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alexandreVBCI

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Tout ce qui a été posté par alexandreVBCI

  1. Somalie : les shebabs se retirent de Mogadiscio Les shebabs, insurgés islamistes se sont retirés la nuit dernière de la capitale somalienne Mogadiscio. Cette retraite annoncée ce samedi 6 août 2011 à la fois par le gouvernement de transition somalien et un porte-parole du mouvement fait suite à une offensive ayant débuté en début de semaine dans la capitale où une famine a été déclarée dans plusieurs quartiers. « C’est un grand jour, un immense pas en avant ». Les communiqués affluent de la part du Premier ministre et du président du gouvernement de transition somalien pour saluer l’abandon de la capitale par les shebabs. Un retrait confirmé par le porte-parole du mouvement Ali Mouhamoud Rage, qu’il qualifie cependant de tactique. L’enthousiasme est plus prudent de la part des troupes de l’Union africaine, désormais au nombre de 9 000, et qui depuis plusieurs semaines contrôlaient déjà près des deux tiers de la capitale. Une offensive en début d’année a visé à reprendre position par position le contrôle de Mogadiscio. Début mars, le marché de Bakara, ainsi que celui de Suuq Baad dans le nord de la ville, ont été lentement asphyxiés, alors que les impôts sur les commerces dans les deux marchés rapportaient entre 30 et 60 millions de dollars par an aux shebabs, selon un récent rapport de l’ONU. Le mouvement avait déjà perdu des centaines d’hommes et en était réduit à recruter systématiquement des enfants, selon un rapport d’Amnesty International. L’ampleur de la sécheresse ces dernières semaines, a eu raison de la capacité de résistance des shebabs, incapables depuis six mois de mener une guerre conventionnelle. Leur retrait est le signe d’une défaite, mais reste à savoir pour combien de temps, le recours à des attaques kamikazes et des engins explosifs improvisés ne devant pas être écarté.
  2. Les insurgés libyens ont pris samedi la ville de Bir Ghanam, verrou stratégique à 80 kilomètres au sud de Tripoli, ont annoncé plusieurs commandants rebelles à un correspondant de l'AFP. Les rebelles, qui s'étaient positionnés depuis plusieurs semaines à Bir Ayad, 30 km plus au sud, ont attaqué samedi matin vers 08H00 (06H00 GMT) les garnisons loyalistes qui défendaient Bir Ghanam. Le correspondant de l'AFP n'est pas entré dans Bir Ghanam, mais il a constaté en début d'après-midi que le bruit des combats avait cessé. Et plusieurs commandants rebelles lui ont dit que la ville était prise. Parallèlement, plusieurs centaines de combattants rebelles continuaient à avancer vers le nord, à une quarantaine de kilomètres de la ville de Surman, elle-même à une vingtaine de km à l'ouest de la capitale, selon le correspondant de l'AFP. La population d’Al-Qusbat, à environ 100 kilomètres à l’est de Tripoli, s’est soulevée contre le colonel Mouammar Kadhafi et est assiégée par les forces fidèles au régime, a affirmé samedi à l’AFP un porte-parole de la rébellion. Jeudi, «un petit groupe de rebelles, équipés de quelques fusils et menés par Khamis Nouri El-Kasseh, a attaqué une école occupée par des forces de Kadhafi», a déclaré à l’AFP Rad Hussein, membre d’un conseil militaire d’Al-Qusbat. «Trois rebelles ont été tués, dont le chef du groupe Khamis Nouri El-Kasseh», a précisé M. Hussein, interrogé à Benghazi, la «capitale» des rebelles, et en contact par téléphone satellite avec Al-Qusbat. A une centaine de kilomètres à l’est de la capitale Tripoli, la petite ville d’Al-Qusbat --également connue localement sous le nom de Msallata-- est située à environ 70 km de la ligne de front de Zliten, en plein territoire contrôlé par le régime. La ville est depuis lors cernée par les militaires loyalistes, a affirmé le même porte-parole. Dans une interview au New-York Times, Saif El Islam, le fils Kadhafi, chargé de la communication officielle du pays, affirme que sa famille a conclu un pacte avec un chef islamiste pour combattre l'opposition laïque quitte à ce que la Libye ressemble à l'Iran ou l'Arabie Saoudite. De pures manoeuvres, parmi d'autres, selon Alain Chouet, ancien chef de la sécurité du renseignement à la DGSE. Des contacts existent, en effet, entre Seif Al-Islam et Ali Sallabi qui ont initié ensemble depuis un an un programme de réhabilitation de prisonniers islamistes « visant à la renonciation à la violence et la réinsertion des prisonniers dans la société libyenne ». Plus de 110 membres du GICL (Groupe Islamique armé Combattant Libyen, aujourd'hui disparu) dont parmi certains de ses dirigeants avaient été libéré de prison. Si Ali Sallabi a confirmé l'existence de contacts, il affirme qu’il s’est entretenu avec Seif al-Islam mais pour réclamer le départ du dirigeant libyen Mouammar Kadhafi et de ses fils, démentant toute « alliance » avec la famille du dirigeant libyen. Le président vénézuélien Hugo Chavez a souhaité une nouvelle fois la victoire au leader libyen Mouammar Kadhafi dans un message qu'il a lu vendredi soir à la télévision publique vénézuélienne (VTV). Le Venezuela ne reconnaît pas le Conseil national de transition (CNT) de Benghazi que les rebelles libyens ont proclamé comme le seul organe légitime du pays.
  3. Une puissance militaire dont les effets sont de plus en plus contestable. Peut-on parler de victoire US, la plus grande armée du monde, en Irak ou en Afghanistan : non. Ces guerres ont-elles au contraire accélérer le déclin de l'amérique en creusant la dette ? Elles n'ont servies à rien et n'ont pas changées ni les irakiens ni les afghans dans le fond. A quoi sert la guerre en Libye pour la France ? pour l'instant on n'a qu'une poignée de main des clowns du CNT comme seul bénéfice. Quand la guerre permettait d'agrandir son territoire, ses ressources et sa population elle représentait un gain politique et économique, une augmentation de puissance, une expansion. Aujourd'hui on fait la guerre en échange de promesses commerciales et politiques à court terme qui n'engagent que ceux qui les croient. On dépense des milliards.... et on plie bagage avec des contrats en poche signés par le nouveau gouvernement : du papier et des promesses d'amitié comme seuls gains.
  4. Celui-ci, sorti le 2/08 : http://www.journaux.fr/dsi-defense-securite-internationale-hors-serie_professionnelle_actualite_123194.html
  5. Enfin un peu d'humour en afghanistan : http://www.lefigaro.fr/international/2011/08/04/01003-20110804ARTFIG00337-une-serie-tele-afghane-ose-railler-son-gouvernement.php
  6. Al-Qaida s'attaque au Nigeria. La première vidéo des deux otages capturés le 12 mai dernier au nord-ouest du Nigeria, et dont on ne savait rien de la situation depuis, a été transmise le 3 août à l'Agence France Presse (AFP) d'Abidjan (Côte d'Ivoire). La vidéo d'environ une minute montre le Britannique et l'Italien enlevés agenouillés avec 3 personnes armées se tenant derrière eux. Ils affirment que leurs ravisseurs appartiennent à al-Qaida. Si ces propos sont confirmés, ce sera la première fois que le groupe terroriste opère dans ce pays, explique BBC News Africa. Jusqu'ici, al-Qaida au Maghreb islamique (Aqmi) opérait plutôt dans la région du Sahel, dans des pays comme le Niger, la Mauritanie ou le Mali. Les enlèvements au Nigeria sont surtout le fait de groupes armés qui opèrent dans les zones pétrolifères et libèrent généralement au bout de quelques jours leurs otages contre le paiement d'une forte rançon. http://fr.news.yahoo.com/al-qaida-sattaque-au-nigeria-143903110.html
  7. L'Afrique du Sud déploie l'armée pour protéger ses rhinos des braconniers. Depuis avril, ce sont des soldats de l'armée régulière sud-africaine qui sont déployés le long de la frontière du Mozambique, dans le mythique parc national Kruger, au nord-est du pays. Ils ont pour mission de combattre un braconnage de plus en plus professionnel et organisé, qui alimente le marché asiatique en poudre de corne. «On n'est plus au temps du braconnier isolé qui venait chasser pour la viande, avec son piège, ses flèches ou son fusil de chasse», explique Ken Maggs, spécialisé dans la traque des braconniers dans le parc: «Maintenant il arrive prêt à se battre. C'est pour cela que nous adoptons désormais des tactiques militaires, ou para-militaires.» Les braconniers traversent la frontière de nuit, équipés de lunettes de vision nocturne, de fusils d'assaut AK-47 (Kalachnikov) et de fusils de chasse. Les gardes trouvent parfois des messages de menace tracés dans le sable. Les patrouilles de l'armée, qui circulent avec un ranger du parc, arpentent le bush dès l'aube, tous les sens en alerte, pour repérer à la fois les prédateurs et les braconniers. Ces derniers sont les plus dangereux car, à plusieurs reprises, ils ont ouvert le feu sur les patrouilles. Depuis le début de l'année, 15 braconniers ont été tués, 9 blessés et 64 arrêtés lors d'accrochages avec l'armée.
  8. Syrie : sous la pression, Assad met fin au parti unique La dictature syrienne autorise désormais les formations politiques autres que le parti Baas. Mais au même moment, les violences et les tueries se poursuivent. La Syrie va enfin pouvoir avoir plusieurs partis. En promulguant le décret qui légalise le multipartisme, le président Bachar el-Assad a accédé à l'une des demandes des Syriens qui manifestent depuis des mois pour réclamer plus de démocratie dans leur pays. Tenue par le parti Baas depuis 1963, dirigée par la famille el-Assad depuis 1971, la Syrie ne connaît pas les élections libres. Le décret promulgué aujourd'hui établit les conditions de la création des partis qui pourront exister au côté du parti Baas, qui est officiellement «dirigeant de l'Etat et de la société». Ces formations politiques devront respecter la déclaration universelle des droits de l'homme, ne pas être créées sur des bases tribales ou religieuses et ne pas être issues d'une organisation non-syrienne.De même, ils ne devront comporter aucune formation militaire ou paramilitaire, publique ou secrète et leurs principes, objectifs et sources de financement devront être clairement établis. Grâce à la promulgation du décret, la loi rentre immédiatement en application. Un projet de loi avait été accepté le 24 juillet, mais l'éventualité de son entrée en vigueur était douteuse. Pour le ministre de Affaires étrangères Alain Juppé, cette annonce est «presqu'une provocation» alors que la répression ne faiblit pas, a-t-il dit sur France Info. Même pendant le ramadan, qui a commencé lundi dernier, les chars de l'armée syrienne continuent d'attaquer les foyers de la contestation. (Le Figaro)
  9. alexandreVBCI

    [Rafale]

    La mise en danger de civils et un comportement qui peut avoir choqué la population et porter atteinte à l'image de l'armée a dû compter aussi. C'est pas comme prendre des risques à titre personnel exclusivement. Il est par ailleurs normal qu'un acte volontaire (cascade) soit plus sanctionné qu'un acte involontaire (accident) même si la conséquence (perte d'un appareil) est identique.
  10. Le premier porte-avions indien terminé d’ici décembre La construction du premier porte-avions indien, officiellement baptisé "navire de défense aérienne", au chantier naval de Cochin devrait être terminée d’ici le mois de décembre. Le bâtiment de 40.000 tonnes sera ensuite mis à l’eau. « En ce qui concerne le “navire de défense aérienne” en cours de construction au chantier naval de Cochin, 75% du travail de la coque a été terminé. Il devrait être lancé en décembre 2011. D’autres travaux auront ensuite lieu avant son admission au service actif, » a déclaré mardi le ministre indien de la défense A K Antony. Il a précisé que l’acier nécessaire pour la construction d’une coque de bâtiment de guerre, d’une qualité particulière, était désormais disponible en Inde, ce qui réduit la dépendance du pays face à des sources étrangères. Rappelant que l’Inde prévoit de disposer d’un porte-avions sur chacune de ses façades maritimes, le ministre a ajouté : « Pour maintenir une présence effective dans notre zone d’intérêt, la marine indienne devrait être capable de déployer des porte-avions et leur escorte dans 2 endroits géographiquement séparés ». http://www.corlobe.tk/article25373.html
  11. Un bateau fantôme s'échoue à Bombay. (AFP) Les autorités maritimes indiennes enquêtaient mercredi pour savoir comment un pétrolier sans équipage à son bord avait réussi à pénétrer dans les eaux territoriales sans avoir été détecté, avant de finir par s'échouer sur une plage de Bombay. Cet incident est particulièrement fâcheux pour les autorités de Bombay qui ont fait de la sécurité côtière une de leurs priorités depuis les attentats de 2008 perpétrés par un commando ayant détourné un bateau pour arriver à Bombay incognito. Le porte-parole du ministère de la Défense, le capitaine M. Nambiar, a déclaré que les 13 membres d'équipage du MV Pavit, battant pavillon panaméen, avaient envoyé un appel de détresse après une voie d'eau dans la chambre des machines survenue au large d'Oman le 29 juin. L'équipage abandonna le navire le jour suivant. "On pensait que ce navire avait coulé. Après ça, l'information qu'on a reçue était que le bateau avait échoué à Bombay", a-t-il ajouté. Le pétrolier s'est échoué près de la plage de Juhu, dans le nord de Bombay, tôt dimanche. Le chef de la Direction générale de la navigation, l'organisme indien de surveillance maritime, S.B. Agnihotri, a déclaré qu'une enquête avait été ouverte pour savoir pourquoi le MT Pavit n'avait pas été détecté. "Nous allons enquêter sur les 100 heures au cours desquelles il n'y a pas eu de détection", a-t-il précisé mardi à des journalistes. La sécurité côtière est de la responsabilité conjointe de la marine, qui patrouille dans les limites extérieures des eaux territoriales indiennes, des garde-côtes et de la police maritime de l'Etat du Maharashtra près du rivage. Les assureurs et les propriétaires du navire, qui contenait 10 tonnes de fioul et 10 tonnes de diesel, ont été contactés par les autorités, a indiqué M. Agnihotri.
  12. Le ministre turc de l'Energie Taner Yildiz a annoncé mercredi à Ankara le retrait de la compagnie japonaise Tokyo Electric Power (Tepco) de pourparlers concernant la construction d'une centrale nucléaire dans le nord de la Turquie, a rapporté l'agence de presse Anatolie. Après avoir abandonné des tractations avec la Corée du Sud, la Turquie a signé en décembre 2010 avec le Japon un protocole d'accord sur la coopération dans le domaine du nucléaire civil, un premier pas non contraignant vers la construction d'une centrale à Sinop (nord). L'offre du Japon en Turquie reposait sur trois piliers: la construction avec ses technologies, le financement et la gestion du fonctionnement. Elle a annoncé en mars qu'elle ne renoncerait pas à ses projets de construire trois centrales nucléaires d'ici à cinq ans. Ankara a conclu un accord en 2010 avec Moscou pour construire un réacteur à Akkuyu, dans la province de Mersin (sud). http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2011/08/03/97002-20110803FILWWW00386-tepco-renonce-a-une-centrale-en-turquie.php Rétrospectivement, savoir que Tepco a faillit construire et gérer des centrales nucléaires en Turquie (en zone sismique ?) me fait froid dans le dos vu la "qualité" de leur travail au Japon ! :O
  13. SYRIE. Des défections dans l'armée font craindre une guerre civile Les déserteurs, dont la vie est menacée, quittent les rangs armes à la main. Les manifestations pacifiques pourraient être d'autant plus prises pour cible par les forces pro-régime. Les défections dans l'armée syrienne, si elles semblent être un signe positif pour la lutte contre le régime de Bachar al-Assad, inquiètent pourtant les opposants au dictateur. Depuis le début du mouvement il y a quatre mois, des témoignages de soldats s'opposant aux tirs sur les manifestants, refusant eux-mêmes de tirer ou, plus radicalement, quittant les rangs de l'armée ont réussi à filtrer. Et ce mouvement semble avoir pris de l'ampleur. Quelques officiers avaient déjà passé la frontière avec le Liban ou avec la Turquie il y a quelques semaines, bravant le risque d'exécution ou de vengeance sur leurs proches restés au pays. Mais, depuis plusieurs jours, on parle de soldats sans grade, de mouvements collectifs et même de bataillons quittant les rangs. La suite : http://tempsreel.nouvelobs.com/actualite/monde/20110802.OBS8001/syrie-des-defections-dans-l-armee-font-craindre-une-guerre-civile.html
  14. Pou vous faire peur, The Economist publie sur son site web une horloge qui met à jour en temps réel l'accroissement de la dette mondiale : Une dette mondiale qui s'accroit de plus de 100 000 dollars... par seconde. http://www.economist.com/content/global_debt_clock
  15. L'inquiétude qui s'est installée sur la planète finance fait flamber les valeurs dites refuges, comme le franc suisse et le yen. Or cela pénalise leurs économies. La Chine, elle, poursuit l'internationalisation du yuan. Suisse : Le franc suisse est «extrêmement surévalué», estime la Banque nationale suisse (BNS). La flambée de la monnaie helvétique, qui inscrit record sur record face aux principales devises, «constitue une menace pour l'évolution de l'économie et accroît les risques d'une dégradation de la stabilité des prix» dans le pays, ajoute-t-elle. Il faut réagir, a soufflé le ministre suisse de l'Économie, Johann Schneider-Ammann, qui a évoqué dans un discours lors de la fête nationale le 1er août le risque d'un effondrement conjoncturel. La flambée du franc plombe en effet l'économie suisse, fondée sur l'exportation (montres, chocolat, fromage, mais aussi les secteurs de la mécanique, l'électrotechnique et la chimie). Japon : La devise japonaise, elle aussi valeur refuge, s'apprécie encore et toujours. Là aussi, on s'attend à ce que les autorités réagissent. «La montée du yen ne reflète pas les fondamentaux économiques», s'est agacé ce mercredi le gardien des deniers publics, Yoshihiko Noda, ajoutant que le gouvernement devait «tout faire pour empêcher» l'escalade. De son côté, le gouverneur de la Banque du Japon (BoJ), Masaaki Shirakawa, a indiqué «prêter une attention particulière aux effets négatifs du renchérissement du yen sur l'économie nippone», blâmant la faiblesse du dollar du fait des incertitudes sur la santé des États-Unis. UE : Aujourd'hui l'euro reprend de la vigueur face au dollar (+0,72% à près de 1,43 dollar ce mercredi après-midi), c'est pour mieux se rattraper des deux séances de repli qu'il a enchaînées avant. Au final, voilà deux mois que l'euro évolue entre 1,40 et 1,45 dollar, sans prendre de réelle direction. Et selon l'analyse technique, l'évolution à court terme reste «neutre». Chine : Hong Kong va devenir le centre de transactions du yuan à l'étranger. Telle est la volonté du ministère chinois des Finances, alors que la Chine a annoncé mercredi vouloir lever 20 milliards de yuans (2,18 milliards d'euros) via sa troisième émission d'obligations souveraines à Hong Kong, prévue pour ce mois, qui sera la plus importante à ce jour. Le ministère va proposer à la vente 15 milliards de yuans à des investisseurs institutionnels et le reste à des investisseurs privés. En 2009, la Chine a autorisé l'utilisation du yuan pour les échanges avec Hong Kong et a permis en 2010 aux établissements non financiers étrangers d'émettre des obligations libellées en yuans. McDonald's avait été la première entreprise à en profiter. En juin dernier, le pays a autorisé les investissements étrangers en monnaie locale.
  16. L'Etat a signé un protocole d'accord avec Orange, Thales et Dassault systèmes pour la mise en place d'un consortium proposant des services sécurisés de cloud computing aux entreprises et administrations françaises, a appris l'Agence France-Presse (AFP), lundi 1er août, de sources proches du dossier. L'informatique "dans le nuage" permet aux internautes de bénéficier des capacités de calcul de serveurs distants, le plus souvent pour accéder à des services comme la messagerie électronique, ou les vidéos en ligne. Plusieurs géants du Web, comme Amazon ou Google, tentent de dominer ce secteur. Lancé en 2009 dans le cadre du grand emprunt, le projet français, de partenariat public-privé doit fournir des systèmes sécurisés pour l'hébergement des données numériques, incluant notamment la création de grands data centers (hébergeurs de données dématérialisées). Le protocole d'accord a été signé vendredi entre les quatre partenaires, mais ne sera rendu public qu'une fois validé par les instances représentatives du personnel de chacune des entreprises signataires, à l'automne, ont indiqué à l'AFP deux sources proches du dossier. "A ce stade, le gouvernement ne commente pas ce dossier en cours d'instruction", a indiqué le ministère de l'industrie, contacté par l'agence de presse. Egalement interrogée, la direction d'Orange a indiqué que le projet avançait "vite et bien", mais n'a pas souhaité confirmer la signature du protocole d'accord. A la fin de mai, les trois partenaires privés Orange, Thales et Dassault systèmes avaient remis un dossier commun au gouvernement, en réponse à un appel à manifestation d'intérêt. Des modalités restent à préciser, comme la hauteur du financement ou encore la gouvernance du consortium, a précisé une source proche du dossier. Dans le cadre du grand emprunt, le gouvernement a prévu une enveloppe globale de 4,25 milliards d'euros à destination du développement de l'économie numérique. Une partie de ce montant – 2,25 milliards d'euros – sera particulièrement destinée à financer des initiatives de recherche et développement portant sur les "usages, services et contenus innovants" : c'est sur cette enveloppe que le consortium cloud computing devrait puiser une partie de ses ressources. En janvier 2010, le premier ministre, François Fillon, avait prôné l'émergence en France d'un système de cloud computing sécurisé, au nom de la "souveraineté", pour faire face à des prestataires souvent étrangers. http://www.lemonde.fr/technologies/article/2011/08/03/la-france-veut-investir-dans-le-cloud-computing_1555635_651865.html
  17. (AFP) Un missile peut-être tiré depuis la Libye est tombé mercredi non loin d'un navire militaire italien, le "Bersagliere", qui navigait au large des côtes libyennes, a annoncé le ministre de la Défense Ignazio La Russa. "La trace d'un missile tombé en mer a été détectée par les radars à 2 km de la frégate au large des côtes libyennes", a déclaré le ministre, confirmant partiellement des informations précédentes parlant d'un missile tiré contre le navire depuis la Libye. L'épisode s'est produit à 10h40 heure française."Il pourrait s'agir d'un missile libyen ou d'un missile anti-aérien tombé ensuite en mer", a ajouté Ignazio La Russa, en soulignant que "par prudence la frégate s'est éloignée vers le large". =(
  18. En pleine crise sociale, l'armée israélienne s'apprête à dévoiler son plan "Halamish". Le mot « Halamish » apparaît à cinq reprises dans la Bible. Sa traduction en français est silex. C’est le nom donné au nouveau plan quinquennal de l’armée israélienne à compter de 2012. Il n’a pas été choisi au hasard d’une programmation informatique et résulte d’une longue réflexion menée par le directeur de la planification au sein de l’état-major de Tsahal, Amir Eshel. Reste que ce nouveau programme de restructuration est encore loin de faire l’unanimité. Les tensions actuelles autour de « Halamish » s’expliquent d’abord par le fait que les discussions entrent dans leur phase finale. Dans quelques semaines, le plan sera remis au ministre de la Défense Ehoud Barak pour approbation. Il revêt une très haute importance, tant pour l’armée que pour les industries israéliennes de défense. Et pour cause : il prévoit la mise en service de technologies de pointe pour les fantassins, des robots télécommandés, et la production d’une nouvelle génération de navires de guerre dont la facture avoisinerait plusieurs milliards de shekels. Alors qu’Israël traverse un mouvement de contestation social sans précèdent, se pose la question de savoir si le programme « Halamish » pourra être mené conformément aux objectifs qu’il se fixe. Lancé en 2007 par l’ancien chef d’état-major Gaby Ashkenazi, « Tefen » – son prédécesseur – fut le seul plan militaire à n’avoir subi aucune coupe budgétaire au cours des dernières décennies. En début de semaine, le ministère des finances a estimé à 60 milliards de shekels le montant des revendications de la Histadrout, principale organisation syndicale israélienne. Le premier ministre Benyamin Netanyahou a mis en garde contre toute mesure hâtive qui viendrait menacer la sécurité de l’Etat hébreu. Les divergences constatées autour du « Halamish » résultent en grande partie des révolutions arabes, facteur d’instabilité pour Israël. Lorsqu’il a été pensé, le programme ne prenait pas en compte une détérioration du front sud, non pas la bande de Gaza, toujours commandée par le Hamas, mais l’Egypte. Sous le règne d’Hosni Moubarak, une telle problématique n’existait pas, le Caire étant vu comme un solide pilier régional. L’insurrection de groupes armés bédouins à El-Arish, les attaques répétées contre le gazoduc censé approvisionner Israël et la Jordanie, ou encore l’infiltration d’éléments djihadistes dans la péninsule du Sinaï, prouve la faiblesse actuelle de l’armée égyptienne. Cette dernière, lourdement équipée, est aujourd’hui accusée de bloquer les réformes demandées par le peuple. Quel sera son sort en cas d’avènement des Frères musulmans ? En attendant de voir comment évoluera la solution politique en Egypte, plusieurs généraux de Tsahal ont récemment admis que leurs troupes n’étaient pas préparées à une escalade dans le Sinaï. Début mars, 200 millions de dollars avaient cependant été débloqués par le gouvernement pour accroitre le dispositif militaire israélien à la frontière égyptienne. Au nord, les troubles qui secouent le régime syrien ont également changé la donne. Voyant les difficultés auxquelles fait face Bachar el Assad, le Hezbollah s’est mis en tête de rapatrier ses stocks d’armements basés sur le sol syrien. Il y a une quinzaine de jours, les renseignements miliaires israéliens ont ainsi pu identifier le transfert de missiles « Scud-D » à la frontière syro-libanaise. La puissante organisation chiite voit assurément son axe avec l’Iran menacé. Le bouleversement régional en cours oblige l’état-major de Tsahal, passé sous l’autorité de Beny Gantz, à réévaluer radicalement ses orientations futures. A ce stade, il apparait clairement que l’armée israélienne n’est pas encore prête à un conflit sur plusieurs fronts, selon le scénario de référence régulièrement agité par les ténors de l’appareil sécuritaire. Un ordre de priorité devra donc être rapidement redéfini. A court terme, le danger provient du mois de septembre prochain et des risques d’une nouvelle Intifada. En marge du vote de l’Assemblée générale des Nations Unies, les Palestiniens entendent organiser d’importantes manifestations en Cisjordanie, à Jérusalem-Est et peut être même dans les localités arabes israéliennes. Décidé par Yasser Abed Rabo, cadre de l’OLP, le plan « Palestine 194 » prévoit en outre des marches sur les checkpoints de Tsahal. Dans la base de Lakis, à mi-chemin entre Jérusalem et Ashkelon, plusieurs unités s’entrainement déjà à faire face à de possibles émeutes. De plus, les industries militaires ont été largement sollicitées pour fournir de nouvelles armes incapacitantes (non létales) en mesure de neutraliser des foules de manifestants. Parmi les gadgets susceptibles d’apparaitre dans les prochaines semaines, figure notamment le « screamer », un redoutable canon à son. Il s’agit, à ce jour, du seul point que les généraux en charge du plan « Halamish » ne viendront pas remettre en cause. http://www.israelvalley.com/news/2011/08/02/32688/israelvalley-defense-en-pleine-crise-sociale-larmee-israelienne-sapprete-a-devoiler-son-plan-halamish-ambitieux-resistera
  19. Selon le blog l'Echo du Solaire : "l'Armée de Terre qui a choisi les lampadaires photovoltaïques de Domo Helios pour l'éclairage d'une partie du Camp de Souge (33). Les luminaires Domo Helios sont autonomes, modulaires et orientables, d'une puissance de 65 Wc, et diffusent 6,16 lux. Ils se commandent à distance, ce qui permet notamment d'adapter les plages horaires de fonctionnement." Une commande unique ou un test avant généralisation ? Les précédentes expérimentations à base d'éolienne, solaire et géothermie dans l'armée française : http://defenseetenvironnement.blogspot.com/2011/04/larmee-francaise-se-lance-dans-leco.html
  20. alexandreVBCI

    Armée Allemande

    L'Allemagne envoie 5 Boxers en Afghanistan. BONN, Germany - The new German-Dutch Boxer multirole armored vehicle (MRAV) has been sent on its first operational deployment. Germany has flown five armored personnel carrier variants to the country's training and protection battalion operating around Mazar-e-Sharif in Afghanistan. The vehicles have been upgraded to the A1 level, which includes additional mine protection. The remotely controlled light-weapon station also has been elevated by 30 centimeters to enhance its effective range. The station can be armed with the heavy 12.7mm by 99mm machine gun or the 40 mm grenade machine weapon. Germany currently plans to deploy more armored personnel carriers and a command vehicle variant of the Boxer to Afghanistan during the first quarter of 2012. http://www.defensenews.com/story.php?i=7273285&c=EUR&s=LAN
  21. PEKIN – Depuis que le président Obama a décidé d'entamer le retrait des troupes américaines d'Afghanistan, la communauté internationale se demande quel rôle va jouer la Chine dans l'avenir de ce pays ravagé par la guerre. Car la Chine n'est pas seulement un voisin de l'Afghanistan, mais la principale puissance montante de la planète - une grande puissance, ainsi que l'a déclaré en juin Mike Mullen, le chef d'état-major interarmes américain. Si la Chine décide de soutenir le gouvernement du président afghan Hamid Karzai, elle ne cherchera pas à tirer un avantage immédiat du retrait américain. Malgré les milliards de dollars qu'elle a investis pour le développement des ressources naturelles de l'Afghanistan, il est peu probable qu'elle s'implique plus largement dans l'avenir du pays. Pour les libéraux chinois, l'Afghanistan représente une menace du point de vue ethnique. En refusant sans guère s'y appesantir la demande chinoise d'extradition des extrémistes ouïgours vers la Chine pour y être jugés, les USA ont montré leur peu de considération pour un problème d'importance majeure - la menace que les séparatistes ouïgours font peser sur une unité du pays chèrement acquise. Des Ouïgours musulmans de la province du Xinjiang ont été capturés dans des camps d'entraînement talibans et incarcérés à Guantanamo avec d'autres terroristes internationaux entre 2002 et 2009. La Chine juge que leur extradition est nécessaire pour mettre un frein au soutien international dont peut disposer le mouvement indépendantiste ouïgour. Mais préoccupés du risque de violation des droits de l'homme en Chine, les USA ont refusé d'extrader les Ouïgours. Un Afghanistan stable et pacifique est tant dans l'intérêt de la Chine que du reste du monde. La Chine peut jouer un rôle positif en faisant pression sur l'armée pakistanaise pour qu'elle mette plus d'énergie pour contenir les extrémistes talibans sur son territoire, en favorisant l'ouverture des frontières de la région pour faciliter l'approvisionnement des forces de l'OTAN en Afghanistan et en investissant dans les infrastructures du pays. Depuis peu les relations sino-pakistanaises ont pris de l'importance du fait des tensions qui existent maintenant entre le Pakistan et les États-Unis. La Chine est en meilleure position pour dire à ses amis de longue date à Islamabad que la stabilisation de l'Afghanistan n'est pas seulement un objectif américain, mais également un objectif important pour elle. La participation chinoise n'est peut-être pas essentielle pour vaincre Al Qaida et les autres activistes en Afghanistan, mais elle l'est pour parvenir à un Afghanistan pacifique et stable à long terme. (Les Echos)
  22. Chris, je ne parlais de l'armée suisse en général mais seulement du volet "Chasse" de l'armée de l'air. Il n'a jamais été question dans mes propos de supprimer l'armée suisse. Quand je parle avion de transport, je ne pense pas à des C-17 mais plutôt à des Casa ou Pilatus. Quel pays va violer délibérement votre espace aérien ? Vous n'avez pas d'ennemi à vos portes. Quand est-ce la dernière fois que vos pilotes ont effectués un tir réel contre un appareil de chasse ennemi ? Et si un appareil étranger se perd, un T-50 doit largement suffire pour le remettre sur le droit chemin.
  23. L'Otan a décidé d'envoyer un bataillon - germano-autrichien, fort de 700 hommes - de ses forces de réserve au Kosovo pour renforcer la force de paix qu'elle y dirige depuis 1999 à la suite d'une recrudescence des tensions entre Pristina et Belgrade, a annoncé mardi une porte-parole de l'Alliance atlantique. "L'ordre d'activation a été émis par le quartier général de l'OTAN" installé à Naples (sud de l'Italie), a affirmé la porte-parole adjointe de l'Alliance au cours d'un point de presse à Bruxelles. La demande de ce bataillon supplémentaire "pour soulager" les troupes de la force de paix (KFOR) sur place a été formulée par le commandant de la Kfor, le général allemand Erhard Buhler, a-t-elle expliqué. Il s'agira, selon la Bundeswehr (armée allemande), d'un bataillon de 550 allemands affecté à l'ORF ("Operational Reserve Force", force de réserve opérationnelle de l'Otan), avec le renfort d'environ 150 Autrichiens. Il se déploiera au Kosovo dans les prochains jours, a précisé la Bundeswehr sur son site internet. (Belga)
  24. La suisse étant neutre, un politicien pourrait trouver qu'une armée de l'air avec si peu d'appareils de chasse ne sert pas à grand chose : - la neutralité => pas d'intervention extérieure - pas d'ennemis à sa porte compte tenu de son imbrication dans l'europe - des voisins dotés d'armées de l'air bien plus puissantes => une armée de l'air suisse qui serait vite détruite en cas de conflit avec l'allemagne ou la france ou l'italie (cas hypothétiques bien sur). Question : Des avions de chasse pour faire face à quel ennemi ? Au pire, pour la police du ciel, une demi-douzaine de T-50 suffisent largement, pourquoi voir plus gros ? Alors vient la question qui fâche : pourquoi ne pas carrément bazarder la chasse au profit d'appareils de transport et surtout d'hélicoptères qui peuvent par ailleurs avoir un rôle "protection civile" ?
  25. L'éolien, 15,7% des besoins de l'UE ? L'éolien pourrait couvrir 15,7% de la demande en électricité dans l'Union européenne en 2020 si les investissements sont consentis et si des objectifs contraignants sont imposés aux Etats, a estimé mardi l'European wind energy association (EWEA), le lobby des producteurs d'éolien. L'énergie éolienne couvre actuellement 5,3% de la demande en électricité de l'UE avec une capacité installée de 84,34 GigaWatts (GW) dont 81,4 GW sur terre et seulement 2,9 GW en offshore, souligne l'EWEA dans un rapport publié mardi à Bruxelles. Si les conditions demandées par les producteurs sont remplies, elle devrait se doter d'une capacité de production de 230 GW en 2020 (190 GW sur terre et 40 GW offshore) permettant de couvrir 15,7% de la demande en 2020, soit l'équivalent de la consommation de tous les foyers réunis de la France, de l'Allemagne, de la Pologne et du Royaume-Uni, soutient le rapport. Mais pour cela, l'Union européenne doit imposer des objectifs contraignants aux Etats membres pour porter la part des renouvelables dans la consommation d'électricité de 19% actuellement à 34% en 2020, souligne l'EWEA. http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2011/08/02/97002-20110802FILWWW00358-l-eolien-157-des-besoins-de-l-ue-a.php
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