Aller au contenu
Fini la pub... bienvenue à la cagnotte ! ×
AIR-DEFENSE.NET

Messages recommandés

J'espère que c'est le bon endroit:

 https://www.thedrive.com/the-war-zone/41381/is-china-reviving-americas-cold-war-era-survivable-icbm-concept

La Chine fait-elle revivre la stratégie américaine de déploiement d'ICBM de l'époque de la guerre froide?

Des images satellites récentes indiquent que la Chine pourrait être en train de construire un grand champ de missiles balistiques intercontinentaux, ou ICBM, avec plus de 100 silos dans la partie nord-ouest du pays. L'apparence du site, beaucoup plus grand que tout ce que la Chine a jamais construit auparavant, suggère que Pékin pourrait être en train d'étudier le concept d'une force de dissuasion ICBM plus apte à survivre, dans laquelle un nombre potentiellement élevé de silos ne contiendrait que quelques missiles fonctionnels, ce qui présenterait aux ennemis une cible beaucoup plus difficile à atteindre, s'ils souhaitaient la détruire lors d'une première frappe. Il est intriguant de constater que cette idée fait écho à celle que les États-Unis cherchaient à mettre en œuvre pour leurs propres ICBM vers la fin de la guerre froide.

http://www.opex360.com/2021/07/02/des-indices-suggerent-que-la-chine-augmente-significativement-la-taille-de-son-arsenal-nucleaire/

 

Modifié par Paschi
  • Upvote (+1) 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a une heure, Paschi a dit :

J'espère que c'est le bon endroit:

 https://www.thedrive.com/the-war-zone/41381/is-china-reviving-americas-cold-war-era-survivable-icbm-concept

La Chine fait-elle revivre la stratégie américaine de déploiement d'ICBM de l'époque de la guerre froide?

Révélation

Des images satellites récentes indiquent que la Chine pourrait être en train de construire un grand champ de missiles balistiques intercontinentaux, ou ICBM, avec plus de 100 silos dans la partie nord-ouest du pays. L'apparence du site, beaucoup plus grand que tout ce que la Chine a jamais construit auparavant, suggère que Pékin pourrait être en train d'étudier le concept d'une force de dissuasion ICBM plus apte à survivre, dans laquelle un nombre potentiellement élevé de silos ne contiendrait que quelques missiles fonctionnels, ce qui présenterait aux ennemis une cible beaucoup plus difficile à atteindre, s'ils souhaitaient la détruire lors d'une première frappe. Il est intriguant de constater que cette idée fait écho à celle que les États-Unis cherchaient à mettre en œuvre pour leurs propres ICBM vers la fin de la guerre froide.

http://www.opex360.com/2021/07/02/des-indices-suggerent-que-la-chine-augmente-significativement-la-taille-de-son-arsenal-nucleaire/

 

Déjà posté dans le fil dédié aux suppositoires nucléaires, et tout ce qui brille dans le noir (les fils guerres non conventionnelles).

L'article de The War Zone reste assez factuel.

Mais les communiqués du Pentagone (et d'opex360) ont un biais alarmiste qui les décrédibilisent sur ce sujet précis.
En version ultra courte, l'arsenal nuke chinois est de taille comparable à ... celui la France (~tous deux autour de 320 têtes), alors qu'elle a 20x plus d'habitant à défendre.
Donc, tant que l'arsenal chinois reste sous les 1000 têtes, sa taille n'est pas un sujet pour moi. (EDIT : rappel, les USA et la Russie tournent autour de 6000 têtes)

Modifié par rogue0
  • Upvote (+1) 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il y a 23 heures, rogue0 a dit :

Déjà posté dans le fil dédié aux suppositoires nucléaires, et tout ce qui brille dans le noir (les fils guerres non conventionnelles).

L'article de The War Zone reste assez factuel.

Mais les communiqués du Pentagone (et d'opex360) ont un biais alarmiste qui les décrédibilisent sur ce sujet précis.
En version ultra courte, l'arsenal nuke chinois est de taille comparable à ... celui la France (~tous deux autour de 320 têtes), alors qu'elle a 20x plus d'habitant à défendre.
Donc, tant que l'arsenal chinois reste sous les 1000 têtes, sa taille n'est pas un sujet pour moi. (EDIT : rappel, les USA et la Russie tournent autour de 6000 têtes)

Merci, à ma grande honte, je dois avouer que je n'avais pas vu qu'il y avait encore des fil tout là en bas. Pour le cas de Chine, oui elle a à peu près le même nombre de têtes nucléaires que la France et en plus elle est signataire du TNP. Corrige moi si je me trompe, mais les pays signataires et déjà détenteurs de l'arme nucléaire s'engagent à ne pas en augmenter le nombre ou alors un nombre maximal est fixé.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

https://theconversation.com/les-neurotechnologies-sous-loeil-de-la-nouvelle-loi-de-bioethique-129568 (20 janvier 2020)

En chine, la surveillance des cerveaux s’insinue dans la vie quotidienne, à l’école et au travail. C’est le cas d’une école primaire près de Shanghai où les élèves sont équipés de casques pour détecter leur attention en classe. Les données sont directement envoyées au professeur pour repérer les élèves indisciplinés et aussi aux parents soucieux de la réussite de leurs enfants. Dans une usine à Hangzhou, les quarante mille ouvriers portent des casques munis de capteurs pour détecter les ondes cérébrales associées à des états émotionnels qui perturbent la concentration. Les bénéfices de l’entreprise auraient augmenté significativement grâce à la réaffectation des individus distraits ou stressés dans d’autres postes de la chaîne de production. En l’absence de réglementation, les employeurs ne peuvent être qu’encouragés à utiliser les neurotechnologies pour augmenter leurs profits, d’autant que les ouvriers sont le plus souvent dans une position trop faible pour dire non. On est passé un cran au-dessus des simples caméras de surveillance. Les Chinois inaugurent un monde de contrôle généralisé des cerveaux.

  • Confus 1
  • Triste 3
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

https://www.institutmontaigne.org/ressources/pdfs/publications/china-trends-9-une-chine-decarbonee-est-elle-possible.pdf (juillet 2021)

He Jiankun, directeur de l'Institut de l'économie à faible émission de carbone de l'université de Tsinghua, est généralement considéré comme le cerveau de la recherche qui a fourni la base factuelle des objectifs de la Chine en matière de plafonnement du carbone en 2030 et de neutralité carbone en 2060, communément appelés "objectifs 30/60" (3060目标).

Son étude, intitulée Stratégie de développement à long terme à faible émission de carbone pour la Chine (中国长期低碳发展战略研究), détaille la transformation nécessaire dans tous les secteurs industriels pour que la Chine atteigne les objectifs 30/60.  Pour rester dans les limites des exigences les plus strictes de l'Accord de Paris, les émissions de gaz à effet de serre de la Chine devraient diminuer de 90 % d'ici à 2050 et les énergies non fossiles devraient représenter 85 % de la consommation d'énergie primaire d'ici à 2050 (15,8 % en 2020), l'énergie du charbon fournissant moins de 5 % de l'électricité du pays (60 % en 2020).

Le rythme de la transition dans le secteur de l'énergie, en particulier le rôle que le charbon jouera dans les futurs systèmes électriques, est un facteur déterminant de la trajectoire des émissions de carbone de la Chine.  Selon Chao Qingchen, directeur général adjoint du Centre national du climat, les secteurs de l'électricité et de l'industrie doivent atteindre le pic de leurs émissions avant 2025 pour que la Chine puisse atteindre le pic global d'émissions de 2030. Dans le même temps, He Jiankun a souligné à plusieurs reprises que la Chine devrait mettre en place des "contrôles stricts de la consommation de charbon (对煤炭消费量进行严格的控制)", plafonner l'utilisation du charbon pendant la période du 14e plan quinquennal (2021-2025) et décliner par la suite. Kang Junjie, directeur adjoint de l'Institut de l'énergie de l'université de Pékin, a demandé des mesures beaucoup plus radicales : l'arrêt complet de tous les nouveaux projets de centrales au charbon.

Lors d'une récente réunion de l'organe économique suprême du Parti communiste28, le président Xi a déclaré que la réalisation des objectifs 30/60 est une "bataille difficile, et aussi un test de la capacité de notre Parti à gouverner le pays". "(实现碳达峰、碳中和是一场硬仗, 也是对我们党治国理政能力的一场大考)

Lors du sommet des dirigeants sur le climat, convoqué par le président Biden en avril, le président Xi a indiqué pour la première fois que l'énergie du charbon était en voie de disparition dans le système énergétique chinois, Il s'est engagé à "contrôler strictement" la croissance de la consommation de charbon au cours de la période couverte par le 14e plan quinquennal (2021-2025) et à réduire progressivement l'utilisation du charbon au cours de la période couverte par le 15e plan quinquennal (2026-2030) ("十四五 "时期严控煤炭消费增长、"十五五 "时期逐步减少). Cependant, les critiques ont déclaré que cela laisse une marge de manœuvre pour la croissance de l'énergie au charbon d'ici 2025, et ne correspond pas au rythme de changement requis par l'Accord de Paris.

Les inspecteurs du Bureau central de supervision de l'écologie et de l'environnement (中央生态环境保护督察办公室), le chien de garde officiel du gouvernement en matière de politiques environnementales supervisé par Han Zheng, membre du Politburo, ont publié en janvier 2021 un examen cinglant des politiques de l'Administration nationale de l'énergie (ANE). L'équipe d'inspection a reproché à l'ANE de ne pas avoir adapté sa politique en matière d'énergie charbonnière aux stratégies du pays en matière de lutte contre la pollution atmosphérique et d'énergie à faible teneur en carbone, ce qui a conduit à une situation où "ce qui aurait dû être construit n'a pas été construit, tandis que ce qui n'aurait pas dû l'être l'a été à tort."  (该建的没建、不该建的建了).

Des experts en énergie ont défendu le rôle du charbon dans les futurs systèmes énergétiques, pour des raisons de sécurité énergétique.  Wang Guofa, membre de l'Académie chinoise d'ingénierie, estime que le charbon, la source d'énergie la plus abondante disponible au niveau national,   est "le ballast pour sécuriser l'approvisionnement en électricité" et "un stabilisateur de la transition énergétique" (煤炭仍是能源安全稳定供应的 "压舱石", 支撑能源结构调整和转型发展的 "稳定器"), car il complète la nature variable des énergies renouvelables.

La transition vers une économie fondée sur les énergies fossiles est extrêmement difficile pour les principales provinces productrices de charbon, notamment la Mongolie intérieure, le Shanxi, le Shaanxi et le Xinjiang.  Elles dépendent fortement du charbon pour leurs recettes fiscales.  Le Shanxi, par exemple, tire 46 % de ses impôts des industries liées au charbon.

Il ne faut pas se faire d'illusions : la quête du plafonnement et de la neutralité carbone ne sera pas une sinécure.    Pour remporter cette "bataille difficile", le président Xi devra contrer de puissants vents contraires, tout en naviguant dans la politique intérieure et en équilibrant les budgets locaux. Au cours des six prochains mois, Pékin devrait étoffer son plan d'action climatique avec deux documents : le Plan d'action pour la réduction des émissions de carbone (碳排放达峰行动方案) et le 14e Plan quinquennal de développement énergétique (能源 "十四五 "规划).  Le rythme du changement préconisé par ces plans déterminera combien de temps encore le charbon restera dans le mix énergétique chinois et donnera aux observateurs une nouvelle occasion de faire le point sur le bras de fer entre les progressistes du climat et les intérêts particuliers.

World_fossil_carbon_dioxide_emissions_si

source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_pays_par_émissions_de_dioxyde_de_carbone

  • Merci (+1) 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il y a 1 heure, Henri K. a dit :

@rendbo Ca te rappelle quelque chose ce projet ?

Si seulement les "journalistes" aient le même courage pour y aller sur place avant de sortir des ânneries...

Henri K.

oh oui, ils ont ont suivi la route de la soie classique (par le corridor puis par le Nord du désert), et ils sont revenus par la route de la soie du Sud (par Hotan puis le pré Tibet avant de pousser plus loin).

Ca me rappelle presque mon voyage. Comme eux, j'aurais aimé comme eux pouvoir revenir en reliant Hotan à Xining... mais avec déjà 28 jours de congés c'était difficile d'en poser plus. Je caresse toujours le projet de traverser du Nord de la Chine au Sud, en passant par Pékin, Shanghai, ... et bien sûr Hong Kong pour boire un Whisky :happy:. Je pensais le réaliser en 2020 mais le COVID a tout chamboulé... à la place je suis resté en Europe, avec juste l'Islande. Pour rappel, pour ceux qui n'auraient pas vu les cartes à l'époque, en rouge mon trajet aller en bus, et en bleu mon trajet retour en train.

2010ch10.jpg

 

 

 

 

  • J'aime (+1) 2
  • Merci (+1) 1
  • Upvote (+1) 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Les Chinois subissent un attentat sur leurs expats. 

Un général pakistanais qui n'a pas reçu sa rétrocomission ? Un nouveau  Karachi ?

Apparemment, il s'agirait plutôt d'autres choses...

https://www.lemonde.fr/international/article/2021/07/14/pakistan-douze-morts-dont-neuf-chinois-dans-l-explosion-d-un-car_6088243_3210.html

 

Sinon , les pakis les rois du déni : un incident mécanique !

  • J'aime (+1) 1
  • Upvote (+1) 3
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

https://www.bbc.com/news/world-asia-china-57830767 (13 juillet 2021)

Quelque dix-sept personnes sont mortes après l'effondrement d'un hôtel dans la ville de Suzhou, dans l'est de la Chine.

"Le bâtiment n'avait que trois étages, mais au fil des ans, ils ont ajouté des étages supplémentaires", a déclaré un résident au média Red Star News.

https://www.capital.fr/entreprises-marches/effondrement-dun-hotel-en-chine-dans-la-grande-ville-touristique-de-suzhou-au-moins-un-mort-1409189 (12 juillet 2021)

L'année précédente, l'effondrement d'un bâtiment commercial en cours de rénovation à Shanghai avait provoqué la mort d'une dizaine de personnes. En 2016, au moins 20 personnes étaient mortes lorsque des bâtiments sommaires de plusieurs étages, où étaient hébergés des ouvriers, se sont effondrés dans la ville de Wenzhou (est). Plus récemment, en mai cette année, le SEG Plaza, l'un des gratte-ciel les plus emblématiques de la métropole de Shenzhen (sud), avait vacillé, provoquant des scènes de panique et conduisant à l'évacuation de l'immeuble.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

https://www.franceculture.fr/emissions/revue-de-presse-internationale/la-revue-de-presse-internationale-emission-du-mercredi-14-juillet-2021 (14 juillet 2021)

Le spectre de l'autocensure plane sur le salon du livre d'Hong Kong qui ouvre ses portes aujourd'hui. "C'est la première fois en 32 ans que l'édition subit une telle autocensure" explique à Reuters Jimmy Pang, éditeur indépendant bien connu pour son anticonformisme. Cette année, pour le salon du livre, Jimmy Pang ne présentera pas son ouvrage sur les plus jeunes manifestants de Hong Kong, ou encore le livre d'une ancienne députée arrêtée récemment pour "complot en vue de commettre un acte de subversion", en raison de ses prises de position pro-démocratie. Jimmy Pang dit vouloir éviter les ennuis alors que les mises en garde des autorités contre les livres considérés "subversifs" ou "séparatistes", deux crimes vaguement définis dans une loi sur la sécurité introduite l'an dernier, en réponse aux nombreuses manifestations pro-démocratie qui ont eu lieu à Hong-Kong.

Si aucune censure officielle n'est prévue pour ce salon, le Conseil gouvernemental pour le développement du commerce a clairement appelé les exposants à "s'autodiscipliner". Le South China Morning Post explique même que les autorités enjoignent les participants à appeler la police s'ils constatent une violation de cette très floue loi sur la sécurité nationale. Dans ce contexte la palme d'or de la bravoure est décernée par Reuters à l'éditeur Daniel Wong, qui a prévu de continuer à exposer des livres à contenu politique comme il l'a toujours fait malgré la menace nouvelle. Il a prévu notamment de présenter plusieurs livres qui touchent aux manifestations pro-démocratie, dont "Chan Kin-man's Letters from Prison", ouvrage d'un professeur de sociologie qui a passé un an derrière les barreaux pour son rôle dans les manifestations de 2014. En souhaitant que ce ne soit pas bientôt au tour de son éditeur d'écrire un livre sur ses propres conditions d'emprisonnement.

https://www.franceculture.fr/emissions/les-enjeux-internationaux/hong-kong-la-liberte-de-la-presse-baillonnee (25 juin 2021)

Des grandes plumes venant de l'université, des politistes, abandonnent ou n'écrivent plus leurs colonnes. Des gens qui avaient l'habitude, par exemple, d'écrire dans Ming Pao, le grand journal en chinois des classes moyennes, ont ralenti ou arrêtent complètement d'écrire leurs colonnes, parce qu'ils ont peur. Ils ne savent pas très bien où se situe la ligne rouge qui leur ferait enfreindre la loi sur la sécurité nationale.

  • Triste 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

7 juillet 2021

Le ton est assez "guerre froide". C'est une espèce de sonnerie de tocsin pour rassembler "l'Occident" autour d'États-Unis qu'on ne critique à peine (sauf lorsque Facebook pratique une censure dans l'intérêt de la Chine).

Malgré ce parti pris, le documentaire accepte naïvement la propagande chinoise au moins deux fois s'agissant de la soi-disant "humiliation" de la Chine au XIXe siècle en omettant la mise en contexte qui pourrait montrer que l'Empire Qing s'est écroulé comme un château de carte à cause de ses fragilités internes et non d'une agression extérieure. Ou encore en reprenant l'idée contestable de droits "historiques" de la Chine en mer de Chine méridionale, alors qu'on a affaire à des îlots inhabités où absolument rien ne s'est passé dans les annales historiques.

Malgré ces réserves il y a des contenus intéressants sur la jeunesse de Xi Jinping, et dans les commentaires de différents experts interrogés.

 

  • Merci (+1) 2
  • Upvote (+1) 2
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Alors que l'on annoncé la semaine dernière une sécheresse dans le sud de la Chine, c'est aujourd'hui un barrage qui risque de céder après des pluies intenses  

https://www.bfmtv.com/international/asie/chine/chine-un-barrage-menace-de-ceder-d-un-instant-a-l-autre_AD-202107200389.html

L'armée chinoise a mis en garde mardi contre le risque imminent de rupture d'un barrage dans le centre du pays, soumis à des pluies diluviennes qui ont fait au moins trois morts.

Le commandement régional de l'Armée populaire de libération a expliqué dans un communiqué qu'une brèche de 20 mètres était apparue ce jour dans le barrage de Yihetan, à Luoyang, une ville d'environ 7 millions de personnes dans la région du Henan.

  • Triste 1
  • Upvote (+1) 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il y a 3 heures, Henri K. a dit :

JojoANZ 梁乔恩

@JojoL682020

Māori & European Kiwi Socialist. Anti-western hegemonic rule & propaganda about China. Anti Colonisation and Imperialism. TCK life: Next:

Merci Henri, mais ça va aller en ce qui me concerne.
J'ai beau haïr les médias en question qui sont tout autant des boites à fake news que la presse officielle chinoise, ça n'enlève rien aux outrances du camp d'en face.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
  • Statistiques des membres

    6 005
    Total des membres
    1 749
    Maximum en ligne
    cilom
    Membre le plus récent
    cilom
    Inscription
  • Statistiques des forums

    21,6k
    Total des sujets
    1,7m
    Total des messages
  • Statistiques des blogs

    4
    Total des blogs
    3
    Total des billets
×
×
  • Créer...