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Tout ce qui a été posté par legionnaire

  1. Mauritanie contre Aqmi:deplacement du front terroriste sur Taoudeni www.cridem.org 26-05-201109:17 Le front anti-Aqmi s’est-il déplacé à Taoudenni? L’armée mauritanienne a confirmé mercredi 24 mai avoir tué (le 12 mai) un membre présumé d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) et capturé un second, précisant avoir réagi à une attaque près de la frontière avec le Mali. «Une unité de nos forces armées a réussi (...) à localiser et viser un véhicule tout-terrain type Land Cruiser avec deux suspects à bord à 200 Kms au nord de Lemgheity, dans le nord-est de la Mauritanie, a indiqué l’armée dans un communiqué. Le combattant d’Aqmi tué se nomme «Hassane» et a participé à l’attaque de Lemgheity en juin 2005. Mais on ne sait, il s’agit de quel des «Hassane»: «El Pulary» ou «Jouliebib», deja cités comme ayant participé à l’attaque mentionnée. Le 20 mai, une source militaire a annoncé à l’AFP la mort des suites de blessures d’un membre présumé d’Aqmi et la capture d’un autre, après une attaque ultérieure parceque survenue dans «la nuit du 18 au 19 mai». Une agence d’informations en ligne (Ani) a annoncé de son coté qu’un avion militaire mauritanien a détruit le 24 mai, deux véhicules appartenant à Aqmi dans la zone de «Cheggatt» à 200 Kms au nord de Lemgheity, précisant qu’un troisième véhicule a pu s’échapper au raid aérien. Ces informations poussent à croire déplacement du front anti-Aqmi de la zone de Tombouctou (Sud Est) vers celle de Taoudeni (Nord-Est). Aqmi a intensifié ces dernières années ses actions contre la Mauritanie. L’organisation visée par des raids de l’armée mauritanienne dans la région malienne de Tombouctou (juillet et septembre 2010) est passée en aout 2010 et février 2011 à l’utilisation de véhicules piégés contre des cibles mauritaniennes. Par le passé Aqmi avait mené des attaques contre les casernes, les patrouilles, et exécuté des braquages, des meurtres et enlèvements. ------------------------------- Voici le texte du communiqué rendu public le 24 mai par l’Etat major national " L’une de nos patrouilles a pu intercepter, jeudi 12 mai à 5h 45 mn du matin, une voiture Toyata Land Cruser, ayant à son bord deux suspects, à 200 km au nord de Lemgheiti, près de " Lemzereb". Les deux suspects ont ouvert le feu sur les élements de la patrouille qui a riposté sur le coup, entraînant ainsi la panne de la voiture et la blessure de l’un des élements qui est décédé par la suite. Il s’est avéré, après, que la personne décédée est l’un des élements qui ont participé à l’attaque qui a visé la garnison de Lemgheiti en juin 2005. Il s’agit d’un nommé Hassane. Il a été enterré sur place alors que l’autre élement a été arrêté et sera remis aux autorités compétentes pour enquête. Une mitrailleuse, 4 caisses de munitions et des bidons pleins de gasoil ont été aussi saisis à bord de la voiture. Il est à noter que cet accrochage n’a entraîné aucune perte matérielle ou humaine dans les rangs des élements de la patrouille qui a exécuté l’opération"
  2. Mauritanie,lutte contre terrorisme:les militaires mauritaniens abattent un membre d'Aqmi et capturent un autre Les forces mauritaniennes ont neutralisé mardi,devant la base militaire de Ghallawiya,nord-est, une énième tentative armée d'intrusion terroriste,provenant du côté malien de la frontière,après qu'une 4x4 venant du côté malien et conduite par deux jihadistes ait essayé de forcer l'entrée de la base,ouvrant le feu sur les gardes et blessant l'un d'entre-eux.L'armée a immédiatement riposté,bilan:un terroriste éliminé et un autre capturé et actuellement interrogé.Le terroriste éliminé est originaire du nord du Mali et avait participé au massacre,en 2005,par un commando d'Aqmi,de 15 militaires mauritaniens,dans la base de Lemgheity,dans le nord du pays,où l'armée multiplie les patrouilles,ainsi que dans les autres régions,où les recherches des véhicules jihadistes signalisés il y a une semaine continuent
  3. D'accord avec collectionneur,il faut contrôler tout le monde,sans exception,sans aucune exception
  4. Mauritanie:biométrie contre terrorisme www.cridem.org 12-05-201109:02 Une CIN biométrique pour contrôler les infiltrations d’AQMI Par crainte de recrudescence de l’insécurité suite aux menaces du réseau terroriste Al Qaïda de venger la mort de Ben Laden, les autorités mauritaniennes font preuve d’imagination pour se prémunir contre d’éventuelles attaques sur leur territoire. Une des mesures préventives prises récemment par le président Mohamed Ould Abdel Aziz est l’institution d’un système d’identité biométrique sécurisé. Par cette mesure, les services sécuritaires espèrent mieux contrôler les flux au niveau des postes frontières et à l’intérieur du Pays. Nouakchott craint en effet d’éventuelles infiltrations à l’aide de fausses pièces d’identité, d’éléments de la nébuleuse terroriste Al Qaïda au Maghreb Islamique (Aqmi) très actifs dans la vaste bande sahélo-saharienne, pour commettre des attentats contre les intérêts des pays occidentaux en Mauritanie. L’opération d’enrôlement des populations à travers la mise en service de la carte d’identité biométrique, permettra selon ses concepteurs, de maîtriser les passages aux frontières à travers ce système qui facilitera l’identification de chaque habitant qu’il s’agisse d’un citoyen ou d’un résident et par conséquent de surveiller de près les mouvements des éléments indésirables. Les forces de sécurités espèrent aussi pouvoir renforcer la lutte contre la falsification des documents d’identité, l’immigration clandestine, le trafic d’armes et de stupéfiants et contre le crime organisé. Des bureaux de l’Agence nationale du registre de la population et des documents sécurisés, équipés en matériel numérique, ont été installés à cet effet, à travers tout le territoire national
  5. Les investigations dans l'armée continuent,ainsi que les patrouilles militaires dans le Tiris-Zemmour,lisière Sahara-Algérie,et dans la région de Néma et dans les zones environnantes,pour retrouver les 10 véhicules terroristes signalés par les populations la semaine dernières
  6. Mauritanie,lutte contre terrorisme:arrestation dans les rangs militaires www.cridem.org 12-05-201111:16 Arrestation d’un militaire soupçonné de complicité avec Al-Qaïda. Les forces mauritaniennes stationnées dans l’est du pays ont arrêté, mercredi, un militaire soupçonné d’entretenir des relations avec les terroristes d’Al-Qaïda au Mghreb Islamique (AQMI), a appris ANI de sources informées. Ce militaire, un sous-officier du grade d’adjudant, répondant au nom de « Ould Kabach » était en service à la cinquième région (Néma) affecté à un bataillon implanté à Bassiknou, au moment de son arrestation. De même source on indique que le militaire en question a été acheminé d’urgence vers Nouakchott où il est actuellement entendu par les services de renseignement de l’armée Plus d'éléments dans cridem.org et dans ani.mr
  7. Mauritanie:Arrestation d’un militaire soupçonné de complicité avec Al-Qaïda. Les forces mauritaniennes stationnées dans l’est du pays ont arrêté, mercredi, un militaire soupçonné d’entretenir des relations avec les terroristes d’Al-Qaïda au Mghreb Islamique (AQMI), a appris ANI de sources informées. Ce militaire, un sous-officier du grade d’adjudant, répondant au nom de « Ould Kabach » était en service à la cinquième région (Néma) affecté à un bataillon implanté à Bassiknou, au moment de son arrestation. De même source on indique que le militaire en question a été acheminé d’urgence vers Nouakchott où il est actuellement entendu par les services de renseignement de l’armée.
  8. Urgent:alerte terroriste en Mauritanie Le journal mauritanien Sahara Médias (saharamedias.net) a révélé hier,de source militaire, que les sirènes ont retenti, après minuit, dans la nuit du vendredi, dans les différentes casernes de l’armée mauritanienne dans la wilaya du Tiris Zemmour, amenant les officiers, sous officiers et soldats à rejoindre leurs unités. Des habitants de la zone ont déclaré la région militaire numéro 2 avoir vu près de 10 véhicules suspects dans la zone d’El Hank. Le Tiris-Zemmour est à la lisière du Sahara Occidental et de l'Algérie et est une zone stratégique de premier plan
  9. Mali,arrestation d'un sous-traitant d'Aqmi par les forces mauritaniennes www.cridem.org 25-04-201119:14 Un important sous-traitant d'Aqmi arrêté par l'armée mauritanienne Bamako (AFP) - Un homme qualifié d'important sous-traitant d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), a été arrêté dimanche par l'armée mauritanienne dans une zone frontalière avec le Mali, a appris lundi l'AFP de sources mauritanienne et malienne. "Nous avons arrêté dimanche un important sous-traitant d'Aqmi, un complice des terroristes qui a les a soutenus contre nous, notamment lors d'un accrochage en territoire malien", a déclaré une source militaire mauritanienne, contactée à la frontière entre les deux pays. La source a pr2cis2 que le suspect sera interrogé et jugé. Cette arrestation a été confirmée par Elie Doukouré, un élu de l'ouest du Mali, frontalier de la Mauritanie, qui a précisé que l'homme était un Malien du nom de Hamma Ould Ahmed. Accusé de complicité avec Aqmi, il a été arrêté dans une zone frontalière entre nos deux pays,a affirmé M. Doukouré. La Mauritanie a lancé depuis un mois une vaste opération pour traquer les soutiens et complices d'Aqmi dans le Sahel,qui sont aussi importants que les combattants d'Aqmi eux-mêmes, a affirmé une source des services mauritaniens de sécurité. "Ces complices signalent les positions de notre armée, sabotent notre plan de lutte, apportent vivres et ravitaillement à Aqmi. Ils seront désormais traités de la même manière que nous traitons les terroristes", a déclaré pour sa part la source militaire mauritanienne. Le Mali, où Aqmi dispose de bases d'où elle opère dans plusieurs pays du Sahel, a longtemps été considéré par ses partenaires de la région comme le maillon faible de la lutte contre les activités de cette organisation qui commet des attentats, enlève des Occidentaux, se livre à divers trafics. Depuis 2010, l'armée de la Mauritanie voisine, un des pays les plus visés par les actions d'Aqmi, est intervenu à plusieurs reprises en territoire malien pour démanteler et combattre des katibas (unités combattantes) de la branche maghrébine d'Al-Qaïda
  10. La chute du régime Assad affaiblira les extrémistes du Hezbollah et le régime de Téhéran
  11. 08-04-201123:30 Urgent:Mauritanie,lutte contre Aqmi : les zones militaires de Néma et Zouerate en alerte Le correspondant à Néma,dans l’Est mauritanien,du journal d'informations mauritanien Sahara Médias , nous informe,de source militaire,que les zones militaires se trouvant dans le Hodh El Charghi et le Tiris Zemmour connaissent une situation d’extrême alerte depuis le milieu de la nuit dernière.On parle de l’incursion d’un véhicule du Tanzim d’Al Qaida au Maghreb Islamique en territoire mauritanien
  12. Apparemment,l'Otan dort pendant que Kaddafi massacre.Il est plus qu'urgent que la France revienne et stoppe le fou
  13. www.cridem.org 19-02-2011 14:15 Tunisie : derrière la mort d'un prêtre, l'ombre des extrémistes Le meurtre d'un prêtre polonais, attribué à des extrémistes,par une source proche du ministère tunisien de l'intérieur,a poussé le gouvernement à réaffirmer samedi son attachement à la liberté de culte et à appeler toute la société tunisienne à éviter que de tels actes ne se reproduisent. Marek Rybinski avait 34 ans ; il était polonais, prêtre, et vivait en Tunisie, dans la région de Manouba. Il était chargé de la comptabilité dans une école religieuse. C'est dans le garage de cette école qu'il a été retrouvé égorgé vendredi. Depuis la chute du régime de Ben Ali, le 14 janvier, il s'agit du premier meurtre annoncé à la fois d'un religieux et d'un étranger. Ses meurtriers ont été désignés clairement dès vendredi comme des extrémistes. Le ministère polonais des Affaires étrangères a réagi dans un premier temps de manière prudente en refusant de faire un lien entre cet "acte particulier" à caractère criminel et les événements des derniers jours en Tunisie, sans exclure cependant que l'assassinat ait pu être commis pour des raisons religieuses. Mais les autorités tunisiennes ont pris l'affaire très au sérieux, et samedi matin, elles ont voulu faire passer un message. "Le ministère des Affaires religieuses condamne cet acte criminel et pris instamment les hommes de religion et les composantes de la société civile à condamner ces faits et à agir avec détermination pour éviter que de tels actes ne se reproduisent", a fait savoir un communiqué publié par l'agence officielle TAP. Et le ministère d'ajouter que "la Tunisie a toujours constitué un lieu de coexistence entre les races et les nationalités, et de dialogue entre les civilisations, les religions et les cultures", en réaffirmant son attachement à "la liberté de culte,aussi bien au niveau des croyances qu'au niveau des pratiques". De son côté, soucieux de ne pas voir son image associée à cette mort, le principal mouvement islamiste en Tunisie, Ennahda, a "vivement condamné" ce meurtre, estimant qu'il s'agissait "d'une manoeuvre pour détourner les Tunisiens des objectifs de la révolution tunisienne". Poussée de fièvre. Une poussée de fièvre islamiste avait déjà surgi vendredi dans l'après-midi à Tunis : des dizaines d'entre eux avaient tenté de mettre le feu dans une rue où travaillent des prostituées. Selon un policier,des habitants les ont empêchés de rentrer dans cette rue jusqu'à l'arrivée des agents des forces de l'ordre qui ont bloqué l'entrée en interdisant tout passage. Ils ont ensuite réussi à disperser ces manifestants. Le quartier a ensuite été survolé durant plusieurs heures par des hélicoptères de l'armée. Les islamistes avaient auparavant manifesté dans le centre-ville en criant : "Non aux lieux de prostitution dans un pays musulman"......... La semaine dernière, la communauté juive de Tunisie avait exprimé son inquiétude au gouvernement après des incidents antisémites devant la grande synagogue de Tunis. "Là, nous sommes dans la vigilance", a répété vendredi le président de la communauté Roger Bismuth. Monsieur Bismuth a précisé que ces actes antisémites étaient l'oeuvre de salafistes,mais a déclaré qu'il "n'y a pas de terreau en Tunisie pour le développement du salafisme". Conscient du vide sécuritaire prévalant depuis la chute du régime, le gouvernement avait décidé la semaine dernière de rappeler des réservistes,qui ont rejoint l'armée mercredi
  14. L’algérien Khaled Aboul Abbass alias Bellawar, chef de la Brigade des enturbannés, affiliée à Al Qaida au Maghreb islamique (AQMI), est bien le responsable de la dernière tentative d’attaque terroriste en Mauritanie,d'après les aveux de deux membres du commando ayant mené cette tentative. « Nous avons utilisé deux voitures piégées et une troisième assurant la logistique », ont reconnu mercredi soir à la Télévision officielle,à Nouakchott,un mauritanien et un guinéen capturés par l’Armée mauritanienne. Les deux présumés terroristes ont confirmé également que les attaques planifiées visaient l’ambassade de France à Nouakchott, le ministère mauritanien de la défense et l’état-major des forces armées,trois cibles régulièrement menacées par l'organisation terroriste et étroitement protégées par les forces armées et de sécurité
  15. www.cridem.org,source:journal malien Le Combat,via Maliweb.net www.maliweb.net 10-02-201111:27 Lutte contre le terrorisme : Un présumé Djihadiste d’origine mauritanienne arrêté à Ségou. Notre source est formelle : un membre du réseau d’Al Qaida au Maghreb Islamique (AQMI) a été arrêté le dimanche dernier à Ségou avant d’être conduit à la Sécurité d’Etat (S.E) à Bamako. Devant les limiers de la S.E, le djihadiste précise qu’il s’appelle Mohamed Ould Brahim. A en croire notre source (un passager arrêté par erreur comme étant le complice du terroriste puis relâché), Mohamed Ould Brahim s’est mis à table pour expliquer aux services de renseignements maliens les raisons de sa présence à Ségou. Selon les explications recueillies, le présumé terroriste a quitté Bamako pour rallier Gao. « C’est à 6 heures du matin à Bamako que je suis monté à bord d’un bus de la compagnie de Transport SONEF pour regagner la ville de Gao. Aux environs de 11h, le bus entre à Ségou. Il dépasse le poste de contrôle. Sans problème. Et à quelques kilomètres, des policiers arrêtent le car. Après des fouilles, ils font descendre du bus le présumé l’élément d’Al Qaida. Au même moment, ils m’ont arrêté comme étant le complice du terroriste. Seul motif évoqué : je n’avais pas de papier sur mois. Par la suite, les flics nous conduisent au poste de police de Ségou. Avant de nous placer en garde-à-vue ». C’est en substance ce qu’a révélé notre source interpellée par erreur. C’est au poste de Ségou que les policiers fouillent les deux hommes avant de confisquer leurs appareils téléphoniques et autres objets divers. Les deux individus passent par la suite à l’interrogatoire. Et c’est vers 16h qu’ils ont été conduits à Bamako où ils seront mis à la disposition de la sécurité d’Etat. C’était, aux environs de 18 heures. C’est ici, précise notre interlocuteur, que l’appartenance de l’homme au réseau d’AQMI sera confirmée avec l’exhibition de sa photo. L’homme précise qu’il s’appelle Mohamed Ould Brahim. A ses dires, il est né en 1984 dans un village du nom de Tangara dans la région de Gao. Mais paradoxalement, il ne parle au moins une des langues nationales du pays. Après recoupements, il serait d’origine mauritanienne. Par ailleurs, la police a trouvé sur lui des documents attestant de sa double identité. Pour toute réponse, il indiqua aux enquêteurs que les documents en question appartiendraient à un parent à Bamako et dont il ignore l’adresse. Aussi, son dernier appel téléphonique a été effectué avec un correspondant se trouvant à Gao. Et après s’être rassurée qu’aucun soupçon ne pèse sur le présumé complice du terroriste, la sécurité d’Etat a libéré ce dernier lequel, à la lumière des premiers résultats de l’enquête n’est ni de près ni de loin concerné par l’affaire. Selon toute évidence, le présumé élément d’AQMI retenu dans les liens de l’accusation était vivement recherché. Son arrestation n’est donc pas le fait du hasard, mais le résultat d’un travail de fourmi des enquêteurs. Le suspect Mohamed Ould Brahim est aujourd’hui gardé au frais à Bamako. Baba Ahmed Le Combat,via Maliweb.net Plus de détails sur Maliweb.net
  16. www.cridem.org 08-02-201119:45 Lutte contre le terrorisme: Sale temps pour AQMI. La fin de la cavale, samedi dernier après-midi dans la localité de Tessem 2 (Dar El Barka), pour les deux présumés terroristes d’AQMI, dont dont un (Sidi Mohamed Ould Ahmedou, alias "Zoubeir") s'est fait exploser alors que le second (Cheikh Ould Saleck, alias "Abou Qaswarah") a été capturé sans grande résistance par forces armées et de sécurité, est à ne pas en douter, une réussite pour le Pouvoir de Nouakchott qui signe là une autre victoire après ses raids et combats en territoire malien contre la fameuse branche d’AlQaida au Maghreb. Aussi, le Ministère de la Défense Nationale s’est-il empressé de livrer en détail cette opération qui n’était que la dernière boucle d’une contre-offensive lancée le même jour de la semaine précédente, lorsque, le 29 janvier 2011, les Forces armées nationales avaient identifié trois véhicules qui tentaient de s’infiltrer à l’intérieur du pays par la frontière Sud-est, prenant les mesures nécessaires pour suivre leur trajectoire jusqu’à leur pénétration par des itinéraires de contournement et des chemins d’accès difficile et en entraînant au moins un véhicule bourré d’une tonne et demi d’explosifs dans une embuscade qu’ils ont fait exploser avec ses trois occupants terroristes, Le mercredi 2 février à 2 heures du matin, au kilomètre 20 au sud-est de la capitale Nouakchott, un premier véhicule d’AQMI ayant été saisi avec armes et explosifs et dont deux des trois passagers ne sont autres que ces fugitifs précités, le troisième ayant été arrêté mardi dernier. «Dans l’après-midi du samedi 05 février 2011, des unités de nos Forces Armées et de sécurité ont capturé l’un des terroristes fugitifs, tandis que le second, cerné par nos forces, sans aucune issue et se sentant en désespoir de cause, s’est fait exploser à l’aide d’une grenade. A l’issue d’un siège serré et d’un ratissage systématique de la zone, les unités en présence donnèrent l’assaut final vers 16h30mn, dans une forêt à proximité de la localité de Tessem 2 relevant de la commune de Dar El Barka, dans la wilaya du Brakna. Il convient de préciser qu’il s’agit de deux terroristes ayant fui le véhicule maîtrisé mardi 1er février dans les environs de la localité de Maata Moulana, après la capture du troisième membre de leur sinistre équipage. De plus amples informations sur cette opération seront communiquées ultérieurement à la presse». La page de cette triste cavale s’est donc refermée pour de bon, au moins pour cette équipée sauvage dont la fin tragique ne fera pas oublier au Ministère de la Défense nationale de «présenter ses condoléances attristées à la famille du regretté martyr des Forces armées, l’héroïque gendarme, froidement abattu par les terroristes» au cours de cette dernière traque. Aux dernières nouvelles, nous apprenons alors que nous sommes sous presse, de l’AFP qui rapporte ce dimanche des sources sécuritaires maliennes que deux Mauritaniens liés à Al-Qaïda au Maghreb Islamique (AQMI), dont l’un en est membre et est impliqué dans de récentes tentatives d’attentats en Mauritanie, ont été arrêtés au Mali. Un exploit pour l’Armée. Un premier exploit qui forcera l’estime à l’intérieur par la classe politique toutes forces confondues, comme à l’extérieur par des africains et des européens, notamment l’Union Africaine dont le Président de la Commission, M. Jean Ping, félicitera «les autorités mauritaniennes pour leur vigilance et leur action qui a permis de prévenir une catastrophe et réitère le soutien de l’UA aux efforts de la Mauritanie et des autres Etats membres visant à faire efficacement face au terrorisme» et la France où le porte parole du Ministère français des Affaires étrangères, M. Bernard Valero déclarait, en substance: «Nous saluons l’efficacité de l’action des autorités mauritaniennes et leur détermination face au risque terroriste». Un Bernard Valero qui ne s’empêchera de préciser d’ailleurs «qu’une stratégie de l’Europe au Sahel serait présentée dans les prochains jours». Un enthousiasme français pour l’échec de cette opération dont l’un des objectifs avoués par l’un des terroristes présumés d’AQMI arrêté était l’ambassade de France, qui sera suivi par l’annonce de la visite, en Mauritanie, du Ministre français de la Coopération Henri de Raincourt (lire article page 4). L’Algérie démantèle un réseau d’AQMI qui préparait des attentats en Europe. Cette réussite des forces armées et de sécurités mauritaniennes aura également coïncidé avec le démantèlement, fin décembre, par les services algériens de sécurité, dans le sud-est du pays, d’un réseau d’Al-Qaïda au Maghreb Islamique (AQMI) de pas moins de quatorze islamistes armés, qui préparait des attentats en Europe notamment en France et parmi lesquels figure le chef salafiste mauritanien Ibrahim Ould Mohamed Ould Abdel Barka “alias Anass Al Chinquitti” présenté comme le «Mufti» (exégète) d’AQMI, qui avait rejoint les rangs d’AQMI en Algérie en 2008, avant de séjourner dans les maquis de Tebessa (extrême-est) et de Batna où il a organisé et formé des groupes armés algériens et mauritaniens pour mener des attentats kamikazes et des enlèvements d’Occidentaux. Ibrahim Ould Mohamed Ouldna a été arrêté fin décembre alors qu’il s’apprêtait à rejoindre le refuge du chef d’AQMI, Abdelmalek Droudkel, a indiqué El Watan. Ses aveux ont permis d’abord l’arrestation d’un autre islamiste, Mustapha Debchi dit Abou Mohamed Al Othmani, un ingénieur en électronique, au port d’Annaba (est) alors qu’il s’apprêtait à embarquer vers l’Europe pour y mettre en place des cellules d’AQMI, selon cette source. Les aveux de cet ingénieur ont ensuite conduit à l’arrestation de tous les membres du réseau en Algérie. Comme quoi, la fin de 2010 et ce début de 2011 sont un sale temps pour AQMI qu’il n’a enregistré que des défaites militaires, l’étau se resserrant toujours un plus sur elle
  17. Touriste italienne:ravisseurs mauritaniens? www.cridem.org Les hommes qui ont enlevé le 2 février une Italienne dans le sud algérien à bord de deux 4X4, parlaient l'arabe mauritanien, a déclaré au quotidien El Watan de lundi le directeur de l'agence de tourisme Ténéré, citant le guide brièvement détenu par les ravisseurs. "Une bande de 13 à 14 hommes armés, parlant un arabe mauritanien, venus à bord de deux 4X4 ont investi les lieux au coucher du soleil, dans la journée de mercredi", a raconté Ahmed Kheirani, faisant référence à Alidéna, lieu du rapt dans la région saharienne de Tadrart. Un chef de tribu du sud algérien a précisé à l'AFP que les Touaregs du Niger, du Mali et de Mauritanie parlent tous un même arabe mauritanien, un arabe différent de celui parlé par les Touaregs d'Algérie. La touriste, Maria Sandra Mariani, 53 ans, premier Occidental kidnappé depuis 2003 dans cette zone algérienne du Sahel, l'a été "à 18H30 au sud de la ville de Djanet, à 90 km de la frontière avec le Niger", avait précisé Rome le 4 février. "Les assaillants cherchaient un groupe de touristes, avant de confisquer les téléphones et les papiers du guide, du gardien et d'un berger et d'embarquer tout le monde y compris la touriste vers une destination inconnue, a raconté le directeur de l'agence Ténéré. Les trois Algériens ont été abandonnés vers minuit très loin, à proximité de la frontière algéro-nigérienne", a-t-il ajouté, indiquant que les ravisseurs et leur otage "ne devaient plus être en Algérie maintenant". Selon M. Kheirani, "apparemment les ravisseurs étaient à Djanet", site de l'agence et d'où étaient partis Mme Mariani et son guide. "Ils ont suivi le guide jusqu'à Adiléna", a-t-il encore affirmé. Le patron de l'agence Ténéré a indiqué qu'il avait été informé du rapt par le guide alors que l'agence APS avait rapporté que c'était l'otage elle-même qui l'avait informé en utilisant le téléphone satellitaire Thuraya des ravisseurs. Le guide qui a été entendu par les forces de sécurité, était en détention encore lundi, a indiqué à l'AFP ce même responsable tribal. M. Kheirani a précisé à El Watan que le guide avait été relâché par les autorités avant d'être à nouveau interpellé 24 heures plus tard. Le directeur de l'agence a dit ne pas comprendre les motifs de cette interpellation. Il a indiqué qu'il "n'arrivait pas à croire qu'un enlèvement puisse avoir lieu à Alidéna", une région "très bien sécurisée". De toutes façons, a-t-il ajouté, il avait informé comme d'habitude les services de sécurité de l'itinéraire de la touriste. Le Sahel, à cheval sur les territoires du Mali, d'Algérie, de Mauritanie et du Niger, est devenu le fief des islamistes d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) qui a revendiqué plusieurs enlèvements dans les pays voisins de l'Algérie depuis plusieurs années
  18. Arrestation au Mali de deux Mauritaniens liés à Aqmi L'AFP nous apprend,de source sécuritaire malienne,que les forces maliennes de sécurité ont arrêté deux Mauritaniens liés à Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), dont l'un en est membre et est impliqué dans de récentes tentatives d'attentats en Mauritanie. Ces arrestations sont le résultat d'une coopération entre la France, le Mali et la Mauritanie, ont précisé ces sources. L'un des hommes arrêtés a été formellement étiquetté Aqmi, ont-elles indiqué, en précisant qu'il était impliqué dans des tentatives d'attentats à Nouakchott, déjouées la semaine dernière par l'armée mauritanienne
  19. Touriste italienne:ravisseurs mauritaniens? www.cridem.org Les hommes qui ont enlevé le 2 février une Italienne dans le sud algérien à bord de deux 4X4, parlaient l'arabe mauritanien, a déclaré au quotidien El Watan de lundi le directeur de l'agence de tourisme Ténéré, citant le guide brièvement détenu par les ravisseurs. "Une bande de 13 à 14 hommes armés, parlant un arabe mauritanien, venus à bord de deux 4X4 ont investi les lieux au coucher du soleil, dans la journée de mercredi", a raconté Ahmed Kheirani, faisant référence à Alidéna, lieu du rapt dans la région saharienne de Tadrart. Un chef de tribu du sud algérien a précisé à l'AFP que les Touaregs du Niger, du Mali et de Mauritanie parlent tous un même arabe mauritanien, un arabe différent de celui parlé par les Touaregs d'Algérie. La touriste, Maria Sandra Mariani, 53 ans, premier Occidental kidnappé depuis 2003 dans cette zone algérienne du Sahel, l'a été "à 18H30 au sud de la ville de Djanet, à 90 km de la frontière avec le Niger", avait précisé Rome le 4 février. "Les assaillants cherchaient un groupe de touristes, avant de confisquer les téléphones et les papiers du guide, du gardien et d'un berger et d'embarquer tout le monde y compris la touriste vers une destination inconnue, a raconté le directeur de l'agence Ténéré. Les trois Algériens ont été abandonnés vers minuit très loin, à proximité de la frontière algéro-nigérienne", a-t-il ajouté, indiquant que les ravisseurs et leur otage "ne devaient plus être en Algérie maintenant". Selon M. Kheirani, "apparemment les ravisseurs étaient à Djanet", site de l'agence et d'où étaient partis Mme Mariani et son guide. "Ils ont suivi le guide jusqu'à Adiléna", a-t-il encore affirmé. Le patron de l'agence Ténéré a indiqué qu'il avait été informé du rapt par le guide alors que l'agence APS avait rapporté que c'était l'otage elle-même qui l'avait informé en utilisant le téléphone satellitaire Thuraya des ravisseurs. Le guide qui a été entendu par les forces de sécurité, était en détention encore lundi, a indiqué à l'AFP ce même responsable tribal. M. Kheirani a précisé à El Watan que le guide avait été relâché par les autorités avant d'être à nouveau interpellé 24 heures plus tard. Le directeur de l'agence a dit ne pas comprendre les motifs de cette interpellation. Il a indiqué qu'il "n'arrivait pas à croire qu'un enlèvement puisse avoir lieu à Alidéna", une région "très bien sécurisée". De toutes façons, a-t-il ajouté, il avait informé comme d'habitude les services de sécurité de l'itinéraire de la touriste. Le Sahel, à cheval sur les territoires du Mali, d'Algérie, de Mauritanie et du Niger, est devenu le fief des islamistes d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) qui a revendiqué plusieurs enlèvements dans les pays voisins de l'Algérie depuis plusieurs années
  20. www.cridem.org 07-02-201112:06 14 Français s'entraînent dans les camps d'Al Qaida Selon le contre-espionnage, une centaine d'Européens, dont quatorze Français, entraînés dans les camps djihadistes, pourraient passer à l'action. Al-Qaida radicalise ses menaces contre la France et n'a jamais tant recruté de «combattants», notamment européens, en vue de mener de prochaines frappes terroristes. Au lendemain du soulèvement en Tunisie et alors que les manifestations se multiplient en Égypte, le contre-espionnage français est plus que jamais en alerte maximale. Quatre notes «blanches» émanant de la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI), que Le Figaro s'est procurées, en attestent. Se fondant sur des «éléments recueillis présentement par les services français sur les différents acteurs terroristes de la zone pakistano-afghane», considérée comme «la première pourvoyeuse de menaces susceptible de viser le territoire européen», l'un des documents confidentiels révèle que «la région continue d'attirer les volontaires au combat armé, notamment européens. Ceux-ci sont passés, en moins de trois ans, de quelques cas isolés à plus d'une centaine d'individus.» Selon cette note de la DCRI, «la présence de 14 Français a été signalée en 2010 dans cette zone». «Plusieurs de ces combattants ont désormais acquis une expérience et une légitimité qui leur permettent de rallier autour d'eux de nouveaux arrivants, préviennent les analystes français du contre-espionnage. Ayant vécu en Europe et nourrissant souvent des griefs personnels à l'encontre de leurs pays d'adoption, ces Européens sont susceptibles de s'impliquer dans des actions terroristes.» À en croire ces experts, celles-ci semblent presque inéluctables. En effet, écrivent-ils, «la volonté d'al-Qaida et, désormais, de certains groupes pakistanais, de conduire des attentats en Occident est avérée: depuis 2009, pas moins de quatre projets aux États-Unis et en Norvège, directement liés aux zones tribales pakistanaises ont échoué ou ont été déjoués». Le péril islamiste est d'autant plus préoccupant que les services de renseignements ont intercepté un inquiétant message d'al-Qaida au Maghreb islamique (Aqmi). Diffusé le 28 janvier par son «organe médiatique» al-Andalous, il appelle les Tunisiens à «remplacer la religion altérée par la religion révélée et la charia» et soutient que ce sont « les croisés qui sont à l'origine de nos problèmes». Une cible privilégiée Par ailleurs, une des notes remarque que l'organisation terroriste annonce que l'«Amérique, la France et le Maghreb n'accepteront jamais un véritable changement qui ne sert pas leurs intérêts en Tunisie » et que ces régimes «préparent le lancement d'un nouveau laquais qui les satisfera». «Le communiqué vise spécifiquement la France, accusée “d'avoir soutenu le tyran Ben Ali”», insiste la DCRI. Établissant un parallèle avec la situation en Algérie, Aqmi prévient que les États-Unis et la France «joueront prochainement le même rôle, s'ils n'en sont pas empêchés par les frappes des moudjahidins (…)». «La France et ses ressortissants demeurent une cible privilégiée d'al-Qaida», martèle le contre-espionnage, qui rappelle enfin le message imputé à Ben Laden, qui fustigeait le 21 janvier dernier le non-retrait des troupes françaises en Afghanistan et menaçait de cibler différents fronts, à l'intérieur et à l'extérieur de la France. Divers quotidiens d'Alger, dont al-Watan, rapportaient ce dimanche que les services algériens de sécurité ont démantelé dans le sud-est du pays un réseau d'Aqmi qui projetait des attentats en Europe, notamment en France. Dans un entretien au Figaro, le préfet Bernard Squarcini, directeur de la DCRI, révélait en juin dernier que deux attentats sont déjoués chaque année sur le sol français. «Nous pêchons à la fois de ­manière intense au chalut pour débusquer les filières djihadistes qui partent en Afghanistan, par exemple, mais aussi au ­harpon, en ciblant des individus fanatisés mais isolés, confiait-il. Notre mission est de les repérer et de les purger au plus vite, avant qu'ils ne commettent l'irréparable». Des prêches plus radicaux dans les mosquées. «La chute du régime du président Ben Ali et la poursuite des manifestations en Égypte ont alimenté des prêches dans plusieurs salles de prières radicales, ces dernières semaines»: une des notes de la DCRI est sans appel. Le contre-espionnage, dont les antennes sont déployées dans certaines mosquées radicales, signale que, le 21 janvier dernier, dans une salle de prière de Seine-et-Marne,l'imam a critiqué la Tunisie qui s'est orientée vers la laïcité (…). Il a ajouté que “si les États-Unis aujourd'hui faisaient souffrir les musulmans, c'est parce que ces derniers se détournaient de la religion”. Il a conclu sur le fait que “les musulmans devaient, même aux États-Unis ou ailleurs, être toujours prêts pour combattre”. De même, le 28 janvier dernier, dans une mosquée en Alsace, l'imam a fustigé avec une extrême virulence “ceux qui protègent et reçoivent les criminels et en particulier les “collaborateurs des sionistes ” qui salissent l'islam.» Le même jour, précise la DCRI, un imam prêchant dans l'Essonne a exhorté ses fidèles: «Vous voyez, auparavant, nous avons prié pour la Tunisie. Les Tunisiens ont réussi à faire partir le pouvoir injuste qui régnait depuis des années. Aujourd'hui, c'est au tour de l'Égypte. Ces pays vont pouvoir être dirigés maintenant par de vrais musulmans. C'est eux qui vont prendre le pouvoir. Et bientôt, d'autres pays feront de même.»
  21. Mauritanie,lutte contre terrorisme:nouveaux éléments www.cridem.org Les forces de sécurité mauritaniennes poursuivent l’interrogatoire serré de l’un des éléments d’Al Qaida qu’elle détiennent actuellement, afin de démêler les conditions exactes de l’offensive violente à laquelle Nouakchott a été exposée, ainsi que le sort de ses compagnons, après que les forces armées eurent fait échouer la plus importante tentative à ce jour de l’organisation, la plus dangereuse aussi, à proximité de la commune de Ryad.Selon les informations, il s’est avéré que le deuxième homme recherché est ‘’Sidi Mohamed’’, dit Abou Zoubeir, originaire de Boutilimit, et compagnon de route du kamikaze Sidina Ould Khattary, dit Abdourrahmane Abou Zaineb, qui s’est fait sauter au passage d’un car canadien en Algérie, le 20 août 2008, opération dénommée par Al Qaida de ‘’Bataille de la revanche’’, et la première dans laquelle un ‘’Mouhajir’’ (expatrié) est admis à se faire sauter en Algérie, après son inscription au tableau des volontaires, et un entraînement conséquent. Cet Abou Zoubeir était connu pour ses opinions tranchées à l’intérieur de l’organisation, et qu’il a rassemblées dans un ouvrage publié sous le titre ‘’ ’éclaircissement et preuve sur le fait que l’auteur d’une mécréance par ignorance n’est plus un musulman’’. L’auteur présente dans le livre des passages qui prouve les liens et l’influence qu’avait sur lui son compagnon qui s’est suicidé en Algérie, disant : ‘’Je dédie ce livre à la mémoire du martyr – avec la permission de Dieu – Abdarrahman Abou Zaineb le mauritanien (Sidina Ould Khattary), auteur de l’opération martyre de Bouira qui visait un car de canadiens en Algérie, opération que les jihadistes avaient dénommée ‘’opération Revanche’’ le 20/8/2008, il fut le premier ‘’expatrié’’ à commettre une opération en Algérie. Bien que Nouakchott ait annoncé la fin de la terreur potentielle représentée par les deux véhicules piégés, les recherches continuent pour retrouver le troisième véhicule, qui transporte sans doute le plus connu des dirigeants locaux de l’organisation Al Qaida, Taieb Ould Sidi Ali, selon les données disponibles à l’heure actuelle
  22. 04-02-201120:04 Arrestation d’un marocain et de deux mauritaniens soupçonnés de relation avec Al-Qaïda Un ressortissant marocain et deux mauritaniens, soupçonnés de relation avec Al-Qaïda au Maghreb Islamique, ont été remis, vendredi, par la brigade mixte de gendarmerie à la direction de la sûreté d’Etat, a appris l'Agence Nouakchott Informations,de source informée. De même source, on indique que les trois prévenus le marocain Oumar er les deux mauritaniens Moustapha et Eby ont été arrêtés jeudi dernier, après des soupçons émis sur le marocain. Ce dernier, habitant le quartier résidentiel de Tevragh Zeina, a récemment créé « une société écran » et se déplace fréquemment vers le nord du Mali. La gendarmerie a saisi sur lui un ordinateur portable avec des programmes de maniement d’armes, en plus d’une paire de jumelles pour vision nocturne. Et la source d’ajouter que ses présumés complices mauritaniens, ont eu auparavant à voyager avec lui plusieurs fois vers le Mali. Les trois hommes sont actuellement interrogés par les services de la sûreté d’Etat
  23. C'est Abou Anas Al Chinguitty,un des principaux responsables d'Aqmi,recherché depuis longtemps
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