-
Compteur de contenus
12 691 -
Inscription
-
Dernière visite
-
Jours gagnés
35
Tout ce qui a été posté par Serge
-
Voici un Gemsbok: http://t0.gstatic.com/images?q=tbn:rvh78qUjO51KtM::www.fyjs.cn/bbs/read.php?tid%3D150855&t=1&usg=AFrqEzdKVyeTYgCgJuJGOFC7AonxJh4JGw
-
C'est un "Withing" (Cheval blanc) sud-africain faisant partie de l'environnement du G-5.
-
On peut toujours trouver une solution. Maintenant, il y a la position du pilote. Est-elle compatible avec une position de conduite intermédiaire? Réhausser les épiscopes: quel est le nouveau risque de destruction? Quel interférence avec le canon en site négatif? N'ajoutes-tu pas un type d'épiscope supplémentaire à avoir en rechange dans le blindé? PS: j'avais pas remarqué mais le volet chef sur la photo de 2007 n'a rien à voir avec les modèles actuels.
-
Attention, le volet du VBCI poursuit un objectif: la protection. Le volet est lisse car il ne porte pas d'épiscope et est parfaitement plat. Il ne faut pas oublier qu'un volet est un "trou balistique" car est une pièce mobile. Ceci rappelé: Quand il est frappé par un obus, il y a trois cas: - l'obus perce, - l'obus ne perce pas, - l'obus ricoche. Cas numéro 1, rien à faire. C'est la vie. Pour les autres, ils sont statistiquement supérieur à blindage égale pour le VBCI. En effet: - le volet lisse, il est impossible pour l'obus de frapper une excroissance de celui-ci, y prendre appui et provoquer un début d'arrachage. Si un obus frappe un épiscope, il le décapite mais rien de plus car l'encrage est fait dans la coque et non sur une pièce mobile. - le volet plat et non concave comme sur un Bradley. Ainsi, le VBCI présente une surface à forte incidente sur la totalité du volet. Un volet concave, à iso-blindage, a plus de chance de présenter une surface avec peu d'incidence donc facilite la pénétration. Je ne parle pas d'arrachage car il faut une telle force que la pénétration arrivera ici en premier.
-
Pour le VBCI, un tel volet, même à mis hauteur, bloque les vues du chefs. Or, un chef qui voit mal, ne peut pas comprendre donc décider. Enfin, pour la technique, ce n'est pas simple car l'axe d'ouverture du volet pilote est à ses 09h00.
-
Question courte, réponse longue. Au début de tout, il y a le client. Ce dernier revêt deux formes qui, même si c'est bizard, n'ont rien à voir. - Le client institutionnel: c'est l'armée qui achette, l'administration. Elle vise un objectif par la rédaction d'une expression de besoin qui est avant tout une liste de capacités à effet doctrinale. Donc, parfois, on ne va pas dans certains détails. Ceux qui rédigent le besoin ne sont pas non plus toujours des pointures. Et il peut y avoir des interférences budgétaires qui vont au-delà du contrôle des coûts. - Le client opérationnel: c'est celui qui combat avec. Et là aussi, il y a deux cas. Ceux qui ne connaissent que leur materiel donc la fiche technique; et c'est déjà bien. Et puis ceux qui connaissent et comprennent le combat de leur niveau. Cette dernière catégorie est, en fait, minoritaire. Donc, à ce moment, tu peux comprendre qu'il y ait un écart entre le "voulu" et le "souhaitable". Après le client, il y a l'industriel qui propose un concept. Quand les ingénieurs Nexter ont dessiné le volet pilote, à quoi ont-ils pensé? - que veut le client? - pour combien? €€€€€ - quel est l'effet sur la protection de tel ou tel choix? Ont-ils imaginé des situations hybrides à ce moment du développement? Peut-être pensent-ils que la conduite n'est que sous blindage car c'est un véhicule de combat. Quelle est leur expérience opérationnelle? Sur le théâtre, un fois que l'on a le matériel, il y a plusieurs choses (et positions surtout) à considérer: - le général qui fait du "Hart and mind": on n'écrase rien. C'est volet ouvert et on ferme quand ça tire. - le général qui veut garder la vie de ses hommes: c'est volet fermé dès la sortie de FOB. - le chef de section/groupe qui veut voir l'axe de progression: "Fait ch..r ce Serge, il est très bien ce volet. Avec les Stryker, on voit plus rien quand le pilote ouvre". - le même chef qui veut rien écraser: volet ouvert. - le chef qui veut survivre: c'est volet fermé et on reste calme. - le pilote qui veut pas se faire punir: c'est volet ouvert. - le pilote qui comprend son importance pour la survie du groupe: c'est bolet fermé. - le pilote qui ne dort plus car il a la tête toujours sortie et il voudrait la rentrer: c'est volet ouvert mais il voudrait le fermer car il craque psychologiquement. J'espère que ça répond à ton interrogation. Pour transformer un volet, on peut en construire des spéciaux maix c'est compliqué à mettre en place. Ce qui compte, c'est voir l'usage sans oublier que dans ce domaine il y a toujours des ordres. Je suis étonné de voir des pilotes de VAB, blindé à l'arrêt, le buste sortie à observer avec des jumelles. Quand on a la chance d'avoir un pare-brise comme celui du VAB, il est hors de question d'autoriser le pilote à s'exposer. Le pilote est l'homme le plus important d'un blindé. Non. Il n'y a pas de risque d'incidence à l'exportation. D'autres blindés comme les Piranha-IV et V ont le même problème. Pour l'exportation, il y a 3 arguments: - la protection, - le coût, - la disponibilité. Tous les autres paramètres ne valent rien car le pays client peut les faire varier. C'est 3 là sont vraiment le socle.
-
Il ne l'est plus depuis quelques temps déjà.
-
Bah!!! C'était de l'humour. Depuis le temp qu'on l'annonce.
-
Moyen d'Observation Panoramique. C'est l'optique thermique en forme de tête de E.T. sur le toit de tourelle.
-
Ça doit être ça, un Pandur-I.
-
Bon, ok. Je modifie mon poste pour le Maxxpro-XL. La partie Dash est bonne. Ça y est. Après quelques recherches, je viens de comprendre: Photo Navistar Celui de droite est un Maxxpro-plus.
-
Il faudra voir à l'usage car c'est un vrai problème. S'il y a bien un homme d'equipage à protéger, c'est le pilote. En Bosnie, un pilote Warrior a été tué dans ces conditions et dans ce cas que fait-on? (Le film Warrior en parle) Quand ça commence à tirer, la seul réaction c'est de sortir de la zone de destruction ennemie. Hors, là, le pilote est trop exposé. C'est pour cette raison que je n'aime pas le volet VBCI. Je préfère des solutions comme celles des Warrior et Bradley. Ils ont une position entre-ouverte qui réduit les risques (même si seul la position verouillée protège). La réponse est biensur que: "ouvert un tel volet rend aveugle le chef de bord". Or, la réponse à la réponse est que: "un chef de char doit être en tourelle, pas en châssis". Les solutions de pare-brise, comme pour le VAB, sont très bonnes. Espérons que si une évolution du XP-2 devient le VBMR, ce problème soit résolu.
-
Petit point sur le Maxxpro: Photo Navistar Version Maxxpro Dash. On voit ici le compartiment bien plus compact que la version initiale du Maxxpro.
-
Revue DSI
Serge a répondu à un(e) sujet de kedith dans Livres, magazines, multimédia, liens et documentation
Entre deux séances de bronzage, je suis sur la lecture du DSI de juillet. Je tiens à souligner l'article sur "Le déclassement des élites militaires en France" par le CES DELARBRE. Mérite grandement d'être lu. -
Voici un texte qui récapitule l'ensemble des missions menées par la reco blindée britanique: Voici l'adresse du blog de Sven Ortmann: http://defense-and-freedom.blogspot.com/
-
Un petit point de situation sur l'affaire SCAR par Soldier-Systems:
-
Pour le train de roulement, la recherche des coûts les plus bas impose des solutions civiles. Donc en effet, on est bloqué. Un point pour réduire la hauteur de l'habitacle (vue que le reste est incompressible) consiste à travailler sur la position assise. Avec les sièges Safepro de Nexter, les fessiers sont très hauts alors que les sièges du SPz Puma sont plus bas. Au regard des objectifs du VBMR, ce genre d'espace cargo ne sera pas privilégié. Certains éléments comme la filtration NRBC et les batteries doivent être séparés de l'habitacle. De plus un "kit guerre" sera mis en place avec sur-blindages de tous types.
-
C'est vrai. Disposer de 25cm de plus est toujours mieux pour le volume interne. De son côté, le VAB Mk-2 démontre que l'on a un blindé "2+10" avec un volume interne acceptable; surtout dans une configuration TOP-MINED (Trés dans l'esprit VBMR). On peut citer également le l'IMV Bushmaster.
-
Je lui trouve une bouille d'Urutu-III. http://t0.gstatic.com/images?q=tbn:DRSmv7wtUnlE_M::forum.hardmob.com.br/showthread.php?t%3D385517&t=1&usg=AFrqEzdd3QbbtWwXDDdj6dJLFpt4c8VBxA
-
Dans le même genre, il y avait: le TAR-21 dans Resident-Evil II et Screamer-2 le XM-8 dans XXX-2, le HK-416 dans Terminator-Renaissance. A quand l'ACR? (Il y a un projet de manuel militaire français avec, à suivre..)
-
Ma remarque est simplement un "au cas où". L'état de l'économie espagnole fait qu'il risque d'y avoir des coupes claires dans leur budget de la défense. Alors, comme dit le proverbe: "un tien vaut mieux que deux tu l'auras". Ils ont une force lourde sur Pizzaro/Leopard-2A6. Est-il si important d'avoir des VCI de 24t à roue? Je n'en suis pas convaincu. En dessous de ce VCI, que vont-ils avoir? Si la réponse est "rien", alors il est dans leur intérêt au long terme de baisser d'une catégorie leur revendication. Ils se sont lancés dans un programme qui n'est pas seulement le renouvellement du BMR-600 mais aussi une hausse capacitaire. Sur le papier, c'est bien. Mais pour le budget, cela signifie une force que l'on ne peut entretenir. Le cas français est similaire. Sans prendre en compte les effets de la RGPP-2, deux régiments doivent passer du VAB au VBCI. C'est une victoire à la Pyhrus pour l'infanterie francaise. On se gausse d'une montée en puissance mais cet argent dépensé n'ira pas ailleur. Alors qu'on a un besoin en fusils d'assaut et mitrailleuses, on a une hausse capacitaire de 33% de l'infanterie lourde. Un VBMR comme le XP-2, ça permet de faire déjà beaucoup de choses pour un prix moindre. Pendant ce temp, le VBCI est dépanné par des AMX-30D.
-
T puis, j'y pense. Pour l'armée espagnole, plutôt que de passer du BMR-600 à la categorie du VBCI, pourquoi ne pas se concentrer sur un truc comme le XP-2? Vu que Nexter a un lien industriel avec l'Espagne, ils pourraient une proposition pertinente prenant en compte la crise.