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Emeutes et évolutions dans le monde Arabe


Messages recommandés

Paris et Washington dénoncent des dégradations contre leurs ambassades en Syrie.

L'ambassadrice syrienne à Paris a été convoquée dimanche 10 juillet au soir au Quai d'Orsay. Le ministère des affaires étrangères entend protester 'vigoureusement' contre des dégradations visant son ambassade et un consulat en Syrie après une visite de son ambassadeur dans la ville de Hama (Nord).

Le porte-parole du ministère des affaires étrangères, Bernard Valero, a indiqué dans un communiqué, diffusé dimanche soir, que 'l'ambassadrice de Syrie est convoquée ce soir au Quai d'Orsay par le directeur de cabinet du ministre' Alain Juppé, afin de 'protester vigoureusement' contre des manifestations samedi devant l'ambassade française à Damas et le consulat d'Alep, marquées par de 'nombreuses dégradations'.

Ces manifestations 'ont été marquées par des outrages contre les emblèmes de la République : drapeaux français brûlés et nombreuses dégradations (jets de projectiles dans l'enceinte, destruction de véhicules), sans que les forces de l'ordre et de sécurité syriennes se soient le moins du monde mobilisées pour empêcher ces actes inqualifiables', écrivent les services dirigés par Alain Juppé.

'Nous tenons les autorités syriennes responsables de la sécurité de nos agents et de nos emprises diplomatiques', ajoute le ministère français.

De son côté, un haut responsable du département d'Etat américain a affirmé que des manifestations, accompagnées de lancers de tomates, d'oeufs, de morceaux de verre et de pierres, ont duré 31 heures et se sont achevées samedi soir. Deux employés de l'ambassade auraient reçu des jets de nourriture.

'L'ambassadeur a clairement dit au gouvernement syrien qu'inciter des Syriens (à agir) contre les Etats-Unis, notamment par des manifestations agressives devant l'ambassade, doit cesser', selon la même source.

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Je croyais que les deplacements d'un ambassadeur etaient soumises à l'autorisation du pays d'accueil et là il semble que c'est pas le cas,puisque les syriens disent que les ambassdeurs (français et us) ont pris des chemins sous le controles des "rebelles"  pour rejoindre le point de ralliement avec les opposaants au regimes ?? C'est pas clair tout ça !!

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Manifestations monstres en Syrie : la police tire dans la foule.

Plus d'un million de personnes ont défilé dans plusieurs villes du pays pour demander la libération des détenus et la chute du régime. La police a tiré à balles réelles sur la foule.

Les forces syriennes ont ouvert le feu vendredi pour disperser des manifestants à Damas et Idleb, dans le nord-ouest du pays, tuant au moins 17 manifestants, selon un bilan provisoire établi par des militants. Au même moment, plus d'un million de personnes défilaient dans plusieurs villes du pays pour demander la libération des détenus et la chute du régime, le total le plus élevé fourni par les opposants pour une seule journée de manifestations contre le pouvoir en Syrie depuis le 15 mars, date du début du mouvement de contestation. «Il s'agit d'un développement important et d'un message aux autorités pour dire que les manifestations s'amplifient», a commenté Rami Abdel Rahmane, de l'Observatoire syrien des droits de l'Homme.

Selon Abdel Karim Rihaoui, de la Ligue syrienne des droits de l'Homme, neuf personnes auraient été tuées à Damas, trois à Douma, localité à 15 km de la capitale, trois à Idleb, et deux autres à Deraa, où est née la contestation. Dans le quartier de Qaboune à Damas, où 20.000 personnes étaient descendues dans les rues, les forces de sécurité ont tiré à balles réelles pour disperser les contestataires, comme dans le quartier de Roukn Eddine, également à Damas. Quinze personnes auraient, en outre, été blessées à Kessoué, dans la province de Damas, selon la même source.

Les manifestants répondaient à l'appel de militants pour la démocratie. Selon le bilan de l'Observatoire syrien des droits de l'Homme, environ 500.000 personnes auraient manifesté à Hama, dans le nord, et presque autant à Deir Ezzor, à l'est du pays. Plus de 7000 contestataires se seraient dirigés vers la mosquée Al-Hassan à Damas, devenue le point de ralliement des manifestants dans la capitale syrienne, selon des militants présents sur place. Par ailleurs de grandes manifestations se sont déroulées à Homs, Raqqa, Alep, Amouda et Ain al-Arab.

Depuis le début des manifestations à la mi-mars, la répression du régime a fait quelque 1600 morts, selon les militants des droits de l'homme. Environ 15.000 personnes sont toujours détenues, selon des militants.

Une «Conférence de Salut national» doit réunir samedi, simultanément à Damas et à Istanbul, des opposants syriens et des militants animant le mouvement de contestation, pour examiner les moyens de renverser le régime d'Assad, ont annoncé les organisateurs. Un «organisme de Salut national» sera formé afin de «préparer la feuille de route pour le changement démocratique».

=> pas besoin d'intervenir militairement, c'est la rue qui va bien finir par renverser le régime.  =)

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Syrie : la contestation touche désormais la capitale, Damas.

Les forces spéciales de l'armée syrienne ont encerclé, mercredi 20 juillet, la localité d'Harasta, au nord de la capitale, Damas, pour tenter une nouvelle fois d'étouffer le mouvement de contestation du régime du président Bachar Al-Assad, ont rapporté des habitants.

'Des centaines de soldats de la 4e division [dirigée par le frère d'Assad, Maher] ont bloqué l'accès à des dizaines de points d'entrée à Harasta', a indiqué un habitant de cette commune, qui en compte 150 000, située au nord de Damas. 'Ils portent des treillis, des casques, des ceintures de munitions et des fusils d'assaut. L'eau, l'électricité et le réseau téléphonique ont été coupés', a ajouté cet habitant, qui a réussi à quitter Harasta.

Joint au téléphone par Reuters, il a fait état de plusieurs dizaines de personnes arrêtées par l'armée. D'après les opposants au régime, la répression orchestrée par l'armée, les forces de sécurité et les miliciens a coûté la vie à au moins quatorze cents civils depuis le début du mouvement de contestation, en mars. Ils ajoutent que plus de douze mille personnes ont été arrêtées.

Les autorités syriennes imputent ces événements à des 'groupes terroristes' bénéficiant de soutiens étrangers et elles font état d'au moins un demi-millier de militaires et de policiers tués depuis mars.

Il est difficile de vérifier les affirmations des uns et des autres, les autorités syriennes ont expulsé la plupart des journalistes étrangers. (Reuters)

Le fait que la capitale soit touchée alors même que les massacres se poursuivent dans les autres villes du pays semble montré que la contestation prend de l'ampleur et devient quasi incontrôlable pour le régime.

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TTU : Le pouvoir syrien donne des signes de faiblesse

Après les récents événements survenus à Hama, la crise syrienne semble avoir atteint un point de non retour. Les dernières manifestations survenues dans cette ville, traditionnellement rebelle au pouvoir, ont rassemblé des effectifs sans commune mesure avec tous les mouvements de foules qui s’étaient produits jusque-là dans d’autres localités.

Et, à la fin de la semaine dernière, en même temps que la population manifestait à Hama, des cortèges de plusieurs dizaines de milliers de gens défilaient dans d’autres villes, en particulier Deir Ez Zor (environ 150 000). Ce qui montre une meilleure coordination des mouvements d’opposition, qui ont réussi à organiser ces mouvements de foules à l’avance.

Par ailleurs, le cafouillage concernant le remplacement du gouverneur de Hama révèle une nouvelle fois les divisions au sein du pouvoir. A la place du gouvernement limogé, Ahmad Abdel Aziz, le président n’a finalement pas ratifié la nomination de Walid Abaza, préférant choisir à sa place Anas Abdel Razeq Na’im — un natif de la ville —, ce qui contrevient à la coutume de nommer un gouverneur originaire d’une autre région.

A noter que la gestion de la crise de Hama a donné lieu à un retour en scène du beau-frère du président, Assef Chawkat, au détriment de Maher el-Assad. Mais la nomination du nouveau gouverneur est loin d’avoir apaisé les esprits à Hama, surtout après l’assassinat du chanteur Ibrahim Al-Qashoush, retrouvé égorgé dans l’Oronte.

Quant à la présence inopinée, dans la ville, des ambassadeurs des Etats-Unis et de France, vendredi 8 juillet, elle a encouragé les manifestants, tout en les protégeant dans une large mesure. Les deux diplomates avaient été invités par les “comités locaux de la coordination” (dirigés sur place par Fida’a Akram el-Hourani, présidente du groupe de la Déclaration de Damas). Ils ont été chaleureusement accueillis par les manifestants qui ont escorté leur convoi.

En face, les autorités manifestent un certain désarroi, comme le montrent les attaques contre les deux représentations diplomatiques occidentales à Damas, le 11 juillet, alors que la proposition de dialogue du pouvoir a fait long feu et que la situation se tend au sein de l’armée. En effet, les trois brigades sollicitées dans la répression des mouvements populaires s’essoufflent, tandis que les défections de soldats et d’officiers sunnites se multiplient un peu partout dans le pays.

http://www.ttu.fr/francais/Articles/strategie%20%26%20politique/signedefaiblesse.html

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Les pays impliqués dans "le printemps arabe" risquent de connaître à l’avenir une période "turbulente et difficile", prévoit le chef de la diplomatie britannique William Hague, quelques heures après l’expulsion par Londres de diplomates pro-Kadhafi.

Dans une interview au Times de jeudi, William Hague craint que les mouvements engendrés par "le printemps arabe" ne dérapent en raison de l’économie chancelante de ces pays, des luttes entre différentes factions et de mouvements contre-révolutionnaires. Dans les années à venir, le chef du Foreign Office prévoit "beaucoup de problèmes et de convulsions", concernant ces pays.

"Les prochains mois pourraient être vraiment mouvementés et difficiles en Egypte", juge M. Hague, ajoutant que "ce pays est la pièce du puzzle la plus importante dans le monde du printemps arabe".

Rejetant les critiques selon lesquelles la mission de l’Otan visant à déloger le dirigeant libyen Mouammar Kadhafi prend trop de temps, M. Hague estime que le mouvements insurrectionnels en Libye pourraient se jouer sur une génération avant de porter ses fruits.

"On ne doit pas s’attendre à ce que tout soit réglé sans problèmes dans chaque pays (arabe). Ce n’est pas un jeu sur ordinateur, qui prend fin quand vous en avez assez de jouer", estime le ministre britannique.

"Ce n’est pas, poursuit-il, un programme de TV qui se termine à 22h".

L’ancien responsable du parti conservateur britannique demeure toutefois optimiste. Il estime que la région ne devrait pas retourner sur la voie du despotisme, estimant même que le président syrien Bachar al-Assad, dont les forces ont tué des centaines de civils, pourrait être délogé dans les six prochains mois.

"Les évènements ont montré que personne peut supposer qu’ils (les dirigeants syriens) soient capables de se maintenir au pouvoir".

(Source AFP)

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A priori, une opération se prépare en Syrie, contre des unités de l'armée dissidentes (MediArabe) :

Selon plusieurs sources syriennes, le régime de Damas prépare une vaste opération militaire contre Deir Ezzor. Des troupes sont envoyées en renfort et des unités blindées sont massées en vue de mener une expédition punitive contre la ville de l’est de la Syrie. Selon les mêmes sources, l’aviation militaire s’apprête à pilonner la 7ème unité mécanisée qui est entrée en dissidence et qui a rejoint la révolte. L’opposition syrienne affirme que le massacre en préparation prouve que le régime de Bachar Al-Assad vit une véritable hystérie. L’opposant historique Riad Turk affirme ce matin que « la démocratie ne peut s’installer en Syrie tant que Bachar Al-Assad est au pouvoir. Sa chute est indispensable pour démocratiser le pays ».

Sinon, les manifs du jour avaient pour thème la dénonciation du silence de la communauté internationale.

Le mois du ramadan sera sans doute capital, vu qu'il y aura des prières tous les jours, ça va partir en manifs tous les jours. Si l'opposition se structure, ça peut contribuer à la chute d'Assad, une bonne fois pour toute!

Au passage, le président israëlien a déclaré il y a quelques jours que Bachar devait partir.

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En Egypte, les islamistes cherchent à récupérer la révolution pour leur compte.

"Une trentaine de partis politiques et de mouvements laïques ont quitté la manifestation organisée vendredi 29 juillet place Tahrir au Caire, pour protester contre la mainmise des islamistes sur le rassemblement. 'Il y a tellement de barbes. On se sent clairement oppressés', a dénoncé Sami Ali, un étudiant présent, alors que des membres des Frères musulmans et des militants salafistes venus en nombre scandaient des slogans religieux comme 'il n'y a pas d'autre Dieu qu'Allah' ou 'l'Egypte est islamique'.

Certaines banderoles proclamant que 'la loi islamique est au-dessus de la Constitution' ont ravivé l'inquiétude des libéraux et des laïques qui craignent que leurs adversaires ne cherchent à imposer un Etat religieux s'ils remportent les élections législatives de l'automne prochain. Selon le calendrier fixé par l'armée et validé en mars par référendum, le Parlement désignera après le scrutin une assemblée constituante chargée de rédiger la nouvelle Constitution. Les libéraux plaident pour l'adoption d'un Etat 'civil' et moderne, mais ils ont peu de chances d'être entendus." (Reuters)

Il y a des israéliens qui doivent mal dormir ce soir. Une Egypte islamiste contrôlant le canal de suez serait de toute façon un vrai cauchemar pour tout le monde.

:O

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Il n'y a aucun doute que le prochain pouvoir se doit de benificier d'au moins du quitus des freres pour pouvoir regner.Cependant, l'Egypte etant un pays pauvre ayant besoin de l'aide exterieur pour avancer,la real politick finira par produire la retenue necessaire pour ne pas mecontenter les bailleurs americain ou arabe...

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on peut vous retourner la question aussi ....l’hypocrisie dans toute sa splendeur .

Euh... ben non... enfin comprends pas, mais c'est pas tres grave.

Continuez de raler quand il y a intervention et de raler quand il n'y en a pas.

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S'il y a intervention, c'est du néocolonialisme et y a forcément des intérêts derrière, si l'on intervient pas c'est de la lâcheté, de l'hypocrisie et de la collusion avec des dictateurs qui sont de bons clients pour nos complexes militaro-industriels. Faudrait savoir à la fin. A choisir, autant pas intervenir, au moins c'est plus économique.

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Ce qui me fait le plus rire c'est la flotte pour la liberté naviguant vers une bande de Gaza qui n'est plus de facto sous blocus, sorte de bravade face à la dictature sioniste, entité impériale et autoritaire; et l'immense silence du monde Arabe et des combattants de la liberté vis à vis de la Syrie.

Le sieur Bachar a fait bien plus de victimes en quelques mois que les Israéliens depuis 5 ans à Gaza et en Cisjordanie.

Besancenot serait il un couard dès qu'il s'agit de combattre les vrais oppresseurs? 

Ou sont les groupes Facebook appelant au boycott des produits Syriens?

Ou sont les pays frères?

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Euh... ben non... enfin comprends pas, mais c'est pas tres grave.

Continuez de raler quand il y a intervention et de raler quand il n'y en a pas.

je râle surtout contre la politique du deux poids de mesure. pourquoi ce silence contre le massacre du peuple syrien ??? alors que vous avez était si prompt a allée régler sont compte a K ? même si j'ai mas petite idée sur la réponse .

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je râle surtout contre la politique du deux poids de mesure. pourquoi ce silence contre le massacre du peuple syrien ??? alors que vous avez était si prompt a allée régler sont compte a K ? même si j'ai mas petite idée sur la réponse .

la réponse est simple :

a) il n'y a pas de silence car on condamne les massacres de façon officielle

b) on a pas les moyens d'intervenir en syrie

Le vrai silence est ailleurs en fait, celui des régimes qui massacreent en pleine anonymat et silence ( genre gente Birmane )

Et evidemment la retenue de nos autorités officielles dès qu'il s'agit de dénoncer les massacres commis par un "allié" ( style USA en Irak ) où on fait profil bas ( mais là, les médias peuvent dénoncer )

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Euh... ben non... enfin comprends pas, mais c'est pas tres grave.

Continuez de raler quand il y a intervention et de raler quand il n'y en a pas.

ben si c'est hypocrite, on intervient en Libye pour moins que ce qui se passe en Syrie

et en Syrie on condamne juste avec des mots

pourquoi on intervient pas militairement ? que fait BHL ?

ah ouic 'est vrai la Syrie n'a pas de puits de pétrole !

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ben si c'est hypocrite, on intervient en Libye pour moins que ce qui se passe en Syrie

et en Syrie on condamne juste avec des mots

pourquoi on intervient pas militairement ? que fait BHL ?

ah ouic 'est vrai la Syrie n'a pas de puits de pétrole !

Tu veux intervenir avec quoi? Toute notre armée de l'air et l'aéronavale est mobilisé au dessus de la Lybie! On sait même pas si on tiendra jusqu'en Octobre!

Même nos 2000N sont de sorties!

On envoit un ASMP de frappe préventive?

Situation quasi identique pour les autres armées de l'air Européenne!

Elle fait quoi l'Algérie? L'Arabie Saoudite? La Turquie? Rien!

Sur les forums Arabes cela rêve de descendre du F 16I mais dès qu'il s'agit d'envoyer les zoziaux au dessus de la Syrie, c'est grand silence!

Pourquoi attendre ces fourbes d'Occidentaux? A quoi servent les Su 30 MKA, les F 15S?

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Elle fait quoi l'Algérie? L'Arabie Saoudite? La Turquie? Rien!

Sur les forums Arabes cela rêve de descendre du F 16I mais dès qu'il s'agit d'envoyer les zoziaux au dessus de la Syrie, c'est grand silence!

Pourquoi attendre ces fourbes d'Occidentaux? A quoi servent les Su 30 MKA, les F 15S?

Tout à fait. La France n'est pas rédemptrice.

On a déjà bien foutu le bordel en Libye, on va pas continuer. Et il serait temps que les pays musulman se prennent en mains.

On ne peut dénoncer le colonialisme et le promouvoir.

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Quand l'algérien se faisait zigouiller à tour de bras tout le monde arabe nous pissé dessus, allant même jusqu'à soutenir le FIS, maintenant on fait de même en regardant à la télé ce qui se passe chez les autres et en cassant ceux qui essayent de faire des incursions sur nos frontières.

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