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AIR-DEFENSE.NET

[Bâtiment RAVitailleur d'Escadre/ FLOTLOG Vulcano/ Bâtiments Ravitailleurs de Force BRF]


Philippe Top-Force

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http://fr.dcnsgroup.com/naval/produits/famille-brave/?product-category=navire-de-soutien

Les marines souhaitent augmenter les capacités en transfert de charges tout en réduisant la durée de ces opérations. C’est pourquoi BRAVE peut être équipé de 2 mâts de ravitaillement doubles et mixtes (liquides/solides) qui permettent de transférer simultanément des charges lourdes sur quatre postes.

Longueur 180 à 195 m

Largeur 28 m

Déplacement abt. 30 000 t

Capacités en emport (liquides) jusqu’à 16,000 m3

Propulsion toutes versions disponibles

Vitesse, max. 20 nds

Logements 200 +

Pont d’envol hélicos 2 spots dont 1 lourd

Hangar hélicos 2 hélicoptères (classe 10 tonnes)

Le ravitaillement à la mer est le point clef du soutien logistique de toute force navale. BRAVE (Batiment RAvitailleur d’Escadre) a été conçu par DCNS pour fournir à la mer, toutes les fonctions que le soutien logistique peut permettre : ravitaillement de solides (dont munitions), liquides (dont carburants variés), transfert de personnels, VERTREP, fonction atelier de soutien, rechanges etc. De plus, BRAVE peut recevoir des modules complets en containers tels que par exemple un module hôpital complétant celui du bord ou des modules de commandement pour un état major embarqué.

Edited by Philippe Top-Force
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"escadre" ?

c'est pas un peu pimpant comme nom quand on sait que ne peut plus rassembler plus de 5-6 navires en un même lieu ?  =D

C'est comme si l'armée de terre avait des groupes d'armées

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Le but n'est pas de suivre le GAN, mais de le rejoindre en un point, le ravitailler, et partir se re-remplir.

oui mais par exemple, le meuse restait avec le gan lors d'agapenthe, et justement, es que cela ne justifierai pas justement une vitesse supérieure au gan pour pouvoir le rattraper?

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oui mais par exemple, le meuse restait avec le gan lors d'agapenthe, et justement, es que cela ne justifierai pas justement une vitesse supérieure au gan pour pouvoir le rattraper?

la Meuse pouvait difficilement rester tout le temps avec le GAN ne serait-ce que parce que ceci aurait obligé le pétrolier à évoluer quasi en permanence à 18 20 noeuds sans parler des moment où le PAN catapulte à 24 ou 25 noeuds.

De plus comme je l'avait déja dit le GAN n'est pas une escadre resserrée les navires évoluent en portée visuelle parfois hors de la portée visuelle.

Enfin un RAM signifie que durant x heures le PAN n'est plus en route avia il est en route rectiligne à vitesse relativement basse, en fait les RAM se font dans des zones dédiées en sécurité (tant au niveau militaire que pour de simple questions de navigation: exemple hors des routes commerciales) et souvent sous couverture.

Bref ce n'est pas tant le PR qui vient au PAN mais ce dernier tel Lagardère aurait plutôt tendance à rallier une zone où se trouve déjà le ravitailleur

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Si, mais c'est comme une colonne logistique de camion a terre.

Il n'est pas fait pour aller ravitailler sous le feu de l'ennemi mais pour convoyer le ravitaillement dans une zone sure a proximite de la zone de combat.

Donc oui il est vulnerable, mais il ne doit pas etre expose au feu de l'ennemi. Son pire ennemi doit bien etre le SNA.

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Cela dépend aussi des normes acoustiques et de protection.

Je pense que c'est surtout la normes Marcpol pour le transport des hydrocarbures qui a un certain coût dans l' achat de ces navires.

Je vous rappel quand même que les PR de la marine sont à simple coque alors que tous les Pétroliers d'aujourd'hui sont équipés de doubles coques. La prochaine génération de PR devra surtout être aux normes environnementale de demain.

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  • 1 month later...
  • 1 month later...

http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=117735

Le remplacement de la flotte logistique de la Marine nationale, pour le moment prévu à la fin de la décennie, revient sur le devant de la scène. C'est en tous cas le souhait de certains députés, qui ont fait adopter par la Commission de la défense de l'Assemblée nationale un amendement au projet de loi de finances 2012. Proposé par François Cornut-Gentille et Marguerite Lamour, cet amendement vise à intégrer au PLF 2012 une ligne budgétaire de 5 millions d'euros conscarée aux études portant sur les nouveaux bâtiments logistiques de la marine française ou, à défaut, sur la modernisation de la flotte existante. Pour les parlementaires, les unités de ravitaillement sont essentielles pour les opérations nécessitant une projection de forces. Or, le vieillissement des unités actuellement en service (âgées d'une trentaine d'années), pose problème. « Le déploiement de forces à l'étranger et l'utilisation intensive du groupe aéronaval conduisent à un emploi soutenu de ces bâtiments dans des zones de combat. Ils conditionnent en effet la capacité de la marine à intervenir dans la durée et à grande distance de la métropole. Pour éviter toute rupture capacitaire, il est nécessaire d'engager dès aujourd'hui les études pour envisager le remplacement ou la modernisation de ces navires », a plaidé Marguerite Lamour devant la Commission de la Défense.

« Au moindre incident, toute la flotte de ravitailleurs devra rester au port »

La députée du Finistère a également attiré l'attention de ses collègues sur le fait que les actuels pétroliers-ravitailleurs n'étaient pas à double coque. « Ces bâtiments sont des monocoques, c'est-à-dire qu'ils ne sont plus conformes aux normes en vigueur. Au moindre incident, la France pourrait se voir reprocher ce point et s'expose donc à des risques forts. Nos alliés pourraient même s'opposer à ce que nous déployions ces navires dans des opérations internationales. Par ailleurs, au moindre incident, toute la flotte de ravitailleurs devra rester au port, limitant fortement la capacité d'action de la marine ». Adopté en Commission, l'amendement sera soumis au vote de l'Assemblée, au cours de l'examen sur le PLF 2012.

Pour mémoire, la Marine nationale dispose aujourd'hui de quatre unités logistiques, le pétrolier-ravitailleur Meuse, ainsi que les bâtiments de commandement et de ravitaillement Var, Marne et Somme, entrés en service en 1980, 1983,1987 et 1990. En octobre 2009, le ministère français de la Défense a décidé de lancer une étude visant à déterminer les caractéristiques des futurs bâtiments du programme Flotte Logistique. Pour le moment, ce projet, qui pourrait être mené en coopération avec la Grande-Bretagne, verrait les nouveaux navires entrer en service entre 2015 et 2020, leur financement étant prévu sur la prochaine loi de programmation militaire. Les industriels s'intéressent bien évidemment déjà au sujet, DCNS ayant notamment développé un nouveau concept de bâtiment logistique baptisé Brave.

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