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Marine Australienne: modernisations, acquisitions et exercices navals.
papsou a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Asie / Océanie
https://www.latribune.fr/idees/tribunes/opinion-sous-marins-nucleaires-en-indo-pacifique-les-silences-de-la-france-1030044.html En Australie, la France a semble-t-il les capacités et l'opportunité pour reprendre la main et éviter à Canberra les déboires à venir d'Aukus. Par Philippe Roger, Par Philippe Roger, ingénieur hors classe de l'armement (2S) et membre de l'Académie de Marine. L'Inde, la Corée du Sud, et l'Australie ont un programme de développement national ou d'acquisition de sous-marins nucléaires. Le Japon, compte tenu de sa zone d'action, en a également besoin, mais n'a pas fait connaître publiquement ses intentions. Tous ces pays, qui ne sont pas nos ennemis, bien au contraire, ont recherché officieusement, par des contacts au niveau technique,s'il serait possible d'obtenir l'aide de la France, à un moment ou à un autre. La France n'a jamais répondu à ces ouvertures, parce que ses diplomates voulaient une demande officielle, mais aussi pour d'autres raisons restées moins explicites, qu'il faut réexaminer. L'Australie, poursuivant sa réflexion, a affirmé qu'elle renonçait à envisager de recourir dans l'immédiat à la propulsion nucléaire, et a passé après compétition un contrat de sous-marins conventionnels à Naval Group, avant d'y mettre fin pour revenir, par un deuxième revirement, à la propulsion nucléaire dans le cadre de l'accord Aukus avec les Etats-Unis et la Grande-Bretagne. Si elle l'avait demandée à la France, il est très probable qu'elle aurait obtenu, comme le Canada dans les années 90, une offre de sous-marin à propulsion nucléaire. La suite c'est pour les abonnés... -
Un très grand parking...
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très efficace en effet, voici celle de st Menges, les pauvres gars qui étaient présents sont tous morts! et les allemands sont passés sans problème. La Meuse est à 8 KM.
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- Force aérienne suisse
- F-18 Hornet
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(et 1 en plus)
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https://www.latribune.fr/depeches/reuters/KBN3IY13M/paris-veut-une-participation-de-80-dans-le-projet-scaf.html La France a fait savoir à l'Allemagne qu'elle souhaitait obtenir une participation d'environ 80% dans le projet d'avion de combat du futur (Scaf), a déclaré à Reuters une source au sein de l'industrie de la défense, confirmant une information de la publication allemande Hartpunkt, spécialisée dans le secteur. Le projet, dont le coût est estimé à plus de 100 milliards d'euros, a connu des retards et est victime de querelles intestines sur le partage des tâches et les droits de propriété intellectuelle entre la France et l'Allemagne, ainsi qu'entre leurs industries nationales respectives. Le français Dassault Aviation, Airbus, qui représente l'Allemagne, et l'Espagnol Indra sont impliqués dans le projet visant à remplacer à partir de 2040 le Rafale français et les Eurofighters allemands et espagnols par un avion de combat de cinquième génération. Un porte-parole du ministère allemand de la Défense a affirmé que l'accord intergouvernemental entérinant le développement du Scaf demeurait le cadre de référence pour que Berlin poursuive sa participation dans le projet. Les questions sur l'implication de la France concernent la partie française, a-t-il ajouté. Le ministère français des Armées s'est refusé à tout commentaire. Un porte-parole d'Airbus a également refusé de commenter cette information mais a déclaré que l'entreprise restait attachée au Scaf et à tous les accords antérieurs. Si la France devait donner suite à sa demande d'une participation à hauteur de 80%, la répartition des tâches convenue serait mise à mal, a indiqué la source industrielle. Les divergences qui en résulteraient entre les partenaires rendraient peu probable l'entrée du projet dans sa phase suivante prévue d'ici à la fin de l'année. Jusqu'à présent, les tâches et la répartition du travail ont été divisées en fonction des piliers spécifiques du projet, tels que le développement de l'avion lui-même, du moteur, des drones de combat associés ("remote carrier") et du "cloud" de combat aérien, l'épine dorsale numérique reliant les systèmes. TENSIONS Un changement dans la répartition des tâches pourrait également représenter un revers pour les entreprises allemandes telles que Hensoldt et MTU. Les plans du Scaf ont été dévoilés pour la première fois en juillet 2017 par le président français Emmanuel Macron et la chancelière allemande d'alors, Angela Merkel. Ils comprennent un avion de chasse et une gamme d'armes associées, y compris des drones. Ces dernières années, le projet - initialement destiné à unifier les Européens après la crise migratoire et la décision de la Grande-Bretagne de quitter l'Union européenne - a été une source de tension entre la France et l'Allemagne. En 2022, Emmanuel Macron a annulé une réunion ministérielle franco-allemande en raison de désaccords avec Berlin sur un large éventail de questions, y compris les projets de défense et d'énergie. Si Paris maintient sa demande d'une participation de 80%, cela pourrait constituer le dernier "clou dans le cercueil" du projet commun, car Berlin ne pourrait continuer à financer un projet français avec de l'argent allemand, a déclaré à Hartpunkt le député allemand Christoph Schmid, membre du parti social-démocrate (SPD), comme le ministre de la Défense Boris Pistorius. Selon une seconde source, le comité d'entreprise d'Airbus Defence & Space a convoqué une réunion syndicale lundi à Manching, l'usine la plus importante pour l'Eurofighter. Ce dernier rebondissement autour du Scaf pourrait par ailleurs alimenter de nouvelles spéculations sur une fusion avec le projet rival mené par la Grande-Bretagne, l'Italie et le Japon, le "Global combat air program" (GCAP).
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Casimir pendant qu on y est, on le peint en orange...
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Et sur le Maroni ce serait peut être utile?
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Groupe Dassault Aviation, fil sur l'avionneur/industriel
papsou a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Pendant qu'on y est, un place un Neuron de chaque coté avec un gros bidon de retardant. Je suis très loin-->[] -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires
papsou a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
https://www.lemonde.fr/international/live/2025/06/28/en-direct-guerre-en-ukraine-attaques-russes-sur-zaporijia-et-odessa-kiev-revendique-la-destruction-de-chasseurs-bombardiers-en-russie_6615228_3210.html L’Ukraine revendique la destruction de chasseurs bombardiers Su-34 à la base aérienne de Marinovka, dans l’oblast de Volgograd Des drones ukrainiens ont frappé quatre chasseurs bombardiers Su-34 stationnés à la base aérienne de Marinovka, dans l’oblast de Volgograd, en Russie, dans la nuit du 27 juin, a annoncé l’état-major général ukrainien. L’opération a été menée par les forces spéciales et le service de sécurité d’Ukraine (SBU), en coopération avec d’autres unités militaires, selon l’état-major. L’oblast de Volgograd se situe à environ 900 kilomètres au sud-est de Moscou. Selon les premières informations, deux chasseurs russes ont été détruits et deux autres endommagés. La Russie utilise ces appareils pour bombarder l’Ukraine, en larguant des bombes aériennes guidées, a précisé l’état-major. L’attaque a également provoqué un incendie dans une installation où les avions de combat sont entretenus et réparés. La chaîne Telegram russe Fighterbomber exprime son exaspération, demandant des comptes à l’armée : « Encore des pertes de plusieurs milliards qu’on aurait pu et dû éviter. Et il ne serait pas mauvais que les responsables ne soient pas uniquement les Ukrainiens. Il y a ici des gens à qui demander des comptes. » -
https://x.com/DamienFleurot/status/450928362962583552/photo/1
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Tellement bien que... https://eismena.com/article/un-genocide-oublie-100-ans-de-solitude-pour-les-kurdes-2023-06-20 "Trente-cinq ans après l’opération Anfal, le génocide kurde perpétré en Irak par le régime baasiste de Saddam Hussein n’a toujours pas été officiellement reconnu par la communauté internationale. « La solution finale à la question kurde » a causé la mort de 182.000 personnes en 1988."
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On va dire cela à Cécile Kohler...
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Groupe Dassault Aviation, fil sur l'avionneur/industriel
papsou a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
+ quelques jato et roule ma poule ! -
C'est curieux chez les marins, ce besoin de faire des phrases.
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St Eloi???
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Ressortissants français détenus en Iran : la France dépose plainte devant la Cour internationale de justice, annonce Jean-Noël Barrot Le ministre des affaires étrangères Jean-Noël Barrot a déclaré déposer plainte en raison du non-respect par Téhéran du droit à la protection consulaire, pour Cécile Kohler et Jacques Paris, « retenus en otages depuis plus de trois ans, dans des conditions indignes ». https://www.lemonde.fr/international/article/2025/05/16/ressortissants-francais-detenus-en-iran-la-france-depose-plainte-devant-la-cour-internationale-de-justice-annonce-jean-noel-barrot_6606400_3210.html
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Le Burkina Faso
papsou a répondu à un(e) sujet de Coriace dans Politique etrangère / Relations internationales
https://www.latribune.fr/depeches/reuters/KBN3HH1R7/burkina-faso-un-groupe-lie-a-al-qaida-dit-avoir-tue-200-soldats-sur-une-base-militaire.html Burkina Faso : Un groupe lié à Al Qaïda dit avoir tué 200 soldats sur une base militaire Un groupe affilié à Al Qaïda a revendiqué avoir tué 200 soldats lors d'une attaque contre une base militaire du Burkina Faso, a rapporté jeudi Site Intelligence Group, spécialisé dans la surveillance des réseaux islamistes. Des sources sécuritaires ont déclaré à Reuters que la base située à Djibo, dans le nord du pays, a été la cible d'une attaque dimanche matin. Un commissariat et un marché ont également été ciblés, ont-elles ajouté. Aucun bilan officiel n'a été communiqué. Trois habitants de Djibo ont toutefois dit à Reuters avoir vu des dizaines de soldats et civils tués. L'attaque a été revendiquée par le Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans (Jama'a Nusrat ul-Islam wa al-Muslimin, JNIM), selon Site Intelligence Group, qui avait au préalable rapporté que le chef du groupe affilié à Al Qaïda avait exhorté les habitants de Djibo à fuir la ville pour leur sécurité. -
VATICAN : micro état / influence maxi
papsou a répondu à un(e) sujet de Bechar06 dans Politique etrangère / Relations internationales
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Ou peut être aux Australiens? A mais non, suis je bête...
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Inde : politique intérieure et internationale
papsou a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Politique etrangère / Relations internationales
https://www.latribune.fr/economie/international/avec-le-conflit-au-cachemire-l-inde-et-le-pakistan-jouent-gros-au-niveau-economique-1024476.html Avec le conflit au Cachemire, l'Inde et le Pakistan jouent gros au niveau économique DÉCRYPTAGE. Le conflit au Cachemire entre l’Inde et le Pakistan a pris une tournure militaire jamais vu depuis vingt ans. Si le coût en vies humaines est déjà là, avec un bilan qui s’alourdit, le coût économique risque de rapidement devenir une réalité. L'Inde a mené des frappes aériennes au Pakistan, au cours de la nuit dernière. Les échanges de tirs ont causé la mort d'au moins 26 personnes du côté pakistanais et 12 du côté indien. Cet incident tragique représente l'affrontement militaire le plus sérieux entre ces deux puissances nucléaires depuis vingt ans. Tout est parti d'un attentat le 22 avril, perpétré par une faction armée pakistanaise à Pahalgam, en territoire indien. Bilan : 26 touristes indiens tués. Derrière, une soudaine montée en tension entre les deux « frères ennemis », issus de la partition en deux de l'ex-colonie britannique en 1947. Le risque de « guerre totale » entre les deux nations, pour reprendre les mots de la Turquie ce mercredi, est réel. Avec derrière, « des conséquences négatives inévitables, mais de formes différentes pour les deux États », confirme Jean-Joseph Boillot, chercheur associé à l'Institut des relations internationales et stratégiques (Iris). Des investisseurs qui peuvent devenir plus frileux avec l'Inde D'après l'économiste spécialiste de la région, l'Inde peut voir augmenter « sa prime de risque pays ». Conséquence : certains investisseurs vont « réfléchir à deux fois » avant d'investir sur place, voire « geler » certains investissements. In fine, « cela va compromettre la position de l'Inde comme substitut du made in China ». Un statut qu'elle tente de renforcer depuis plusieurs années en proposant aux grandes entreprises étrangères occidentales de la tech, des sites de fabrication clés en main, avec une main-d'œuvre qualifiée, mais bon marché. Le récent déplacement des sites chinois d'Apple en Inde, à cause des droits de douane américains, est une bonne illustration du fonctionnement de cette politique de New Delhi. D'ailleurs, si la Bourse de Bombay semble, pour l'heure, garder son calme — rassurée par l'accord de libre-échange signé avec le Royaume-Uni — la roupie indienne chute de 0,6 % face au dollar ce mercredi. Aussi, la volatilité des principaux titres indiens « s'est accrue sur le marché indien », selon le média financier Investir. En outre, le chercheur de l'Iris fait aussi remarquer que les taux d'intérêt de la dette indienne « se sont tendus » depuis le début de ce nouveau cycle de tension. « Heureusement, l'Inde a une économie résiliente, ce qui va l'aider à tenir, en tout cas pour le moment », ajoute Jean-Joseph Boillot. En quasi-faillite budgétaire, le Pakistan joue gros Mais la donne est tout à fait différente pour le Pakistan, souligne l'économiste, « car le pays est encore aujourd'hui en quasi-faillite budgétaire ». D'ailleurs en 2023, la république islamique a été sauvée in extremis par un programme d'aide du Fonds monétaire international (FMI), le 25e depuis 1958, de 7 milliards de dollars. Étant plus fragile, la crise actuelle va encore plus aggraver la dette du pays. Selon une note du Trésor, fin 2024, la dette publique pakistanaise s'établissait « à 130 milliards de dollars, dont 86 milliards de dette domestique et 44 de dette externe ». Notamment vis-à-vis de la Chine, grand prêteur financier et investisseur au Pakistan. À LIRE AUSSI Apple quitte la Chine : pourquoi l'Inde devient le nouveau cœur de sa production d'iPhone Autre risque, cette fois-ci valable pour les deux pays : l'instabilité politique interne que ce conflit risque de produire, avec derrière une incertitude économique, mauvaise pour les affaires. L'économiste explique : « Des deux côtés, les dirigeants jouent sur la fibre patriotique pour mobiliser les citoyens. Mais j'observe que cela ne resserre pas les rangs. Plusieurs partis d'opposition au Pakistan et en Inde ne veulent pas de guerre entre voisins. » Risque de conflit majeur sur l'eau Enfin, cet autre problème économique de taille pend au nez du Pakistan. Comme mesure de rétorsion suite à l'attentat, l'Inde a suspendu arbitrairement le « traité bilatéral des eaux de l'Indus ». Une mesure qualifiée par l'exécutif pakistanais comme un « acte de guerre ». Acté en 1960 sous l'égide de la Banque mondiale, le traité régule le contrôle du bassin de l'Indus, un fleuve qui part des montagnes himalayennes de Chine, traverse l'Inde et finit sa course au Pakistan, soit six cours d'eau. La partie indienne de l'Indus, qui passe par le Cachemire, ainsi que deux autres affluents, capte 80 % du volume total de l'eau. L'Inde confirme enfin l'achat de 26 Rafale Marine à Dassault Aviation « Or, 99 % de l'agriculture pakistanaise a besoin de l'Indus, c'est 25 % du PIB du pays, rappelle le chercheur. C'est un gros problème si l'Inde entrave l'acheminement de l'eau au Pakistan. Mais il faut rappeler aussi qu'elle n'a pas toutes les infrastructures pour faire un blocage à 100 %. » A contrario, ajoute l'économiste, l'Inde possède de nombreux barrages hydroélectriques sur l'Indus, y compris en zone pakistanaise. Le conflit pourrait inciter les autorités pakistanaises à bloquer le fonctionnement de ces ouvrages. Une situation qui serait problématique pour l'Inde, qui a besoin d'utiliser la pleine puissance de ces barrages pour fournir l'électricité à son immense territoire. -
Relations et Rivalité Chine / Etats-Unis
papsou a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
Xi Jinping renforcé par son duel avec Donald Trump, sur la scène intérieure comme à l’étranger La guerre commerciale déclenchée par le président américain permet à Pékin de rejeter sur Washington la responsabilité du ralentissement économique et de s’afficher comme une puissance plus responsable et prévisible. https://www.lemonde.fr/international/article/2025/05/06/le-president-chinois-xi-jinping-renforce-par-son-duel-avec-donald-trump-sur-la-scene-interieure-comme-a-l-international_6603256_3210.html -
Ils ont peut être confondu avec des Francs Belge...
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Loulou?