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alexandreVBCI

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Tout ce qui a été posté par alexandreVBCI

  1. Crise politique majeure en Irak après l'annonce du mandat d'arrêt à l'encontre du vice-président Tarek al-Hachémi. Le dirigeant kurde irakien Massoud Barzani a appelé aujourd'hui les protagonistes politiques dans son pays à une réunion d'urgence pour éviter un "effondrement" de leur gouvernement d'union nationale, prévenant que "la situation s'achemine vers une crise profonde." Le bureau de M. Hachémi s'est plaint de "harcèlement" lundi, évoquant plusieurs incidents dont le fait que sa maison est encerclée par les forces de sécurité depuis plusieurs semaines. Ces événements surviennent alors qu'Iraqiya, second groupe parlementaire derrière l'Alliance nationale, coalition des partis religieux chiites dont fait partie le premier ministre Nouri el-Maliki, a suspendu samedi sa participation au Parlement et violemment critiqué la façon dont le Premier ministre monopolise le pouvoir. Dimanche, le chef du gouvernement avait demandé au Parlement de retirer sa confiance au vice-premier ministre Saleh Moutlak qui l'avait traité à la télévision de "dictateur pire que Saddam Hussein". Les députés doivent se pencher sur la question le 3 janvier, selon un responsable du Parlement. L'Irak, aux institutions faibles et corrompues, n'a plus, non plus, de ministre de l'Intérieur depuis deux ans, faute de compromis entre factions politiques, qui s'opposent généralement sur le plan ethnique. Le gouvernement dominé par les chiites accuse les anciens partisans sunnites de Saddam Hussein de comploter. Les Kurdes, s'ils ne réclament plus l'indépendance, s'opposent au pouvoir central sur la souveraineté d'une région riche en pétrole autour de Kirkouk. D'ailleurs, la loi régissant l'exploitation des hydrocarbures, de loin premières ressources du pays, est toujours en attente. Un quart de la population vit sous le seuil de pauvreté. Les séparatistes kurdes de Turquie disposent de bases dans le nord du pays, où frappe de temps en temps l'armée d'Ankara. (AFP) Les américains sont partis depuis moins de 48 heures et c'est déjà l'anarchie ! :O
  2. Le boom du solaire va alourdir les factures d'électricité Après la hausse des prix du gaz, une autre mauvaise nouvelle pour la facture énergétique des Français est tombée vendredi: la Commission de régulation de l'énergie (CRE) a prévenu qu'une taxe sur l'électricité grimpera après 2012 en raison du boom des panneaux solaires. Le gendarme des marchés du gaz et de l'électricité estime en effet que la «contribution au service public de l'électricité» (CSPE), prélevée sur les factures, rapportera l'an prochain 1,3 milliard d'euros de moins que les charges qu'elle est censée compenser, un manque à gagner qui devra être rattrapé les années suivantes. Cette taxe a été instaurée en 2003 pour couvrir les dépenses d'EDF résultant de ses missions de service public, comme le soutien aux énergies renouvelables, le surcoût lié à la production d'énergie dans les îles, ou certaines mesures sociales. Or, les charges liées aux énergies alternatives ont explosé ces dernières années, surtout en raison du boom du solaire. Le développement de cette énergie «propre» a été fortement encouragé par les pouvoirs publics dans le cadre de l'objectif du Grenelle de l'environnement visant à porter à 23% d'ici 2020 la part des renouvelables dans la consommation d'énergie nationale. Mais le décollage a été si fulgurant que le gouvernement a été contraint de donner un coup de frein brutal au printemps, en revoyant les mécanismes de soutien à la filière pour mettre fin aux effets d'aubaine. Depuis, les prix de rachat auxquels EDF doit racheter la production d'électricité photovoltaïque ont été abaissés à deux reprises. Malgré tout, d'après la CRE, les charges de service public de l'électricité grimperont à 4,3 milliards d'euros en 2012, soit 60% de plus qu'en 2010, toujours à cause du «développement très dynamique de la filière photovoltaïque», qui devrait à elle seule peser à hauteur de 1,5 milliard d'euros, soit un tiers du total. Du coup, les experts de la CRE estiment que pour compenser cette envolée, la CSPE devrait être relevée à 13,7 euros le mégawattheure (MWh), contre 9 euros actuellement, soit une augmentation de 50%... Elle pèserait alors 11% de la facture électrique moyenne d'un foyer. Or, l'Etat a déjà décidé de maintenir la taxe à 9 euros jusqu'à fin juin 2012, puis de l'augmenter à 10,5 euros/MWh jusqu'au 31 décembre 2012, ce qui est nettement insuffisant d'après les calculs de la CRE. Du coup, cela devrait entraîner un «défaut de compensation» à la charge d'EDF d'environ 1,3 milliard d'euros, prévient le gendarme de l'énergie, qui souligne que ce trou «devra être couvert par la CSPE au cours des prochaines années», comme le prévoit la réglementation. Cette problématique n'est pas nouvelle. La CRE tire la sonnette d'alarme depuis plusieurs années. La CSPE n'avait pas bougé entre 2004 et 2010, restant fixée à 4,5 euros le mégawattheure. C'est sur l'insistance de la commission que l'Etat s'est résolu à l'augmenter à deux reprises cette année, la faisant passer à 7,5 euros en janvier, puis à 9 euros en juillet. Malgré cette mauvaise nouvelle pour les consommateurs, qui s'ajoute à la hausse de 4,4% des prix du gaz le 1er janvier, certains ménages bénéficieront d'un double coup de pouce l'an prochain. D'une part, les tarifs sociaux du gaz et de l'électricité, qui ne bénéficient pour l'instant qu'à 600.000 ménages (alors que les foyers éligibles sont estimés entre 1,5 et 2 millions) seront désormais attribués automatiquement à ceux qui remplissent les critères. De plus, le tarif social du gaz va être renforcé, avec une augmentation de 10% de la réduction offerte aux bénéficiaires sur leurs factures de gaz. Elle passera ainsi à 156 euros par an au maximum. http://www.20minutes.fr/article/844126/boom-solaire-va-alourdir-factures-electricite
  3. C'est pas plutôt un écran plat de Corée du sud annoncant la mort du clown nord-coréen ? La pub est interdite en corée du nord et je doute qu'il vendent des écrans SHARP dans le pays !
  4. Défilé de charme à bord d'un Boeing 737 Afin de présenter sa nouvelle gamme de sous-vêtements à la presse, une marque de lingerie a organisé un défilé de mode à bord d'un Boeing 737 de la compagnie bolivienne BoA. C'est à plusieurs milliers de mètres d'altitude, entre La Paz et Cochabamba, que six magnifiques jeunes femmes ont déambulé dans l'allée centrale, uniquement vêtues de petites culottes en dentelle et de soutien-gorges. Un pur moment de bonheur pour les journalistes présents, mais de courte durée. A peine arrivés à Cochambamba, c'est une douche froide qui les attend. Ils apprennent que le billet de retour n'est pas prévu et qu'ils doivent se débrouiller pour rentrer par leurs propres moyens. Quant on pense qu'il y en a encore qui croient que journaliste est un métier facile ! http://www.quotidiendutourisme.com/site/humeur-defile-de-charme-a-bord-d-un-boeing-737-63631.html
  5. Forcé des gens à pleurer pour faire croire que le peuple adore son "cher leader" pourri jusqu'à la moelle ! Aussi pitoyable que forcer des pauvres gens à danser ou à parader pendant des heures le ventre vide pour féter l'anniversaire de ce guignol alors que la famine ravage le pays. Je suppose que les nord coréens surpris à être indifférents à l'annonce de la mort du pitre devront corriger ce vilain défaut dans un camp de rééducation.... et je parle pas du pauvre mec qui aurait esquissé nerveusement un léger sourire : il a dû finir avec une balle dans la nuque pour haute trahison probablement !
  6. Le vice-président irakien visé par un mandat d'arrêt Un comité judiciaire irakien a émis lundi 19 décembre un mandat d'arrêt à l'encontre du vice-président, Tarek Al-Hachémi, conformément aux 'lois antiterroristes', ont indiqué des responsables de la sécurité et de la justice. L'homme politique irakien s'était déjà vu imposer une interdiction de voyage à l'étranger. L'annonce du mandat d'arrêt est survenu alors que la télévision publique Al-Iraqiya diffusait des images montrant des gardes du corps de M. Hachémi avouant qu'ils planifiaient et commettaient des attentats, et recevaient des fonds du vice-président. Des informations directement transmises par le ministère de l'intérieur. Au moins 13 des gardes du corps de M. Hachémi ont été arrêtés au cours des dernières semaines. En réaction à cette annonce, Iraqiya, second groupe parlementaire derrière l'Alliance nationale, a annoncé qu'il allait boycotter le gouvernement, deux jours après avoir suspendu sa participation aux travaux du Parlement. 'Cette décision a été prise en raison de la détérioration du processus politique, pour éviter que le pays ne sombre dans la catastrophe si la dictature de Maliki se poursuit', a déclaré le vice-premier ministre irakien et dirigeant de ce bloc, Saleh Moutlak. Samedi, Iraqiya, avait déjà suspendu sa participation au Parlement et violemment critiqué la façon dont le premier ministre, Nouri Al-Maliki, monopolise le pouvoir. Dimanche, le chef du gouvernement avait demandé au Parlement de retirer sa confiance au vice-premier ministre, Saleh Moutlak. Ce dernier l'avait traité à la télévision de 'dictateur pire que Saddam Hussein' Les députés doivent se pencher sur la question le 3 janvier 2012, selon un responsable du Parlement. En attendant, le dirigeant kurde Massoud Barzani a appelé, lundi 19 décembre, les protagonistes politiques du pays à une réunion d'urgence pour éviter un "effondrement" de leur gouvernement d'union nationale, prévenant que "la situation s'achemine vers une crise profonde." Exprimant son "inquiétude" vis-à-vis de cette crise politique, le porte-parole de la Maison Blanche a affirmé que les Etats-Unis avaient pressé toutes les parties en présence d'"œuvrer à résoudre" leurs divergences.
  7. Dans les débats politiques aux États-Unis, «français» est une insulte. http://www.slate.fr/story/47657/pourquoi-americains-detestent-francais
  8. Exactement, j'ai lu sur un site internet que des historiens classaient le début du 21ième siècle comme la période la plus pacifique de toute l'histoire de l'humanité. On n'a jamais connu aussi peu de guerre/conflits dans le monde avec aussi peu de victimes.
  9. alexandreVBCI

    VBCI

    Pour le prix, j'ai repris l'info publiée sur wikipédia : "le prix unitaire était estimé à 2,28 millions d'euros pour le VCI et 1,6 million d'euros pour le VPC. En octobre 2007, le coût total est dorénavant de 2,9 milliards d'euros soit plus de 4 millions l'unité." il est possible que l'écart soit plus faible mais il reste plus cher que la concurrence (à l'exception du Boxer). Le canada a choisi les leopard 2 parce qu'ils avaient un besoin urgent, les chars étaient immédiatement disponibles et à un prix d'occasion cassé. Le VBCI a la malchance d'être un produit haut de gamme en pleine crise économique et face à une concurrence nombreuse. Si aucun contrat ne prends rapidement le relais des commandes françaises, la chaîne de montage s'arrêtera en 2015 et tout espoir de le vendre sera abandonné. Dans une pure logique industrielle et de simplification de la logistique et de la maintenance, il faudrait maintenir la production de la caisse en choississant la version VTT pour le VBMR et un VBCI 40CTA pour l'EBRC (honnêtement, le choix d'un chenillé pour l'EBRC n'a aucune chance d'aboutir de toute façon tant le concept "tout roues" est developpé du coté EM... et on n'a pas de proposition de chenillé de Nexter et on n'achètera que 100% français). Enfin, plus on produit de VBCI, plus on aura la possibilité de développer un marché de l'occasion dans 20 ans. Je reconnais que la version ambulance pourrait être aisément remplacé par un Aravis. XP2 : il y a déjà des dizaines de concurrents sur le marché des 6x6 qui est déjà saturé.... pour moi, c'est une fausse bonne idée : il faut du léger en 4x4 et du lourd en 8x8, le 6x6 c'est trop petit pour un groupe de combat bien équipé. Trop moyen, pas assez évolutif, on n'a pas l'expérience et on ajoute une logistique et une maintenance de plus à gérer en essuyant les plâtres d'un concept qui va mettre des années à aboutir alors que le VBCI est déjà disponible. Enfin, il faudrait aussi multiplier les partenariats pour étendre l'offre avec par exemple des tourelles étrangères ou un canon de 90/120 ou AA ou lance-roquette, etc...... surtout travailler à la réduction des coûts ou une version "light".
  10. alexandreVBCI

    VBCI

    On n'a pas acheté la version dépanneur, ni la version porte-mortier, ni la version VTT (qu'on cherche pourtant à vendre à l'espagne), ni la version ambulance (on va rester encore des années sur du chassis VAB moins protégé alors qu'on constate en afghanistan que les ambulances sont attaquées en priorité). En plus on pourrait imaginer une version 40CTA en guise d'ERBC. Mais le prix du VBCI a doublé entre l'estimation d'origine et son prix de vente actuel. ça l'a tué. Le VBCI n'est plus la priorité commerciale de Nexter qui mise sur le démonstateur XP2 ou sur l'Aravis, moins chers donc plus compétitifs sur des marchés en pleine crise économique (et plus dans les prix souhaités pour le VBMR par exemple). Comme l'a dit Serge, la logique voudrait que l'espagne retienne le Freccia. Le Canada prendra ce que les USA leur diront de prendre et ça ne sera surement pas le VBCI franco-français. Nexter n'a aucun atout décisif ni soutien politique dans ces deux pays qui ne sont pas des clients habituels de Nexter et sa réputation en a pris un coup avec le Leclerc invendable et le prix exorbitant de son MCO. Une absence de communication est une mauvaise communication. Les équipes commerciales de Nexter sont visiblement incompétentes vu les faibles ventes à l'export de matériel neuf : quelques caesar, c'est tout.. La négociation avec l'arabie saoudite pour des aravis semble bloquée sur le prix et Nexter n'a aucun autre client en vue pour ce produit.
  11. alexandreVBCI

    VBCI

    En ce qui concerne la vente de VBCI à l'export, Nexter fait le minimum syndical. En fait, ils ont déjà fait une croix dessus quand le gouvernement a décidé d'acheter que 2 versions sur 6. La communication est inaudible, il n'y a pas de soutien politique... on rejoue l'echec du Leclerc. La vente de 8x8 explose et le VBCI est le seul à ne pas se vendre à l'étranger. Une victoire au Canada ou en Espagne est quasi inimaginable en l'état.
  12. (BRUXELLES2, analyse) La crise économique est une menace « sécuritaire » au même titre que d’autres, comme le rappelait justement le ministre de la Défense, Leon Panetta, récemment. B2 ne pouvait donc se désintéresser du nouveau Traité qui va être mis en place dans l’Union européenne. On en connait plus depuis cet après-midi. Le texte vient d’être en effet diffusé aux Etats membres, avec l’objectif de traduire le plus rapidement possible, en dispositions juridiques, l’accord politique obtenu au sommet du 9 décembre entre les dirigeants de la zone Euro. L’objectif – ainsi qu’il est précisé dans l’article 1 – est d’aboutir à un « renforcement de la discipline budgétaire, la coordination et la gouvernance ». Une méthode originale Ce qui aussi intéressant que le contenu est la méthode de travail : ce texte a été préparé par les juristes du Conseil en liaison avec ceux de la Commission – les Etats membres n’étant pas associés -, puis transmis aux Etats membres. Mais il est rare que la presse soit associée à ce point puisqu’un briefing a été organisé au conseil afin de donner à la presse les premiers éléments contenus dans ce texte. Le texte transmis aux Etats membres va maintenant être disséqué et commenté. Le premier travail se déroulera ensuite en groupe de travail « Zone euro » élargi à tous les membres de l’Union européenne (y compris les Britanniques), puis devrait passer directement aux chefs d’Etat ou de gouvernement. L’objectif étant d’aboutir à une signature dès mars. Le lieu n’est pas fixé. Mais de l’avis général, le plus facile serait de le faire en marge d’un des Conseils européens, à Bruxelles. Un accord de droit international Cet accord est un accord international classique, et non un accord communautaire, même s’il donne aux institutions communautaires (Cour de justice…) certaines compétences. Il obéit donc aux règles du droit international, notamment pour tout ce qui n’est pas mentionné dans ce texte. Il est écrit en anglais (ce qui n’est pas d’ordinaire l’habitude suivies dans les services juridiques de l’UE, où les Traités étaient souvent rédigés en français). Il comprend 14 articles divisés en six titres : l’objectif, le contenu et les relations avec le droit communautaire, la discipline budgétaire, la convergence économiques, les sommets européens, les dispositions finales. A qui s’applique-t-il ? Les parties contractantes de l’accord sont les Etats de la zone Euro. C’est à eux qu’il s’applique en priorité. Mais il peut aussi être appliqué par les autres Etats de l’Union européenne qui y souscrivent et le ratifient. Ceux-ci bénéficient même d’un régime privilégié car ils peuvent choisir d’appliquer volontairement une ou plusieurs dispositions du Traité. Tous les Etats membres ayant « indiqué leur volonté de participer à cet accord ont les mêmes droits », qu’ils soient membres ou non de la Zone euro, précise un juriste. Le Royaume-Uni a d’emblée indiqué qu’il ne voulait pas être partie à l’accord, il sera donc « observateur ». Les parties s’obligent à « appliquer cet accord en conformité avec les Traités européens et la loi européenne ». Ce texte « ne peut contredire les dispositions déjà en vigueur ou qui ressortent de la compétence de l’UE » (article 2). Quand entre-t-il en vigueur ? Cet accord entre en vigueur le mois suivant la 9e ratification d’un Etat partie. Il n’est applicable qu’aux Etats l’ayant ratifié, au fur et à mesure de leur ratification. Un seul point est applicable dès l’entrée en vigueur, à tous : la tenue des sommets européens. « On ne peut avoir une participation en fonction de la ratification ou non » souligne un juriste ayant participé à la rédaction de ce projet. Comment peut-il être modifié ? Cette question n’est pas mentionnée. Elle doit donc être « réglée selon les règles du droit international classique » précise un juriste européen. Concrètement, le Traité ne pourra être modifié qu’à l’unanimité des Etats participant à l’accord et l’ayant ratifié (et non pas seulement à l’unanimité des signataires). NB : il parait cependant difficile politiquement de ne pas associer au minimum les Etats ayant de la Zone euro, même ceux n’ayant pas ratifié. Le contenu : discipline, convergence, sommets… Les mesures décrites reprennent celles contenues dans l’accord du 9 décembre, à commencer par la règle d’or (équilibre des recettes et dépenses des budgets publics (general government) ; respect d’un maximum de 0,5% du PIB nominal de déficit par an, permettant d’assurer une marge de sûreté par rapport à l’objectif de 3% de déficit excessif). Cette règle d’or doit être introduire de façon obligatoire par une règle constitutionnelle ou de nature équivalente. Un mécanisme de correction automatique doit être défini au niveau national – sur la base de principes communs. (article 3) Tout manquement à ces principes pourra être contrôlé les tribunaux nationaux comme par Cour de justice européenne, auquel le Traité donne compétence. NB : Mais contrairement à la procédure communautaire, seul un Etat membre pourra se plaindre à la Cour (et non la Commission européenne). Ce qui en limite d’autant la portée. Les Etats s’engagent à réduire leur endettement moyen d’un vingtième par an (article 4). Nb : Une disposition déjà prévue en fait dans le 6 pack et qui donne ainsi à une règle du droit dérivé, une valeur du droit primaire. Ils s’engagent à soutenir les propositions de recommandations mises sur la table par la Commission européenne en cas de déficit excessif à moins qu’une majorité qualifiée s’y opposent. La majorité qualifiée étant définie par référence au Traité européen (article 7). Convergence Les mesures relatives à la convergence sont davantage d’ordre politique que vraiment juridiques. Les Etats s’engagent à prendre « toutes les actions nécessaires » pour renforcer leur convergence, leur compétitivité et améliorer le fonctionnement de l’union économique et monétaire (article 9). Ils conviennent de recourir, « si nécessaire et approprié », à la coopération renforcée sur les sujets essentiels au fonctionnement harmonieux de la zone euro (article 10). Ils conviennent de discuter ensemble des réformes économiques majeures qu’ils planifient (avant de les appliquer). Une coordination qui devra impliquer les institutions de l’UE (article 11). Les parlements nationaux et européen seront associés à certaines discussions (article 12). Réunions au sommet Le Traité entérine le principe de réunions du sommet de la zone euro ; leur nombre est fixé à « deux par an ou plus » (article 13) et non un tous les mois, comme souhaité par la lettre franco-allemande. C’est un traité « destiné à durer » précise un juriste, on doit donc une disposition qui soit adaptable et non liée à certaines circonstances. Y participent les Etats membres de la zone Euro et le président de la commission européenne, ainsi que le président de la Banque centrale comme invité. La présidence de ce sommet sera fixe, confiée à un président élu à la majorité simple en même temps que le Conseil européen élit son président et pour la même durée. http://www.bruxelles2.eu/europe-pouvoir-traite-de-lisbonne/le-projet-de-traite-zone-euro-est-ecrit-texte-et-quelques-commentaires.html
  13. La Mauritanie coopère avec le Polisario Une opération conjointe réunissant le Polisario et l’armée mauritanienne, appuyée par la logistique algérienne, a été menée dans le sud-est mauritanien le 8 décembre, a révélé à TTU une source sécuritaire burkinabé. Cette initiative commune inédite avait été décidée avant la visite de trois jours à Alger, le 10 décembre, du président mauritanien, Mohamed Ould Abdel Aziz, qui a été dominée par le dossier de la lutte antiterroriste. Elle consacre le nouvel axe Alger-Nouakchott. Et par là, marque la rupture de l’alliance traditionnelle de Nouakchott avec Rabat, qui rejette le projet d’autodétermination du mouvement saharoui. Initiée par Alger, cette opération s’est inscrite dans le cadre de la traque des auteurs de l’enlèvement, fin octobre, de trois humanitaires – deux Espagnols et une Italienne – dans le camp de Tindouf, contrôlé par le Polisario. L’attaque a eu lieu dans la région de Hank, à la frontière algéro-mauritanienne sur un convoi de trafiquants opérant dans la zone. L’affrontement aurait permis d’éliminer l’une des figures importantes de ce réseau qui figurait comme la principale cible de cette opération : Mohamed Yahia, appelé Ibrahim “double tête”, suspecté d’avoir initié l’enlèvement de Tindouf avant de les revendre à un autre groupe lié à AQMI. Ce trafiquant mauritanien avait contribué à l’arrestation d’Omar “le Saharoui”, un Malien accusé par la Mauritanie d’un autre enlèvement sur ses terres, celui des trois humanitaires espagnols en décembre 2009, et d’avoir agi comme «mercenaire» pour le compte d’AQMI. Omar Sid’Ahmed Ould Hamma doit son surnom à son passé de combattant au sein du Front Polisario pour l’indépendance du Sahara occidental. Il avait ensuite servi de monnaie d’échange pour la libération de ces Espagnols en août 2010. Or, selon cette source, Omar “le Saharoui” a participé à l’opération conjointe en aidant le Polisario à retrouver Yahia et à l’abattre. «C’est une guerre de trafiquants sous couverture de lutte antiterroriste, explique-t-elle, car Ibrahim “double tête” avait repris les “business” d’Omar à la faveur de son arrestation». Selon elle, la surenchère des enlèvements dans la région relèverait ainsi d’une lutte sourde entre AQMI, qui s’efforce de garder le contrôle des enlèvements d’Occidentaux, et les intermédiaires, qui tentent de se réapproprier ce juteux “marché”. http://www.ttu.fr/la-mauritanie-coopere-avec-le-polisario
  14. Les commémorations du 11 novembre vont s'élargir à tous les « morts pour la France » Après adoption en conseil des ministres le 14 décembre, le projet de loi instaurant le 11 novembre comme Journée nationale d'hommage à tous les morts pour la France a été déposé à l'Assemblée nationale. Le texte sera discuté le 10 janvier par les députés. Le 11 novembre dernier, le président de la République avait exprimé son souhait que la Nation rende hommage, dans un même geste, aux Poilus disparus lors de la Grande Guerre et à tous les soldats tombés, depuis lors, dans l'accomplissement de leur devoir. « En exprimant la reconnaissance de la Nation à toutes celles et à ceux qui l'ont servie jusqu'au sacrifice ultime, la journée commémorative nationale du 11 novembre ouvre une nouvelle ère dans notre mémoire collective. Avec ce projet de loi, cette journée permettra d'honorer la mémoire de ceux qui sont tombés lors des opérations extérieures, sans que soient remis en cause les commémorations existantes et les textes les ayant instituées », explique le ministère de la Défense. http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=118123
  15. Baroin: "On préfère être français que britannique" Le gouverneur de la Banque de France Christian Noyer qui s'en était pris aux Britanniques, affirmant que les agences d'évaluation financière, qui menacent de dégrader la note des pays de la zone euro, devraient se pencher en priorité sur la situation de la Grande-Bretagne."La dégradation (de la France) ne me paraît pas justifiée au regard des fondamentaux économiques. Ou alors, il faudrait qu'elles (les agences) commencent par dégrader le Royaume-Uni qui a plus de déficits, autant de dettes, plus d'inflation, moins de croissance que nous et dont le crédit s'effondre", avait déclaré Christian Noyer au quotidien régional Le Télégramme de Brest. François Baroin, de son côté, avait estimé que le Royaume-Uni était dans "une situation économique difficile", avec "un niveau de déficit équivalent à celui de la Grèce" et "un niveau d'endettement équivalent au nôtre". http://lexpansion.lexpress.fr/economie/baroin-on-prefere-etre-francais-que-britannique_275274.html#xtor=AL-241
  16. La Russie devient membre de l'OMC. Après 18 ans de négociations, l'Organisation mondiale du commerce, chargée de la régulation du commerce international, a donné son ultime feu vert à l'adhésion de la Russie. "Je m'y connais un peu en marathon, a commenté Pascal Lamy, directeur général de l'organisation et coureur de fond chevronné, lors d'une cérémonie d'intronisation à Genève. Ce que vous devez savoir à ce propos, c'est que le dernier kilomètre est le pire et le plus dur, et le meilleur moment, c'est quand vous passez la ligne d'arrivée. C'est là que [la Russie est] aujourd'hui." Avec cette accession, l'OMC supervise "97% du commerce mondial", s'est encore félicité Pascal Lamy. De son côté, Elvira Nabiullina, ministre russe du Développement économique, a salué l'entrée de son pays dans l'organisation, qui compte désormais 153 membres. "Cette décision est un évènement que nous avons attendu longtemps, nous nous y sommes longtemps préparés, a-t-elle ajouté. Nous avons mené à bien des réformes, changé notre législation. [...] Il y a des risques de protectionnisme à l'horizon, et en rejoignant l'OMC, nous sommes prêts à nous opposer à ces risques." La Russie était le dernier grand pays à ne pas être membre de l'OMC. Cet accord d'accession doit à présent être ratifié par le Parlement russe dans un délai de six mois. La Russie disposera ensuite d'un nouveau délai de 30 jours pour devenir membre à part entière de l'OMC. Selon le chef de la délégation russe chargée des négociations d'adhésion, Maxim Medvedkov, la ratification doit intervenir "au début de l'année prochaine". (libération.fr)
  17. Londres prêt à une guérilla juridique avec les Vingt-Six La Grande-Bretagne est décidée à mettre des bâtons dans les roues de la nouvelle Europe qui s'est constituée sans elle. Dans la foulée de son veto de Bruxelles, la Grande-Bretagne semble prête à mettre des bâtons dans les roues de la nouvelle Europe à 26 qui s'est constituée sans elle pour tenter de sauver l'euro. Londres pourrait s'opposer à l'utilisation des institutions et des locaux de l'Union européenne par ce sous-groupe dont il s'est lui-même exclu. Les 17 membres de l'Eurogroupe les utilisaient déjà, mais c'était prévu par les traités européens, contrairement à ce qui se passe pour cette nouvelle entité à 26. Downing Street confirme que le gouvernement britannique examine la possibilité d'un recours juridique sur cette question. Londres ne voit pas pourquoi il contribuerait au financement des bâtiments européens lorsqu'ils abritent des réunions auxquelles il ne participera pas, voire durant lesquelles des mesures contraires à son intérêt pourraient être prises. Au-delà de cet aspect matériel un peu trivial se pose la question des institutions, notamment le rôle de la Cour européenne de justice, pour sanctionner les nouvelles mesures de discipline budgétaire. Une source de «conflit d'intérêts potentiel», selon l'entourage de Cameron. «D'un point de vue strictement légal, un sous-groupe de l'UE peut utiliser les institutions européennes si tous les États membres sont d'accord, ce qui n'est pas le cas, mais on peut aussi passer outre cette réglementation par une volonté poli­tique», souligne Mats Persson, du think-tank Open Europe. De leur côté, des dirigeants européens, au nombre desquels figurent Herman Van Rompuy, José Manuel Barroso ou Michel Barnier, ont fait savoir qu'ils n'entendaient pas mener la vie facile à Londres dans ses visées séparatistes. suite : http://www.lefigaro.fr/international/2011/12/14/01003-20111214ARTFIG00596-londres-pret-a-une-guerilla-juridique-avec-les-vingt-six.php
  18. Les États-Unis et le Pakistan au bord de la rupture Le Congrès américain pourrait geler une partie des crédits alloués à Islamabad. L'armée pakistanaise menace d'abattre tout avion de l'Otan qui survolerait son territoire. Le bras de fer continue. Alors que les relations entre Washington et Islamabad n'ont jamais été aussi mauvaises, la Chambre des représentants a voté, mercredi, une loi qui gèle 700 millions de dollars d'aide au Pakistan. Le texte devrait être adopté par le Sénat américain, d'autant que la Maison-Blanche n'opposera pas son veto. Objectif : contraindre les autorités pakistanaises à lutter contre le trafic d'engrais vers l'Afghanistan. Les talibans afghans achètent au marché noir des engrais produits au Pakistan pour fabriquer des IED. Ces mines déclenchées à distance sont la première cause de mortalité chez les soldats de l'Otan. Côté pakistanais, plus de deux semaines après la bavure de l'Otan qui a tué 24 soldats près de la frontière afghane, l'armée et le gouvernement ne décolèrent pas. Dimanche, le Premier ministre a indiqué que le ravitaillement de la coalition qui transite au Pakistan resterait bloqué jusqu'à nouvel ordre. L'atmosphère vire à la guerre ouverte. Il y a quelques jours, le commandement de l'armée a déclaré avoir donné l'ordre à ses troupes de tirer sur tout avion ou soldat de l'Otan qui entrerait sur le territoire. Lundi, le site internet américain Long War Journal affirmait d'ailleurs que la CIA avait suspendu ses attaques de drones. Du jamais-vu depuis le début des frappes, en 2004. L'agence utilise ces avions pour bombarder des chefs talibans et des groupes terroristes dans les zones tribales, dans le nord-ouest du Pakistan. La CIA et l'ISI, l'agence de renseignement militaire, ne coopèrent plus dans la lutte antiterroriste. (lepoint.fr)
  19. Le Ministre islandais de l’Intérieur, Ögmundur Jónasson, arejeté l’offre de l’entrepreneur chinois Huang Nubo d’acheter une grande étendue de territoire dans la région du nord du pays. Huang voulait acheter 0,3% du territoire islandais pour 200 millions de dollars. L'Islande progresse dans ses négociations d'adhésion à l'UE L'Islande a bouclé lundi quatre nouveaux chapitres dans ses négociations visant à l'adhésion à l'Union européenne mais le délicat dossier de la pêche qui empoisonne les relations entre le bloc et cette île de l'Atlantique nord reste toujours en suspens. Au total, après trois réunions avec l'UE, l'Islande a ouvert onze de la trentaine de chapitres à négocier avec l'UE et en a déjà bouclé huit. Les discussions progressent rapidement car, en tant que membre de l'Espace économique européen l'île a déjà intégré dans sa législation nationale une grande partie des directives européennes. Les nouveaux chapitres bouclés lundi entre l'Islande et l'UE concernent le droit des sociétés, la politique d'entreprise et politique industrielle, les réseaux transeuropéens et l'appareil judiciaire et les droits fondamentaux. "La réunion d'aujourd'hui (lundi) marque une autre étape importante dans les négociations d'adhésion entre l'Islande et l'UE", a indiqué l'UE dans un communiqué. Les chapitres, au nombre de 35, recouvrent tous les aspects du droit communautaire de l'Union européenne. Chaque chapitre correspond à un domaine politique spécifique (transports, énergie, politique économique et monétaire, agriculture, pêche, énergie, fiscalité, justice...) et vise à vérifier que la législation nationale du pays candidat est conforme au droit européen. Les négociations d'adhésion entre l'UE et Islande sont relativement faciles car l'île a déjà intégré une grande partie de la législation de l'UE en raison de son statut de membre de l'Espace économique européen. Mais la politique de la pêche -qui n'a pas encore été abordée- constitue l'un des principaux obstacles sur le chemin de l'adhésion à l'UE. L'Islande est brouillée avec l'Union sur la question des droits de pêche illustrée notamment par "la guerre du maquereau", conflit né de la décision unilatérale islandaise d'augmenter considérablement ses quotas de maquereaux. L'île est aussi en conflit avec l'UE sur la question de la chasse à la baleine. De nouvelles réunions entre l'UE et l'Islande sont prévues au cours du premier semestre 2012, a indiqué la Commission. (belga)
  20. Londres tente de sortir de son isolement. http://fr.news.yahoo.com/londres-tente-sortir-son-isolement-au-sein-lue-064833401.html Le "splendide isolement" tellement vanté n'a pas tenu une semaine !
  21. A report released today by the Solar Energy Industries Association and GTM Research shows that solar power installations in the United States grew more in the third quarter of 2011 than in all of 2009. The growth in the third quarter of 2011 totaled more than 240% of the growth in the third quarter of 2010, and by year’s end the United States will have installed 1.7 gigawatts of solar energy – the same amount of energy as two nuclear power plants. http://inhabitat.com/us-solar-industry-grows-more-in-third-quarter-of-2011-than-in-all-of-2009/
  22. alexandreVBCI

    Drone aérien

    Nouveau rebondissement dans le dossier des drones MALE, malmené par les sénateurs : le député socialiste Jean-Claude Viollet a déposé un amendement pour rétablir les crédits amputés par la chambre haute dans le projet de budget 2012. L'additif doit être étudié (avec 90 autres), peut-être dans nuit, dans l'hémicycle, avec des chances raisonnables d'être adopté. Le rapporteur pour avis de l'armée de l'air, qui n'a pas compris le coup de hache des sénateurs, développe ses arguments : le différentiel de prix entre le projet Dassault (choisi en CMI par le ministère) et l'optique américaine peut s'accepter, dans la mesure où des incertitudes fortes perdurent sur le cryptage des données du MALE américain (1). Pour le député, choisir américain est aussi envoyer un mauvais signal, alors que l'on parle de ré-industialisation, en France. Enfin, pour l'élu socialiste, les Américains "tentent d'imposer un standard en matière d'avions de combat et de drones", au détriment de l'industrie européenne, et dans ce cas, française. "Economiser 100 MEUR, c'est une vision de court terme, et c'est se priver d'une capacité avions de combat à trente ans" prévient-il. Jugement par le vote, dans la nuit, ou au petit matin... (1) une dimension étonnamment peu développée dans les argumentaires des uns et des autres, jusqu'à maintenant. Or, pour un système concourant au renseignement, c'est essentiel. http://lemamouth.blogspot.com/2011/12/un-amendement-viollet-pour-le-male.html
  23. "Corruption à Balard" : l'affaire se dégonfle http://www.marianne2.fr/blogsecretdefense/Corruption-a-Balard-l-affaire-se-degonfle_a451.html Le canard enchainé à merdé grave.
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