Boule75 Posté(e) vendredi à 17:24 Share Posté(e) vendredi à 17:24 Il y a 2 heures, nikesfeld13 a dit : question simple, pour recouper avec une autre source, quelqu'un a t' il un ordre de grandeur du stock de change or USA pour le dollar ? Tu parles d'une question simple ! XD Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
nikesfeld13 Posté(e) vendredi à 17:57 Share Posté(e) vendredi à 17:57 c'est quand même un sujet d'actu, les USA doivent mettre sur le marché 1000 milliards de dette publique. G4lly a totalement mis dans le mille ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Lordtemplar Posté(e) samedi à 18:42 Share Posté(e) samedi à 18:42 (modifié) edit: deplace -> Modifié samedi à 18:46 par Lordtemplar 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Boule75 Posté(e) samedi à 19:21 Share Posté(e) samedi à 19:21 Le 22/08/2025 à 19:57, nikesfeld13 a dit : c'est quand même un sujet d'actu, les USA doivent mettre sur le marché 1000 milliards de dette publique. G4lly a totalement mis dans le mille ! Ca lui arrive régulièrement, mais dans le cas d'espèce, qu'a dit @g4lly qui te fasse réagir ainsi ? Quand je disais "vaste programme" en répondant à ta question, ou plutôt en n'y répondant pas, c'est parce que ça me semble vraiment très compliqué : il y a les réserves de changes des banques centrales en $ : ça, on doit pouvoir trouver le montant. Mais déjà, on n'est pas trop sûr qu'elles sont toutes "détenues" ailleurs qu'aux USA : je parie que certaines banques centrales conservent leurs réserves en $ "aux USA". Est-il d'ailleurs possible de faire autrement ? Si un banquier passe par ici et sait expliquer ça, ce serait très apprécié. il y a les réserves des banques commerciales : bon courage pour avoir des chiffres. La FED les a peut-être, probablement même. il y a celles des autres entreprises, et celles des particuliers (probablement marginales) : en théorie c'est dans les banques, mais lesquelles, et "jouent-elles" avec ces $ ? Probablement les font-elles "travailler". il y a aussi tous les pays où le $ est utilisé comme monnaie, monnaie-papier ou même électronique, des pays pas forcément super-rigoureux. Au final, on en revient toujours à la FED qui doit être informée des transactions, mais doit peiner comme tout le monde à démêler ce qui relève des marchés de dérivés, de couverture, les vrais $ qui dorment, ceux qui apparaissent sur les comptes mais sont en fait pour partie réinvestis en autre chose en attendant d'être réclamés, etc... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) samedi à 19:32 Share Posté(e) samedi à 19:32 Les aggrégats monétaire en dollars sont par ici https://fr.tradingeconomics.com/united-states/money-supply-m1 https://fr.tradingeconomics.com/united-states/money-supply-m2 Et l'explication des différents aggrégats https://fr.wikipedia.org/wiki/Masse_monétaire#Représentation_graphique 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Boule75 Posté(e) samedi à 19:35 Share Posté(e) samedi à 19:35 (modifié) Un truc "rigolo" ce soir : Trump affirme qu'à l'issue d'un entretien avec le PGD d'Intel, cette société aurait "offert" 10% de son capital à l'état américain et que la société est donc partiellement nationalisée. https://thehill.com/policy/technology/5466258-trump-intel-stake-agreement/ Sachant que le capital d'une société appartient à ses actionnaires et pas à la société, l'annonce est vraiment étrange. President Trump said Friday that Intel has agreed to give the U.S. government a 10 percent stake in the company. “They’ve agreed to do it, and I think it’s a great deal for them,” Trump told reporters. The administration has been weighing taking a stake in the struggling American chipmaker, pulling from previously allocated funding, Commerce Secretary Howard Lutnick confirmed earlier this week. Trump formally announced the agreement on social media just hours after telling reporters about the deal. “It is my Great Honor to report that the United States of America now fully owns and controls 10% of INTEL, a Great American Company that has an even more incredible future. I negotiated this Deal with Lip-Bu Tan, the Highly Respected Chief Executive Officer of the Company,” Trump wrote on social media. “The United States paid nothing for these Shares, and the Shares are now valued at approximately $11 Billion Dollars. [...]” -> Le président Trump a déclaré vendredi qu'Intel avait accepté de céder 10 % de ses parts au gouvernement américain. « Ils ont accepté de le faire, et je pense que c'est une excellente affaire pour eux », a déclaré M. Trump aux journalistes. L'administration envisageait depuis quelque temps de prendre une participation dans le fabricant américain de puces électroniques en difficulté, en puisant dans les fonds précédemment alloués, a confirmé le secrétaire au Commerce Howard Lutnick en début de semaine. M. Trump a officiellement annoncé l'accord sur les réseaux sociaux quelques heures seulement après en avoir informé les journalistes. « C'est un grand honneur pour moi d'annoncer que les États-Unis d'Amérique détiennent et contrôlent désormais 10 % d'Intel, une grande entreprise américaine qui a un avenir encore plus incroyable. J'ai négocié cet accord avec Lip-Bu Tan, le très respecté PDG de la société », a écrit M. Trump sur les réseaux sociaux. « Les États-Unis n'ont rien payé pour ces actions, qui sont désormais évaluées à environ 11 milliards de dollars. C'est un excellent accord pour l'Amérique, mais aussi pour INTEL. [...) » Traduit avec DeepL.com (version gratuite) Je ne comprend pas comment ça peut être légalement possible. De deux choses l'une : soit la société (ou son fond de pension...) détenait ces actions (10% d'auto-contrôle, ça paraît énorme), elle les avait racheté sur le marché et donc c'est directement le capital social qui change de main "gratuitement" (c'est donc du pillage des actionnaires et/ou des retraités futurs ou pas), soit c'est une augmentation de capital qui aurait dû donner lieu à un vote en assemblée générale, probablement un vote un peu agité d'ailleurs puisque les autres actionnaires l'ont grave dans l'os ! "Des temps intéressants" qu'ils disaient... Modifié samedi à 19:56 par Boule75 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Boule75 Posté(e) samedi à 19:41 Share Posté(e) samedi à 19:41 il y a 8 minutes, g4lly a dit : Les aggrégats monétaire en dollars sont par ici https://fr.tradingeconomics.com/united-states/money-supply-m1 https://fr.tradingeconomics.com/united-states/money-supply-m2 Et l'explication des différents aggrégats https://fr.wikipedia.org/wiki/Masse_monétaire#Représentation_graphique Mais ça ne dit pas trop ce qui est détenu et/ou circule ailleurs qu'aux USA, ce qui était la question de @nikesfeld13. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Boule75 Posté(e) samedi à 19:47 Share Posté(e) samedi à 19:47 Allez : une petite dernière. Beaucoup de renoncement à l'achats de biens immobiliers par les particuliers apparemment : 15% des transactions ne vont pas au bout et le stock de biens en vente a augmenté. Il va falloir surveiller les prix et le nombre des défaillances de remboursement des prêts, c'est en grande partie la cause de la crise de 2008. https://thehill.com/business/5466569-home-purchases-cancellations-redfin/ Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ciders Posté(e) samedi à 19:50 Share Posté(e) samedi à 19:50 à l’instant, Boule75 a dit : Allez : une petite dernière. Beaucoup de renoncement à l'achats de biens immobiliers par les particuliers apparemment : 15% des transactions ne vont pas au bout et le stock de biens en vente a augmenté. Il va falloir surveiller les prix et le nombre des défaillances de remboursement des prêts, c'est en grande partie la cause de la crise de 2008. https://thehill.com/business/5466569-home-purchases-cancellations-redfin/ On modifiera les statistiques, problème résolu. Après, de ce que je lis, ça semble une correction par rapport à ce qui s'est produit avec la pandémie de Covid. Les prix ont augmenté trop vite, on a trop construit, donc on revient un peu en arrière ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Boule75 Posté(e) samedi à 19:57 Share Posté(e) samedi à 19:57 il y a 6 minutes, Ciders a dit : On modifiera les statistiques, problème résolu. Après, de ce que je lis, ça semble une correction par rapport à ce qui s'est produit avec la pandémie de Covid. Les prix ont augmenté trop vite, on a trop construit, donc on revient un peu en arrière ? Possible. Ou alors c'est un premier craquement. Le truc de la nationalisation partielle d'Intel "gratuite", c'est vraiment énorme : ça s'attaque aux fondements du système capitaliste, là... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) samedi à 20:12 Share Posté(e) samedi à 20:12 il y a 33 minutes, Boule75 a dit : Je ne comprend pas comment ça peut être légalement possible. De deux choses l'une : soit la société (ou son fond de pension...) détenait ces actions (10% d'auto-contrôle, ça paraît énorme), elle les avait racheté sur le marché et donc c'est directement le capital social qui change de main "gratuitement" (c'est donc du pillage des actionnaires et/ou des retraités futurs ou pas), soit c'est une augmentation de capital qui aurait dû donner lieu à un vote en assemblée générale, probablement un vote un peu agité d'ailleurs puisque les autres actionnaires l'ont grave dans l'os ! "Des temps intéressants" qu'ils disaient... Normalement lors d'un rachat d'action les titres disparaissent, ils ne sont donc plus cessible... ... a priori c'est une augmentation de capital. Les nouveaux titre étant vendue à l'administration gratuitement, en échange des aides prévues par l'administration Biden. En gros soit Intel perdait 10 milliards d'aides, soit Intel troquer l'équivalent en action contre 10 milliards d'aides. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
nikesfeld13 Posté(e) samedi à 20:15 Share Posté(e) samedi à 20:15 (modifié) G4lly a répondu à ma question, je cherchais un chiffre officiel pour recroiser. Le stock des dollars "étrangers" vient des achats de matiéres premiéres, ce qui semble étre observé structurellement étant, un stock imposant de devises chez les exportations et une dette chez les importateurs. Si on regarde, par exemple, l'Arabie saoudite il y a qd même peu d'investissement des Saoudes en compensation rapport à ce qu'ils gagnent. Je cherche un sens caché aux pétro-dollars, un peu quand JMJ dit que le flux de matiére corréle l'économie réelle. A mon avis aussi, dans les médias on mélange beaucoup de chose et cela enlève la substance intéressante, de ce vrai-faux rôle de monnaie pivot du dollar. Sans faire de prévision actuellement le sur enchérissement de l'or semble un indice qu'il se passe quelque-chose. Je suppute aussi, la formation d'un bloc russie-chine-inde qui va perturber la monnaie US. https://www.latribune.fr/economie/international/emission-de-dette-americaine-le-crash-test-de-trump-face-aux-investisseurs-1027199.html Modifié samedi à 20:37 par nikesfeld13 edit2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Boule75 Posté(e) samedi à 21:50 Share Posté(e) samedi à 21:50 à l’instant, nikesfeld13 a dit : G4lly a répondu à ma question, je cherchais un chiffre officiel pour recroiser. Le stock des dollars "étrangers" vient des achats de matiéres premiéres, ce qui semble étre observé structurellement étant, un stock imposant de devises chez les exportations et une dette chez les importateurs. Si on regarde, par exemple, l'Arabie saoudite il y a qd même peu d'investissement des Saoudes en compensation rapport à ce qu'ils gagnent. Je cherche un sens caché aux pétro-dollars, un peu quand JMJ dit que le flux de matiére corréle l'économie réelle. A mon avis aussi, dans les médias on mélange beaucoup de chose et cela enlève la substance intéressante, de ce vrai-faux rôle de monnaie pivot du dollar. Sans faire de prévision actuellement le sur enchérissement de l'or semble un indice qu'il se passe quelque-chose. Je suppute aussi, la formation d'un bloc russie-chine-inde qui va perturber la monnaie US. https://www.latribune.fr/economie/international/emission-de-dette-americaine-le-crash-test-de-trump-face-aux-investisseurs-1027199.html Le $ sert à bien d'autres échanges que les matières premières (des avions, tous types de biens et de services) et ce qu'a donné g4lly ne concerne que les réserves de change des banques centrales, pas tous les $ détenus ou échangés hors des USA, comme tu le demandais. La démarche consistant à trouver un "sens caché aux pétro-dollars" qui expliquerait un" vrai-faux rôle de monnaie pivot du dollar" ne me paraît pas très saine : le $ est pour l'instant la principale devise dans laquelle sont libellés les échanges inter-zones monétaires, c'est un fait. Et l'or ne joue qu'un rôle hyper-marginal dans ces échanges. P.S. : qui est JMJ ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Akhilleus Posté(e) samedi à 21:58 Share Posté(e) samedi à 21:58 Il y a 2 heures, Boule75 a dit : Un truc "rigolo" ce soir : Trump affirme qu'à l'issue d'un entretien avec le PGD d'Intel, cette société aurait "offert" 10% de son capital à l'état américain et que la société est donc partiellement nationalisée. https://thehill.com/policy/technology/5466258-trump-intel-stake-agreement/ Sachant que le capital d'une société appartient à ses actionnaires et pas à la société, l'annonce est vraiment étrange. President Trump said Friday that Intel has agreed to give the U.S. government a 10 percent stake in the company. “They’ve agreed to do it, and I think it’s a great deal for them,” Trump told reporters. The administration has been weighing taking a stake in the struggling American chipmaker, pulling from previously allocated funding, Commerce Secretary Howard Lutnick confirmed earlier this week. Trump formally announced the agreement on social media just hours after telling reporters about the deal. “It is my Great Honor to report that the United States of America now fully owns and controls 10% of INTEL, a Great American Company that has an even more incredible future. I negotiated this Deal with Lip-Bu Tan, the Highly Respected Chief Executive Officer of the Company,” Trump wrote on social media. “The United States paid nothing for these Shares, and the Shares are now valued at approximately $11 Billion Dollars. [...]” -> Le président Trump a déclaré vendredi qu'Intel avait accepté de céder 10 % de ses parts au gouvernement américain. « Ils ont accepté de le faire, et je pense que c'est une excellente affaire pour eux », a déclaré M. Trump aux journalistes. L'administration envisageait depuis quelque temps de prendre une participation dans le fabricant américain de puces électroniques en difficulté, en puisant dans les fonds précédemment alloués, a confirmé le secrétaire au Commerce Howard Lutnick en début de semaine. M. Trump a officiellement annoncé l'accord sur les réseaux sociaux quelques heures seulement après en avoir informé les journalistes. « C'est un grand honneur pour moi d'annoncer que les États-Unis d'Amérique détiennent et contrôlent désormais 10 % d'Intel, une grande entreprise américaine qui a un avenir encore plus incroyable. J'ai négocié cet accord avec Lip-Bu Tan, le très respecté PDG de la société », a écrit M. Trump sur les réseaux sociaux. « Les États-Unis n'ont rien payé pour ces actions, qui sont désormais évaluées à environ 11 milliards de dollars. C'est un excellent accord pour l'Amérique, mais aussi pour INTEL. [...) » Traduit avec DeepL.com (version gratuite) Je ne comprend pas comment ça peut être légalement possible. De deux choses l'une : soit la société (ou son fond de pension...) détenait ces actions (10% d'auto-contrôle, ça paraît énorme), elle les avait racheté sur le marché et donc c'est directement le capital social qui change de main "gratuitement" (c'est donc du pillage des actionnaires et/ou des retraités futurs ou pas), soit c'est une augmentation de capital qui aurait dû donner lieu à un vote en assemblée générale, probablement un vote un peu agité d'ailleurs puisque les autres actionnaires l'ont grave dans l'os ! "Des temps intéressants" qu'ils disaient... Soit c'est la part ou une partie de la part Share d'un ou 2 gros porteurs privés (par opposition des petits porteurs tres clusterisés) qui ont accepté de "donner" a l,'etat US Un peu comme si la partie Bettancourt de l'Oreal donnait une partie de sa participation. Comme c'est un "don" "gré a gré" meme pas certains qu'il faille un vote de CA Ou c'est encore un truc bien bien deforme a la Trump cad un pipo de la taille de l'Empire State Building 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Boule75 Posté(e) samedi à 22:00 Share Posté(e) samedi à 22:00 à l’instant, g4lly a dit : Normalement lors d'un rachat d'action les titres disparaissent, ils ne sont donc plus cessible... Sauf si c'est conservé par la société "l'auto-contrôle", pour verser des rémunérations aux salariés ou aux dirigeants , ou encore pour abonder un fond de pension. Ca doit pouvoir servir aussi à certaines opérations d'échanges d'actions entre sociétés lors d'alliance, ce genre de choses. Bref : toutes les actions auto-détenues par la société ne sont pas détruites. à l’instant, g4lly a dit : ... a priori c'est une augmentation de capital. Les nouveaux titre étant vendue à l'administration gratuitement, en échange des aides prévues par l'administration Biden. En gros soit Intel perdait 10 milliards d'aides, soit Intel troquer l'équivalent en action contre 10 milliards d'aides. Avec ou sans l'accord des actionnaires ? Ils se font quand même enfler de 11 milliards, soit 9% de la capitalisation courante ! En admettant même qu'il s'agisse effectivement d'une augmentation de capital, ça change les droits de vote au Conseil d'Administration de la société. Je ne serais pas surpris que cette opération soit attaquée. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Boule75 Posté(e) hier à 06:36 Share Posté(e) hier à 06:36 Il y a 6 heures, Akhilleus a dit : Soit c'est la part ou une partie de la part Share d'un ou 2 gros porteurs privés (par opposition des petits porteurs tres clusterisés) qui ont accepté de "donner" a l,'etat US Un peu comme si la partie Bettancourt de l'Oreal donnait une partie de sa participation. Comme c'est un "don" "gré a gré" meme pas certains qu'il faille un vote de CA Ou c'est encore un truc bien bien deforme a la Trump cad un pipo de la taille de l'Empire State Building Il n'y avait pas d'investisseur unique atteignant 10% du capital au 30 juin, même si Blackrock s'en approchait (deux pages dynamiques dont la donnée changera avec le temps, et qui ne donnent pas exactement la même chose d'ailleurs....) : https://finance.yahoo.com/quote/INTC/holders/?guccounter=1 https://www.marketscreener.com/quote/stock/INTEL-CORPORATION-4829/company-shareholders/ Article de Yahoo finance sur le sujet, où l'on apprend que le Japon venait d'accepter de rentrer à hauteur de 2% au capital mais qui ne donne pas de détail sur le montage : ça sent effectivement l'augmentation de capital décidée à l'arrache ("niquer les nippons"). https://www.marketscreener.com/news/trump-poised-to-unveil-intel-deal-for-equity-stake-on-friday-bloomberg-news-reports-ce7c50dbd88bf22d Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Polybe Posté(e) hier à 06:45 Share Posté(e) hier à 06:45 Il y a 11 heures, Boule75 a dit : Un truc "rigolo" ce soir : Trump affirme qu'à l'issue d'un entretien avec le PGD d'Intel, cette société aurait "offert" 10% de son capital à l'état américain et que la société est donc partiellement nationalisée. https://thehill.com/policy/technology/5466258-trump-intel-stake-agreement/ Sachant que le capital d'une société appartient à ses actionnaires et pas à la société, l'annonce est vraiment étrange. President Trump said Friday that Intel has agreed to give the U.S. government a 10 percent stake in the company. “They’ve agreed to do it, and I think it’s a great deal for them,” Trump told reporters. The administration has been weighing taking a stake in the struggling American chipmaker, pulling from previously allocated funding, Commerce Secretary Howard Lutnick confirmed earlier this week. Trump formally announced the agreement on social media just hours after telling reporters about the deal. “It is my Great Honor to report that the United States of America now fully owns and controls 10% of INTEL, a Great American Company that has an even more incredible future. I negotiated this Deal with Lip-Bu Tan, the Highly Respected Chief Executive Officer of the Company,” Trump wrote on social media. “The United States paid nothing for these Shares, and the Shares are now valued at approximately $11 Billion Dollars. [...]” -> Le président Trump a déclaré vendredi qu'Intel avait accepté de céder 10 % de ses parts au gouvernement américain. « Ils ont accepté de le faire, et je pense que c'est une excellente affaire pour eux », a déclaré M. Trump aux journalistes. L'administration envisageait depuis quelque temps de prendre une participation dans le fabricant américain de puces électroniques en difficulté, en puisant dans les fonds précédemment alloués, a confirmé le secrétaire au Commerce Howard Lutnick en début de semaine. M. Trump a officiellement annoncé l'accord sur les réseaux sociaux quelques heures seulement après en avoir informé les journalistes. « C'est un grand honneur pour moi d'annoncer que les États-Unis d'Amérique détiennent et contrôlent désormais 10 % d'Intel, une grande entreprise américaine qui a un avenir encore plus incroyable. J'ai négocié cet accord avec Lip-Bu Tan, le très respecté PDG de la société », a écrit M. Trump sur les réseaux sociaux. « Les États-Unis n'ont rien payé pour ces actions, qui sont désormais évaluées à environ 11 milliards de dollars. C'est un excellent accord pour l'Amérique, mais aussi pour INTEL. [...) » Traduit avec DeepL.com (version gratuite) Je ne comprend pas comment ça peut être légalement possible. De deux choses l'une : soit la société (ou son fond de pension...) détenait ces actions (10% d'auto-contrôle, ça paraît énorme), elle les avait racheté sur le marché et donc c'est directement le capital social qui change de main "gratuitement" (c'est donc du pillage des actionnaires et/ou des retraités futurs ou pas), soit c'est une augmentation de capital qui aurait dû donner lieu à un vote en assemblée générale, probablement un vote un peu agité d'ailleurs puisque les autres actionnaires l'ont grave dans l'os ! "Des temps intéressants" qu'ils disaient... Sur les réseaux, ça crie au marxisme-léninisme, c'est rigolo... 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Thyd Posté(e) hier à 07:45 Share Posté(e) hier à 07:45 il y a une heure, Boule75 a dit : Jean-Marc Jancovici, what's else :-; 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Glenans29 Posté(e) hier à 07:45 Share Posté(e) hier à 07:45 12 hours ago, Boule75 said: Un truc "rigolo" ce soir : Trump affirme qu'à l'issue d'un entretien avec le PGD d'Intel, cette société aurait "offert" 10% de son capital à l'état américain et que la société est donc partiellement nationalisée. https://thehill.com/policy/technology/5466258-trump-intel-stake-agreement/ Sachant que le capital d'une société appartient à ses actionnaires et pas à la société, l'annonce est vraiment étrange. President Trump said Friday that Intel has agreed to give the U.S. government a 10 percent stake in the company. “They’ve agreed to do it, and I think it’s a great deal for them,” Trump told reporters. The administration has been weighing taking a stake in the struggling American chipmaker, pulling from previously allocated funding, Commerce Secretary Howard Lutnick confirmed earlier this week. Trump formally announced the agreement on social media just hours after telling reporters about the deal. “It is my Great Honor to report that the United States of America now fully owns and controls 10% of INTEL, a Great American Company that has an even more incredible future. I negotiated this Deal with Lip-Bu Tan, the Highly Respected Chief Executive Officer of the Company,” Trump wrote on social media. “The United States paid nothing for these Shares, and the Shares are now valued at approximately $11 Billion Dollars. [...]” -> Le président Trump a déclaré vendredi qu'Intel avait accepté de céder 10 % de ses parts au gouvernement américain. « Ils ont accepté de le faire, et je pense que c'est une excellente affaire pour eux », a déclaré M. Trump aux journalistes. L'administration envisageait depuis quelque temps de prendre une participation dans le fabricant américain de puces électroniques en difficulté, en puisant dans les fonds précédemment alloués, a confirmé le secrétaire au Commerce Howard Lutnick en début de semaine. M. Trump a officiellement annoncé l'accord sur les réseaux sociaux quelques heures seulement après en avoir informé les journalistes. « C'est un grand honneur pour moi d'annoncer que les États-Unis d'Amérique détiennent et contrôlent désormais 10 % d'Intel, une grande entreprise américaine qui a un avenir encore plus incroyable. J'ai négocié cet accord avec Lip-Bu Tan, le très respecté PDG de la société », a écrit M. Trump sur les réseaux sociaux. « Les États-Unis n'ont rien payé pour ces actions, qui sont désormais évaluées à environ 11 milliards de dollars. C'est un excellent accord pour l'Amérique, mais aussi pour INTEL. [...) » Traduit avec DeepL.com (version gratuite) Je ne comprend pas comment ça peut être légalement possible. De deux choses l'une : soit la société (ou son fond de pension...) détenait ces actions (10% d'auto-contrôle, ça paraît énorme), elle les avait racheté sur le marché et donc c'est directement le capital social qui change de main "gratuitement" (c'est donc du pillage des actionnaires et/ou des retraités futurs ou pas), soit c'est une augmentation de capital qui aurait dû donner lieu à un vote en assemblée générale, probablement un vote un peu agité d'ailleurs puisque les autres actionnaires l'ont grave dans l'os ! "Des temps intéressants" qu'ils disaient... Ça c'est fait par conversion de programmes de subvention. https://www.business-standard.com/world-news/us-acquires-10-stake-in-intel-under-trump-s-new-approach-to-chip-strategy-125082300153_1.html 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Boule75 Posté(e) hier à 07:48 Share Posté(e) hier à 07:48 à l’instant, Thyd a dit : Jean-Marc Jancovici, what's else :-; Ca m'avait -trop vaguement - effleuré, mais il ne me semble pas qu'il versé dans l’ingénierie monétaire ?? (moi non plus d'ailleurs !! ) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Boule75 Posté(e) hier à 08:03 Share Posté(e) hier à 08:03 à l’instant, Glenans29 a dit : Ça c'est fait par conversion de programmes de subvention. https://www.business-standard.com/world-news/us-acquires-10-stake-in-intel-under-trump-s-new-approach-to-chip-strategy-125082300153_1.html Où l'on apprend que ces actions n'auront pas de droits de vote. Par contre, ça reste un peu obscur quand même : soit c'est une augmentation de capital, avec de nouvelles actions sans droit de vote émises et immédiatement acquises par les gouvernement US, et il y a alors effectivement infusion d'argent frais (les fameuses subventions). Mais le PDG ne peut pas décider de ça seul, il y faudrait une AG dans une société cotée publiquement, n'est-ce pas ? Même si ça ne dilue pas les droits de vote, ça dilue le capital. soit il va falloir qu'Intel (ou le gouvernement US) achète les actions, et là il n'y a pas de subvention effective. Pour être clair, et sans jugement sur les chances d'Intel à terme ni donc sur la pertinence de fond de l'opération, la première des deux solutions me paraît cohérente : grosse subvention étatique, intéressement de l'état au résultat, c'est une approche très étatiste en fait . Par contre le montage juridique m'interpelle franchement. Qu'en pense le fond souverain norvégien, par exemple ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Glenans29 Posté(e) hier à 08:12 Share Posté(e) hier à 08:12 (modifié) Oui il faut une AG mais je ne pense pas que ce soit en soi un événement digne d'être rapporté par la presse. Le board d'Intel se reunit probablement tous les mois pour enteriner/signer tout un tas de resolutions comme toutes les grosses boites. Ensuite que le board d'Intel soit favorable à l’entrée du gouvernement US dans son capital, vu la situation de la société c'est pas très étonnant. Si en plus Trump ne place même pas le cousin de son beau frère comme il en a l'habitude au board c'est pas mal. Sans compter que les fonds siphonnés du CHIPS act ne serviront pas aux concurrents. Modifié hier à 08:13 par Glenans29 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) hier à 11:05 Share Posté(e) hier à 11:05 La gauche productiviste est de retour Comment les démocrates américains se réinventent autour de l’idée d’« abondance » Né en Californie et emprunté à la tech, le concept séduit les jeunes du parti. Il prône un Etat interventionniste associé à une déréglementation pour faciliter les investissements et accroître l’offre de biens essentiels tels que le logement, l’énergie, les transports et les soins. L’idée est partie de Californie, le terme a été emprunté à la tech. L’« abondance » est le mantra de la nouvelle gauche américaine. Bâtir plus, produire plus, développer, aller plus vite. L’abondance, c’est l’opposé de la décroissance. Le mot a surgi dans le débat public à la mi-mars, avec la publication du livre Abundance (Simon and Schuster, non traduit) par deux journalistes : Ezra Klein, Californien d’origine, chroniqueur au New York Times et podcasteur à succès, et Derek Thompson, journaliste pendant dix-sept ans au magazine The Atlantic, essayiste et lui aussi animateur de podcast. Leur credo : mettre au centre de la politique, non pas une revendication – égalité, justice, prospérité –, mais une projection. Celle d’un avenir où logements, énergies, transports et soins seraient disponibles à profusion. Aux élus de proposer comment y arriver. « La question de base, c’est : de quoi voulons-nous davantage ? », expliquait Ezra Klein lors d’une conversation avec le gouverneur de Californie, Gavin Newsom, après la sortie du livre. Alors que le Parti démocrate traverse un épisode de déprime, la thématique de l’abondance est tombée à pic. Le livre est devenu un best-seller et une bénédiction pour des élus en mal de message positif. « La gauche se caractérise souvent par des freins, des limites, remarque un militant démocrate de San Francisco. Là, il s’agit de dire oui. » L’engouement a gagné les élus, pour la plupart modérés, comme les gouverneurs Kathy Hochul (New York), Tim Walz (Minnesota), Wes Moore (Maryland), Jared Polis (Colorado), et Gavin Newsom. Un groupe parlementaire s’est formé au Congrès. Baptisé « Build America » et surnommé « Caucus Abondance », il rassemble dix-sept démocrates et douze républicains. « Nous savons qu’il faut construire des logements, développer le réseau électrique et investir dans la recherche scientifique, notait le représentant démocrate de Californie Scott Peters, en présentant le nouveau groupe, le 9 mai. Pourtant, nous laissons des groupes prétendument écologistes prendre en otage la transition énergétique dans des décennies de contentieux juridique. » Le rêve américain 2.0 La Californie est le lieu de naissance du nouveau paradigme. L’Etat, qui était devenu le modèle à ne pas suivre, entre crise du logement, coût de la vie élevé et insécurité urbaine, a repris son rôle d’incubateur de nouveaux mouvements sociaux. Après la révolte antifiscale des années 1980, après l’émergence du mouvement écologiste, après le combat pour les droits civiques des homosexuels, l’abondance est la boussole de la nouvelle coalition qui se construit dans les villes américaines. La ligne de partage n’est plus entre démocrates et républicains, progressistes et conservateurs. Elle oppose maintenant les « Nimby » (« Not in my backyard ! », « pas dans mon jardin ») aux « Yimby » (« Yes in my backyard ! », « oui, dans mon jardin »). Les « Nimby » sont écologistes, anticroissance, antiforage, adeptes du principe de précaution. Leurs contradicteurs ont émergé dans la sphère des entreprises technologiques à San Francisco. Ils portent la revendication des jeunes en mal de logement malgré leurs salaires mirobolants – en trente ans, l’âge de la primo-accession à la propriété est passé de 28 ans à 38 ans aux Etats-Unis. Les « Yimby » réclament des maisons, de l’énergie pour leurs réseaux, des panneaux solaires, des innovations, et surtout, des résultats. L’abondance, c’est le rêve américain 2.0, si possible à vitesse accélérée. Les auteurs du livre dressent un réquisitoire accablant contre la gestion des affaires dans les collectivités démocrates. Les Etats-Unis, qui ont érigé des ouvrages aussi gigantesques que le barrage Hoover, sur le fleuve Colorado, entre l’Arizona et le Nevada, ou le réseau d’autoroutes inter-Etats, ont perdu leur capacité à construire, regrettent-ils. Lancé en 2008, le TGV californien, qui devait relier Los Angeles à San Francisco, reste à l’état embryonnaire dans la vallée Centrale, malgré plusieurs milliards de dollars d’investissements et le soutien de l’opinion – mais 2 270 terrains à exproprier, soit un nombre incalculable de litiges en justice, se défend le gouverneur Newsom. Dans le même temps, la Chine a construit 37 000 kilomètres de liaisons ultrarapides. En Allemagne, 1 kilomètre de voie ferrée à grande vitesse coûte 384 millions de dollars (328 millions d’euros) ; au Japon, 267 millions de dollars ; aux Etats-Unis, 609 millions de dollars… « Des obstacles désuets » Ezra Klein et Derek Thompson accumulent les exemples. Pourquoi le kilomètre de métro coûte-t-il douze fois plus cher à New York qu’à Paris ? Pourquoi les cinq Etats possédant le taux le plus élevé de personnes sans abri sont-ils tous gouvernés par des démocrates ? Pourquoi les métropoles californiennes accordent-elles si peu de permis de construire, par rapport à celles du Texas ? Dix-huit nouvelles constructions pour 1 000 habitants en 2022 à Austin contre 2,5 pour 1 000 habitants la même année à San Francisco et à Los Angeles. Réponse : les réglementations, les rapports de consultants, les délibérations d’organismes publics divers et, pour ce qui concerne le logement, le zoning ou plan d’occupation des sols, jalousement surveillé par les « Nimby », soucieux de préserver leur tranquillité et leur vue sur la mer. Des développements indispensables, comme des panneaux solaires ou parcs d’éoliennes, sont « bloqués ou ralentis jusqu’à l’immobilisme par des obstacles désuets et d’un localisme étroit », déplore l’organisation Inclusive Abundance Initiative, à l’origine de la conférence Abundance 2024, qui s’est tenue en octobre, à Washington. A San Francisco, pour qu’un projet immobilier soit approuvé, il doit satisfaire tout un catalogue d’exigences : réserver les contrats aux petites entreprises, obtenir l’aval du Bureau de la diversité et de la Commission des arts, embaucher localement, acheter l’électricité auprès de la compagnie municipale. Sur le plan fédéral, les projets d’infrastructures dans les énergies renouvelables doivent franchir plus de soixante procédures d’examen distinctes, dont l’une analyse leur conformité avec le traité sur les oiseaux migrateurs de 1918. Pour les adeptes de l’abondance, la gauche freine le progrès à force de s’en réclamer. Aux « Nimby » qui pensent protéger la planète en freinant le développement, ils répondent que le sentiment de pénurie alimente le vote populiste. In fine, la démocratie pâtit quand le gouvernement n’arrive pas à produire de résultats. Coalition hétéroclite Les « Yimby » prêchent l’« optimisme radical », par opposition au langage doom and gloom (« morosité et pessimisme ») qui caractérise, selon eux, les défenseurs d’une planète en sursis. Leur coalition est hétéroclite. Elle rassemble des figures de la tech, comme Reid Hoffman, le fondateur de LinkedIn, des libertariens, des conservateurs hostiles à l’Etat comme Charles Koch, dont la fondation finance le programme Abundance Agenda. Dès 2020, le gourou-investisseur de la Silicon Valley Marc Andreessen, aujourd’hui rallié à Donald Trump, publiait un essai intitulé It’s Time to Build, appelant l’Amérique à construire davantage d’infrastructures et plus vite. En octobre 2023, dans son « Manifeste techno-optimiste », il assurait que la technologie parviendra à résoudre le « problème de la pauvreté » et à « créer l’abondance ». Des années plus tôt, en 2012, un autre des grands noms de la Silicon Valley, Peter Diamandis, médecin, entrepreneur dans le spatial et proche du transhumanisme, publiait un livre développant le même thème (Abundance. The Future Is Better than You Think, Free Press, non traduit). Il y faisait miroiter un avenir technologique qui répondrait aux besoins fondamentaux de l’humanité « à une échelle inédite ». Cette proximité avec les adeptes du « solutionnisme technologique » n’enthousiasme pas tout le monde, dans le camp démocrate. Les progressistes notent l’absence de réflexion sur le rôle de la finance et de la consolidation des secteurs économiques. Pour eux, l’absence de redistribution et de justice fiscale est autant à blâmer que les carcans réglementaires. Mais la tendance est là. Le 30 juin, les élus démocrates ont émasculé l’un des textes fondamentaux de la Californie, le California Environmental Quality Act. Promulguée par Ronald Reagan, alors gouverneur de l’Etat, en 1970, cette loi prévoit que les citoyens ont un droit de regard sur les mesures touchant à leur environnement. Depuis vingt ans, elle a permis de freiner le développement. La réforme, qui a introduit des exemptions majeures à l’application du texte, a grandement déçu syndicats et écologistes. Un avant-goût des discussions qui risquent d’ébranler la coalition historique de la gauche à l’approche des échéances électorales de 2026 et 2028. Contribuer Réutiliser ce contenu https://www.lemonde.fr/international/article/2025/08/24/comment-les-democrates-americains-se-reinventent-autour-de-l-idee-d-abondance_6634255_3210.html 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
nemo Posté(e) il y a 23 heures Share Posté(e) il y a 23 heures Ce qui est bien avec la soi-disant gauche tazu c'est que tu peux être sur qu'ils vont faire toutes les erreurs possibles. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
nikesfeld13 Posté(e) il y a 21 heures Share Posté(e) il y a 21 heures Il y a 15 heures, Boule75 a dit : Le $ sert à bien d'autres échanges que les matières premières (des avions, tous types de biens et de services) et ce qu'a donné g4lly ne concerne que les réserves de change des banques centrales, pas tous les $ détenus ou échangés hors des USA, comme tu le demandais. La démarche consistant à trouver un "sens caché aux pétro-dollars" qui expliquerait un" vrai-faux rôle de monnaie pivot du dollar" ne me paraît pas très saine : le $ est pour l'instant la principale devise dans laquelle sont libellés les échanges inter-zones monétaires, c'est un fait. Et l'or ne joue qu'un rôle hyper-marginal dans ces échanges. P.S. : qui est JMJ ? JMJ... avant de verser dans le réchauffement climatique, a énormément travaillé sur le rôle du pétrole dans l'économie. A mon sens il y a 4 dollars: le dollar fiduciaire aux USA, le dollar de stock aux USA et l'équivalent dans le reste du monde. Une banque centrale sait trés bien gérer celle de son économie mais a plus de mal qd cela concerne une économie en dehors de son espace souverain. Secondo, l'économie n'est pas l'alpha et l'oméga des relations Humaines, le pétrodollar est une imposition par la Force...de persuasion. C'est bien parce qu'elle est une puissance unipolaire quelle impose sa monnaie comme étalon, elle en tire des avantages (à définir) mais elle en perd sa monnaie. Cela me semble judicieux de gager sur un étalon énergie, comme cela eu cours pour l'étalon OR. Biensur, ce rôle de monnaie pivot c'est pour& a condition de recevoir la production& ressources du reste via un négoce international florissant etc. Le volume total de montants purement transactionnels, de gré à gré, c'est l'éternel sujet du commerce. Quand on exporte, on produit dans sa monnaie et trés souvent on reçoit une autre en compensation de la vente. Le sujet de la gestion du risque de change est très connu et documenté, avoir des succursales locales, des lieux de fabrication locaux etc. Mais qu'est ce que les états ou les banques centrales, peuvent y aire ? rien. Par contre le stock de change de chaque banque centrale, la oui c'est un sujet. Nous avons vu qu'il y a plus de dollar dans les banques extérieures à la zone économique US. Que se passe t'il si la zone US n'est plus aussi attractive pour faire des affaires, que le dollar est bloqué aux USA, que la zone US n'est plus "productive" ? On voit ce qu'il se passe qd le japon ou autres se délestent de trop de dollar... Tout cela est gros sujet, et comme j'émets l'hypothése que les USA ne sont plus la puissance hégémonique, il va y avoir des contre coups monétaire d'ici peu. Imaginons une Europe souveraine, sans Von Der leyen, qui achéte le pétrole en euro ? ;) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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