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https://www.lemonde.fr/economie/article/2025/09/25/l-avion-de-combat-francais-allemand-et-espagnol-tete-d-affiche-de-l-europe-de-la-defense-risque-le-crash_6642884_3234.html « L’avion de combat français, allemand et espagnol, tête d’affiche de l’“Europe de la défense”, risque le crash » Chronique Isabelle Chaperon Berlin et Madrid menacent de se retirer du SCAF, ce système censé remplacer le Rafale et l’Eurofighter à horizon 2040, mécontents que le tricolore Dassault exige de contrôler la sous-traitance afin de protéger ses secrets et ceux de la France. Paris se dit prêt à financer seul le développement du projet, au risque de devoir rogner sur d’autres dépenses, observe Isabelle Chaperon, chroniqueuse au service Economie du « Monde ». Les caisses de la France sont vides. Pourtant elle doit assurer sa sécurité dans un monde de plus en plus menaçant. La solution ? Partager la facture des programmes de défense au niveau européen. Génial sur le papier, mais, dans les faits, c’est loin d’être simple comme le prouve le probable crash de l’avion de combat français, allemand et espagnol, tête d’affiche de l’« Europe de la défense ». Vous pouvez partager un article en cliquant sur les icônes de partage en haut à droite de celui-ci. La reproduction totale ou partielle d’un article, sans l’autorisation écrite et préalable du Monde, est strictement interdite. Pour plus d’informations, consultez nos conditions générales de vente. Pour toute demande d’autorisation, contactez syndication@lemonde.fr. En tant qu’abonné, vous pouvez offrir jusqu’à cinq articles par mois à l’un de vos proches grâce à la fonctionnalité « Offrir un article ». https://www.lemonde.fr/economie/article/2025/09/25/l-avion-de-combat-francais-allemand-et-espagnol-tete-d-affiche-de-l-europe-de-la-defense-risque-le-crash_6642884_3234.html Le système de combat aérien du futur, le SCAF, avait été lancé, en 2017, par le président de la République, Emmanuel Macron, et la chancelière allemande, Angela Merkel, afin de remplacer à horizon 2040 le Rafale (Dassault Aviation) et l’Eurofighter (Airbus, BAE Systems, Leonardo) par un avion de sixième génération interconnecté à un essaim de drones, pouvant mobiliser des armements sur terre et en mer grâce à un « cloud de combat ». Coût total estimé, 100 milliards d’euros. Un symbole fort à l’époque où le président à peine élu ne jurait que par le franco-allemand, à l’image de la fusion (avortée en 2019) entre Siemens et Alstom. Rompant avec toutes les règles, cette collaboration avait été annoncée sans un long travail préalable d’analyse des besoins auprès des armées et des industriels. Bref, du politique pur… Moyennant quoi, huit ans et 3 milliards d’euros de......
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Donald Trump déconseille le paracétamol aux femmes enceintes, évoquant sans preuve un risque d’autisme pour leur enfant La quasi-totalité des spécialistes de la question sont en désaccord avec le diagnostic délivré lundi par le président américain, qui s’en est aussi pris à la vaccination des nourrissons. https://www.lemonde.fr/planete/article/2025/09/23/donald-trump-deconseille-le-paracetamol-aux-femmes-enceintes-evoquant-sans-preuve-un-risque-d-autisme-pour-leur-enfant_6642487_3244.html « N’en prenez pas ! N’en prenez pas ! » Donald Trump n’avait pas revêtu de blouse mais c’est avec l’aplomb d’un médecin de famille qu’il a livré, lundi 22 septembre, ses prescriptions en matière de santé des enfants. Le président américain a notamment déconseillé aux femmes enceintes de prendre du paracétamol, un produit commercialisé outre-Atlantique sous le nom de Tylenol. Selon lui, cet antidouleur serait lié à l’augmentation des cas d’autisme dans le monde en général, et aux Etats-Unis en particulier. Il s’en est également pris à la vaccination des nourrissons.
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Aller, on y croit, on l'espère! Article libre d'accès. La famille de Cécile Kohler « très prudente » après les annonces de Téhéran Au lendemain des déclarations du ministre iranien évoquant des négociations sur un échange de prisonniers, la famille de Cécile Kohler, détenue avec son compagnon Jacques Paris en Iran depuis le 7 mai 2022, a rappelé ce vendredi qu’elle n’a eu « aucun signe de vie » des deux otages depuis le 1er juillet. https://www.lalsace.fr/defense-guerre-conflit/2025/09/12/la-famille-de-cecile-kohler-tres-prudente-apres-les-annonces-de-teheran
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De l'espoir pour Cécile.... https://www.lalsace.fr/defense-guerre-conflit/2025/09/11/teheran-annonce-que-la-preparation-d-un-echange-de-prisonniers-avec-la-france-est-dans-sa-phase-finale Téhéran annonce que la préparation d'un échange de prisonniers avec la France est dans sa « phase finale » Le ministre iranien des Affaires étrangères a jugé jeudi qu'un « échange de prisonniers français en Iran approche maintenant de sa phase finale ».
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L'avenir de la péninsule coréenne
papsou a répondu à un(e) sujet de Andromeda dans Politique etrangère / Relations internationales
Sans oublier la Chine et la Russie qui risquent de ne pas être d'accord. -
USA - Criailleries 2 - Rumeurs, controverses, polémiques
papsou a répondu à un(e) sujet de rogue0 dans Politique etrangère / Relations internationales
Polonium??? -
20230, je sais pas si la chaine de fabrication ne sera pas obsolète...
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Opérations au Mali
papsou a répondu à un(e) sujet de pascal dans Politique etrangère / Relations internationales
https://www.lemonde.fr/afrique/article/2025/08/11/mali-vague-d-arrestations-dans-l-armee-pour-tentative-de-destabilisation_6628252_3212.html Mali : vague d’arrestations dans l’armée pour « tentative de déstabilisation » Au Mali, les autorités ont arrêté une « vingtaine » de militaires, dont le général Abass Dembélé, soupçonnés de vouloir renverser la junte. Les autorités maliennes ont procédé depuis plusieurs jours à « au moins une vingtaine d’arrestations » de militaires soupçonnés de vouloir renverser la junte – elle-même arrivée au pouvoir par deux coups d’Etat successifs en 2020 et 2021 –, selon des sources sécuritaires et politiques, le 10 août. « Depuis trois jours, il y a des arrestations liées à une tentative de déstabilisation des institutions », a confirmé une source sécuritaire malienne. Une autre source au sein de l’armée évoque elle aussi une « tentative de déstabilisation », ajoutant : « Nous avons procédé aux arrestations nécessaires. » Profonde crise sécuritaire Le général Abass Dembélé, ancien gouverneur de la région de Mopti (Centre) et figure respectée au sein de l’armée, a été arrêté dans la matinée de dimanche à Kati, ville garnison où se trouve un important camp militaire, au nord de Bamako. « On ne lui a pas dit pourquoi », assure un de ses proches. Le Mali est en proie depuis 2012 à une profonde crise sécuritaire, nourrie notamment par les violences de groupes affiliés à Al-Qaida et à l’organisation Etat islamique, ainsi que de groupes criminels communautaires. -
Marine Australienne: modernisations, acquisitions et exercices navals.
papsou a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Asie / Océanie
https://www.latribune.fr/idees/tribunes/opinion-sous-marins-nucleaires-en-indo-pacifique-les-silences-de-la-france-1030044.html En Australie, la France a semble-t-il les capacités et l'opportunité pour reprendre la main et éviter à Canberra les déboires à venir d'Aukus. Par Philippe Roger, Par Philippe Roger, ingénieur hors classe de l'armement (2S) et membre de l'Académie de Marine. L'Inde, la Corée du Sud, et l'Australie ont un programme de développement national ou d'acquisition de sous-marins nucléaires. Le Japon, compte tenu de sa zone d'action, en a également besoin, mais n'a pas fait connaître publiquement ses intentions. Tous ces pays, qui ne sont pas nos ennemis, bien au contraire, ont recherché officieusement, par des contacts au niveau technique,s'il serait possible d'obtenir l'aide de la France, à un moment ou à un autre. La France n'a jamais répondu à ces ouvertures, parce que ses diplomates voulaient une demande officielle, mais aussi pour d'autres raisons restées moins explicites, qu'il faut réexaminer. L'Australie, poursuivant sa réflexion, a affirmé qu'elle renonçait à envisager de recourir dans l'immédiat à la propulsion nucléaire, et a passé après compétition un contrat de sous-marins conventionnels à Naval Group, avant d'y mettre fin pour revenir, par un deuxième revirement, à la propulsion nucléaire dans le cadre de l'accord Aukus avec les Etats-Unis et la Grande-Bretagne. Si elle l'avait demandée à la France, il est très probable qu'elle aurait obtenu, comme le Canada dans les années 90, une offre de sous-marin à propulsion nucléaire. La suite c'est pour les abonnés... -
Un très grand parking...
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très efficace en effet, voici celle de st Menges, les pauvres gars qui étaient présents sont tous morts! et les allemands sont passés sans problème. La Meuse est à 8 KM.
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- Force aérienne suisse
- F-18 Hornet
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https://www.latribune.fr/depeches/reuters/KBN3IY13M/paris-veut-une-participation-de-80-dans-le-projet-scaf.html La France a fait savoir à l'Allemagne qu'elle souhaitait obtenir une participation d'environ 80% dans le projet d'avion de combat du futur (Scaf), a déclaré à Reuters une source au sein de l'industrie de la défense, confirmant une information de la publication allemande Hartpunkt, spécialisée dans le secteur. Le projet, dont le coût est estimé à plus de 100 milliards d'euros, a connu des retards et est victime de querelles intestines sur le partage des tâches et les droits de propriété intellectuelle entre la France et l'Allemagne, ainsi qu'entre leurs industries nationales respectives. Le français Dassault Aviation, Airbus, qui représente l'Allemagne, et l'Espagnol Indra sont impliqués dans le projet visant à remplacer à partir de 2040 le Rafale français et les Eurofighters allemands et espagnols par un avion de combat de cinquième génération. Un porte-parole du ministère allemand de la Défense a affirmé que l'accord intergouvernemental entérinant le développement du Scaf demeurait le cadre de référence pour que Berlin poursuive sa participation dans le projet. Les questions sur l'implication de la France concernent la partie française, a-t-il ajouté. Le ministère français des Armées s'est refusé à tout commentaire. Un porte-parole d'Airbus a également refusé de commenter cette information mais a déclaré que l'entreprise restait attachée au Scaf et à tous les accords antérieurs. Si la France devait donner suite à sa demande d'une participation à hauteur de 80%, la répartition des tâches convenue serait mise à mal, a indiqué la source industrielle. Les divergences qui en résulteraient entre les partenaires rendraient peu probable l'entrée du projet dans sa phase suivante prévue d'ici à la fin de l'année. Jusqu'à présent, les tâches et la répartition du travail ont été divisées en fonction des piliers spécifiques du projet, tels que le développement de l'avion lui-même, du moteur, des drones de combat associés ("remote carrier") et du "cloud" de combat aérien, l'épine dorsale numérique reliant les systèmes. TENSIONS Un changement dans la répartition des tâches pourrait également représenter un revers pour les entreprises allemandes telles que Hensoldt et MTU. Les plans du Scaf ont été dévoilés pour la première fois en juillet 2017 par le président français Emmanuel Macron et la chancelière allemande d'alors, Angela Merkel. Ils comprennent un avion de chasse et une gamme d'armes associées, y compris des drones. Ces dernières années, le projet - initialement destiné à unifier les Européens après la crise migratoire et la décision de la Grande-Bretagne de quitter l'Union européenne - a été une source de tension entre la France et l'Allemagne. En 2022, Emmanuel Macron a annulé une réunion ministérielle franco-allemande en raison de désaccords avec Berlin sur un large éventail de questions, y compris les projets de défense et d'énergie. Si Paris maintient sa demande d'une participation de 80%, cela pourrait constituer le dernier "clou dans le cercueil" du projet commun, car Berlin ne pourrait continuer à financer un projet français avec de l'argent allemand, a déclaré à Hartpunkt le député allemand Christoph Schmid, membre du parti social-démocrate (SPD), comme le ministre de la Défense Boris Pistorius. Selon une seconde source, le comité d'entreprise d'Airbus Defence & Space a convoqué une réunion syndicale lundi à Manching, l'usine la plus importante pour l'Eurofighter. Ce dernier rebondissement autour du Scaf pourrait par ailleurs alimenter de nouvelles spéculations sur une fusion avec le projet rival mené par la Grande-Bretagne, l'Italie et le Japon, le "Global combat air program" (GCAP).
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Casimir pendant qu on y est, on le peint en orange...