USA

[Rufus Shinra]

il y a 15 minutes, christophe 38 a dit :

et, pour en revenir à ce navire, il est navire hopital, c'est tres bien...

mais, combien de personnes en rea peut il accueillir ? vu l'espace et le matériel necessaire..

C'est pas sa fonction, le système de ventilation est incompatible avec une crise pandémique, donc tant celui envoyé à LA que celui envoyé à NY vont accueillir des patients hospitaliers normaux pour désaturer les hôpitaux locaux et leur permettre de se concentrer sur les malades covid.

[Tancrède]

2 hours ago, rendbo said:

j'ai du la lire une seconde fois car je ne voyait pas trop comment il éperonnait un navire avec un train... avant de me dire que soit le navire était à quai, soit on s'en fout qu'il soit conducteur de train (la petite touche humaine de la news, afin que l'on se sente proche de ce brave citoyen à qui on la faisait pas...) ;-)

 

N'as-tu pas honte de ne pas automatiquement accepter la chose comme possible? On est dans le seul pays au monde qui a, historiquement, capturé une flotte de combat (pas à quai) par une charge de cavalerie. A l'impossible, nul n'est tenu. 

Modifié le 2 avril 2020 par Tancrède

[Rufus Shinra]

il y a 3 minutes, Tancrède a dit :

N'as-tu pas honte de ne pas automatiquement accepter la chose comme possible? On est dans le seul pays au monde qui a, historiquement, capturé une flotte de combat (pas à quai) par une charge de cavalerie. A l'impossible, nul n'est tenu. 

Oui, mais ça s'est passé aux US, pas en France, donc il ne faut pas espérer de miracles de leur part.

[Tancrède]

12 minutes ago, Rufus Shinra said:

Oui, mais ça s'est passé aux US, pas en France, donc il ne faut pas espérer de miracles de leur part.

C'est le pays où ils ont lancé un programme de plusieurs millions de dollars pour parvenir à créer un stylo qui marche en apesanteur (pour les séjours spatiaux), là où les Russes ont choisi d'utiliser des mines de plomb à 1 dollar la pièce. 

Modifié le 2 avril 2020 par Tancrède

[Rufus Shinra]

à l’instant, Tancrède a dit :

C'est le pays où ils ont lancé un programme de plusieurs millions de dollars pour parvenir à créer un stylo qui marche en apesanteur (pour les séjours spatiaux), là où les Russes ont choisi d'utiliser des mines de plomb à 1 dollar la pièce. 

Ce en quoi les US avaient entièrement raison puisque les poussières en apesanteur, c'est une sacré merde, plomb ou autre.

[Tancrède]

Just now, Rufus Shinra said:

Ce en quoi les US avaient entièrement raison puisque les poussières en apesanteur, c'est une sacré merde, plomb ou autre.

Ah, merde! C'est la partie de l'anecdote que je connaissais pas. Mais ma version est nettement plus marrante que la tienne, na! 

[nemo]

il y a 2 minutes, Rufus Shinra a dit :

Ce en quoi les US avaient entièrement raison puisque les poussières en apesanteur, c'est une sacré merde, plomb ou autre.

ouais bof faut changer les filtres plus souvent et c'est marre.

[collectionneur]

@Tancrède ????? Pitié, ne m'écrit pas que tu croit réellement à cette légende urbaine. Les russes ont acheté les dits stylos pour leur propres missions :)

https://fr.wikipedia.org/wiki/Space_Pen

Une rumeur prétend que face au fait que les stylos à encre classiques ne fonctionneraient pas en apesanteur, La NASA aurait dépensé une fortune colossale afin de concevoir un stylo capable d’être utilisé dans l’espace, tandis que les Russes auraient préféré opter pour de simples crayons à papier. Cette histoire, relatée comme un exemple de l'aveuglement technologique qui pousse à gaspiller des millions de dollars en ignorant les solutions évidentes et bon marché préexistantes, est une légende urbaine à plusieurs titres.

En premier lieu, parce que les programmes initiaux de la NASA ont eux aussi utilisé des crayons à papier, mais que ceux-ci se sont révélés dangereux à l'usage. En apesanteur, les pointes de crayon cassées et la poussière de graphite créaient un risque important de court-circuit et le bois des crayons était lui-même inflammable. Une meilleure solution était donc nécessaire.

En second lieu, parce que Paul Fisher développa le Space Pen de sa propre initiative, sur fonds privés et de manière totalement indépendante de la NASA. La NASA n’a jamais contacté Paul Fisher afin de concevoir un stylo, et ce dernier n’a jamais reçu de subvention pour le développer. Le Space Pen ne fut proposé à cette dernière, ainsi qu’à l’Union soviétique, qu’une fois le modèle AG7 totalement mis au point. En 1967, à l'issue de tests rigoureux, la NASA en acheta 400 à Fisher pour le programme Apollo, au prix de 6 dollars l'unité.

Enfin, les cosmonautes soviétiques, puis russes, ont eux-mêmes adopté le Space Pen à partir de 1969, abandonnant les crayons à papier et les crayons gras sur plastique qu'ils utilisaient jusqu'alors. En 1969, ils en achetèrent cent pour leur futures missions

Modifié le 3 avril 2020 par collectionneur

[Wallaby]

https://www.itv.com/news/2020-04-02/coronavirus-world-health-organisation-face-masks-effectiveness-public-new-study/

Les chercheurs du Massachusetts Institute of Technology à Cambridge, aux États-Unis, ont utilisé des caméras à grande vitesse pour détecter la distance parcourue par les éternuements et la toux.

Ils ont découvert que lorsqu'une personne éternue ou tousse, un nuage de gaz turbulent peut transporter des gouttelettes sur de longues distances - jusqu'à huit mètres pour un éternuement.

"La dynamique des nuages de gaz turbulents devrait influencer la conception et l'utilisation recommandée des masques chirurgicaux et autres", affirment les scientifiques.

[Tancrède]

4 minutes ago, collectionneur said:

@Tancrède ????? Pitié, ne m'écrit pas que tu croit réellement à cette légende urbaine. Les russes ont acheté les dits stylos pour leur propres missions :)

https://fr.wikipedia.org/wiki/Space_Pen

Une rumeur prétend que face au fait que les stylos à encre classiques ne fonctionneraient pas en apesanteur, La NASA aurait dépensé une fortune colossale afin de concevoir un stylo capable d’être utilisé dans l’espace, tandis que les Russes auraient préféré opter pour de simples crayons à papier. Cette histoire, relatée comme un exemple de l'aveuglement technologique qui pousse à gaspiller des millions de dollars en ignorant les solutions évidentes et bon marché préexistantes, est une légende urbaine à plusieurs titres.

En premier lieu, parce que les programmes initiaux de la NASA ont eux aussi utilisé des crayons à papier, mais que ceux-ci se sont révélés dangereux à l'usage. En apesanteur, les pointes de crayon cassées et la poussière de graphite créaient un risque important de court-circuit et le bois des crayons était lui-même inflammable. Une meilleure solution était donc nécessaire.

En second lieu, parce que Paul Fisher développa le Space Pen de sa propre initiative, sur fonds privés et de manière totalement indépendante de la NASA. La NASA n’a jamais contacté Paul Fisher afin de concevoir un stylo, et ce dernier n’a jamais reçu de subvention pour le développer. Le Space Pen ne fut proposé à cette dernière, ainsi qu’à l’Union soviétique, qu’une fois le modèle AG7 totalement mis au point2. En 1967, à l'issue de tests rigoureux, la NASA en acheta 400 à Fisher pour le programme Apollo, au prix de 6 dollars l'unité3.

Enfin, les cosmonautes soviétiques, puis russes, ont eux-mêmes adopté le Space Pen à partir de 1969, abandonnant les crayons à papier et les crayons gras sur plastique qu'ils utilisaient jusqu'alors. En 1969, ils en achetèrent cent pour leur futures missions

Pour tout t'avouer, j'avais du voir ça dans un segment télé quelconque (genre un morceau de quelque chose qui durait 1 minute à tout péter) il y a longtemps, et ne m'étais jamais repenché sur le sujet depuis. 

Tout un monde de rire gras qui s'effondre. Merci, Collectionneur. Maintenant je vais aller pleurer. 

[Rufus Shinra]

il y a 12 minutes, nemo a dit :

ouais bof faut changer les filtres plus souvent et c'est marre.

Non, vraiment pas. C'est le genre de merde où ça rentre partout, ça s'accumule dans les circuits, et ça peut causer une destruction du véhicule spatial sur des missions longues en cas d'incapacitation de circuits critiques.

[Snapcoke]

il y a 44 minutes, Tancrède a dit :

N'as-tu pas honte de ne pas automatiquement accepter la chose comme possible? On est dans le seul pays au monde qui a, historiquement, capturé une flotte de combat (pas à quai) par une charge de cavalerie. A l'impossible, nul n'est tenu. 

On m'explique ?

[Ciders]

il y a 4 minutes, Snapcoke a dit :

On m'explique ?

Le Helder, en 1795 : https://fr.wikipedia.org/wiki/Capture_de_la_flotte_hollandaise_au_Helder

[Snapcoke]

il y a 2 minutes, Ciders a dit :

Le Helder, en 1795 : https://fr.wikipedia.org/wiki/Capture_de_la_flotte_hollandaise_au_Helder

C'est du génie...

Prodigieux 

[Cathax]

il y a 11 minutes, Snapcoke a dit :

On m'explique ?

https://fr.wikipedia.org/wiki/Capture_de_la_flotte_hollandaise_au_Helder

Ca date de la révolution: un parti de cavaliers français est parvenu à prendre d'assaut une flotte hollandaise coincée par la glace.

à l’instant, Cathax a dit :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Capture_de_la_flotte_hollandaise_au_Helder

Ca date de la révolution: un parti de cavaliers français est parvenu à prendre d'assaut une flotte hollandaise coincée par la glace.

Devancé par Ciders.

[Skw]

il y a 12 minutes, Ciders a dit :

Le Helder, en 1795 : https://fr.wikipedia.org/wiki/Capture_de_la_flotte_hollandaise_au_Helder

Je connaissais l'épisode et les lectures des gazettes de l'époque valent d'ailleurs le détour. En revanche, j'avais oublié ce détail assez croustillant et facile à retenir pourtant :

Citation

Bien informé, le général apprit qu'une flotte néerlandaise stationnait au Helder, à environ 80 km au nord d'Amsterdam. L'hiver étant extrêmement rigoureux, les fleuves et les côtes étaient pris dans la glace. Le général de brigade Jean-Guillaume de Winter fut dépêché par Pichegru à la tête d'un détachement du 8e régiment de hussards. Ce Néerlandais, qui avait reçu une formation navale, servait la France depuis 1787, et commanda plus tard la flotte hollandaise à la bataille de Camperduin. Il avait pour mission d'empêcher soit l'occupation du Helder par les Britanniques, soit que la flotte hollandaise, comprenant 15 navires dont 11 gréés et armés, rejoigne la Grande-Bretagne. Il arriva dans la nuit du 4 Pluviôse an III (23 janvier 1795), accompagné de troupes d'infanterie. La flotte hollandaise était bien là, prise dans la glace. Chaque hussard, galopant sur la glace, avait emporté un fantassin du 15e régiment d’infanterie légère en croupe1.

D'où l'expression "Winter is coming"

 

Edit : Parcours intéressant d'ailleurs. Cela donne envie de lire une biographie sur lui, s'il en existe. 

Modifié le 2 avril 2020 par Skw

[rendbo]

il y a 9 minutes, Snapcoke a dit :

C'est du génie...

Prodigieux 

le fameux génie français, que d'autres appellent l'arrogance : faire aussi bien voire mieux que les autres pour moins cher grace à des techniques exotiques...

[Skw]

il y a 2 minutes, rendbo a dit :

le fameux génie français, que d'autres appellent l'arrogance : faire aussi bien voire mieux que les autres pour moins cher grace à des techniques exotiques...

Jan Willem de Winter est néerlandais, ayant qui plus est exercé en tant qu'admiral avant de devenir général pour les armées révolutionnaires et impériales françaises. Cela peut peut-être expliquer une partie du génie ;-)

https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Guillaume_de_Winter

Modifié le 2 avril 2020 par Skw

[Wallaby]

https://newyork.cbslocal.com/2020/04/01/coronavirus-russian-medical-supplies-new-york/

Mercredi, un avion cargo militaire russe a atterri à l'aéroport JFK avec 60 tonnes de ventilateurs, de masques et d'autres produits de première nécessité.

Ces fournitures aideront directement les habitants de New York et du New Jersey.

Les fournitures ont été livrées à la suite d'un appel téléphonique lundi entre le président Donald Trump et le président russe Vladimir Poutine.

https://www.defenseone.com/politics/2020/04/russian-cargo-plane-medical-supplies-lands-new-york/164293/

"Nous vous remercions sincèrement pour toute l'aide que vous nous apportez", a déclaré un contrôleur aérien de New York peu avant l'atterrissage de l'avion, un Antonov An-124. "Vous êtes les bienvenus et nous vous remercions", a répondu le pilote.

[Kelkin]

il y a 41 minutes, Skw a dit :

Jan Willem de Winter est néerlandais

Le génie français, c'est aussi savoir accueillir les génies des autres contrées, comme Maria Skłodowska, Roman Katsev ou Freda McDonald.

[jean-françois]

Autant la première était relativement simple à trouver ( Marie Curie ), pour Freda, je n'aurai jamais trouvé que c'était Joséphine Baker ( le 2e est Romain Gary )

[Tancrède]

Alors qu'un actif Américain sur 4 est encore autorisé à aller physiquement bosser (parce que dans la catégorie "fonction essentielle" le plus souvent), que 10 millions de gens aient perdu leur emploi en 2 semaines (3,3 la semaine dernière, 6,6 à la fin de celle-ci) avec une hyperconcentration dans la partie la moins bien lotie de la population (sous le revenu médian, "working class" et travailleurs pauvres), et que, de ceux qui peuvent travailler à domicile, la plupart se trouvent dans les catégories moyenne sup à supérieure (qui sont aussi ceux qui ont des réserves financières), il semble que l'impact "émotionnel" ne soit pas le même:

Working status and emotional well being by socioeconomic group (ratios: travaille normalement/travail à domicile/viré ou chômage technique):

- lower: 26%/3%/15%

- lower middle: 29%/11%/19%

- middle: 34%/17%/20%

-upper middle: 17%/48%/13%

-upper: 26%/39%/9%

Emotional well being has gotten worse:

- lower: 34%

- lower middle: 34%

- middle: 36%

-upper middle: 45%

-upper: 47%

(Source: Axios/Ipsos survey. Margin of error ±2.8 points for full sample. Margin for subgroups ranges from ±5 to ±9 points. Chart: Naema Ahmed/Axios)

Quote

 

The coronavirus is spreading a dangerous strain of inequality. Better-off Americans are still getting paid and are free to work from home, while the poor are either forced to risk going out to work or lose their jobs.

Driving the news: This sobering reality emerges from Week 3 of our Axios-Ipsos Coronavirus Index.

The survey finds Americans with less education and lower incomes far more likely either to have to keep showing up at their workplaces — putting themselves at greater daily risk of infection — or more likely to have seen their work dry up.

Why it matters: "It's a tale of two Americas," said Cliff Young, president of Ipsos U.S. Public Affairs.

"The rich and affluent have gone virtual. They’ve maintained their jobs through the virtual world," he said. "The working and the poor are more exposed."

Between the lines: Ironically, those with the most resources and the least exposure are significantly more likely to say their emotional health is taking a hit.

47% of respondents designated as coming from the upper socioeconomic status and 45% of those from the upper-middle status said their emotional well-being declined. That was the case for just 34% of the lower and lower-middle groups and 36% of the middle group.

On the surface, the survey results show one nation shifting toward remote work and handling the emotional challenges of the crisis. But dig deeper, and you find Americans' experiences deeply bifurcated along economic and educational lines.

Concerns about job security and ability to pay the bills are tied to socioeconomic level.

There are also correlations across the survey respondents' race, ethnicity, age, region of the country and whether they live in urban or non-urban settings. But the driving factor appears to be socioeconomic status.

The poll also identifies some striking dynamics restaurant visits (they've plummeted) and self-quarantining (it's way up).

By the numbers: Pollster Chris Jackson analyzed the findings by five groups of socioeconomic status:

Lower (20%, high school education, $15,000 median household income)

Lower middle (21%, high school education, $40,000 median household income)

Middle (32%, some college, $75,000 median household income)

Upper middle (20%, bachelor's degree, $125,000 median household income)

Upper (8%, master's degree, $200,000 median household income)

More from the findings:

Just 3% of the lower-status group said they're working remotely or from home. That rose significantly with income, with nearly half of the upper-middle group, and nearly four out of 10 in the upper category, saying they're working remotely.

About one in four out of the lower-status group, and slightly higher shares of the lower-middle and middle respondents, said they're going to work as they normally would.

But 15% of the lower-status group, and roughly one in five of the lower-middle and middle groups had furloughs or their businesses closed. Those numbers dropped with the upper middle and upper groups.

There was a direct connection between socioeconomic status and concern about personal finances.

45% of the lower group said they're extremely or very concerned about their job security as a result of the coronavirus — compared to just 21% of the middle group and 13% of the upper group.

About a third of the lower group and one in four of the lower middle group said they're extremely or very concerned about their ability to pay the bills — significantly higher than the other groups.

 

 

Apparemment, ceux qui ont plus et courent moins de risque.... Tendent à être plus des tarlouzes maniaco-dépressives? 

Modifié le 3 avril 2020 par Tancrède

[debonneguerre]

Ils sont inquiets pour leurs investissements, ceux qui n'ont pas de patrimoine voient au jour le jour..

[Boule75]

il y a 26 minutes, Tancrède a dit :

Apparemment, ceux qui ont plus et courent moins de risque.... Tendent à être plus des tarlouzes maniaco-dépressives? 

 

il y a 7 minutes, debonneguerre a dit :

Ils sont inquiets pour leurs investissements, ceux qui n'ont pas de patrimoine voient au jour le jour..

Mais non, vous voyez tout en noir : ils sont inquiets pour tous ceux qu'ils forcent à venir travailler, et pour tous qu'ils ont licenciés.
Voilà voilà...

[Tancrède]

On 4/2/2020 at 6:04 PM, Boule75 said:

 

Mais non, vous voyez tout en noir : ils sont inquiets pour tous ceux qu'ils forcent à venir travailler, et pour tous qu'ils ont licenciés.
Voilà voilà...

Quelle compassion. Le chrétien en moi est ému..... Et se rappelle ensuite une règle fondamentale pour penser la société: tout le monde est narcissique, et à la moindre possibilité de difficulté présente ou future, pense 10 fois plus à lui-même (et aux siens, soyons pas trop vache) qu'en temps normal. Et une bonne portion de la société a un plus fort penchant à la chose, pour des raisons apparemment physiologiques et/ou psychologiques (ironiquement, ce sont ceux qui tendent plus à voter à gauche, s'il faut en croire les études): avoir plus d'argent ne fait que révéler et accentuer ces propensions à un plus haut degré (un peu le syndrôme des gagnants du loto: on sait maintenant qu'une énorme partie perd assez vite le fric, qui en fait désinhibe leurs travers psychologiques jusqu'au caricatural). Donc même si ceux-ci pensent à ceux qui doivent travailler exposés ou ont été virés, c'est juste pour satisfaire leur besoin de se sentir vertueux.... Et ça ne change rien à leur comportement. Juste un prétexte de plus pour se vautrer dans leurs états émotionnels. 

 

Modifié le 4 avril 2020 par Tancrède