit, je crois qu'il se fera mais qu'il se fera, non plus comme un frère du Charles-de-Gaulle, mais comme la relève du Charles-de-Gaulle.
-
tout à fait, il y a bien un contrôle centralisé de la pression.
-
Début 2009 ! vin diou on peut encore attendre et après il faut les installer, là encore minimun 6 mois . Si tout va bien et avec un peu de chance, les vab seront perçu pour fin 2009 et a cette date l'armée de terre aura déjà pas mal de VBCI.
-
Qu'est ce qu'ils vont faire avec deux BPC ?
-
[Porte-Avions, arbitrage décisionnel une affaire et une volonté Politique]
jeanmi a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Les dernieres nouvelles sur le pa2 La France aura-t-elle un deuxième porte-avions (TTU n° 671) ? A Paris comme à Londres, ce sont aux gouver - nements de trancher de douloureux pro - blèmes financiers. Certains, en France, ont proposé une location à une marine étrangère (Grande-Bretagne). Un choix délicat en raison de l’implica tion nuclé - aire. De plus, le système loué devrait être doté de catapultes déjà comman - dées par la France. Une autre solution existe : qu’un porte-avions britannique soit construit avec l’aide des Français pour plusieurs aménagements. En échange d’une participation technique et financière, ce bâtiment pourrait être exploité par la France lors des IPER du “Charles-de-Gaulle”. Une part de l’équi - page pourrait être binatio nal (le back office). Lorsqu’il voguerait la plupart du temps sous pavillon britannique, l’étatmajor (pacha et front office) serait britannique. Lors que le pavillon serait français, l’état-major et le front office le seraient aussi. Les systèmes sécurisés pouvant à chaque changement être facilement remplacés. Pour Paris (comme pour Londres), l’intérêt serait financier avec le paiement d’une partie seulement du bateau. Et opérationnel en assurant la permanence d’un porteavions à la mer. Il se dit que les marines française et britannique ne seraient pas contre un tel choix. -
suite Après s’être intéressé à l’armée de terre et à l’armée de l’air, le “groupe miroir” s’intéresserait maintenant à la marine nationale. Peut-on faire des économies chez les marins ? Deux idées seraient examinées : la remise en cause du tabou du groupe aéronaval (GAN), seule variable d’ajustement “évidente” de la marine, et la fusion de l’aéronaval et des forces aériennes. Il s’agirait de constituer une force aérienne unique de combat associant également la force aérienne stratégique (FAS). Les experts observent que l’aéronaval n’est justifié que par sa présence sur le porte-avions, soit une vingtaine d’appareils. Les deux-tiers des appareils privilégiant l’entraînement (appontage...). Au niveau du coût, l’acquisition de l’avion Hawkeye, qualifié d’indispensable par certains, est évaluée à un milliard d’euros et reste contestée par d’autres. Aujourd’hui, le groupe aéronaval est à l’arrêt, en raison de l’IPER du “Charles-de-Gaulle”, qui doit s’achever à la fin 2008 après la vérification de plus de 10 000 points techniques. Une IPER onéreuse (sans compter les 50 millions d’euros annuels de MCO) et paralysante, qui intervient tous les sept ans. Allant à l’encontre du principe de permanence. Pour le “groupe miroir”, la question serait la suivante : la France pâtit-elle de l’absence du GAN depuis le début de l’IPER ? La France pourrait-elle se passer de son porte-avions ? Selon nos informations, beaucoup de voix s’élèvent pour constater qu’un seul porte-avions ne se justifie que par deux idées : la dissuasion (embarquement d’un élément de la composante aéroportée nucléaire) et la gesticulation politique. Mais l’emploi de ce porte-avions reste compliqué. Depuis sa mise en service actif, le 18 mai 2001, le “Charles-de-Gaulle” a effectué une majorité de ses missions dans l’océan Indien. En effet, son déploiement en Méditerranée pose des problèmes diplomatiques et son utilité est contestée par certains, qui notent que des escadrons décollant de la base de Solenzara peuvent très bien, avec un ravitaillement en vol, couvrir une zone encore plus large que le GAN. Au total, le GAN ne tient que par sa capacité de frappe préstratégique. Et encore... En effet, dans le cadre du développement du missile de croisière terrestre (antiterre), de la mer vers la terre, qui pourrait être intégré aux futurs SNA Barracuda, voire aux TCD et aux BPC, cette capacité du GAN serait remise en cause. «Une Fremm ne ferait-elle pas aussi bien qu’un porte-avions en matière de frappes», s’interroge un expert. Apparaît en filigrane, l’option invraisemblable de la vente du porte-avions, qui permettrait d’avoir plus de Fremm et les six Barracuda. Et les marins de fustiger un tel raisonnement “de marchands de tapis”. Selon d’autres, si l’Elysée réfléchit à une telle option, c’est peut-être aussi pour justifier le deuxième, pour faire la jonction au moment de la seconde IPER (2017). Si un seul porte-avions n’est pas indispensable, deux le deviendraient...
-
@ philippe La perspective de la revue générale des politiques publiques (RGPP), du Livre blanc et de la revue de programme continue d’entretenir le flou sur l’avenir de l’outil de défense français. Un calendrier dont le dénouement dépendra du choix en cours de formation du Président de la République. Son adresse aux armées le 19 juin, en marge d’Eurosatory, ne devrait pas, selon nos informations, trancher les sujets les plus sensibles (carte territoriale...). Car, c’est bien Nicolas Sarkozy qui a la main sur l’avenir de la défense. Non seulement en tant que chef des armées, mais aussi comme nouveau “responsable de la Défense nationale”, au titre du projet d’article 21 modifié de la Constitution, où le Premier ministre apparaît, en la matière, déresponsabilisé pour être chargé de “mettre en oeuvre” les décisions du Président. Si Matignon devient pour la Défense une super administration centrale, formule élégante pour ne pas dire “chambre d’enregistrement”, certains s’interrogent sur l’avenir du cabinet militaire. Plus grave : cette modification de la Constitution risque d’entraîner une nouvelle remise à plat des arbitrages pour lesquels les armées avaient tenté de transmettre les “bons messages”. «La Défense centralisée à l’Elysée ? C’est une réalité qui fonctionne depuis l’arrivée de Sarkozy. Le grand absent des arbitrages restant Brienne», souligne une source proche de la rue du Faubourg Saint-Honoré. D’autres informations évoquent le travail permanent, ces derniers mois, d’un “groupe miroir”, sous l’autorité du préfet Claude Guéant, chargé de réfléchir à des options stratégiques, en marge de la Commission du Livre blanc présidée par Jean-Claude Mallet. «Ce “groupe miroir”, qui officiellement n’existe pas, n’est pas un cabinet fantôme destiné à doubler Brienne. Il doit oser aborder les problèmes stratégiques sous des angles originaux», confirme un fonctionnaire (voir page 3). Le constat de l’Elysée, déjà souligné entre les lignes à Cherbourg, est simple : la fameuse bosse, si elle n’est pas maîtrisée à cause d’une politique systématique du report, pourrait devenir un mur budgétaire nuisible à la cohérence opérationnelle. Dans son discours de Cherbourg, le Président de la République a exprimé sa volonté de dégager de nouvelles marges de manoeuvres. Le “groupe miroir” de Claude Guéant n’a pas attendu ce discours, ni les résultats du Livre blanc pour réfléchir aux objets auxquels l’Etat pouvait renoncer : tel régiment, telle base aérienne, tel système d’armes... Adepte de la spontanéité et de la simultanéité d’Edgar Morin, le Président semble se méfier des concepts stratégiques peu clairs, produits de cogitations géopolitiques certes passionnantes mais peu traduisibles en termes de décision.