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La France et ses programmes UAV/UCAV


Philippe Top-Force

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Un drone/robot autonome capable d'identifier ses cibles et de les engager selon des ROE modulaires sera un parfait combatant en toute circonstance largement supérieur a un humain pour n'importe quel mission a cause de sa puissance de calcul/mémoire/communication supérieur + absence de peur/stress/émotions/fatigue.

 

Et ça arrivera bien avant 30 ans.

 

L'arme gagnerait beaucoup a avoir des T800/T1000 dans ses rangs. Ils obeissent aux ordres et sont infiniment plus efficace qu'un humain. Si ils sont méchants c'est a cause de SKYNET avant tout.

 

Pourquoi t'emmerder a faire des robot machine, autant faire des robot humain c'est vachement plus simple et moins couteux! Ambiance Corée du Nord etc. Il a été démontré pendant la second guerre mondial que les drone humano-robotisé kamikaze n'avait pas beaucoup d'influence sur le conflit. Ce qui compte visiblement c'est avant tout le nombre et la détermination, ambiance conan la barbare, quand le fer ne domine plus l'esprit et qu'on prefere  controler les esprit que le faire pour dominer.

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Nombre: Les robots ne sont pas limite par la vitesse du cycle de reproduction humain donc sont dans tous les cas bien plus nombreux.

 

Determinations: Aucun n'humain n'a plus de determination qu'un robot vu qu'un robot n'a pas d'emotions et ne resent rien. Un robot n'abandonne jamais sa mission

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Il faut distinguer la partie "vol" de la partie "frappe". Le vol peut être automatisé ou piloté à distance, la frappe peut être automatisée (coordonnées pré-enregistrées) ou manuelle. On peut combiner un vol automatique avec une frappe manuelle (ou sur commande). Si un JTAC peut aujourd'hui commander le tir d'un avion/hélicoptère pourquoi pas celui d'un drone ? 

 

Il n'y a pas aujourd'hui de drone avec une IA capable de frappe d'opportunité. Rien ne dit que ce sera toujours le cas.

 

A partir du moment où un drone sera capable d'identifier précisément la cible (exemple la forme d'un tank ennemi) dans une zone déterminée préalablement comme hostile et en l'absence de contrainte (exemple pas de chaleur et mouvement autour autre que le tank) on peut imaginer que le tir d'un missile soit automatique.   

Modifié par alexandreVBCI
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Un avion ça se pilote, un drone pilotable ça se conduit (contrairement a ce que son nom indique).

Donc les chasseurs modernes, à l'instabilité statique exacerbée, sont des drones pilotables conduits à travers les CDVE.

CQFD

 

Pensée particulière pour les drosophiles...

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Nombre: Les robots ne sont pas limite par la vitesse du cycle de reproduction humain donc sont dans tous les cas bien plus nombreux.

Je suis absolument certain qu'au jour d'aujourd'hui on est capable de produire des millier de fois plus de combattant humain que de robot. C'est vrai aujourd'hui ce sera vrai demain. Il y a 3 milliard d'usine a soldat dans le monde, chacune peut produire jusqu'à 10 élément ... potentiellement sur une génération la capacité de production et d'environ 30 milliard d'élément!!! élémet qui sont autonome rapidement, qui s'alimente tout s seul, se répare tout seul pense tout seule etc.

Le robot au bout de quelques heure de fonctionnement il se met en mode "off" et il faut que quelcu'un viennent le faire sa toilette, le recharger les batteries, entretenir la mécanique.

En pratique le nombre est forcément pour les hommes, sauf si tu envisage un écosystème robotique complément autonome sur tout le "cycle de vie".

Determinations: Aucun n'humain n'a plus de determination qu'un robot vu qu'un robot n'a pas d'emotions et ne resent rien. Un robot n'abandonne jamais sa mission

Pas vraiment. Au mieux les IA actuelle sont entêté c'est rigolo d'ailleurs de voir les robot aspirateur ... mais elle sont incapable de construire des plan alternatifs complexe pour arriver a leur fin, du moins l'objectif politique de la guerre. L'absence de sentiment et d'émotion cher les robot est d'ailleurs plus un problème qu'autre chose, les sentiment sont souvent les moteurs qui permettent de dépasser le plan, la colère, la haine, la vengeance, le vice, la vertue, la pitié sont des moteur extrêmement puissants qui donnent des comportement beaucoup moins déterministe et donc bien plus compliqué a anticipé.

Pour bien faire il faudra des IA qui apprennent automatiquement mais sur des grands champs de compétence ... et ca pour le moment on en est tres tres loin.

Il est déjà difficile pou un groupe d'homme de définir la réponse adapté a un conflit, pour la machine c'est aujourd'hui du grand n'importe quoi. L'exemple typique c'est les combattant ennemi non reconnaissable, en Afghanistan. Vas programmer un robot pour lui dire quand tuer quand ne pas tuer un humain ... alors que même le programmeur lui même est souvent incapable d'établir des règle strictes d'engagement!!! On la peut être vu poser un fusil contre un arbre, mais bon c'était peut etre pas lui, mais quand même a la radio on nous a dit que le mec portait des Nike blanche alors que celui la c'est des reebok blanche tu crois que c'est le même? ou il a juste changé de ses grosse pompes de sport?

L'autre exemple typique ce sont les contre mesure des aéronef ... ca marche comme ca peut, les machin font pas la différence entre un barbecue et un manpads, imagine le carnage si tu les équipe d'un gros laser qui doit détruire le départ de coup :lol:

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Et bien Seb ? Je te sens... agressif! Grosse journée de stress ? Faut être gentil avec les nouveaux ;)

Oui désolé pour Picdelamirand-oil :lol: Trop de boulot en ce moment.

 

Pour revenir au drone l'étude me semble intéressante. J'ai l'impression que beaucoup voient les drones derrière le filtre de ce que l'on voit aujourd'hui ou du passé. Si on regarde du coté l'USAF on voit que le Reaper qui est passé d'un petit drone léger peu cher, a évolué à vers un vrai drone de combat, l'US Navy continue d'avancer sur son drone embarqué et je ne serait pas surpris qu'ils se transforme d'ici quelques années en programme opérationnel.

 

On a aujourd'hui la puissance de calcule les capteurs et la fusion de donnée et des aides à la décision. Dans 10 à 15 ans on peut facilement envisager d'avoir un drone semi autonome capable d'identifier et frapper certaines cibles. Ont peut virtuellement imaginer tout un tas de scénario ou ce genre d'appareil pourrait apporter un réel plus par rapport à un avion piloté, il suffit d'avoir un peu d'imagination.

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Donc les chasseurs modernes, à l'instabilité statique exacerbée, sont des drones pilotables conduits à travers les CDVE.

CQFD

 

Pensée particulière pour les drosophiles...

Probablement une sequelle du sujet sur la voiture avion. Techniquement les avions à cdve exacerbée sont effectivement comme des drones pilotés. Enfin bon j'admet que tout ceci est très drosophobe.

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Il faut distinguer la partie "vol" de la partie "frappe". Le vol peut être automatisé ou piloté à distance, la frappe peut être automatisée (coordonnées pré-enregistrées) ou manuelle. On peut combiner un vol automatique avec une frappe manuelle (ou sur commande). Si un JTAC peut aujourd'hui commander le tir d'un avion/hélicoptère pourquoi pas celui d'un drone ? 

 

Il n'y a pas aujourd'hui de drone avec une IA capable de frappe d'opportunité. Rien ne dit que ce sera toujours le cas.

 

A partir du moment où un drone sera capable d'identifier précisément la cible (exemple la forme d'un tank ennemi) dans une zone déterminée préalablement comme hostile et en l'absence de contrainte (exemple pas de chaleur et mouvement autour autre que le tank) on peut imaginer que le tir d'un missile soit automatique.   

 

C'est complètement possible et cela existe déjà ...

 

Par exemple,  les phalanx et autres CIWS ont des mode complètement automatiques. Ils font l'acquisition, le choix de cibles et les engagent et passe à la suivante sans la moindre intervention humaine.

 

Pour le moment, c'est généralement limités aux radars car l'acquisition et l'identification visuelle est encore assez limité. Mais cela est en train de changer ...

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C'est complètement possible et cela existe déjà ...

 

Par exemple,  les phalanx et autres CIWS ont des mode complètement automatiques. Ils font l'acquisition, le choix de cibles et les engagent et passe à la suivante sans la moindre intervention humaine.

 

Pour le moment, c'est généralement limités aux radars car l'acquisition et l'identification visuelle est encore assez limité. Mais cela est en train de changer ...

Sauf que ce mode full auto n'est jamais utilisé... il y a eu trop de bobo. Je crois meme que des Phalanx on abattu les missiles tirer par leur propre navire.

En général on utilise le mode semi autant au l'ajout dans la pile d'engagement est validé manuellement par l'opérateur. En gros le systeme propose automatiquement une cible, l'opérateur valide la cible, la cible atteri dans la pile d'engagement et est traité automatiquement en fonction des priorité de la pile.

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Et il ne vous est pas venu à l'esprit qu'un drone de combat automatique n'est rien de plus qu'un missile de croisière à sous-munitions et qui a de plus le bon goût de rentrer à la maison au lieu d'être perdu ?

 Oui, les missiles sont des robots avec des missions limités.

 

Ceci dit, je me rappelle le cas des missiles de croisières russes anti-PA tiré de sous-marins ...

Ils se tirent en salve et restent groupés en communiquant entre eux.

Au sein de chaque salve, les missiles restent à basse altitude sauf un leader qui monte faire l'acquisition au radar.

Si le leader est détruit, un autre missile le remplace et quand l'acquisition de la flotte ennemie est faite, les missiles se répartissent les cibles et le leader revient ne vol rasant.

A part la réutilisation, on a déjà des armements assez "intelligents" ...

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Oui, les missiles sont des robots avec des missions limités.

 

Ceci dit, je me rappelle le cas des missiles de croisières russes anti-PA tiré de sous-marins ...

Ils se tirent en salve et restent groupés en communiquant entre eux.

Au sein de chaque salve, les missiles restent à basse altitude sauf un leader qui monte faire l'acquisition au radar.

Si le leader est détruit, un autre missile le remplace et quand l'acquisition de la flotte ennemie est faite, les missiles se répartissent les cibles et le leader revient ne vol rasant.

A part la réutilisation, on a déjà des armements assez "intelligents" ...

Les missile de croisieres moderne avec communication bidirectionnelle possède des capacité de re-taskink et de loitering complexes. Dans la plupart des cas "l'intelligence" est déporté du missile vers les "pilotes" du missile, mais ca serait la meme chose si on embarqué le calculateur de mission dans le missile et qu'on le laissait rafraichir la mission.

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La DGA s'impliquerait dans le future drone male européen?

 

 

 

Les perspectives 2014 et au-delà de la DGA se portent notamment sur la coopération : avec la Grande-Bretagne, en vertu du traité de Lancaster House de 2010 et du récent sommet de Brize Norton, avec l’étude d’un MCO commun sur l’A400M ; avec l’Allemagne sur la formation des équipages A400M mais surtout pour le futur drone MALE à l’horizon 2025 proposé par Dassault Aviation, Finmeccanica et l’ex-Cassidian (Airbus Defence & Space), « ça ne se présente pas si mal que ça » selon Laurent Collet-Billon - See more at: http://www.journal-aviation.com/actualites/25902-la-dga-veut-privilegier-la-r-t-et-la-cooperation#sthash.IyNNE0wn.Vju0SsDG.dpuf
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  • 2 weeks later...

  Sur le podcast de l'Onera, le + récent sujet autour des radars, il y ait expliqué que la DGA a sélectionné le tout nouveau radar passif de surveillance du territoire basse & moyenne altitude (un radar a très faible encombrement et quasi sans antennes visibles, dont la + grande cote d'encombrement est de 1m)  basé sur le bain d'ondes civiles TNT & FM, directement issus de la science fondamentale ou les difficultés auront été la dilution des signaux dans des ondes 1 milliard de x plus puissantes ...

 

   Apperemment la DGA veut un réseau de drones pour au de la de 2025 portant ce futur radar passif de dernière génération qui substituerait intégralement les grands radars au sol tout en allant beaucoup + loin en efficacité (furtivité nulle ?) bien que la on va vers le confidentiel quand a cette capacité et dans quel ordre de niveau ?

 

   En tout cas, ça indique que le futur drone Male français sera commandé en grande quantité si dès a présent on étudie une surveillance constante du territoire par drone Male pour l'autorité radar militaire ... Ce qui permet au final d'avoir un bon espoir d'un Male qui couterait moins si on peut compter sur une assez grande série (au moins 100 unités ?)

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  Sur le podcast de l'Onera, le + récent sujet autour des radars, il y ait expliqué que la DGA a sélectionné le tout nouveau radar passif de surveillance du territoire basse & moyenne altitude (un radar a très faible encombrement et quasi sans antennes visibles, dont la + grande cote d'encombrement est de 1m)  basé sur le bain d'ondes civiles TNT & FM, directement issus de la science fondamentale ou les difficultés auront été la dilution des signaux dans des ondes 1 milliard de x plus puissantes ...

 

   Apperemment la DGA veut un réseau de drones pour au de la de 2025 portant ce futur radar passif de dernière génération qui substituerait intégralement les grands radars au sol tout en allant beaucoup + loin en efficacité (furtivité nulle ?) bien que la on va vers le confidentiel quand a cette capacité et dans quel ordre de niveau ?

 

   En tout cas, ça indique que le futur drone Male français sera commandé en grande quantité si dès a présent on étudie une surveillance constante du territoire par drone Male pour l'autorité radar militaire ... Ce qui permet au final d'avoir un bon espoir d'un Male qui couterait moins si on peut compter sur une assez grande série (au moins 100 unités ?)

 

Un truc comme celui là qui est en développement chez les Chinois? Chez eux ils veulent former un réseau anti-intrusion furtive avec ces HALE...

 

Gl42wu1.jpg

 

Henri K.

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Un truc comme celui là qui est en développement chez les Chinois? Chez eux ils veulent former un réseau anti-intrusion furtive avec ces HALE...

 

Gl42wu1.jpg

 

Henri K.

 

   Nan mais de toute façon il n'y a eu que peu de précision du fait que l'Onera qui a communiqué dessus a surtout émis le fait que sa solution de radar pour l'instant ne fonctionne pas au niveau "embarqué sur un engin mobile" mais elle y travaille très clairement ...

 

    L'Onera est en concurrence direct avec Thalès sur demande de la DGA pour d'abord des postes fixes qui seront en apparence des engins civils comme de simples antenne relais de réseau mobile sur un toit d'immeuble lambda pour faire du complément de surveillance nationale notamment sur les basses altitudes ou les gros radars émetteurs militaires sont en difficulté technique, notamment pour les cas de figures ou la géographie locale (montagne moyenne par exemple) nécessite complément

 

     Mais il apparait que le dossier cherche a aller beaucoup + loin pour une solution embarquée sur Male et qui la couvrirait tout le territoire sur drone

 

    On ne sait rien de + (because DGA taper sur les doigts de l'Onéra qui en a probablement déja trop dit) sauf qu'on sait que la recherche travaillait déja sur ces radars passif basé sur le bain d'ondes civiles depuis 1995 (sur papiers en tant que concept) mais que le problème émis a l'époque était que les ondes numériques étaient les formes d'ondes les + adaptés a ce type de solution, problème en 95 personne n'avait la moindre idée a partir de quand le territoire national commencerait a être saturé un peu partout d'ondes numériques civiles ... Et en 2009 ben la TNT a été généralisé sur le territoire, et c'est la que la DGA a dit en gros que c'était le moment vu que le bain global territorial recherché on l'a maintenant !

 

    Au départ je pensais que le podcast était + explicite quand a ce projet sur drone, puis a la ré-écoute, je me rend compte que non ils sont beaucoup + évasif, simplement qu'actuellement ils bossent dessus a fond étant donné que la solution sur postes fixes ne nécessite plus vraiment d'y concentrer d'effort le projet étant terminé en gros, ils bossent donc de manière sous entendu sur une solution "mobile" quand le présentateur lui parle pour drone (l'Onera se garde bien de dire que c'est pour drone donc)  ... Mais on imagine bien que déja de l'avoir dit de manière évasive comme ça, ils en ont trop dit pour l'instance militaire

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   Nan mais de toute façon il n'y a eu que peu de précision du fait que l'Onera qui a communiqué dessus a surtout émis le fait que sa solution de radar pour l'instant ne fonctionne pas au niveau "embarqué sur un engin mobile" mais elle y travaille très clairement ...

 

    L'Onera est en concurrence direct avec Thalès sur demande de la DGA pour d'abord des postes fixes qui seront en apparence des engins civils comme de simples antenne relais de réseau mobile sur un toit d'immeuble lambda pour faire du complément de surveillance nationale notamment sur les basses altitudes ou les gros radars émetteurs militaires sont en difficulté technique, notamment pour les cas de figures ou la géographie locale (montagne moyenne par exemple) nécessite complément

 

     Mais il apparait que le dossier cherche a aller beaucoup + loin pour une solution embarquée sur Male et qui la couvrirait tout le territoire sur drone

 

    On ne sait rien de + (because DGA taper sur les doigts de l'Onéra qui en a probablement déja trop dit) sauf qu'on sait que la recherche travaillait déja sur ces radars passif basé sur le bain d'ondes civiles depuis 1995 (sur papiers en tant que concept) mais que le problème émis a l'époque était que les ondes numériques étaient les formes d'ondes les + adaptés a ce type de solution, problème en 95 personne n'avait la moindre idée a partir de quand le territoire national commencerait a être saturé un peu partout d'ondes numériques civiles ... Et en 2009 ben la TNT a été généralisé sur le territoire, et c'est la que la DGA a dit en gros que c'était le moment vu que le bain global territorial recherché on l'a maintenant !

 

    Au départ je pensais que le podcast était + explicite quand a ce projet sur drone, puis a la ré-écoute, je me rend compte que non ils sont beaucoup + évasif, simplement qu'actuellement ils bossent dessus a fond étant donné que la solution sur postes fixes ne nécessite plus vraiment d'y concentrer d'effort le projet étant terminé en gros, ils bossent donc de manière sous entendu sur une solution "mobile" quand le présentateur lui parle pour drone (l'Onera se garde bien de dire que c'est pour drone donc)  ... Mais on imagine bien que déja de l'avoir dit de manière évasive comme ça, ils en ont trop dit pour l'instance militaire

 

   Nan mais de toute façon il n'y a eu que peu de précision du fait que l'Onera qui a communiqué dessus a surtout émis le fait que sa solution de radar pour l'instant ne fonctionne pas au niveau "embarqué sur un engin mobile" mais elle y travaille très clairement ...

 

    L'Onera est en concurrence direct avec Thalès sur demande de la DGA pour d'abord des postes fixes qui seront en apparence des engins civils comme de simples antenne relais de réseau mobile sur un toit d'immeuble lambda pour faire du complément de surveillance nationale notamment sur les basses altitudes ou les gros radars émetteurs militaires sont en difficulté technique, notamment pour les cas de figures ou la géographie locale (montagne moyenne par exemple) nécessite complément

 

     Mais il apparait que le dossier cherche a aller beaucoup + loin pour une solution embarquée sur Male et qui la couvrirait tout le territoire sur drone

 

    On ne sait rien de + (because DGA taper sur les doigts de l'Onéra qui en a probablement déja trop dit) sauf qu'on sait que la recherche travaillait déja sur ces radars passif basé sur le bain d'ondes civiles depuis 1995 (sur papiers en tant que concept) mais que le problème émis a l'époque était que les ondes numériques étaient les formes d'ondes les + adaptés a ce type de solution, problème en 95 personne n'avait la moindre idée a partir de quand le territoire national commencerait a être saturé un peu partout d'ondes numériques civiles ... Et en 2009 ben la TNT a été généralisé sur le territoire, et c'est la que la DGA a dit en gros que c'était le moment vu que le bain global territorial recherché on l'a maintenant !

 

    Au départ je pensais que le podcast était + explicite quand a ce projet sur drone, puis a la ré-écoute, je me rend compte que non ils sont beaucoup + évasif, simplement qu'actuellement ils bossent dessus a fond étant donné que la solution sur postes fixes ne nécessite plus vraiment d'y concentrer d'effort le projet étant terminé en gros, ils bossent donc de manière sous entendu sur une solution "mobile" quand le présentateur lui parle pour drone (l'Onera se garde bien de dire que c'est pour drone donc)  ... Mais on imagine bien que déja de l'avoir dit de manière évasive comme ça, ils en ont trop dit pour l'instance militaire

Ca a déjà été beaucoup plus loin que de simples "recherches"...

 

https://www.dropbox.com/s/31q5onp38513mkh/20130227_NP%20Presentation_Radar_Passifs%20EOAA%202013_avec%20points%20en%20suspend_light.ppt

 

PS :  ppt trouvé sur internet.

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  Sur le podcast de l'Onera, le + récent sujet autour des radars, il y ait expliqué que la DGA a sélectionné le tout nouveau radar passif de surveillance du territoire basse & moyenne altitude (un radar a très faible encombrement et quasi sans antennes visibles, dont la + grande cote d'encombrement est de 1m)  basé sur le bain d'ondes civiles TNT & FM, directement issus de la science fondamentale ou les difficultés auront été la dilution des signaux dans des ondes 1 milliard de x plus puissantes ...

 

   Apperemment la DGA veut un réseau de drones pour au de la de 2025 portant ce futur radar passif de dernière génération qui substituerait intégralement les grands radars au sol tout en allant beaucoup + loin en efficacité (furtivité nulle ?) bien que la on va vers le confidentiel quand a cette capacité et dans quel ordre de niveau ?

 

   En tout cas, ça indique que le futur drone Male français sera commandé en grande quantité si dès a présent on étudie une surveillance constante du territoire par drone Male pour l'autorité radar militaire ... Ce qui permet au final d'avoir un bon espoir d'un Male qui couterait moins si on peut compter sur une assez grande série (au moins 100 unités ?)

 

En même temps cela rendrait une coopération européenne sur le futur drone MALE (encore) plus compliquée, vu que là on toucherait à une technologie hyper-sensible de "souveraineté nationale". Donc soit on devra le faire seul et là il faudra une série d'au moins 30 de ces drones pour rentabiliser le programme, soit si on le fait avec les Brit' (et peut-être les Allemands) il faudra que ce système soit totalement emporté via un pod ventral et des petits pods sous les ailes ; mais est-ce possible ?

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 Et le drone Watchkeeper de Thales est enfin entré en service en Grande-Bretagne

 

Neuf ans après avoir signé le contrat en 2005 avec le ministère de la Défense britannique, Thales a réussi à faire entrer en service en Grande-Bretagne le drone tactique israélo-britannique Watchkeeper.

  

http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/20140305trib000818430/et-le-drone-watchkeeper-de-thales-est-enfin-entre-en-service-en-grande-bretagne.html

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Dassault Aviation et la DGA récompensés aux Etats-Unis pour le démonstrateur de drone nEUROn

 

Le constructeur aéronautique Dassault Aviation et la Direction générale de l’armement (DGA) ont été distingués, le 6 mars, aux Etats-Unis en se voyant décerner, par le magazine spécialisé Aviation Week, le premier prix des “Laureate Awards” dans la catégorie “Défense” pour la gestion du programme européen de drone de combat nEUROn. Pourtant, dans ce domaine, les industriels américains avaient quelques arguments à faire valoir, comme par exemple Northrop Grumman et son X-47B, premier drone à opérer depuis le pont d’un porte-avions.

“Ce prix, qui honore les valeurs et l’esprit pionnier de l’industrie aérospatiale et de défense en général, récompense les défis technologiques relevés et les solutions industrielles d’avant-garde imaginées pour développer la première grande plate-forme aérienne furtive en Europe”, a commenté Dassault Aviation, par voie de communiqué.

Lancé en 2003 et notifié trois ans plus tard par la DGA à Dassault Aviation qui en assure la maîtrise d’oeuvre, le programme nEUROn est le fruit d’une coopération européenne qui rassemble, outre la France, l’Espagne, la Grèce, l’Italie, la Suède et la Suisse. L’objectif est de démontrer “la maturité et l’efficacité des solutions techniques qui préfigureront l’avenir de l’industrie de l’aviation de combat au cours des vingt prochaines années”.

Le démonstrateur nEUROn a réalisé son vol inaugural le 1er décembre 2012. Une première en Europe pour un appareil de ce type (le Taranis de BAE Systems n’a volé pour la première fois que l’année passée). Depuis, explique la DGA, cet appareil “n’a cessé de démontrer ses qualités que ce soit en essais au sol ou en vol”.

“Financé sur le budget des études amont du ministère de la Défense, nEUROn marque un effort de recherche et technologie majeur pour préparer l’avenir et maintenir des compétences industrielles essentielles. Il inaugure la prochaine génération d’aéronefs de combat, qu’ils soient pilotés ou non, avec l’ambition de préserver l’autonomie européenne dans ce domaine. C’est un défi majeur tant sur le plan technologique qu’industriel”, a encore fait valoir la DGA, qui assure la maîtrise d’ouvrage d’ensemble du programme.

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