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Selon le secrétaire de presse de la Maison Blanche - communiquant... sur Twitter bien sûr ! - Trump a signé aujourd'hui la proclamation pour une Journée Nationale du Patriotisme.

Seul le Congrès peut créer de nouveaux jours fériés réguliers, mais le Président peut créer des jours fériés pour une fois (pas répétés chaque année)

 

Sinon, l'ancien directeur de l'Office of Management and Budget sous Reagan, David Stockman, a déclaré qu'il ne croyait pas du tout à un retour de la prospérité "comme sous Reagan", mais plutôt à un massacre fiscal.

Trump to oversee ‘fiscal bloodbath’ instead of prosperity, says Reagan OMB director

Je cite quelques extraits notables :

Citation

"The market is pricing the second coming of Ronald Reagan, but the newsflash on the eve of the inauguration is that there's no reincarnation coming," said Stockman, who served as budget director from 1981 to 1985.

"We're at the diametrically opposite position that we were in 1980," he added.

Stockman explained that in the early 80's when Reagan took office, debt was at a $1 trillion which equaled around 30 percent of U.S. GDP. Now, 35 years later, debt is nearing $20 trillion, or what could translate to 105 percent of GDP.

In other words, Reagan had a lot more room to maneuver with respect to the debt, while Trump could find himself hampered by rising debt.

In a recent research note, Stockman also added that "if Ronald Reagan couldn't drain the Swamp way back then, how in the world after 36-years of relentless self-aggrandizement by the Imperial City [Washington, D.C.] can Donald Trump do it now?"

(...) Additionally, he noted that entitlement spending is now five times greater. Stockman went on to say that these developments, coupled with nearly $20 trillion worth of debt, represent a "ticking time bomb" that Trump will be unable to diffuse during his time in office.

"That's before Trump borrows a single dime to fund his Mexican wall, defense build-up, tax cuts, infrastructure boondoggles, veterans benefits and border enforcement initiatives," added Stockman. He said public debt could balloon to $30 trillion in years to come.

(...)

Ultimately, Stockman warned that a Trump "fiscal bloodbath" is fast approaching, not a "fiscal stimulus."

"His fiscal program will cause a political and legislative conflagration owing to $1 trillion in annual deficits," concluded Stockman. "This won't be the kind of giant accidental Keynesian stimulus that caused the mid-1980s Reagan boom."

Au-delà des disputes contre ou pour Trump, tel ou tel aspect de son programme, ou la comparaison maintenant sans objet avec ce qu'aurait été une Présidente Clinton, ou même un Président Sanders, sans parler des dernières polémiques sur le complot russe à l'origine de l'élection de Trump et autres billevesées, c'est de toute façon un rappel nécessaire de la situation réelle de l'économie américaine.

 

 

 

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29 minutes ago, Alexis said:

 

 

Je ne céderai pas à l'anglophobie primaire - Je ne céderai pas à l'anglophobie primaire - Je ne céderai pas...

... Bon, et la Mayophobie, on peut ? :angry:

 

C'est la phobie du mois de mai, ou la phobie de la mayonnaise :sinterrogec:

Mais bon, de toute façon, depuis sa photo de cette semaine dans ce tailleur venu d'on ne sait où, on peut scientifiquement, définitivement être sûr de la chose: quoiqu'elle dise, quoiqu'elle fasse, Theresa May a eu, a et aura toujours tort! Et elle est sans doute aussi coupable de tout et depuis toujours. 

Mais c'est moi, ou ces déclarations de May sonnent surtout comme une grenouille (ironique quand on parle d'Anglais) qui veut se donner des airs de boeuf, mettant encore en avant cette baudruche de la "special relationship" et la "discussion au sommet" entre "grands" quand elle ira voir le Donald? Ca sent le creux, ça sonne creux, et ça a vraiment l'air d'être du creux. Du pur voeu pieux. 

Mais on sait jamais: à ce stade, alors que tout est nouveau pour un Donald qui n'attendait pas vraiment d'être président, qu'il ne va pas avoir d'organisation fonctionnelle de l'exécutif avant des mois, qu'il va découvrir le monde des adultes (qu'il ne connaît pas, malgré les airs qu'il se donne) et la masse de connaissances qu'il faut avoir pour diriger un pays (dont il n'a pas le quart du millième), il est possible que son opinion, pendant un bon moment, soit plus forgée par celles des autres, par ceux avec qui il interagira le plus dans cette période initiale (genre, pendant quelques mois, il faut être le premier à aller le voir sur un sujet.... Mais le dernier à lui parler dans la réunion: c'est ça qui l'impactera le plus). Mattis a été confirmé, donc pour ce qui est de la politique étrangère dans le domaine de la sécurité, on peut se dire qu'il y a un adulte dans la pièce, et qu'il ne semble pas du genre à se laisser tyranniser.... Pour le reste des relations internationales, May espère peut-être acquérir un certain niveau d'influence personnelle sur ce décideur encore très malléable à ce stade. 

 

2 minutes ago, Alexis said:

 

Sinon, l'ancien directeur de l'Office of Management and Budget sous Reagan, David Stockman, a déclaré qu'il ne croyait pas du tout à un retour de la prospérité "comme sous Reagan", mais plutôt à un massacre fiscal.

Trump to oversee ‘fiscal bloodbath’ instead of prosperity, says Reagan OMB director

Je cite quelques extraits notables :

Au-delà des disputes contre ou pour Trump, tel ou tel aspect de son programme, ou la comparaison maintenant sans objet avec ce qu'aurait été une Présidente Clinton, ou même un Président Sanders, sans parler des dernières polémiques sur le complot russe à l'origine de l'élection de Trump et autres billevesées, c'est de toute façon un rappel nécessaire de la situation réelle de l'économie américaine.

 

 

 

Robert Reich, un autre ancien de l'administration économique de Reagan (et qui avait soutenu Sanders) est du même avis. Quoique je trouve les opinions toujours promptes à garder la mystique de l'ère du reaganisme, où la croissance a été achetée à crédit via une explosion de l'endettement public ET privé. 

L'un des problèmes de la narration actuelle est qu'il y a en fait 2 narrations complètement antithétiques, avec chacune leur "politiquement correct" n'admettant que certaines formules, sujets et façons de les présenter, et qui anathémisent tout ce qui sort du credo (dans les deux cas, aussi mal défini qu'impitoyable).... Et toutes les deux se sont graduellement éloignées de toute forme de réalité cohérente, même si la "narration" conservatrice l'a plus fait et depuis plus longtemps. Mais le vrai truc grave est que ces deux récits (pour bien des raisons, dont en grande partie le fonctionnement actuel de la scène médiatique, des grands médias aux médias sociaux, et même jusqu'aux relations personnelles) sont désormais si retranchés qu'ils en sont devenus quasiment incompatibles même sur des points de détail, voués au pur rapport de force, et témoins de l'absolue polarisation politique et médiatique américaine. 

Sur le plan économique, on a les conservateurs restant dans leur délire complet tourné vers le big business et les grandes fortunes qui doivent être toujours plus "libérés", et on a Trump lancé dans un trip aux champignons magiques sur une Amérique ressemblant au monde de Mad Max. En face, on a l'establishment démocrate et le thème générique qu'il impose et dont il interdit de dévier dans la conversation, comme quoi le chômage a disparu avec Obama, et le fait que le Dow Jones ait triplé en 8 ans veut dire que la prospérité est là: aucun autre indicateur n'existe. Le fait que le nombre d'heures hebdomadaires travaillées n'ait pas bougé en plus de 2 ans, par exemple, alors que le taux de chômage officiel continuait à baisser, ne veut rien dire, pas plus que l'absence d'évolution des revenus (hors ceux des one percenters) sur 5, 10, 20 ou 40 ans. Ou encore pas plus que le taux de participation au marché du travail soit abyssalement bas (grave chez les hommes, catastrophique chez les femmes). Sans même parler, chose que les démocrates ont soigneusement évité de faire, des derniers résultats en matière de revenus par tranches de population (qui indiquent que de fait plus de la moitié des Américains peuvent être considérés en pratique comme pauvres, et qu'à part le premier quintile, c'est pas beaucoup plus glorieux au-dessus). Et ne parlons surtout pas des niveaux d'endettement (cartes de crédit, dette étudiante....) et de la proportion d'insolvables de fait (niée), ou de la réalité de l'assurance maladie et des défauts de l'ACA et de l'assurance maladie en général aux USA (rapports de force inchangés sur le marché, nouveaux assurés étant pour l'essentiel sous Medicare/Medicaid, gens rapidement éjectés des contrats, et surtout, la très mauvaise couverture de la grande majorité des contrats). Bref, il est désormais religieusement tabou à gauche de ne pas porter le bilan obamesque aux nues (pour ce qu'il a pu faire: on ne peut pas lui mettre l'obstructionnisme républicain sur le dos). 

Le point est que plus le temps passe, et encore plus avec ce nouveau pouvoir qui va favoriser la consolidation d'une grande narration de droite et d'un "camp" médiatique plus vaste (plus "mainstreamé") pour le porter, le niveau de polarisation risque d'atteindre des sommets, portant avec lui le risque d'un immobilisme ou d'une fragilité (si on anticipe un retour de bâton brutal à chaque élection, chaque nouvelle majorité défaisant tout ce qui a été fait avant.... Comme chez nous) du pouvoir américain qu'on n'a encore pas vu. 

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Le premier discours de Trump en tant que président a eu lieu à la CIA, on notera qu'il parle beaucoup de lui-même et surtout des media "malhonnêtes", à croire que les histoires autour du nombre de personnes à avoir assisté à son inauguration ne passent pas, il en va de sa fierté :

Et aussi la première intervention du secrétaire de presse de la maison blanche, quasi-exclusivement dédiée à dénoncer les media "malhonnêtes" et nous dire qu'il y avait plein de monde à l'inauguration :

Le moins qu'on puisse dire c'est qu'il y a une tendance et que la guerre avec la presse ne s’arrêtera pas.

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Il y a 4 heures, Pseudonyme a dit :

Le premier discours de Trump en tant que président a eu lieu à la CIA, on notera qu'il parle beaucoup de lui-même et surtout des media "malhonnêtes", à croire que les histoires autour du nombre de personnes à avoir assisté à son inauguration ne passent pas, il en va de sa fierté :

A l'oreille, il y a aussi probablement des gens payés pour faire la claque dans la salle ; à la CIA ???

Je viens de craquer : au bout de 10 minutes de discours il n'a toujours pas formulé la moindre idée, pas transmis un octet d'information mis à part des huge, great, tremendous.
Il a plu lors de l'intronisation, aussi, d'après lui.

Il va tuer la presse, d'ennui.

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Invité Alcide NITRYK
Le 09/12/2016 à 20:23, Wallaby a dit :

Ce qu'il faudrait savoir c'est comment la presse allemande ou française collaborationniste a réagi aux dénégations anglo-soviétiques avant 1945. La presse allemande n'a-t-elle pas à cette occasion, pour se défendre, théorisé le mensonge anglo-soviétique ? Dans cette hypothèse, il y aurait bien eu une théorie, théorisant le mensonge des médias du camp adverse. Et cette théorie aurait été vraie.

Je peux comprendre que le mot "complot" soit mal choisi, puisqu'à l'origine le mobile soviétique, en commettant les meurtres de Katyn, n'était pas d'accuser l'Allemagne, alors que dans un "complot", le fait d'accuser le gouvernement ennemi, innocent, constitue le mobile principal de l'exaction commise.

Mais Katyn est à relever en tant qu'exemple où les médias de son propre camp (pour le public britannique) mentent, et où c'est les médias de l'ennemi qui disent la vérité.

 

Cet crime de masse fut commis lors de la lune de miel entre les deux envahisseurs. Après l'invasion de l'URSS par son ancien allié, mais avant la découverte des charniers, Staline reçoit Sikorski et Anders au Kremlin : Ils lui expliquent qu'ils n'ont pas de nouvelles d'environ 22 000 officiers internés en 1939.

Staline : "Ces officiers «se sont évadés»" !

 Anders, interloqué, demande :«Où auraient-ils pu s'évader ?

Staline répond : «Mais en Mandchourie !»

En 1943, la mémoire lui revint brusquement : "Les officiers travaillaient sur une route des environ de Smolensk et furent capturés et assassinés par les nazis". 

Le zèle des Soviétiques pour éliminer tous les témoins démontre bien que quelque chose clochait.

http://www.air-defense.net/forum/topic/20223-le-témoin-quon-ne-voulait-pas-entendre/?do=findComment&comment=1017840

Modifié par Alcide NITRYK
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Invité Alcide NITRYK
il y a 1 minute, Akhilleus a dit :

^^^^^<on peut savoir ce que vient fair ce HS sur Katyn dans le fil USA ??
. Merci de revenir à nos moutons (à notre Donald plutot)>

J'ai trouvé une intervention à laquelle j'ai répondu.
Je vais me recadrer sur Donald.

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Il y a 7 heures, Pseudonyme a dit :

Le premier discours de Trump en tant que président a eu lieu à la CIA, on notera qu'il parle beaucoup de lui-même et surtout des media "malhonnêtes", à croire que les histoires autour du nombre de personnes à avoir assisté à son inauguration ne passent pas, il en va de sa fierté :

Et aussi la première intervention du secrétaire de presse de la maison blanche, quasi-exclusivement dédiée à dénoncer les media "malhonnêtes" et nous dire qu'il y avait plein de monde à l'inauguration :

Le moins qu'on puisse dire c'est qu'il y a une tendance et que la guerre avec la presse ne s’arrêtera pas.

Sans abonder dans son sens, les médias qui filment en gros plans quand ça les arrange, afin de faire croire à une foule nombreuse (sans compter qu'ils sont prêt à payer des figurants pour leur news en gros plan), ou en plan large, pour montrer qu'il n'y a personne, m'insupportent. 

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Si l'ego de Trump est aussi chatouilleux, cela risque de donner des armes aux dirigeants mieux armés psychologiquement. Nous allons peut-être assister à des moments intéressants finalement.

Sinon, on atteindrait le chiffre de deux millions de manifestants hier aux États-Unis dans le cadre des manifestations organisées par divers mouvements féministes, démocrates et anti-Trump. Et deuxième info, visite officielle de Therera May vendredi puis du PR mexicain le 31 janvier. Oh, et les Israéliens relancent la colonisation à Jérusalem-Est, on ne peut que ne pas s'étonner devant le timing.

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Il y a un aspect essentiel qu'il faudra prendre en compte pour le mandat de Trump : il sera extrêmement limité dans sa capacité de réforme s'il n'obtient pas le soutien de la majorité républicaine au Congrès ... Les décrets ne peuvent pas tout faire le pouvoir législatif est très puissant aux USA. Il faut aussi se rappeler que chaque état possède des pouvoirs autonomes .....

La nomination de Mike Pence comme Vice Président est déjà un geste de Trump pour amadouer sa majorité ... Et il va en avoir besoin car ses projets déclarés s'opposent à l'ultra libéralisme et à interventionnisme international qui forment le socle de l.idéologie républicaine ....

Entre ça et sa popularité extrêmement faible dès sa prise de fonction .... Trump va devoir faire des concessions il n'aura pas le choix.

J'aurais aimé voir sa tête quand son arrivée en hélicoptère a été refusée par le Secret Service .... :) .... Et qu'il a compris qu'il allait devoir obéir gentiment aux exigences des hommes en noir sans la ramener pendant 4 ans ...

De la même manière .... Comment va t'il vivre le fait d'être privé de téléphone portable pendant 4 ans ??? Pas sur que le téléphone sécurisé de la présidence lui plaise (il me semble même que le président n'est pas autorisé à le porter sur lui .... C'est un encadrant qui le porte ....

Modifié par Dany40
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Invité Alcide NITRYK

Il faut prendre le côté souriant de l'événement.
En quelques heures la presse, Hollywood et tout ce qui croit compter s'étouffent de pudibonderie.
Par exemple, une autorité morale indiscutable, Michaël Moore, rejette d'un revers de casquette le résultat d'une consultation électorale et désigne le vrai pouvoir : la rue.
Tout cet argent dépensé vainement alors que la solution est sous nos yeux !

Une époque vraiment épatante.

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Le "Women's March" semble être devenue, comme ça semblait être prévu, une manif anti-Trump, étant jointe par toutes sortes de mouvements: la barre des 500 000 manifestants à Washington DC aurait été passée, ainsi que celle des 2 millions, peut-être jusqu'à 3, dans le pays via autour de 600 "sister marches" (la plus vaste est à LA: 750 000 personnes), et, Dieu seul sait pourquoi, 1 million de plus un peu partout dans le monde (66 pays): autour de 7000 à Paris (et d'autres en province), et même 30 personnes qui ont fait une sorte de manif en Antarctique (pour le climat). On parle aussi d'une marche de 100 000 personnes ayant défilé de Grosvenor Square jusqu'à Trafalgar Square en passant devant l'ambassade américaine à Londres (j'ai pas été vérifier beaucoup d'articles, et la police ne semble pas avoir publié ses estimations), principalement sous la bannière "women's march", mais avançant aussi un tas de trucs, dont une opposition au Brexit:sinterrogec:

Mais en termes d'effectifs et de visuels, ça semble très nettement plus impressionnant que l'inauguration du Donald.... Même si je doute que ça changera quoi que ce soit aux discours des deux "camps narratifs" en place. 

Modifié par Tancrède
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Trump du pognon il en a déja plein les fouilles ... donc je pense que ce qu'il souhaite c'est laisser  "juste" une trace indélébile dans l'Histoire du Monde pour satisfaire sa mégalomanie. Par conséquent et c'est la meilleur façon d'y parvenir , il ne vas pas chercher à finasser d'autant que ce n'est pas son genre, il va cherche à unir les américains derriere elui n leur trouvant un ennemi qui est supposé mettre en péril leur mode de vie et la société américaine : cet ennemi il est tout trouvé avec les Chinois et comme le temps joue contre les USA  .. ca va tarder.... il va aller les chercher , les provoquer, leur chercher des poux (dumping, emplois, spratey et senkaku .. ça ne manque pas) et les chinois sauf à perdre la face ne vont pas se laisser faire... d'autant que la Chine risque bien de dépasser les USA en tant que 1er puissance du Monde, ce qui est déjà un peu le cas dans le pacifique. Donc comme il ne souhaite pas être le président d'une Amérique  passée 2eme sous son mandat, on peut compter sur lui pour remettre de l'ordre "naturel" América 1st dans le Monde.

Pour l’énergie je ne comprends pas par contre ... sauf à être con (bon c'est vrai qu'il s'en tient une couche et une bien épaisse selon moi)  il risque de se mettre  le Monde à dos, je ne vois pas ce qu'il a gagner à aller contre l'évidence. A moins que ce sujet soit aussi une façon d'unir les américains derrière lui si le prétexte chinois ne marche pas et d'aller chercher les Iraniens ... bref une sorte de plan B

Modifié par Lezard-vert
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Il y a 9 heures, Pseudonyme a dit :

Le premier discours de Trump en tant que président a eu lieu à la CIA, on notera qu'il parle beaucoup de lui-même et surtout des media "malhonnêtes", à croire que les histoires autour du nombre de personnes à avoir assisté à son inauguration ne passent pas, il en va de sa fierté :

Et aussi la première intervention du secrétaire de presse de la maison blanche, quasi-exclusivement dédiée à dénoncer les media "malhonnêtes" et nous dire qu'il y avait plein de monde à l'inauguration :

Le moins qu'on puisse dire c'est qu'il y a une tendance et que la guerre avec la presse ne s’arrêtera pas.

C'est consternant, les gens de la CIA ont du percevoir son discours comme une insulte: il leur parle comme à des gamins (ça c'est son style et il le fait avec tout le monde), et pour lui la CIA c'est des militaires et ils sont là pour gagner des guerres. Il n'a aucune idée de l'histoire de la CIA, du fait que c'est un contre-pouvoir au Pentagone et que son rôle c'est plutôt de gagner la paix plutôt que la guerre.

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52*4=208,  on est à la semaine 1,  reste 207 à faire, :bloblaugh::tongue:

J'ai l'impression que la dette américaine va explosée le compteur et Trump s'y connait en la matière. Dans 4 ans, la facture risque d'être sacrément lourde.

Modifié par zx
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Invité Alcide NITRYK
il y a 13 minutes, Conan le Barbare a dit :

Oui... Et il est même possible, à la surprise de tous, qu'il devienne un excellent président.

Je me rappelle de la fausse condescendance attristée de ceux qui considèrent que le niveau de leur mépris relève celui de leur intelligence à l'égard de Ronald Reagan, ce benêt de garçon-vacher de série B.
Les pauvres, ce qu'ils ont dû endurer pendant 8 ans ... 

Modifié par Alcide NITRYK
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Il y a 10 heures, Pseudonyme a dit :

Le moins qu'on puisse dire c'est qu'il y a une tendance et que la guerre avec la presse ne s’arrêtera pas.

Pas la peine puisque la presse: pas besoin. Elle ne sert plus à rien. Il est passé par dessus avec Tweeter et les réseaux sociaux. Il n'a pas besoin de la presse ni même du point de presse hebdomadaire à la Maison Blanche. Il Tweet.

La presse continuera à tourner en boucle avec son public de plus en plus restreint, avec de plus en plus de journaux qui font faillite, et de plus en plus de personnes qui se détourneront des info à la télé pour se faire leur opinion à la source directement.

Un pouvoir non élu qui dégage, un. Avec le Brexit et Bruxelles ça en fait un deuxième et avec le retour des frontières ça en fait un troisième. Retour au politique et au peuple maitre de ses choix.

 

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il y a 8 minutes, c seven a dit :

Un pouvoir non élu qui dégage, un. Avec le Brexit et Bruxelles ça en fait un deuxième et avec le retour des frontières ça en fait un troisième. Retour au politique et au peuple maitre de ses choix.

 

On a pas du suivre la même élection. T'as l'impression que c'est le peuple qui choisit la politique qui est menée?

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