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Russie et dépendances.
papsou a répondu à un(e) sujet de Tactac dans Politique etrangère / Relations internationales
Parce que c'est Noel ... https://www.latribune.fr/article/defense-aerospatiale/spatial/11613755101043/construire-une-centrale-nucleaire-sur-la-lune-le-projet-de-la-decennie-de-moscou La Russie prévoit d’installer une centrale nucléaire sur la Lune dans la décennie pour alimenter son programme spatial et une station de recherche russo-chinoise, alors que les grandes puissances se précipitent pour explorer le satellite de la Terre. Verra-t-on une centrale nucléaire sur la Lune dans dix ans ? C’est le projet fou de la société spatiale d’État russe, Roscosmos. Celle-ci a déclaré dans un communiqué qu’elle prévoyait de construire une centrale électrique lunaire d’ici à 2036 et qu’elle avait signé un contrat avec la société aérospatiale Association Lavotchkine à cet effet. Roscosmos n’a pas précisé que la centrale serait nucléaire, mais a indiqué que parmi les participants figurent la société nucléaire d’État russe Rosatom et l’institut Kourtchatov, principal institut de recherche nucléaire de Russie. La société d’État russe a indiqué que la centrale avait pour but d’alimenter le programme lunaire russe, notamment les rovers, un observatoire et l’infrastructure de la station de recherche lunaire internationale russo-chinoise. Son directeur, Dmitry Bakanov, a déclaré en juin que l’un des objectifs de la société était d’installer une centrale nucléaire sur la Lune et d’explorer Vénus, connue comme la planète « sœur » de la Terre. La Lune, située à 384 400 kilomètres (238 855 miles) de notre planète, atténue les mouvements de la Terre sur son axe, ce qui assure un climat plus stable. Depuis que le cosmonaute soviétique Youri Gagarine est devenu le premier homme à aller dans l’espace en 1961, la Russie s’est enorgueillie d’être une puissance de premier plan dans l’exploration spatiale. Mais ces dernières décennies, elle a pris du retard sur les États-Unis et, de plus en plus, sur la Chine. Les ambitions de la Russie ont subi un coup dur en août 2023 lorsque sa mission Luna-25, sans équipage, s’est écrasée à la surface de la Lune en tentant d’atterrir, et Elon Musk a révolutionné le lancement de véhicules spatiaux, autrefois une spécialité russe. Un projet américain similaire La Russie n’est pas la seule à nourrir de tels projets. En août, la Nasa a annoncé son intention d’installer un réacteur nucléaire sur la Lune d’ici le premier trimestre de l’exercice budgétaire 2030. Wall Street sort sa boule de cristal pour 2026, mais ce qu’elle y voit est loin d’être certain. Il a ajouté que les États-Unis étaient actuellement en retard dans la course à la Lune. Il a précisé que l’énergie était essentielle pour permettre le maintien de la vie sur la Lune et, par conséquent, pour que les humains puissent atteindre Mars. Des terres rares sur la Lune Les règles internationales interdisent l’envoi d’armes nucléaires dans l’espace, mais il n’existe aucune interdiction d’envoyer des sources d’énergie nucléaire dans l’espace, à condition qu’elles respectent certaines règles. Certains analystes spatiaux ont prédit une ruée vers l’or lunaire : la Nasa affirme qu’il existerait sur la Lune des estimations d’un million de tonnes d’hélium-3, un isotope de l’hélium rare sur Terre. Les terres rares, utilisées dans les smartphones, les ordinateurs et les technologies de pointe, sont également présentes sur la Lune, notamment le scandium, l’yttrium et les 15 lanthanides, selon une étude de Boeing. -
Relance d'une industrie nationale des munitions de petits calibres
papsou a répondu à un(e) sujet de Clairon dans Economie et défense
https://www.latribune.fr/article/regions/auvergne-rhone-alpes/117952251777514/defense-le-groupe-beretta-sapprete-a-investir-10-millions-d-euros-en-france Défense : le groupe Beretta s'apprête à investir 10 millions d’euros en France La filiale à 100% du groupe Beretta, Humbert CTTS, s'apprête à investir 10 millions d’euros près de Saint-Etienne. Un investissement qui vise à accompagner sa croissance, tirée par les marchés de la sécurité et de la défense. Le distributeur compte bien placer ses pions dans le cadre de l’appel d’offres de la DGA pour la relocalisation d’une filière française de munitions petit calibre. Filiale de Beretta depuis 25 ans (qui est même devenu son actionnaire unique début 2025, suite à la sortie de Sofisport de son capital), Humbert CTTS constitue la pierre angulaire commerciale en France de l’armurier italien aux 6.500 salariés et 1,5 milliard d’euros de chiffre d’affaires. L’entreprise ligérienne de 75 salariés est en effet le distributeur exclusif des marques du groupe Beretta dans l’Hexagone. Il va investir dix millions d’euros dans la construction d’un nouveau bâtiment de 6.000m² dans la périphérie stéphanoise, à quelques kilomètres des locaux de 3.500 m² qu’il occupe depuis 1981. Ce financement doit lui permettra non seulement d’avoir un cadre moderne plus adapté à son activité, mais aussi davantage d’espace de stockage afin de rapatrier son entrepôt situé dans l’Oise issu du rachat par Beretta, en 2023, du fabricant suisse de munitions Ammotec (2.700 salariés). Le pilotage de l’activité française d’Ammotec avait d’abord été confié à Humbert CTTS, avant qu’une fusion des deux entités soit mise en œuvre à l’été 2024. -
énergie Energies renouvelables : projets et conséquences
papsou a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Economie et défense
https://www.latribune.fr/article/entreprises-finance/107985813746215/electricite-malgre-la-fin-de-l-arenh-bercy-anticipe-une-stabilite-des-factures Électricité : malgré la fin de l’Arenh, Bercy anticipe une stabilité des factures Un dispositif tarifaire régulé sur l'électricité prend fin au 31 décembre. Mais Bercy estime que les factures d'électricité des ménages ne vont pas augmenter en 2026 ni même en 2027. Le 31 décembre signe la fin de l’Arenh, le dispositif tarifaire régulé sur l’électricité. Malgré tout, le gouvernement anticipe une stabilité des factures pour les deux années à venir. « Les prix des factures devraient être stables au moins en 2026 et en 2027 », pour la plupart des ménages français, « au vu des prix bas de l'énergie décarbonée française sur les marchés de gros », a indiqué Bercy à l'AFP. Concrètement, pour ces deux années-là, « le passage au nouveau mécanisme n'aura pas d'impact » sur les tarifs réglementés de vente de l'électricité (TRVE), qui concernent quelque 19,75 millions d'abonnés, soit 56 % des clients résidentiels, ajoute Bercy. Un nouveau dispositif Depuis 2011, le système appelé Arenh obligeait l'opérateur historique EDF à céder un quart environ de sa production nucléaire annuelle à des industriels très énergivores et à ses concurrents fournisseurs alternatifs à un prix très avantageux de 42 euros du mégawattheure pour répondre aux exigences européennes en matière de concurrence. Ce dispositif s'éteint au 31 décembre 2025 et sera remplacé par un nouveau système, une sorte de « garde-fou » tarifaire, selon les mots de Bercy, qui a été pensé comme un « compromis entre protection des consommateurs » et les besoins d'« investissement dans le système énergétique de l'avenir et notamment dans le programme nucléaire pour EDF ». Ce mécanisme laisse la faculté à EDF de vendre plus librement sa production nucléaire de gré à gré, en fonction des prix de marchés. Mais au-delà de certains seuils, ses revenus, s'ils sont élevés, seront taxés pour être redistribués à tous les consommateurs, particuliers comme entreprises. C'est le versement nucléaire universel (VNU), un dispositif instauré dans le projet de loi de finances 2025, et qui suscite des critiques pour son manque de lisibilité. Ainsi ce système « VNU » viendra « diminuer la facture des consommateurs si les prix devaient dépasser » deux seuils progressifs prévus à 78 euros du MWh puis 110 euros du MWh, « en prélevant EDF » sur ses recettes qui excèdent ces plafonds, explique Bercy. Or au vu des prix actuels de l'électricité française sur les marchés de gros - environ 50 euros du MWh - les consommateurs ne devraient donc pas bénéficier de cette redistribution à partir de 2026, comme l'avait anticipé la Commission de régulation de l'énergie, le régulateur du secteur, en septembre dernier. Une réforme qui ne protégerait pas assez le client Début octobre, un rapport de l’Assemblée nationale a estimé que la nouvelle réforme ne protégeait « pas suffisamment » les consommateurs face aux aléas des prix sur les marchés. Critiques des mesures retenues par l'État et l'électricien public EDF pour contenir les factures d'électricité, les rapporteurs Philippe Bolo (MoDem) et Maxime Laisney (LFI) préconisaient d'autres pistes, via « un rôle accru de l'État ». Parmi 19 propositions, les députés proposent notamment de « rééquilibrer la fiscalité applicable à l'électricité par rapport à celle applicable au gaz en diminuant la première » sur les factures et « d'étudier la mise en place d'un taux de TVA réduit à 5,5 % sur les consommations d'électricité incompressibles des ménages ». Pour eux, le versement nucléaire universel (VNU) pose problème. En cause : des seuils « à la main du gouvernement » et placés trop « hauts » pour protéger les consommateurs des yoyos du marché. « C'est un parapluie placé trop haut et percé de toutes parts », a résumé le député Maxime Laisney jeudi lors de la présentation du rapport. L'objectif de la réforme était en effet de permettre à EDF de dégager des bénéfices pour financer son besoin d'investissement - environ 25 milliards d'euros par an, puisqu'à l'inverse, aucun filet de sécurité - donc de prix plancher - n'a été prévu pour le groupe en cas d'effondrement des cours sur les marchés. Si bien, préviennent les députés, que « la conciliation des différents objectifs de la réforme s'annonce (..) délicate : comment permettre à EDF de dégager des revenus pour financer la construction de nouveaux réacteurs nucléaires, dont le chiffrage et les modalités de financement ne sont toujours pas précisément connus, tout en cherchant à protéger les consommateurs ? », interrogent-ils. -
énergie Energies renouvelables : projets et conséquences
papsou a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Economie et défense
https://www.latribune.fr/article/entreprises-finance/28381235987377/reseaux-electriques-bruxelles-prend-la-main-la-france-freine-des-quatre-fers Réseaux électriques : Bruxelles veut prendre le pouvoir, la France freine des quatre fers La Commission européenne souhaite contrôler les investissements dans les réseaux électriques européens, afin d'accroître le nombre d’interconnexions. Paris s’y oppose, craignant que les coûts pèsent sur ses consommateurs. « Faussement technique, réellement politique » : voilà comment Thomas Veyrenc, directeur général du Réseau de Transport d'Electricité (RTE), a qualifié le « paquet réseaux » récemment présenté par Bruxelles. Connu pour son ton mesuré, loin des polémiques, l’homme n’a pu retenir cette formule en marge de la présentation du bilan prévisionnel de l’organisme début décembre. Avant de se reprendre : il n’en dira « pas plus » sans avoir mené une « analyse poussée du texte ». Depuis, il se refuse à tout commentaire. Car derrière l’apparente technicité se joue une lutte de pouvoir. Dans un plan présenté le 10 décembre, la Commission européenne affiche son souhait d’asseoir son autorité sur les choix énergétiques des Etats membres, en s’attaquant à un sujet de taille : l’investissement dans les réseaux transfrontaliers. Où, quand et comment les déployer ? Celle-ci compte imposer des priorités et des obligations aux États membres, avec une facture estimée à 1200 milliards d’euros d’ici à 2040. Parmi elles figure la construction d’« autoroutes énergétiques », notamment entre la France et l’Espagne, pour faciliter les échanges d’électrons et renforcer la sécurité d’approvisionnement du continent. Mais aussi une planification centralisée, dans laquelle Bruxelles fixerait les orientations des Vingt-Sept tous les quatre ans. « C’est du grand n’importe quoi », lâche un poids lourd du parti présidentiel. « La France est en profond désaccord avec l’approche choisie », a clarifié lundi dernier Cyril Piquemal, représentant de l'Hexagone au Conseil européen. Nationalisme électrique RTE serait, logiquement, contraint par ces nouvelles règles. « L’idée serait de durcir et de rendre directement opposable l’obligation d’accélérer », résumé Silke Goldberg, avocate au cabinet Herbert Smith Freehills Kramer. Or, une interconnexion entre deux pays peut bénéficier davantage à l’un qu’à l’autre. « Comme ce genre de projet coûte extrêmement cher, il y a des débats très tendus pour déterminer qui doit payer, au regard de qui en profite réellement », souligne Fabien Choné, fondateur de Direct Energie et spécialiste du marché de l’électricité. « Forcément, cela nourrit une forme de nationalisme électrique », abonde Silke Goldberg. Aujourd’hui, toute décision d’investissement nécessite l’accord des États concernés, ainsi qu’une décision de leurs régulateurs nationaux sur le partage des frais. En France, ce rôle revient à la Commission de régulation de l’énergie (CRE). « Nous avons toujours considéré que l’analyse coût-bénéfice des projets doit également être positive au périmètre de la France », explique un porte-parole à La Tribune. Demain, cette évaluation pourrait relever du régulateur européen, l’ACER, un transfert de compétences que Paris regarde avec inquiétude. « C’est comme si l’UE décidait soudain d’imposer le mix énergétique ! La compétence reste aux pays. L’ACER n’a pas les moyens de se substituer aux opérateurs nationaux », avertit l’eurodéputé Christophe Grudler (Renew). Pour ne rien arranger, le commissaire européen à l’Energie, Dan Jørgensen, a directement visé l’Hexagone lundi dernier. « Parfois, la France a été réticente aux interconnexions », a-t-il lâché en conférence de presse. Une « phrase malheureuse », selon une source proche de l’exécutif tricolore, qui aurait fortement déplu au plus haut niveau. L'épineuse question du mix national Il n’empêche : en coulisse, Paris s’interroge bel et bien. Et redoute l’impact d’un trop-plein d’énergies renouvelables. « L’Espagne produit beaucoup de solaire pendant la journée dont elle ne sait plus quoi faire. Elle voudrait pouvoir l’exporter vers les pays du nord, notamment l’Allemagne. Mais elle doit d’abord passer par la France, qui rechigne à payer pour l’infrastructure. Surtout, une injection massive d’énergie renouvelable déstabiliserait son propre marché, en faisant chuter les cours de l’électricité », explique l’économiste Jacques Percebois. Les Français n'en tireraient pas forcément d'avantage : l’Etat verse aux producteurs solaires et éoliens la différence entre le prix observé sur le marché et un tarif préalablement fixé dans le contrat. « Ce que le consommateur économiserait sur sa facture, c’est le contribuable qui le paierait », ajoute l’économiste. Par ailleurs, cette volatilité des cours porterait préjudice aux producteurs : « Avec des prix de vente trop bas voire négatifs lors des période de surplus d’énergie photovoltaïque, EDF ne parviendrait pas à rentabiliser le nucléaire », note Fabien Choné. Prix négatifs sur le marché de l’électricité : une fausse bonne nouvelle pour les consommateurs Sans surprise, la question du parc atomique cristallise les tensions. « Accroître les interconnexions sans se préoccuper des mix électriques risque d’amplifier la cloche solaire [le pic de production de cette énergie autour de midi qui peut créer des excédents et perturber le système, ndlr] sans garantir un coût économique qui les justifie », a ainsi lancé Cyril Piquemal lundi dernier, lors d'une réunion de travail du Conseil européen (l'instance qui réunit les Etats membres). « La France va toujours considérer que ses voisins profitent de la stabilité de ses réacteurs pour équilibrer leur réseau », analyse-t-on chez Herbert Smith Freehills Kramer. Les Espagnols, eux, poussent pour une nouvelle liaison. « Le blackout d'avril dernier a marqué les esprits, la première vice-présidente de la Commission [Teresa Ribera, ndlr] est Espagnole, l'idée c'est donc : allons-y ! », interprète en off un lobby du secteur à Bruxelles. Mais selon des analyses de RTE, Madrid bénéficierait de 75 % des bénéfices socio-économiques d'un tel projet. « Cette répartition poserait donc la question d’un partage asymétrique des coûts », souligne-t-on à la CRE. D'autant qu'un chantier d'interconnexion est déjà en cours avec l’Espagne. Baptisé Golfe de Gascogne, il doit entrer en service en 2028. Son coût est estimé 3,1 milliards d'euros, répartis à 55 % pour l’Espagne et 45 % pour la France. Quel coût pour le consommateur final ? Les frais seront in fine supportés par les consommateurs sous la forme du Turpe (tarif d’utilisation des réseaux de transport et de distribution), une ligne encore mal connue sur la facture. Ce « péage », qui doit financer les investissements dans les réseaux électriques, représente aujord'hui environ un quart des mensualités d'un client résidentiel. Pour limiter la casse, RTE bénéficie néanmoins d’un autre levier : la redistribution de ses « rentes de congestion ». Concrètement, lorsqu’une interconnexion est saturée, les prix de l’électricité se décorrèlent entre les deux Etats reliés : le courant est vendu dans le pays exportateur à un prix plus bas, et acheté dans le pays importateur au tarif local, plus élevé. La différence revient aux gestionnaires du réseau, à parts égales. Entre 2023 et 2024, RTE a touché presque 1 milliard d’euros d'excédent grâce à cette manne peu connue. Il a déduit ces revenus du Turpe, ce qui a diminué la charge pour les consommateurs. Mais voilà : dans sa proposition, Bruxelles entend forcer les gestionnaires de réseau à affecter 25 % de ces rentes à des projets européens. Sur le sujet, Helsinki a d’ores et déjà tiré la sonnette d’alarme, craignant que l’Union s’accapare une partie de sa cagnotte au détriment des Finlandais. « On ne peut pas accepter d’avoir un bénéfice global européen si les plus vertueux sont perdants », enchérit Fabien Choné. La Commission, elle, l’assure : cette politique permettra à l'énergie de « circuler efficacement dans tous les Etats membres », et donc de faire « baisser les prix » au global. Elle peut s’appuyer sur une étude du think-tank Ember publiée début décembre, selon laquelle « le nombre actuel de projets d’interconnexion est insuffisant pour assurer un système électrique optimisé en 2040 ». Reste à savoir où placer le curseur, et qui prendra la décision. -
https://www.lemonde.fr/international/article/2025/12/19/la-turquie-envisage-le-renvoi-de-ses-missiles-s-400-a-la-russie-pour-reintegrer-le-programme-americain-des-f-35_6658684_3210.html La Turquie envisage de rendre ses missiles S-400 à la Russie pour réintégrer le programme américain des F-35 Alors que la guerre aérienne s’intensifie entre l’Ukraine et la Russie, Ankara s’apprêterait à rendre à la Russie un lot de systèmes antiaériens, une hypothèse qui inquiète l’armée ukrainienne et rassure les Etats-Unis. La Turquie serait sur le point de rendre à la Russie quatre batteries de défense aérienne de longue portée S-400 afin de réintégrer le programme d’avions de chasse américains de cinquième génération F-35, soulignant une volonté de poursuivre un rapprochement avec les Etats-Unis. La restitution de ces systèmes, les plus avancés dont dispose l’armée russe, a été l’un des sujets de conversation entre les chefs d’Etat Recep Tayyip Erdogan et Vladimir Poutine à Achgabat (Turkménistan) vendredi 12 décembre, a révélé l’agence Bloomberg le 17. Cette hypothèse ne ferait pas les affaires de l’Ukraine, alors que la guerre aérienne s’intensifie entre Kiev et Moscou. Les S-400, qui permettent d’abattre des avions de chasse et des missiles balistiques, sont complexes et coûteux à produire. Sur le champ de bataille, l’Ukraine est parvenue à en détruire, ouvrant des brèches dans l’espace aérien russe. « Quatre batteries de S-400, cela représente peut-être un cinquième de ce que la Fédération de Russie possède actuellement, en tenant compte des pertes, souligne l’expert russe Nikolaï Mitrokhine. La Russie peut les utiliser pour protéger les bases navales, les aérodromes et les ports. » Pour cet expert indépendant, spécialiste des questions de défense vivant hors de Russie, le déploiement géographique des S-400 pourrait intervenir « probablement en Crimée, où les S-400 sont le plus souvent frappés,....
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Guerre Russie-Ukraine 2022+ : géopolitique et économie
papsou a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
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Avec un petit crachin breton... Avantage, on voit bien le drapeau!
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[OTAN/NATO]
papsou a répondu à un(e) sujet de zx dans Politique etrangère / Relations internationales
https://www.lemonde.fr/international/article/2025/12/10/les-etats-unis-presentes-comme-une-menace-pour-la-securite-du-danemark_6656805_3210.html Le Danemark considère désormais les Etats-Unis comme une menace pour sa sécurité Dans son rapport annuel, le renseignement militaire danois compare les Etats-Unis à la Russie et à la Chine et met en garde contre le fait que Washington « n’exclut plus le recours à la force militaire même contre [ses] alliés ». Chaque année, au mois de décembre, les services de renseignements militaires danois (Forsvarets Efterretningstjeneste, FE) publient un rapport détaillé, évaluant les menaces qui pèsent contre la sécurité du royaume. La Chine, la Russie et diverses organisations terroristes figurent dans les dernières éditions. Elles y sont toujours dans le document présenté mercredi 10 décembre. Mais pour la première fois, les Etats-Unis, alliés historiques du Danemark depuis la seconde guerre mondiale, sont aussi ajoutés à la liste. Intitulé « Udsyn » (« Perspectives »), le rapport décrit un monde où trois grandes puissances se disputent l’influence au détriment des autres pays et où les Etats-Unis « utilisent leur puissance économique, notamment sous la forme de menaces de droits de douane élevés, pour imposer leur volonté et n’excluent plus le recours à la force militaire, même contre leurs alliés ». L’Arctique fait l’objet d’un chapitre entier. Là encore, les Etats-Unis sont comparés à la Chine et la Russie, sans aucune mention de l’alliance entre Washington et Copenhague, formalisée dans l’accord de défense sur le Groenland signé en 1951, qui permet pourtant à l’armée américaine d’être présente sur l’île. Le rapport se contente de noter « l’intérêt croissant des Etats-Unis pour le Groenland et son importance pour la sécurité nationale américaine », estimant qu’il « augmente la menace d’espionnage, y compris le cyberespionnage, et les tentatives d’influence sur toutes les parties du royaume du Danemark ». I -
https://www.latribune.fr/article/economie/international/1619258693214214/ukraine-trump-preparerait-une-yalta-economique-avec-la-russie-au-grand-dam-de-leurope Ukraine : Trump préparerait une « Yalta économique » avec la Russie, au grand dam de l'Europe L’administration Trump prépare un plan de rupture pour l’Ukraine, révèle le Wall Street Journal. Elle prône le « business-for-peace » et l’investissement américain massif en Russie, afin de gérer 200 milliards de dollars d’actifs gelés. Une « Yalta économique » qui horrifie les chancelleries européennes, décidées à utiliser ces fonds pour l’effort de guerre de Kiev.
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Tient, tient.... Mauvaise nouvelle pour Donald Trump : les Démocrates remportent la mairie de Miami, une première depuis 28 ans https://www.ladepeche.fr/2025/12/10/mauvaise-nouvelle-pour-donald-trump-les-democrates-remportent-la-mairie-de-miami-une-premiere-depuis-28-ans-13101790.php
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Groupe Dassault Aviation, fil sur l'avionneur/industriel
papsou a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Peut être qu'en cas de conflit, la dispersion des sites n'est pas une mauvaise chose. -
Il l'a eu son prix de la paix.... https://www.france24.com/fr/info-en-continu/20251205-la-fifa-décerne-son-premier-prix-de-la-paix-au-président-donald-trump Donald Trump a été nommé vendredi premier Prix de la paix de la Fifa, pendant la cérémonie de tirage au sort du Mondial-2026 à Washington. Le patron de la Fifa, Gianni Infantino, a salué les accords de paix signés sous la houlette du président américain.
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Ils avaient de gros porte-avions à l'époque ! ----> []
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https://www.latribune.fr/article/defense-aerospatiale/defense/1270008425724315/pourquoi-les-rafale-de-dassault-seduisent-autant-larmee-de-lair-grecque Pourquoi les Rafale de Dassault séduisent autant l'armée de l'air grecque Le taux de disponibilité opérationnelle des Rafale grecs approche les 90 %. Dassault Aviation va signer un nouveau contrat de soutien des appareils grecs pour la période 2026-2029 de près de 490 millions d'euros en Grèce. En Grèce, le Rafale séduit l'armée de l'air grecque sur le plan opérationnel et en matière de disponibilité. Et même au-delà. Le chef d'état-major des armées helléniques, le général Dimitrios Houpis, a indiqué lundi devant la Commission permanente de la défense nationale et des affaires étrangères du Parlement, que le taux de disponibilité opérationnelle des avions de combat fabriqués par Dassault Aviation dépasse les 85 %, approchant même les 90 %. Un niveau inégalé dans les forces aériennes grecques, qui possèdent pourtant une flotte de F-16 actuellement en voie de modernisation ! La Grèce a commandé 24 Rafale en deux tranches (18 en 2021 et 6 en 2022), dont 12 appareils d'occasion cédés par l'armée de l'air française. Selon le lieutenant-général (I) Demosthenes Grigoriadis, chef de l'armée de l'air hellénique, l'aviation grecque dispose « enfin, d'avions supérieurs. Je peux vous l'affirmer en tant que pilote de F-16 totalisant environ 4.000 heures de vol, appareil que je pilote encore. J'ai consacré toute ma carrière à la défense aérienne et j'ai récemment piloté le Rafale (...) C'est une garantie que nous avons un excellent avion et je tiens à souligner que le Rafale possède l'autonomie nécessaire pour assurer le soutien et la présence à Chypre. C'est un avantage considérable dont nous ne bénéficiions que partiellement avec le F-16 jusqu'à présent ». Le patron de l'armée de l'air hellénique a expliqué que l'Eurofighter, dont 20 exemplaires ont été commandés fin octobre par la Turquie, « ne pose aucun problème, si l'adversaire en est équipé. Nous connaissons parfaitement cet appareil et nous disposons d'un système d'armement bien meilleur ainsi que de meilleurs pilotes ». Ce qui pourrait donner envie à la Grèce d'acheter à nouveau des Rafale supplémentaires comme elle l'avait envisagé en 2024.
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Venezuela
papsou a répondu à un(e) sujet de tharassboulbah dans Politique etrangère / Relations internationales
C'est ballot pour le prix Nobel de la paix... -
Actualités de Thales Défense, Aéronautique, Espace , Cyber
papsou a répondu à un(e) sujet de Alberas dans Economie et défense
https://www.latribune.fr/article/defense-aerospatiale/24400908971711/aeronautique-la-riposte-francaise-face-a-la-crise-du-titane-et-des-semi-conducteurs Face à la mainmise de l'Asie sur les composants électroniques, Thales et Radiall se sont alliés avec le poids lourd taïwanais Foxconn pour implanter une usine de semi-conducteurs sur le sol français. De son côté, Aubert & Duval monte en cadence sur la production de titane. L'annonce a fait grand bruit au printemps dernier. En amont du salon Choose France, Thales a annoncé une alliance avec le poids lourd taïwanais de l'électronique Foxconn et Radiall, spécialiste des connecteurs et composants pour implanter une usine de semi-conducteurs sur le sol français. « Un pas vers l'autonomie stratégique pour la microélectronique », exulte alors l'Elysée au moment où l'Hexagone peine à se réindustrialiser et que 80 % de la production de semi-conducteurs provient d'Asie du Sud-Est. « L'Europe a décidé il y a quarante ans de laisser partir la production en Asie. Aujourd'hui, on fabrique plus que 2% des composants électroniques mondiaux, alors qu'ils sont au cœur des systèmes militaires de demain. Quarante pour cent du coût d'une munition rodeuse (drone kamikaze) sont liés à l'électronique, avant tout sur les aspects navigation, mais aussi sur les propulsions et sur les charges », a alerté Eric Kirstetter, senior partner chez Roland Berger, lors de l'Aeroforum organisé le 13 novembre dernier par La Tribune depuis l'aéroport Toulouse-Blagnac. -
Asie centrale post-soviétique
papsou a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
Quel talent ce Donald! -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : géopolitique et économie
papsou a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
Et la reconstruction, elle se fait côté annexe? Et uniquement de ce côté ? J'en ai bien peur... -
Notre Marine Nationale, les nouvelles, les effectifs, la composante
papsou a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
https://www.opex360.com/2025/11/19/le-quatrieme-batiment-ravitailleur-de-forces-va-t-il-etre-livre-a-la-marine-plus-tot-que-prevu/ Le quatrième Bâtiment ravitailleur de forces va-t-il être livré à la Marine plus tôt que prévu ? -
https://www.latribune.fr/article/defense-aerospatiale/39200314948264/camions-militaires-arquus-remporte-le-contrat-du-siecle-pour-la-fourniture-de-7000-vehicules Exclusif. Camions militaires : Arquus remporte le contrat du siècle pour la fourniture de 7000 véhicules Arquus, la filiale du groupe belge John Cockerill, aurait remporté la compétition pour la fourniture en plusieurs tranches de 7000 camions logistiques et tactiques militaires pour un montant de 5 milliards d'euros.
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Ben comme nos F1 CT à l'époque... avec un autre avion... J'ai bon? --->[]
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Groupe Dassault Aviation, fil sur l'avionneur/industriel
papsou a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Tenue des romains couleurs drapeau Allemand... -
Opérations au Mali
papsou a répondu à un(e) sujet de pascal dans Politique etrangère / Relations internationales
https://www.lemonde.fr/afrique/article/2025/11/07/mali-le-quai-d-orsay-recommande-aux-francais-de-quitter-temporairement-le-pays_6652604_3212.html Mali : le Quai d’Orsay recommande aux Français de quitter temporairement le pays Depuis le mois de septembre, le Groupe de soutien de l’islam et des musulmans, affilié à Al-Qaida, s’attaque aux camions-citernes de carburant venant notamment du Sénégal et de la Côte d’Ivoire, par où transite la majorité des biens qu’importe le Mali. -
Pas vraiment opérationnelle cette base, non? Base de desserrement ou d'exercice, je suppose. Peut être une convention avec les autorités compétentes pour la location du terrain...
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https://www.lemonde.fr/international/article/2025/11/04/cecile-kohler-et-jacques-paris-les-deux-francais-retenus-en-iran-depuis-mai-2022-sont-sortis-de-prison-annonce-emmanuel-macron_6651958_3210.html Devancé par Loki, mais je me sens obligé d'en reparler pour exprimer une joie profonde! Hâte de la voir revenir à Soultz où j'habite et où ses parents l'attendent avec impatience. Pour cela, il va falloir la rapatrier en France mais le plus dur est fait. En attendant elle et son compagnon sont à l'ambassade de France à Téhéran. On croise les doigts pour que le délais ne soit pas trop long!