[PATMAR & SURMAR]

[Polybe]

Au tout début, une séquence qui illustre l'accrochage S-400 :

Je dis qui illustre, parce que je sais pas...la côte me fait plus penser à la Bretagne que ce que j'imagine des bords de la Baltique (j'en sais pas grand chose en vrai), et du coup j'ai comme un doute sur la superposition son/image.

Pareil pour être accroché dans le 240...il est au-dessus de la terre ou dans le Golfe de Riga l'ATL !

Modifié le 21 avril par Polybe

[Titus K]

https://www.navalnews.com/naval-news/2025/04/ultra-maritime-to-provide-active-and-passive-sonobuoys-to-france/

Ultra Maritime continues to expand its growing list of customers for the next generation of sonobuoy technologies, and is proud to announce a significant multi-product award from Thales Group in support of Direction Générale de l’Armement (DGA), the French Government’s defense procurement and technology agency. DGA will be procuring both active and passive sonobuoys, including some of the latest technologies from Ultra Maritime’s new U.S. production lines, that together will provide significant anti-submarine warfare (ASW) capabilities.

Ultra Maritime will be supplying newly designed and qualified U.S.-built AN/SSQ 62E DICASS and AN/SSQ 53G DIFAR sonobuoys. These sonobuoys offer significant performance improvements and are equipped with cutting-edge battery technology which nearly doubles the operational life of the active sonobuoys and augments their acoustic output, while providing precise detection, localization and classification, ensuring reliability of outcomes in critical defense operations. 

Ultra Maritime will also supply G-size AN/SSQ 536G Bathythermal buoys from its Canadian site in Dartmouth, Nova Scotia. G-size sonobuoys deliver advanced sonobuoy technology in a more compact form, ideal for rotary wing and Unmanned Air Vehicle (UAV) operations where minimizing payload dimensions and mass are important factors.

Modifié le 24 avril par Titus K

[KLD]

Côté SURMAR, le remplacement des Falcon 200 Gardian par les Falcon 50 modernisés "Triton" outremer a débuté, dans l'attente de l'Albatros :

https:/www.meretmarine.com/fr/defense/marine-nationale-le-falcon-50-prend-ses-quartiers-a-tahiti

Modifié le 25 avril par KLD

[Bechar06]

Vers d'autres solutions SURMAR avec des drones ... "L'offre s'etoffe" 

EN SOUVERAIN / FR ou EUROPE : 

https://www.meretmarine.com/fr/defense/diades-marine-et-se-aviation-font-de-driade-un-drone-aerien-de-surveillance-maritime

"les sociétés françaises Diadès Marine et SE Aviation annoncent le lancement d’une solution de drone MALE (Moyenne Altitude Longue Endurance) destinée aux missions de surveillance maritime, de renseignement tactique et de contrôle des frontières. Elle est basée sur le DRIADE, développé sur la base d’un avion de la gamme MRE et dont le premier exemplaire, dans sa version définitive, est présenté au Bourget."

"Cet engin de surveillance maritime (Surmar) est basé sur le Drone de Reconnaissance et d’Intervention Autonome pour la Défense de l’Environnement (DRIADE) développé par SE Aviation. Cette société implantée à l’aérodrome de Pontarlier, dans le Doubs, a pris en 2012 la relève de Dyn’Aéro pour la construction et l’entretien des avions de tourisme de la gamme MCR. Des appareils biplaces et quadriplaces majoritairement réalisés..."

 

[BPCs]

Du C295 MSA pour l'Espagne, première marche vers un C295 MPA encore en développement : 

https://armyrecognition.com/news/aerospace-news/2025/airbus-rolls-out-spains-first-c295-maritime-surveillance-aircraft-for-testing-phase

[hadriel]

Le 16/06/2025 à 18:04, Bechar06 a dit :

Vers d'autres solutions SURMAR avec des drones ... "L'offre s'etoffe" 

EN SOUVERAIN / FR ou EUROPE : 

https://www.meretmarine.com/fr/defense/diades-marine-et-se-aviation-font-de-driade-un-drone-aerien-de-surveillance-maritime

Un 2e article de M&M sur le Driade:

https://www.meretmarine.com/fr/defense/surveillance-maritime-focus-sur-le-drone-aerien-driade-de-se-aviation-et-diades-marine

Citation

La DRIADE est un drone basé sur le modèle d'avion MCR-4S Évolution, un appareil de 6.72 mètres de long pour 8.66 mètres d’envergure (8.15 m² de surface alaire) et 820 kg pouvant décoller sur de courtes distances et réputé comme très silencieux. Ses ailes emportent 400 litres de carburant. Il est équipé d’un moteur Rotax915iS développant 141 cv lui permettant de voler à la vitesse maximale de 283 km/h. Avec une consommation minimale de 10 litres de carburant par heure (SP98 ou AVGAS), le DRIADE Surmar conserve une autonomie allant jusqu’à 36 heures. Selon son concepteur, il s’agit « d’une estimation du temps de mission sur zone, cela ne comprend pas le temps de transit. Nous partons du principe que le drone peut par exemple voler à vitesse élevée pendant une heure pour atteindre sa zone de patrouille. Puis sur place, dans le cas d’une mission de surveillance maritime, il n’a pas forcément besoin d’aller aussi vite et peut voler à une vitesse de croisière plus basse pendant 36 heures, tout en gardant une marge pour un retour équivalent à l’aller. Cette feuille de mission peut bien entendu être modulée et évoluer selon les conditions météo » explique Olivier Lacrouts, président de Diadès Marine. La vitesse de croisière en opération est donnée à 140 km/h « soit 7000 km²/h en mission de repérage de petites embarcations, ou 15 000 km²/h en mission de surveillance des pêches et un plafond opérationnel supérieur à 8500 mètres d’altitude pour des missions spécifiques de renseignement », précisent Diadès Marine et SE-Aviation.

 

La taille est aussi un point de vigilance pour le projet. Le modèle MCR-4S Évolution qui sert de base au DRIADE est un appareil de 6.72 mètres de long pour 8.66 mètres d’envergure (8.15 m² de surface alaire). « Le DRIADE est monté en kit. Il faut compter une à deux heures de montage pour trois techniciens. Les ailes et le fuselage peuvent être séparés et stockés pour le transport à l’intérieur d’un conteneur de 40 pieds séparé en deux parties. L’une pour l’accueil du drone démonté, l’autre pour la station de pilotage » indique l’équipe de SE-Aviation. Le drone et sa station de pilotage sont ainsi déplaçables avec un seul camion.

 

Pour l’instant, aucun vol n’a été effectué sans pilote à bord. Ce sont des MCR-4S modifiés qui ont embarqué le système prévu pour le drone. Des phases de vol ont été réalisées en mode automatique, mais le pilote à bord de l’avion se chargeait des tout derniers mètres pour le décollage et l’atterrissage qui sont les phases critiques. Le système de navigation du DRIADE a toutefois été testé pour reproduire des scénarios de missions opérationnelles. Deux semaines de tests ont déjà été effectuées. L’accord avec la DGA devrait permettre d’avancer vers le vol cette fois du DRIADE complet, prévu cet automne.