Aller au contenu
Fini la pub... bienvenue à la cagnotte ! ×
AIR-DEFENSE.NET

Messages recommandés

"There are still a few real news outlets -- a few reporters, a few stations, a few newspapers, and one cable news network that remember what journalism used to mean.

You have to attack Fox News and sneer at them and accuse them of bias, don't you -- because they're actually doing the job you merely pretend to do"

"Il existe encore quelques véritable réseaux d'information -- quelques reporters, stations de radio, de rares journaux, et une unique chaine d'info télévisée qui se rappelle la signification du mot journalisme. Vous deviez attaquer Fox News, en rire, les accuser de parti pris, n'est ce pas-- car ils font en fait le boulot que vous ne faites que simuler"

Passage d'anthologie!!

Ca, pour moi, surtout sous la plume de quelqu'un que j'imagine instruit, c'est la définition de la mauvaise foi, ou de l'aveuglement, c'est selon.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

De plus en plus ridicule....

Pour défendre le droit au port d'armes aux Etats-Unis, des commerçants proposent des promotions aux clients qui se présentent armés.

Jay Laze aime les armes à feu. Et il n'aime pas que le gouvernement tente de les lui confisquer. Pour se faire entendre, il a décidé d'organiser la résistance à sa façon: ce propriétaire de la pizzeria All Around Pizzas and Deli de Virginia Beach, en Virginie (est des États-Unis), a décidé d'offir une réduction de 15% sur tous ses produits à la clientèle qui se présente armée, ou détentrice d'un permis de port d'arme à feu.

Au départ, son opération ne devait durer que quelques jours. Mais face au succès, Jay Laze réfléchit à rendre l'offre permanente. Depuis sa mise en place vendredi dernier, 80% de ses clients se sont en effet présentés avec une arme. L'un d'eux est même arrivé avec un AK-47. Un autre a confié à Laze qu'il se «sentait en fait plus en sécurité» avec tous ces gens armés autour de lui, selon le site du Los Angeles Times.

Le commerçant n'a pas eu cette idée par hasard. Il a confié s'être inspiré de la «semaine du second amendement» (du nom de l'amendement qui garantit le port d'armes aux Etats-Unis) organisée au début du mois par un vendeur de yaourt glacé dans l'Utah (ouest). Ce dernier offrait un dollar de réduction à tous les clients qui lui montraient leur permis.

La suite : http://www.lefigaro.fr/international/2013/02/20/01003-20130220ARTFIG00665-etats-unis-pizza-moins-chere-pour-les-detenteurs-d-armes.php

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Au niveau de l'arsenal nucléaire, avant les coupes prévues ou en cours sur les forces conventionnelles, l'administration Obama aurait supprimé déjà 500 ogives de son stock faisant passer celui ci de 5113 en 2009 (chiffres officiel) à 4650 aujourd'hui (estimation) :

http://www.fas.org/blog/ssp/2013/02/stockpilereduction.php

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Un rapport de 720 pages a été publié par la Henry Jackson Society  et présentée au Center for Strategic and International Studies (CSIS) mardi 26 février. Il étudie en détails les 171 cas de membres d’Al-Qaïda ou de groupe dans la mouvance d’Al-Qaïda qui ont été condamnés aux États-Unis par tribunaux ou qui ont participé à des attentats-suicide sur le territoire américain entre 1997 et 2011.

Suite : http://www.45enord.ca/2013/02/portrait-de-votre-voisin-terroriste-un-rapport-sur-al-qaida-en-amerique/

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Bizarre, des attentats suicides sur le sol américain hors 11 septembre ??? Y a t'il une erreur de traduction ? :rolleyes:

Non, le rapport parle bien des attaques tentées sur le territoire US. Outre Fort Hood ou Times Square, il me semble qu'il y a eu quelques idiots pour chercher à se fabriquer une veste suicide...
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Ca va être comme les fois précédentes, un accord de dernière minute sera trouvé.

Non la dernière minute est passée durant la nuit : la machine à couper les budgets ( pas que militaires ) est en route depuis aujourd'hui

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Je pense toutefois qu'ils peuvent encore négocier un nouvel accord mais là où je veux en venir, c'est que les restrictions budgétaires sont entrées en vigueur même si celà se fait progressivement dans le temps

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Le budget de la défense US sera amputé de 8% dans l'année ( avec notamment le renvoi de 800 000 employés civils de la défense ) à cause du blocage budgétaire au Sénat ( info i-télé )

je crois qu'on parle de chomage partiel (ils vont passer au 4/5 ème) pour les 800000 employés du pentagone.

Le blocage des négociations a surtout révélé que les gros lobbys économiques se sont accommodés à l'idée de la "sequestration" car  elle affectera surtout le budget de la défense: le lobby militaro-industriel est largué en rase campagne.

Je ne trouve pas que ca soit une si une mauvaise chose, ce lobby s'est bien "gavé" pendant cette première décennie avec toutes les guerres lancées (Irak, Afghanistan, terrorisme), les américains ont en un peu marre, les USA se désengagent relativement de la sphère (Euro-Afrique-MO) et pivotent vers l'Asie.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

je crois qu'on parle de chomage partiel (ils vont passer au 4/5 ème) pour les 800000 employés du pentagone.

A priori, plus une mesure de chômage technique que de chômage partiel. Cela dépendra en partie des postes occupés et des missions en cours. Certains agents resteront chez eux (sans paye) une semaine par mois, de mars à septembre. D'autre vont avoir 2 mois d'inactivité forcée (et sans solde) pour compléter leurs 2 semaines annuelles de congés payés ...

Il est d'ores et déjà prévu que tous les domaines soient touchés, et les conséquences ne sont pas encore mesurables :

- le plus gros effort porte sur la défense, mais il touche essentiellement des fonctions de support. Les choses se feront, mais elles seront plus lentes et les dossiers mettront plus de temps. De ce que j'ai entendu dire, les achats du Pentagone, par exemple, seront ralentis faute d'administration pour les traiter. Certains ont déjà anticipé là dessus et augmenté les quantités achetées pour se permettre une durée de traitement plus longue et tenir sans rupture pendant l'intervalle rallongé  entre deux "marchés".

- les services de l'immigration vont voir leurs effectifs fondre pendant cette période. Les parties critiques de lutte (armée) contre l'immigration clandestine vont être maintenues par l'affectation de renfort. Par contre, l'entrée (légale) aux USA va être sérieusement ralentie par une quasi-décimation des effectifs aéro-portuaires. Il est annoncé un délai de 4h pour traiter les 400 à 500 pax d'un B-747 vers la fin du mois de mars, et ce jusqu'en septembre.

- la FDA et les narcotiques vont aussi être atteints. Côté narcotiques, il est envisagé (sérieusement !) de transférer des budgets de fonctionnement pour payer des prestations de contractors en renfort. Des achats d'équipement seraient reportés à cet effet.

- côté sanitaire, on craint une baisse importante (-50%) des contrôles vétérinaires tant en établissement de restauration, que tout au long des filières viande. Les plus pessimistes parlent de crise sanitaire et d'augmentation des intoxications alimentaires prévisible pour la période estivale

- pour l'éducation, pas d'information pour le moment.

- seule la couverture sociale/santé est épargnée par les coupes.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

"Je parlerai jusqu'à ce que je ne puisse plus parler." Lorsqu'il prend la parole mercredi 6 mars au Sénat, Rand Paul annonce la couleur. Le sénateur républicain va discourir jusqu'à épuisement, comme le règlement de la chambre l'y autorise, pour protester contre la nomination de John Brennan à la tête de la CIA. Mais aussi contre le manque de transparence de l'administration Obama sur le programme secret d'assassinats ciblés par drones, et l'utilisation éventuelle de ceux-ci sur le territoire américain.

Le sénateur du Kentucky n'a lâché le micro qu'après 12 heures et 52 minutes de discours. Un gros classeur à anneaux posé sur son pupitre, il a lu des notes, des articles de Wired.com, des post-it. "Je suis là pour attirer l'attention sur un principe constitutionnel, pour pousser l'administration à admettre publiquement qu'[elle] ne tuera pas d'Américains qui ne sont pas combattants", a-t-il expliqué

Il voulait utilisé les Prédator sur le territoire américain pour éliminé des cible !
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Franchement ,comment tes sur de ça ,le Patriot acte II est EXTREMEMENT large sur se point .

Difficile, il n'y a pas de Patriot Act II...

Pour ta question, Collectionneur parlait du National Applications Office.

Il voulait utilisé les Prédator sur le territoire américain pour éliminé des cible !

Mais non... les Predators sont utilisés sur des cibles qu'on ne peut pas avoir autrement. Quand c'est possible, on fait une mission kill/capture avec des FS qui permet de ramener d'éventuels prisonniers et de capturer des documents, matériels électroniques, identifier des personnes etc. Sur le territoire FS, il y a les services de police pour ça.
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

http://www.guardian.co.uk/world/2013/mar/06/pentagon-iraqi-torture-centres-link

Très bon documentaire réalisé par les équipes de The Guardian et BBC Arabic sur la guerre clandestine américaine en Irak: mise en place et supervision par l'ex-colonel James Steele de milices et polices vite transformées en unités spécialisées dans la "guerre sale", centres secrets de torture, escadrons de la mort...

Petraeus, Cheney, Rumsfeld semblaient être assez clairement dans la boucle et savaient ce qu'ils faisaient en envoyant en Irak ce "consultant" qui avait chapeauté la contre-insurrection au Salvador. Je ne sais pas pourquoi mais j'ai l'impression qu'ils ne risquent pas de se retrouver devant un tribunal international.

http://www.france24.com/fr/20130308-guardian-bbc-etats-unis-torture-irak-rumsfeld-petraus-guerre

Une enquête menée par le Guardian et la BBC révèle que la torture était pratiquée en Irak pendant l'occupation américaine. Des méthodes qui étaient connues du général David Petraeus et de l’ancien secrétaire à la Défense, Donald Rumsfeld.

Dix ans après le début de l’invasion américaine en Irak, un nouveau scandale vient écorner l’image de l’armée américaine. The Guardian et la BBC en arabe ont révélé, mercredi 6 mars, dans un documentaire d’une cinquantaine de minutes, que les États-Unis avaient missionné un vétéran des "guerres sales" d’Amérique centrale pour organiser une milice paramilitaire irakienne qui a commis "certains des pires actes de torture sous l'occupation américaine" et "accéléré la plongée du pays dans la guerre civile".

Selon l’enquête, qui a duré quinze mois et mobilisé de nombreux journalistes, il s’agit du colonel James Steele, 58 ans. Nommé par le secrétaire à la Défense américain Donald Rumsfeld, ce vétéran des forces spéciales se trouvait en Irak entre 2003 et 2005 pour superviser cette force spéciale irakienne, dont les membres recrutés dans des milices chiites avaient pour objectif de mater l'insurrection sunnite. Ce conseiller spécial a été secondé, en juin 2004, par un autre colonel, James H. Coffman qui, lui, rendait des comptes au général David Petraeus.

"Ils savaient très bien ce qui se passait là-bas"

Les deux colonels "travaillaient main dans la main", témoigne dans le reportage un général irakien, Muntadher al-Samari, qui les a très souvent vus ensemble dans les centres de détention. "Ils savaient très bien ce qui se passait là-bas [dans ces centres de détention], indique-t-il. […] toute cette torture, la plus horrible qui soit." Ces pratiques étaient financées par de l’argent public américain, apprend-on également au cours de l’investigation.

Ces accusations, qui reposent sur plusieurs témoignages américains et irakiens, visent donc les plus hautes personnalités de l’armée américaine, à savoir l’ancien secrétaire à la Défense Donald Rumsfeld et le général David Petraeus, qui a démissionné de la tête de la CIA en novembre dernier à cause d’une liaison avec sa biographe. C'est la première fois que des responsables de haut rang se trouvent accusés par des témoins d'atteintes aux droits de l'Homme durant la guerre en Irak.

Par le biais d'un porte-parole, le général s'est défendu auprès du Guardian d'avoir couvert ce genre d’activités. "Au cours de ces années passées en Irak, le général Petraeus a eu connaissance d'allégations de tortures par les forces irakiennes. À chaque incident, il a immédiatement rapporté l'information au commandement militaire américain, à l'ambassadeur américain à Bagdad... ainsi qu'aux leaders irakiens appropriés."

Cette enquête fait suite à l’affaire Wikileaks qui a publié, en octobre 2010, des centaines de documents confidentiels sur la guerre en Irak. Parmi ces notes, certaines faisaient état de cas de torture dans lesquels des soldats américains étaient impliqués.

Le Pentagone a "besoin de temps" pour réagir à ces accusations

Suite à ces nouvelles révélations, le Pentagone a ouvert une enquête et indique avoir besoin de temps pour réagir, rapporte le Guardian. "Comme vous le savez, une affaire concernant des accusations d’abus et de torture de prisonniers irakiens est délicate, pleine d’histoire et d’émotion. Cela prendra du temps d’apporter une réponse rigoureuse”, précise le porte-parole Jack Miller.

Cette réaction américaine mesurée tranche avec celle des Irakiens. À Samarra où se trouve un des ces fameux centres de détention, les habitants, qui étaient au courant de ces pratiques, ont aujourd’hui hâte qu’elles soient révélées au grand jour, indique le journal britannique. Ils espèrent que ces violations soient reconnues comme crimes contre l’humanité.

Washington devrait enquêter sur cette éventuelle responsabilité, ou complicité, des États-Unis concernant les violations des droits de l’Homme commises par la force spéciale irakienne, estime, dans les colonnes du Guardian, une spécialiste du Moyen-Orient à Human Rights Watch, Erin Evers.

Les soldats américains pourraient en théorie être jugés à la Cour pénale internationale même si les États-Unis ne font pas partie des États membres, confirme un juriste américain, Noah Weisbord, cité également dans le journal. Mais il faudrait d'abord obtenir l'aval du Conseil de sécurité des Nations Unies. "Et étant donné que Washington y dispose d’un droit de veto, il semble peu probable que des poursuites soient engagées", conclut-il.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Espace: les USA pourraient faire face à une menace russe et chinoise

Au cours des prochaines décennies, les activités spatiales des Etats-Unis pourraient se heurter à une riposte de la part de certains pays, dont la Russie et la Chine, indique le rapport présenté mardi au Sénat américain par le directeur du renseignement national James Clapper.

"Les menaces pesant sur les projets spatiaux des Etats-Unis continueront à augmenter au cours des prochaines décennies", lit-on dans le rapport de M. Clapper consacré aux menaces actuelles.

"Les systèmes spatiaux et leurs infrastructures assurent un large éventail de services vitaux: le positionnement, la navigation, le calcul du temps, le renseignement, la surveillance et la reconnaissance. Ces services ont tous une importance vitale pour notre science, notre économie, notre société et notre armée. Conscients de notre leadership, d'autres pays conçoivent leurs propres stratégies visant à limiter ou à bloquer notre accès à l'Espace", souligne le document.

Selon le chef du renseignement américain, il s'agit en premier lieu de la Russie et de la Chine, adversaires traditionnels des Etats-Unis.

"En 2007, la Chine a testé un système de destruction des satellites en orbite, et en 2009, un militaire russe a déclaré dans un article publié par les médias que Moscou concevait des systèmes de riposte spatiale", indique le rapport sans citer le nom du militaire russe, le titre de l'article ainsi que le média qui l'a publié.

http://fr.rian.ru/world/20130312/197776476.html

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Mesure phare présentée par le président Barack Obama dans la foulée du massacre de l'école de Newtown dans le Connecticut, le 14 décembre, le projet d'interdiction des armes d'assaut n'a pas survécu à l'opposition ferme des défenseurs du droit à porter une arme, chez les républicains mais aussi du côté démocrate.

Le chef de la majorité démocrate au Sénat, Harry Reid, a confirmé mardi ce que beaucoup savaient depuis des mois: le texte ne dispose pas du soutien nécessaire pour survivre, et la proposition de loi sera donc détachée du reste des propositions de réforme sur lesquelles le Sénat devrait voter dans les prochaines semaines.

Le texte sera soumis au vote indépendamment sous la forme d'un amendement qui devrait être rejeté.

Dianne Feinstein, la sénatrice démocrate à l'origine du texte, a confié à des journalistes sa déception.

"Vous savez, sur ce sujet, les ennemis sont très puissants, je l'ai su toute ma vie", a-t-elle déclaré, citée par le quotidien USA Today.

Le puissant lobby des armes, la National Rifle Association (NRA), avait engagé une bataille pour tuer ce projet. Nombre d'élus sont financés par l'association à chaque élection et beaucoup craignent de la froisser et de perdre son soutien.

Suite : http://fr.news.yahoo.com/etats-unis-linterdiction-armes-dassaut-enterr%c3%a9e-224534295.html

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
  • Statistiques des membres

    6 003
    Total des membres
    1 749
    Maximum en ligne
    pandateau
    Membre le plus récent
    pandateau
    Inscription
  • Statistiques des forums

    21,6k
    Total des sujets
    1,7m
    Total des messages
  • Statistiques des blogs

    4
    Total des blogs
    3
    Total des billets
×
×
  • Créer...