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Tout ce qui a été posté par DEFA550
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...et contre vents et marées les français reviennent narguer ici ou là forts d'informations qui seront de toute façon réfutées ou décrédibilisées. L'effet secondaire est que ça donne en prime un prétexte aux "Typhoon fanboys" pour ressortir la propagande usuelle dès lors qu'elle n'est pas directement contredite par ces nouvelles informations, voire carrément renforcée (ou comment glorifier une fois pour toute la MMI du Typhoon). Ce que j'en ressort, c'est que la mine d'information Suisse a été bien mal exploitée dans l'excitation et la précipitation à vouloir faire passer un message qui par définition ne peut pas passer de cette manière. L'effet obtenu est inévitablement contre-productif. Dommage.
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A qui s'adresse cette question ? La réponse en dépend... =D En considérant ce qu'on sait des trois prétendants, et qui se confirme de jour en jour, ce rapport ne fait qu'ajouter à ces confirmations. En revanche, lorsque l'opinion qu'on se fait de l'un ou l'autre de ces appareils est basée sur du vent et bien loin des réalités, il devient difficile d'accepter la crédibilité d'un rapport aussi orienté à contre-courant. Mais ce n'est qu'un mauvais moment à passer puisque la réalité fini toujours par survivre aux mensonges.
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Attention aux échelles de valeurs, elle ne reflètent pas une mesure absolue et proportionnelle mais seulement une moyenne de plusieurs tests dont on ne sait rien sinon qu'ils sont notés sur une échelle de 5 valeurs potentiellement subjectives. Si le classement est significatif d'une perception globale dans le domaine considéré, l'écart entre les notes n'a pas une valeur très représentative. Ceci dit, globalement, ce que je vois dans ce rapport correspond avec les bruits qui couraient sur ces évaluations : Bluffés par le Rafale, agacés par le Typhoon (inconstant, bon et mauvais à la fois, surestimé par le "vendeur") et très déçus par le Gripen (faible partout, souvent au delà du prévisible).
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Armée de l'air des E.A.U
DEFA550 a répondu à un(e) sujet de Libanais_75 dans Afrique / Proche Orient
Je pense que tu ne te trompes pas. -
Mouais... Il aurait bien besoin de TVC pour améliorer son taux de roulis, en tout cas. Parce qu'à ce niveau c'est un gros veau.
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Il semblerait qu'un 2000 abandonné sans moteur, en palier et à faible vitesse/altitude, trouve rapidement une configuration auto-stable qui l'expédie au sol sous haute incidence avec un fort taux de descente et une vitesse horizontale faible. Autrement dit, il bénéficie d'un gros freinage aérodynamique et vient se "poser" violemment.
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Chris, On ne sait pas quel est le contenu véritable du RFP, mais en tout état de cause le dimensionnement d'une force de combat tient d'objectifs tactiques ou stratégiques en temps de crise. En temps de paix on s'adapte, l'essentiel étant de maintenir le matériel en état et de savoir s'en servir le moment voulu. Le problème de ton argumentation, qui n'est pas nécessairement dénuée de sens à priori, est qu'elle repose sur des chiffres arbitraires choisis pour illustrer un conflit capacitaire. Pourquoi pas. Néanmoins, cela fait abstraction de deux éléments qu'il faut pourtant bien prendre en compte : - Pourquoi 22 appareils ? Quel sont les facteurs dimensionnants et comment les atteindre tous ? Si Dassault se permet de n'en proposer que 18, c'est peut-être aussi parce que ça répond au(x) problème(s) posé(s). - Moins d'avions implique moins d'hommes, et donc un allègement de l'entraînement et de la formation. S'il faut 5 Gripen pour la formation au lieu de 4 Rafale, et 5 pour les "répétitions" au lieu de 4 (choix arbitraire pour illustrer le propos), la différence entre les deux offres s'atténue notablement non ? Il existe d'autres explications, moins évidentes à trouver, en particulier du côté des immobilisations imposées (ou pas) par la maintenance périodique. Bref, le nombre d'avions nécessaire ne peut s'apprécier qu'à partir d'une vue global des contraintes et des objectifs visés, et c'est pourquoi une quantité de 22 avions ne peut (ne doit ?) être vu que comme le résultat d'une équation complexe et non comme une donnée élémentaire.
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Il ne faudrait pas trop exagérer, tout de même... En tant qu'intercepteur le Typhoon est indiscutablement un cran au dessus. Pas un gros cran, certes, mais un cran quand même.
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C'est pourquoi Dassault soumet seulement maintenant une nouvelle offre portant sur un dimensionnement capacitaire (18 Rafale) et non sur une quantité brute imposée (22 appareils).
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plafond (max) opérationnel = plafond en PG sec. Les 50000 ft (16000 m) annoncés sont cohérents et compatibles avec ce que j'explique depuis tout à l'heure.
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Je ne pense pas avoir dit ça un jour... Si j'ai un truc à dire, c'est que le "9" dans dash 9 est juste là pour avoir un chiffre supérieur au "5" des copains et ainsi flatter l'égo des heureux détenteurs. Pour le reste, le "ça leur suffit" revient un peu trop souvent à mon goût. Et à moins que la liberté d'expression soit limitée, c'est aussi quelque chose que j'ai le droit de dire même si ça doit froisser des susceptibilités.
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J'ai bien compris la démarche, mais en l'absence de source(s) j'ai du mal à être certain que ces chiffres soient présentés correctement. Ainsi les 16000m (50000 ft) de la RAF pourraient très bien n'être qu'un plafond opérationnel tel que défini par ailleurs mais maladroitement présenté ou interprété comme un plafond maxi. Dans l'absolu, ce plafond reste une fonction de la densité de l'air, de la poussée disponible et de l'incidence (ce qui fait donc intervenir le poids, la portance et la traînée). C'est pourquoi on retrouve à peu près toujours les mêmes chiffres : 50000 ft en plafond ops et 60000 ft en plafond max, à 10% près.
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A ma connaissance, c'est une donnée basique sanctionnée par le variomètre mais arrondie à la louche parce que somme toute assez théorique (puisqu'elle dépend de la véritable poussée des moteurs, de la température extérieure, du poids réel de l'avion, de sa traînée du moment, et éventuellement de l'age du capitaine). Bref, quand on lit 50000 ft comme plafond opérationnel, ça veut dire que le domaine de vol en PG sec s'étend jusque là. Ca ne veut pas dire que l'avion se casse la gueule s'il sort du domaine, ni que c'est la limite dans le cas le plus favorable (ça serait même plutôt l'inverse).
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Belle photo de l'autodirecteur IR. Elle permet de mieux comprendre pourquoi le MICA est très résistant au leurrage optique...
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Ils se privent surtout de devoir négocier avec des charlatans capables de baisser leur tarif de 25% sur un coup de tête. La carotte était pourtant suffisamment grosse pour que les deux participants fassent le maximum de concessions pour tenter de décrocher le pompon. Dassault a manifestement joué le jeu, les autres ont maintenant perdu toute crédibilité. Et comme leur offre repose aussi sur beaucoup de promesses...
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Excuse-moi de prendre ton intervention comme prétexte pour ce qui suit, je ne vise personne en particulier mais tout le monde en général. Qui sommes-nous pour nous sentir fondés à donner des leçons aux suisses et maintenant aux brésiliens sur ce qui leur convient le mieux, ou pas ? En tout cas la réputation des français semble bel et bien fondée, elle... =(
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En principe : - Plafond max = Altitude maximale à laquelle l'avion peut rester en pallier. - Plafond opérationnel = La même chose, mais en PG Sec et pas forcément en lisse.
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Il a tiré sur une cible qui le suivait, c'est exact, mais cette cible était suivie par le radar d'un autre Rafale. Au plan technique, il n'y a rien de nouveau puisque le MIDS fait partie des capteurs fusionnés. La conduite de tir ne fait que prendre en compte l'information consolidée (pistes fournies par les capteurs, après fusion), et ce cas de tir n'est pas différent de celui plus basique consistant à exploiter le radar pour tirer droit devant. En revanche il démontre les capacités dynamiques du MICA (demi-tour puis interception après acquisition autonome). Mais pour le coup ce n'était pas un tir passif puisque la cible a été illuminée, même si le véritable tireur est resté masqué en étant, lui, passif.
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Pour quelqu'un qui a fait deux pas de trop sur un autre forum, je te trouve bien sûr de toi ! =D
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Je ne comprends pas très bien où tu veux en venir ; tu donnes l'impression de tout mélanger. Tu as répondu à une intervention où la télémétrie n'était pas mentionnée, dans le cadre d'un tir BVR décrit comme passif. Par conséquent, la réponse telle que formulée n'a pas de sens. Maintenant un télémètre laser ne triangule pas et n'estime pas. Il mesure. En revanche il n'est pas exclu que l'OSF (ou les MICA IR) puissent permettre d'estimer la distance par triangulation, étant entendu qu'on se trouve alors dans un système dynamique et non statique et que les données angulaires de l'OSF (par exemple) sont prises sur autant de points situés sur la trajectoire au fil du temps et non pas en un point unique de l'espace. Il s'ensuit que la possibilité technique de pouvoir faire un tir BVR totalement passif n'est pas à exclure à priori, ce qui exclut à contrario la nécessité absolue d'employer la télémétrie et rend donc incorrecte l'interprétation selon laquelle un tir BVR implique une illumination (radar ou laser). Ceci dit, quel que soit le raisonnement intellectuel ayant mené à la question posée, toute émission d'énergie fait perdre le caractère passif. Ca vaut donc pour le radar, mais aussi pour la télémétrie laser, que la cible soit capable de le détecter ou pas.
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Non. Le M88 n'est pas au ralenti, loin de là. Si l'avion ne bouge pas malgré la poussée, c'est parce qu'il y a un truc génial : les freins ! :D
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Pourquoi des conditions exceptionnelles chez eux seraient des conditions exceptionnelles ailleurs ?
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C'est la méthode Coué...
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Un 2000D en bravo, c'est 6,1T.