Salutation,
Le stato-reacteur représente la forme la plus simple d'un propulseur, bien qu'il ne soit pas trés facile à realiser. Dans un stato reacteur, il n'y a pas de partie mobile (pas de compresseur, pas de turbine). La compression de l'air se fait grace à la vitesse et uniquement dans la manche d'entrée d'air. Ce dernier a une forme divergente. Ainsi la vitesse est transformé en pression. Plus la vitesse est importante, plus le stato sera efficace. Les principaux inconvegniants sont la nécessité d'une vitesse initiale de l'avion et un mauvais rendement en dessous de Mach 2,5 - Mach 3.
Pour les moteurs, il existe des alliages dit " de hautes températures", capable de resister à des températures relativement élevé, telque les alliages de fer, nickel, ou cobalt, avec des resistances pouvant aller jusqu'à 2400°c. Il y a aussi des composites de type carbone/carbone capable de resister jusqu'à 3400°c environ.
Pour les Mig, les Russes ont compensé en installant une trés grande entrée d'air. Pour aller à Mach 3, ils font fonctionner les post-combustions de leur GTR un peu de la même façon qu'un stato-reacteur.
Par rapport à un stato-reacteur, il doit y avoir une spectaculaire chute de regime avec la vitesse et l'altitude, avec un augmentation trés importante de la consommation. La vie de ces reacteurs doit en pâtir aussi