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Je sais bien que cet article vient de quelqu'un sans position officielle ni grande couverture médiatique malgré le descriptif élogieux que l'on trouve sur ce site, mais des trucs pareils, WTF quoi.

http://blogs.phillymag.com/the_philly_post/2012/10/26/tame-irans-nuclear-ambitions-reagan-george-w-bush/

To Tame Iran’s Nuclear Ambitions, Look to Reagan and George W. Bush

These two former presidents knew what it took to make the U.S. a world leader.

Achieving a 99 on a test is fantastic, but that same score, applied to stopping nuclear-armed terrorists, would be a catastrophic failure. As Coach Boone said in Remember the Titans, “We will be perfect in every aspect of the game.” Because if we aren’t perfect, it’s game over.

The problem isn’t al-Qaeda developing the bomb, since more often than not, those ass-clowns accidentally blow themselves up while handling even the simplest explosives.

The clear and present danger is a rogue nation such as Iran developing the bomb. Iranian President Mahmoud Ahmadinejad is way too smart to launch nukes against Israel, for he innately understands that doing so would make his country the world’s largest piece of glass.

So the issue is Iran funneling nuclear weapons to terrorists, a possibility that grows as Iran’s march toward nuclear statehood continues. So how do we stop that?

1. Stop making idle threats. Nothing is more counterproductive than a war of rhetoric with no hammer to back up those words. Unfortunately, this is nothing new, as all recent administrations have made this their de facto policy. It is only when a strong leader with a clear policy—and the resolve to execute it—comes along, that things change.

2. Sanctions are a solid step, but many countries cheat with no repercussions. If nuclear technology and supplies continue to circumvent the sanctions, what’s the point? It’s time to call out the offenders for their unjustifiable actions in front of the global community and cut them off. We have the biggest stick. Time to use it.

3. U.N. weapons inspections sound nice, but are worthless since they have no teeth. Saddam Hussein played the U.N “inspection” game masterfully, stringing out the process and turning it into a laughingstock. We got lucky, since he had no nuclear program. Not the case with Iran.

4. Deal with the Muslim world in the only language they understand: ultimatums backed up by a massive sledge hammer to the testicles for noncompliance.

A look at history shows the inarguable success of decisive leadership. After Libya masterminded bombings at the Rome and Vienna airports, and the German discotheque, Ronald Reagan launched comprehensive air strikes, missing Gaddafi by mere minutes. And the Achille Lauro highjackers? Nailed.

The message was unmistakable: With Reagan calling the shots, Libya would face increasingly severe consequences for each terrorist act. Keep in mind that Gaddafi, much like Ahmadinejad, was portrayed as a “mad man” with whom one could not reason. Reagan proved that incorrect, as Gaddafi virtually disappeared during the remainder of the Gipper’s term.

Gaddafi once again played ball when George W. Bush threatened regime change, correctly calculating that keeping his WMD program wasn’t worth risking a wounded but ferocious American tiger coming at him. Hussein, on the other hand, responded with his middle finger—and that didn’t work out too well for him.

Those successes should be built upon, as all are rooted in sound policy backed up by iron-fisted force. How about this for a New American Doctrine?

1. Civis Romanis (I am a citizen of Rome). Rome’s policy was unmistakably effective: If harm should come to even one citizen, Rome’s retribution would be on a scale never before seen. Marauders got the message loud and clear, and Romans traveled the breadth of the Empire free of worry, confident in their safety.

2. Properly assume the role of the world’s only superpower. Stop appeasing—and apologizing to—those who threaten our physical and economic security.

3. No nuclear weapons for any more countries. Institute a global ban on any more nations developing nuclear weapons. Period. Any country pursuing a peaceful nuclear program, but not allowing American weapons inspectors total access, at all times, will have all of their nuclear facilities, and their defense fepartment, flattened.

Some will label this a reckless policy that would destabilize the Middle East (isn’t it already?), but look to history. When Israel took out Iraq’s nuclear facilities at Osirak in 1981, what happened? The world feigned disapproval, but every nation breathed a huge sigh of relief. Israel is still in existence; Iraq became a nuclear eunuch; and the world is undoubtedly a safer place.

If our resolve does not weaken, and if we are diligent about respecting the sovereignty of other nations (with the exception of a nuclear weapons ban), the United States will once again stand proud as the world leader representing peace through strength.

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Je sais bien que cet article vient de quelqu'un sans position officielle ni grande couverture médiatique malgré le descriptif élogieux que l'on trouve sur ce site, mais des trucs pareils, WTF quoi.

http://blogs.phillymag.com/the_philly_post/2012/10/26/tame-irans-nuclear-ambitions-reagan-george-w-bush/

C'est quel genre ce blog ? Républican-fanboy ?

Parce que bon, pour Reagan il oublie un peu Lockerbie et l'UTA 772. Quant à "l'exemple" de l'Irak fait sous George W. Bush, ca a montré à la Corée du Nord et à l'Iran qu'il valait mieux avoir des ADM que ne pas en avoir.

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Pour rappel sur ce fameux sujet des taxes

Ne pas oublier aussi la surmultiplication des "tax loopholes" et autres exceptions fiscales (qui sont l'essentiel et permettent à quelqu'un comme Romney de ne payer au maximum que dans les 13% d'impôts.... Sur ce qu'il ne cache pas), ainsi que les mesures de dérégulation et de diminution des moyens (législatifs et concrets) de surveillance qui ont permis une énorme opacité et facilité la fraude et l'évasion fiscales. Et là on commence à avoir la vérité du système de transfert des richesses vers l'absolu sommet et du creusement perpétuel de la dette. Pour bien le mettre en évidence, il suffit de mettre en parallèle l'évolution du revenu réel par catégories de revenus (il n'y en a qu'une qui progresse énormément, le "1%", et juste la suivante qui progresse nettement; en dessous, c'est stagnation ou progression en deçà de l'inflation).

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Parce qu'un attorney général, comme un distric attorney, est avant tout un élu qui fait avant tout de la politique, cad aux USA, entre dans le débat ultra polarisé et caricatural, dans le cirque médiatique et dans la terrible exigence du mode de vie politique américain de consacrer au moins les 2/3 de son temps à lever des fonds de campagne pour être réélu, ou surtout pour passer dans le cran de carrière au-dessus (pour un attorney, aller vers les élections gouvernementale ou fédérales, ou se placer sur les listes pour la Cour Suprême de l'Etat ou celle des USA).  

Je savais bien que cette fonction est sujette a une election, enfin bon, j'imaginais que la realite des faits empechait de partir dans des delires pareils, la, j'ai l'impression de voir un mechant dans James Bond.

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RÉTROGRADATION – D’après un sondage AP, une majorité d’Américains est ouvertement raciste

51 % des Américains expriment des opinions ouvertement hostiles aux Noirs, contre 48 % en 2008. Quand il s'agit de réponses dévoilant un racisme inconscient, ce chiffre grimpe à 56 % des personnes sondées, contre 49 % l'année de la précédente élection présidentielle, il y a quatre ans.

En ce qui concerne les Hispaniques, 52 % des sondés expriment des opinions racistes de manière explicite, 57 % de manière inconsciente.

...

http://bigbrowser.blog.lemonde.fr/2012/10/29/retrogradation-dapres-un-sondage-ap-une-majorite-damericains-est-ouvertement-raciste/

http://hosted.ap.org/dynamic/stories/U/US_AP_POLL_RACIAL_ATTITUDES?SITE=AP&SECTION=HOME&TEMPLATE=DEFAULT&CTIME=2012-10-27-04-13-34

Étonnamment, il ne parle pas du racisme contre les Amérindiens, les Asiatiques, ... et le racisme religieux contre les juifs, les musulmans, ...

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L'ouragan Sandy passe et les éditorialistes se pourlèchent. Barack Obama a troqué sa casquette de candidat pour mettre celle de commandant en chef, responsable de la sécurité de ses concitoyens. Mitt Romney a fait profil bas, sachant qu'il y avait un cadavre dans le placard, qui est sorti fort à propos lundi 29 octobre au soir.

Lorsqu'il faisait campagne pour les primaires républicaines, en juin 2011, Mitt Romney disait pis que pendre de l'Agence fédérale des situations d'urgence (FEMA, Federal Emergency Management Agency) dont il jugeait l'existence 'immorale' au regard du déficit budgétaire. Pour lui, les fonctions de l'agence qui est l'équivalent de la sécurité civile et prend en charge les grandes catastrophes naturelles et celles liées aux activités humaines qui frappent le territoire américain devraient être transférées aux Etats, voire mieux, au secteur privé.

Le New York Times épingle le candidat républicain et fait semblant de s'interroger : les Etats endettés jusqu'au cou seraient-ils plus capables que le gouvernement fédéral de prendre en charge la coordination et l'organisation des secours ?

Suite :  http://fr.news.yahoo.com/sandy-mitt-romney-critiquait-secours-fédéraux-094708469.html

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L'ouragan Sandy passe et les éditorialistes se pourlèchent. Barack Obama a troqué sa casquette de candidat pour mettre celle de commandant en chef, responsable de la sécurité de ses concitoyens. Mitt Romney a fait profil bas, sachant qu'il y avait un cadavre dans le placard, qui est sorti fort à propos lundi 29 octobre au soir.

Lorsqu'il faisait campagne pour les primaires républicaines, en juin 2011, Mitt Romney disait pis que pendre de l'Agence fédérale des situations d'urgence (FEMA, Federal Emergency Management Agency) dont il jugeait l'existence 'immorale' au regard du déficit budgétaire. Pour lui, les fonctions de l'agence qui est l'équivalent de la sécurité civile et prend en charge les grandes catastrophes naturelles et celles liées aux activités humaines qui frappent le territoire américain devraient être transférées aux Etats, voire mieux, au secteur privé.

Le New York Times épingle le candidat républicain et fait semblant de s'interroger : les Etats endettés jusqu'au cou seraient-ils plus capables que le gouvernement fédéral de prendre en charge la coordination et l'organisation des secours ?

Suite :  http://fr.news.yahoo.com/sandy-mitt-romney-critiquait-secours-fédéraux-094708469.html

Les limites de la folie des libertaristes ultra-poujadistes US ? Ces gens veulent le suicide du continent ... Sans le fédéralisme, le sous continent US serait ingérable sécuritairement parlant : les états a eux seuls étant économiquement et budgétairement bien trop faibles pour assurer quoique se soit a ce niveau

Les citoyens US vont ils un jour ce rendre compte que sans l'aspect fédéral des USA : ils ne seraient rien, et ne seraient jamais devenu la super-puissance qu'ils sont devenus depuis le début du 20 ème siècle ?

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Les débats américains dans le brouillard

"Un monde changeant" par Fedor Loukianov

Il ne reste que dix jours avant l'élection présidentielle aux États-Unis et rien ne changera sensiblement dans la campagne. On peut donc déjà tirer certaines conclusions sur la perception du monde au plus haut rang de la politique américaine. Le troisième duel télévisé de la campagne présidentielle a été particulièrement éloquent dans ce sens.

La politique étrangère est rarement au centre de la campagne présidentielle américaine.

Les électeurs sont préoccupés par leurs propres portefeuilles et la foi dans le lendemain – le travail, leurs revenus, la sécurité privée, etc. Ainsi, la discussion se concentre sur les questions fondamentales concernant les relations internationales.

Néanmoins, même en prenant en compte cette circonstance, on peut constater que l'horizon de la politique américaine s'est nettement réduit en ce qui concerne le monde extérieur.

Barack Obama et Mitt Romney ont tous les deux évoqué un ensemble de problèmes concrets dont la majorité est concentrée au Moyen-Orient - à en croire les débats. D'une part, c'est logique. Car on assiste dans cette région à des changements radicaux et l'attitude envers ces processus ne détermine pas simplement la politique des USA mais également son approche générale de la situation dans le monde. D'où des discussions sur l'efficacité de l'intervention en Libye, le comportement à adopter en Syrie, le printemps arabe, les solutions face à l'Iran et la sécurité d'Israël - un ensemble de questions locales mais conceptuelles. Et, bien qu'au niveau rhétorique les concurrents se soient particulièrement critiqués, on ne voit aucune différence notable dans le fond. Il n'existe aucune recette de "bonne" conduite. L'administration actuelle adopte une position prudente et les républicains critiquent cette approche sans pour autant proposer une alternative.

Comme si le reste du monde n'existait pas. La Chine n'est mentionnée que dans le contexte des emplois quittant les USA. Cela s'explique facilement mais, pour un pays prétendant à la préservation de sa domination globale et ne se voyant pas dans un autre rôle, il est plus qu'insuffisant de se limiter à ce seul aspect. Le tournant vers l'Asie annoncé par l'administration Obama est perçu comme naturel et allant de soi mais on ignore ce qu'il signifie en pratique. Depuis 2008, le président déclare régulièrement que le monde a changé, qu'il faut améliorer les relations avec les centres de force et d'influence émergents, qu'il faut assurer le leadership par d'autres moyens, que plus personne ne tolérera une domination unilatérale, etc. Cependant, on ignore ce qu'il en est dans le sens pratique. En effet, Obama comprend bien mieux les réalités internationales du XXIème siècle mais son premier mandat n'a pas convaincu. Il n'a pas montré qu'il savait quel comportement adopter.

Romney est différent, mais seulement parce qu'il estime possible de revenir aux méthodes qui ont amené les USA au triomphe historique il y a 25 ans et les ont transformés en hégémonie mondiale. Cependant, il n'a pour l'instant pas besoin de savoir comment appliquer la méthodologie de l'époque Reagan dans la deuxième décennie du XXIème siècle. Pour cette raison, on peut blâmer la Chine d'être un manipulateur monétaire ou traduire le président iranien en justice devant la Cour pénale internationale pour génocide mais la pratique politique fera, de toute façon, revenir toutes ces annonces à la réalité. La transformation de la politique chinoise de George W. Bush est éloquente en ce sens. Lui qui était très agressif envers Pékin au début de son premier mandat est devenu, à la fin du second, le président américain pratiquement le plus positif dans les relations avec la Chine.

La Russie a occupé très peu de place dans ce débat sur la politique étrangère et, plus on s'approche de la présidentielle, moins on en parle. Obama a énuméré traditionnellement ses succès en termes de réduction des armements ou l'adoption des sanctions contre l'Iran.

Les propos de Romney qualifiant la Russie d'ennemi géopolitique numéro 1 des USA, qui ont attiré l'attention générale, sont plutôt un cliché répandu parmi les républicains et cachent l'absence d'une position claire. Chose dont Romney n'a pas besoin – peu d'électeurs s'intéressent à ce que les candidats pensent de Moscou. On ne saura qu'après la présidentielle - et pas immédiatement - comment l'administration républicaine, si elle arrivait au pouvoir, construira sa politique russe. On se souvient une fois encore l'expérience de George W. Bush, qui n'avait d'abord pas compris pourquoi il fallait faire attention à Moscou. L'absence d'une politique réfléchie a coûté assez cher par la suite et lorsqu'en fin de compte il s'est avéré que la Russie devait être prise au sérieux, les relations s'étaient déjà dégradées jusqu'à un seuil limite.

Dans l'ensemble, la partie actuelle de la campagne présidentielle, qui concerne la politique étrangère, se distingue par le fait qu'aucun des candidats n'a proposé une vision quelconque de la situation globale, une approche générale. Tout se concentre sur l'aspect pratique et apparemment, on ne veut simplement pas regarder vers l'avenir - car il est dans le brouillard le plus total.

L’opinion de l’auteur ne coïncide pas forcément avec la position de la rédaction

http://fr.rian.ru/tribune/20121026/196433362.html

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Le vote ne concernera-t-il que la présidence?

Obama ou Romney, peu importe. Le président américain n'a pas un si grand poids que cela, malgré les apparences.

Sur le plan sociétal, l'essentiel se joue au niveau des États, dans les référendums notamment. Les électeurs de 38 États vont se prononcer sur 176 mesures portant notamment sur :

La réforme du système de santé (Alabama, Floride, Montana, Wyoming) ; le mariage des homosexuels (Maine, Maryland, Etat de Washington) ; la possession de marijuana pour consommation personnelle (Oregon, Colorado et Etat de Washington) ou l'utilisation de la marijuana à des fins médicales (Arkansas et Massachusetts) ; l'interdiction du financement public de l'avortement (Floride) ; le suicide médicalement assisté (Massachusetts) ; l'abolition de la peine de mort (Californie) ; la signalisation des organismes génétiquement modifiés (OGM) dans les produits alimentaires (Californie).

Par ailleurs, onze des 50 Etats votent pour désigner leur gouverneur. Aujourd'hui huit de ces onze Etats sont aux mains des démocrates mais les sondages suggèrent que le Parti républicain pourrait en remporter jusqu'à quatre (Caroline du Nord, New Hampshire, Montana et Etat de Washington). Déjà au pouvoir dans 29 Etats, le parti de Mitt Romney pourrait le 6 novembre obtenir au total 30 à 33 postes de gouverneur.

Sur le plan économique, la culture américaine a une extraordinaire capacité de résilience à la crise. Je voudrais citer à cet égard un article de Guy Sorman qui résume assez bien la situation :

La campagne aux États-Unis aura entièrement gravité autour de la capacité supposée du Président sortant ou de son rival de relancer la croissance et d’accroître le nombre des emplois, emplois de qualité et bien payés, il va de soi.

Belle imposture écrit Guy Sorman :

Car un Président américain sortant ou entrant ne crée pas d’emplois du tout en dehors de la fonction publique fédérale : au mieux, il suscite des conditions favorables aux entreprises qui recrutent (...) les Présidents détruisent l’emploi plus qu’ils ne le créent par les incertitudes que leurs initiatives font peser sur l’avenir, par l’excès des prélèvements publics et avant tout, par le délire des réglementations environnementales et sociales, environnementales surtout.

Et malgré ses Présidents passés et à venir, l’économie américaine se porte tout de même mieux que l’Europe. La raison tient à une culture économique sur laquelle les gouvernants de Washington ont au fond peu d’influence :

Le principal ingrédient de ce capitalisme américain est l’innovation. (...) Milton Friedman observait en son temps qu’il était difficile d’empêcher les Américains d’entreprendre : les politiciens s’y emploient mais même Obama, avec son fort tropisme social démocrate n’y sera pas parvenu. On pariera donc qu’en 2013, quel que soit le prochain Président américain, les États-Unis dépasseront 2% de croissance et que le chômage descendra en dessous de 8,5%, qui sont les chiffres présents.

http://nicomaque.blogspot.fr/2012/11/obama-ou-romney-peu-importe.html?

Image IPB

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C'est une pratique totalement logique étant donné que tous ces groupes sont fortement implémentés aux USA et que donc ils ont beaucoup de salariés près à financer les PACs. Ces sociétés jouent aussi le jeux en leur nom propre avec EADS North America qui cherche l'appuie d'élus américains.

Sodexho par exemple (certe c'est de premier le n1 des français) emploie... 125 000 américains.

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Un électeur filme une machine à voter qui choisit Romney quand il vote Obama.

http://www.lemonde.fr/elections-americaines/article/2012/11/06/un-electeur-filme-une-machine-a-voter-qui-choisit-romney-quand-il-vote-pour-obama_1786651_829254.html#xtor=AL-32280515

Les motifs de plaintes électorales se multiplient aux Etats-Unis

WASHINGTON (Reuters) - Le vote des électeurs américains ne se déroulait pas sans accrocs mardi, des plaintes concernant des procédures ou des files d'attente interminables entachant le scrutin de la Pennsylvanie à la Floride.

En Pennsylvanie, où Barack Obama devrait l'emporter et où Mitt Romney s'est rendu ces derniers jours dans une ultime tentative de séduction des électeurs, la confusion régnait.

"Les employés des bureaux de vote ont été peu et mal formés", dénonce Barbara Arnwine, directrice du Comité des avocats pour les droits civils, expliquant que ceux-ci renvoient les électeurs chez eux lorsqu'ils ne présentent pas de pièce d'identité. "L'Etat de Pennsylvanie devrait avoir honte."

Un juge de Pennsylvanie avait bloqué le mois dernier une loi obligeant les électeurs à fournir une pièce d'identité avec photographie, loi soutenue par les républicains et qui a été instaurée dans différents Etats depuis 2011....

Suite : http://fr.news.yahoo.com/les-motifs-plaintes-%C3%A9lectorales-se-multiplient-aux-etats-230355171.html

Quel foutoir ! c'est le bordel dans tous les états, c'est pas croyable !  :O :O 

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Pourquoi les Américains d'origine indienne votent Obama

L'immense majorité des 3,18 millions d'Américains d'origine indienne vont voter démocrate. Car pour eux, ce parti rime avec croissance économique et tolérance.

Pour les 3,18 millions d'Américains d'origine indienne, l‘issue de l'élection présidentielle aux Etats-Unis le 6 novembre ne fait aucun doute : Barack Obama l'emportera haut la main. Car dans sa grande majorité, cette communauté préfère les démocrates aux républicains, un fait corroboré récemment par la National Asian American Survey. Selon cette étude, 68 % des Américains d'origine indienne interrogés ont l'intention de voter pour le président sortant, contre 5 % seulement pour son adversaire républicain, Mitt Romney.

...

"Compte tenu de leur niveau d'instruction et de leur statut socio-économique élevés, commente Ramakrishnan, on aurait pu penser que le parti républicain était le choix naturel de beaucoup". Au lieu de quoi, poursuit-il, les politiques menées par les républicains en matière de discrimination raciale et d'immigration, ainsi que la montée des conservateurs chrétiens au sein de cette formation, ont fait fuir un grand nombre.

...

http://www.courrierinternational.com/article/2012/11/06/pourquoi-les-americains-d-origine-indienne-votent-obama

Étonnamment, ce sont les présidents américains républicains qui soutiennent l'Inde en matière diplomatique, en armement et qui l'embêtent pas en matière de droits de l'homme.

Enfin, Barack Obama est réélu !  :|

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Un électeur filme une machine à voter qui choisit Romney quand il vote Obama.

http://www.lemonde.fr/elections-americaines/article/2012/11/06/un-electeur-filme-une-machine-a-voter-qui-choisit-romney-quand-il-vote-pour-obama_1786651_829254.html#xtor=AL-32280515

Les motifs de plaintes électorales se multiplient aux Etats-Unis

WASHINGTON (Reuters) - Le vote des électeurs américains ne se déroulait pas sans accrocs mardi, des plaintes concernant des procédures ou des files d'attente interminables entachant le scrutin de la Pennsylvanie à la Floride.

En Pennsylvanie, où Barack Obama devrait l'emporter et où Mitt Romney s'est rendu ces derniers jours dans une ultime tentative de séduction des électeurs, la confusion régnait.

"Les employés des bureaux de vote ont été peu et mal formés", dénonce Barbara Arnwine, directrice du Comité des avocats pour les droits civils, expliquant que ceux-ci renvoient les électeurs chez eux lorsqu'ils ne présentent pas de pièce d'identité. "L'Etat de Pennsylvanie devrait avoir honte."

Un juge de Pennsylvanie avait bloqué le mois dernier une loi obligeant les électeurs à fournir une pièce d'identité avec photographie, loi soutenue par les républicains et qui a été instaurée dans différents Etats depuis 2011....

Suite : http://fr.news.yahoo.com/les-motifs-plaintes-%C3%A9lectorales-se-multiplient-aux-etats-230355171.html

Quel foutoir ! c'est le bordel dans tous les états, c'est pas croyable !   :O :O 

Ce n'est pas parfait, mais ça fonctionne. Ils ont élu un président pour 4 ans, et beaucoup a travers le monde n'ont pas ce privilège d'élire leurs dirigeants. Je pense a romney, plus de 17 mois et beaucoup d'énergie dépenses pour a la fin échouer si près du but!

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Et 1 milliard de dollars claqué pour Romney, pour rien.... y-a pas à dire, on n'a pas les mêmes valeurs.

Les mauvais perdants :

http://tempsreel.nouvelobs.com/presidentielle-us-2012/20121107.OBS8339/les-coleres-de-karl-rove-et-donald-trump.html

Karl Rove qui refuse de reconnaitre la victoire d'Obama et ridiculise en direct Fox News et Donald Trump qui appelle à faire la révolution...  :lol: :lol:

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