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Lancement de satellite Nord Coréen.
zx a répondu à un(e) sujet de MH dans Engins spatiaux, Espace...
Les USA vont peut être récupérer tout ca, ils doivent avoir la localisation du point de chute, je sais qu'en la matière, ils savent mettre les moyens quand ils le veulent. -
C'est bien, cela permettrait d'assurer sa grande spécialité, le lancement double, la ME pourra positionner deux satellites de 6t en GTO.
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En effet, c'est une grosse partie de poker pour Musk et la survie de Space X, ca casse ou ca passe, falcon 1 est en hibernation, je crois qu'ils sont en train de travailler sur une version améliorée, le "Falcon 1e", si je me rappelle, c'est la refonte du 1er étage et l'augmentation de la charge utile, le Falcon 1e aurait deux clients potentiels, Taiwan & EADS au alentours 2013-2014. faudrait que je recherche les news dessus.
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Pour ma vue, la nasa est une institution sérieuse et c'est elle qui paye et qui gère tout, beaucoup plus que space X, Musk est quelqu'un qui aime la provocation et les écrans de fumé, Space X essaye par tous les moyens d'occulter ses dépenses et son financement est opaque en annoncant des chiffres fantaisistes, critique particulièrement récurrente des spécialiste du secteur aux USA, mais la nasa n'aime pas trop s'impliquer dans ce jeu. En clair, on commence à avoir le recul sur les couts réels, une falcon 9 se rapproche des coûts d'une ariane V, et ce n'était pas les versions finales, on en saura plus sur la version lancée le 30 avril ca veut dire que les couts vont encore augmenter. je ne néglige pas ses performances et elle assura certainement le "transport privé" au USA pour l'iss, mais il n y a pas de miracle Space X mis à part la personnalité atypique de Musk, quand on gratte on commence à voir ce qu'il y a en dessous. Si tout va bien pour la falcon, ce sera un concurrent sérieux pour la fin de vie ariane V. Le 16 Avril, Space X devrait recevoir le GO/ NO GO, pour le lancement du 30 avril.
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http://www.usinenouvelle.com/article/operation-seduction-pour-rafale-international-au-bresil.N172467 Le consortium aéronautique français participe à la plus grande foire d'armements d'Amérique latine, la Latin America Aero and Defence (LAAD) ces derniers jours. L'objectif étant de renforcer les partenariats technologiques localement. L’objectif est clair : tisser des partenariats technologiques au Brésil pour concurrencer ses adversaires le F/A-18 Super Hornet de l'Américain Boeing et le Gripen NG du suédois Saab. En effet le consortium français est en compétition avec ces deux groupes pour décrocher le méga contrat de plus de 4 milliards d’euros pour la vente de 36 avions de combat multi-rôles à l'armée de l'air brésilienne (FAB). "Même si la sécurité n'est pas notre thème principal, venir à la LAAD nous permet de rencontrer des gens du secteur de la défense, assure Jean-Marc Merialdo, directeur de la filiale Brésil de Dassault. Nous pensons être le seul des trois à avoir une technologie complètement indépendante et le seul prêt à la partager effectivement avec le Brésil". Cette participation fait suite à quatre séminaires de promotion réalisés dans plusieurs villes du Brésil par le consortium. Un prochain séminaire est prévu fin avril à Porto Alegre (sud). Le Rafale faisait partie des favoris jusqu’à la décision prise par la présidente Dilma Rousseff en 2011 d’ajourner le choix de l’industriel au mieux au premier semestre 2012. "Le fait que l'Inde ait choisi le Rafale a beaucoup impressionné nos amis Brésiliens qui se sont montrés extrêmement intéressés par ce choix. C'est très important parce qu'au sein des Brics (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du sud), l'Inde et le Brésil sont des partenaires très proches", assure confiant Jean-Marc Merialdo. Au total, cette foire accueille quelque 300 entreprises d'armement et de technologie militaire de 30 pays jusqu’à jeudi. Elles y présentent leurs produits de dernière génération destinés au marché latino-américain.
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Chine
zx a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Politique etrangère / Relations internationales
http://www.opex360.com/2012/04/11/incident-naval-entre-les-philippines-et-la-chine/ La mer de Chine méridoniale est le théâtre de conflits territoriaux, avec la Chine, les Philippines, le Vietnam, la Malaisie, Bruneï et Taïwan pour protagonistes. Les différends portent essentiellement sur les archipels Spratleys et Paracel. Outre le fait qu’ils sont situés sur une route maritime particulièrement fréquentée – ce qui lui donne une importance stratégiques, ces territoire, par ailleurs riches en ressources halieutiques, recéleraient des réserves de pétrole et de gaz. Aussi, les incidents entre les différentes puissances qui se disputent ces eaux poissonneuses et potentiellement riches en hydrocarbures sont relativement fréquents. Ainsi en est-il entre la Chine et les Philippines. Dernier épisode en date de cette rivalité : celui de la tentative avortée du navire philippin Gregorio Del Pilar (un ancien bateau de l’US Coast Guard cédé à Manille en 2011) d’appréhender, le 10 avril, des pêcheurs chinois au large du récif de Scarborough, à 200 km des côtes nord-ouest des Philippines, dont la souveraineté est à la fois revendiquée par Manille et Pékin. La cause? La présence de deux navires de surveillance de la marine chinoise, qui se sont interposés. Et Pékin, via son ministère des Affaires étrangères, a enfoncé le clou, en rappelant que le récif de Scarborough, appelé Huangyan en Chine, est considéré comme étant chinois « depuis des temps anciens », et en adressant à Manille des protestations officielles selon lesquelles les activités de police de la marine des Philippines « violeraient » la souveraineté chinoise. « Nous exhortons les Philippines (…) à ne pas provoquer de nouveaux incidents et à créer les conditions de relations amicales entre les deux pays » a déclaré Liu Weimin, le porte-parole de la diplomatie chinoise. Seulement, à Manille, on ne voit pas les choses de la même façon. « Si les Philippines sont défiées, nous sommes prêts à protéger notre souveraineté » a répondu Albert del Rosario, le ministère philippin des Affaires étrangères. « Nous sommes là parce que nous avons la souveraineté sur la zone. Nous voulons y rester et nous en avons le droit » a-t-il ajouté. Cela étant, les Philippines auraient tout à perdre en cas d’une escalade militaire avec la Chine. En effet, les capacités des armées de ces deux pays ne souffre pas la comparaison, Manille disposant de forces aériennes très mal équipées et de forces navales reposant essentiellement sur des navires de seconde main, certains datant même de la Seconde Guerre Mondiale. L’an passé, le ton était monté entre Pékin et Manille, à cause d’un projet chinois visant à installer une plate-forme pétrolière près d’un îlot de l’archipel des Spratleys. Et les Philippines protestèrent également contre l’agressivité dont aurait fait preuve des navires de la marine chinoise. -
http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/20120411trib000693052/rafale-les-espoirs-decus-de-nicolas-sarkozy.html Il y a encore quelques jours, le président de la République espérait s'envoler pour Abu Dhabi et signer une commande de 60 Rafale. Las. Tous les efforts qu'il aura consacrés au cours de son mandat afin de décrocher un premier contrat à l'export pour le fleuron de l'aéronautique militaire française auront été vains. Il faudra attendre le prochain quinquennat... Et Nicolas Sarkozy ne vendit pas le Rafale sous son quinquennat... Cela a été pourtant l'un de ses défis quelques mois après son arrivée à l'Elysée. Une obsession déclenchée par l'échec cuisant du Rafale au Maroc qui a préféré acheter, à l'automne 2007, des F16 américains. Une défaite pourtant inenvisageable et un véritable affront pour le nouveau président qu'il était. D'autant que dans le cas d'espèce, sa responsabilité ne pouvait pas être engagée. Résultat, vendre le Rafale est devenu au fil du temps un leitmotiv. A tel point qu' il s'est battu jusqu'au dernier moment pour convaincre les Emirats arabes unis (EAU) de signer un contrat dans le courant du premier trimestre 2012. En vain. Et pourtant, une visite de Nicolas Sarkozy avait été programmée le 12 février, puis en mars. Il était prêt à sauter dans un avion pour signer à Abu Dhabi cette commande de 60 appareils. Un petit Etat du Golfe, situé à quelques kilomètres des rives iraniennes, à qui Nicolas Sarkozy a beaucoup donné, dont notamment la base interarmées tricolore doublée d'un renforcement de l'accord de défense de 1995 liant les deux pays. Ce nouvel accord prévoit que les deux pays décident "en commun de réponses spécifiques et adaptées, y compris militaires, lorsque la sécurité, la souveraineté, l'intégrité territoriale et l'indépendance des Émirats arabes unis sont affectées". Il n'a pas eu en retour ce contrat. Un échec personnel même si Dassault Aviation, qui ne voulait rien lacher sur les marges de ce contrat, n'a pas toujours été un partenaire facile pour convaincre les Emiriens. Il sera vraisemblablement signé par le prochain président. Cruel pour Nicolas Sarkozy s'il n'était pas réélu en mai. Sarkozy a tout tenté L'aventure du Rafale à l'export est devenue une série à rebondissements pour les observateurs A quelques jours de la fin de la cinquième saison, le constat est sévère. Pas de commandes fermes. Et pourtant, le 18 juin 2008 le secrétaire général de l'Elysée d'alors, Claude Guéant, fanfaronnait sur « Europe 1 » que Paris allait vendre bientôt « une centaine » d'avions de combat tricolores. Pour l'heure, seules des négociations exclusives sont en cours avec les Indiens pour un contrat de 126 appareils. Pour vendre le Rafale à tout prix, Nicolas Sarkozy a donc tout tenté.. ou presque. Y compris en le proposant à des pays, où il avait peu de chance de réussir. C'était le cas du Koweït (14), qui avait pourtant exprimé un intérêt pour l'avion tricolore, ou d'Oman (12). Mais ces deux pays du Moyen Orient, sous forte influence américaine pour l'un, britannique pour l'un, n'avaient aucune marge de manœuvre pour s'offrir un avion compétitif. Le président a même pris des intitatives périlleuses en tentant de le placer au colonel Kadhafi, lorsqu'il était venu à Paris en 2007 planter sa tente dans le parc de l'Hôtel Marigny. Le Guide aura au moins pu constater, peu avant sa mort, toute l'efficacité opérationnelle du Rafale lors de la campagne de Libye (opération Harmattan). Le Brésil, espoir déçu Le Brésil, autre pays, autre échec. Le président Lula avait promis de sélectionner le Rafale peu avant son départ en décembre 2010. Nicolas Sarkozy, qui une nouvelle fois s'était personnellement investi, a donné beaucoup de son temps pour décrocher cette commande de 36 appareils. Au final, Lula n'a pas tenu parole. Pourquoi ? Mystère. Mais des rumeurs de rétrocommissions ont plané, avec la présence de certains intermédiaires français, qui apparaissent aujourd'hui dans des affaires sulfureuses autour du président de la République. Et pourtant en septembre 2009, Nicolas Sarkozy tenait la grande forme à Brasilia. « Cela était devenu une affaire personnelle », notait alors un proche de la délégation. Le dimanche, avant de s'envoler vers Brasilia, le chef de l'État sentait le succès à portée de main même si, à son départ, rien n'était acquis, les Brésiliens restant encore très prudents sur une éventuelle annonce. Mais vendre le Rafale était encore la priorité de cette visite éclair de 48 heures à Brasilia, alliée au plaisir de revoir son homologue brésilien Lula avec qui il entretenait, en dépit de leurs différences politiques, de très bonnes relations. « Le lien affecif qui les unissait pouvait laisser croire que tout était possible », assurait-on alors. Le fol espoir brésilien À l'issue du dîner restreint offert par Lula ce soir-là, sentant qu'il pouvait faire basculer la décision et revenir à Paris avec une promesse de vente, Nicolas Sarkozy s'accroche. Il retourne voir, tard dans la soirée, la délégation élyséenne et celle de Dassault Aviation, dont le PDG Charles Edelstenne, pour leur demander de retravailler avec les Brésiliens la proposition française selon leurs dernières exigences . « Il faut battre le fer tant qu'il est chaud et tant que nous sommes sur place », avait-il exigé. Les équipes travailleront jusqu'à l'aube pour arrêter, vers six heures du matin, l'offre qui va définitivement convaincre les Brésiliens. Bousculés, ces derniers ne peuvent plus refuser. « Nicolas Sarkozy a lessivé toute la délégation française, y compris Charles Edelstenne réputé increvable, par son dynamisme », se rappelle-t-on dans la délégation. « Le chef de l'État nous a fait gagner en moins de 48 heures des mois de travail », soulignait-on chez l'avionneur. Car c'est bien une négociation exclusive — même si ce terme n'a pas été inscrit noir sur blanc — qu'a arrachée in extremis Dassault Aviation. Ou plutôt le chef de l'État comme l'indiquait au « Monde » Charles Edelstenne : « C'est Nicolas Sarkozy qui a vendu le Rafale, ce n'est pas nous. Le succès lui revient ». Et pourtant ce sera l'échec. Là encore, le prochain président aura de très bonne chance de signer un contrat. La Suisse, une maladresse qui coûte cher En Suisse, Nicolas Sarkozy s'est pratiquement tiré une balle dans le pied. Berne n'a guère apprécié les propos de Nicolas Sarkozy lors du G20 à Cannes lorsqu'il avait dénoncé les « déficiences » dans les efforts de la Suisse pour ne plus être considérée comme un paradis fiscal. « Nicolas Sarkozy a probablement un problème avec nous, je ne sais pas lequel », avait ensuite déclaré, le 11 novembre, la présidente de la Confédération, Micheline Calmy-Rey. De là à dire qu'il porte la responsabilité entière de cet échec... Officiellement, Berne, et plus précisément le ministre en charge de la Défense, Ueli Maurer, ont notamment justifié leur choix du Gripen suédois par des considérations budgétaires, l'offre du Rafale étant estimée par les experts supérieure d'un milliard d'euros. Soit 4 milliards de francs suisses au lieu de 3 milliards, qui étaient à peu près le budget que Berne envisageait pour renouveler sa flotte d'antiques F5 Tiger. « Les arguments financiers ont joué un rôle déterminant dans le choix du type d'avion, a confirmé un communiqué officiel. Et l'Inde ? C'est le point positif. Le Rafale est en pole position mais pour l'heure, rien n'est signé. De surcroît, il est difficile de mettre ce début de succès au crédit de l'Elysée, tant Nicolas Sarkozy a multiplié les maladresses lors de ses visites en Inde. Même si l'Etat français a, à l'été 2007, poussé Dassault Aviation, qui était très hésitant, à concourir pour cet appel d'offres mirifique estimé à 18 milliards de dollars. A l'époque, Dassault Aviation attendait des garanties de Paris. Tout comme aux Emirats et au Brésil, le prochain président de la République devrait en toute logique assister à la signature de ce contrat en Inde. Ce sera aussi probablement le cas au Qatar (entre 12 et 26), et peut-être en Malaisie (18). Il le devra en grande partie à l'obsession de son prédécesseur..
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voila un aperçu des couts de la falcon 9 (nasa), la vue nasa étant plus réaliste http://www.nasa.gov/pdf/586023main_8-3-11_NAFCOM.pdf
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http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/20120410trib000692838/armement-pourquoi-israel-tient-autant-a-sa-relation-avec-l-inde-.html a lire aussi http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/20120409trib000692615/defense-les-industriels-israeliens-invites-a-exporter-plus-proprement.html
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Personnellement, ce que j'aime pas, c'est l'impression que le rafale fait le rôle du lièvre devant les autres, le fait qu'il soit constamment mis en avant, ca pourrait être une tactique qui pour faire pression sur les concurrents pour avoir les meilleures conditions. on verra ce que ca donne à la fin si ce n'est pas repoussé une nouvelle fois.
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gazou ! gazou ! :lol: http://www.amerique24.com/Obama-brosse-le-Bresil-dans-le-sens-du-poil_a1266.html
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http://www.indianexpress.com/news/grounded-mirage-fleet-to-start-flying-by-monthend-air-chief/934921/0
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Lancement de satellite Nord Coréen.
zx a répondu à un(e) sujet de MH dans Engins spatiaux, Espace...
Effet collatéral inattendu, c'est le bordel :lol: http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/20120410trib000692729/la-fusee-nord-coreenne-donne-du-fil-a-retordre-aux-aiguilleurs-du-ciel.html annonce du lancement d'une fusée par les autorités nord-coréennes entre les 12 et 16 avril a provoqué un branle-bas de combat dans les compagnies aériennes asiatiques. Celles-ci ont modifié le plan de vols de leurs appareils devant traverser la zone de lancement. -
hmm, joli, mais il ne semble pas amateur de manoeuvres violentes, il reste bien droit, et il prend les courbes bien large.
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Heu! Quels lancement lourds ? vu qu'ariane 6 arrivera en 2025, et que l'iss sera désorbité entre 2020-2025, il n y aura quasiment plus de besoin pour des lancements lourds, peut être des gros satellite de 10t, mais ils sont rare. Il est probable qu'une fois qu'on aura lancé tous les ATV, il n'est pas certains qu'il y en aura d'autre en 2014, le débat est en cours, ils ont déjà arrêté la production des pièces détachées. une ariane 6 heavy, why not, mais pour quoi faire ?
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oui, je parlais en orbite basse, vu c'est une 2.1, maintenant tout dépend du lieu de lancement, ca fluctue, depuis kourou, ils grattent un peu plus, grace à l'effet de fronde. La Soyouz-2.1a peut placer une charge utile de 7 020 kg sur une orbite de 200 km depuis Baïkonour; depuis le cosmodrome de Plesetsk une charge de 6 830 kg peut être envoyée sur une orbite de 220 km. La Soyouz-2.1b peut placer une charge utile de 8 250 kg sur une orbite de 200 km depuis Baïkonour ; depuis le cosmodrome de Plesetsk une charge de 7 020 kg peut être envoyée sur une orbite de 220 km. La capacité d'une Soyouz-STK (versions 2.1a et 2.1b, "ST" pour "Spéciale Tropiques") utilisée depuis Kourou est encore bien supérieure. Depuis le CSG, la version Soyouz-STK peut placer une charge de 9 000 kg en orbite basse. À 450 km d'altitude, la capacité est portée de 4 900 kg à 5 500 kg avec l'ajout de l'étage Soyouz Fregat[2]. Les deux premiers lancements depuis Kourou ont réussi : la 2.3 va être très intéressante à suivre, elle sera plus puissante. Pour ariane 6, je n'ai pas vu l'info sur la répartition de charge en LEO ou en GTO, c'est flou pour l'instant, si quelqu'un à une info, c'est intéressant à savoir.
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En attendant Ariane 6 pour 2025 pour l'après l'iss Que faire après l'aTV http://www.aeroplans.fr/Europespace/que-faire-atv.html Moteur cryo pour ariane V http://www.aeroplans.fr/Europespace/eurocryospace.html
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http://www.bizjournals.com/dayton/blog/morning_call/2012/04/boeing-eyes-4-billion-defense-deal.html http://www.rfi.fr/ameriques/20120409-bresil-etats-unis-president-barack-obama-dilma-rousseff-maison-blanche
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http://www.stratpost.com/an-alternate-theory-of-the-mmrca-process-i The Rafale is in through a process that in Indian procurement lore is being equaled with the purity of the Immaculate Conception. There were six. And then there were two. And the last one standing was ‘technically’ the best of them all and ‘cheapest’ by far. The almost acquiescence of the five, the virtually zero flap about whether the Rafale really beat everyone hollow on all fronts seems almost surreal compared to the huge fracas going on over much smaller orders around the world. Suppose for a moment that this whole selection saga was more than just the logical result of a “process”. What if it was an elaborate smoke and mirrors trick where even the participants in the play were hypnotized by the ‘process’? What if the master strategists worked to a plan to deliver an aircraft that they wanted dearly but were forced to go through for the sake of a ‘process’. In hindsight, we can only create a hypothesis, a story, a supposition based on evidence that can be at best circumstantial. Nonetheless, it’s a story worth telling. About a plan that delivered. The plan was simple: To effect a shortlist that ended up with the two contenders, Rafale and Eurofighter, irrespective of the technical merits of any of the six aircraft. And as the evidence below will corroborate, there was really no other way but to have a down select that left only these two aircraft, as having any of the other four would have queered the pitch for the pre-planned outcome. . The result was that the two aircraft – Eurofighter and Rafale – were NOT chosen because they met technical parameters. BUT because the air force made a choice, itself, possibly partly strategic; something it was not supposed or required to do and passed it off as a technical decision. Rewind to the beginning of the century. The solution on the table to deal with the fast depleting MiG-21 fleet was a proposed upgrade for the aircraft while purchasing an additional tranche of Mirage 2000-5 aircraft to take care of the end-of-the-shelf-life of the MiG-23s and MiG-27s. Funnily enough, the people who did not agree with the proposal were those little credited for having much to do with Indian defense: Members of Parliament, and more specifically the Standing Committee on Defense which in its Sixteenth Report (April 2002) in the 13th Lok Sabha’s Demand For Grants reiterated an observation it had made in its 14th Report: “The Committee note that the upgradation of MiG-21 Bis aircraft, a fleet prone to high accident rate, is not being executed at the desired speed. The C&AG has also critically evaluated the work done and the money spent on the project. The Committee feel that without adequate extension of life of the aircraft with modern systems, the programme of upgradation of MiG-21 Bis aircraft would remain financially unviable as the aircraft is likely to be in service for only 10 years after upgradation. The Committee, therefore, again reiterate their earlier recommendation made in the Fourteenth Report (13th Lok Sabha) that the Ministry of Defense should provide to the Committee the financial details of the upgradation of 125 MiG-21 Bis aircraft vis-a-vis cost of purchase of new aircraft with similar technology in the world market after thorough examination of all aspects.” (Para 95, page 33) (Bold Italics added). The IAF, however, was not willing to give up its plan for first inducting more Mirage 2000-5. In 2003, the IAF sought the defense ministry’s permission to buy 50 more French Mirage-2000s to shore up the only MMRCAs in its fleet as a stopgap arrangement. The MMRCA acquisition couldn’t be held back as the Standing Committee on Defense was persisting with its line of questioning and an RFI (Request for Information) was issued in 2004 which brought in four fighters of more or less the same class: The RFIs were initially sent to four vendors: Dassault (Mirage 2000-5 Mk.2), Lockheed Martin (F-16 C/D), Mikoyan (MiG-29OVT), and Saab (JAS 39 Gripen C/D). The basis for the MMRCA was laid out in detail by IAF, HAL and MoD (Ministry of Defense) in their submission to the Standing Committee on Defense (2004-2005) Report on Demand For Grants for 2005-2006 and captured in its Second Report of April 2005 thus: “In response to the clarifications sought by the Committee during oral evidence of the representatives of Ministry of Defense regarding force level and Lines of Production in Hindustan Aeronautics Limited (HAL) the Committee was apprised as under: “What we are looking at are primarily the medium weight aircraft ranging from 15 to 20 tonnes. We have three classifications for the aircraft; light, medium and heavy. Su-30 is 30 tonnes and above and so that is in the heavy class. The quality of aircraft, which we are looking at, primarily caters to our strike force depletion, which is MiG – 23 and the MiG – 27, which will be phased out in the Tenth and the Eleventh Plans. So, we are looking at this 126 from that angle. As far as the LCA is concerned, that will replace mainly the MiG – 21 which are going out. That is why it is in the light category.” (Para 5.5) Two things were clear. The IAF had decided to handle the awkward MiG-21 question by slotting the LCA against it while claiming that the MMRCA would replace the MiG-23 and MiG-27. So how did the definition suddenly change to aircraft that were not only as heavy as the F/A-18 but even heavier? That came about after the RFI when Dassault delivered its bender. The French company saw no reason to continue production of Mirage 2000s as the Indian process seemed to have entered a mode where the deal didn’t look like it was going to fall into their lap anytime soon. So, Dassault began the process to sell India the Rafale. Getting into the process would mean a playing field where even the F-16 or the F/A-18 could end up being a clear winner on costs. So, frantic efforts were made to get the MoD to buy into the plan of a pre-emptive purchase. The IAF dragged its feet in putting together the RFP (Request for Proposal) as it was still trying to sell-in alternate French aircraft, including the ‘Mirage 4000’, a French prototype jet fighter aircraft developed from Mirage 2000 that went into cold storage in the early 1980s when the Saudis turned down the aircraft in favor of the F-15. As late as December, 2005, and despite a global RFI out there, there was a hard-sell underway. The Hindustan Times of 2nd December, 2005 in an article “Target locked: IAF aims for Mirage 4000” let the cat out of the bag, reporting, in the terminology of the MMRCA of those days: “The Defense Ministry might be on the lookout for a new Air Superiority Fighter (ASF) aircraft for the Indian Air force (IAF) but it is not going to be the US F-16. According to a senior official in the ministry, the government has zeroed in on Mirage 4000, manufactured by Dassault of France. Sources said that senior officials from both the Defense Ministry and the IAF had already checked out Mirage 4000 and had expressed satisfaction on its performance and the features provided by the French manufacturer. “A suitable quotation has been received from Dassault and since the IAF has already used Mirage 2000, the latest from the Mirage stable is gaining over F-16,” sources added.” However, the Mirage 4000 was not really what was on the minds of either the French or the IAF, as became evident two months later when the French offered to make an outright sale of 40 aircraft as a single source deal. According to a report filed on 22nd February 2006 by PTI, the French offer was made by Charles Edelstenne, CEO of Dassault Aviation, to the Minister of State for Defense Rao Inderjit Singh in the presence of Deputy Chief of Air Staff Air Marshal AK Nangalia. Edelstenne told PTI that he informed the minister of Dassault’s decision not to field its upgraded Mirage 2000-5 for the Indian deal. The report goes on to make a prescient point, though not in the conclusion it drew: “Dassault’s bid to pitch in its Rafale fighters for the IAF’s multi-role combat aircraft project appears significant indicating that India could opt for two types of fighters in its moves to cover the shortfall in squadron strength.” On the contrary, the stage was set for heavier aircraft that were neither replacing the MiG-23s or MiG-27s nor expanding the Mirage 2000 portfolio. This was not merely shifting the goalposts, it was changing the game. Even after the RFP was issued in 2007, Dassault continued to pitch the offer of 40 aircraft to the Government in a bid to go around the MMRCA process. That said, barring the Americans, all the other players in the initial RFI too upped their play. The Russians fielded the ‘undefined’ MiG-35 while the Swedes put on the table the Gripen NG with an extended range, enhanced capabilities and a new AESA. However, the IAF was nowhere close to conceding that it had actually set its sight on a very different type of aircraft. The Standing Committee on Defense (2007-2008 on Demand For Grants for 2008-2009, 29th Report Dated April 2008) was merely told “The Ministry of Defense in reply to an Unstarred Question No. 1720 dated 29th August, 2007 in Lok Sabha had informed that purchasing of 126 Medium Multi Role Combat Aircraft by Indian Air Force had been delayed as it involved complex issues relating to transfer of technology, maintainability aspects product support, determination of selection criteria, etc. which required detailed consultation with different authorities.” When asked about the present status, the Ministry of Defense submitted in a written reply as under: - “The Request For Proposal (RFP) for procurement of 126 Medium Role Combat Aircraft for the air force was issued on 27th August, 2007 and responses to the RFP are to be submitted by the vendors by 28th April, 2008.” There was no effort to inform the Standing Committee that the gameplan had changed, that a different set of aircraft were being invited to the one defined earlier in the Demand For Grants. Perhaps, they weren’t told because they didn’t ask. Strangely, Dassault was delivered its first fright when defense spokespersons briefed Indian media persons, without exception but without attribution as well, that Dassault had been eliminated. But this was a contender which had powerful backers. However, once the die was cast, things began moving fast enough and the FET (Field Evaluation Trials) took place with most contenders believing that they had witnessed a transparent-enough process. The watchword seemed to be ‘transparency’ as all the contenders felt they understood what the IAF trial evaluation team had downloaded from the various combinations of actual flights, test beds and presentations. By the summer of 2010, the trial team was ready to start writing down its report, ask for clarifications and put the report together. And by the end of June, the IAF was more or less satisfied with what it had put together and sent it off to the MoD. And that was when the fun and games began.
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Frappes sur la Libye, le sujet officiel!
zx a répondu à un(e) sujet de Fenrir dans Politique etrangère / Relations internationales
http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2012/04/09/97002-20120409FILWWW00241-total-visee-par-une-enquete-en-libye.php Le parquet libyen a ouvert une enquête sur les opérations de plusieurs compagnies pétrolières locales et étrangères, soupçonnées d'irrégularités financières sous le règne de Mouammar Kadhafi et après, rapporte le Wall Street Journal. La National Oil Corp, firme publique libyenne, a ainsi été invitée à fournir des documents concernant des transactions avec le français Total et l'italien Eni, ainsi qu'avec les négociants internationaux Vitol Group et Glenncore International, précise le quotidien financier, citant Abdelmadjid Saad, adjoint du procureur général. Eni et Total avaient déjà fait savoir que leurs activités en Libye faisaient l'objet d'une enquête de la Securities and Exchange Commission, la commission américaine des opérations de Bourse. -
Lancement de satellite Nord Coréen.
zx a répondu à un(e) sujet de MH dans Engins spatiaux, Espace...
une video sur le lanceur, on voit aussi le satellite qui sera lancé avec http://www.youtube.com/watch?v=bCagV5q4Tyg vu la reponse, les anti missiles japonais chauffent -
L'avenir de la péninsule coréenne
zx a répondu à un(e) sujet de Andromeda dans Politique etrangère / Relations internationales
video http://www.youtube.com/watch?v=bCagV5q4Tyg -
L'avenir de la péninsule coréenne
zx a répondu à un(e) sujet de Andromeda dans Politique etrangère / Relations internationales
les moteurs chauffent, les anti missile aussi http://fr.news.yahoo.com/fus%C3%A9e-nord-cor%C3%A9enne-plateforme-lancement-selon-journalistes-111306676.html;_ylt=AqdsIEp6InUBI05GplUEo8j.fcl_;_ylu=X3oDMTNiODRuMzFxBG1pdAMEcGtnA2UxZGYxMDAwLTdmOTQtMzY3OC05YWZlLWUwNmE3YWNhNGNiMwRwb3MDNARzZWMDbG5fQUZQX2dhbAR2ZXIDYzFiMjk0ZTAtODFiNy0xMWUxLWJmNzQtYTQzNDM1OTY3ZDdi;_ylv=3 La Corée du Nord, déjà en butte à des sanctions sévères, a continué dimanche de défier la communauté internationale, en montrant à la presse étrangère sa fusée Unha-3 dressée sur le pas de tir du centre spatial de Tongchang-ri (nord-ouest), dans l'attente d'un lancement désormais imminent. Geste sans précédent dans ce pays très fermé, qui ne délivre des visas qu'au compte-gouttes, une cinquantaine de correspondants ont été invités à se rendre par train spécial dans la nouvelle base de lancement construite sur la péninsule de Cholsan, à 50 kilomètres environ de la frontière chinoise. C'est de là que doit être tirée, entre le 12 et le 16 avril, une fusée à trois étages censée mettre en orbite un satellite d'observation terrestre, Kwangmyongsong-3 (Etoile brillante). Afin de prouver qu'il s'agit bien d'un lancement pacifique, et non pas d'un essai de missile balistique déguisé, comme l'affirment notamment les Etats-Unis, la Corée du Sud et le Japon, les journalistes étrangers ont eu le rare privilège de voir de près le lanceur et le satellite, et de visiter le centre de commandement. Malgré les mises en garde internationales, la fusée blanche, aux lettres bleu ciel, se dressait dimanche sur le pas de tir de Tongchang-ri, prête à décoller une fois que ses réservoirs auront été remplis et que le satellite aura été installé dans le dernier étage. Des techniciens s'activaient au pied du lanceur, devant les journalistes massés à moins de 50 mètres de la tour mobile. La fusée, haute de 30 mètres et d'un diamètre de 2,5 mètres, doit placer en orbite héliosynchrone un satellite chargé de fournir des informations sur les récoltes, les forêts et les ressources naturelles de la Corée du Nord. Les correspondants étrangers ont pu également voir de près le satellite, un parallélépipède de 100 kilogrammes, hérissé de 5 antennes et flanqué de panneaux solaires pour l'alimenter en électricité. Les Etats-Unis et leurs alliés ne croient pas aux intentions pacifiques de Pyongyang et accusent la Corée du Nord de préparer en fait un essai de missile balistique. "Dire que c'est un test de missile n'a vraiment aucun sens", a affirmé Jang Myong-Jin, chef du centre spatial. "Ce lancement a été planifié de longue date, pour le centième anniversaire du président Kim Il-Sung", a-t-il dit. "Nous ne le faisons pas à des fins de provocation." Le régime va organiser de grandes festivités pour le 15 avril, jour de la naissance du fondateur de la République Populaire Démocratique de Corée, décédé en 1994. Son fils Kim Jong-Il lui a succédé, et à sa mort en décembre 2011, c'est son petit-fils, Kim Jong-Un, qui est devenu le nouveau numéro un nord-coréen. "Ce qu'on a vu aujourd'hui, c'est civil, mais cette technologie peut être utilisée aussi à des fins militaires", a commenté un expert français, Christian Lardier, membre de l'Académie internationale d'astronautique (IAA). Le premier étage de la fusée doit tomber en mer Jaune, à l'ouest de la péninsule coréenne, et le deuxième étage à l'est des Philippines, en survolant une partie des îles d'Okinawa, au sud du Japon. Cependant, un tir sur une trajectoire aussi étroite n'est pas sans risque. L'armée sud-coréenne et les Forces d'autodéfense japonaises -- l'armée nippone -- ont été mises en alerte et menacent d'abattre le lanceur s'il dévie de sa route. "Nous ne tolérerons aucune violation de notre souveraineté nationale", a averti M. Jang. "Nous n'avons jamais abattu un satellite sud-coréen ou japonais. Pourquoi nous menacent-ils?" Le chef du central spatial a toutefois voulu apaiser les inquiétudes des pays voisins. "Nous pouvons détruire la fusée du sol et il y a aussi un dispositif dans le lanceur qui peut juger de la trajectoire et déclencher l'autodestruction s'il dévie", a-t-il dit. Assailli de questions sur le coût du programme spatial de la Corée du Nord alors que la population souffre de malnutrition chronique, M. Jang a maintenu la nécessité de poursuivre le développement technologique du pays. "Même si vous avez faim, vous devez continuer à developper la technologie sinon vous deviendrez le pays le plus sous-développé du monde", a-t-il expliqué. Il a annoncé à cette occasion que la Corée du Nord envisageait de lancer des fusées beaucoup plus puissantes, d'un poids total de 400 tonnes, contre 91 tonnes pour le lanceur Unha-3. Pyongyang n'a jamais réussi jusqu'à présent à satelliser un engin, malgré deux tirs en 1998 et 2009. -
a première vue, ils n'ont pas été en mesure de détecter les intrusions sur leur territoires, une façon de remettre le point sur les i par les usa. ca souligne leur faiblesses de leur défense anti aérienne et le manque de surveillance de leur frontière. leur aviation n'est peut être pas capable d'opérer de nuit ? http://www.lepoint.fr/monde/l-iran-surveille-par-les-drones-americains-08-04-2012-1449481_24.php Des drones de surveillance furtifs de la CIA ont pénétré profondément à l'intérieur du territoire iranien il y a trois ans et pris notamment des photos du site nucléaire secret de Qom avant de retourner à sa base, a rapporté samedi le Washington Post. Le journal ajoute que, lors du premier vol de ce type, trois ans plus tôt, les analystes de la CIA et d'autres agences américaines ont guetté le moindre signe indiquant que l'appareil, un RQ-170 Sentinel, avait été détecté par la défense aérienne iranienne. "Il n'y a pas eu le moindre indice dans ce sens", selon un ancien haut dirigeant de la CIA cité par le journal sans le nommer. Depuis, des drones furtifs ont observé des dizaines de sites en Iran, effectuant des centaines de vols au-dessus de sites suspects, avant qu'une version du RQ-170 ne s'écrase à l'intérieur des frontières iraniennes en décembre dernier, poursuit le journal. Cette surveillance a fait partie d'une campagne de renseignement centrée sur le programme nucléaire iranien et qui s'est amplifiée lors des dernières années de l'administration de George W. Bush. La campagne a comporté la mise en place de systèmes d'écoutes électroniques par l'Agence nationale de sécurité (NSA), celle d'une unité consacrée à l'Iran formée d'analystes spécialisés en images satellitaires, ainsi que la création d'un réseau d'espions, indique encore le journal. Contre une attaque préventive L'élargissement de la panoplie des services secrets a conforté la Maison-Blanche dans l'idée qu'elle serait prévenue rapidement de la moindre tentative de l'Iran d'assembler une bombe nucléaire. Selon le journal, l'effort des services secrets a coïncidé avec une campagne secrète de la CIA et d'autres agences pour saboter le programme nucléaire iranien. L'administration du président Obama a cité des rapports des services de renseignements en se prononçant contre une attaque militaire préventive d'Israël contre les sites nucléaires iraniens.
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c'est quoi le missile air air qu'il a en bout d'aile ? le nez du shaeghe semble plus gros que celui du F5, un plus gros radar ? Ils ne semblent pas avoir développer de missille air sol, je ne vois que des pod rocket ou des bombes classique. Ils n'ont pas cherchés à développer des partenariats technologique pour améliorer leur aviation avec les chinois ?