Chine

[Wallaby]

En particulier, il y a une corrélation entre les efforts de dépollution atmosphérique à Pékin et le fait que le maire de Pékin de 2018 à 2022 ait été Chen Jining

https://en.wikipedia.org/wiki/Chen_Jining

En 1998, il est retourné à l'université Tsinghua de Pékin, son alma mater de premier cycle, pour occuper le poste de vice-président du département des sciences et de l'ingénierie de l'environnement. Il a ensuite été vice-président de l'université de 2006 à 2007, vice-président exécutif de 2007 à 2012 et président de 2012 à 2015.

Entré au gouvernement chinois en 2015, M. Chen a été ministre de la protection de l'environnement de la Chine de 2015 à 2017, vice-maire de Pékin de 2017 à 2018 et maire de Pékin de 2018 à 2022.

Ministre de l'écologie et de l'environnement

Pendant son mandat, Under the Dome, un film sur la pollution de l'air dans le nord de la Chine, est sorti sur les écrans[13]. Chen a fait l'éloge du film et a remercié son producteur[13]. Under the Dome a d'abord été promu par les médias d'État chinois, mais toutes les mentions ont été supprimées et le film a été censuré en mars[14][15]. Chen a ensuite cessé de mentionner le film lors de tous les événements publics[16][17].

En septembre 2015, Chen s'est engagé à rendre indépendantes huit agences affiliées au ministère d'ici la fin de l'année prochaine, ou à révoquer leurs qualifications dans le cas contraire[18]. En mars 2016, le ministère de la Protection de l'environnement a annoncé des réformes internes majeures, passant de la réalisation d'objectifs environnementaux à l'exercice d'une gouvernance globale[19]. Chen a tenu une réunion d'urgence en octobre 2016 après que Pékin a été placée en alerte jaune au smog[20]. En janvier 2017, il a inspecté la surveillance des émissions sur les autoroutes et dans les zones industrielles[21].

[CANDIDE]

Il y a 4 heures, Polybe a dit :

...et dans le reste de la Chine ?

Etant donné que la Chine est passé d'un parc de 620 centrales à charbon en 2010 à 1 100 centrales en 2023 (la moitié du parc mondial), la pollution doit avoir augmenté en dehors des grandes villes, qui ont c'est vrai investi massivement dans la dépollution.

[Polybe]

Oui c'est clairement ce que moi j'en comprends quand j'en parle avec des gens qui vivent là-bas. La pollution et les maladies liées explosent.

[pascal]

Il y a 16 heures, Wallaby a dit :

En 1998, Pékin a lancé une campagne décisive contre la pollution de l'air, ciblant la combustion du charbon et les émissions des véhicules.

Vers 2013, la capitale chinoise a intensifié ses efforts de lutte contre la pollution, en se concentrant sur les chaudières à charbon, les combustibles plus propres et la restructuration industrielle.

Le JO de 2008 ont joué un rôle considérable à Pékin en termes de prise de conscience...

Lors de la préparation des Jeux on s'est vite rendu compte que le niveau de pollution atm allait poser problème en termes d'image (et pas seulement à cause d'un smog quasi permanent). Cela explique que durant ces JO beaucoup d'activités étaient à l'arrêt dans la conurbation pékinoise ... puis à partir de là des efforts à long terme ont été entrepris.

Pour ce qui est du reste du pays alors là ...

[Ronfly]

https://www.lemonde.fr/international/article/2025/02/08/la-tempete-trump-une-aubaine-pour-pekin_6536867_3210.html

..."La suspension de l’aide américaine aux ONG de défense des droits humains, la sortie des Etats-Unis de l’OMS ou encore de l’accord de Paris sont autant d’ouvertures pour Pékin qui pourrait en profiter pour imposer ses choix..."

[CANDIDE]

Il y a 19 heures, Ronfly a dit :

https://www.lemonde.fr/international/article/2025/02/08/la-tempete-trump-une-aubaine-pour-pekin_6536867_3210.html

..."La suspension de l’aide américaine aux ONG de défense des droits humains, la sortie des Etats-Unis de l’OMS ou encore de l’accord de Paris sont autant d’ouvertures pour Pékin qui pourrait en profiter pour imposer ses choix..."

C'est aussi mon avis. Il y a un boulevard pour la Chine, qui peut apparaitre maintenant comme La grande puissance mondiale responsable et stable, face à un pays qui menace, sanctionne, s'ingère et revendique des territoires. Si les dirigeants Chinois veulent répondre aux bouleversements géopolitiques initiés par Trump, non seulement ils devraient suppléer l'aide américaine fournie par l'USAID et se positionner comme la puissance bienveillante auprès du tiers-monde, mais aussi mettre fin aux contentieux avec l'Inde, le Japon, la Corée du Sud pour les détacher des Etats-Unis. 

Modifié le 9 février par CANDIDE

[Ciders]

il y a 4 minutes, CANDIDE a dit :

C'est aussi mon avis. Il y a un boulevard pour la Chine, qui peut apparaitre maintenant comme La grande puissance mondiale responsable et stable, face à un pays qui menace, sanctionne, s'ingère et revendique des territoires. Si les dirigeants Chinois veulent répondre aux bouleversements géopolitiques initiés par Trump, non seulement ils devraient suppléer l'aide américaine fournie par l'USAID, mais aussi mettre fin aux contentieux avec l'Inde, le Japon, la Corée du Sud pour les détacher des Etats-Unis. 

Je ne pense pas qu'ils iront jusque-là. En revanche, ils ont tout intérêt à ne rien faire de trop visible, pour avancer leurs pions, et attendre que les Américains finissent de se saborder.

Ce qui est étonnant, c'est que personne aux États-Unis ne semble comprendre qu'ils se privent d'un outil extrêmement précieux. On ne parle même pas de le remplacer par un MERICA-Super Office nouveau plus mieux. C'est incompréhensible.

Modifié le 9 février par Ciders

[CANDIDE]

Il y a 1 heure, Ciders a dit :

Je ne pense pas qu'ils iront jusque-là. En revanche, ils ont tout intérêt à ne rien faire de trop visible, pour avancer leurs pions, et attendre que les Américains finissent de se saborder.

Ce qui est étonnant, c'est que personne aux États-Unis ne semble comprendre qu'ils se privent d'un outil extrêmement précieux. On ne parle même pas de le remplacer par un MERICA-Super Office nouveau plus mieux. C'est incompréhensible.

Oui, il est possible que la Chine continue à pratiquer le jeu de GO pour étouffer l'influence américaine, plutôt que le blitzkrieg, ce serait plus dans leur culture.

J'ai l'impression que les dirigeants américains sont prisonniers de leur idéologie MAGA, et se voient toujours maîtres du monde, avec une ignorance crasse des autre pays et cultures, d'où l'absence d'un substitue à l'USAID et le sabordage de leur propre soft-power.

Modifié le 9 février par CANDIDE

[Hibernatus]

https://www.lemonde.fr/international/article/2025/02/08/la-tempete-trump-une-aubaine-pour-pekin_6536867_3210.html

En attendant, face à l'agitation trumpienne, les autorités chinoises semblent boire du petit lait (façon de parler, le lait n'étant guère à l'honneur dans la cuisine chinoise) :

Révélation

La tempête Trump, une aubaine pour la Chine

La suspension de l’aide américaine aux ONG de défense des droits humains, la sortie des Etats-Unis de l’OMS ou encore de l’accord de Paris sont autant d’ouvertures pour Pékin qui pourrait en profiter pour imposer ses choix.

Par Harold Thibault (Pékin, correspondant)

Publié hier à 06h00, modifié hier à 09h43

Depuis un quart de siècle, China Labor Watch enchaîne les révélations, sur l’exploitation des travailleuses des usines d’où sortent les Barbie dans le sud de la Chine, de stagiaires mineurs chez les sous-traitants d’Apple près de Shanghaï ou d’ouvriers sur les chantiers des « nouvelles routes de la soie » chinoises en Asie. Fondée par le militant Li Qiang, l’ONG s’appuie sur son travail à lui, celui d’un employé et un réseau de contacts en Chine. Ses rapports ont toujours, en toile de fond, l’impossibilité de défendre ses droits du fait du régime politique chinois. Mais l’affront à Pékin devrait bientôt cesser : 90 % du million de dollars de budget annuel de l’ONG provenaient de financements du gouvernement fédéral américain. L’administration de Donald Trump les a coupés à son arrivée au pouvoir.

Li Qiang se prépare donc à abandonner tous projets d’enquêtes. « C’est un énorme cadeau à la Chine, le gouvernement chinois doit se délecter. Pour nous, c’est très dur », confie cet homme qui lui-même a travaillé à la chaîne dans des usines de jouets en Chine avant de s’exiler aux Etats-Unis. Il connaît d’autres ONG travaillant sur la Chine qui sont dans la même situation, mais peu de leurs représentants sont désireux de parler, pour ne pas souligner leur dépendance aux aides américaines, angle d’attaque évident pour Pékin. Le travail de groupes alertant sur la situation des Ouïgours, des Tibétains ou des dissidents est menacé. Pour la Chine, difficile d’imaginer plus grande aubaine que de voir la puissance qui les soutenait décider d’elle-même de fermer le robinet.

La Chine est encore dans l’expectative, le mandat que vient de commencer le républicain semble imprévisible, mais le pays constate déjà que s’ouvrent des opportunités, tant le désir américain de cesser de payer pour le reste du monde laisse un espace. Tant, aussi, la décomposition en direct d’institutions et de certitudes des Etats-Unis sur l’ascendant moral de leur modèle relativise les critiques à l’égard d’autres régimes, même parmi les plus répressifs.

Errements américains au centre de l’attention mondiale

Cette séquence apporte un répit au régime chinois, dont les failles ont été soulignées ces dernières années, entre la difficulté du peuple à obtenir la sortie de la politique zéro Covid et l’actuel ralentissement économique qui pèse sur la vie des familles. Les errements américains sont maintenant solidement au centre de l’attention mondiale et pourraient se révéler très concrètement bénéfiques. Le New York Times a raconté, le 3 février, comment des dizaines de contractuels œuvrant pour une branche du département d’Etat chargée de la défense des droits humains dans les pays autoritaires, par exemple de la situation des Ouïgours au Xinjiang, ont été licenciés.

Puis le grand quotidien américain a révélé le 5 février comment l’Agence centrale de renseignement (CIA) a envoyé au bureau de gestion du personnel gouvernemental une liste avec prénom et initiale du nom de famille de toutes ses recrues d’il y a moins de deux ans, donc faciles à licencier, par un e-mail non classé secret, créant un risque de voir des puissances telles que la Chine s’en saisir, alors que justement, l’effort de recrutement de l’agence de renseignement américaine ces dernières années a porté sur les compétences face à la menace chinoise.

Chaque jour, la liste des organisations internationales dont se retirent les Etats-Unis s’allonge, comme si le principal acteur dans la course géopolitique mondiale déclarait forfait. Les problèmes de la Chine reviennent souvent à l’agenda au sein de ces organisations, mais le retrait de la première puissance laisse davantage de place à Pékin pour peser.

Ainsi dès le jour de son investiture, le 20 janvier, Donald Trump annonçait le retrait de son pays de l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Hasard du calendrier, la période devait plutôt être celle où le monde se souvenait du retard de la Chine, cinq ans plus tôt, à alerter la planète de l’émergence du Covid-19 et de la complaisance du président de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, qui avait alors applaudi la supposée « transparence » chinoise.

« Pour la Chine, l’ennemi quitte le champ de bataille »

Sans les Etats-Unis, la Chine va devenir le plus gros contributeur fixe au budget de l’OMS. Ses priorités en matière de santé publique internationale sont différentes, elle préfère passer en bilatéral et construire des infrastructures telles que des cliniques que d’insister sur les questions de gouvernance des systèmes de santé ou de droits des individus. « L’impact sera profond, c’est une opportunité pour la Chine de prendre le leadership, cela pourrait orienter le futur de la gouvernance mondiale en termes de santé publique. Pour la Chine, l’ennemi quitte le champ de bataille », relève Yanzhong Huang, spécialiste des questions de santé internationales au Council on Foreign Relations.

En avril 2018, la Chine avait fondé sa propre agence, ChinaAid, pour concurrencer l’Usaid, mais cette agence américaine est maintenant en cours de démantèlement, placée sous le contrôle du département d’Etat. Les tweets d’Elon Musk accusant l’agence d’aide américaine d’avoir « financé des recherches sur des armes biotechnologiques, dont le Covid-19, qui ont tué des millions de personnes », ne pouvaient tomber mieux pour la Chine autour de cet anniversaire. « C’est la vérité qu’on cherchait », lisait-on le 4 février sur un blog hébergé par la plateforme chinoise 163.com.

Le terrain se dégage également sur le front du climat. La Chine, qui représente 17 % de la population mondiale, est de loin le premier émetteur de CO2 de la planète, avec 35 % des émissions, mais elle pourra souligner son rôle de bon élève dans les énergies renouvelables et les efforts globaux, car le président américain a signé dès le 20 janvier aussi l’ordre de retrait américain de l’accord de Paris.

Un espace se libère aussi au Conseil des droits de l’homme de l’ONU, à Genève, lieu d’une âpre bataille d’influence ces dernières années. Elle oppose les pays occidentaux, qui défendent les droits fondamentaux et les libertés politiques, à la Chine, qui souligne son succès à sortir son peuple de la misère et veut mettre l’emphase sur les progrès économiques plutôt que les avancées démocratiques. Entre grandes puissances, c’est à qui mobilisera le plus de soutiens à sa résolution, mais les Etats-Unis ont annoncé leur retrait du Conseil des droits de l’homme le 4 février.

Pour autant, la Chine ne se fait aucune illusion, les quatre années qui viennent ne s’annoncent pas du tout comme une partie de plaisir. Les droits de douane de 10 % supplémentaires imposés par Donald Trump à ses produits sont entrés en vigueur le 4 février, à un moment où l’économie chinoise manque déjà de souffle et a besoin des exportations pour écouler la production de ses usines. Mais Pékin s’attendait à pire, avec la menace avancée par le candidat en campagne de taxer ses importations à 60 %, et a vu comme des gestes encourageants l’invitation à la cérémonie d’investiture du président Xi Jinping – qui s’est fait représenter par son vice-président – et le report de soixante-quinze jours du blocage annoncé de TikTok, le temps de trouver un « deal ».

Coups de boutoir contre les normes internationales

Surtout, la Chine constate que M. Trump s’en prend au fil de ses diatribes à de multiples territoires sans se cristalliser uniquement sur elle. Certes, le Panama, qui avait été le premier Etat d’Amérique latine à rejoindre le programme des « nouvelles routes de la soie » en 2017, a confirmé vendredi 7 février s’en retirer pour apaiser Washington. Mais les coups de boutoir contre les normes internationales, les velléités fantasques d’annexion du Canada, du Groenland ou de la bande de Gaza sont un affaiblissement considérable de l’ordre international dont Washington se prétendait le garant. Les Etats-Unis seront ensuite bien mal placés pour reprocher à la Chine de vouloir se saisir d’une île, Taïwan, située à seulement 130 kilomètres de ses côtes.

Pékin se garde de toute réjouissance officielle, mais se pose comme puissance responsable. « La Chine ne va pas commenter les politiques américaines. Elle développe, comme elle l’a toujours fait, ses relations avec les autres pays dans le respect des normes et principes de la charte de l’ONU. Nous sommes également prêts à contribuer à la paix dans le monde et au développement », a expliqué, le 6 février, le porte-parole du ministère des affaires étrangères chinois, Guo Jiakun.

Mais dans les faits, les experts chinois de politique étrangère trouvent, au moins pour l’heure, une situation plus favorable qu’anticipé. « Trump parle du Canada, du Mexique, de son déficit commercial avec l’Union européenne. Et il ne veut plus payer pour le reste du monde ou pour les ONG. Ce ne sont pas des politiques spécifiquement contre la Chine », constate Wang Huiyao, le président du Centre pour la Chine dans la mondialisation, un institut de Pékin. Il note également le désir de Trump d’obtenir une paix rapide en Ukraine et le rôle qu’aura, dans une négociation, la Chine auprès de la Russie. « Il est transactionnel et nous sommes prêts à faire des transactions », résume M. Wang.

Malgré cela, la conviction demeure que l’attention de Washington reviendra à un moment se poser à nouveau sur le seul pays dont l’ascension concurrence la puissance américaine. Mais la Chine pense aussi être plus résiliente que par le passé, ayant acquis un certain nombre de savoir-faire, comme le lui confirme l’avènement de son intelligence artificielle DeepSeek, et réalisant une part croissante de ses échanges avec des pays hors de ceux du G7 perçus comme hostiles.

La Chine attend en fait que les Etats-Unis sapent leur propre influence en menaçant, même à la légère, chaque pays chacun à son tour de taxes douanières ou de saisir des bouts de territoire. C’est ce qu’explique Yun Sun, directrice du programme Chine du centre américain Stimson, dans une analyse publiée par la revue Foreign Affairs. « Pékin considère que les politiques de Washington vont de par elles-mêmes démanteler les fondements de l’hégémonie américaine globale, même si elles vont sur leur passage créer de fortes turbulences pour les autres pays. La priorité de la Chine est de ce fait d’attendre que passe la tempête. » La Chine aura alors tout loisir de se poser en puissance stable, en recours, présente pour les déçus de l’Amérique.

 

[Patrick]

Il y a 6 heures, CANDIDE a dit :

Il y a un boulevard pour la Chine, qui peut apparaitre maintenant comme La grande puissance mondiale responsable et stable

Heurf... 

 

[Polybe]

il y a 5 minutes, Patrick a dit :

Heurf... 

 

Ben si. Clairement. Au moins en paraitre, et le capital de haine des USA en moins.

[Patrick]

il y a 10 minutes, Polybe a dit :

Ben si. Clairement. Au moins en paraitre, et le capital de haine des USA en moins.

En paraître je veux bien. Mais seulement pour les alliés existants de la Chine, ou pour les gens particulièrement cyniques et se moquant de l'essentiel. Mettre les deux sur un même pied d'égalité relève de la folie douce.

Mais après-tout pourquoi pas hein? Je serais curieux de voir ce que donnerait des vagues d'immigration illégale de dizaines de millions de gens en chine, par exemple... Mais mon petit doigt me dit que ça tournerait assez mal...

[ksimodo]

il y a 37 minutes, Patrick a dit :

En paraître je veux bien. Mais seulement pour les alliés existants de la Chine,

2 mots ont été cités. Tu ne peux pas partager "responsable", mais pour le terme de "stable", c'est dur de faire aussi stable que les pays pas exactement démocratiques. 

Les US, c'est le pire possible en terme de "stabilité" sur le monde extérieur à eux même, car peut tout arriver, et surtout l'inverse 4 ans plus tard.

[CANDIDE]

Il y a 1 heure, Patrick a dit :

En paraître je veux bien. Mais seulement pour les alliés existants de la Chine, ou pour les gens particulièrement cyniques et se moquant de l'essentiel. Mettre les deux sur un même pied d'égalité relève de la folie douce.

Mais après-tout pourquoi pas hein? Je serais curieux de voir ce que donnerait des vagues d'immigration illégale de dizaines de millions de gens en chine, par exemple... Mais mon petit doigt me dit que ça tournerait assez mal...

Oui, j'ai bien pris soin de dire paraître, donc d'adopter une posture. Peut-être pas seulement vis à vis des alliés existants, mais aussi de ceux qui ne recevraient plus les subsides de l'USAID par exemple. Si les USA en viennent réellement à saborder leur soft-power (attention je ne dis pas qu'il faut pas faire le tri dans le maquis des aides de toutes sortes et parmi les bénéficiaires), alors il y a une place à prendre pour la Chine.

Modifié le 9 février par CANDIDE

[Paschi]

 

[pulsar]

il y a une heure, Paschi a dit :

 

Propagande des menteurs calomnieurs medias/politiques occidentalist comme les 'arme de destruction massive irakien avec photo satellite & témoignage' & ça utilise les même technique photo d'1 banal prison presenté comme 'camps de concentration de millions ughur' & 'témoignage'.

La Chine réprime légitimement 1 poignée de terrorist payé par Usa, pas tous les ughurs qui font parti des 56 ethnies officiels de Chine.

'cia Tibet' sur encyclopédie : Usa a reconnu avoir fomenté la 1ere révolt Tibet années 50. Surement encore Usa derrière terrorist Tibet 2008 & ughur 2013 c'est pourquoi les médias/politiques occidentalist n'ont pas condamné ces attaques terrorist mais calomnient la répression légitime de ces terrorist en 'camps de concentration de millions ughur'.

 

Modifié le 10 février par pulsar

[Paschi]

Ton propos tout dans la modération et pas du tout orienté ne peut que nous convaincre de la véracité de ce que tu avances.

[pulsar]

il y a 1 minute, Paschi a dit :

Ton propos tout dans la modération et pas du tout orienté ne peut que nous convaincre de la véracité de ce que tu avances.

Même après leurs gros mensonges sur les 'armes de destructions massives irakienne avec photos satellites et témoignage', les hypocrit menteurs calomnieurs occidentalist continuent de mentir calomnier des pays beaucoup moins agresseurs menteurs qu'eux.

J'espère que ces hypocrit finiront par récolter ce qu'ils ne cessent de semer au monde.

[Teenytoon]

il y a 2 minutes, pulsar a dit :

Même après leurs gros mensonges sur les 'armes de destructions massives irakienne avec photos satellites et témoignage', les hypocrit menteurs calomnieurs occidentalist continuent de mentir calomnier des pays beaucoup moins agresseurs menteurs qu'eux.

J'espère que ces hypocrit finiront par récolter ce qu'ils ne cessent de semer au monde.

Et donc quels sont les pays droits honnêtes pacifiques ?

[pulsar]

il y a 1 minute, Teenytoon a dit :

Et donc quels sont les pays droits honnêtes pacifiques ?

Typique des arguments des gros menteur calomnieur agresseur du monde : 'les autres ne sont pas 100% honnête & pacifique alors ça nous excuse d'être les gros menteur calomnieur agresseur moralisateur du monde'.

[Teenytoon]

à l’instant, pulsar a dit :

Typique des arguments des gros menteur calomnieur agresseur du monde : 'les autres ne sont pas 100% honnête & pacifique alors ça nous excuse d'être les gros menteur calomnieur agresseur moralisateur du monde'.

Typique des trolls, ils ne répondent pas aux questions. Tu devrais changer de traducteur, celui-là fait des fautes grossières.

[Teenytoon]

Tiens @pulsar, ça c'est pas un pays, c'est une ONG qui dézingue régulièrement la France et les USA aussi :

https://www.hrw.org/fr/news/2023/08/31/chine-crimes-contre-lhumanite-incessants-visant-les-ouighours

Eux aussi sont des gros menteurs calomniateurs agresseurs ?

Modifié le 10 février par Teenytoon

[pulsar]

il y a 1 minute, Teenytoon a dit :

Typique des trolls, ils ne répondent pas aux questions. Tu devrais changer de traducteur, celui-là fait des fautes grossières.

Et hop argument de l'orthographe typique du manque d'argument 

[Teenytoon]

à l’instant, pulsar a dit :

Et hop argument de l'orthographe typique du manque d'argument 

Et hop on continue à dériver et à ne pas répondre aux questions, toujours typique des troll.

Tu peux répondre donc s'il te plait, selon toi quels sont les pays droits honnêtes et pacifiques ?

[pulsar]

il y a 2 minutes, Teenytoon a dit :

Tiens, ça c'est pas un pays, c'est une ONG qui dézingue régulièrement la France et les USA aussi :

https://www.hrw.org/fr/news/2023/08/31/chine-crimes-contre-lhumanite-incessants-visant-les-ouighours

Eux aussi sont des gros menteurs calomniateurs agresseurs ?

Nombreux 'ong' et autres 'organisme international' ne sont que des organismes occidentaux.