Scarabé

Fabriqué aux USA il me semble et vu que le plan de relance n'est pas fait pour engraisser les US. Quand au Pilatus PC6 ils vont être modernisé en attendant leur remplacement http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/archive/2020/11/04/adaptation-a-l-emploi-en-opex-du-pc-6-21589.html

Lors de l'entretien du CMM à Mer et Marine il a parlé d'une FREMM antinavire © Mer et Marine https://www.meretmarine.com/fr/content/amiral-pierre-vandier-nous-devons-accelerer-pour-rattraper-nos-retards-capacitaires Ces bâtiments ont été imaginés au début des années 2000, c’est-à-dire que le concept qui a présidé à leur conception a déjà plus de 15 ans. A l’époque, on voyait deux grandes missions : la lutte anti-sous-marine et l’action vers la terre. Aujourd’hui, nous devons également faire face aux menaces aériennes et un angle qui revient souvent est celui de la FREMM antinavire, dans le cadre de scénarios d’intervention impliquant du combat naval entre bâtiments. Je ne suis pas dans la tête du CMM mais FREMM antinavire veut dire quoi. Une nouvelle commande de 2 FREMM anti navire pour en coller une au GAN ? Si on essaye de revisiter une FREMM anti surface ça pourrait donner quoi? En artillerie 1X 127 à l'avant + 1 X 76 sur plateforme hélico et 2 X 40 mm + 2 x 20 mm . Pour les missiles anti navire Des longues portés en sylver à la place des MDCN ( à acheter sur étagere ) Afin d'éviter le developpement qui durer trop longtemps . Des Exocets des ANL des MMP Naval sur chaque bord Une rampe de lancement de mini drone furtif à usage unique pour designer les cibles au déla de l'horizon. Une suite radar longue porté. Et bien sur les Aster 15 en A50 en auto defense Un truc à sortir vite et qui donne de la charge à Lorient A voir qu'elle possibilitée sur base FREMM nous avons voir faire un navire plus gros facon croiseur italien

Aprés une commande de 4 TBM 940 pour la DGA essais en vol L' Armée de terre dans le cadre de la revision de la LPM pourrait rapidement commander 15 TBM 940 pour ALAT Afin de remplir ses missions de transports d'autorités, de convoyage, de logistique, d’évacuation sanitaire. Voire de relais de transmission et de poste de commandement. La Direction générale de l’armement renouvelle ses avions de soutien aux essais en vol Fin 2020, la Direction générale de l’armement (DGA) a commandé à la société DAHER Aerospace quatre avions de type TBM940, qui seront opérés par le centre d’expertise et d’essais DGA Essais en vol. Ils seront livrés à partir de l’été 2021. Ces aéronefs remplaceront progressivement 3 TBM700 mis en service il y a près de 30 ans. Ils renouvelleront et renforceront les moyens aériens de la DGA, lui permettant de maintenir un haut niveau d’expertise dans les domaines de l’instruction des pilotes et ingénieurs d’essais et le soutien au profit des programmes aéronautiques militaires et civils. Le marché, d’un montant de 21,8 millions d’euros, comprend des prestations complémentaires relatives à l’instrumentation d’essais des aéronefs, des sessions de formation et du maintien en condition opérationnelle. Il permettra de préserver une trentaine d’emplois directs dans l’industrie aéronautique. Les TBM700 actuellement en service servent quotidiennement au soutien des essais en vol, de l’accompagnement de sécurité, au plastron en passant par le soutien à la mise en place d’essais et de réceptions hors des sites de DGA Essais en vol. Les TBM940 commandés seront modifiés par DAHER Aerospace afin d’y intégrer de nouvelles capacités d’essais, ainsi que d’instruction dans le cadre des formations dispensées par l’EPNER ; ces nouvelles capacités s’ajouteront aux missions actuelles des TBM700. A cet effet, les voilures des TBM940 seront modifiées afin de permettre l’emport d’une grande variété de charges utiles, jusqu’à 75 kg sous chaque aile. La cabine pourra accueillir des installations d’essais ainsi qu’une console opérateur permettant de recevoir et de fédérer les données recueillies par les différents systèmes installés. Une génération électrique renforcée permettra d'intégrer tous les équipements de mission sans limitation de puissance. Le passage à une flotte de quatre aéronefs permettra à DGA Essais en vol d’assurer pleinement ses missions, que ce soit pour mener des essais ou bien pour l’instruction du personnel d’essais et de réduire l’emprunt d’aéronefs auprès des armées et l’impact opérationnel associé. Dernier né de la gamme d’avions conçus et produits par la société DAHER Aerospace, le TBM940 est un avion six places, à cabine pressurisée et entièrement configurable. Il peut atteindre une vitesse de croisière maximale de 611 km/h et une distance franchissable maximale de 3 204 kilomètres. Il bénéficie de l’ensemble des systèmes d’aide au pilotage dont la protection antigivrage automatique et un niveau d’automatisation poussé. Le TBM940 est le seul turbopropulseur équipé à l’heure actuelle d’un système d’atterrissage automatique d’urgence certifié. https://www.defense.gouv.fr/dga/actualite/la-direction-generale-de-l-armement-renouvelle-ses-avions-de-soutien-aux-essais-en-vol Ce plan d'achat du MINAR vise à soutenir la société DAHER d'autre commande pour l'armée de l'air devrait suivre afin d'uniformiser le parc mono turbopropulseur. https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/crise-du-coronavirus-daher-s-apprete-supprimer-3000-postes-secteur-aeronautique-1816054.html

Pas sur surtout que la projection VBCI et leur soutien en opex et en limite de nos capacitées. Si on part sur base jaguar on remplace la tourelle CTA 40/ MMP par une tourelle automatique 105 voir 120 . Ca serait possible avec le meme moteur au niveau puissance pour remplacer les roues par des chenilles ? voir des chenilles souple ? ou alors 4 roues et une chenille au centre?

Vu ca sur Magazine Raid sur l'ARQQUS Day avec la présentation de la gamme

Ce camion à le même moteur le même chassis et la même taille de roues que le Jaguar c'est pour ça qu'Arqus le propose à l'armée de terre dans le cadre des remplacement des GBC

3 avec l' interview du CMM qui mais une bonne couche aux industriels et aux politiques avec des délais bien trop long Avec quelques passages bien salés Sur les FREMM Il y a en effet une problématique de temps capacitaire et de réalité dans le déroulement des programmes. A l’origine du programme FREMM, nous devions avoir 18 de ces frégates en service en 2012, nous n’en aurons finalement que 8 en 2023. Ces bâtiments ont été imaginés au début des années 2000, c’est-à-dire que le concept qui a présidé à leur conception a déjà plus de 15 ans Sur les FDI Ces nouvelles frégates auront un déplacement inférieur à celui des FREMM, un choix qui a été dicté par des considérations liées au marché export Sur les SNA D’abord, le sentiment profond qu’il y a nécessité d’accélérer sur certains domaines où nous avons pris du retard, mais ce retard est encore rattrapable si nous ne tardons pas. Pour faire simple, on récolte ce que l’on a semé. Pour des questions budgétaires les nouvelles capacités ont été échelonnées dans le temps et nous prenons aujourd’hui livraison des matériels d’il y a 10 ans. C’est-à-dire que nous mettons en service la génération d’avant. Il y a beaucoup d’exemples et je vais en citer un qui me semble très éclairant. Cette année, nous allons mettre en service le Suffren, premier des six nouveaux sous-marins nucléaires d’attaque du programme Barracuda, qui sera notre premier sous-marin équipé de MdCN. Or, on constate que l’Algérie dispose de sous-marins du type Kilo équipés de missiles de croisière Kalibr depuis 2016, soit cinq ans avant nous.

Pour voir l'évolution depuis le virage pris aprés Uzbin 126e Régiment d'Infanterie INTERVIEW • Dans le cadre des commémorations des 10 ans du Battle Group Bison, des fantassins du régiment ont adressé quelques questions à leurs homologues de l'époque. Il y a dix ans, le capitaine Thomas était sergent et commandait un groupe Eryx. Il est aujourd'hui officier adjoint à la compagnie d'appui. Il est interviewé par le sergent Anthony qui est chef de groupe dans la même compagnie. • Est-ce votre mission la plus marquante ? Quel souvenir gardez-vous ? Oui, c’était de loin ma mission la plus marquante pour plusieurs raisons. D’abord parce que c’est ma première. Quand on est jeune sergent, forcément un départ comme celui-ci ça marque. Ensuite comme souvenirs forts il y en a beaucoup, alors lequel choisir ? Je dirais le jour du départ. Le jour du départ ça fait bizarre car on ne sait pas comment dire aurevoir à nos familles. Nous sommes très contents de retrouver nos amis et finalement nous nous rendons compte que tout le monde fait un sourire de faux semblant parce que tout le monde a peur de partir. Je me rappelle, juste avant de monter dans l’avion nous étions déjà au foyer en attendant de partir et nous essayions de se raconter des blagues pour enlever le stress. Et puis en sortant de l’avion, on est arrivés à Bagrâm et là nous nous sommes rendus compte que nous avions basculé dans un autre monde en voyant tous les hélicoptères de combat alignés les uns à côté des autres, de passer au milieu et réaliser que quelques heures avant nous sommes partis de Roissy Charles de Gaulle. C’était notre première mission, et nous arrivions à Bagrâm, la grosse base américaine entourée de F-16 qui décollent, de Black Hawk alignés. On se dit qu’on a basculé dans un autre monde. • Comment vous êtes-vous préparé à cette mission, techniquement, tactiquement, votre groupe ? Je venais d’avoir le groupe parce que je venais de passer chef de groupe Eryx. C’était un tout jeune groupe. Les soldats à l’intérieur n’étaient pas jeunes mais nous n’avions encore jamais travaillé ensemble. Techniquement, nous nous sommes préparés au pire, forcément. Nous avons commencé en octobre 2009, avec le premier terrain à Barèges pour partir en juillet 2010, donc la préparation a vraiment duré très longtemps. Techniquement, le but était que tout le monde sache tous les postes de chacun, que tout le monde sache tout faire. Même le jeune première classe devait savoir faire une demande de tir mortier parce qu’on ne sait jamais, les équipes pouvaient être dispatchées et cela aurait été à lui de s'en charger. Tactiquement, le but est que tout le monde connaisse au minimum le niveau du dessus donc le GV (Grenadier Voltigeur) devait connaître le niveau chef d’équipe par cœur, le chef d’équipe le niveau chef de groupe par cœur et ainsi de suite, et moi, le niveau chef de section au minimum, parce qu’il suffisait qu’il arrive quelque chose au chef de section qui était avec moi et il fallait bien que je reprenne sa fonction. Enfin, sportivement et physiquement parlant nous avons fait les choses de façon progressive afin de garder les effectifs et de ne pas blesser les soldats. En effet, le but était de partir avec tout le monde et la sélection avait déjà était faite en amont. Il n’y avait plus besoin de faire le tri, de savoir si un soldat était bon ou pas ; il était bon, maintenant il fallait juste monter en gamme. C’était donc très pédagogique et progressif afin d’arriver sur le théâtre avec la forme physique, la technique et la tactique, être les meilleurs en quelque sorte. Je pense que cette préparation a vraiment été vécue comme un marathon et non comme un sprint. Avec le sprint, le risque était de blesser tout le monde alors que le marathon permettait d’amener tout le monde au rendez-vous, ce qui fût le cas. • Quel souvenir avez-vous du théâtre ? Climat, relief, population ? Tout d’abord au niveau du climat, quand nous sommes arrivés il faisait extrêmement chaud. Nous sommes arrivés au mois de juillet et sommes repartis au mois de décembre quand il faisait froid. Nous avons donc vécu les deux climats. A ce propos, je me rappelle des dernières surveillances que nous avons faites au poste de garde ou dans les miradors, la neige était visible sur la montagne qui était située en face de nous, alors que nous avions connu les cinquante et quelques degrés quelques mois auparavant. Ensuite, au niveau du relief, c’était extrêmement vallonné donc extrêmement physique car nous étions chargés avec des musettes lourdes et nous faisions beaucoup de choses à pied. Enfin, en ce qui concerne la population, je n’ai pas eu l’impression d’avoir eu de problèmes avec la population. Nous allions chez des habitants, ils étaient là, ils n’avaient rien demandé et parfois nous nous retrouvions chez eux, sur leurs toits. Bien sûr il fallait toujours se méfier, mais moi je n’ai pas ce souvenir qu’il y ait eu des problèmes avec la population. • Comment étaient les conditions de vie par rapport aux théâtres OPEX actuels ? Pour être franc je ne sais pas parce que je n’ai pas de comparaison à faire. • Vous étiez bien logés, bien nourris ? Effectivement là-bas nous étions bien logés, en tentes climatisées. Nous avions dû tout aménager à l’intérieur car c’était en bois avec de la laine de verre. Mais une fois l’habitacle aménagé, nous avions tous notre petit box avec notre petit dressing pour mettre nos affaires. Nous dormions sur des lits picots, mais dessus il y avait un matelas. On peut toujours dire qu’il y a mieux mais au niveau nourriture nous n’avions pas à nous plaindre car nous n’étions pas soumis à un gros ordinaire, et donc pas d’horaires. Quand nous rentrions de mission à minuit ou une heure du matin, l’ordinaire était actif et ouvrait pour nous. Il n’y avait pas de rations de combat ou quoi que ce soit, nous mangions très bien et je n’ai pas le souvenir d’avoir perdu beaucoup de poids là-bas. En termes de comparaison je ne sais pas exactement car en effet maintenant il y a des grosses bases où l’on pourrait croire que les conditions de vie sont meilleures mais finalement je ne suis pas convaincu que ce soit meilleur maintenant, enfin c’est mon avis. • Comment le matériel a-t-il évolué depuis cette mission ? Je dirais que le matériel que l’on a maintenant est de plus en plus lourd alors que l’on pensait pourtant être arrivé au bout. En effet, nous étions déjà lourdement chargés pour partir en mission et le matériel a continué de s’alourdir. Il est vrai qu’aujourd’hui, nous avons du matériel beaucoup plus technologique. A titre d’exemple, nous avons de l’infrarouge, les lunettes thermiques sont de meilleure qualité, mais pour autant, nous avons pris encore plus de poids. Pourtant, un gros virage avait déjà été fait puisque nous sommes partis en 2010 et ce virage avait été amorcé suite à Uzbin. Nous avions déjà les "cirasses" et les anciennes "frag". Nous avions également reçu les nouvelles "OB70" (jumelles de vision nocturne) haute performance qui étaient meilleures. Nous avions déjà tout ce qui était "Sofi lr" (caméra thermique portable) ainsi que les premières « Jimlr » (jumelle infrarouge multifonctions) donc nous n’étions pas à plaindre. Au niveau des transmissions, nous n’avions pas les problèmes que l’on retrouve maintenant avec les « PR4G » (Poste Radio de 4e génération). En effet, ils fonctionnaient très bien, nous n’avions pas de problème de liaison radio. D’ailleurs, je n’ai jamais eu de problème de liaison radio là-bas. Aujourd’hui il est vrai que le PR4G a pris 10 ans, donc forcément nous avons plus de problèmes maintenant. Mais je pense que le gros écart qui s’est formé est le poids que nous avons pris en supplément. Illustration : photo du sergent Thomas en Afghanistan, pendant le mandat Pamir XXIII.

Le 2000e véhicule VT4 désormais livré par Arquus, le programme VLTP NP* est pratiquement arrivé à mi-parcours de la cible fixée par la loi de programmation militaire. Un jalon atteint en l’espace de deux ans et une belle performance pour l’industriel, qui est parvenu à fournir les 1001 exemplaires de 2020 malgré les contraintes générées par la crise sanitaire. https://www.forcesoperations.com/les-livraisons-de-vt4-pratiquement-a-mi-parcours/

C'est peut être les "US Coast Guard" qui vont reprendre cette missions ?

Tu as oublié les putes et l'alcool que les Garimperos consomment à longeur de journée ils fond même des discoteques aux milieux des carbets.

Ils semble que ce soit un truc comme le MMP ou MBDA a été retenu en proposant à la Direction générale de l’armement (DGA) son concept MHT/MLP (Missile Haut de Trame / Missile Longue Portée), basé sur les technologies du MMP. La même chose sur base Mistral pour AA semble être une solution. Voir un MHT en version AA

De tête comme ça je ne sais pas. Je sais la fonction du crochet mais je t'avoue que je ne ne me suis jamais préocupé de sa capacité maximum de resitance à la traction. Par contre j'ai déjà vue des mouilles culs se faire remorquer par des PHM dans le cadre de AEM

ils vont booster le Mistral 3 en fonction du nouveau systeme de détection pour en faire un Mistral 4 sur porteur à definir. Mais le Serval semble partir avec une longeur d'avance . Faudra voir mais le truc doit aller vite validation radar et Missle avant 2025 pour une entrer dans les force entre 2025 et 2030 ( seconde phase Scorpion)

2021 concerne une nouvelle version du système Martha (maillage des radars tactiques pour la lutte contre les hélicoptères et les aéronefs à voilure fixe) https://www.defense.gouv.fr/dga/actualite/la-dga-poursuit-la-modernisation-du-systeme-sccoa

Le Commandant Blaison apres un an ATM Sa brille le pont, pour la cerémonie de prise de commandement sous la grisaille Brestoise https://www.defense.gouv.fr/marine/actu-marine/un-nouveau-commandant-pour-le-patrouilleur-de-haute-mer-commandant-blaison

C'est simple les chinois on leur tir dessus Les gardes cotes chinois font comme ça dans leur ZEE . C'est que du bonheur pour eux. Les Légionnaires sont prés à se battre entre eux pour réalisez de telles missions.

J'avais vu sur une video de presentation que le truc envoyé de la peinture au sol ? La marque bleu peut être ? Ensuite pour baliser une mine non explosée un jet rouge avec les trucs sur les coté et ensuite le Bufalo venait la grater avec son bras . Par contre au Sahel avec la poussière de sable le marquage doit vite disparaitre.

Pour éviter toutes mauvaises surprises le "28 groupe Géographique" forme des équipiers de Géographe d'ouverture itinairaire pour les RT Ils ont appelé ça EMG "Equipe Mobile Géographe" ces équipes de 6 hommes (en 2 equipes de 3) sont afféctées dans les régiments du Trains et se déplace en VT4 leur travail est de verifier L"Aptitude des Routes à la Circulation Militaire" (ARCM) afin d' alimenter la base de donnée armée de terre. Ici prise de hauteur à la "Perche de Mesure Télescopique" Ici un petit coup de laser pour la largeur Une land d'une EMG

Non toutes les histoires de ventes de FLF d'occasions sont des fake news.

Fusil à pompe valtro que l'on retrouve sur tout les navires et les unités de la marine En couple un fusil à pompe et un Famas chez les fusiliers Mais il va etre remplacer Dans une coursive de navire lieu clos ou confiné, l' utilisation d' une arme type fusil d' assaut ( FAMAS ) est dangereux, les balles peuvent ricocher et blesser ou tuer le tireur. Avec le fusil à pompe ils utilisent La gomme cogne ( balle en caoutchouc ) non létale au delà de cinq mètres. - le plomb ( chevrotine ) qui arrose. - La Bregneck ( balle à sanglier ) qui à cinq mètres arrache un capot de voiture et stop net le conducteur. La crosse est pliable, et souvent ils rajoutent une lampe. Voila moi pas fusilier mais Marin

Les FAA a également mobilisé l’office antistupéfiants [OFAST], la direction nationale du renseignement et des enquêtes douanières [DNRED], les garde-côtes des douanes et la juridiction interrégionale spécialisée [JIRS], a souligné la Marine nationale, qui n’a voulu oublier personne.

A l'arivée à Fort de France avec plus de 4 tonnes à bord toutes les armes de service de la base naval ont été sortie de l'armurerie Les fusilers les marins tout le monde a son arme en dotation. En attendant que la Police et les Gabelous viennent signer le bon de sortie. Les marins sont la. Coté mer sur les 2 bateaux à quai les mecs sont devant les 12.7 mm. On attend les colombiens .

Le champlain les ravitailles 2 fois par an et Astrobal une fois https://www.meretmarine.com/fr/content/le-b2m-champlain-acheve-le-ravitaillement-des-iles-eparses https://www.defense.gouv.fr/marine/actu-marine/le-champlain-ravitaille-les-iles-eparses

Comme d'hab Autre chose les cabines équipage font l'objet d'une réamélioration de l’isolement phonique avec un nouveau sol, des fixations de grooms de portes et des fermetures silencieuces. (Retex du Surcouf ou le bruit des marins dans leur cabines et les portes qui claquaient envoyés des intérferences de bruit dans le sonar)