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  1. démarrage du live nasa tv 10h15 sur le lancement, mais on peut voir le lanceur. nasa tv http://www.nasa.gov/multimedia/nasatv/index.html
  2. http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/20120518trib000699217/quand-l-oncle-sam-surveille-la-modernisation-de-l-armee-chinoise.html Acquisition de technologies occidentales, cyberespionnage et développement de différents types de missiles pour interdire l'accès à ses zones côtières: la montée en puissance militaire de la Chine se poursuit à un rythme soutenu, affirme le Pentagone dans un rapport. Le budget militaire chinois, le deuxième au monde après celui des Etats-Unis, s'élève officiellement à 106 milliards de dollars en 2012, en hausse de 11,2%, relève vendredi le ministère américain de la Défense dans son rapport annuel au Congrès sur la puissance militaire chinoise. Mais ce budget ne comprend pas de nombreuses dépenses, notamment les frais de modernisation des armes nucléaires ou les achats d'armes à l'étranger. Les dépenses militaires réelles s'élèvent entre 120 milliards et 180 milliards de dollars, estime le Pentagone. La Chine acquiert nombre de technologies occidentales dites à "double usage" "La Chine poursuit un programme de modernisation militaire global, de long terme" afin de lui permettre de l'emporter dans des conflits locaux ou des "opérations de haute intensité de courte durée", affirme le rapport. Le cas de Taïwan et le soutien américain à l'île rebelle restent au coeur de la stratégie chinoise. Pour ce faire, la Chine acquiert nombre de technologies occidentales dites à "double usage", civil et militaire. Pour le Pentagone, "tirer profit de l'acquisition, légale et illégale, de technologies à double usage ou liées à un usage militaire" est un "objectif de sécurité nationale affiché" par Pékin. L'armée américaine craint ainsi que cela n'"apporte une contribution substantielle aux capacités militaires" chinoises. Le Pentagone s'inquiète ainsi des transferts technologiques dans l'industrie aéronautique civile. L'avionneur européen Airbus dispose par exemple d'une ligne de production en Chine. "Nous sommes attentifs aux investissements chinois destinés à améliorer leur industrie de défense et à leur capacité de produire des versions chinoises de toute une série d'équipements militaires", a confié aux journalistes David Helvey, haut responsable du Pentagone chargé des Affaires asiatiques. Espionnage industriel La Chine a également largement recours à l'espionnage industriel à des fins militaires, qui implique aussi bien les services de renseignement que les instituts de recherche et les sociétés privées. "Les acteurs chinois sont les responsables les plus actifs et les plus obstinés au monde dans le domaine de l'espionnage économique", dénonce le rapport, qui pointe également le cyberespionnage d'origine chinoise. Internet pourrait aussi servir Pékin pour des "opérations offensives", selon David Helvey. Son premier porte-avions opérationnel cette année L'armée chinoise développe par ailleurs ses capacités dites d'"anti-accès", destinées à repousser toute menace militaire loin de ses côtes grâce à une panoplie de missiles. Avec, en ligne de mire, la puissance navale et aérienne américaine. La Chine s'apprête ainsi à lancer en 2012 son premier porte-avions, poursuit la mise au point de son avion furtif J-20 et de son missile balistique antinavire dit "tueur de porte-avions", le DF-21D d'une portée supérieure à 1.500 km. 75 à 100 missiles d'une portée allant jusqu'à 3.000 km Le pays "acquiert et déploie de plus en plus de missiles balistiques à portée intermédiaire afin d'augmenter la portée à laquelle elle peut mener des frappes de précision contre des cibles terrestres ou navales, dont des porte-avions, opérant loin des côtes chinoises", indique le rapport. Pékin dispose ainsi de 75 à 100 missiles d'une portée allant jusqu'à 3.000 km et entre 1.000 et 1.200 missiles d'une portée allant jusqu'à 1.000 km. Pour éviter que la situation ne dégénère un jour en raison d'un "malentendu", le Pentagone prône un dialogue le plus étroit possible avec les responsables militaires chinois. Début mai, le ministre chinois de la Défense Liang Guanglie a été reçu au Pentagone, une première depuis neuf ans.
  3. on a des F15 dans l'europe force ? je suppose que c'etait dans le cadre de cette opération, mais on dirait que ce sont des hélicoptères qui ont attaqués, décidément certain média mettent des raffy partout.
  4. Après de multiple reports, le lancement serait pour demain à 8h55 (GMT) ca fait 10h55 en Metropole ! à suivre, souhaitons lui bon vol http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/astronautique/d/la-capsule-dragon-de-spacex-doit-enfin-aatre-lancace-samedi_38794/#xtor=RSS-19 nasa tv http://www.nasa.gov/multimedia/nasatv/index.html
  5. d'après ce que j'en ai lu, il semble que remplacer les avions de combat par un seul avion le rafale était une priorité en terme de gains de coûts, mais il se plaignait déjà des lenteurs des livraisons rafale. si il peut justifier des économies face au reste du parc qui devient obsoléte. sans compter le nouveau moteur m88-2E4 cgp,peut être il y aura un petit coup d'accélérateur dans la production rafale. Pour en avoir une idée, voici un rapport de 2002 présenté par lui, il y a beaucoup de choses qui ont été faites depuis les grands programmes pour la FOST devaient se terminer en 2012 ? http://www.assemblee-nationale.fr/rap-info/i3317.asp un petit hs en passant, qui ne va pas faciliter les relations avec les pays arabes pour le premier ministre http://fr.news.yahoo.com/jean-marc-ayrault-embarrasse-presse-arabe-154400854.html
  6. 2013 - Le troisième choc ? http://www.latribune.fr/actualites/economie/international/20120517trib000698949/la-fed-s-inquiete-de-la-falaise-budgetaire-americaine.html
  7. zx

    Mirage 2000

    il y a la solution de mettre les M2000 C/N en fin de vie à la retraite, avec l'argent économiser, on augmente la production des rafale de 50%. avec +6 rafale à 100ME piece ca fait 600ME, mais il y a un temps d'attente, 5ans pour 30 raffy supplémentaire.
  8. La retouche du rendu photo, filtres, colorisation, amélioration de la netteté, elle est surtout faite pour améliorer la visibilité des détails des photos, pas d'en rajouter, ca n'aurait plus aucun sens, mais la sensibilité des capteurs deviennent de plus en plus performant sur les détails et dans la résolution, celle des sondes opportunity et de spirit étaient accusées de ne pas rendre la couleur rouge exacte, les images étaient trop rouge, à cause du traitement des filtres de colorisation, il y avait eu une petite polémique sur le sujet, depuis il y a eu quelques modifs. Grâce aux missions apollo, on peut mesurer la distance terre lune tous les jours. Dont un des laboratoires se trouve sur la Côte d’Azur Centre d'Études et de Recherches Géodynamiques et Astronomiques (France) Maintenant la Station de télémétrie laser MéO de l’Observatoire de la Côte d’Azur https://www.oca.eu/spip.php?article31&var_recherche=lune
  9. zx

    Eurofighter

    aasm pour tyffie contre bringstone pour raffy, cela semble honnête comme marché ?
  10. zx

    Le F-35

    il suffit d'intégrer l'eots et des ecrans numérique sur le A10, et le tour est joué, le A10 v2 en reprend pour 50 ans. :lol:
  11. http://www.opex360.com/2012/05/16/un-rapport-americain-sinquiete-des-ventes-darmes-europeennes-a-la-russie-lindustrie-de-larmement-russe-aussi/ Un rapport américain s’inquiète des ventes d’armes européennes à la Russie, l’industrie de l’armement russe aussi 16 mai 2012 – 16:55 Le sénateur américain Richar Lugar (Parti républicain) avait demandé, au début de cette année, au Congressional Research Service d’établir un rapport afin d’évaluer les conséquences de ventes d’armes à la Russe par des pays membres de l’Otan. Et le document en question a été publié la semaine passée. Ainsi, et comme l’on pouvait si attendre, ce rapport de 31 pages explique que ces contrats d’armement passés avec Moscou préoccupent certains pays membres de l’Otan, à commencer par ceux de l’Europe centrale et de l’Est ainsi que par les Etats baltes, qui craignent toujours l’attitude de la Russie à leur égard, les contentieux du passé n’ayant toujours pas été évacués. Le document s’attaque surtout à la vente par la France de deux bâtiments de projection et de commandement (BPC) de type Mistral pour 1,2 milliard d’euros ainsi que celle de deux autres en option. « Il s’agit de la première vente d’armements offensifs importants par un pays membre de l’OTAN à la Russie. Ce contrat met en lumière les tensions au sein de l’Alliance sur les relations à adopter avec la Russie » fait valoir le rapport. Cela étant, il n’y a rien de neuf dans cette affirmation, dans la mesure où, déjà, plusieurs parlementaires américains ont critiqué ce contrat. Et si l’administration Obama ne l’a pas vu non plus d’un bon oeil, elle a laissé faire au titre de sa politique de « reset » à l’égard de Moscou. Mais le rapport ne mentionne pas que les ventes françaises : des pays comme l’Allemagne et l’Italie sont également cités. Le premier, via le groupe Rheinmetall, a signé un contrat de 131 millions de dollars pour construire un centre d’entraînement, qualifié de « plus avancé au monde » par le document. Quant au second, il a accordé une licence à la société d’Etat russe Oboronservis afin de l’autoriser à assembler des véhicules tactiques blindés à roues LMV. Appelés Lynx par l’armée russe, certains ont été vus à la traditionnelle parade militaire organisée tous les 9 mai sur la Place rouge. Conçu par Iveco, ce modèle a déjà été livré à plusieurs forces armées de l’Otan. L’autre dossier qui concerne l’Italie est celui de la vente du char à roues Centauro, produit par Oto-Melara. Deux blindés de ce type ont récemment été envoyés en Russie à des fins d’évaluation. Selon un responsable de l’entreprise italienne, il se pourrait que Moscou obtienne une licence pour produire ce modèle. Seulement, cette éventualité, quand elle ne suscite pas du scepticisme, n’est pas du goût de tout le monde en Russie, à commencer par les industriels de l’armement, qui s’opposent aux importations de matériels étrangers. Ainsi, en février dernier, le vice-premier ministre de l’époque, Dmitri Rogozine, avait déclaré que la Russie « renoncera à acheter des véhicules blindés à l’étranger dans les meilleurs délais ». « Le ministère russe de la Défense critique régulièrement le faible niveau de sécurité des blindés produits en Russie. Les producteurs nationaux prennent en considération ces réclamations et perfectionnent les véhicules en question » avait-il ajouté, se faisant ainsi l’avocat des industriels de l’armement locaux. Cela étant, l’état-major russe voit les choses autrement. Etant donné qu’il doit moderniser 70% de ses équipements à moyen terme, il lui faut du matériel qui ne soit pas technologiquement dépassé et livré dans les temps. Ce que l’industrie russe n’est pas toujours en mesure de faire… « En se fournissant ailleurs, le gouvernement russe maintient la pression sur son industrie de défense nationale afin de l’inciter à une plus grande compétitivité, tant sur la qualité que sur les prix et les délais de livraison » avait expliqué, en octobre 2011, au Monde Diplomatique, Rouslan Poukhov, le directeur du Centre d’analyse des stratégies et des technologies (CAST)
  12. zx

    F-22

    pas loin =) SECDEF orders new F-22 safety measures http://www.flightglobal.com/blogs/the-dewline/2012/05/secdef-orders-new-f-22-safety.html 1) Pilots operating the stealthy twin-engine air dominance fighter must remain close enough to an airfield to recover the aircraft quickly in case they encounter problems with their oxygen system. 2) The USAF is directed to speed up the installation of an automatic backup oxygen supply into the entire F-22 fleet. The USAF should complete testing of the automatic backup oxygen system by the end of November. Installations should begin in December with 10 Raptors being retrofitted with the system per month. 3) The USAF will provide the SECDEF with monthly updates on the service's progress in determining the root cause of the jet's oxygen system maladies. The Secretary did not, however, reverse the USAF's decision to defer installation of an Automatic-Ground Collision Avoidance System in the forthcoming Increment 3.2B upgrade for the Raptor. Meanwhile, the USAF hasn't ruled out decompression sickness, but the current thinking is that the problem is related to either a toxin or it's an oxygen quantity/quality issue. A very knowledgeable source suggests that the problem could be related to a form of hyperventilation. More on that later... The service has 185 operational jets left after two losses. There were also eight developmental jets, but how many of those are left flying is unclear, some of them are either in museums (like 4003 at Wright-Patterson) or used as maintenance trainers (like 4005 at Langley and another at Tyndall--the tail number of which I can't immediately recall).
  13. Je suis d'accord pour Zhuk AE, mais les russes ont francisés le nom en Jouk AE
  14. un rafale, ca rigole plus avec les pirates, à confirmer http://earththreats.com/2012/05/eu-naval-forces-attack-somali-pirate-bases/ MOGADISHU, SOMALIA (BNO NEWS) — European Union (EU) naval forces on Tuesday morning launched an air assault against Somali pirate bases, destroying pirate equipment on the Somali coastline. There were no reports of casualties. The European Union Naval Force Somalia (EUNAVFOR) said the operation was conducted from the air with the support of the United Nations (UN) and the Transitional Federal Government of Somalia, which is the internationally recognized government of Somalia. No forces went ashore. The multinational force said the “focused, precise and proportionate” action was aimed to disrupt known pirate supplies on the shore. “We believe this action by the EU Naval Force will further increase the pressure on, and disrupt pirates’ efforts to get out to sea to attack merchant shipping and dhows,” said EUNAVFOR Commander Rear Admiral Duncan Potts. Potts emphasized to local residents and fishermen in the region that the military action is only targeting known pirate supplies. “The EU Naval Force action against pirate supplies on the shoreline is merely an extension of the disruption actions carried out against pirate ships at sea,” he said. There were no immediate reports of casualties from the air assault, which is the first of its kind by EUNAVFOR. Somali pirates have attacked merchant ships up to 1,750 miles (2,816 kilometers) off the Somali coast in recent years, hijacking them and keeping its crews hostage until a ransom is paid.
  15. zx

    Mirage 2000

    on ne peut pas récupérer les radars de 2000C à bout de course pour les mettre sur les 2000N ? les 2000C serviront de pièces détachées. il y aussi la solution des 2000-9 des EAU en solde, deux ou trois douzaine, ca serait pas mal.
  16. zx

    Mirage 2000

    Mirage 2000N Pour de la permanence opérationnelle http://portail-aviation.blogspot.fr/2012/05/mirage-2000n-pour-de-la-permanence.html De source sure, l'armée de l'air étudie la possibilité, d'ici la fin de l'été de déployer des Mirage 2000N pour la mission de permanence opérationnelle. Après avoir pesé le pour et le contre, je me décide à vous livrer l'information qui sera de toute façon connue tôt ou tard si l'armée de l'air décide de franchir le pas. Car si c'est le cas, la presse sera forcément au courant. Est-ce que l'information sera traitée de la manière qu'il convient, c'est une autre histoire. Je tiens ici mon premier cas où la déontologie met mon action sur la balance, car touchant à la défense de notre nation. Mais la balance a penchée. Conséquence du retard de la mise en service du rafale, un rétrofit non prévu d'une trentaine de mirage 2000 RDM en -5 pour l'armée de l'air, et la mise en service d'une version de base du rafale, le F1, pour la marine, afin que ces deux armées puissent disposer d'un moyen crédible pour assurer la défense aérienne. En plus du retard de la mise en service de l'avion, conséquence plus ou moins directe de la fin de la guerre froide et de la dissolution des crédits dévolus à l'armée, le rafale est aussi rentré des les inventaires de l'armée de l'air et de la marine au compte goûte. Ceci n'est pas une mauvaise chose pour assurer un plan de charge suffisant pour laisser survivre notre industrie aéronautique suffisamment longtemps pour attendre un éventuel contrat export, garder des compétence, et par là même, à sauvegarder des crédits équipement pour d'autres programmes. Seulement, comme l'a montré le conflit en Libye, l'armée de l'air use au maximum du potentiel de ses vieux avions en parc pour, entre autre, économiser le potentiel de ses nouveaux avions dont aucun successeur n'est à l'étude. Pour en revenir à la permanence opérationnelle, il serait tentant mais risqué d'affirmer que le 2000N soit utilisé pour de la PO dans ce but. Quoi qu'il en soit, le rétrofit des mirages 2000D, visant à le doter du radar RDY-3 et de missiles mica, pour en faire quelque chose de comparable au -9, n'est toujours pas à l'ordre du jour. Les -5 sont peu nombreux et la disponibilité de la flotte des 2000C n'est pas au mieux. La réalisation de la mission de dissuasion nucléaire aéroportée par l'escadron Aquitaine sur Rafale air rend le 2000N de plus en plus obsolète dans ce rôle, surtout en regard des capacités du Rafale. Les 2000D étant encore très capables dans leurs mission d’assaut, et très utilisés, que ce soit en Afghanistan ou dernièrement en Libye, le 2000N apparaît comme le candidat tout désigné pour une mission qu'on pourrait croire secondaire. On le voit, il n'y a plus beaucoup de gras dans l'armée de l'air. La mission de permanence opérationnelle, c'est 99% de police aérienne. C'est s'assurer du respect des interdictions de survol de certaines parties du territoire, assister les avions civils en cas de panne de transpondeur ou de radio, remettre sur le droit chemin des avions civils ou Ulm perdus qui "s'infiltrent" par mégarde dans des zones protégées ou encore, escorter des parapentes... Un mirage 2000N est tout à fait suffisant pour assurer ce rôle. Ce qui est très dommageable par contre, c'est pour ce petit 1% restant; risque minime s'il en est, mais réel -sans quoi la PO n'existerait pas- ce risque qui voudrait qu'un avion puisse se montrer aussi menaçant pour provoquer une attaque du type 11 septembre, ou autre, le 2000N apparaît être bien moins moins loti pour faire face à ce genre de menace. En effet, au niveau de son armement, l'avion ne possède pas de canon interne, très utile pour un éventuel coup de semonce. Et qu'on me contredise si ce n'est pas vrai, mais à ma connaissance, l'emport d'un pod canon n'est pas prévu pour le 2000N. Son seul armement anti-aérien consiste en une paire de Matra Magic 2 d'auto-défense, d'une portée inférieure à 15km. Aucun missile moyenne portée donc, même si son emploi dans le cadre d'un traitement de la menace durant un PO paraît très improbable, mais pas impossible. De toute façon, le radar n'est pas fait pour traiter de la menace aérienne et ne voit pas très loin. Son but est de faire de la cartographie et de permettre le suivi de terrain automatique. Autre problème inhérent au Mirage 2000N, sa vitesse limitée. Lors d'une pénétration en TBA, nul besoin d'une vitesse supersonique élevée en haute altitude. Le moteur et le mécanisme des souris mobiles présentes sur les entrées d'air ont été retirées. Elles permettent, en avançant et reculant d'influer sur les perturbations dues à l'onde de choc provoquée par le dépassement du mur du son. Sans ces souris mobile, la vitesse du 2000N est limitée entre Mach 1,3 et Mach 1,5 selon les sources. Même si encore une fois, l'utilisation d'une vitesse de pointe élevée proche de Mach 2 pendant la mission de la PO est peu probable, ce léger handicap en reste un. Le mirage 2000N n'est donc pas vraiment l'outil idéal dans cette mission, preuve que l'armée de l'air est toujours en train de jongler avec les moyens qu'on lui donne. Si la défense n'est pas une variable d'ajustement budgétaire comme le répètent souvent les politiques, force est de constater qu'elle n'a pas échappée à des coupes; et bien qu'elle possède encore un bel outil permettant une intervention de premier ordre comme en Libye, le réveil est souvent dur.
  17. zx

    L'Inde

    India Expecting Growing Windfall From Offset Contracts http://www.aviationweek.com/Article.aspx?id=/article-xml/awx_05_15_2012_p0-457648.xml
  18. zx

    [Rafale]

    Et aussi une puissance de calcul,car plus on a des données à traiter = plus il faut de la mémoire et des cpu.
  19. zx

    Armée Suisse

    http://www.opex360.com/2012/05/14/larmee-suisse-va-acheter-2-800-bicyclettes/ c'est la photo, qui me fait remarquer cela et comme j'ai un collegue qui vient en vtt par tout temps, avec un sac à dos, et qu'on a quelques cotes par chez nous, il peut installer un kit moteur électrique comme il dit, y a des jours on a pas toujours la patate.
  20. zx

    Armée Suisse

    ils n'ont pas considéré une version electrique ? ca aide dans les cotes.
  21. zx

    [Rafale]

    le terme de guerre me semble un peu fort. Avions de combat : la guerre est relancée http://www.capital.fr/enquetes/strategie/avions-de-combat-la-guerre-est-relancee-720374 C’est l’histoire d’une résurrection. Après deux décennies de fiascos commerciaux, le Rafale de Dassault Aviation s’apprête à décrocher le contrat du siècle en Inde. On dirait de l’humour british, ce subtil dosage de fausse maladresse et de second degré. Interrogé par le «Financial Times» le 7 février dernier, le très sérieux Ian King a fait comme si le Rafale ne l’avait pas emporté sur son Typhoon lors de l’appel d’offres indien conclu huit jours plus tôt. «A mon avis, toutes les options restent sur la table», a lâché le patron du géant de la défense britannique au sujet du mégacontrat de 126 avions de combat, estimé à 12 milliards de dollars. Et d’ajouter, l’air de rien : «Je vais bientôt en parler à mes partenaires du consortium Eurofighter, le franco-allemand EADS (actionnaire à 41%) et l’italien Finmeccanica (26%).» «Personne n’est dupe, commente un proche du dossier. Après avoir été choisi par l’Etat indien pour entrer en négociation exclusive, Dassault Aviation a de fortes chances de signer le deal avant décembre.» A moins d’une ultime ruse de l’Histoire c’en serait donc fini de la malédiction du Rafale. Vingt-sept ans après sa présentation au siège de Saint-Cloud, le joujou volant de feu Marcel Dassault vient enfin de trouver son premier vrai client autre que l’armée française. Et quel acheteur ! Avec cette commande, l’Inde s’apprête à signer le plus grand contrat de l’histoire de l’aéronautique militaire. Sans parler d’une seconde tranche à l’étude de 64 à 74 appareils. Résultat : le Rafale suscite à nouveau l’intérêt des potentiels acquéreurs. Le Brésil, qui avait fait miroiter l’achat de 36 unités en 2010, a dépêché son ministre de la Défense à New Delhi pour réétudier les compétences du chasseur français. Abu Dhabi, dont le prince héritier Cheikh Mohammed bin Zayed avait déploré «les conditions commerciales non compétitives et impraticables de Dassault Aviation» en novembre dernier, s’apprête à recevoir une délégation de l’avionneur. Quant aux militaires de Malaisie, en plein casse-tête sur le remplacement de leurs antiques MiG-29russes, ils en pincent pour la fabrication française. «Les bonnes nouvelles sont comme les ennuis, elles volent en escadrille», répète à la manière d’Audiard notre ministre de la Défense, Gérard Longuet, qui évoquait encore début décembre «l’arrêt de la production». De fait, jusqu’à présent, l’histoire de l’exportation du Rafale ressemblait à une interminable descente en piqué, où la supériorité technique française s’écrasait contre la diplomatie commerciale américaine. A chaque fois que Dassault Aviation pensait décrocher son premier contrat, les équipes de Boeing (F-15 et F-18) ou de Lockheed Martin (F-16 et F-35) rappelaient aux Frenchies les dures règles de la realpolitik façon business. Aux Pays-Bas et en Corée du Sud (2002), à Singapour (2005) et même chez nos amis marocains (2007), ce sont eux qui finissaient toujours par l’emporter. A Séoul, le président George Bush s’était ainsi déplacé en personne pour faire l’article auprès des autorités locales. 
Ce qui provoqua ce communiqué de dépit signé Dassault : «Le poids américain donne 
une fois de plus raison au proverbe chinois. Le bambou penche toujours du côté de­celui qui pousse le plus fort.» Et si au moins l’administration américaine avait accepté de laisser des miettes au français… Loupé : celles-ci étaient aussitôt ramassées par le consortium Eurofighter ou par les suédois de Saab, à l’image des 22 Gripen commandés par la Suisse en décembre dernier. Dans un rapport remis au ministre de la Défense helvète, Ueli Maurer, que Capital a pu consulter, les pilotes estimaient pourtant que ce chasseur low-cost, surnommé «l’avion Ikea», n’atteint pas «le seuil minimum de capacités requises» pour accomplir la mission de police de l’air. «Depuis dix ans, les Américains mènent un travail de sape sur le thème “tout sauf le Rafale”, confie l’entourage de Charles Edelstenne, le P-DG de Dassault Aviation. L’intérêt de l’Inde montre que les cartes peuvent être rebattues.» Arrêtons en effet l’antipatriotisme primaire : avec ses commandes de vol en fibre optique, son radar à antenne active capable de poursuivre 40 avions simultanément et ses 3 heures 15 d’autonomie à 150 nautiques d’une base, le Rafale reste le meilleur chasseur sur le marché. http://www.capital.fr/enquetes/strategie/avions-de-combat-la-guerre-est-relancee-720374/%28offset%29/2 Polyvalent et semi-furtif : à 142 millions d’euros, le Rafale n’a pas d’équivalent Un logiciel de fusion des données Conçu par Dassault Aviation et complètement intégré au système d’armes, ce programme permet de récupérer 
les informations de tous les capteurs, puis de fournir 
au pilote une synthèse 
immédiate en phase de tir. Une autonomie de 3 heures 15 en combat Armé de six missiles air-air Mica et de réservoirs supplémentaires, le Rafale peut assurer une mission longue type protection d’un G20. 
Le Typhoon dispose d’une autonomie de 2 heures 30, 
le F-18 de 2 heures 25 
et le Gripen de 1 heure 20. Un système de commandes digne d’un jeu vidéo C’est l’une des spécialités de Dassault Aviation, mondialement reconnu pour son savoir-faire dans ce domaine. Les commandes de vol électriques en fibre optique assurent au Rafale une maniabilité et une réactivité sans comparaison. Un radar à antenne active RBE2-AESA Développée par Thales, cette machine est capable de poursuivre 40 avions et d’en engager 8 simultanément. Le balayage électronique permet d’assurer en même temps le suivi du terrain et la détection de cibles terrestres ou navales. Ses rivaux : le Typhoon européen, deux chasseurs US et un low-cost suédois Typhoon : Produit par le consortium Eurofighter, ce chasseur reste un avion de type air-air et son radar à antenne active souffre encore de retard. F-18 : La petite 
merveille de Boeing reste le concurrent 
le plus sérieux du Rafale. L’Australie en a commandé 24 en 2007. F-35 : Encore en phase de développement, 
le chasseur furtif de Lock­heed Martin cumule les retards. Son souci : il est trop lourd pour mener des combats air-air. Gripen : L’avion suédois est imbattable… au niveau du prix. A 
80 millions d’euros pièce, ce chasseur surnommé «l’avion Ikea» n’a pas d’autres avantages.
  22. un truc intéressant à 1m19s, les mise en place des capteurs. dans le Jouk-AE
  23. zx

    Achat suisse

    http://www.letemps.ch/Page/Uuid/be1ba6de-9e01-11e1-9b7e-133af2371ffc/La_cr%C3%A9dibilit%C3%A9_dUeli_Maurer_est_en_jeu Le conseiller fédéral UDC n’est toujours pas parvenu à colmater les fuites au sein de son propre département. Une accumulation de couacs mine sa crédibilité Acquisition du Gripen, cyberdéfense, financement de l’armée: bien qu’il fasse bonne figure contre mauvaise fortune, à chacune de ses rencontres avec la presse le ministre de la Défense Ueli Maurer est désormais contraint à l’auto-justification. Malgré tous ses efforts pour afficher sa sérénité, sa stratégie de communication se résume à se défendre. Corrigé par le Conseil fédéral sur sa stratégie de cyberdéfense mais aussi le cadre financier de l’armée, contesté au sein de l’armée pour le choix du Gripen, ébranlé par le chaos informatique autour de la récupération des armes personnelles, Ueli Maurer doit craindre pour sa crédibilité. Lundi, à la caserne de Jassbach, dans l’Emmental, là où se prépare la guerre électronique, le conseiller fédéral s’est pourtant montré très agacé par les fuites provenant de l’administration militaire et mettant en cause le choix du Gripen de Saab, à la place du Rafale de Dassault ou de l’Eurofighter de EADS. Selon ces informations, les essais réalisés au début du mois de mai en Suède avec le prototype E/F n’auraient pas été concluants. On n’aurait pas pu tester à fond la version choisie par la Suisse. Seules 7 des 98 améliorations exigées par Berne auraient été réalisées et l’appareil, avec son nouveau moteur, n’aurait atteint que Mach 1,23 au lieu de Mach 2.0. Pour Ueli Maurer, toutefois, «tout se déroule comme prévu. Nous voulions tester les modifications les plus importantes, l’emport supplémentaire de fuel, le nouveau moteur; cela s’est déroulé normalement.» Ce que confirme Saab, selon qui les «98 améliorations sont à quelques exceptions près soit déjà complètement intégrées, soit tout au moins testées en vol et en rapide voie de développement vers la maturité». Pour Saab, si Mach 2.0 n’a pas été atteint lors de ses essais, c’est que ce n’était pas nécessaire à ce stade des tests. Qui vont encore se poursuivre en continu sur plusieurs années, selon Ueli Maurer. Le problème pour ce dernier n’est pas les critiques des médias, mais ceux qui les nourrissent. Le ministre de la Défense l’admet: «Il y a encore au sein de l’armée un noyau qui veut un autre avion et qui continue à transmettre des informations pour modifier notre choix.» Et, devant les caméras, de se montrer sévère: «Qu’on sache bien que ce sera le Gripen ou pas d’avion du tout.» Près de six mois après l’option du Conseil fédéral pour le Gripen, Ueli Maurer n’est toujours pas parvenu à aligner les officiers des Forces aériennes et les ingénieurs d’armasuisse. Les militaires n’ont pas avalé le choix politique de leur patron: le meilleur avion possible au meilleur prix possible. Mais, admet un haut gradé, «il y a un vrai problème de loyauté envers le politique au sein de l’armée, attisé par les restrictions financières».
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    Gripen

    http://www.aviationweek.com/Article.aspx?id=/article-xml/AW_05_07_2012_p32-454278.xml Take your pick: The Swiss government is either more practical than most in making major defense procurements, or is just as incapable as others in crafting a feasible strategy. At issue are further revisions to the country's plan to field a new combat aircraft to replace the F-5 Tiger. Last year, the government opted for the Saab Gripen NG, noting that while it might not be the most capable fighter available, it represented the best value for the money (the Dassault Rafale and Eurofighter Typhoon were also in the running). The government also asked the defense ministry to explore ways to strengthen the program. As a result, the Swiss air force is making another concession, sacrificing its desired schedule in the hopes of reducing risk. Rather than acting as the trail-blazer for the Gripen NG development to meet its 2015 fielding target, it has opted to work in lock-step with Sweden to develop the fighter. The two are also expected to settle on a nearly identical aircraft configuration. The price for this collaboration is a three-year delay. Switzerland now expects to field its first Gripen NG in 2018, with the last of the 22 aircraft to be handed over in 2020. This move will allow the Swiss to take advantage of the much larger Swedish procurement to gain efficiencies. The Swedish air force has expressed a need for 60-80 Gripen NGs, but on a later timeline than Switzerland. Bern also sees value in sharing the development risk with Sweden, even though Switzerland initially said it was looking for an off-the-shelf fighter. When Saab first started marketing the Gripen NG for export, Stockholm promised to accelerate its purchase to meet the demands of any foreign customer, but the revised schedule will mitigate any near-term pressures on the Swedish budget. The cooperation plan remains to be finalized. The two sides are still negotiating, but the Swiss opted to commit to cooperation with Sweden to clarify the situation. The Swiss air force expects to present its detailed procurement plan to parliament in October, with a final contract not expected to be signed until late next year or early 2014. The process in Sweden to approve the development and production program for the Gripen NG is also still in an early stage. If there is a downside, the combined Swiss and Swedish plans could make it more challenging for Saab to meet Brazil's F-X2 fielding timeline. Brazil is eager to start fielding its new fighter no later than 2017, although the source selection in that campaign—also competed by the Boeing F/A-18E/F and Rafale—has been delayed repeatedly
  25. Le moteur Silvercrest de la filiale de Safran équipera le dernier-né de Cessna, le Citation Longitude, qui entrera en service en 2017, après le soutien du chinois Avic http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/air-defense/actu/0202060527966-snecma-va-motoriser-le-futur-jet-d-affaires-de-l-americain-cessna-322943.php Nouveau succès stratégique en perspective pour Safran et sa filiale Snecma. Le fabricant français de moteur d'avions a réussi à placer son nouveau moteur Silvercrest sur le fuselage du futur jet d'affaires que l'Américain Cessna, le Citation Longitude, annoncé ce matin au salon EBACE de Genève. Ce futur jet de catégorie Cessna " super-mid-size ", comparable au Falcon 2000 de Dassault, devrait entrer en service en 2017. Il marque le retour à l'offensive de Cessna, après quatre années de crise, renforcé par son alliance récente avec le holding chinois Avic, qui devrait largement bénéficier au futur Citation Longitude, même si l'appareil sera assemblé au Etats-Unis, à Wichita (Kansas). Pour Snecma et sa maison-mère Safran, ce nouveau programme constitue le premier succès officiel de Silvercrest, qui n'avait pas eu beaucoup d'occasions de faire parler de lui jusqu'à présent. Lancée en 2010, ce " petit " moteur d'une poussée de 9.500 à 12.000 livres doit permettre à Safran de se faire une place sur le marché des jets d'affaires et des avions régionaux. Comparé aux moteurs existants, il permettrait une économie de carburant de 15%. Mais jusqu'à présent, le Silvercrest n'avait pas remporté de contrat. Du moins officiellement, car il n'est un secret pour personne que le Silvercrest devrait équiper le futur Falcon SMS de Dassault Aviation, dont les caractéristiques sont toujours tenues secrètes. Selon le PDG de Snecma, Pierre Fabre, le marché potentiel de cette nouvelle famille de moteurs représenterait de l'ordre de 200 moteurs par an, et quelque 3000 unités sur 15 ans, pour une valeur totale, en incluant l'après-vente, de 8 à 9 milliards d'euros. Même s'il n'est pas aussi stratégique que le CFM56 co-développé avec GE, son potentiel est donc loin d'être négligeable pour Snecma et Safran. De notre envoyé spécial à Genève,
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