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il y a 9 minutes, nemo a dit :

Tu crois qu'elle va voter trump :biggrin:?

Va savoir...

L'avant dernière fois, après avoir perdue les primaire contre Obama, dans ses mails, elle ne citait jamais son nom. elle disait juste "l'autre homme". ça en dit long sur elle et ce qu'elle pense mériter.

Et là, ce ne seras pas elle la 1er femme présidente des USA ! Un post qui lui était destiné pense t'elle  !!

Ouais, elle doit vraiment avoir le seum : mourir de soif juste en arrivant à la source, c'est ballot quand même. 

Modifié par Shorr kan
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il y a 2 minutes, jojo (lo savoyârd) a dit :

Faut dire que c'est un bon client. Rien que pour ce genre de chose, ce serait dommage qu'il parte :biggrin:

:bloblaugh:

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Trump au sujet de l'investiture de Kamala Harris :

https://www.leparisien.fr/international/trump-degaine-une-theorie-contestee-sur-l-ineligibilite-supposee-de-kamala-harris-14-08-2020-8367807.php

C'est un peu le mode "Calomniez, calomniez ! Il en restera toujours quelque chose".

Ca aurait parfaitement sa place dans le fil des criailleries vu le niveau de débat et les arguments fallacieux utilisés (argument d'autorité, appel à l'ignorance ou argumentatum ad silentio, preuve anecdotique, ...).

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il y a une heure, FATac a dit :

Trump au sujet de l'investiture de Kamala Harris :

https://www.leparisien.fr/international/trump-degaine-une-theorie-contestee-sur-l-ineligibilite-supposee-de-kamala-harris-14-08-2020-8367807.php

C'est un peu le mode "Calomniez, calomniez ! Il en restera toujours quelque chose".

Ca aurait parfaitement sa place dans le fil des criailleries vu le niveau de débat et les arguments fallacieux utilisés (argument d'autorité, appel à l'ignorance ou argumentatum ad silentio, preuve anecdotique, ...).

C'est tout l'enjeu de la politique américaine depuis le milieu des années Obama (quand la droite a commencé à devenir vraiment n'importe quoi) : il n'y a plus de différence entre le caniveau et le reste.

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20 minutes ago, Chronos said:

C'est tout l'enjeu de la politique américaine depuis le milieu des années Obama (quand la droite a commencé à devenir vraiment n'importe quoi) : il n'y a plus de différence entre le caniveau et le reste.

On exagère ce changement: les deux bords faisaient ça avant... Ils y mettaient juste un peu plus de formes (la mauvaise foi et la gratuité, la calomnie et le mensonge, étaient tout aussi présents). Je suis de la ferme opinion que, si des facteurs idéologiques peuvent être aussi à l'oeuvre, l'essentiel de ce changement vient des transformations radicales de l'environnement médiatique (l'arène proprement dite, donc): "the medium is the message", pour citer l'autre. En quantité, en nature, en ton, en niveau d'accès, en imbrication dans la vie quotidienne (au point de l'invasion permanente), en impact psychologique.... L'espace médiatique a si radicalement changé (et à rythme incroyablement accéléré depuis la combinaison haut débit/smartphones/médias sociaux) que le niveau d'hystérie, la segmentation en silos toujours plus radicalisés et fidélisés, le parasitage de toute discussion par les éléments les plus radicaux, les plus cyniques et les moins représentatifs (et le torpillage organisé de toute dissenssion ou modération).... Que ce que nous voyons maintenant n'est qu'une conséquence de cette nouvelle agora: je ne prête pas aux partis, à leurs leaders ou leurs penseurs, la capacité d'avoir voulu ou pu organiser de tels changements. out le monde ne fait que s'accrocher au maelström qui a été lâché et dont la vitesse n'a fait que croître. 

Pour les républicains "devenant tarés", il s'est juste agi d'une coïncidence temporelle, une "perfect storm" qui a fait que ce sont eux qui se sont retrouvés les premiers dans la position d'être hystériques au moment (2008-2010)où ce nouvel environnement arrivait à un premier stade de maturation: élection d'Obama et noircissement abusif (via la dominance et le biais médiatiques de la gauche) de McCain, puis de Romney en 2012 (un flip floppeur sans grand relief qui a été diabolisé comme s'il était Saddam Hussein), crise économique majeure et politique unilatérale plus que discutable en conséquence, questionnements sérieux sur la guerre en Irak désormais impopulaire partout, haut débit généralisé et médias sociaux, et explosion du nombre de smartphones. Dans un tel cadre, l'hystérie est devenue la norme permanente pour s'exprimer sur la scène publique (ce qui est l'adaptation au "message" induit par le changement médiatique), seule manière de surnager dans le flot d'info et d'attirer l'attention. A situation renversée, je n'ai aucun doute que les démocrates auraient fait exactement la même chose, à leur sauce. Et sur la décennie qui suit, on n'a vu qu'un renforcement de ces logiques de fonctionnement: la fuite en avant dans la caricature de la caricature qu'on était déjà au départ (parce que c'est pas comme si la scène médiatique des années 90-2000 était honnête et calme). 

 

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En fait ce sont les victimes les républicains :biggrin: .

Les démocrates ont certes de lourdes responsabilités mais le refus de la politique (dans le sens faire/parler /penser la politique pas la cuisine des partis...) par la "droite" en général (politiques de tout bord, journalistes et cercles de réflexions) est  la véritable cause. Les moyens techniques sont un simple facilitateur.

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20 minutes ago, nemo said:

 

Les démocrates ont certes de lourdes responsabilités mais le refus de la politique (dans le sens faire/parler /penser la politique pas la cuisine des partis...) par la "droite" en général (politiques de tout bord, journalistes et cercles de réflexions) est  la véritable cause. Les moyens techniques sont un simple facilitateur.

Tu ne sembles pas avoir saisi la nature de la phrase de McLuhan: "the medium IS the message". L'environnement définit/impacte plus la nature même de ce qui se passe en son sein que les acteurs agissant en son sein. 

Quote

En fait ce sont les victimes les républicains :biggrin: .

Pas particulièrement; c'est juste que dans le cadre médiatique et culturel tel qu'il fonctionne depuis un bail, ils sont infiniment moins puissants, donc toujours plus sur la sellette, toujours plus facilement pointés du doigt et critiqués (je ne discute pas ici de la justification ou non de la chose; la parole médiatique étant une arme, la justesse du propos compte moins que son usage) là où les démocrates le sont nettement moins, tant le biais est structurel. Des médias comme Fox ou le groupe Sinclair, malgré leur taille, ne pèsent qu'une portion très minoritaire du "bruit" médiatique dans son ensemble. Dans un cadre nouveau où tout a viré à l'extrême caricature, sans plus aucun bémol lié à des conceptions vaguement éthiques ou une contrainte de recherche d'une audience large (et un peu plus transpartisane, avec comme valeur cardinale la recherche d'un peu de vérité), ce déséquilibre du terrain médiatique est devenu abyssal. L'une des raisons, sans doute, pour lesquelles seul un Trump pouvait émerger côté républicain: lui seul peut produire le bruit médiatique qui casse les filtres, voire met en évidence l'hypocrisie du camp d'en face de façon un peu plus évidente (sans rien enlever de celle de la droite). 

Après tout, à une autre époque (les années 90), c'est un peu ce qui est arrivé, en beaucoup plus soft, avec la création de Fox News: une réaction agressive au biais dominant de l'époque (où la majorité des médias s'était graduellement constituée en force avant tout anti-Reagan/Bush Sr, même si avec un ton beaucoup plus policé et empreint de nuance), au moment où le câble s'était généralisé (et avec lui la multiplication à l'infini des chaînes télés dont beaucoup pouvaient être rentables). Une réaction qui, pour se démarquer d'un environnement hostile et aller utilement et visiblement à son contre-courant, a adopté (via son instigateur et proprio) le format éditorialiste ("columnist" en anglais) et tabloid (gratuit, tonitruant, excessif, sans compromission et agressif) qui est essentiellement devenu la norme partout, à quelques nuances (de pure forme) près. Le camp d'en face s'adapte à son tour avec les mêmes recettes, et, le changement d'écosystème médiatique aidant, on a une course à l'abîme entre deux camps aux puissances déséquilibrées. Mais à l'abîme quand même. 

Si on part du principe qu'il est souhaitable, pour notre tranquilité à tous, que les forces politiques en présence soient relativement équilibrées (pour qu'aucune ne puisse dominer, en tout cas durablement, qu'aucune ne prenne ses aises avec trop de pouvoir...), un tel environnement médiatique est doublement menaçant: par sa nature même et la forme de non débat (et de qualité pourrie) que cela induit (et l'accaparement par une espèce de caste médiatique fermée, mi mercenaire, mi idéologue), d'une part, et par le déséquilibre structurel des forces politiques qui s'y expriment d'autre part. 

 

C'est pas de la criaillerie, c'est la donne "démocratique" actuelle. Et pas qu'aux USA, même si c'est plus caricatural chez eux (go big or go home), ou simplement plus visible via la distance culturelle. 

Modifié par Tancrède
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il y a 8 minutes, Tancrède a dit :

Tu ne sembles pas avoir saisi la nature de la phrase de McLuhan: "the medium IS the message". L'environnement définit/impacte plus la nature même de ce qui se passe en son sein que les acteurs agissant en son sein. 

Pas particulièrement; c'est juste que dans le cadre médiatique et culturel tel qu'il fonctionne depuis un bail, ils sont infiniment moins puissants, donc toujours plus sur la sellette, toujours plus facilement pointés du doigt et critiqués (je ne discute pas ici de la justification ou non de la chose; la parole médiatique étant une arme, la justesse du propos compte moins que son usage) là où les démocrates le sont nettement moins, tant le biais est structurel. Des médias comme Fox ou le groupe Sinclair, malgré leur taille, ne pèsent qu'une portion très minoritaire du "bruit" médiatique dans son ensemble. Dans un cadre nouveau où tout a viré à l'extrême caricature, sans plus aucun bémol lié à des conceptions vaguement éthiques ou une contrainte de recherche d'une audience large (et un peu plus transpartisane, avec comme valeur cardinale la recherche d'un peu de vérité), ce déséquilibre du terrain médiatique est devenu abyssal. L'une des raisons, sans doute, pour lesquelles seul un Trump pouvait émerger côté républicain: lui seul peut produire le bruit médiatique qui casse les filtres, voire met en évidence l'hypocrisie du camp d'en face de façon un peu plus évidente (sans rien enlever de celle de la droite). 

Après tout, à une autre époque (les années 90), c'est un peu ce qui est arrivé, en beaucoup plus soft, avec la création de Fox News: une réaction agressive au biais dominant de l'époque (où la majorité des médias s'était graduellement constituée en force avant tout anti-Reagan/Bush Sr, même si avec un ton beaucoup plus policé et empreint de nuance), au moment où le câble s'était généralisé (et avec lui la multiplication à l'infini des chaînes télés dont beaucoup pouvaient être rentables). Une réaction qui, pour se démarquer d'un environnement hostile et aller utilement et visiblement à son contre-courant, a adopté (via son instigateur et proprio) le format éditorialiste ("columnist" en anglais) et tabloid (gratuit, tonitruant, excessif, sans compromission et agressif) qui est essentiellement devenu la norme partout, à quelques nuances (de pure forme) près. Le camp d'en face s'adapte à son tour avec les mêmes recettes, et, le changement d'écosystème médiatique aidant, on a une course à l'abîme entre deux camps aux puissances déséquilibrées. Mais à l'abîme quand même. 

Si on part du principe qu'il est souhaitable, pour notre tranquilité à tous, que les forces politiques en présence soient relativement équilibrées (pour qu'aucune ne puisse dominer, en tout cas durablement, qu'aucune ne prenne ses aises avec trop de pouvoir...), un tel environnement médiatique est doublement menaçant: par sa nature même et la forme de non débat (et de qualité pourrie) que cela induit (et l'accaparement par une espèce de caste médiatique fermée, mi mercenaire, mi idéologue), d'une part, et par le déséquilibre structurel des forces politiques qui s'y expriment d'autre part. 

 

C'est pas de la criaillerie, c'est la donne "démocratique" actuelle. Et pas qu'aux USA, même si c'est plus caricatural chez eux (go big or go home), ou simplement plus visible via la distance culturelle. 

On est d'accord que c'est une tendance lourde et qui commence nettement dans les années 80 (ce qui montre que "the medium" peut varier :wink: sans que le fond change) et qu'on vit la même chose à notre échelle mais cette façon de renvoyer tous les camps dos à dos oublie de façon un peu trop facile ce qui selon moi est la véritable cause : tant qu'on parle de conneries on ne parle pas du fond.

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Hello,

Merci @Wallaby... bon, ben comme nous sommes encore vendredi, voici un petit message aux citoyens américains appelés à voter en novembre:

 

  Whoever  wins ,  you  loose !  

 

(...et ça ne me fais même pas rire)

 

Modifié par Yankev
vraiment pas ?
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il y a une heure, Yankev a dit :

Hello,

Merci @Wallaby... bon, ben comme nous sommes encore vendredi, voici un petit message aux citoyens américains appelés à voter en novembre:

 

  Whoever  wins ,  you  loose !  

 

(...et ça ne me fais même pas rire)

 

Applicable bien plus largement que chez les US.

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Et donc, pendant qu'on tremble à l'idée des méfaits que pourrait infliger Mme. Harris (une femme bon Dieu, et même pas vièrge !), certains bossent : le nouveau dirigeant de la Poste a décidé qu'une bonne manière de réduire les coûts était de réduire l'automatisation.

 

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Le but est de ralentir l'acheminement du courrier pour que les votes par correspondance n'arrivent pas, ou trop tard. Trump a eu cette idée quand on lui a rappelé que ce sont les gouverneurs qui s'occupent de l'organisation des élections, et qu'il n'a donc pas le pouvoir constitutionnel pour les repousser ou les annuler. Par contre, il a le pouvoir de nommer qui il veut à la tête de l'USPS, et ladite personne peut faire en sorte de gêner le vote par correspondance autant qu'il veut.

  • Triste 2
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Et pendant que le vilain trump, les vilaines mesures contre le gentil "mail in ballot", etc, continuent de faire enrager certain/e/s, voilà ce qui se passe à Seattle, où la cheffe de la police (une femme noire) a fini par rendre son tablier tout récemment d'ailleurs.

Des BLM en colère exigent que des blancs leur "donnent leurs maisons" et "ouvrent leurs portefeuilles" en défilant dans des quartiers "gentrifiés" parce que c'est pas bien et que "des noirs vivaient là avant" (l'histoire ne dit pas si des blancs y vivaient avant ces noirs par contre, puisque la dynamique c'est généralement "white flight" > "pauperisation" > "gentrification", mais c'est un détail et je ne supputerai pas).

La suite au prochain épisode.

  • Confus 1
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Notons en passant que la situation américaine est inversée par rapport à la Pologne où c'étaient les populistes au pouvoir qui voulaient organiser un scrutin présidentiel uniquement par correspondance, pour finalement y renoncer face à l'opposition d'un parti allié : 

Le 09/05/2020 à 20:27, Wallaby a dit :

https://www.lemonde.fr/international/article/2020/05/07/en-pologne-la-presidentielle-est-reportee-mais-l-incertitude-persiste_6039018_3210.html (7 mai 2020)

Le débat télévisé entre candidats à la présidentielle, organisé le 6 mai au soir par la télévision publique polonaise, avait un caractère inédit : les dix participants ont répondu présent sans avoir la certitude que le scrutin, prévu quatre jours plus tard, le dimanche 10 mai, allait avoir lieu. Une heure à peine après la fin de l’émission, les prétendants – dont le président sortant, Andrzej Duda (PiS) – ont appris par communiqué de presse que le scrutin était annulé, et reporté à une date inconnue. Car le sort de l’événement s’est joué ailleurs.

L’accord politique a été rendu public vers 23 heures, signé par le chef de la majorité ultraconservatrice du PiS (Droit et Justice) et homme fort du pays, Jaroslaw Kaczynski, et le chef du microparti Porozumienie (« accord »), Jaroslaw Gowin, ancien vice-premier ministre et jusque-là membre de la majorité. Ce dernier refusait de suivre Jaroslaw Kaczynski dans son obstination à organiser les élections du 10 mai par correspondance, en pleine épidémie de Covid-19, et selon des normes que les juristes jugeaient unanimement non conformes aux standards démocratiques internationaux. Sans le soutien des députés de Jaroslaw Gowin sur cette question, le chef du PiS était sur le point de perdre sa majorité.

 

 

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il y a une heure, Snapcoke a dit :

Je ne parle pas bien anglais, mais j'ai l'impression que c'est significatif d'une ''ambiance'' d'affrontement généralisé...

https://www.google.com/amp/s/6abc.com/amp/philadelphia-shooting-police-involved-in-shootout-with-300-young-people/6372537/

euhh..... Non. Il est marqué qu'il y avgait une grosse teuf entre jeunes et qu'on a entendu des coups de feu. Un mec bourré qui avait uene arme? Un gang? Un abruti quelconque? Un accident?

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il y a 12 minutes, cracou a dit :

euhh..... Non. Il est marqué qu'il y avgait une grosse teuf entre jeunes et qu'on a entendu des coups de feu. Un mec bourré qui avait uene arme? Un gang? Un abruti quelconque? Un accident?

Dans le texte rien ne mentionne une ''teuf'' il est dit crowd " foule " il parle de coup de feux ce n'ai pas mentionné une seule personne....

 

Je suis mauvais en anglais, mais faut pas poussé, je posé justement la question !!!

 

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il y a 1 minute, Snapcoke a dit :

Dans le texte rien ne mentionne une ''teuf'' il est dit crowd " foule " il parle de coup de feux ce n'ai pas mentionné une seule personne....

 

Je suis mauvais en anglais, mais faut pas poussé, je posé justement la question !!!

 

c’est dans le titre : « at large party » = « lors d’une grosse teuf »

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