Les attentats contre l'armée et la police Pakistanaise, suite à l'attaque de la Mosquée Rouge, risquent de changer la donne. Une modification des rapports de force en faveur du Président pakistanais est loin d'être exclue. On ne s'en prend impunément à l'armée et même si les services de renseignement (complétement infiltrés et noyeautés par les islamistes) continue à soutenir les radicaux il n'est pas sûr que cela se fasse sans grosses, grosses, casses.