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zx

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  1. zx

    Marine canadienne

    Fremm & Mistral au menu pour le canada DCNS propose la frégate Fremm et le Mistral au Canada http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/20120531trib000701292/dcns-propose-la-fregate-fremm-et-le-mistral-au-canada.html
  2. Voila qui s'appelle un pet spatial. :lol: mais le bas n'a pas encore dépassé le haut, du moins pas encore =)
  3. DéfenseDrones Male : la remise à plat http://www.air-cosmos.com/defense/drones-male-la-remise-a-plat.html Les éléments du débat n’ont guère changé depuis l’annonce, en juillet 2011, du choix du Heron TP israélien par la précédente administration. Ce drone, fabriqué par IAI et dont la francisation aurait dû être assurée par Dassault Aviation, « ne correspond tout simplement pas au cahier des charges », souligne-t-on discrètement dans l’armée de l’Air. Seule alternative crédible, pour trouver avant 2015 un remplaçant au Harfang actuel : l’achat de MQ-9 Reaper américains, dont le constructeur fut un temps en discussion avec EADS pour en étudier la possible francisation. A quoi doit-on donc s’attendre avant le 14 juillet ? Sans doute pas à l’attribution d’un nouveau contrat ou à l’annonce du choix du nouveau Male intermédiaire de l’armée de l’Air. Tout porte à croire que les négociations en cours avec Dassault et IAI seront définitivement stoppées – même si, de fait, elles sont déjà au point mort depuis la remise de la dernière offre commerciale de l’industriel, début 2012. Plus probablement le nouveau ministère se lancera-t-il, une fois de plus, dans un nouveau « round » d’évaluation des compétiteurs potentiels, tout en se prononçant parallèlement en faveur d’une inévitable prolongation de la flotte de Harfang (en photo). L’actuel contrat de MCO arrivant à échéance en mars 2013, il faudra renégocier avec Cassidian les conditions d’une telle extension. Le temps, peut-être, de se donner de l’air et de trouver une solution satisfaisant à la fois opérationnels et industriels. Un délicat compromis à côté duquel la précédente administration était complètement passée.
  4. http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/20120530trib000701127/drones-le-coup-de-semonce-du-ministre-de-la-defense-a-dassault.html Jean-Yves le Drian, qui a décidé d'une "remise à plat" du dossier sur les drones, doit "avant le 14 juillet" confirmer ou changer d'orientation la politique en la matière. Le précédent gouvernement avait confié l'an dernier le drone de reconnaissance à Dassault Aviation au grand dam d'EADS. Pour sa première conférence de presse en France, le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, a annoncé une série d'actions qu'il compte mener très rapidement. Comme l'écrivait "latribune.fr", ce sera le cas sur le dossier des drones qui a fait couler beaucoup d'encre l'an dernier. Le prédécesseur de Jean-Yves Le Drian, Gérard Longuet, avait confié en juin à Dassault Aviation le programme de drone de reconnaissance français, soit une version francisée de la plate-forme israélienne Heron TP. Un choix qui devait permettre à l'avionneur "de commencer à structurer une filière industrielle en préparation du futur système de drone Male franco-britannique". Tout ceci sera peut être rangé dans un placard. Jean-Yves Le Drian a décidé de "remettre à plat sans pression mais avec pragmatisme" ce dossier. "Je vais faire vite", a-t-il promis, une décision sera prise "avant le 14 juillet". Cette sortie aparait cohérente avec la volonté de François Hollande de réduire l'influence de Dassault - même s'il se gardait de nommer un groupe en particulier - sur l'industrie de défense française. Mais faut-il rappeler que cela fait près de dix ans que la France tâtonne dans la mise en oeuvre de sa stratégie industrielle dans le domaine des drones... alors que toutes les armées du monde sont aujourd'hui complètement "addict" à ces engins volants pilotés à distance sur les théâtres d'opération, notamment en Afghanistan et Libye. La politique industrielle ? Un sujet du ministre de la défense D'une façon plus générale, il a rappelé toute l'importance de l'industrie de défense, qui est "essentielle pour la France", notamment en termes d'emplois (165.000) et de souveraineté nationale. "Un pays qui n'a pas d'industrie de défense est amputé", a-t-il souligné. Et la politique industrielle du secteur est "un sujet du ministre de la Défense". "J'entends bien l'exercer. Je rentre dans ces dossiers sans a priori (...), avec le souci de conforter les industriels de la défense", a-t-il expliqué. Cette stratégie s'inscrira dans un axe européen et avec la contrainte budgétaire. "Cela demandera du temps et de la détermination", a-t-il estimé. Les restructurations industrielles devraient néanmoins attendre la rédaction du quatrième Livre blanc (1972, 1995, 2007 et 2013) sur la défense. Jean-Yves Le Drian envisage un calendrier très court. Fin juin, les travaux seront lancés et les auteurs devront rendre leur copie avant la fin de l'année. Soit "une procédure accélérée", selon ses propos. "A la suite de quoi, nous préparerons la Loi de programmation militaire, qui devra aboutir à l'été 2013 et donc soumis au Parlement avant cette date. Nous aurons alors un document capacitaire et financier". Et ce sera aussi le moment des décisions...
  5. zx

    L'Inde

    Apparement c'est une coentreprise baptisée Multirole Transport Aircraft Ltd., les bi moteur/reacteur reviennent à la mode, ils vont se fournir un peu chez tout le monde. http://fr.rian.ru/defense/20120529/194876721.html Avec réserve Wing Span : 35.50m Length : 38.29m Height : 12.95m WingArea : 138.00sq m Cabin cross section : 3.45m x 3.40m Weight : 68000 kg Max Payload : 20000kg Cruise speed: 800km/h Cruise altitude: >11km Range (4500kg payload) : 6000km Take off distance : 1600m Landing distance : 1350m Fatigue life : 30000hours Weight category : 15-20tonnes moteur présenti Aviadvigatel PD-14 Turbofan
  6. zx

    Marine chinoise en 2020

    Deux autres PA chinois ? http://www.opex360.com/2012/05/29/bientot-deux-porte-avions-chinois-de-plus/
  7. allez ! c'est reparti avec BHL, http://www.opex360.com/2012/05/29/comme-pour-la-libye-bhl-reclame-des-bombardements-cibles-en-syrie/ Comme pour la Libye, BHL réclame des bombardements ciblés en Syrie 29 mai 2012 – 17:39 « Bernard-Henri Lévy a-t-il été le Malraux de la Libye, et plus encore peut-être ? Est-il le descendant de Lawrence d’Arabie? Arthur Rimbaud? Est-il un héros de digne de Joseph Conrad? Ou de Henri de Monfreid? Ou de T.C. Boyle? Est-il ce personnage, le même finalement, que l’on croise dans « La condition humaine », « Les Sept piliers de la sagesse », « Nostromo », « Les Secrets de la mer rouge » et « Water Music »? Sans doute, oui » écrit, le plus sérieusement du monde, Bruno Roger-Petit, chroniqueur politique au Nouvel Observateur. N’en jetez plus, la cour est pleine serait-on tenté de répondre. Et Bruno Roger-Petit devrait revoir ses classiques, si tant est qu’il les ait déjà lus : les Rimbaud, Monfreid et Lawrence d’Arabie ont le point commun d’avoir été désargentés et en opposition avec les autorités de leur époque, quand ces dernières ne manquèrent pas à leur parole. D’où leur méfiance à leur égard, voire leur défiance. Ce qui est loin d’être le cas de Bernard-Henri Lévy, qui sait jouer de son entregent pour des causes que l’on peut trouver louables et justes (et que d’autres critiqueront), quitte à monter un film de ses aventures par la suite, comme il l’a fait avec Bosna! en 1994 ou plus récemment « Le serment de Tobrouk », qui, présenté lors du dernier festival de Cannes, relate la chute du régime du colonel Kadhafi en Libye. Toujours est-il que, à l’instar de son implication dans l’affaire libyenne, Bernard-Henri Lévy vient d’appeler le président Hollande à prendre l’initiative sur le dossier syrien et à défendre, devant le Conseil de sécurité des Nations unies, une politique visant à autoriser des frappes ciblées en Syrie, contre le régime de Bachar el-Assad. Ces bombardements sont d’ailleurs une demande constante de l’opposition armée syrienne. « La France fera-t-elle, pour Houla et Homs, ce qu’elle a fait pour Benghazi et Misrata? » demande le philosophe, dans une lettre ouverte qui sera publiée le 30 mai par la presse américaine et européenne. « Userez-vous de votre crédit personnel considérable, et de celui de notre pays, pour revenir vers nos alliés d’hier et, avec eux, avec la Grande-Bretagne, les Etats-Unis, la Ligue arabe, la Turquie, décider d’une stratégie allant au-delà du ‘soutien sans faille à la mission Annan’ », poursuit encore BHL, qui demande au président Hollande s’il était plus urgent de « préparer le retrait anticipé » des troupes (combattantes) françaises d’Afghanistan ou de « prendre l’initiative en Syrie »? « Qu’est-ce qui est le plus important -annoncer la réduction du salaire de vos ministres et le gel du prix des carburants ou introduire au Conseil de sécurité une résolution autorisant le bombardement des tanks positionnés à l’extérieur des villes, en position de tir? », écrit-il encore. Lors de la campagne de la dernière élection présidentielle, le 20 avril, à l’antenne d’Europe1, le candidat François Hollande avait affirmé, en cas de victoire, que la France « participerait » à une intervention militaire en Syrie à la condition qu’elle se fasse « dans le cadre de l’ONU » pour « protéger les civils ». Cette lettre ouverte de BHL va paraître alors qu’au moins 108 personnes ont été tuées à Houla, en Syrie, le 25 mai. « Ce qui est très clair, c’est que ce fut un événement absolument abominable qui a eu lieu à Houla, et au moins une partie substantielle (…) étaient des exécutions sommaires de civils, y compris de femmes et d’enfants », a dénoncé Rupert Colville à Genève, le porte-parole du Haut commissariat de l’ONU aux droits de l’homme. « À ce stade, il semble que des familles entières ont été tuées dans leurs maisons », a-t-il ajouté. Le régime de Bachar el-Assad fait l’objet d’une vive constestation depuis maintenant plus de 14 mois. Malgré l’adoption du plan Annan, qui prévoit un cessez-le-feu et le déploiement d’observateurs des Nations unies, les violences n’ont pas cessé. Pire même, le conflit déborde des frontières syriennes, avec plusieurs incidents au Liban. Ainsi, le 12 mai dernier, l’arrestation d’un islamiste proche de la rébellion syrienne a provoqué des accrochages à Tripoli entre sunnites anti-Assad et aloaouites pro-syriens. Pour Damas, qui compte sur le Hezbollah à Beyrouth, il n’est pas question que le nord du Liban devienne une base de soutien et de repli pour les opposants au régime de Bachar el-Assad. D’où des tensions qui risquent de devenir de plus en plus fortes.
  8. des sous des sous des sous http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/20120528trib000700623/baikonour-les-kazakhs-clouent-les-fusees-russes-au-sol.html Nouveau conflit entre le Kazakhstan et la Russie portant sur le cosmodrome de Baïkonour. Astana veut un accord intergouvernemental pour fixer des compensations financières que la Russie versera en raison de la chute des débris des lanceurs sur son territoire. Pour réduire sa dépendance, Moscou prépare activement le pas de tir de Vostotchny. Le conflit entre la Russie et le Kazakhstan portant sur le principal cosmodrome de Baïkonour, une enclave russe en plein désert kazakh et qui a été le berceau de la conquête spatiale soviétique, connait un nouvel épisode. En attendant la mise en service opérationnelle du nouveau site de lancements des fusées russes de Vostotchny dans la région de l'Oblast d'Amour (extrême-Orient), qui permettra des vols vers l'orbite géostationnaire - le premier lancement est prévu en 2016 -, Moscou doit continuer à composer avec Astana dont elle reste encore trop tributaire en matière de lancements spatiaux. C'est le président russe Vladimir Poutine qui a signé un décret le 6 novembre 2007 autorisant la construction de Vostotchny pour réduire la dépendance vis-à-vis de Baïkonour. Les travaux à Vostotchny sont actuellement en cours. Car selon une source au sein du secteur spatial russe citée par l'AFP, le Kazakhstan réclame un accord intergouvernemental pour fixer des compensations financières que la Russie versera en raison de la chute des débris des fusées sur le territoire kazakh. Car ce qui était un désert à l'époque soviétique est devenu une région où l'urbanisation galope. Du coup, la retombée des étages des fusées Soyuz et Proton sur le territoire kazakh ne favorise pas les lancements en direction du nord, une zone à risques. Le Kazakhstan a confirmé lundi ne pas autoriser les tirs à partir du cosmodrome de Baïkonour de plusieurs fusées devant mettre en orbite des satellites, notamment européens, faute d'un accord avec la Russie sur les territoires réservés aux débris de lanceurs retombant sur Terre. Selon un communiqué de l'agence spatiale kazakhe, Kazkosmos, qui juge la Russie responsable d'avoir laissé traîner les négociations, les territoires kazakhs où les débris des fusées concernées doivent retomber ne sont pas couverts par l'accord russo-kazakh de location de Baïkonour de 1994. Donc le Kazakhstan ne peut pas autoriser ces tirs. "Les négociations sont en cours et doivent rapidement aboutir", explique à "latribune.fr" un bon connaisseur du monde spatial russe. Le satellite européen de météo Metop-B sera lancé cet été Ce nouveau conflit a bloqué les vols de trois lanceurs devant mettre en orbite sept satellites, notamment le satellite européen de météorologie Metop-B, a indiqué le journal russe "Kommersant" lundi. Ce que confirme à "latribune.fr" le président d'Arianespace et de Starsem, Jean-Yves Le Gall : "nous devions lancer Metop-B le 22 mai mais nous n'avons pas eu l'autorisation. Nous le lancerons de Baïkonour fin juillet, début août", précise-t-il. L'évolution de Baïkonour "renforce" le pas de tir de Soyuz au Centre spatial guyanais (CSG), explique-t-il. "Nous pouvons lancer sans problème en direction du nord et l'est", les zones de retombées se situant au-dessus de l'océan. Outre Metop-B, Arianespace prévoit encore de lancer de Baïkonour six satellites de la constellation Globalstar cet automne. Après ce vol, la société de commercialisation des lanceurs européens n'a plus aucun vol de Baïkonour dans son carnet de commandes. Elle a en revanche "15 contrats de lancements" pour Soyuz à partir du CSG. 115 millions de recettes pour le Kazakhstan Par ailleurs, Roskosmos, l'agence spatiale russe expliqué que "pour ces raisons, nous ne pouvons remplir nos propres obligations et nos obligations internationales", a expliqué la source à "Kommersant". Outre Metop-B, il s'agit de la mise en orbite des satellites russes Konopous-B et MKA-PN1, bélarusse BKA, canadien ADS-1B et allemand TET-1 (prévu le 7 juin) et le russe Ressours-P (prévu en août). La Russie verse 115 millions de dollars par an au Kazakhstan pour le cosmodrome de Baïkonour au terme d'un accord allant jusqu'à 2050. C'est de cette base que décollent la plupart des fusées russes, notamment les vols habités en direction de la Station spatiale internationale (ISS). Le Kazakhstan a par le passé déjà bloqué le décollage de certains types de lanceurs russes après l'explosion en vol de fusées. Ce conflit intervient alors que la Russie a connu une année noire en 2011 dans le domaine spatial, avec l'échec de cinq lancements. Le dernier en date remonte au 23 décembre, lorsqu'un satellite de communications militaires et civiles est retombé en Sibérie en raison d'une panne de la fusée Soyouz.
  9. zx

    Achat suisse

    décidément, il a du mal, même les vélos, ca passe pas, c'est quand les élections en Suisse ? :lol: http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/20120529trib000700869/le-choix-du-gripen-continue-a-semer-la-zizanie-en-suisse.html L'avion de combat suédois provoque un débat sans précédent dans le pays. Le président du parti libéral-radical suisse demande au conseil fédéral "de renoncer au Gripen" et de relancer le Rafale (Dassault Aviation) et l'Eurofighter (EADS, BAE Systems et l'italien Finmeccanica). Décidément, le choix suisse de l’avion de combat suédois Gripen, défendu bec et ongle par le conseiller fédéral en charge de la défense, Ueli Maurer, reste un sujet à polémiques. Et tourne même au pugilat politique. Le président du parti libéral-radical suisse, Philipp Müller, estime qu’il faudrait "réfléchir à renoncer au Gripen", a-t-il déclaré dans le journal dominical suisse "Sonntag". "Militairement, l’appareil est contesté", a-t-il rappelé. A la place, il souhaite relancer l’Eurofighter (EADS, BAE Systems et l'italien Finmeccanica) ou le Rafale de Dassault Aviation. Pour Philipp Müller, autant profiter de cette acquisition pour régler des problèmes avec nos voisins. Les Allemands seraient peut-être prêts à un « deal » sur la question des nuisances sonores de l’aéroport de Zurich si la Suisse choisit l’Eurofighter. Le Rafale, préféré par une majorité de hauts gradés de l’armée suisse, permettrait d’aborder l’accord de double imposition avec les Français. Selon le « Sonntag », les deux conseillers fédéraux libéraux-radicaux Didier Burckhalter et Johann Schneider-Ammann seraient disposés à soutenir cette stratégie. Ambiance. Un Gripen incapable de protéger l'espace aérien suisse Mi-mai, le quotidien "Le Matin" révélait à l’issue des premiers tests réalisés entre le 2 et 4 mai e Suède, que sur les 98 améliorations exigées par la Suisse, seules sept avaient pu être installées sur le prototype du futur Gripen, le Gripen F Demonstrator, lors de ces essais. Le quotidien de langue française estimait que "l’avion pourrait ne pas être livré avant 2023 et ses faiblesses resteront telles qu’elles remettent en question les procédures pour protéger l’espace aérien" suisse. Ce qui a d'ailleurs provoqué une chasse aux fuites dans la presse, la commission de la politique de sécurité nationale a déposé une plainte contre X pour violation du secret en fonction. Ces informations ont été démenties dans la foulée par Ueli Maurer, qui a une nouvelle fois défendu le Gripen "le meilleur avion pour la Suisse", dans une interview… au "Matin". Il a également estimé que la procédure était "close" quand bien même de nouvelles offres d’autres avionneurs arriveraient sur son bureau. "Ce n’est plus le moment", a-t-il averti. Et de se lancer dans un plaidoyer quelque peu ambigu sur le Gripen. "Je n’ai pas d’autres possibilités que le Gripen. Parce que je n’ai pas davantage d’argent. Et de plus, je suis persuadé que le Gripen est un bon avion. Il présente le meilleur rapport coût-performance". Un achat de vélos par l'armée dans la tourmente En attendant les conclusions de la sous-commission qui enquête sur la procédure ayant abouti au choix du Gripen, Ueli Maurer maintient le calendrier de projet d’acquisition de l’appareil suédois, qui sera présenté cet automne au Conseil fédéral, puis sera examiné par les deux chambres. La votation populaire, un référendum demandé par des citoyens et organisations suisses, est programmée dans le courant de la première moitié de 2014, selon "Le Matin". Et dire qu’Armasuisse, la Direction générale de l’armement suisse, est également dans la tourmente… pour l’achat de 2.800 vélos à Simpel, qui provoque remous et plaintes.
  10. Si le F35 est opérationnel et mature en 2023 (en restant optimiste), on a le temps, mais les M2000 auront perdus beaucoup de leur valeur.
  11. Fallait s'y attendre. j'ai l'impression que notre PR ne sera pas un homme pressé vu tout ce qu'il a sur le dos. Cela va mettre le fil en sommeil pendant quelques temps. http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/20120528trib000700643/rafale-les-negociations-au-point-mort-aux-emirats-arabes-unis.html Abu Dhabi ne semble plus aussi pressé de s'offrir l'avion de combat de Dassault Aviation. Qui n'a pas pour autant perdu toutes ses chances. Mais il faudra attendre un peu plus de temps qu'espéré. C’est la panne pour le Rafale aux Emirats arabes unis (EAU). Selon plusieurs sources concordantes industrielles et étatiques, les négociations sur la vente de 60 Rafale (Dassault Aviation) sont actuellement au point mort. Non pas en raison de nouvelles crispations – bien que les dernières ne sont encore complètement digérées notamment avec Dassault Aviation - mais parce que Abu Dhabi ne serait plus aussi pressé pour s’offrir de nouveaux avions de combat. Depuis quelques jours, "latribune.fr" avait noté une inquiétude grandissante dans les milieux industriels sur ce dossier majeur pour l’aéronautique militaire française. Il est vrai que l’ancien chef de l’Etat français, Nicolas Sarkozy, n’est plus là pour mettre une pression énorme pression sur les Emiratis ainsi que sur son entourage pour finaliser coûte que coûte ce contrat. Ce qui ne veut pas dire non plus que le Rafale a perdu toutes ses chances. Loin de là. "La France a redécouvert que le client n’avait pas forcément besoin de ces avions de combat tout de suite mais plutôt à un horizon un peu plus lointain", explique-t-on à "latribune.fr". Les capitales du Moyen-Orient attendent un geste de Paris Pour autant, Abu Dhabi, tout comme les capitales de la région Ryad et Doha, attend un signe des autorités français avec la venue du nouveau président de la République, François Hollande, ou du Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, voire du ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian. Que fera François Hollande sur ces dossiers d'exportations de systèmes d'arme? Sera-t-il actif ou pas ? Car plusieurs prospects importants dans la région sont en bonne voie, susceptibles de peser dans la balance commerciale et sur l’emploi en France dans un secteur technologique… En fera-t-il une obsession comme Nicolas Sarkozy ? Ce dernier en avait une, déclenchée par l'échec cuisant du Rafale au Maroc, qui avait préféré acheter à l'automne 2007 des F16 américains. Une défaite inenvisageable et un véritable affront pour le nouveau président qu'il était. Nicolas Sarkozy s’est battu jusqu'au dernier moment pour convaincre les EAU de signer un contrat dans le courant du premier trimestre 2012. En vain. Une visite de Nicolas Sarkozy avait même été programmée le 12 février, puis en mars. Il était prêt à sauter dans un avion pour signer à Abu Dhabi cette commande de 60 appareils. Un petit Etat du Golfe, situé à quelques kilomètres des rives iraniennes, à qui Nicolas Sarkozy a beaucoup donné, dont notamment la base interarmées tricolore doublée d'un renforcement de l'accord de défense de 1995 liant les deux pays.
  12. zx

    Force aérienne philippine

    un Mirage 2000-9 ,ca vaut quoi contre un tyffie ?
  13. zx

    [Rafale]

    L'ADA avaient commandé 16 moteurs M88-4E GCP TCO pour fin 2011, depuis pas de nouvelles? ils auraient peut être régler ces problèmes de PC. edit petite question, c'est quoi en diapo 15 et 17 ? il faut cliquer sur la premiere image, pour voir la liste des diapos http://trishul-trident.blogspot.fr/2012/01/dassault-aviations-rafale-wins-m-mrca.html
  14. zx

    Mirage 2000

    Ce que j'ai dit est valable pour tous les transferts, si on ne met pas énormément d'argent pour construire toute une industrie sur plusieurs dizaines d'années, c'est rarement exploité. mis a part pour l'intégration de systeme ou d'armement indigene. Pour l'inde, si je fais pas erreur, Ils ont un transfert technology full sur SU30MKI, MIG29, mais il est très loin d'etre exploité, depuis 2000, mis à part les usines d'assemblage. Ils mettent beaucoup de temps à recevoir les pieces de russie sans compter le "support" en la matière, vu les plaintes de HAL sur le sujet. Pour le tejas, il a le mérite de voler, mais vu le developpement du projet, ils sont à des années lumières de maitriser le domaine, d'ou l'intérêt de recherche de parténariat avec snecma,thales,safran Le kaveri est plus ou moins dans les choux depuis des années et ils doivent utliiser un F404 en attendant de regler les problèmes. Idem pour le radar, il l'utilse un radar doppler simple, d'après ce que j'en sais. je deviens un peu hs. dsl! Pour le M2000, je ne sais pas si il y a une discussion sur le transfert de technologie ?
  15. zx

    Mirage 2000

    Pour ma part, les pays qui ont reçus un transfert, n'ont pas pu avoir les ressources ou les compétences pour exploiter le potentiel de ce transfert, mis a part quelques changements pour leur besoins spécifiques. Quand ils doivent sortir l'argent pour financer un pôle industriel/R&D complet, ils rechignent devant la facture. mais ils ont l'assurance d'avoir cette porte ouverte. Quand on regarde l'inde, on voit bien qu'ils ont du mal, même si ils progressent et qu'ils ont une menace à leur frontière.
  16. zx

    Mirage 2000

    Pour ma part, J'ai lu l'article, c'est rare de lire quelque chose sans rien y trouver, même dans la propagande on peut trouver quelque chose , c'est une apologie du Mig 29 et du Mig 35, y a un bout qu'on ne peut pas lire au niveau de la conclusion. Mais quand on utilise des termes pour rabaisser un adversaire, c'est qu'on en a peur et on bombe le torse Il faut se méfier, si c'est en inde que l'article a été écrit, je comprends mieux, c'est pas la meilleure des sources, mis à part quelques média sérieux., y en avait même un qui écrivait que l'eurofighter avait gagné le marché. On sait ce qu'est advenu du Mig 35 en Inde, il a été le premier éliminer du MRCA et vu le cout de la rénovation des 60 M2000 Indiens, je doute qu'ils en soient mécontent, même avec une giga facture à payer.
  17. http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/20120525trib000700375/l-alternance-reveille-les-ambitions-inavouees-des-industriels-de-la-defense-.html Y aura-t-il une recomposition de l'industrie de défense comme cela semble promis avec l'arrivée de la gauche au pouvoir ? En tout cas, le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, devra trier entre tous les projets souvent rivaux des uns et des autres. "latribune.fr" a scanné les plus importants. L'arrivée de François Hollande à l'Elysée va probablement rebattre les cartes d'une partie de l'industrie de défense française, voire européenne. C'est ce qu'espèrent toutes les directions des stratégies des groupes qui bouillonnent d'idées et, parfois, travaillent déjà sur des projets. Pour rester, ou revenir, au centre de la recomposition du secteur. Soit pour échapper à un prédateur promis et donc à une tutelle encombrante. De prédateur à cible ou de cible à prédateur, tous les groupes, à l'exception bien sûr d'EADS, peuvent changer de statut. « latribune.fr » répertorie la plupart des scénarios possibles, qui trottent dans la tête des capitaines des grands et des petits groupes de l'industrie de la défense, prêts à se lancer dans la partie. "Nous ne dirons jamais à quel groupe nous nous intéressons, car le dire nous met déjà en position de demandeur, donc de faiblesse par rapport à celui qui se vend ou vend une activité. Cela fait augmenter le prix de l'acquisition et, en bonus, compliquent les négociations", explique l'un d'eux. EADS reviendra-t-il au centre du jeu ? A tout seigneur, tout honneur, EADS, le géant endormi mis sur la touche lors du dernier quinquennat. A quoi rêve-t-il aujourd'hui, lui qui a été interdit de façon brutale par Nicolas Sarkozy de surenchérir sur l'offre de Dassault Aviation sur Thales en 2008? S'il ne se fait pas trop d'illusions sur la possibilité d'un rachat du groupe d'électronique, il est à nouveau attentif à ce qui s'y passe. Le curseur est passé à alerte orange. Il est évident que si le gouvernement Ayrault lui proposait le dossier, il sauterait sur l'occasion les yeux fermés. Le futur président exécutif d'EADS, Tom Enders, qui se veut très pragmatique, et le directeur général en charge de la stratégie et de l'international, Marwan Lahoud, deux des hommes forts du futur EADS, ne rateraient pas l'opportunité de faire croître ses activités de défense regroupées dans Cassidian, dont ils jugent qu'il n'a pas la taille critique. L'avenir de la filiale défense est en suspens avec l'arrivée de Tom Enders à la tête du groupe et une probable redistribution des principales activités dans les différentes filiales d'EADS. Mais pas question de vendre Cassidian. Certains chez EADS préconiseraient même de s'intéresser à l'avenir de DCNS. Le groupe naval pourrait effectivement profiter de l'arrivée de la gauche au pouvoir pour s'émanciper de la tutelle conjointe de Thales et Dassault Aviation que sa direction juge déjà trop pesante. A suivre. En revanche, EADS ne passerait pas à côté d'une prise de contrôle à 100 % du leader européen des missiles MBDA, dont il détient déjà 37,5 %. L'italien Finmeccanica, englué dans une crise sans précédent et qui cherche du cash désespérement via la vente d'actifs, pourrait vendre ses 25 %. EADS détient une option prioritaire si l'italien vend, tout comme d'ailleurs le britannique BAE Systems (37,5 % de MBDA). Mais le groupe européen veut les 100 %... car détenir 62,5 % ne lui donnera pas le contrôle du missilier. Un dossier très, très difficile, d'autant que Londres, après longtemps délaissé le secteur des missiles, est en train de réinvestir dans ce domaine. Enfin, sur le plan industriel EADS ne désespère pas de prendre sa revanche dans les drones, qui ont été confiés à Dassault Aviation et Thales. Ce qu'il avait très mal vécu. MBDA sera-t-il le grand gagnant des nombreuses rectifications de frontières? Présidé par Antoine Bouvier, le missilier, qui ne voit pas d'un bon œil le renforcement de l'un de ses trois actionnaires - ce qui signifierait beaucoup moins d'indépendance qu'actuellement -, rêve lui aussi de grossir en s'offrant les activités missiles de Thales, très présent dans l'Air Defence (les missiles sol-air notamment). Avec une telle acquisition, il accéderait enfin au statut à part entière de systémier, qu'il n'a pas aujourd'hui, à l'exception du missile surface-air SAMP/T. MBDA doit en outre finaliser le dossier de la bombe guidée AASM, développée par Sagem (filiale Safran). En 2008, Sagem a signé un accord avec le missilier pour que celui-ci commercialise l'AASM à l'export. Depuis plus rien, alors que l'objectif de MBDA était de racheter ce programme à Safran. Par ailleurs, MBDA aimerait achever la consolidation à l'échelle européenne en mettant la main sur l'allemand BGT, détenu à 80 % par le groupe Diehl. Mais le rêve absolu d'Antoine Bouvier, c'est de faire de MBDA un acteur de taille critique au Etats-Unis. Et puis le missilier aimerait bien rectifier les frontières avec Astrium pour lui croquer certaines activités pour se renforcer dans la défense anti-missile balistique, un secteur porteur d'avenir. Safran sera-t-il le nouveau pivot de la consolidation industrielle ? C'est indéniablement Safran qui a le plus gros appétit. En premier lieu, il vise Thales, un dossier pas loin de l'obséder. Présidé par Jean-Paul Herteman, le groupe, issu de la fusion Snecma-Sagem et longtemps dans le viseur de Thales, avait déjà, avant l'été 2011, tenté de racheter la participation de Dassault Aviation comme l'avait révélé « La Tribune ». Discrètement, Safran continue de travailler sur ce projet stratégique pour le groupe et plaide pour une fusion avec l'électronicien. Il a d'ailleurs mis tous ses atouts de son côté en faisant un intense lobbying depuis le début 2012 auprès des responsables socialistes, aujourd'hui au pouvoir, pour les convaincre de la pertinence de cette opération. Un travail qui a fait son chemin dans les esprits puisque cela fait partie des pistes encore très exploratoires, qui pourraient être mises en œuvre si la volonté de marginaliser Dassault Aviation au sein de Thales se concrétisait. L'équipementier n'a pas perdu non plus de vue Zodiac, qui aurait pu s'offrir à Safran si ce dernier avait été un peu plus brutal dans sa volonté de s'en emparer, explique-t-on aujourd'hui à « latribune.fr ». Safran reviendra-t-il à l'attaque ? Pas impossible. Enfin, le motoriste Avio (2 milliards d'euros de chiffre d'affaires en 2011), un vieux rêve des années 2000 de Snecma, reste dans le viseur de Safran, très intéressé. Cette opération n'est pas dans le haut de la pile des dossiers prioritaires mais il est surveillé comme le lait sur le feu si Thales échappait encore à Safran. Pour cela, il faudra convaincre le fonds d'investissement Cinven, qui détient 81 % d'Avio. Enfin, dernier dossier mais de moindre ampleur pour Safran, qui a finalisé après douze ans d'efforts en mai 2012 la consolidation de la propulsion solide avec la création d'Herakles : Roxel. L'équipementier souhaiterait prendre 100 % du spécialiste de la propulsion de missiles tactiques (130 millions d'euros de chiffre d'affaires en 2011) dont il détient déjà 50 % (MBDA a les 50 % restants). A Roxel, on est plutôt contre puisque MBDA assure 70 % de son chiffre d'affaire. Ce que le missilier ne serait peut être plus tenu de faire une fois Roxel sorti de son giron. D'autant que MBDA détient 100 % de Bayer Chemie, concurrent de Roxel. Dassaut Aviation restera-t-il le BAE Systems à la française ? Hier gagnant de la recomposition de l'industrie de défense, le BAE Systems (Dassault Aviation-Thales) à la française est inquiet des projets de la gauche qui souhaite limiter leur influence. Le célèbre avionneur de Saint-Cloud, qui aurait peut être aimé se renforcer dans le capital de Thales sous la présidence de Nicolas Sarkozy, vise aujourd'hui ni plus, ni moins que le statu quo. A savoir garder le contrôle de Thales (26 % du capital), dont le PDG, Luc Vigneron, aimerait lui un peu s'émanciper - un rêve absolu qu'il n'avouera jamais -, et via le groupe d'électronique, de DCNS (35 % du groupe naval) et de Nexter (armements terrestres), dont l'opération était dans les cartons de l'ancienne équipe ministérielle. Sinon Thales aimerait bien s'incruster chez MBDA, voire plus si affinités. Ce qui est peu probable tant les deux groupes se livrent une guerre impitoyable, notamment dans l'Air Defence. Le groupe d'électronique suit également avec beaucoup d'attention les déboires de son rival et parfois partenaire Finmeccanica. Les activités de Selex (électronique de défense) ne le laisseraient pas insensible si elles étaient mises en vente par Finmeccanica. Mais le dossier jugé prioritaire par les équipes de Thales reste l'acquisition des activités d'optronique (optique et électronique combinées) de Safran. L'électronicien est resté sur sa faim avec le pacs (une JV commerciale) qu'il a conclu avec Safran. Loin du vaste échange d'actifs imaginé au départ. Thales n'a pas non abdiqué le rachat de toute la partie défense de Safran. DCNS et Nexter parviendront-il à redevenir indépendants ? De son côté DCNS, qui rêve de retrouver son indépendance, viserait les activités sonar de Thales. Tout comme il ne serait pas contre de racheter la filiale de Finmeccanica spécialisée dans les torpilles Wass, qui enregistre une centaine de millions d'euros de chiffre d'affaires. S'agissant de Nexter, qui aimerait bien rester indépendant, se verrait bien comme le pivot de la consolidation des petits acteurs industriels français de l'armement terrestre (Panhard, Renault truck Défense). Ce qui n'est pas au goût de ces derniers. Panhard, qui a proposé à l'Etat de racheter Nexter, est en train de se rapprocher tout doucement de RTD.
  18. zx

    Mirage 2000

    En tant que 1er client du Mig 35, ils peuvent avoir des prix et des armements. il est déjà "pas très cher", le Mig 29 coutait 32M$, j'ai entendu que le Mig 35 coutait dans les 40-50M$
  19. Si ils réussissent leur amarrage, ils auront marqués un point important de leur programme, ils pourront bientôt programmer un tour de lune.. a partir de la, ils vont mettre les bouchées doubles. Mais si Tiangong a des fuites, ils auront des problèmes d'égalisation de pression pour ouvrir le hatch entre les deux vaisseaux. http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/astronautique/d/en-bref-une-chinoise-a-bord-de-la-mission-shenzhou-9_38915/#xtor=RSS-19 Après le tir réussi de Falcon-9 et de Dragon, l’autre lancement très attendu est celui de la mission Shenzhou-9 qui ira s’amarrer au module orbital Tiangong-1. À son bord, un équipage de trois taïkonautes, dont la première femme chinoise à voler dans l’espace. Depuis plusieurs années, on savait que le corps des astronautes chinois comptait parmi ses membres au moins deux femmes. Cependant, le gouvernement chinois n’avait jamais officiellement dévoilé leur identité et encore moins dit quand une des deux partirait dans l'espace. C’est chose faite aujourd’hui. Ces deux femmes sont Wang Yaping (32 ans) et Liu Yang (33), toutes deux majors et pilotes dans l'armée de l’air. Et l'une d'entre elles partira bientôt vers Tiangong-1. S’exprimant lors de la cérémonie de départ du lanceur Longue Marche 2F de l'Académie chinoise de technologie de lancement (d'où il est construit) au centre de lancement de Jiuquan (d'où sera lancée la mission), un des porte-parole du programme spatial a déclaré que l’équipage de Shenzhou-9 serait composé de deux hommes et d’une femme. Ce sera la première fois qu’une Chinoise volera dans l’espace. L'équipage de Shenzhou-9 sera sélectionné seulement quelques heures avant le lancement. Cela suppose qu'au moins deux équipes de trois taïkonautes s'entraînent ensemble pour cette mission. Plus de six mois après le retour sur Terre du véhicule spatial inhabité Shenzhou-8, qui avait réussi le premier amarrage chinois dans l’espace, la Chine veut marquer les esprits avec Shenzhou-9 en envoyant un équipage à bord de Tiangong-1. Elle ira rejoindre le module Tiangong-1, lancé le 29 septembre 2011 et toujours en activité autour de la Terre, pour s’y amarrer. La mission, prévue pour une quinzaine de jours, sera le vol habité le plus complexe et le plus long des huit missions déjà effectuées dans l’espace. Sans surprise, la Chine n’a pas souhaité préciser la date de lancement, annoncée entre les mois de juin et d’août de cette année, vraisemblablement entre les fenêtres de tir du 17 au 25 juin et du 9 au 17 juillet.
  20. zx

    Mirage 2000

    http://observatoiredefense.wordpress.com/2012/05/25/les-mirages-2000-9-emiriens-pour-les-philippines/
  21. oui, c'est interdit, je crois qu'ils ont été "grondés" sur ce coup la La dedans tout est compliqué.
  22. ouverture du hatch de dragon, diantre ils sont méfiants, ils inspectent tout et ils ont des masques, eh! ben ! la confiance règne. en plus c'est tout petit. c'était pas le cas avec le Jule Verne ATV, ils avaient même dormis dedans, ca semble être de nouvelles procédure, sur l'atv 3 ils avaient aussi des masques.
  23. j'ai hésité entre femme soldat et humour, un vrai dilemme vu la photo, vaut mieux que je poste sur humour diaporama : http://fr.news.yahoo.com/photos/au-bon-endroit-au-bon-moment-slideshow/diapo-insolite-photo-1337941300.html gnac ! ca risque de mal finir. :lol: une autre, ca donne envie, très contagieux pirouette brésilienne je le sens mal, miam miam miam
  24. zx

    Appel d'offre brésilien

    Les brésiliens sont des maitres en matière de pirouettes :lol: une décision ? non ! plus tard, beaucoup plus tard, mon cher, pas assez bas le prix.
  25. ca roule pour space X, y en a quelques un qui doivent respirer, ils rejoignent le clan des cargos atv,htv,progress. docking capture, reste l'étape délicate de l'ouverture des trappes, pour demain, dommage j'ai raté le direct, je suis sorti trop tard du boulot http://www.youtube.com/watch?v=CdhAOvJWc1Y
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