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Tout ce qui a été posté par Deres
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Pourquoi on ne met pas ce genre de leurre flottant sur nos frégates ? http://www.irvingq.co.uk/irvingq/nd.asp Cela ne doit pas être bien cher, ne prend pas trop de place et de masse et est surement assez efficace ... Idéalement, je pense qu'il faudrait pouvoir déployer des leurres gonflables à distance via l'artillerie embarqué, mais cela doit avoir du mal à rentrer y compris dans un obus de 127 mm alors dans un de 76 mm ...
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La France et ses programmes UAV/UCAV
Deres a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Je ne comprends pas que nous n'achetions pas quelques systèmes Patroller de Sagem. En plus, ils sont compatible avec les systèmes sol du Sperwer et du STDI, ce qui diminuerait grandement les coûts en évitant de tout racheter. Les 2 drones sont peut être même utilisables à partir des mêmes stations au choix. Un drone léger comme cela est si cela se trouve même opérable depuis les BPC ... -
Un missile tri-sonique met environ une minute pour parcourir 50 km. Un rafale qui fait une chandelle pour remonter à 10 000 m 50 km devant un SA-10 se fera donc détruire en arrivant à son plafond ou peu de temps après. Ou alors il faut faire plus vite ...
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A priori, le DDN-NG est une simple caméra infra-rouge avec 2 fish-eye. Il doit donc pouvoir aussi bien détecter les missiles que fournir une surveillance panoramique. Le F35 a le même concept mais avec 6 caméras donc un champ angulaire 2 fois plus petit par caméra et donc une résolution 2 fois meilleure si le capteur IR a autant de pixel. Eux se vantent allègrement de pouvoir tirer derrière eux de façon autonome en dogfight.
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Oui, mais les lanceurs sont déjà montés sur les bateaux. La question est plutôt pour améliorer l'existant au moindre prix ... La supériorité du tir vertical n'est pas à démontrer sauf pour économiser l'énergie du missile.
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http://www.mbda-systems.com/mediagallery/files/multisorb_ds.pdf
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MdCN français : quelles caractéristiques et quelle utilisation ?
Deres a répondu à un(e) sujet de MaXlamenace dans Europe
C'est rentable si tu utilises quelques missiles leurres et brouilleurs pour couvrir une vague complète de missile. Peut être faudrait-il mettre des lances-leurres sur les missiles pour les protéger un peu lors du piqué final vers l'objectif. -
Ce n'est pas un code de conduite : c'est un traité international de non prolifération. http://en.wikipedia.org/wiki/Missile_Technology_Control_Regime
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C'est courant cette façon de ne pas se mettre en surface complètement ? Le navire a l'arrière enfoncé avec le pont incliné, peut être pour maintenir l'hélice plus profondément sous l'eau (?).
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Marrant la porte à l'avant du kiosque car il n'y a pas de passage sur les côtés ... Je suis aussi intrigué par le marche pied minimaliste sous la porte arrière : cela doit être un peu casse gueule en mer ! A quoi servent les parties vitrées sur le kiosque ? Il y l'air d'avoir des équipements derrière : caméra ? projecteur ?
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[Artémis la future torpille lourde F21]
Deres a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Divers marine
Mais non, contre un sous-marin donc à plus courte portée, la torpille va filer à vitesse maximal à plus de 50 noeuds. -
Sur ce site très intéressant sur le Rafale : http://rafalefan.e-monsite.com/pages/dossier-rafale-avionique/dossier-rafale-armement.html il est évoqué un essai en 2007 de tir d'un MICA vers une cible à l'arrière d'un Rafale avec désignation de l'objectif par un autre Rafale en se servant de la liaison 16. La Rafle ne pourrait il pas maintenant se servir de son DDM-NG pour faire la désignation lui même ?
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La dégradation de la SER provenant des emports doit être très dépendante de l'angle. De face, les plus gros contributeur sont normalement les entrées d'air, les autres cavités et les surfaces perpendiculaires. Les surfaces des armements emportés sont abordés avec des angles très plats donc ne constituent pas des très gros réflecteurs. Avez-vous noté les angles marqués des pylônes d'emports des AASM ? c'est peut être pour la SER. L'entré d'air du SCAP est bouché avant tir, peut être pas uniquement pour l'aérodynamique ... les radars des MICA sont surement braqués vers les côtés et les radômes IR sont peut être traités contre les ondes radar comme la verrière de l'appareil. Au final, je pense que la SER est surtout dégradé sur le côté où elle est déjà assez mauvaise. C'est en fait beaucoup moins grave, car la dynamique d'une interception est beaucoup moins favorable.
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Dans le dernier JDW, il y a des informations comme quoi le ministère de la défense indien a annoncé des économies suite à la croissance moindre que prévue du pays. La plupart des gros projets seraient un peu étalée dans le temps. L'achats de 126 Rafale est explicitement cité.
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MdCN français : quelles caractéristiques et quelle utilisation ?
Deres a répondu à un(e) sujet de MaXlamenace dans Europe
La différence de portée peut provenir de la différence de vitesse mais également d'un carburant différent. Utiliser du JP-10 américain beaucoup plus énergétique au lieu de Kérosène normal peut faire une grosse différence. Je ne suis pas certain mais je crois que seul les américains produisent du JP-10 donc qu'il est peu probable que nos MdCN en soit équipé. -
Il y a aussi la stratégie DCNS sur les sous-marins. Chaque année, ils sortent une étude préliminaire d'un nouveau produit avec des vidéos en images de synthèse associé. Ils font un peu pareil avec les navires de combat avec des familles complètes de tous les tonnages existants uniquement sur papier. Au final, ce qu'ils vendent est très conventionnel en comparaison ... Il n'y a pas de raison que DA ne fasse pas la même chose en sortant une étude préliminaire par an d'avion ou drone nouveau ou de variante du Rafale intégrant de nouveau concept. Au lieu de le faire au compte-goutte, ils pourraient avoir une politique cohérente et régulière de démonstration de leur capacité d'innovation. Au moins cela ferait le buzz chez les clients potentiels et serait bon pour leur image. Ce serait surement plus rentable que page de pub dans les magazines et ferait travailler un peu les bureaux d'étude pour le même prix.
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L'efficacité d'un brouillage bruit dépend directement du rapport signal bruit. Quand la distance diminue, le signal augmente et les radars arrivent à voir à travers le brouillage. Donc diminuer la puissance du signal en diminuant la SER permet de nettement diminuer cette distance d'inefficacité du brouillage (Burn-through). C'est pareil avec un brouillage plus subtil. Si le brouilleur fait des faux échos beaucoup moins puissants que le vrai, il est relativement facile de les filtrer. Imaginons un missile anti-navire tiré à Mach 1 sur une cible à 100 km. Il va mettre plus de 5 minutes à parcourir la distance. Une cible à 25 noeuds km/h va parcourir environ 4 km pendant ce temps là. Si son auto-directeur à une portée de 20 km, il n'aura aucun problème pour acquérir le navire même si sa navigation et l’acquisition de la cible ajoutent quelques kilomètres d'erreur. Si tu ajoute un brouillage et un faible signature qui chacun divise par 2 la distance d'acquisition, tu tombes à une portée de seulement 5 km pour son radar. Le missile peut donc très bien passer à côté de la cible sans la voir si celle-ci à manoeuvrer pendant son vol. Même dans le cas contraire, le missile sera resté plus longtemps dans sa phase d'acquisition qui se passe avant de faire du rase-mer maximal. Cela augmente fortement ses chances d'être détecté et intercepté.
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Ce qui est intéressant et innovant, c'est que le prototype d'USV fait sans personnel le largage et la récupération de ses drones sous-marins. C'est cela la grande nouveauté. Il faut bien voir que dans les articles sur l'automatisation FREMM, il me semble avoir lu qu'ils se vantaient que la mise à l'eau et la récupération du sonar remorqué ne nécessitait que 4 personnes ... Ce genre de technologie est aussi essentiel pour déployer des drones à partir d'un sous-marin, car il ne faut pas compter sur des petits bras musclés pour aider visuellement à la manœuvre !
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MdCN français : quelles caractéristiques et quelle utilisation ?
Deres a répondu à un(e) sujet de MaXlamenace dans Europe
En fait, je pense que les missiles de croisière ne sont peut être pas l'arme ultime que l'on imagine. En fait, on fait toujours l'hypothèse que ces vecteurs sont impossibles à intercepter ce qui n'est peut être pas très réaliste. En phase terminale, ils peuvent très bien être détruit par des systèmes aériens à courte portée. Pendant leur long trajet, ils peuvent très bien être intercepter par des avions ou des SAM longue portée en l'absence de relief pour se cacher. Si on fait l'hypothèse qu'ils ont une SER de 0.001 m2 contre 2 ou 3 m2 pour les portées des radars annoncés contre les chasseurs, cela fait une diminution d'environ 16*16 de la SER donc de 4 de la portée. Un radar d'intercepteur conserverait donc de 25 à 35 km de portée contre un missile de croisière ... C'est tout à fait suffisant pour réaliser une interception. Donc contre un adversaire bien équipé et pas pris par surprise, une vague de MdCN pourrait très bien subir des pertes non négligeables. Pour mémoire, après une période de surprise, la plupart des V1 allemands étaient abattus au canon ou détruits par des intercepteurs. Idem pendant la guerre du Golfe quand les irakiens ont tirés des missiles anti-navires vers les bases US en Arabie saoudite. ceux-ci obnt été facilement interceptés par des Patriot. Pour garantir la percée d'une vague de missile de croisière, il faudrait donc la soutenir un minimum. Des leurres permettrait d'attirer les intercepteurs adverses loin des couloirs de pénétration. Du brouillage garantirait la non détection des missiles car cela diminuerait encore plus les portées utiles des radars. Je me demande si ce n'est pas ce que recherche l'US Navy en développant les MALD (missile leurre) et I-MALD (version avec brouilleur). -
L'AdT ne possède pas d'autre artillerie à guidage GPS. Il ne faut pas oublier que c'est un peu la révolution de ces dernières années ... Idéalement, ce serait mieux de développer les obus qui vont bien pour les CAESAR. Mais il n'y a pas les sous et sinon à cause du traité conte les sous-munitions, nos beaux LRM sont bons pour la casse. Investir dans des LRU avec roquettes guidés GPS, dont le développement doit être bien amorti, est donc un investissement raisonnable pour être au top technologique. De la même façon, bien que nous développions l'AASM de notre côté, nous avons acheté des GBU-49 avec guidage GPS pour nos SEM aux américains. L'indépendance, c'est bien, mais la capacité moins cher et tout de suite même si dépendante, c'est bien aussi ...
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Ce coût comprend-t-il les armements ? 16 ASTER + 16 MdcN + 8 exocet + 19 Mu90, cela fait 59 munitions à au moins un million l'unité ! Il est fort possible que d'autres équipements soient aussi gérés dans des programmes indépendants.
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Je te rappelle que nous sommes les gentils ... Si tu comptes faire des frappes massives préventives à base de missiles de croisière sur un pays développés capable de se défendre, autant y aller à coup d' ASMP nucléaire ... Quand on est un méchant, il faut s'assumer jusqu'au bout !
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Ne serait-il pas possible de tirer des MICA depuis les lanceurs CROTALE que la Marine possède en grand nombre (frégates Lafayette et Frégates anti-sous-marine) ? Cela donnerait en partie une capacité multi-cible à ces batiments à bas coût en se servant des missiles IR aériens en fin de vie. Avec une trajectoire un peu balistique, les missiles auraient également une portée un peu plus grande. Les principales difficultés seraient à mon avis : - le missile MICA est un peu plus long et plus lourd - il faut connecter les MICA pour leur pré-désigner la cible alors que le CROTALE est complètement passif
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Je pense qu'avec des emports sous les ailes, le Rafale est surtout furtif sur le dessus. Cela signifie juste qu'il doit évoluer plus bas qu'un radar aéroporté. Dans tous les cas, si il manœuvre pour cacher ses dessous au radar adverse, sa SER chutera drastiquement et l'adversaire perdra la piste surtout en présence d'un brouillage du SPECTRA cachant l'écho dans le bruit. Une division par 16 de la SER divise par 2 la puissance de l'écho et donc divise par 2 la portée de détection effective d'un radar. Cela pourra aussi se produire avec un missile longue portée faisant une phase balistique à haute altitude et donc piquant sur le Rafale. Le problème, c'est que les missiles de bout d'ailes restent visibles et que les emports lourds dépassent à l'avant des ailes. Mais au moins, du dessus, tous les magnifiques dièdres formés par l'aile, les pylônes et les emports sont voilées. il faudrait songer à supprimer les ailes du MICA pour le rendre plus furtifs ...
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Il y a aussi le problème de la masse statique d'un matériel sur le pont ... Un MLRS pèse 25 Tonnes et un CAESAR pèse bien 20 tonnes. Un V22 pèse 27 tonnes en charge mais seul le spot 1 peut accueillir des hélicoptères lourds. Le reste du pont est donc probablement trop fragile pour accueillir un véhicule lourd. Sans compter que les ascenseurs n'ont que des capacités que de 13 tonnes et la grue 17 tonnes. Il me semble donc difficilement envisageable de monter sur le pont du matériel de l'armée de terre hors des véhicule légers et de les utiliser à quoi que ce soit.