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AIR-DEFENSE.NET

Skw

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Tout ce qui a été posté par Skw

  1. Pour compléter les propos d'Akhilleus et de Tancrède, l'organisation publique des collectivités territoriales aux USA peut tout à fait s'inscrire dans une logique marchande. Tu as des lotissements qui en s'incorporant - gagnant le statut de municipalités - vont avoir besoin d'accéder à certains services. Ils vont alors faire le tour des services alentours et vont demander à pouvoir bénéficier du service - pompier par exemple - contre rétributions. Inversement, Los Angeles s'est agrandie en annexant des municipalités alentours contre accès à l'eau... denrée alors très rare en Californie du début de 20ème siècle.
  2. Ne pas oublier que la question de la dette grecque ne concerne pas que les citoyens grecs, mais tous les autres citoyens de la zone euro... voire même de l'UE. Une monnaie commune, c'est une affaire commune. Et X peut se retrouver à payer les politiques de Y. Les intérêts de X sont donc tout autant en jeu que les intérêts de Y, bien que de manière différente. Ensuite, la question de la souveraineté est plus complexe que celle que l'on veut bien nous présenter, dans le sens où elle a deux racines : une racine "zone euro" et une racine "surendettement". En ce qui concerne la racine "zone euro", la perte de souveraineté se rapproche, si l'on ose un parallèle un peu facile et qui a évidemment ses limites, d'une logique de copropriété. Si un voisin bâti sur son terrain une excentricité architecturale ou développe une activité préjudiciable pour les riverains, celle-ci aura tendance à dégrader la qualité du cadre de vie et à faire baisser la valeur de tous les biens fonciers et immobiliers alentours. D'où la mise en place de règles strictes, qui s'imposent normalement à l'ensemble des copropriétaires. Autrement dit, la souveraineté de chacun se voit forcément limitée par l'adoption de règles communes, mais sans lesquelles l'édifice commun ne serait pas durable. Pourquoi les copropriétaires acceptent-ils cette perte de souveraineté, même si en l'occurrence il faudrait davantage parler d'une réduction du droit attaché à la propriété ? Parce que les différents copropriétaires trouvent un intérêt à sacrifier une partie de leur souveraineté pour s'assurer que le bien commun et les lots individuels soient préservés d'actions individuellement acceptables mais potentiellement néfastes pour les autres et même nocives pour l'ensemble.* Néanmoins, dans le cadre de l'euro, la perte de souveraineté aurait normalement dû essentiellement se limiter à la question monétaire et budgétaire. Mais les Grecs ne se sont pas contentés de transgresser la règle des 3% de déficit. La France le fait allègrement, et alors ? Les Grecs se sont également fortement endettés. Et c'est plus précisément parce qu'ils sont lourdement endettés qu'ils ont perdu une souveraineté allant au-delà de la simple perte jusqu'alors imaginable dans le cadre de la zone euro. En d'autres termes, ils perdent leur souveraineté non pas tant parce qu'ils contreviennent au règlement de la copropriété zone Euro, pour prolonger la métaphore, mais parce que les créanciers les tiennent par les burnes. D'où une perte de souveraineté qui va bien au-delà de ce qui pouvait être prévu initialement. Quelle était la souveraineté de l'Argentine, n'étant à ma connaissance pas membre de la zone euro, face aux demandes du FMI il y a quelques années ? En d'autres termes, le particularisme "zone euro" a son importance, complexifiant pas mal le problème et empêchant côté grec toute dévaluation majeure, mais il ne faut pas croire que la perte de souveraineté soit essentiellement liée à cette appartenance à la "zone euro".** * En revanche, là où l'on peut se poser une question, c'est sur la gestion de cette monnaie commune avant même que la situation n'ait commencé à dérailler au grand jour... Pour reprendre la métaphore, est-il normal que certains copropriétaires aient eu davantage de poids dans la gestion de ce bien commun ? Dans une copropriété, on peut avoir des droits de vote proportionnels au capital, ou sinon dans certains droits de la copropriété un vote par lot. En l'occurrence, on a l'impression que ça s'est plus joué façon cow-boy... Et quand la France se fout allègrement des 3%, elle la joue également cow-boy... Dans une copropriété, il y a longtemps qu'elle aurait été mise à l'amende. ** Pour préciser le propos : si la Grèce n'était pas entrée dans la zone euro, on en serait sans doute pas là et celle-ci aurait peut-être fait défaut depuis bien longtemps ; mais il faut néanmoins différencier la partie perte de souveraineté que tout pays a accepté en intégrant la zone euro et celle que la Grèce subit en raison de son surendettement massif.
  3. Surtout, à vouloir s'inscrire dans une prétendue ligne démocratique, pourquoi ne pas proposer de faire voter l'ensemble des citoyens de la zone euro ? Pourquoi les lecteurs de Bild n'auraient pas le droit de s'opposer à cet accord ? Pourquoi n'auraient-ils pas le droit de voter pour que la Grèce sorte du loft ? Je sens que certains regretteront vite la démocratie...
  4. Skw

    Appel d'offre brésilien

    Un peu tard pour traduire, mais article intéressant signé Pepe Rezende : http://www.defesanet.com.br/gripenbrazil/noticia/19569/Gripen-NG---Suecia-nao-confirma-reducao-de-taxas-de-juros/ En gros, c'est loin d'être gagné pour obtenir quoi que ce soit des Suédois. Saab n'est pas concerné par cette renégociation financière. 60 % du PIB suédois est tourné vers l'exportation et on voit mal, du côté du parlement, faire un précédent qui pourrait être repris par d'autres. Enfin, la société suédoise octroyant ces crédits d'exportation n'a pas tant de marge de manœuvre que cela, car ses actions étant cadrées par la BCE, l'OMC et l'OCDE... L'urgence est actuellement à la négociation d'un nouveau délai pour résoudre ces questions de financement. Sinon, côté des forces aériennes suédoises, on était apparemment contrarié par l'absence du Commandant de la FAB à un événement qu'ils avaient organisé en amont du salon du Bourget.
  5. Skw

    Cyberwarfare

    On demande à BNP-Paribas de traiter avec des pays sous embargo pour tester la surveillance américaine ?
  6. Ca répondra - un peu - à tes attentes. Cela concerne plus la fiabilité que la charge catapultable et la vitesse de catapultage. A voir si la fiabilité ne décroit pas de manière exagérée avec des charges plus lourdes http://www.navytimes.com/story/military/2015/06/16/emals-fails-in-first-public-launch/28808761/ Ils parlent d'un échec sur 240+1 tirs. Mais des mauvaises langues parlent de taux de défaillance plus élevés que cela. A voir si ces chiffres ne sont pas mentionnés pour discréditer le programme. ____________ Edit : Ah, je me disais bien que j'avais lu autre chose, il y a peu. Un rapport remis récemment par Ronald O'Rourke au Congrès US : http://www.fas.org/sgp/crs/weapons/RS20643.pdf Notamment : Apparemment, du moins il y a quelques mois, il apparaissait compliqué de lancer des F-18 avec réservoirs externes. Mais c'est probablement plus en relation avec ce qu'avait pu pointer FATac.
  7. Production record d'opium dans le monde : on retrouve les chiffres des années 30. Environ 85 % de la production mondiale proviendrait d’Afghanistan. Source : http://augengeradeaus.net/2015/06/neues-rekord-hoch-wie-in-den-1930ern-opiumproduktion-in-afghanistan/#more-20135 La source est en allemand, mais on trouve une longue citation en anglais et un graphique. Rapport duquel sont extraits la citation et le graphique (en anglais) : http://www.unodc.org/documents/wdr2015/World_Drug_Report_2015.pdf
  8. C'est acté : l'Allemagne vient de passer la commande de 18 Sea Lions pour la Marine, censés remplacer à terme les Sea Kings. L'accord entérine néanmoins la réduction du nombre NH90 terrestres commandés de 122 à 80 unités (+ possibilité de 22 supplémentaires en option). De même, dans un autre contrat, est prévue la réduction du nombre de Tigre à être livrés aux forces allemandes. Source (en allemand) : http://augengeradeaus.net/2015/06/der-sea-lion-ist-bestellt/
  9. Les pompiers représentent tout de même une sacrée force de vente. Leur démarchage des domiciles pour arnaque aux calendriers montre à quel point ils ont su s'inscrire dans une économie marchande et productive. En suivant l'esprit Fahrenheit 451, on les inviterait bien à délaisser leur activité principale qu'est l'extinction d'incendies pour se spécialiser plus exclusivement dans une activité de négociants pyromanes. Sinon, il y a un autre filon marchand avec l'enterrement de vie de jeunes de filles.
  10. Skw

    Guerre contre le Terrorisme

    Tout se perd, mon bon monsieur. Sans doute un frustré qui avait raté le début des soldes !
  11. L'espionnage économique commis par une instance étatique à l'avantage de quelques acteurs privés est-il conciliable avec le principe de libéralisme économique ? Je dis cela avec un brin d'ironie, mais je serais curieux de voir ce qui est prévu à l'OMC en la matière, sachant que cette organisation se veut pour mission la réduction des entraves au libre-échange. Parallèlement à une doctrine poussant à la suppression des barrières douanières et des réglementations nationales entravant le libre-marché, des Etats s'affirmant comme les organisateurs d'une concurrence déloyale dans ce cadre "libéralisé"...
  12. En fait, et l'extrait que tu cites en anglais le relate bien, c'est surtout que le concept de race a évolué avec le temps et qu'il a conservé différentes acceptions, bien que certaines soient moins actuelles. En français, pour marquer l'appartenance à une lignée aristocratique, on parlait bien d'une personne "de bonne race". Et l'expression n'est pas totalement morte. Chez les historiens, il y a une littérature assez foisonnante en la matière, montrant comment le mot race a progressivement changé de sens - dans son acception la plus courante à un moment donné, puisque demeurent néanmoins différentes acceptions - au gré notamment des explorations et aventures coloniales.
  13. Skw

    La Composante Air belge

    N'y a-t-il pas des candidats qui ont pour ambition première de devenir pilotes d'hélicoptères ? Même si j'imagine que ceux-là auront tendance à se rapprocher en premier lieu de la composante terre ou marine plutôt que de la composante air ?
  14. Il y a tout de même des sujets plus importants que d'autres. Si tu vas à une rencontre Olympiakos vs. Panathinaïkos, tu constateras une tout autre mobilisation. PAOK-Olympiakos en avril 2014 : on se demande bien pourquoi la ligue de football professionnel interdit les feux de bengale dans les stades français :lol:
  15. Je n'ai vu que la première saison pour l'instant. Avant que je l'entame, on m'avait expliqué que la saison avait un peu de mal à se lancer et qu'il fallait attendre un certain temps avant d'avoir de l'action. C'est vrai que si l'on cherche de l'abordage et du canonnage en continu, on peut être un peu déçu. Et Rob1 a sans doute raison lorsqu'il explique que certains choix ont été faits par manque de moyens. Néanmoins, la série devient intéressante si l'on se penche sur la gouvernance des navires pirates (le capitaine doit jouer d'une certaine habileté politique pour assurer sa place), sur la limite tenue entre la vie de corsaire et la vie de pirate, sur l'aspect économique de la piraterie (il faut pouvoir laisser espérer quelques gains à ses hommes sans quoi ceux-là pourraient bien se retourner contre le capitaine), sur les jeux géopolitiques dans lesquels s'inscrivent les ports vivant de la piraterie, etc. Rien de très nouveau pour ceux qui se seront au préalable penchés sur l'organisation de la piraterie à cette époque - ceux-là déploreront même parfois des éléments quelques peu tirés par les cheveux dans l'intrigue - mais le fait d'avoir à l'écran ce fonctionnement relativement complexe de l'activité est assez intéressant.
  16. Skw

    Questions en vrac

    D'après ce que j'ai pu lire - je n'ai jamais vu de telles pièces - il me semble que c'est plutôt un équipement de la 1° GM. Notamment, car les submersibles étaient plus souvent en zones côtières et donc en eaux peu profondes, que les moyens de détection n'étaient pas les mêmes et que les charges en profondeur n'en étaient qu'à leurs débuts. Par contre, je crois que le grappin n'était pas forcément là pour endommager directement le submersible. Il me semble que lorsque le grappin accrochait, la traction sur la corde entraînait vers la cible une charge depuis le pont du navire. Et si cet équipement existait côté allemand, il me semble que c'était plutôt chez les britanniques que l'on trouvait un tel équipement. M'enfin, il me semble que les grappins ont également été utilisés sur les premiers combats aériens ^^ Par des navires de surfaces allemands, probablement pas souvent. Davantage par les mines et l'aviation allemandes. En revanche, les surfaciers italiens ont causé un certain nombre de dégâts sur les sous-marins alliés. Mais cela correspond aussi, outre à un contexte maritime plus compliqué pour les submersibles, aux priorités militaires du moment. Les alliés avaient davantage intérêt à faire rôder leurs submersibles en Méditerranée plus qu'en Atlantique nord. Ne pas oublier qu'à partir de l'introduction de l'Afrikakorps en Afrique du nord au premier semestre de l'année 1941, les principaux enjeux militaires sont en Méditerranée. D'autant plus que le Bismarck est coulé en mai 1941. Puis fin 1942, l'opération Torch. En Atlantique nord, demeure évidemment la question cruciale de l'approvisionnement, mais l'enjeu est plus économique que militaire. Pour avoir une idée de ce par quoi ont pu être coulés les submersibles britanniques : http://www.naval-history.net/WW2aBritishLosses05SS.htm On s'aperçoit que la Méditerrannée constitue le théâtre ou les Britanniques auront perdu le plus de soums. C'est également le cas pour les surfaciers : http://www.naval-history.net/WW2aBritishLosses10tables.htm
  17. Skw

    Drone aérien

    Celle-ci, on pouvait s'y attendre. J'évoquais tout particulièrement mes craintes en la matière sur un autre sujet. C'est un aspect particulièrement sensible côté allemand et j'imagine que l'on n'est pas forcément sortis de l'auberge. General Atomics doit pouvoir régner tranquille.
  18. La plupart de ces instances supranationales supposent à un moment ou à un autre une validation des décisions par les instances nationales... ce que ne manquent pas de faire des politiciens qui déplorent ensuite de ne plus avoir les mains libres pour décider de tel ou tel aspect de la politique nationale. Mais c'est toujours agréable d'avoir un alibi quand on ne peut tenir des promesses électorales que l'on savait intenables. Le peuple est bien content quand ses "élus" décident l'endettement, faisant ainsi reposer les frais de fonctionnement étatiques du moment sur les générations suivantes. Finalement, le comportement du peuple n'est pas si différent que cela de celui des élus : se dédouaner des choix inavouables... Imaginons la scène : "tu sais, fils, je veux pouvoir profiter de ma petite vie bien confortablement jusqu'à la fin de mes jours et plutôt que de me battre aujourd'hui pour que l'on ait un fonctionnement sain, susceptible d'ailleurs de mettre à mal la paix sociale et d'avoir des conséquences sur mon train de vie, je préfère te refiler le fardeau." Le peuple, plus qu'une victime, est un collaborateur qui, pour pouvoir se regarder dans la glace, a enfoui son implication dans le domaine de l'inconscient. Il serait intéressant d'étudier de plus près le regard que portent les Grecs sur la situation actuelle. Peut-être que je me trompe, mais j'imagine que ce que doivent actuellement avoir à l'esprit les Grecs ayant au-delà de la quarantaine, ce n'est pas tant le regret de ne pouvoir revenir en arrière pour questionner ce train de vie sociétal qui - bien qu'ayant profité plus à certains qu'à d'autres - a mené au désastre collectif, mais de pointer ces élus, familles, sociétés bancaires, instances supranationales, allemands et autres maîtres, qui les ont dupés... Alors qu'ils collaboraient de manière silencieuse. Ne nous estimons pas si différents que cela des Grecs. Dans le contexte français, cela fonctionne très largement à l'identique. Inconsciemment, nous sommes bien contents de notre déficit... puisqu'il nous permet de garder un certain train de vie avec une relative paix sociale. Espérons seulement que cela tienne jusqu'à nos vieux jours... Nos enfants se débrouilleront bien de cela.
  19. Ce qui m'étonne le plus dans ce genre de discussions, c'est de voir les protagonistes défendre que c'est oui ou non d'un ton péremptoire et avec toute abolition de nuances. Je ne vois absolument pas comment un lecteur tiers et attaché à l'analyse historique plutôt qu'à une posture partisane pourrait se ranger derrière l'une des deux positions. Je ne suis pas sûr que la continuité culturelle et ethnique suffise à définir une continuité historique en matière territoriale. On peut très bien avoir une certaine unité culturelle et ethnique sans qu'il n'y ait jamais eu d'organisation sociétale et politique - je ne parle pas forcément de l'existence d'un Etat moderne, hein ! - qui ait unit réellement ces populations dans leurs destins. Les exemples sont nombreux, à commencer par le cas "gaulois" qui, pour reprendre l'expression d'amarito, constitue un beau cas de lavage de cerveau par l'histoire officielle. Ensuite, on peut même se demander jusqu'à quel point le facteur culturel et ethnique est un élément marqueur de la continuité historique au regard de certaines sociétés qui ont justement eu la particularité d'avoir intégré des composantes démographiques diverses. Doit-on considérer qu'il n'est pas de continuité historique entre les Etats-Unis des années 1850 et des années 1920, sachant que le pays a sur cette période intégré de très nombreuses populations asiatiques et européennes non WASP ? Doit-on considérer qu'il n'est pas de continuité historique entre le Brésil des années 1870 et des années 1930, sachant que le pays a sur cette période intégré de très nombreuses populations japonaises et européennes non hispaniques ? D'autant plus que ces migrations ont d'ailleurs souvent été financées dans le cas brésilien par les autorités étatiques ?
  20. Il y a déjà eu une histoire de la fiscalité réalisée sur le continent africain ? S'il y a des références solides, je suis preneur.
  21. Sur le fond, je suis largement d'accord avec toi. Il est probable que Ségolène Royal se soit élevée contre cette huile de palme sans réelle réflexion intégrée d'un point de vue environnemental. En revanche, il y a d'autres aspects qui ne plaident pas en faveur de l'huile de palme. Notamment, les palmiers à huile ont des impacts marqués sur la chimie atmosphérique. En passant, la pollution à l'ozone - les palmiers à huile rejetant des composés qui eux même participent à la production d'ozone troposphérique - affecte la productivité de nombreuses céréales et autres productions alimentaires. De nombreux travaux ont déjà été publiés en la matière. En revanche, il y a d'autres couverts agricoles, moins rentables a priori en termes de productivité, qui affecteront moins la qualité de l'air... et s'avèreront même pour certains plus "intéressants" d'un point de vue qualité de l'air, voire éventuellement en termes de climatique régionale, que les couverts forestiers pluviaux climaciques. Quelques sources (j'imagine que les articles ne sont pas disponibles sans accès à des catalogues, mais vous trouverez au moins les résumés) : http://www.pnas.org/content/106/44/18447.short http://rstb.royalsocietypublishing.org/content/366/1582/3196.abstract
  22. Pour certaines contrées, on pourrait également proposer des cercles excentriques... O0 Le problème, au-delà des divergences qu'il pouvait y avoir en matière de projet, c'est que certains n'étaient même pas pour un vrai projet de fond. Etant donné cela, il y avait peu d'espoir de voir émerger une UE cohérente sur le long terme. Au final, on a une UE qui se conçoit non pas comme un espace de projet, mais comme un écosystème de gouvernance territoriale.
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