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papsou

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  1. https://www.lalsace.fr/defense-guerre-conflit/2025/10/14/deux-francais-condamnes-par-teheran-a-de-lourdes-peines-de-prison-pour-espionnage Deux Français condamnés pour « espionnage » : il pourrait s'agir des otages Cécile Kohler et Jacques Paris Deux Français ont été condamnés ce mardi à de lourdes peines de prison pour « espionnage ». L'identité des deux personnes concernées n'a pas été précisée, mais deux sources informées du dossier assurent qu'il s'agit de Cécile Kohler et de Jacques Paris. La justice iranienne a condamné deux ressortissants français, dont l'identité n'a pas été révélée, à de lourdes peines de prison pour « espionnage » au profit de la France et d'Israël. L'agence du pouvoir judiciaire iranien, qui a rapporté le verdict mardi, n'a fourni aucun détail sur l'identité des deux condamnés. Interrogé sur cette condamnation pour savoir s'il s'agissait de Cécile Kohler et de Jacques Paris ou de deux autres ressortissants, le ministère français des Affaires étrangères s'est refusé à tout commentaire. Deux sources informées du dossier ont toutefois indiqué à l'AFP qu'« il s'agit bien de Cécile Kohler et Jacques Paris ». « Le verdict en première instance dans l'affaire des deux prévenus français accusés d'espionnage et arrêtés le 9 mars 2023 a été rendu », a déclaré Mizan, l'agence du pouvoir judiciaire. « L'un des prévenus a été condamné à six ans de prison pour espionnage au profit des services de renseignement français », indique la justice. Le texte ajoute que l'individu a été en plus condamné à cinq ans de prison pour « association en vue de commettre un crime contre la sécurité nationale », et à 20 ans d'exil pour « coopération en matière de renseignement » avec Israël, ennemi juré du pouvoir iranien. Conformément à la règle de cumul des peines en vigueur en Iran, seul le verdict le plus lourd sera appliqué. « Un autre prévenu a été condamné à 10 ans de prison pour espionnage au profit des services de renseignement français, à cinq ans de prison pour association en vue de commettre un crime contre la sécurité nationale », a ajouté Mizan. Il a en plus été condamné à 17 ans de prison pour « assistance à la coopération en matière de renseignement » avec Israël. L'agence de la justice n'a fourni aucun détail sur l'identité des deux condamnés. Le verdict peut faire l'objet d'un appel devant la Cour suprême dans les 20 jours, a précisé Mizan. Un accord sur un échange de « prisonniers » en « phase finale » Officiellement, deux ressortissants français, Cécile Kohler et Jacques Paris, sont détenus en Iran mais ils avaient été arrêtés en mai 2022. Cette enseignante et son compagnon sont accusés d'espionnage pour le compte d'Israël. Leurs familles ont décrit leur situation comme de plus en plus désespérée. Paris considère que Cécile Kohler et Jacques Paris sont « retenus comme otages d'Etat » en Iran. Le 12 septembre, le chef de la diplomatie iranienne avait déclaré qu'un accord visant à échanger des prisonniers français en Iran contre une femme iranienne détenue en France approchait de sa « phase finale ». L'échange proposé concerne Mahdieh Esfandiari, une Iranienne arrêtée en France en février pour avoir fait l'apologie du terrorisme sur les réseaux sociaux. Téhéran estime qu'elle est injustement détenue. Entre 2023 et 2025, au moins cinq Français ont été libérés, après des mois ou des années de détention. Jeudi dernier, Lennart Monterlos, un jeune Franco-Allemand arrêté en juin en Iran et accusé « d'espionnage », a pu regagner la France, après l'annonce de son « acquittement ».
  2. Sauf que comment ils la financent leurs dettes ... S'ils vont sur les marchés cela va être compliqué surtout avec les sanctions. Reste les institutions un peu bizarre (comme dirait maitre folace). Et à quelle taux 10, 20%, C'est pas les 3,5% actuel de la France qui se plaint déjà. 100 milliards à 10 voir 15% sa pique un peu.
  3. papsou

    Marine canadienne

    https://www.latribune.fr/article/defense-aerospatiale/35961073523393/sous-marins-pourquoi-le-choix-du-canada-decarter-naval-group-et-de-selectionner-hanwha-est-si-deroutant Sous-marins : pourquoi le choix du Canada d'écarter Naval Group et de choisir Hanwha est si déroutant Fin août, Ottawa sélectionnait deux groupes finalistes (ThyssenKrupp Marine Systems et le sud-coréen Hanwha) pour l'acquisition de douze sous-marins de nouvelle génération au maximum. Une sélection qui continue d'intriguer et de dérouter tout comme celle d'écarter Naval Group. Les cartes peuvent-elles être rebattues ? Plus d'un mois après la décision du Canada d'écarter Naval Group pour la fourniture de sous-marins de nouvelle génération dans le cadre du Programme de sous-marins canadiens de patrouille, l'incompréhension demeure. La sélection du chantier naval sud-coréen Hanwha dans la short-list (avec ThyssenKrupp Marine Systems) aux dépens de Naval Group reste très surprenante alors que le BlackSword Barracuda était parfaitement taillé pour répondre aux nombreuses exigences exprimées par la marine canadienne (furtivité, létalité, endurance, autonomie et capacité de déploiement dans l'Arctique). Fin août, le gouvernement canadien a sélectionné TKMS et Hanwha pour fournir à sa marine jusqu'à 12 sous-marins. Les Canadiens ont très récemment débriefé le groupe français, qui avait besoin de comprendre les raisons de cette non-sélection pour réagir. Pour autant, Naval Group n'engagera pas, semble-t-il, de recours, selon nos informations. Ce qui ne veut pas dire que le groupe naval a lâché un dossier qui vaut près de 40 milliards d'euros. Bien au contraire. Ainsi, Naval Group souhaite démontrer aux Canadiens avec bienveillance que le BlackSword est le sous-marin, qui répond le mieux aux enjeux de la marine canadienne. Un sous-marin qui d'ailleurs n'avait jamais jusqu'ici perdu une compétition sur le plan technique (Australie et Pays-Bas) et qui semblait être l'un des favoris de cette compétition après son succès aux Pays-Bas. Ainsi, beaucoup de personnes proches du dossier pensait (à tort) que le succès de Naval Group aux Pays-Bas constituerait un avantage majeur compte tenu des liens étroits entre les deux marines depuis 1945, notamment dans le domaine de l'entraînement. La sélection d'Ottawa a d'ailleurs également beaucoup surpris aux Pays-Bas. Malheureusement les décisions liées aux marchés d'armement ne sont pas toujours prises à l'aune de la seule performance des systèmes d'armes. Loin s'en faut. « La décision des Canadiens est politique, pas technique, confirme d'ailleurs un observateur proche des discussions. La sélection du sous-marin sud-coréen pourrait « refléter un geste vis-à-vis d'un pays prioritaire pour le Canada dans le cadre d'une stratégie indopacifique balbutiante ». Pour autant, rappelle-t-on à La Tribune, « toute décision politique est irrévocable jusqu'au jour où elle ne l'est plus ». La voie royale pour TKMS Le choix d'un sous-marin sud-coréen intrigue toutefois. Si la Corée du sud, qui a déjà mis en service trois sous-marin océanique de type KSS III, elle s’appuie sur l'expérience acquise avec les sous-marins des types KSS I et KSS II, de conception allemande et pour lesquels un transfert de technologie a été opéré à partir de 1987 par HDW. D'aucuns estiment que le Canada a choisi deux sous-marins issus de la technologie allemande. Ce qui semble très déroutant... « On peut considérer que le sous-marin proposé par Hanwha est le résultat d’un transfert de technologie de l'industrie allemande, et que donc la compétition en elle-même n'est plus forcément extrêmement vive », explique-t-on à La Tribune. Entre la copie et l'original, les Canadiens pourraient rapidement choisir l’original. D'autant que les Coréens ne font pas non plus partie de l'OTAN, évoluent dans des eaux plutôt tempérées loin des océans arctique et atlantique et, enfin, coexistent avec un voisin très turbulent. Ce qui pourrait être les raisons politique et technique pour Ottawa d’écarter au final Hanwha. Faut-il également rappeler les Canadiens avaient annoncé au printemps vouloir rééquilibrer leurs relations commerciales entre les groupes de défense américains jusqu'ici dominants en tant que fournisseurs des armées canadiennes et les Européens. Ils souhaitaient s'inscrire dans une double perspective, un partenariat transatlantique avec l'Europe et un autre au sein de l'OTAN pour s'éloigner de l'orbite des États-Unis qu’ils jugeaient oppressante début 2025. « Or choisir entre TKMS et Hanwha, c'est choisir entre l'Allemagne, qui a la posture OTAN que l'on connait - un appétit pour les équipements militaires américains comme le F-35 et les Patriot - et Hanwha qui, par son positionnement géographique, n'est pas un membre de l'OTAN », rappelle-t-on. Le Canada et l’Allemagne ont en outre noué des liens plus étroits ces dernières années. Ainsi, en juillet 2024, le Canada, l'Allemagne et la Norvège ont créé en 2024 en marge du sommet de l'OTAN à Washington un Partenariat de sûreté maritime (PSM), en vue de renforcer la sécurité maritime dans l'Atlantique Nord. Ce partenariat a récemment été rejoint par le Danemark. Cette coopération élargie se fonde sur les principaux piliers du PSM : innovation, coopération en matière de matériel, résilience de l'industrie et instruction conjointe. Faut-il toutefois rappeler que les opérationnels norvégiens voulaient initialement le Scorpene de Naval Group mais les politiques allemands ont tordu le bras des Norvégiens pour qu’ils achètent des sous-marins à TKMS. La France a-t-elle procrastiné ? Cet échec reste un coup dur pour la France, et notamment pour Emmanuel Macron, qui avait à l'automne 2024 un peu forcé la main au PDG de Naval Group, Pierre Eric Pommellet, pour qu'il se lance dans cette compétition. Les équipes du chantier naval, qui avaient gardé en mémoire l'échec de la campagne de la frégate FREMM au Canada en 2017, avaient à l'époque des doutes sur un possible succès de Naval Group. Un pays, qui s'est toujours montré assez réticent à acheter du « Made in France » dans la défense : 546,5 millions d'euros sur la période 2014/2023 avec un pic de 446,5 millions en 2016. A posteriori, les équipes commerciales avaient eu raison de douter même si la France et Naval Group n'ont pas été au maximum de leurs possibilités dès le départ en termes de lobbying et de marketing pour rester en course dans la compétition, comme l'indiquent des sources concordantes à La Tribune. « Naval Group est parti trop tard et n'a pas mis les bouchées doubles et ce dans l'indifférence totale du ministère des Armées », confirme cet observateur. Certes très remarquée en mars dernier dans le port d'Halifax au Canada, l'escale du Tourville, l'un des sous-marins nucléaires d'attaque du programme Barracuda, n'a pas fait non plus tomber la pièce dans le bon sens. Il est vrai que ce joli coup français n'a pas eu de suite avec des visites à haut niveau. Pourtant, le Tourville est amené très certainement à se déployer à l’avenir régulièrement dans l’Atlantique Nord. Pourquoi ce faux départ ? Le groupe naval a été complètement pris par surprise par l'annonce précipitée d'Ottawa sur la composition de la short-list (présélection), tout comme d'ailleurs ses rivaux, y compris les deux finalistes. C'est pourquoi le groupe français ne s'est jamais vraiment lancé à fond dans cette compétition, qui n'en était qu'au stade du RFI (demande d'informations) alors que TKMS et Hanwha ont littéralement assiégé les Canadiens deux ans avant la décision d’Ottawa. Naval Group attendait cette présélection un peu plus tard et comptait déployer progressivement une approche commerciale de plus en plus soutenue dans le temps. Il ne s'attendait vraiment pas à perdre dès le RFI, un document d'une cinquantaine de pages qui ne répond que très partiellement aux besoins du client et qui appelait ensuite à un dialogue stratégique, industriel opérationnel. Le groupe français avait des arguments à faire valoir avec notamment le club Barracuda franco-néerlandais dans ces trois domaines auquel le Canada aurait eu accès. D’autant que la France est membre permanent du conseil de sécurité de l’ONU. « Pour remonter une flotte, il faut un grand partenaire », confirme un expert. Le Canada, qui a souhaité accélérer son processus d'acquisition en raison du vieillissement accentué de sa flotte de sous-marins, veut des bâtiments très rapidement pour compenser un trou capacitaire à venir. Ce que les deux finalistes se sont visiblement engagés à faire en les livrant très vite. Pour autant, assure-t-on à La Tribune, « croire que le Canada va signer un contrat avec TKMS ou Hanwha d'ici à la fin de l'année est une vue de l’esprit ». Est-ce alors des promesses en l’air ? Une chose est sure, c'est que la négociation de ce type de contrat prend en principe plusieurs années. Aux Pays-Bas et en Australie, le processus de sélection a duré dix ans environ tandis que celui des Singapouriens s'est étalé sur huit ans. Quant aux Norvégiens qui ont interrompu leur processus de leur compétition pour choisir TKMS dans le cadre d'une procédure de gré à gré gouvernemental, ils ont attendu plus de quatre ans avant de signer un contrat avec le chantier naval allemand (2017-2021). Michel CABIROL
  4. papsou

    L'armée de Terre Française

    Il y a encore une unité spécialisée dans les pigeons. Elle se situe au mont Valérien. Article intéressant mais pour les abonnés. Si une bonne âme pouvait nous la poster https://www.lemonde.fr/m-le-mag/article/2025/10/05/la-tres-selecte-escadrille-a-plumes-de-l-armee-francaise-ici-les-pigeons-prennent-un-bain-chaque-jour-s-ils-sont-sales-ou-malades-ils-se-laissent-deperir_6644465_4500055.html La très sélecte escadrille à plumes de l’armée française : « Ici, les pigeons prennent un bain chaque jour. S’ils sont sales ou malades, ils se laissent dépérir » A Suresnes, près de Paris, la forteresse du mont Valérien abrite le dernier colombier militaire d’Europe. Même si, à l’heure de l’ultra-technologisation des armements, le pigeon voyageur ne se déplace plus que pour les cérémonies officielles, il reste un symbole fort de l’histoire de l’armée.
  5. https://www.lemonde.fr/economie/article/2025/09/25/l-avion-de-combat-francais-allemand-et-espagnol-tete-d-affiche-de-l-europe-de-la-defense-risque-le-crash_6642884_3234.html « L’avion de combat français, allemand et espagnol, tête d’affiche de l’“Europe de la défense”, risque le crash » Chronique Isabelle Chaperon Berlin et Madrid menacent de se retirer du SCAF, ce système censé remplacer le Rafale et l’Eurofighter à horizon 2040, mécontents que le tricolore Dassault exige de contrôler la sous-traitance afin de protéger ses secrets et ceux de la France. Paris se dit prêt à financer seul le développement du projet, au risque de devoir rogner sur d’autres dépenses, observe Isabelle Chaperon, chroniqueuse au service Economie du « Monde ». Les caisses de la France sont vides. Pourtant elle doit assurer sa sécurité dans un monde de plus en plus menaçant. La solution ? Partager la facture des programmes de défense au niveau européen. Génial sur le papier, mais, dans les faits, c’est loin d’être simple comme le prouve le probable crash de l’avion de combat français, allemand et espagnol, tête d’affiche de l’« Europe de la défense ». Vous pouvez partager un article en cliquant sur les icônes de partage en haut à droite de celui-ci. La reproduction totale ou partielle d’un article, sans l’autorisation écrite et préalable du Monde, est strictement interdite. Pour plus d’informations, consultez nos conditions générales de vente. Pour toute demande d’autorisation, contactez syndication@lemonde.fr. En tant qu’abonné, vous pouvez offrir jusqu’à cinq articles par mois à l’un de vos proches grâce à la fonctionnalité « Offrir un article ». https://www.lemonde.fr/economie/article/2025/09/25/l-avion-de-combat-francais-allemand-et-espagnol-tete-d-affiche-de-l-europe-de-la-defense-risque-le-crash_6642884_3234.html Le système de combat aérien du futur, le SCAF, avait été lancé, en 2017, par le président de la République, Emmanuel Macron, et la chancelière allemande, Angela Merkel, afin de remplacer à horizon 2040 le Rafale (Dassault Aviation) et l’Eurofighter (Airbus, BAE Systems, Leonardo) par un avion de sixième génération interconnecté à un essaim de drones, pouvant mobiliser des armements sur terre et en mer grâce à un « cloud de combat ». Coût total estimé, 100 milliards d’euros. Un symbole fort à l’époque où le président à peine élu ne jurait que par le franco-allemand, à l’image de la fusion (avortée en 2019) entre Siemens et Alstom. Rompant avec toutes les règles, cette collaboration avait été annoncée sans un long travail préalable d’analyse des besoins auprès des armées et des industriels. Bref, du politique pur… Moyennant quoi, huit ans et 3 milliards d’euros de......
  6. Donald Trump déconseille le paracétamol aux femmes enceintes, évoquant sans preuve un risque d’autisme pour leur enfant La quasi-totalité des spécialistes de la question sont en désaccord avec le diagnostic délivré lundi par le président américain, qui s’en est aussi pris à la vaccination des nourrissons. https://www.lemonde.fr/planete/article/2025/09/23/donald-trump-deconseille-le-paracetamol-aux-femmes-enceintes-evoquant-sans-preuve-un-risque-d-autisme-pour-leur-enfant_6642487_3244.html « N’en prenez pas ! N’en prenez pas ! » Donald Trump n’avait pas revêtu de blouse mais c’est avec l’aplomb d’un médecin de famille qu’il a livré, lundi 22 septembre, ses prescriptions en matière de santé des enfants. Le président américain a notamment déconseillé aux femmes enceintes de prendre du paracétamol, un produit commercialisé outre-Atlantique sous le nom de Tylenol. Selon lui, cet antidouleur serait lié à l’augmentation des cas d’autisme dans le monde en général, et aux Etats-Unis en particulier. Il s’en est également pris à la vaccination des nourrissons.
  7. Aller, on y croit, on l'espère! Article libre d'accès. La famille de Cécile Kohler « très prudente » après les annonces de Téhéran Au lendemain des déclarations du ministre iranien évoquant des négociations sur un échange de prisonniers, la famille de Cécile Kohler, détenue avec son compagnon Jacques Paris en Iran depuis le 7 mai 2022, a rappelé ce vendredi qu’elle n’a eu « aucun signe de vie » des deux otages depuis le 1er juillet. https://www.lalsace.fr/defense-guerre-conflit/2025/09/12/la-famille-de-cecile-kohler-tres-prudente-apres-les-annonces-de-teheran
  8. De l'espoir pour Cécile.... https://www.lalsace.fr/defense-guerre-conflit/2025/09/11/teheran-annonce-que-la-preparation-d-un-echange-de-prisonniers-avec-la-france-est-dans-sa-phase-finale Téhéran annonce que la préparation d'un échange de prisonniers avec la France est dans sa « phase finale » Le ministre iranien des Affaires étrangères a jugé jeudi qu'un « échange de prisonniers français en Iran approche maintenant de sa phase finale ».
  9. Sans oublier la Chine et la Russie qui risquent de ne pas être d'accord.
  10. 20230, je sais pas si la chaine de fabrication ne sera pas obsolète...
  11. https://www.lemonde.fr/afrique/article/2025/08/11/mali-vague-d-arrestations-dans-l-armee-pour-tentative-de-destabilisation_6628252_3212.html Mali : vague d’arrestations dans l’armée pour « tentative de déstabilisation » Au Mali, les autorités ont arrêté une « vingtaine » de militaires, dont le général Abass Dembélé, soupçonnés de vouloir renverser la junte. Les autorités maliennes ont procédé depuis plusieurs jours à « au moins une vingtaine d’arrestations » de militaires soupçonnés de vouloir renverser la junte – elle-même arrivée au pouvoir par deux coups d’Etat successifs en 2020 et 2021 –, selon des sources sécuritaires et politiques, le 10 août. « Depuis trois jours, il y a des arrestations liées à une tentative de déstabilisation des institutions », a confirmé une source sécuritaire malienne. Une autre source au sein de l’armée évoque elle aussi une « tentative de déstabilisation », ajoutant : « Nous avons procédé aux arrestations nécessaires. » Profonde crise sécuritaire Le général Abass Dembélé, ancien gouverneur de la région de Mopti (Centre) et figure respectée au sein de l’armée, a été arrêté dans la matinée de dimanche à Kati, ville garnison où se trouve un important camp militaire, au nord de Bamako. « On ne lui a pas dit pourquoi », assure un de ses proches. Le Mali est en proie depuis 2012 à une profonde crise sécuritaire, nourrie notamment par les violences de groupes affiliés à Al-Qaida et à l’organisation Etat islamique, ainsi que de groupes criminels communautaires.
  12. https://www.latribune.fr/idees/tribunes/opinion-sous-marins-nucleaires-en-indo-pacifique-les-silences-de-la-france-1030044.html En Australie, la France a semble-t-il les capacités et l'opportunité pour reprendre la main et éviter à Canberra les déboires à venir d'Aukus. Par Philippe Roger, Par Philippe Roger, ingénieur hors classe de l'armement (2S) et membre de l'Académie de Marine. L'Inde, la Corée du Sud, et l'Australie ont un programme de développement national ou d'acquisition de sous-marins nucléaires. Le Japon, compte tenu de sa zone d'action, en a également besoin, mais n'a pas fait connaître publiquement ses intentions. Tous ces pays, qui ne sont pas nos ennemis, bien au contraire, ont recherché officieusement, par des contacts au niveau technique,s'il serait possible d'obtenir l'aide de la France, à un moment ou à un autre. La France n'a jamais répondu à ces ouvertures, parce que ses diplomates voulaient une demande officielle, mais aussi pour d'autres raisons restées moins explicites, qu'il faut réexaminer. L'Australie, poursuivant sa réflexion, a affirmé qu'elle renonçait à envisager de recourir dans l'immédiat à la propulsion nucléaire, et a passé après compétition un contrat de sous-marins conventionnels à Naval Group, avant d'y mettre fin pour revenir, par un deuxième revirement, à la propulsion nucléaire dans le cadre de l'accord Aukus avec les Etats-Unis et la Grande-Bretagne. Si elle l'avait demandée à la France, il est très probable qu'elle aurait obtenu, comme le Canada dans les années 90, une offre de sous-marin à propulsion nucléaire. La suite c'est pour les abonnés...
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